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  1. Titre de l'album : Our green birdcage tome 1 Scenariste de l'album : TESHIMA Chia Dessinateur de l'album : TESHIMA Chia Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Depuis le décès de sa mère, Midori, une lycéenne, prend soin de son petit frère et de son père. Elle ploie sous le poids de la charge mentale et trouve refuge dans un petit jardin de l'école. Elle y retrouve Sakiya-san, un ancien élève qui travaille à côté. Ils vont découvrir chacun chez l'autre cette légèreté dont la vie a besoin pour être vécue, mais jusqu'où les mèneront ces sentiments ? Critique : Midori 17 ans, elle est lycéenne et depuis le décès de sa mère, doit s’occuper de tout chez elle : l’entretien de la maison et veiller sur son petit frère. Mais c’est aussi une élève modèle qui s’investit dans tout ce qu’elle fait et qui a du mal à dire non quand on compte sur elle. Parfois, elle se réfugie dans un coin du lycée interdit aux élèves, c’est là qu’un jour elle rencontre Sakiya, un jeune salaryman, ancien élève du lycée, qui vient également y trouver refuge. Petit à petit, Midori va se sentir attirée par lui. Bien que ce soit avant tout une rencontre et une romance, l’auteure a choisi de prendre des personnages en souffrance : Midori qui est écrasée sous le poids des responsabilités mais qui veut absolument tout faire pour respecter les dernières volontés de sa mère tout en espérant avoir du temps pour elle. Et Sakiya, fatigué de vivre après la mort d’un proche, se laissant aller aux souvenirs. Les deux abordent le deuil de façon différente mais vont peut-être apprendre à regarder les choses autrement au contact de l’autre. Un dessin tout en douceur pour une ambiance mélancolique, parfois nimbée de tristesse mais touchante. Un beau 1er tome pour une série finie en 4 tomes Extrait ICI Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/our-green-birdcage-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Nickad

    & (and) tome 6

    Le docteur Yagai semble plus joyeux depuis qu’il fréquente Kaoru, cette dernière mène ses deux emplois en parallèle, elle bosse beaucoup mais la venue d’une nouvelle cliente la met devant des réalités concrètes, des questions qu’elle se posait déjà. La petite amie de Shiro, Iku n’arrive toujours pas à trouver sa place, elle voit bien que malgré tous les efforts qu’elle fait, le regard de Shiro se porte toujours vers Kaoru. Les personnages continuent à se chercher, à avancer entre leurs envies et leur passé. On a l’impression qu’ils se débattent mais en même temps qu’ils font des efforts pour changer. Tout est toujours raconté avec une certaine retenue, une certaine élégance que l’on retrouve aussi dans le graphisme. Et même si parfois, cela met un peu de distance avec le lecteur, le manga dégage une ambiance de spleen et de beauté qui ne laisse pas insensible.
  3. Nickad

    & (and) tome 6

    Titre de l'album : & (and) tome 6 Scenariste de l'album : OKAZAKI Mari Dessinateur de l'album : OKAZAKI Mari Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Forte et indépendante, Kaoru suit des cours supplémentaires pour intégrer le nouveau département de l'hôpital. De son côté, le docteur Yagai est toujours tourmenté par son passé et sa grande différence d'âge avec Kaoru l'empêche de se rapprocher d'elle autant qu'il le voudrait. Au fil du temps, heureusement, les sentiments de la jeune femme vont lui réchauffer le coeur et l'aider à s'ouvrir à elle. Mais, un jour, une nouvelle cliente débarque au salon de Kaoru. Cette femme, qui semble également connaître le docteur Yagai, ne manquera pas de la mettre mal à l'aise avec ses réflexions... Critique : Le docteur Yagai semble plus joyeux depuis qu’il fréquente Kaoru, cette dernière mène ses deux emplois en parallèle, elle bosse beaucoup mais la venue d’une nouvelle cliente la met devant des réalités concrètes, des questions qu’elle se posait déjà. La petite amie de Shiro, Iku n’arrive toujours pas à trouver sa place, elle voit bien que malgré tous les efforts qu’elle fait, le regard de Shiro se porte toujours vers Kaoru. Les personnages continuent à se chercher, à avancer entre leurs envies et leur passé. On a l’impression qu’ils se débattent mais en même temps qu’ils font des efforts pour changer. Tout est toujours raconté avec une certaine retenue, une certaine élégance que l’on retrouve aussi dans le graphisme. Et même si parfois, cela met un peu de distance avec le lecteur, le manga dégage une ambiance de spleen et de beauté qui ne laisse pas insensible. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/and-by-mari-okazaki-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. poseidon2

    Kengan ashura T15-16

    Le tableau final vient de démarrer et les "vrais" combats commencent. Des combats à mort d'une intensité supérieure à ce que l'on a pu voir précédemment. Et dans le tome 16 c'est au tour de notre héros d'en découdre. Un Ohma complètement transformé par l'écrasante gifle que lui a mis le croc. Si ces tomes n'ont rien de très nouveaux, ils sont d'une intensité impressionnante en termes de combat et les retournements de situation sont nombreux. Le côté "coulisse" prend lui aussi une ampleur plus importante avec des menaces sur l'entourage des combattants et de leur boss, dont particulièrement Mr Yamashita. La bonne dose de baston mensuelle
  5. Titre de l'album : Kengan ashura T15-16 Scenariste de l'album : Sandrovich Yabako Dessinateur de l'album : Daromeon Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Les assurances Wakasa. Cette société d'assurance mutuelle a été fondée au cours de la 22e année de l'ère Meiji (1889). Liée à une centaine d'entreprises dans des secteurs variés, elle est l'un des plus grands investisseurs institutionnels de l'association Kengan. Palmarès KENGAN : 1366 victoires et 909 défaites. AVEC MOI, LA JUSTICE TRIOMPHE TOUJOURS. UNDER MOUNT. Cette entreprise fondée la 18e année de l'ère Heisei (2006) est spécialisée en moteurs de recherches et en réseaux sociaux. Sa plus grosse plate-forme compte 1,6 milliard d'inscrits dans le monde. Depuis quelques années, elle investit aussi dans la recherche en biologie et en neurosciences. Palmarès KENGAN : 68 victoires et 5 défaites. JE VAIS TE PIÉTINER COMME UNE CARPETTE. Critique : Le tableau final vient de démarrer et les "vrais" combats commencent. Des combats à mort d'une intensité supérieure à ce que l'on a pu voir précédemment. Et dans le tome 16 c'est au tour de notre héros d'en découdre. Un Ohma complètement transformé par l'écrasante gifle que lui a mis le croc. Si ces tomes n'ont rien de très nouveaux, ils sont d'une intensité impressionnante en termes de combat et les retournements de situation sont nombreux. Le côté "coulisse" prend lui aussi une ampleur plus importante avec des menaces sur l'entourage des combattants et de leur boss, dont particulièrement Mr Yamashita. La bonne dose de baston mensuelle Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kengan-ashura-tome-15?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Nickad

    Le monstre et la bête tome 3

    Dans un monde aux accents de fantasy, un homme d’âge mur, Liam, rencontre un jour au cœur d’une forêt Kavo, un monstre ou démon, de forme humanoïde, il est très grand, costaud, a la peau foncée et un visage effrayant (que l’on ne verra pas). Contre toute attente, Liam n’a pas peur de Kavo, il l’accepte facilement et dit de lui qu’il est mignon et gentil. Kavo décide d’accompagner Liam dans son voyage, ce dernier a le charme facile et aime bien aller « s’amuser ». Petit à petit, Kavo, qui a toujours vécu seul, développe des sentiments pour Liam et malgré le comportement de ce dernier décide de l’accepter, y compris ses secrets et ses dérives. Car Liam semble avoir un passé un peu lourd et il est poursuivi par la garde royale, il n’a d’autres choix que d’embarquer à bord d’un bateau pour changer de continent. Le monstre et la bête et un manga qui réserve des surprises, il y a une lecture a plusieurs niveaux et différents thèmes abordés. C’est d’abord une histoire d’amour entre un homme et une bête (les scènes osées sont plutôt soft, pas de gros plans, quelques nudités et rougissements et des postures sans équivoque). Puis c’est de l’aventure, la fuite de Liam, son passé et ses secrets, un peu de combat et des voyages. Enfin et c’est sans doute le point le plus importants c’est la réflexion sur la différence et l’acceptation de l’autre, il y a Kavo un monstre dont l’apparence fait peur à tout le monde mais qui est très gentil. Et c’est justement là-dessus que joue le titre du manga : qui est vraiment le monstre ? Cela peut être Kavo par son physique ou Liam par ce qu’il fait : sa manière de séduire sans se soucier du lendemain, ou bien ce qu’il a fait dans le passé, ou encore, on peut supposer que le monstre est tout simplement l’attitude des hommes par rapport à Kavo. Et dans ce cas, qui est la bête ? Encore une fois, on peut penser à Kavo, mais peut-être qu’il s’agit de Liam quand il est poussé par ses envies charnelles. Un manga intéressant donc, avec un trait fin et agréable et puis des imprévus de dernière page qui augmentent l’envie d’y revenir.
  7. Titre de l'album : Le monstre et la bête tome 3 Scenariste de l'album : RENJI Dessinateur de l'album : RENJI Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Il était une fois, une forêt où résidaient de nombres créatures. Parmi elles, une bête nommée Kavo vivait dans la solitude. Un jour, alors que Liam se fait agresser au milieu des bois, la bête le sauve. S'attendant à le voir partir en courant et en hurlant, comme tant d'autres avant lui, il est étonné de découvrir que l'homme d'âge mûr n'a pas peur de lui et souhaite même le remercier de lui être venu en aide. Critique : Dans un monde aux accents de fantasy, un homme d’âge mur, Liam, rencontre un jour au cœur d’une forêt Kavo, un monstre ou démon, de forme humanoïde, il est très grand, costaud, a la peau foncée et un visage effrayant (que l’on ne verra pas). Contre toute attente, Liam n’a pas peur de Kavo, il l’accepte facilement et dit de lui qu’il est mignon et gentil. Kavo décide d’accompagner Liam dans son voyage, ce dernier a le charme facile et aime bien aller « s’amuser ». Petit à petit, Kavo, qui a toujours vécu seul, développe des sentiments pour Liam et malgré le comportement de ce dernier décide de l’accepter, y compris ses secrets et ses dérives. Car Liam semble avoir un passé un peu lourd et il est poursuivi par la garde royale, il n’a d’autres choix que d’embarquer à bord d’un bateau pour changer de continent. Le monstre et la bête et un manga qui réserve des surprises, il y a une lecture a plusieurs niveaux et différents thèmes abordés. C’est d’abord une histoire d’amour entre un homme et une bête (les scènes osées sont plutôt soft, pas de gros plans, quelques nudités et rougissements et des postures sans équivoque). Puis c’est de l’aventure, la fuite de Liam, son passé et ses secrets, un peu de combat et des voyages. Enfin et c’est sans doute le point le plus importants c’est la réflexion sur la différence et l’acceptation de l’autre, il y a Kavo un monstre dont l’apparence fait peur à tout le monde mais qui est très gentil. Et c’est justement là-dessus que joue le titre du manga : qui est vraiment le monstre ? Cela peut être Kavo par son physique ou Liam par ce qu’il fait : sa manière de séduire sans se soucier du lendemain, ou bien ce qu’il a fait dans le passé, ou encore, on peut supposer que le monstre est tout simplement l’attitude des hommes par rapport à Kavo. Et dans ce cas, qui est la bête ? Encore une fois, on peut penser à Kavo, mais peut-être qu’il s’agit de Liam quand il est poussé par ses envies charnelles. Un manga intéressant donc, avec un trait fin et agréable et puis des imprévus de dernière page qui augmentent l’envie d’y revenir. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/monstre-et-la-bete-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Nickad

    Team Phoenix tome 1

    Les robots ont pris le pouvoir dans l’univers, ils ont décidé d’éliminer toutes les autres races mais quelques-uns pensent que certains humains peuvent être rééduqués et servir leur cause. C’est à ce moment que Saphir décide de se rebeller et monte son équipage de pirates de l’espace. Kenny Ruiz, auteur et dessinateur de bandes dessinées, s’est prêté à l’hommage rendu à Osamu Tezuka dans Tezucomi (critique ICI), c’est à ce moment que Team Phoenix est né : utiliser les personnages phares de Tezuka dans un space opera. Il n’est pas nécessaire de connaître l’œuvre du maître, pour apprécier le manga, l’histoire est cohérente, le trait de Kenny Ruiz précis et détaillé. Je trouve qu’on rentre facilement et rapidement dans le récit, il y a certes beaucoup de personnages mais assez de scenario et de développements pour en faire plus qu’une simple galerie hommage. C’est une véritable aventure qui vous attend avec ce qu’il faut d’actions et de suspens, on retrouve toutes les questions sur les conflits humains/robots, la cohabitation entre espèces, les sentiments chez les IA…. Et les fans de Tezuka auront plaisir à chercher ou redécouvrir leurs héros dans de nouvelles situations. La série est prévue en 6 tomes Bande annonce
  9. Titre de l'album : Team Phoenix tome 1 Scenariste de l'album : RUIZ Kenny / TEZUKA Osamu Dessinateur de l'album : RUIZ Kenny Coloriste : Editeur de l'album : VEGA Note : Résumé de l'album : La Grande Guerre qui fit rage entre les espèces vivantes et les robots se solda par la victoire de ses derniers. Après des décennies de conflit émergeait ainsi l'Union Robotique, un gouvernement totalitaire dirigé par le puissant Atlas. Sous son régime, ceux jugés utiles reçoivent « un permis de vivre » délivré par le gouvernement. Pour les autres, c'est la mort. Une poignée de rebelles, survivants de l'ancienne Alliance Biologique, lui résiste. Au sein de cette résistance se forme bientôt une nouvelle équipe de champions : la Team Phoenix. Critique : Les robots ont pris le pouvoir dans l’univers, ils ont décidé d’éliminer toutes les autres races mais quelques-uns pensent que certains humains peuvent être rééduqués et servir leur cause. C’est à ce moment que Saphir décide de se rebeller et monte son équipage de pirates de l’espace. Kenny Ruiz, auteur et dessinateur de bandes dessinées, s’est prêté à l’hommage rendu à Osamu Tezuka dans Tezucomi (critique ICI), c’est à ce moment que Team Phoenix est né : utiliser les personnages phares de Tezuka dans un space opera. Il n’est pas nécessaire de connaître l’œuvre du maître, pour apprécier le manga, l’histoire est cohérente, le trait de Kenny Ruiz précis et détaillé. Je trouve qu’on rentre facilement et rapidement dans le récit, il y a certes beaucoup de personnages mais assez de scenario et de développements pour en faire plus qu’une simple galerie hommage. C’est une véritable aventure qui vous attend avec ce qu’il faut d’actions et de suspens, on retrouve toutes les questions sur les conflits humains/robots, la cohabitation entre espèces, les sentiments chez les IA…. Et les fans de Tezuka auront plaisir à chercher ou redécouvrir leurs héros dans de nouvelles situations. La série est prévue en 6 tomes Bande annonce Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/team-phoenix-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nickad

    Nomi & Shiba tome 2

    Nomiya et Mikoshiba s’embrassent, flirtent mais ne sortent toujours pas ensemble car chacun veut faire sa déclaration et ne sait pas comment s’y prendre. Personne n’est dupe dans le dortoir et tout le monde essaye de donner le change pour qu’ils ne se fassent pas attraper par le professeur responsable. Nomi et Shiba c’est un manga mignon, rien de choquant et plein de bons sentiments. Alors on pourrait se dire qu’ils sont niais à se demander si leurs sentiments sont réciproques vu tout ce qui se passe entre eux et trouver tout ça un peu exagéré… En fait, c’est assez réaliste, j’ai les mêmes à la maison ! Des ados qui ont besoin de dire « sors avec moi » pour estimer qu’ils sont ensemble alors qu’ils flirtent depuis des mois !!! Bref, tout ça pour dire que c’est un manga résolument positif, plein de fraicheur et très fleur bleue qui apporte du baume au cœur et fera sourire bêtement votre adolescent…
  11. Titre de l'album : Nomi & Shiba tome 2 Scenariste de l'album : TAGURA Tohru Dessinateur de l'album : TAGURA Tohru Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Nomiya et Mikoshiba ont échangé un langoureux baiser. Et s'ils ne se sont pas encore réellement avoué leurs sentiments, ils savent tous les deux qu'ils ne tiendront pas très longtemps avant de vouloir passer à l'étape suivante. Chacun d'eux semble en effet prêt à partager son intimité avec l'élu de son cœur... Mais les deux bougres ne sont pas au bout de leurs peines : un nouveau surveillant impose une règle qui interdit à deux personnes en couple de partager la même chambre. Pour ne pas être séparés, Nomiya et Mikoshiba vont devoir faire semblant de ne pas être attirés l'un par l'autre... et surtout résister à leurs pulsions ! Critique : Nomiya et Mikoshiba s’embrassent, flirtent mais ne sortent toujours pas ensemble car chacun veut faire sa déclaration et ne sait pas comment s’y prendre. Personne n’est dupe dans le dortoir et tout le monde essaye de donner le change pour qu’ils ne se fassent pas attraper par le professeur responsable. Nomi et Shiba c’est un manga mignon, rien de choquant et plein de bons sentiments. Alors on pourrait se dire qu’ils sont niais à se demander si leurs sentiments sont réciproques vu tout ce qui se passe entre eux et trouver tout ça un peu exagéré… En fait, c’est assez réaliste, j’ai les mêmes à la maison ! Des ados qui ont besoin de dire « sors avec moi » pour estimer qu’ils sont ensemble alors qu’ils flirtent depuis des mois !!! Bref, tout ça pour dire que c’est un manga résolument positif, plein de fraicheur et très fleur bleue qui apporte du baume au cœur et fera sourire bêtement votre adolescent… Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nomi-et-shiba-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Konosuke est un samouraï qui ne peut utiliser de sabre en métal, en fait, tous les objets métalliques se tordent à son approche, il ne peut pas non plus se raser ni toucher à la monnaie. Avec un tel handicap, impossible pour lui de trouver du travail, ayant vendu presque tous les biens hérités de sa famille, il se retrouve sans argent et en plus, il est la cible de moqueries, on dit de lui qu’il a peur de se couper ! Désespéré, il décide de se jeter dans la rivière pour en finir. Quelqu’un le sauve et il se réveille chez lui avec une demande de mariage en prime. La dot lui fait accepter cette demande, mais que peut donc lui trouver cette belle épouse tombée du ciel ? Après le très remarqué Kasane, manga assez sombre, déroutant et magnifique, Daruma Maatsura revient avec la danse du soleil et de la lune. Situé à l’époque médiévale, elle dépeint le quotidien d’un homme désœuvré avec réalisme et en même temps ajoute un côté fantastique qui lui donne un aspect « contes et légendes ». La description de l’époque est très juste, là où la valeur d’un homme se mesure à son sabre, Konosuke est un paria et on ressent bien tous ses sentiments, le désespoir et le déshonneur. Et puis il y a l’arrivée de Tsuki, énigmatique et très belle, on ne sait pas vraiment qui elle est et ce qu’elle veut mais le fantastique n’est pas loin. Le scenario est bien ficelé, l’histoire bien menée, une intrigue inédite qui laisse beaucoup de questions en suspens. Le graphisme de l’auteure sait allier la simplicité et le dynamisme quand il le faut. Une série à découvrir, 3 tomes en cours.
  13. Titre de l'album : La Danse du Soleil et de la Lune tome 1 Scenariste de l'album : MATSUURA Daruma Dessinateur de l'album : MATSUURA Daruma Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Pour un samouraï, l'honneur est plus important que tout. Konosuke aspire à vivre selon les valeurs de sa caste, mais un secret honteux l'en empêche : le métal se tord à proximité de sa peau ! Impossible pour lui d'utiliser la moindre lame, hormis celle de son sabre en bois... Avec un tel handicap, Konosuke ne peut prétendre à un travail digne de son rang. Pire, il est vu comme un lâche qui a peur de se battre dans les règles ! Seul et désargenté, il n'a plus qu'un désir : mourir honorablement par le sabre. Il provoque des pairs au combat, mais son pouvoir écarte leurs armes... Roué de coups et jeté dans une rivière, il glisse lentement vers la mort, quand il sent une étrange présence féminine... Il se réveille chez lui, hagard et déboussolé. C'est alors qu'un vieil homme difforme frappe à sa porte et lui annonce qu'il est demandé en mariage par une jeune femme à la beauté ensorcelante ! Qui est-elle et pourquoi l'a-t-elle choisi, lui, le samouraï raté Critique : Konosuke est un samouraï qui ne peut utiliser de sabre en métal, en fait, tous les objets métalliques se tordent à son approche, il ne peut pas non plus se raser ni toucher à la monnaie. Avec un tel handicap, impossible pour lui de trouver du travail, ayant vendu presque tous les biens hérités de sa famille, il se retrouve sans argent et en plus, il est la cible de moqueries, on dit de lui qu’il a peur de se couper ! Désespéré, il décide de se jeter dans la rivière pour en finir. Quelqu’un le sauve et il se réveille chez lui avec une demande de mariage en prime. La dot lui fait accepter cette demande, mais que peut donc lui trouver cette belle épouse tombée du ciel ? Après le très remarqué Kasane, manga assez sombre, déroutant et magnifique, Daruma Maatsura revient avec la danse du soleil et de la lune. Situé à l’époque médiévale, elle dépeint le quotidien d’un homme désœuvré avec réalisme et en même temps ajoute un côté fantastique qui lui donne un aspect « contes et légendes ». La description de l’époque est très juste, là où la valeur d’un homme se mesure à son sabre, Konosuke est un paria et on ressent bien tous ses sentiments, le désespoir et le déshonneur. Et puis il y a l’arrivée de Tsuki, énigmatique et très belle, on ne sait pas vraiment qui elle est et ce qu’elle veut mais le fantastique n’est pas loin. Le scenario est bien ficelé, l’histoire bien menée, une intrigue inédite qui laisse beaucoup de questions en suspens. Le graphisme de l’auteure sait allier la simplicité et le dynamisme quand il le faut. Une série à découvrir, 3 tomes en cours. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-danse-du-soleil-et-de-la-lune-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. poseidon2

    In the land of Leadale t1

    C'est marrant car il n'y a pas longtemps de cela j'aurais juste écrit : c'est encore un autre Isekai. Mais là, après toutes ces variations possibles de l'Isekai qui nous ont été donnée, avec des mangas qui vont vites, des pouvoirs étranges et des héros pour qui cela semble naturel d'être dans un autre monde, je dirais plus : A cool un Isekai de base. Car c'est le cas. In the Land of Leadale est un Isekai de base. On retrouve une trame d'une fille paniquée d'être prisonnier dans un jeu et devant s'adapter à sa nouvelle condition. Ça parait bête mais j'ai trouvé cette simplicité reposante car, au final, bien plus normale. IL n'y a rien de nouveau ni d'original dans ce manga. Mais ce retour aux sources me rappelle mes premières lectures du genre. Et c'est déjà pas mal.
  15. Titre de l'album : In the land of Leadale t1 Scenariste de l'album : Dashio Tsukimi Dessinateur de l'album : Dashio Tsukimi Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Réincarnée 200 ans plus tard dans le monde virtuel de Leadale ! Après avoir perdu la vie à la suite d'un terrible accident, Keina Kagami se réveille dans le corps d'une haute-elfe du nom de Cayna. Ce n'est autre que le personnage qu'elle s'était créé sur Leadale, un jeu de rôle en réalité virtuelle auquel elle était souvent connectée. Mais il semblerait que 200 ans se soient écoulés depuis l'époque où elle jouait...Sa première quête consiste donc à comprendre ce qu'il s'est passé durant toutes ces années, et elle n'est pas au bout de ses surprises ! Critique : C'est marrant car il n'y a pas longtemps de cela j'aurais juste écrit : c'est encore un autre Isekai. Mais là, après toutes ces variations possibles de l'Isekai qui nous ont été donnée, avec des mangas qui vont vites, des pouvoirs étranges et des héros pour qui cela semble naturel d'être dans un autre monde, je dirais plus : A cool un Isekai de base. Car c'est le cas. In the Land of Leadale est un Isekai de base. On retrouve une trame d'une fille paniquée d'être prisonnier dans un jeu et devant s'adapter à sa nouvelle condition. Ça parait bête mais j'ai trouvé cette simplicité reposante car, au final, bien plus normale. IL n'y a rien de nouveau ni d'original dans ce manga. Mais ce retour aux sources me rappelle mes premières lectures du genre. Et c'est déjà pas mal. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/in-the-land-of-leadale-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. poseidon2

    The kingdoms of ruins t1

    Chic chic chic. Ca faisait longtemps que je n'avais pas été charmé par un manga fantastique pour ado/adulte. On a bien sur ici tout ce qui fait un manga standard. Mais on surtout tout d'extrêmement bien fait. Une vraie dramaturgie dès le début, des humains plus horribles et égoïstes que jamais, un héros complètement perdu à la limite de la folie et une jeune sorcière qui veut absolument le sauver. On se passionne pour cette aventure qui semble perdue d'avance Porté par un dessin dans le haut du panier des sorties actuelles, on a là l'exemple typique d'un très bon premier tome de série. Série déjà à 4 tomes au Japon.
  17. Titre de l'album : The kingdoms of ruins t1 Scenariste de l'album : Yoruhashi Dessinateur de l'album : Yoruhashi Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Dans un monde où les sorcières guidaient les humains, ces derniers ont fini par développer une technologie leur permettant de s'affranchir des sorcières. Pour mettre un terme définitif à cette relation de dépendance, les hommes décident alors de lancer une chasse aux sorcières. Chloé, merveilleuse sorcière, meurt pendant cette purge devant les yeux d'Adonis, un humain à qui elle apprenait la magie. Fou de douleur, Adonis jure de se venger. Pendant 10 ans il est enfermé en prison. Une jeune sorcière ressemblant étrangement à Chloé le libère. La vengeance commence... Critique : Chic chic chic. Ca faisait longtemps que je n'avais pas été charmé par un manga fantastique pour ado/adulte. On a bien sur ici tout ce qui fait un manga standard. Mais on surtout tout d'extrêmement bien fait. Une vraie dramaturgie dès le début, des humains plus horribles et égoïstes que jamais, un héros complètement perdu à la limite de la folie et une jeune sorcière qui veut absolument le sauver. On se passionne pour cette aventure qui semble perdue d'avance Porté par un dessin dans le haut du panier des sorties actuelles, on a là l'exemple typique d'un très bon premier tome de série. Série déjà à 4 tomes au Japon. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kingdoms-of-ruin-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. poseidon2

    Blue summer T1&2 (Fini)

    Une critique de @TheOtaku: Un Yaoi très mignon entre deux garçons qui ont pour seul point commun leur passion pour les films. Bien sûr comme la plupart des yaoi ça parle d'un garçon qui en aime un autre et puis l'autre qui ne sait pas s’il l'aime et puis la fin de base. Un classique ! Mais là, le fait de rajouter le thème du cinéma et une relation d'amis avec un amour à sens unique (mais qui reste quand bien même juste amis), dans le premier tome, donne un côté différent d'un yaoi de base. Sinon les deux tomes sont aussi bien l'un que l'autre entre leurs pèlerinages dans leurs lieux de tournage préférés qui font bien avancer leur histoire d'amour toute mignonne et leur passage du lycée à l'université qui leur font commencer une relation à distance, la série est bien. Et en plus elle est finie en deux tomes bien que la fin du tome 1 était suffisante. Mais le tome 2 reste bien et mignon. Une bonne série si on a envie de se reposer l'esprit et de ne pas commencer une série à rallonge !
  19. Titre de l'album : Blue summer T1&2 (Fini) Scenariste de l'album : Nagisa Furuya Dessinateur de l'album : Nagisa Furuya Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Chiharu Saeki et Wataru Toda sont deux lycéens passionnés de cinéma. C'est grâce à cet intérêt commun qu'ils sont devenus amis. Ils aiment passer du temps ensemble et se sentent à l'aise en compagnie de l'autre... Jusqu'au jour où une déclaration d'amour inattendue change la dynamique de leur relation. Lorsque Saeki demande à Wataru de l'accompagner faire un pèlerinage des lieux de tournage de son film préféré pendant les vacances d'été, celui-ci accepte, sans se rendre compte que le temps leur est compté... Pourquoi tombe-t-on amoureux ? Que faire lorsqu'il n'y a aucun espoir ? Plongez dans l'histoire tendre et émouvante de deux lycéens en proie à leurs sentiments, au coeur de l'été. Critique : Une critique de @TheOtaku: Un Yaoi très mignon entre deux garçons qui ont pour seul point commun leur passion pour les films. Bien sûr comme la plupart des yaoi ça parle d'un garçon qui en aime un autre et puis l'autre qui ne sait pas s’il l'aime et puis la fin de base. Un classique ! Mais là, le fait de rajouter le thème du cinéma et une relation d'amis avec un amour à sens unique (mais qui reste quand bien même juste amis), dans le premier tome, donne un côté différent d'un yaoi de base. Sinon les deux tomes sont aussi bien l'un que l'autre entre leurs pèlerinages dans leurs lieux de tournage préférés qui font bien avancer leur histoire d'amour toute mignonne et leur passage du lycée à l'université qui leur font commencer une relation à distance, la série est bien. Et en plus elle est finie en deux tomes bien que la fin du tome 1 était suffisante. Mais le tome 2 reste bien et mignon. Une bonne série si on a envie de se reposer l'esprit et de ne pas commencer une série à rallonge ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/blue-summer-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    Poison quotidien tome 1

    Ogino et Takai sont deux lycéens quelconques, ni beaux ni sportifs ni intellectuels… mais ils ont eu la malchance de tomber sous le joug des racailles de l’école qui les traite comme des esclaves. Harcelés et rackettés, Ogino se prend souvent des coups et Takai préfère payer vu que ses parents sont riches. Les deux garçons trouvent de l’évasion et de l’espoir dans les motos et préparent leur permis en secret. Poison quotidien est un portrait assez réaliste de la jeunesse japonaise, il y a le harcèlement, toujours très présent, la pression omniprésente qui peut venir des parents, de l’école, du système plus généralement qui fait qu’il y a un moule dans lequel rentrer et une conduite à tenir. Et puis il y a juste le fait d’être adolescent, de trouver sa voie, de prendre des décisions, d’éprouver des sentiments, se questionner sur l’amour, l’amitié. Vivre le quotidien et ressentir son poids avec des éléments qui vous empoisonnent l’existence et dont on ne peut se débarrasser. Le graphisme est à la hauteur du récit, un style réaliste, des physiques asiatiques... parfois ingrats. Le manga est une peinture sociale, pas la plus belle qui soit, pas la plus passionnante non plus, mais juste la plus répandue, celle du quotidien, celle qui nous ressemble où l’on pourrait se reconnaitre. Série finie en 6 tomes Lire un extrait
  21. Titre de l'album : Poison quotidien tome 1 Scenariste de l'album : FURUYA Minoru Dessinateur de l'album : FURUYA Minoru Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : C'est la première fois de ma vie que je décide quelque chose par moi-même... Yusuke Ogino est un lycéen complètement ordinaire. Avec son meilleur pote, Takao Takai, il se fait sans cesse harceler, racketter. Et parce qu'il ne sait pas comment réagir, il est parfois plus simple de se laisser être la victime. Alors pour s'échapper, il rêve de liberté, de passer son permis moto et de rouler, pour être libre... Mais ce foutu quotidien, toujours, il revient, il vous étouffe, il vous empoisonne. Est-ce qu'un jour, enfin, le bonheur frappera à la porte ? Critique : Ogino et Takai sont deux lycéens quelconques, ni beaux ni sportifs ni intellectuels… mais ils ont eu la malchance de tomber sous le joug des racailles de l’école qui les traite comme des esclaves. Harcelés et rackettés, Ogino se prend souvent des coups et Takai préfère payer vu que ses parents sont riches. Les deux garçons trouvent de l’évasion et de l’espoir dans les motos et préparent leur permis en secret. Poison quotidien est un portrait assez réaliste de la jeunesse japonaise, il y a le harcèlement, toujours très présent, la pression omniprésente qui peut venir des parents, de l’école, du système plus généralement qui fait qu’il y a un moule dans lequel rentrer et une conduite à tenir. Et puis il y a juste le fait d’être adolescent, de trouver sa voie, de prendre des décisions, d’éprouver des sentiments, se questionner sur l’amour, l’amitié. Vivre le quotidien et ressentir son poids avec des éléments qui vous empoisonnent l’existence et dont on ne peut se débarrasser. Le graphisme est à la hauteur du récit, un style réaliste, des physiques asiatiques... parfois ingrats. Le manga est une peinture sociale, pas la plus belle qui soit, pas la plus passionnante non plus, mais juste la plus répandue, celle du quotidien, celle qui nous ressemble où l’on pourrait se reconnaitre. Série finie en 6 tomes Lire un extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/poison-quotidien-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    Keiji tome 4

    Keiji arrive à la capitale (Kyoto à l’époque), il se heurte dès la départ à un fils à papa qui fait la loi. Après lui avoir donner une bonne leçon, il rencontre son père qui n’est autre que l’un des conseillers du seigneur. Keiji se retrouve malgré lui au beau milieu d’un complot politique. Quelle que soit la situation et quelle que soit la personne qu’il a en face de lui, Keiji reste fidèle à lui-même et vit comme il l’entend, car un Kabuki-dono vit toujours à fond en mettant sa vie en jeu au moindre instant. Le manga est toujours plaisant, il y a d’un côté le fond historique qui permet d’en apprendre un peu plus sur le Japon et de l’autre la vie de Keiji entre humour et combat. C’est un personnage riche et intéressant auprès duquel l’ennui n’est pas possible. Pour le moment, le schéma fonctionne encore mais il va falloir un renouveau dans le déroulement pour ne pas lasser sur les 18 tomes que compte la série. Le dessin de Tetsuo HARA est toujours détaillé et réserve de belles surprises.
  23. Nickad

    Keiji tome 4

    Titre de l'album : Keiji tome 4 Scenariste de l'album : RYU Keiichiro Dessinateur de l'album : HARA Tetsuo Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : « Si la vie a une fin, la gloire, elle, est éternelle ! »1588. C'est accompagné d'Ofû et de Sutemaru, ninja rencontré à Tsuruga, que Keiji se rend à Kyôto, la capitale. Il y fait là-bas la rencontre des hommes les plus puissants du pays, dont Toyotomi Hideyoshi, successeur d'Oda Nobunaga, ou de Sen no Rikyû, connu sous le nom du «saint du thé». Mêlé à diverses intrigues politiques, Keiji parviendra-t-il à échapper à ses nombreux détracteurs?En 1582, la mort d'Oda Nobunaga vient attiser la flamme de la guerre qui embrase le Japon depuis plus d'un siècle. Voguant à contre-courant de la retenue et de la courtoisie de mise à l'époque, les kabuki-mono sont des guerriers outranciers, aux habits flamboyants et suivant leur propre code d'honneur. Critique : Keiji arrive à la capitale (Kyoto à l’époque), il se heurte dès la départ à un fils à papa qui fait la loi. Après lui avoir donner une bonne leçon, il rencontre son père qui n’est autre que l’un des conseillers du seigneur. Keiji se retrouve malgré lui au beau milieu d’un complot politique. Quelle que soit la situation et quelle que soit la personne qu’il a en face de lui, Keiji reste fidèle à lui-même et vit comme il l’entend, car un Kabuki-dono vit toujours à fond en mettant sa vie en jeu au moindre instant. Le manga est toujours plaisant, il y a d’un côté le fond historique qui permet d’en apprendre un peu plus sur le Japon et de l’autre la vie de Keiji entre humour et combat. C’est un personnage riche et intéressant auprès duquel l’ennui n’est pas possible. Pour le moment, le schéma fonctionne encore mais il va falloir un renouveau dans le déroulement pour ne pas lasser sur les 18 tomes que compte la série. Le dessin de Tetsuo HARA est toujours détaillé et réserve de belles surprises. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/keiji-tome-4-224035?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Nickad

    Androgynous

    Jack est un botaniste qui s’est installé dans un village en plein cœur de la jungle, il cherche à découvrir de nouvelles espèces. Au lieu de ça, il va rencontrer un étrange jeune homme et tomber sous son charme. Mais quand il cherche à savoir qui c’est, personne ne semble le connaître. Quel secret cache le village et qui est celui qu'il a vu ? Androgynous aborde le sujet de l’androgynie ou hermaphrodisme dans les sociétés tribales, ici suite à d’anciennes croyances, l’enfant hermaphrodite devient la prêtresse de la forêt. Si à l’origine du mythe, qui est d’ailleurs raconté dans le 2eme partie du livre, cette prêtresse était vénérée car son sacrifice avait sauvé la forêt en déperdition ; c’est surtout devenu avec le temps un prétexte pour se débarrasser d’un être différent, ni homme ni femme. Le manga aurait pu exploiter cette différence, s’appesantir sur les croyances, les préjugés, raconter la souffrance des androgynes, leurs difficultés à s’intégrer et à être accepté. Ici, le sujet est survolé et l’auteure est plus intéressée par faire des scènes coquines. Et même de ce point de vue l’hermaphrodisme n’est pas vraiment exploité. Au bout du compte, il s’agit surtout d’un livre érotique, notons cependant que le graphisme est de qualité que ce soit dans le rendu de la jungle ou l’exotisme des membres de la tribu.
  25. Nickad

    Androgynous

    Titre de l'album : Androgynous Scenariste de l'album : ASHIHARA Akira Dessinateur de l'album : ASHIHARA Akira Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Au fin fond de la jungle, il existe une mystérieuse prêtresse " androgyne " dont le charme fascine. Il y a fort longtemps, la première prêtresse du nom d'Ester avait offert son corps en sacrifice au dieu de la forêt et apporté de l'amour à son existence solitaire. Le temps a passé et aujourd'hui, la prêtresse actuelle appelée Aura est tourmentée par sa fascination pour le monde moderne et son amour interdit pour un botaniste étranger ayant découvert son secret. Critique : Jack est un botaniste qui s’est installé dans un village en plein cœur de la jungle, il cherche à découvrir de nouvelles espèces. Au lieu de ça, il va rencontrer un étrange jeune homme et tomber sous son charme. Mais quand il cherche à savoir qui c’est, personne ne semble le connaître. Quel secret cache le village et qui est celui qu'il a vu ? Androgynous aborde le sujet de l’androgynie ou hermaphrodisme dans les sociétés tribales, ici suite à d’anciennes croyances, l’enfant hermaphrodite devient la prêtresse de la forêt. Si à l’origine du mythe, qui est d’ailleurs raconté dans le 2eme partie du livre, cette prêtresse était vénérée car son sacrifice avait sauvé la forêt en déperdition ; c’est surtout devenu avec le temps un prétexte pour se débarrasser d’un être différent, ni homme ni femme. Le manga aurait pu exploiter cette différence, s’appesantir sur les croyances, les préjugés, raconter la souffrance des androgynes, leurs difficultés à s’intégrer et à être accepté. Ici, le sujet est survolé et l’auteure est plus intéressée par faire des scènes coquines. Et même de ce point de vue l’hermaphrodisme n’est pas vraiment exploité. Au bout du compte, il s’agit surtout d’un livre érotique, notons cependant que le graphisme est de qualité que ce soit dans le rendu de la jungle ou l’exotisme des membres de la tribu. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/androgynous?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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