Aller au contenu
  • S’inscrire

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'manga'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Catégories

  • Critiques

Forums

  • Les forums BD
    • Toute la BD
    • Projets participatifs
    • Petites Annonces BD
    • Liens BD vers ailleurs
  • Et si on parlait d'autre chose que la bande dessinée ?
    • Améliorons 1001BD
    • Films et séries TV
    • 1001 Jeux Video
    • Livres - Musique - Spectacles - Théatre - Musées
    • 1001 choses à dire
  • TEAM

Calendriers

  • Community Calendar

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui contiennent…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


  1. Titre de l'album : My Hero Academia Smash tome 1 Scenariste de l'album : NEDA Hirofumi Dessinateur de l'album : NEDA Hirofumi Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Et si All Might ne perdait pas de kilos en même temps que sa force, mais... en gagnait ? Et si Izuku devenait accro aux achats en ligne dans sa quête de puissance ? Et si Katsuki était fait pour être baby-sitter sans le savoir ? Toutes les situations les plus improbables que vous ayez jamais imaginées en lisant My Hero Academia rassemblées dans une série de gags plus fous les uns que les autres ! Retrouvez tous les personnages du manga phénomène dans un recueil d'histoires courtes à l'humour déjanté ! Sans tabou ni limites, cette parodie plus ultra vous fera découvrir vos héros sous un nouveau jour ! Critique : Vous connaissez les gags en 4 cases, appelés yonkoma, que l’on trouve parfois à la fin d’un chapitre ou à la fin d’un tome ? C’est le principe ici : Hirofumi NEDA reprend le déroulé de My Hero Academia et le décline en yonkoma en proposant une variante humoristique. Il signe d’ailleurs avec ce titre son 1er manga qui est fini en 5 tomes. Si le manga original ne manque pas d’humour, cette déclinaison n’en manque pas non plus, on s’amuse à retrouver les personnages dans des situations variées avec des réflexions un peu plus cash parfois. Côté graphisme, l’auteur s’est appliqué on reconnait bien les héros et chaque case est travaillée avec décor et arrière-plan (ce n’est pas toujours le cas dans ce format). Le manga peut être lu par ceux qui ne connaitraient pas encore la série, cela permet de découvrir l’univers, les personnages, suivre globalement l’intrigue par contre, il ne faut pas s’attacher aux détails car cela reste une variante. Pour les fans de la 1ere heure, c’est le petit plus humoristique agréable et bien fait qui permet de prolonger le plaisir. En plus, comme ce sont des gags, on n’est pas obligé de lire le livre en 1 fois. Pour information, le film My Hero Academia : World Heroes’ Missions est sorti le 26 janvier au cinéma. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/my-hero-academia-smash-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Nickad

    La divine comédie

    Le manga est l’adaptation de l’œuvre de Dante qui se compose de 3 parties de 33 poèmes plus 1 poème d’introduction : l’enfer, le purgatoire et le paradis tels qu’ils étaient vus au Moyen-âge. Si l’œuvre originale proposait un équilibre entre les 3, le manga fait la part belle à l’enfer, peut-être parce que c’est plus parlant avec des descriptions concrètes des péchés et des punitions. En comparaison, le purgatoire et le paradis, tel que Dante les présente, sont plus axés sur la théologie avec un aspect plus spirituel. Concernant l’histoire, on ne va pas faire un débat sur le contenu, il faut bien comprendre que c’est une vision ancienne à l’époque où le catholicisme est dominant et en pleine Inquisition. Sur l’adaptation, le manga est une version simplifiée de l’œuvre qui a le mérite d’en montrer les grandes lignes : on retrouve bien les différentes parties, des exemples concrets de pécheurs et les idées importantes. Rappelons que la Divine comédie se voulait être une sorte de guide pour remettre les hommes dans le droit chemin, c’est-à-dire celui qui mène à Dieu. Le manga permet de se faire une idée assez juste et assez compréhensible de l’original, il manque peut-être quelques explications sur la symbolique de telle créature ou personnage qui permettrait de mieux comprendre les allégories. La partie graphique est correcte, comme tous les autres livres de la collection classique, ce n’est pas le point fort car ce n’est pas non plus l’objectif : le but étant de faire connaître les classiques de la littérature en les rendant plus accessibles. Pour information, il existe une autre adaptation manga de la divine comédie réalisée par Gô NAGAI (Goldorak) en 3 volumes, plus complète et plus graphique mais qui se concentre également sur la partie des enfers (2 tomes sur 3).
  3. Nickad

    La divine comédie

    Titre de l'album : La divine comédie Scenariste de l'album : DANTE Alighieri Dessinateur de l'album : Variety Artworks Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Brûlant d'un amour sans retour pour Béatrice, Dante perd toute volonté de vivre au décès de celle-ci. Soudain, il s'aperçoit qu'il erre dans une bien sombre forêt. Il y rencontre Virgile, le poète de la Rome Antique, et pour trouver sa voie, décide de voyager avec lui à travers les divers "royaumes de l'après-vie". Critique : Le manga est l’adaptation de l’œuvre de Dante qui se compose de 3 parties de 33 poèmes plus 1 poème d’introduction : l’enfer, le purgatoire et le paradis tels qu’ils étaient vus au Moyen-âge. Si l’œuvre originale proposait un équilibre entre les 3, le manga fait la part belle à l’enfer, peut-être parce que c’est plus parlant avec des descriptions concrètes des péchés et des punitions. En comparaison, le purgatoire et le paradis, tel que Dante les présente, sont plus axés sur la théologie avec un aspect plus spirituel. Concernant l’histoire, on ne va pas faire un débat sur le contenu, il faut bien comprendre que c’est une vision ancienne à l’époque où le catholicisme est dominant et en pleine Inquisition. Sur l’adaptation, le manga est une version simplifiée de l’œuvre qui a le mérite d’en montrer les grandes lignes : on retrouve bien les différentes parties, des exemples concrets de pécheurs et les idées importantes. Rappelons que la Divine comédie se voulait être une sorte de guide pour remettre les hommes dans le droit chemin, c’est-à-dire celui qui mène à Dieu. Le manga permet de se faire une idée assez juste et assez compréhensible de l’original, il manque peut-être quelques explications sur la symbolique de telle créature ou personnage qui permettrait de mieux comprendre les allégories. La partie graphique est correcte, comme tous les autres livres de la collection classique, ce n’est pas le point fort car ce n’est pas non plus l’objectif : le but étant de faire connaître les classiques de la littérature en les rendant plus accessibles. Pour information, il existe une autre adaptation manga de la divine comédie réalisée par Gô NAGAI (Goldorak) en 3 volumes, plus complète et plus graphique mais qui se concentre également sur la partie des enfers (2 tomes sur 3). Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/divine-comedie?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Nickad

    Come to hand

    Miharu est un professeur de musique trentenaire, Arashi un gérant d’un tattoo shop. Un jour Arashi trouve Miharu évanoui devant sa porte, il l’aide. Chacun des deux semblent intrigués par l’autre, au fur et à mesure de leurs rencontres, ils vont apprendre à se connaître et leurs sentiments vont se développer. Come to hand est un manga tout en douceur, chaque personnage cherche à connaître l’autre sans pour autant délaisser leur propre vie et en faisant attention de ne pas trop empiéter sur la vie de l’autre. Le graphisme est agréable sans pour autant être très poussé, on regrettera l’aspect trop jeune du professeur qui fait (à mon goût) trop enfantin. C’est un manga mignon qui se laisse lire.
  5. Nickad

    Come to hand

    Titre de l'album : Come to hand Scenariste de l'album : SEI Dessinateur de l'album : SEI Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Miharu, un professeur de musique débordé, s'effondre sur la route enneigée à cause de son surmenage. Recueilli par Arashi, le gérant d'un tattoo shop, il ne peut cacher son appréhension en voyant pour la première fois de vrais tatouages et finit par lui faire des commentaires déplacés. Regrettant sa conduite, il décide de repasser à la boutique d'Arashi pour lui présenter ses excuses. La gentillesse et la prévenance du jeune homme donneront à Miharu envie d'apprendre à le connaître, mais trouvera-t-il le temps de laisser place à l'amour ? Critique : Miharu est un professeur de musique trentenaire, Arashi un gérant d’un tattoo shop. Un jour Arashi trouve Miharu évanoui devant sa porte, il l’aide. Chacun des deux semblent intrigués par l’autre, au fur et à mesure de leurs rencontres, ils vont apprendre à se connaître et leurs sentiments vont se développer. Come to hand est un manga tout en douceur, chaque personnage cherche à connaître l’autre sans pour autant délaisser leur propre vie et en faisant attention de ne pas trop empiéter sur la vie de l’autre. Le graphisme est agréable sans pour autant être très poussé, on regrettera l’aspect trop jeune du professeur qui fait (à mon goût) trop enfantin. C’est un manga mignon qui se laisse lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/come-to-hand?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. poseidon2

    Gannibal t1

    Voilà bien un manga que je ne pensais vraiment pas aimer. C'est con hein de se dire qu'on critique un manga qu'on n'aime pas ? Je suis d'accord mais j'aime donner sa chance à des premiers tomes et sur celui-ci j'ai vraiment bien fait. Là où ce tome 1 a été étonnant c'est qu'il ne cache pas cette histoire de cannibale. Nous ne sommes pas dans une enquête sur la possibilité de cannibalisme. On est plus dans un survival angoissant. ON comprend très bien comment a disparu le précèdent policier mais, tout comme notre héros, on espère qu'il ne lui arrivera pas la même chose ! Ce qui est très bien rendu c'est la pression mise sur le policier dès qu'il débarque en ville et l'impression que les villageois maîtrisent tout et que notre héros est complètement perdu. On part quasiment tout de suite avec le sentiment qu'il ne peut pas s'en sortir.... et on suit donc cette lutte pour la survie de notre famille en dévorant les pages pour voir ce qu'il va se passer. Il faut spécifier aussi que plutôt que de faire du gore absolu, notre auteur préfère laisser imaginer les détails des scènes et mettre l'accent sur des traits sombres et une ambiance lourde. Pile poil ce qu'il me faut : pas trop de visuel, pas trop de sadisme (ca je n’aime pas du tout) mais une vraie ambiance pesante. L'excellente surprise de ces vacances.... à ne pas mettre entre toutes les mains non plus !
  7. poseidon2

    Gannibal t1

    Titre de l'album : Gannibal t1 Scenariste de l'album : Masaaki Ninomiya Dessinateur de l'album : Masaaki Ninomiya Coloriste : Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : "Les habitants de ce village sont cannibales."Daigo Agawa, policier de son état, a été détaché à Kuge, un village de montagne reculé. Bien que la communauté l'accueille chaleureusement lui et sa famille, la mort d'une vieille villageoise fait jaillir des doutes quant à la normalité de ce lieu...Une série d'évènements étranges, le sentiment d'exclusion, une tension permanente... Découvrez tous les tourments de ce village empreint d'ostracisme, dans un thriller riche en suspense. Critique : Voilà bien un manga que je ne pensais vraiment pas aimer. C'est con hein de se dire qu'on critique un manga qu'on n'aime pas ? Je suis d'accord mais j'aime donner sa chance à des premiers tomes et sur celui-ci j'ai vraiment bien fait. Là où ce tome 1 a été étonnant c'est qu'il ne cache pas cette histoire de cannibale. Nous ne sommes pas dans une enquête sur la possibilité de cannibalisme. On est plus dans un survival angoissant. ON comprend très bien comment a disparu le précèdent policier mais, tout comme notre héros, on espère qu'il ne lui arrivera pas la même chose ! Ce qui est très bien rendu c'est la pression mise sur le policier dès qu'il débarque en ville et l'impression que les villageois maîtrisent tout et que notre héros est complètement perdu. On part quasiment tout de suite avec le sentiment qu'il ne peut pas s'en sortir.... et on suit donc cette lutte pour la survie de notre famille en dévorant les pages pour voir ce qu'il va se passer. Il faut spécifier aussi que plutôt que de faire du gore absolu, notre auteur préfère laisser imaginer les détails des scènes et mettre l'accent sur des traits sombres et une ambiance lourde. Pile poil ce qu'il me faut : pas trop de visuel, pas trop de sadisme (ca je n’aime pas du tout) mais une vraie ambiance pesante. L'excellente surprise de ces vacances.... à ne pas mettre entre toutes les mains non plus ! Autres infos : Editions Meian Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gannibal-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Les premiers tomes avaient été les exemples de ce qu'est la machine à cash du manga avec une histoire basique sans originalité qui se repose sur le succès d'un genre. Et bien je dois avouer que ces deux tomes commencent à donner une certaine personnalité à ce manga. ET étrangement cette personnalité vient... du contexte. Et oui notre héros reste assez lisse pour l'instant mais le contexte est lui plus complexe que l'on pouvait imaginer. Autour de ce trafic d'être non humains, on découvre un jeu de pouvoir vraiment intéressant. Les méandres du pouvoir et les atrocités des puissants ajoute une vraie chappe de plomb sur l'histoire et rende les "aventures" de Ark plus lourdes de sens et tendent à énerver notre héros et donc lui faire prendre du "poids". Une vraie avancée qui donne de l'intérêt a la série. Espérons que les prochains tomes gardent la même dynamique.
  9. Titre de l'album : Skeleton knight in another world T3&4 Scenariste de l'album : Ennki Hakari Dessinateur de l'album : Akira Sawano Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : En route pour vaincre l'hydre démoniaque ! La poursuite des elfes disparus conduit Ark et sa bande dans la ville de Keyseck, à la frontière du Saint-Empire Leblanc. Ils sont alors témoins de la tyrannie et de l'inhumanité de Fumba, une créature magique qui effraye les habitants. Incapable d'ignorer les appels à l'aide des citoyens, Ark s'infiltre dans la forteresse du monstre pour l'affronter de toute sa puissance ! La bataille décisive des monstres va-t-elle éclater ?! Critique : Les premiers tomes avaient été les exemples de ce qu'est la machine à cash du manga avec une histoire basique sans originalité qui se repose sur le succès d'un genre. Et bien je dois avouer que ces deux tomes commencent à donner une certaine personnalité à ce manga. ET étrangement cette personnalité vient... du contexte. Et oui notre héros reste assez lisse pour l'instant mais le contexte est lui plus complexe que l'on pouvait imaginer. Autour de ce trafic d'être non humains, on découvre un jeu de pouvoir vraiment intéressant. Les méandres du pouvoir et les atrocités des puissants ajoute une vraie chappe de plomb sur l'histoire et rende les "aventures" de Ark plus lourdes de sens et tendent à énerver notre héros et donc lui faire prendre du "poids". Une vraie avancée qui donne de l'intérêt a la série. Espérons que les prochains tomes gardent la même dynamique. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/skeleton-knight-in-another-world-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. poseidon2

    Kingdom T61-62

    Alala qu'est-ce que j'ai du mal à attendre ces nouveaux tomes de kingdom ! Et "seulement" deux tomes d’un coup.... On aimerait avoir tout jusqu'au bout tellement c'est toujours aussi bon. C'est rigolo car depuis le début de la série, je n'ai trouvé personne a qui j'ai prêté la série qui n'ait pas été addict par la suite. Et ce n'est pas ces deux tomes qui dégouteront les fans. Car sur ces deux tomes il y en a pour tout le monde. Yasuhisa Hara réussit à nous surprendre en ne s'éternisant pas sur la prise de Jûko. Emballé c'est pesé et cela permet de se concentrer sur une nouvelle entrante dans notre histoire mais surtout sur l'importance qu'a été la perte de Sousa dans les tomes précédents. Cela nous donne un tome 61 assez dynamique et un tome 62 beaucoup plus calme et beaucoup plus stratégique avec un retour sur l'invasion de Zhao par les troupes de Qin et une grande nouveauté dans le commandement des forces de Qin. Encore deux bons tomes qui ouvrent sur deux tomes à venir qui seront eux excellents en plein cœur de la grande bataille pour la conquête de Zhao !
  11. poseidon2

    Kingdom T61-62

    Titre de l'album : Kingdom T61-62 Scenariste de l'album : Yasuhisa Hara Dessinateur de l'album : Yasuhisa Hara Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : L'ALLIANCE QIN-WEI DÉFIE L'ÉTAT DE CHU !! 235 av. JC : La bataille de Jûko. Alliés pour trois ans, les États de Qin et de Wei joignent leurs forces pour conquérir Jûko, une place-forte stratégique de Chu. Leurs adversaires seront quatre redoutables généraux au passé tragique, qui comptent bien leur opposer une résistance acharnée. Sûrs de leur puissance, ceux-ci choisissent d'affronter l'envahisseur en terrain découvert plutôt que depuis leurs murs. Lors de l'offensive principale des alliés, Moubu affronte en duel le terrible général Manu, dont l'attitude semble inhabituelle... Critique : Alala qu'est-ce que j'ai du mal à attendre ces nouveaux tomes de kingdom ! Et "seulement" deux tomes d’un coup.... On aimerait avoir tout jusqu'au bout tellement c'est toujours aussi bon. C'est rigolo car depuis le début de la série, je n'ai trouvé personne a qui j'ai prêté la série qui n'ait pas été addict par la suite. Et ce n'est pas ces deux tomes qui dégouteront les fans. Car sur ces deux tomes il y en a pour tout le monde. Yasuhisa Hara réussit à nous surprendre en ne s'éternisant pas sur la prise de Jûko. Emballé c'est pesé et cela permet de se concentrer sur une nouvelle entrante dans notre histoire mais surtout sur l'importance qu'a été la perte de Sousa dans les tomes précédents. Cela nous donne un tome 61 assez dynamique et un tome 62 beaucoup plus calme et beaucoup plus stratégique avec un retour sur l'invasion de Zhao par les troupes de Qin et une grande nouveauté dans le commandement des forces de Qin. Encore deux bons tomes qui ouvrent sur deux tomes à venir qui seront eux excellents en plein cœur de la grande bataille pour la conquête de Zhao ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kingdom-tome-61?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Nickad

    Quand sonne la tempête tome 3

    Sakai et le docteur Kadono sont sur le point de trouver « le lieutenant » mais ce dernier est rusé et leur file entre les doigts non sans avoir compris la situation et essayé de pousser Sakai à éliminer le docteur. Ce dernier semble bien décidé à ne plus se laisser manipuler et décide d’aller fouiller un peu pour comprendre la situation. Le manga est toujours aussi bon, non seulement, il ne manque pas d’action ni de rebondissements mais il est impossible de prédire quelle sera l’issue et comment les choses vont tourner. Le scenario est cohérent, sans temps mort, on est vraiment pris dans cette tempête à chaque fois du début à la fin du livre et on a vraiment hâte de lire la suite. Un très bon thriller.
  13. Titre de l'album : Quand sonne la tempête tome 3 Scenariste de l'album : ENJOJI Masaki Dessinateur de l'album : ENJOJI Masaki Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Shohei en a assez de n'être qu'une marionnette... Mais sa tentative pour essayer de prouver la culpabilité du lieutenant a lamentablement échoué. Pire même, le docteur Kadono semble désormais en danger... Les deux hommes n'ont pas d'autre choix que de s'enfuir pour réfléchir à un nouveau plan. À moins qu'il ne soit trop tard et que leur «ennemi» ne leur échappe pour de bon ? Critique : Sakai et le docteur Kadono sont sur le point de trouver « le lieutenant » mais ce dernier est rusé et leur file entre les doigts non sans avoir compris la situation et essayé de pousser Sakai à éliminer le docteur. Ce dernier semble bien décidé à ne plus se laisser manipuler et décide d’aller fouiller un peu pour comprendre la situation. Le manga est toujours aussi bon, non seulement, il ne manque pas d’action ni de rebondissements mais il est impossible de prédire quelle sera l’issue et comment les choses vont tourner. Le scenario est cohérent, sans temps mort, on est vraiment pris dans cette tempête à chaque fois du début à la fin du livre et on a vraiment hâte de lire la suite. Un très bon thriller. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/quand-sonne-la-tempete-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Nickad

    Jörmungand tome 11 (fin)

    Koko a enfin expliqué ce qu’était le Jörmungand, un dispositif de contrôle des voies de transports via un réseau de satellites. Son premier objectif est d’éliminer tout trafic du ciel, retour en 1910, 700 000 personnes seront alors sacrifiées. Le seul à réagir à cette annonce est Jonah, il menace Koko, quelle décision va-t-il prendre ? Voici la conclusion de la série, une fin en demi-teinte comme le reste du manga d’ailleurs. Le sujet principal « une marchande d’armes qui cherche à apporter la paix dans le monde » est original mais le traitement est parfois décousu, dans chacun des tomes, on suit la vie d’un des membres de l’équipe et on n’a que des bribes de l’intrigue principale. C’est bien, car l’auteur a créé un univers et une personnalité pour chacun des personnages mais en même temps, cela laisse une impression de survol de l’histoire, les scènes s’enchainent comme elles peuvent, on passe de l’un à l’autre mais on ne s’implique pas vraiment, c’est à peine si je me rappelle des noms des membres de l’équipe… Il manque indéniablement quelque chose dans le déroulé, ou dans la façon de raconter ; le manga propose des combats bien menés, une réflexion sur la guerre et le trafic d’armes, et il a le mérite d’apporter une solution, discutable cela-dit. Peut-être que son adaptation en anime est plus percutante… C’est un manga correct mais pas prenant.
  15. Titre de l'album : Jörmungand tome 11 (fin) Scenariste de l'album : TAKAHASHI Keitarô Dessinateur de l'album : TAKAHASHI Keitarô Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Koko réussit à titiller la NSA, et continue de rassembler les pièces nécessaires à l'actionnement du Jormungand. Mais lorsque Jonah apprit que cela impliquait le sacrifice de milliers de vies humaines, il sortit son arme et la pointa sur Koko... Critique : Koko a enfin expliqué ce qu’était le Jörmungand, un dispositif de contrôle des voies de transports via un réseau de satellites. Son premier objectif est d’éliminer tout trafic du ciel, retour en 1910, 700 000 personnes seront alors sacrifiées. Le seul à réagir à cette annonce est Jonah, il menace Koko, quelle décision va-t-il prendre ? Voici la conclusion de la série, une fin en demi-teinte comme le reste du manga d’ailleurs. Le sujet principal « une marchande d’armes qui cherche à apporter la paix dans le monde » est original mais le traitement est parfois décousu, dans chacun des tomes, on suit la vie d’un des membres de l’équipe et on n’a que des bribes de l’intrigue principale. C’est bien, car l’auteur a créé un univers et une personnalité pour chacun des personnages mais en même temps, cela laisse une impression de survol de l’histoire, les scènes s’enchainent comme elles peuvent, on passe de l’un à l’autre mais on ne s’implique pas vraiment, c’est à peine si je me rappelle des noms des membres de l’équipe… Il manque indéniablement quelque chose dans le déroulé, ou dans la façon de raconter ; le manga propose des combats bien menés, une réflexion sur la guerre et le trafic d’armes, et il a le mérite d’apporter une solution, discutable cela-dit. Peut-être que son adaptation en anime est plus percutante… C’est un manga correct mais pas prenant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jormungand-tome-11?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Nickad

    Dead mount death play tome 7

    Avant toute chose, voici une petite présentation de la série : Dead mount death play est ce qu’on pourrait appeler un isekai inversé : au lieu qu’un habitant de notre monde se retrouve propulsé dans un autre monde (souvent de fantasy), ici, un squelette/démon nécromancien appelé « le maitre des corps » et soi-disant étant le pire ennemi de l’humanité dans son monde, se retrouve réincarné/projeté dans le corps d’un adolescent dont la gorge vient d’être tranchée, Polka. Bien qu’il soit arrivé dans notre monde avec ses pouvoirs, le nouveau Polka a bien du mal à s’en servir car sa magie se recharge avec des pierres précieuses qu’il n’a pas les moyens d’acheter ici. En plus l’ancien Polka étant la cible d’une tueuse déjantée, il se retrouve dans un milieu un peu obscur où pègre et force de police, tous un peu borderline, s’affrontent. Il va finir par faire équipe avec la tueuse Misaki, le hacker Takumi, grâce à ses pouvoirs, préserver l’âme du véritable Polka. On va ensuite découvrir plusieurs adversaires dont certains semblent également détenir des pouvoirs et une mystérieuse organisation maléfique Sabaramondo. Ce 7eme volume comprend des éléments importants car on en apprend plus sur la taupe de l’organisation au sein de la police, sur le passé du nouveau Polka. Ces derniers événements vont l’obliger à prendre une décision importante qui va changer la suite du manga. Plusieurs points intéressants dans ce manga, d’abord, le principe d’isekai inversé, ensuite le milieu dans lequel se retrouve le personnage principal : ici, la barrière entre bien et mal n’est pas bien définie, il y a des mafieux qui protègent des innocents, des policiers violents qui se moquent des règles, des tueurs mystérieux et des soi-disant malfaiteurs qui recherchent la vérité. Le manga mêle action, fantastique, enquête, c’est un bon shonen qui mérite le détour. 8 tomes en cours
  17. Titre de l'album : Dead mount death play tome 7 Scenariste de l'album : NARITA Ryohgo Dessinateur de l'album : FUJIMOTO Shinta Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Grâce au Maître des corps, Hosorogi prend contact avec Iwanome pour l'avertir d'un danger imminent. Le lieutenant découvre ainsi que l'assassin de son ancien collègue n'est autre que le commissaire Habaki... Mais alors qu'il tente de le neutraliser, le poste de police est assailli par les pantins du Pyro-Bug ! Au même moment, de nouveaux individus aux étranges pouvoirs font leur apparition et semblent prêts à tout pour mettre la main sur le nécromancien... Polka parviendra-t-il à échapper à son passé ? Critique : Avant toute chose, voici une petite présentation de la série : Dead mount death play est ce qu’on pourrait appeler un isekai inversé : au lieu qu’un habitant de notre monde se retrouve propulsé dans un autre monde (souvent de fantasy), ici, un squelette/démon nécromancien appelé « le maitre des corps » et soi-disant étant le pire ennemi de l’humanité dans son monde, se retrouve réincarné/projeté dans le corps d’un adolescent dont la gorge vient d’être tranchée, Polka. Bien qu’il soit arrivé dans notre monde avec ses pouvoirs, le nouveau Polka a bien du mal à s’en servir car sa magie se recharge avec des pierres précieuses qu’il n’a pas les moyens d’acheter ici. En plus l’ancien Polka étant la cible d’une tueuse déjantée, il se retrouve dans un milieu un peu obscur où pègre et force de police, tous un peu borderline, s’affrontent. Il va finir par faire équipe avec la tueuse Misaki, le hacker Takumi, grâce à ses pouvoirs, préserver l’âme du véritable Polka. On va ensuite découvrir plusieurs adversaires dont certains semblent également détenir des pouvoirs et une mystérieuse organisation maléfique Sabaramondo. Ce 7eme volume comprend des éléments importants car on en apprend plus sur la taupe de l’organisation au sein de la police, sur le passé du nouveau Polka. Ces derniers événements vont l’obliger à prendre une décision importante qui va changer la suite du manga. Plusieurs points intéressants dans ce manga, d’abord, le principe d’isekai inversé, ensuite le milieu dans lequel se retrouve le personnage principal : ici, la barrière entre bien et mal n’est pas bien définie, il y a des mafieux qui protègent des innocents, des policiers violents qui se moquent des règles, des tueurs mystérieux et des soi-disant malfaiteurs qui recherchent la vérité. Le manga mêle action, fantastique, enquête, c’est un bon shonen qui mérite le détour. 8 tomes en cours Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dead-mount-death-play-tome-7/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Nickad

    Derail

    Haru et Hikaru sont deux étudiants en colocation qui se connaissent depuis le primaire. Chacun aime l’autre mais aucun ne l’a jamais avoué mais quand un jour, l’un d’eux ramène une fille à l’appartement, la situation dérape. Rarement je me suis autant ennuyée dans un livre, la majorité de l’action se passe dans leur appartement si ce n’est dans leur lit. En résumé : je l’aime mais je ne veux pas lui avouer car j’ai peur de perdre notre amitié mais j’ai envie qu’il me touche et que ça aille plus loin. On couche ensemble mais il ne m’a jamais dit qu’on était ensemble ? Comment faire ? De la psychologie de bas étage, une action quasi inexistante. Un livre de cul en somme. Deux points positifs cependant : la double narration, on découvre le point de vue des deux personnages en alternance et l’indéniable qualité graphique. En parlant de ça, savez-vous pourquoi les garçons dans les shojos et yaoi sont souvent efféminés ? Et bien c’est pour ne pas faire peur aux jeunes filles, on considère que ces livres sont leur première approche du genre masculin et voir des garçons un peu plus bruts avec des poils par exemple risqueraient de les dégouter. Si vous voulez une histoire de colocation avec une véritable profondeur psychologique, lisez anti romance plutôt.
  19. Nickad

    Derail

    Titre de l'album : Derail Scenariste de l'album : AIBA Kyoko Dessinateur de l'album : AIBA Kyoko Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Haru, un garçon plutôt réservé, a toujours été amoureux de son seul ami, Hikaru. Un soir, alors qu'ils s'étaient jurés de ne jamais inviter de fille dans leur colocation, Hikaru brise leur promesse. Furieux, Haru élabore un plan pour faire succomber Hikaru, mais il ne se doute pas que c'est déjà le cas... Critique : Haru et Hikaru sont deux étudiants en colocation qui se connaissent depuis le primaire. Chacun aime l’autre mais aucun ne l’a jamais avoué mais quand un jour, l’un d’eux ramène une fille à l’appartement, la situation dérape. Rarement je me suis autant ennuyée dans un livre, la majorité de l’action se passe dans leur appartement si ce n’est dans leur lit. En résumé : je l’aime mais je ne veux pas lui avouer car j’ai peur de perdre notre amitié mais j’ai envie qu’il me touche et que ça aille plus loin. On couche ensemble mais il ne m’a jamais dit qu’on était ensemble ? Comment faire ? De la psychologie de bas étage, une action quasi inexistante. Un livre de cul en somme. Deux points positifs cependant : la double narration, on découvre le point de vue des deux personnages en alternance et l’indéniable qualité graphique. En parlant de ça, savez-vous pourquoi les garçons dans les shojos et yaoi sont souvent efféminés ? Et bien c’est pour ne pas faire peur aux jeunes filles, on considère que ces livres sont leur première approche du genre masculin et voir des garçons un peu plus bruts avec des poils par exemple risqueraient de les dégouter. Si vous voulez une histoire de colocation avec une véritable profondeur psychologique, lisez anti romance plutôt. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/derail?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    La gameuse et son chat tome 6

    Kozakura a maintenant deux jeunes chats, elle continue à découvrir leurs comportements individuels et collectifs, et fidèle à elle-même, à comparer avec ses jeux vidéo. Elle découvre ainsi que les chats se reconnaissent à l’odeur, qu’ils ne voient pas très bien, que les accessoires qu’elle trouve utiles ne sont pas vus de la même manière par les chats, que leur pelage est plus épais en hiver et qu’ils dorment n’importe comment. Si le manga n’est pas déplaisant et que les histoires de chats rigolos et mignons attirent toujours les foule (pour preuve, la multitude de vidéos de chats sur le web), le côté jeu vidéo à des limites. Voir Kozakura jouer n’est pas particulièrement passionnant et son parallèle entre ses personnages de jeux et ses animaux n’intéressera que les joueurs. Le manga plaira encore plus à ceux qui ont un chat chez eux en se disant que le leur fait aussi ce genre de choses et pourront peut-être en apprendre un peu plus sur certains comportements. Le livre reste sympathique dans l’ensemble et comme les chats grandissent, leurs manières d’être évoluant, l’auteur a encore de quoi écrire de nombreux chapitres.
  21. Titre de l'album : La gameuse et son chat tome 6 Scenariste de l'album : NADATANI Wataru Dessinateur de l'album : NADATANI Wataru Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Comment survivre à l'arrivée d'un chat quand on ne vit que pour les jeux vidéo ? Avec eux deux, même le plus banal des quotidiens peut devenir une véritable aventure ! La vie avec un chat quand on est passionnée de jeux... 6e opus de l'aventure ! Critique : Kozakura a maintenant deux jeunes chats, elle continue à découvrir leurs comportements individuels et collectifs, et fidèle à elle-même, à comparer avec ses jeux vidéo. Elle découvre ainsi que les chats se reconnaissent à l’odeur, qu’ils ne voient pas très bien, que les accessoires qu’elle trouve utiles ne sont pas vus de la même manière par les chats, que leur pelage est plus épais en hiver et qu’ils dorment n’importe comment. Si le manga n’est pas déplaisant et que les histoires de chats rigolos et mignons attirent toujours les foule (pour preuve, la multitude de vidéos de chats sur le web), le côté jeu vidéo à des limites. Voir Kozakura jouer n’est pas particulièrement passionnant et son parallèle entre ses personnages de jeux et ses animaux n’intéressera que les joueurs. Le manga plaira encore plus à ceux qui ont un chat chez eux en se disant que le leur fait aussi ce genre de choses et pourront peut-être en apprendre un peu plus sur certains comportements. Le livre reste sympathique dans l’ensemble et comme les chats grandissent, leurs manières d’être évoluant, l’auteur a encore de quoi écrire de nombreux chapitres. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-gameuse-et-son-chat-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    Sexy cosplay doll tome 6

    Marine et Gojo se promène à l’aquarium en tenue de cosplay pour faire des photos, ils rencontrent une jeune cosplayeuse Amane Himeno et l’aide à raccommoder sa tenue. Ils découvrent qu’il s’agit en fait d’un garçon qui interprète des personnages féminins. Loin d’être dégoutés, il l’assaille de questions sur ses techniques de maquillage, les endroits où il achète ses tenues et accessoires. La deuxième partie du livre est plus technique et se consacre à l’élaboration d’un corset en donnant des astuces pour ceux qui voudraient se lancer dans une telle création. Peu d’avancée dans leur relation de couple, enfin de futur couple car il apparaît évident que c’est ce qui arrivera à un moment. Par contre, le passage avec Himeno est clairement l’intérêt principal de ce volume, en plus de montrer un garçon qui se déguise en fille, sans être pour autant gay, il explique ce qui l’a amené à faire ce genre de cosplay, comment son entourage l’a pris, comment se passe les relations avec les filles et si elle l’accepte. Le reste du livre n’est pas désagréable mais a un intérêt modéré.
  23. Titre de l'album : Sexy cosplay doll tome 6 Scenariste de l'album : FUKUDA Shinichi Dessinateur de l'album : FUKUDA Shinichi Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Wakana Gojo est un lycéen solitaire. Son rêve est de devenir artisan et de fabriquer les poupées traditionnelles pour le Hina Matsuri. Mais comme cette passion n'est pas très virile, il la cache et ne se fait pas remarquer. Jusqu'au jour ou Marine Kitagawa, la fille la plus populaire du lycée, le voit se servir d'une machine à coudre ! Contre toute attente elle lui demande de devenir son couturier pour réaliser... des tenues de cosplay ! Critique : Marine et Gojo se promène à l’aquarium en tenue de cosplay pour faire des photos, ils rencontrent une jeune cosplayeuse Amane Himeno et l’aide à raccommoder sa tenue. Ils découvrent qu’il s’agit en fait d’un garçon qui interprète des personnages féminins. Loin d’être dégoutés, il l’assaille de questions sur ses techniques de maquillage, les endroits où il achète ses tenues et accessoires. La deuxième partie du livre est plus technique et se consacre à l’élaboration d’un corset en donnant des astuces pour ceux qui voudraient se lancer dans une telle création. Peu d’avancée dans leur relation de couple, enfin de futur couple car il apparaît évident que c’est ce qui arrivera à un moment. Par contre, le passage avec Himeno est clairement l’intérêt principal de ce volume, en plus de montrer un garçon qui se déguise en fille, sans être pour autant gay, il explique ce qui l’a amené à faire ce genre de cosplay, comment son entourage l’a pris, comment se passe les relations avec les filles et si elle l’accepte. Le reste du livre n’est pas désagréable mais a un intérêt modéré. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sexy-cosplay-doll-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Nickad

    Anti romance tome 1

    Ryô et Suô vivent ensemble depuis 6 ans, cohabitent plutôt car ils n’ont pas de relations intimes. Ils sont amis depuis l’école et ont choisi de partager un appartement par commodité. Mais leur entourage leur fait comprendre qu’une cohabitation aussi longue est inhabituelle et se pose des questions sur la vraie nature de leur relation. Le défaut et la qualité de ce manga sont les mêmes : l’auteur prend son temps dans le développement de l’intrigue. Défaut, car on peut y ressentir quelques longueurs avec le risque de rester spectateur. Qualité, car on apprend à connaître les personnages, leur quotidien, leurs pensées et leurs sentiments. Anti-romance est une œuvre intimiste, introspective même, les personnages sont à un tournant de leurs relations sans s’en rendre compte au début, ce sont les remarques de leur entourage qui leur font comprendre que leur situation n’est pas courante et les poussent à y réfléchir. Le manga bénéficie d’un graphisme élégant, précis, le sujet est original. On voit que l’auteur prend son temps pour l’écrire (il a fallu 5 ans pour que ce tome soit achevé !). Espérons que la suite ne tombe pas dans le yaoi classique et garde cette approche particulière.
  25. Titre de l'album : Anti romance tome 1 Scenariste de l'album : HIDAKA Shoko Dessinateur de l'album : HIDAKA Shoko Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Ryô et Suô ont toujours été amis. Depuis six ans, ils vivent en colocation dans un appartement de Tôkyô, un peu par convention, semble-t-il, bien que leur entourage se pose de nombreuses questions sur leur relation. Toujours vissés l'un à l'autre, ils n'ont pourtant pas l'intention de démêler leurs sentiments. Mais les non-dits et la jalousie maladive ne peuvent pas s'accumuler sans qu'un jour, tout finisse par exploser... Critique : Ryô et Suô vivent ensemble depuis 6 ans, cohabitent plutôt car ils n’ont pas de relations intimes. Ils sont amis depuis l’école et ont choisi de partager un appartement par commodité. Mais leur entourage leur fait comprendre qu’une cohabitation aussi longue est inhabituelle et se pose des questions sur la vraie nature de leur relation. Le défaut et la qualité de ce manga sont les mêmes : l’auteur prend son temps dans le développement de l’intrigue. Défaut, car on peut y ressentir quelques longueurs avec le risque de rester spectateur. Qualité, car on apprend à connaître les personnages, leur quotidien, leurs pensées et leurs sentiments. Anti-romance est une œuvre intimiste, introspective même, les personnages sont à un tournant de leurs relations sans s’en rendre compte au début, ce sont les remarques de leur entourage qui leur font comprendre que leur situation n’est pas courante et les poussent à y réfléchir. Le manga bénéficie d’un graphisme élégant, précis, le sujet est original. On voit que l’auteur prend son temps pour l’écrire (il a fallu 5 ans pour que ce tome soit achevé !). Espérons que la suite ne tombe pas dans le yaoi classique et garde cette approche particulière. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/anti-romance-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
×
×
  • Créer...