Aller au contenu
  • S’inscrire

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'manga'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Les forums BD
    • Toute la BD
    • Projets participatifs
    • Petites Annonces BD
    • Liens BD vers ailleurs
  • Et si on parlait d'autre chose que la bande dessinée ?
    • Améliorons 1001BD
    • Films et séries TV
    • 1001 Jeux Video
    • Livres - Musique - Spectacles - Théatre - Musées
    • 1001 choses à dire
  • TEAM

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui contiennent…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


  1. Titre de l'album : Silver wolf - blood bone tome 14 Scenariste de l'album : KONDA Tatsukazu Dessinateur de l'album : YUKIYAMA Shimeji Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : Une enquête sombre et sanglante, où vampires et autres monstres sèment la terreur parmi les êtres humains. Les camarades de Hans et les ressuscités de Grim s'affrontent ! De son côté, Cocowill la petite demi-vampire se voit obligée de faire face à Kyle au milieu d'un cimetière de chair et d'os... Ces retrouvailles entre frère et sœur mèneront-elles à une tragédie ou à une rédemption ? Critique : Hans Vahpet est un ancien « silver wolf », unité de combat qui a exterminé la race des vampires. Depuis, il est à la retraite. Mais un jour, il est demandé pour enquêter sur de mystérieux meurtres. Au fur et à mesure de ses recherches, il va se rendre compte que le meurtrier est en fait un monstre nommé « Grim » qui commande une armée de créatures désosseuses prêtes à tout pour exterminer les humains. Ce 14eme tome est particulier puisque l’on en apprend plus sur le passé des personnages, et que chacun va évoluer pour vaincre son adversaire. Silver Wolf, c’est un manga dans lequel les « monstres » ne représentent ni le mal ni le bien. Chaque espèce a son histoire, ses particularités, ses héros et ses méchants, et un but qui est de protéger et de faire perdurer leur race et être reconnu comme être vivant. Plus qu’une simple histoire de combat inter-espèces, ce manga est avant tout une façon de se battre contre l’inacceptable, puisqu’humains et vampires vont s’allier face aux atrocités de Grim. Durant ces 14 premiers 14 tomes (sur une série finie en 16 tomes), il n’y a pas de temps mort, chaque tome étant plus puissant que le précédent. Les personnages sont attachants, l’histoire captivante : rien à redire là-dessus. Quant au graphisme, il est dynamique, légèrement violent de temps en temps et nous plonge bien dans l’ambiance du manga. Critique réalisée par ma fille qui tenait absolument à vous parler de ce manga Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/silver-wolf-blood-bone-tome-14?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Nickad

    Jeu Concours Manga de Noël

    jusqu’à
    En partenariat avec les éditions 1001Bd vous invite à participer à son jeu-concours Manga Chaque jour pendant 1 semaine, 4 images tirées de mangas vous seront présentées (28 images au total) : Vous trouvez la série : vous gagnez 1 point Vous trouvez le tome de la série (s'il y en a un) : vous gagnez 1 point supplémentaire Le formulaire de réponses sera disponible le dernier jour, soit le lundi 27 décembre 2021 et vous aurez jusqu'au lundi 3 janvier à 23H30 pour envoyer vos réponses (on vous laisse le temps de chercher !!) Celui qui obtient le plus haut score remporte le 1er lot et ainsi de suite, en cas d'égalité, la question subsidiaire vous départagera. Il y aura forcément des gagnants !! Pour participer, il vous suffit d'avoir un compte sur le site 1001bd, d'être majeur et de résider en France métropolitaine. Une seule participation par personne sera acceptée. 🎊 🎁 LOTS A GAGNER 🎁 🎊 Vous avez la possibilité de gagner les lots ci-dessous, il s'agit de tomes 1 ou one shot et de goodies Les goodies sont généreusement offerts par les magasins Le Furet du Nord de SQY Ouest et Joseph Gibert Versailles
  3. Nickad

    Danmachi épisode Ryû tome 4

    On entame la deuxième partie de l’épisode consacré à Ryû : celle-ci revient sur son passé et la façon dont elle a commencé à travailler à l’auberge de la Fertile Maîtresse. En même temps, on commence aussi à découvrir l’histoire de 2 autres jeune filles qui rejoindront l’équipe de l’auberge par la suite : Lunoa et Chloé. Le récit est plus intimiste, plus sombre. On en apprend plus sur l’époque où la ville d’Orario vivait dans la peur, sur ce qui est arrivé à la guilde de Ryû, son combat, sa vengeance et ses sentiments. Loin de rester à un niveau superficiel d’une histoire qui ne pourrait être qu’aventures, les auteurs explorent les sentiments et ressentis des différents personnages en leur donnant une véritable consistance. Ils prennent à cœur dans ces spin-off de développer les personnages secondaires et de faire de la série Danmachi un univers à part entière, réfléchi et détaillé. Les dessins sont toujours agréables, la lecture est fluide et le propos intelligent. Un tome réussi.
  4. Titre de l'album : Danmachi épisode Ryû tome 4 Scenariste de l'album : OMORI Fujino Dessinateur de l'album : MOMOYAMA Hinase Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Cette histoire se déroule avant que Lunoa, Chloé et Ryû ne travaillent à la Fertile Maîtresse. Lunoa Faust, la chasseuse de primes. Chloé Rollo, la tueuse à gages. Ryû Lion, l'Ouragan, la fugitive qu'elles ont toutes les deux pour cible. Voilà comment ces filles se sont retrouvées au même endroit... Critique : On entame la deuxième partie de l’épisode consacré à Ryû : celle-ci revient sur son passé et la façon dont elle a commencé à travailler à l’auberge de la Fertile Maîtresse. En même temps, on commence aussi à découvrir l’histoire de 2 autres jeune filles qui rejoindront l’équipe de l’auberge par la suite : Lunoa et Chloé. Le récit est plus intimiste, plus sombre. On en apprend plus sur l’époque où la ville d’Orario vivait dans la peur, sur ce qui est arrivé à la guilde de Ryû, son combat, sa vengeance et ses sentiments. Loin de rester à un niveau superficiel d’une histoire qui ne pourrait être qu’aventures, les auteurs explorent les sentiments et ressentis des différents personnages en leur donnant une véritable consistance. Ils prennent à cœur dans ces spin-off de développer les personnages secondaires et de faire de la série Danmachi un univers à part entière, réfléchi et détaillé. Les dessins sont toujours agréables, la lecture est fluide et le propos intelligent. Un tome réussi. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dan-machi-familia-chronicle-episode-ryu-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nickad

    Goodnight world tome 2

    Taishiro découvre que son frère incarne le personnage de AAAAA, il essaye de lui faire avouer pensant peut-être renouer des liens mais devant l’obstination de ce dernier à nier sa participation au jeu, il laisse tomber et repart dans PLANET. Là il se retrouve aux prises avec les pirates dont un veut à tout prix éliminer les joueurs qui trouvent un refuge dans les mondes virtuels. Si le manga abordait déjà des thèmes importants dans le 1er tome, le second offre de nouveaux développements notamment au sujet des Intelligences Artificielles. Le père de Taishiro se révèle être un personnage clé de l’histoire. Le scénario se complexifie rendant le manga encore plus intéressant qu’il ne l’était déjà. Le seul point faible serait le graphisme, on retrouve le trait particulier de Urû Okabe avec ses défauts et parfois son manque de détails.
  6. Titre de l'album : Goodnight world tome 2 Scenariste de l'album : OKABE Urû Dessinateur de l'album : OKABE Urû Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Taichirô vient de découvrir la véritable identité de AAAAA! Sous le choc, il n'a pourtant pas le temps de tergiverser. Pour sauver ce dernier, il doit agir vite et appeler une ambulance. Mais dans la chambre d'hôpital, celui qu'il a toujours détesté ne semble pas prêt à s'ouvrir à lui... Une réconciliation est-elle seulement possible ? Critique : Taishiro découvre que son frère incarne le personnage de AAAAA, il essaye de lui faire avouer pensant peut-être renouer des liens mais devant l’obstination de ce dernier à nier sa participation au jeu, il laisse tomber et repart dans PLANET. Là il se retrouve aux prises avec les pirates dont un veut à tout prix éliminer les joueurs qui trouvent un refuge dans les mondes virtuels. Si le manga abordait déjà des thèmes importants dans le 1er tome, le second offre de nouveaux développements notamment au sujet des Intelligences Artificielles. Le père de Taishiro se révèle être un personnage clé de l’histoire. Le scénario se complexifie rendant le manga encore plus intéressant qu’il ne l’était déjà. Le seul point faible serait le graphisme, on retrouve le trait particulier de Urû Okabe avec ses défauts et parfois son manque de détails. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/goodnight-world-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. poseidon2

    Flow T1

    En voilà un manga tranquille. Dans la ligné d'un Escale à Yokohama, ce Flow nous entraine dans de petites histoires sympathiques. Des histoires ou rien n'est jamais grave et ou tout finit bien. Et pourtant le thème aurait pu donner lieu à une histoire de SF pur et dur. Mais non. Yuki Urushibara préfère partir du principe que tout le monde vit avec les Flow et que cela n'inquiète donc pas vraiment les gens, voir même que certains peuvent être bénéfiques comme le coup de l'arbre. C'est mignon tout plein, ça donne la pèche et permet de se dire qu'il faut regarder le "bizarre" avec des yeux d'enfants et non pas directement avec des yeux d'adultes qui associe bizarre avec mauvais.
  8. poseidon2

    Flow T1

    Titre de l'album : Flow T1 Scenariste de l'album : Yuki Urushibara Dessinateur de l'album : Yuki Urushibara Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Chima arrive chez «Hirota Flow» pour passer un entretien d'embauche. Mais avant même d'entrer dans le bureau, elle est emmenée sur un site touché par un «Flow». Mais, qu'est-ce qu'un «Flow» ? Ce sont des phénomènes naturels qui sèment la pagaille de façon aléatoire. Cette instabilité des particules change la forme ou la construction des choses et des êtres vivants. Souvent, le Flow est intimement lié aux émotions d'une personne. Le métier de Hirota est d'estimer l'ampleur d'un Flow, sa durée, d'en découvrir la source pour, éventuellement, mettre fin au phénomène. Car tout Flow prend toujours fin. Seulement, cela peut prendre 10 jours, un mois, voire plusieurs années. Chima a elle-même été victime d'un Flow. Actuellement, elle a l'apparence d'une enfant de 12 ans, mais en réalité, elle a 35 ans. Avec le vague espoir que le fait de travailler pour une société de gestion de Flow lui permettrait de retrouver son corps d'adulte, elle a postulé pour travailler chez Hirota Flow. Critique : En voilà un manga tranquille. Dans la ligné d'un Escale à Yokohama, ce Flow nous entraine dans de petites histoires sympathiques. Des histoires ou rien n'est jamais grave et ou tout finit bien. Et pourtant le thème aurait pu donner lieu à une histoire de SF pur et dur. Mais non. Yuki Urushibara préfère partir du principe que tout le monde vit avec les Flow et que cela n'inquiète donc pas vraiment les gens, voir même que certains peuvent être bénéfiques comme le coup de l'arbre. C'est mignon tout plein, ça donne la pèche et permet de se dire qu'il faut regarder le "bizarre" avec des yeux d'enfants et non pas directement avec des yeux d'adultes qui associe bizarre avec mauvais. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/flow-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Apres un premier tome sympathique par son détachement aux pouvoirs et à leur recherche, j'attendais cette suite avec impatience pour voir si ce manga réussirait à éviter une dérive trop classique. ET je dois dire que j'ai été agréablement surpris car ce manga réussi ce pari. En effet sur ces 2 tomes, notre auteur arrive autant à faire monter la pression sur la guerre qui commence entre les humains et les démons et de l'autre il continue à nous montrer qu'il est possible d'avoir des grands pouvoirs et de décider de ne s'en servir uniquement que pour faire le bien et le bonheur de ces porches. Un manga très feel good et très détente qui ravira toute la famille.
  10. Titre de l'album : Chillin life in another world T2-3 Scenariste de l'album : Akine Itomachi Dessinateur de l'album : Akine Itomachi Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Voici le deuxième volume de la série qui a conquis le web japonais ! Pour cacher son identité et le fait qu'il était un candidat héros venu d'un autre monde, Banaza a désormais pris le nom de " Furio ". Aux côtés de Fenrys, la fille démon qu'il a acceptée comme épouse, il aspire à commencer une nouvelle vie paisible. Toutefois, les échos de sa puissance démesurée parviennent jusqu'aux oreilles de la capitale, mais aussi du Roi Démon, et tous se ruent vers Furio pour tenter de s'accaparer sa force ! Afin d'échapper à ces sollicitations qui troublent le calme de sa petite vie tranquille, Furio décide d'utiliser un sort de téléportation pour trouver un nouvel endroit où vivre... En utilisant ses pouvoirs cheatés hors du commun, aurait-il malgré lui déclenché une guerre entre les humains et les démons ?! Critique : Apres un premier tome sympathique par son détachement aux pouvoirs et à leur recherche, j'attendais cette suite avec impatience pour voir si ce manga réussirait à éviter une dérive trop classique. ET je dois dire que j'ai été agréablement surpris car ce manga réussi ce pari. En effet sur ces 2 tomes, notre auteur arrive autant à faire monter la pression sur la guerre qui commence entre les humains et les démons et de l'autre il continue à nous montrer qu'il est possible d'avoir des grands pouvoirs et de décider de ne s'en servir uniquement que pour faire le bien et le bonheur de ces porches. Un manga très feel good et très détente qui ravira toute la famille. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chillin-life-in-a-different-world-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    Twilight Outfocus Overlap

    Ce manga est la suite de twilight outfocus où nos deux protagonistes Mao et Hisashi, colocataires dans un internat pour garçon d’une école de garçons, finissaient par se rapprocher et sortir ensemble. Le manga mêlait leur histoire aux activités du club de cinéma où Hisashi, après avoir joué un rôle dans le court métrage du club, finissait par se trouver un intérêt pour le jeu. Dans cette suite, les deux garçons vivent leur relation en secret, on assiste à leur quotidien de couple sur les 3 premiers chapitres, la suite directe du manga commençant au chapitre 4 et montrant les conséquences après la diffusion de leur film sur la toile. Les personnages sont sympathiques mais l’histoire est globalement axée sur leur histoire d’amour avec les questions habituelles que l’on retrouve dans toutes les romances : est-ce qu’il ne va pas me quitter ? Que puis-je faire pour lui (au niveau des problèmes de tous les jours mais aussi d’un point de vue sexuel) ? Bref rien de très original. La partie sur les activités du club est plus intéressante mais un peu courte. Le dessin est plutôt bien fait et l’édition soignée. Un manga sympathique mais pas exceptionnel.
  12. Titre de l'album : Twilight Outfocus Overlap Scenariste de l'album : JYANOME Dessinateur de l'album : JYANOME Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Le festival du lycée se termine, et avec lui, le concours du club de cinéma auquel ont participé Mao et ses amis, avec Hisashi dans le rôle principal. Le résultat n'est pas celui attendu, mais les choses changent lorsque le film trouve son public sur internet, et le club gagne une nouvelle visibilité. Critique : Ce manga est la suite de twilight outfocus où nos deux protagonistes Mao et Hisashi, colocataires dans un internat pour garçon d’une école de garçons, finissaient par se rapprocher et sortir ensemble. Le manga mêlait leur histoire aux activités du club de cinéma où Hisashi, après avoir joué un rôle dans le court métrage du club, finissait par se trouver un intérêt pour le jeu. Dans cette suite, les deux garçons vivent leur relation en secret, on assiste à leur quotidien de couple sur les 3 premiers chapitres, la suite directe du manga commençant au chapitre 4 et montrant les conséquences après la diffusion de leur film sur la toile. Les personnages sont sympathiques mais l’histoire est globalement axée sur leur histoire d’amour avec les questions habituelles que l’on retrouve dans toutes les romances : est-ce qu’il ne va pas me quitter ? Que puis-je faire pour lui (au niveau des problèmes de tous les jours mais aussi d’un point de vue sexuel) ? Bref rien de très original. La partie sur les activités du club est plus intéressante mais un peu courte. Le dessin est plutôt bien fait et l’édition soignée. Un manga sympathique mais pas exceptionnel. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/twilight-outfocus-overlap?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    RAPPEL Concours de Noël

    N"hésitez pas à participer au concours manga ! Il ne s'agit pas d'avoir toutes les bonnes réponses mais d'en trouver le plus possible donc même en ne répondant qu'à une partie, vous avez des chances de gagner un lot ! 😁 Pour le moment personne n'a tout trouvé... Et Bonne année à tous 🎊
  14. Nickad

    Sôten no Ken tome 2

    Kenshiro est de retour à Shanghai et compte bien assouvir sa vengeance. Il doit arriver à se rapprocher des chefs de l’union du pavot s’en se faire remarquer d’autant plus que ces derniers bénéficient de la protection de la police de la concession française. En même temps, il foit obtenir des informations et ne peut compter que sur Yé et son fils pour le moment. Sôten no Ken mêle habilement le côté historique (l’occupation de Shanghai, l’existence des concessions, l’influence des mafias…) et les arts martiaux. Le 2eme n’étant qu’un outil utilisé dans les affrontements qui ont lieu, le Hokuto n’est donc pas au centre du récit mais sert le héros, il y a quand même quelques apartés de temps en temps autour de ses origines. On n’est pas dans un manga de combat, ni de sport mais bien dans une sorte de thriller où l’on voit les sombres dessous du pouvoir : les manipulations de l’ombre, la mafia impitoyable plongée dans la violence et le meurtre, les conflits d’intérêt et les victimes collatérales. Le graphisme est très travaillé et permet une bonne immersion dans l’ambiance du livre. Le scenario est bien ficelé, sans temps mort et offre de nombreux développements possibles. Mais attention, il est à réserver aux adultes car il y a des scènes vraiment violentes.
  15. Titre de l'album : Sôten no Ken tome 2 Scenariste de l'album : BURONSON Dessinateur de l'album : HARA Tetsuo Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Dans les années 1930, Kenshirô Kasumi, « Roi des Enfers » (Yan-Wang, deux générations avant celle de Hokuto no Ken), 62e grand maître de la technique de combat Hokuto Shinken (« poing divin de la grande ourse ») se trouve pris dans des conflits autour de la Mandchourie Critique : Kenshiro est de retour à Shanghai et compte bien assouvir sa vengeance. Il doit arriver à se rapprocher des chefs de l’union du pavot s’en se faire remarquer d’autant plus que ces derniers bénéficient de la protection de la police de la concession française. En même temps, il foit obtenir des informations et ne peut compter que sur Yé et son fils pour le moment. Sôten no Ken mêle habilement le côté historique (l’occupation de Shanghai, l’existence des concessions, l’influence des mafias…) et les arts martiaux. Le 2eme n’étant qu’un outil utilisé dans les affrontements qui ont lieu, le Hokuto n’est donc pas au centre du récit mais sert le héros, il y a quand même quelques apartés de temps en temps autour de ses origines. On n’est pas dans un manga de combat, ni de sport mais bien dans une sorte de thriller où l’on voit les sombres dessous du pouvoir : les manipulations de l’ombre, la mafia impitoyable plongée dans la violence et le meurtre, les conflits d’intérêt et les victimes collatérales. Le graphisme est très travaillé et permet une bonne immersion dans l’ambiance du livre. Le scenario est bien ficelé, sans temps mort et offre de nombreux développements possibles. Mais attention, il est à réserver aux adultes car il y a des scènes vraiment violentes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/soten-no-ken-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Nickad

    Teenage Renaissance tome 2

    On ne va pas vous mentir, il n’y a pas vraiment d’histoire dans ce manga, une vague trame de vie de lycéens qui sert de lien conducteur mais pas vraiment d’histoire avec un objectif à atteindre, ni de chute à attendre. C’est à la fois un manga WTF, il est d’ailleurs rangé dans cette collection, et en même temps un manga culturel. L’auteur se sert de personnages issus du monde artistique (à l’origine, David est une sculpture, Venus et Mona des peintures, Goliath vient de la mythologie…) et il les fait évoluer dans un contexte contemporain avec une vie normale. Il met en scène des situations banales ou loufoques pour permettre de faire découvrir différentes œuvres d’art. Il y a sa version revisitée puis des pages présentant l’œuvre originelle, l’artiste, le mouvement artistique et même des recettes de plats italiens avec leurs origines. C’est à la fois intéressant (pour ceux qui sont un minimum orientés culture) et totalement inutile. Par contre, il faut reconnaître l’originalité du concept et la réussite graphique. Difficile de dire quel type de public pourrait être intéressé, je crois que le mieux c’est de tenter et de vous faire votre propre opinion.
  17. Titre de l'album : Teenage Renaissance tome 2 Scenariste de l'album : KUROKI Yûshin Dessinateur de l'album : KUROKI Yûshin Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Avec Teenage Renaissance, Yûshin Kuroki détourne les codes des comédies romantiques pour notre plus grand plaisir. Il rend hommage, du même coup, à l'art de la Renaissance... sous toutes ses formes ?! La jeune Léda ressent une attirance malvenue pour son frère David... Jalouse, elle décide alors de prendre Vénus en filature. Voilà qui annonce un été pour le moins mouvementé ! Mais ce n'est que le début de la saison estivale. Entre peur de rater les examens et libido débordante, le pauvre David arrivera-t-il à rester de marbre ? Critique : On ne va pas vous mentir, il n’y a pas vraiment d’histoire dans ce manga, une vague trame de vie de lycéens qui sert de lien conducteur mais pas vraiment d’histoire avec un objectif à atteindre, ni de chute à attendre. C’est à la fois un manga WTF, il est d’ailleurs rangé dans cette collection, et en même temps un manga culturel. L’auteur se sert de personnages issus du monde artistique (à l’origine, David est une sculpture, Venus et Mona des peintures, Goliath vient de la mythologie…) et il les fait évoluer dans un contexte contemporain avec une vie normale. Il met en scène des situations banales ou loufoques pour permettre de faire découvrir différentes œuvres d’art. Il y a sa version revisitée puis des pages présentant l’œuvre originelle, l’artiste, le mouvement artistique et même des recettes de plats italiens avec leurs origines. C’est à la fois intéressant (pour ceux qui sont un minimum orientés culture) et totalement inutile. Par contre, il faut reconnaître l’originalité du concept et la réussite graphique. Difficile de dire quel type de public pourrait être intéressé, je crois que le mieux c’est de tenter et de vous faire votre propre opinion. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-renaissance-de-david-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Nickad

    Alice in borderland retry tome 1

    Alice in Borderland retry est la courte suite du manga Alice in Borderland, 18 tomes sortis entre 2013 et 2017. L’un des premiers manga « jeu de survie » arrivé en France et qui n’a pas eu le succès qu’il méritait, tout simplement parce que le genre n’était peut-être pas en vogue à l’époque ou parce qu’il a été éclipsé par King’s game qui a été publié en même temps. Alice était l’un des personnages de la première série, adolescent à l’époque, il faisait partie des quelques survivants du jeu. Borderland est un endroit situé entre la vie et la mort où les « joueurs » sont mis à l’épreuve. Devenu adulte, Alice est sur le point d’être père, suite à un accident, il se retrouve à nouveau à Borderland avec 6 autres joueurs et doit passer une épreuve : le concept est simple, ils doivent entrer dans une capsule pour survivre, chacun peut accorder ce droit à un autre joueur (impossible de se l’octroyer) et chacun a aussi une carte « death » pour contrer un autre joueur. A chaque tour, il y a une capsule en moins. Ceux qui restent meurent. L’intérêt du manga n’est pas le jeu, c’est le questionnement, comment décider de celui qui doit vivre et celui qui doit mourir. Et pour appuyer encore son propos, l’auteur choisit différents personnages : un père qui a élevé seul sa fille, qui est également présente, un médecin et une infirmière urgentiste, un voyou qui n’a pas de scrupule à tué pour voler. Est-ce que toutes les vies ont la même valeur ? Je ne peux pas comparer avec la série originelle car j’étais passée à côté et je ne l’ai acheté que récemment (mais pas encore lue), mais elle est considérée comme une série incontournable. Alice in Borderland retry nous pousse dans des réflexions psychologiques sur la valeur de la vie et de nos actes car finalement, personne n’est tout blanc ou tout noir, chacun a des défauts et commis des erreurs. Sur fond de survival, c’est finalement un thriller psychologique haletant qui nous ai proposé, un manga intéressant fini en 2 tomes. PS : il n'est pas nécessaire d'avoir lu la 1ère série pour comprendre même s'il y a quelques images flashback dans le manga.
  19. Titre de l'album : Alice in borderland retry tome 1 Scenariste de l'album : ASÔ Haro Dessinateur de l'album : ASÔ Haro Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Alice a maintenant 26 ans, il est marié et attend son premier enfant avec Yuzuha. Alors qu'il se rend dans un temple, il est de retour à Borderland. Il doit, à nouveau, participer à des jeux pour sauver sa peau. Dès la première épreuve, Alice se retrouve avec cinq personnes étranges et un mystérieux cadavre ! Critique : Alice in Borderland retry est la courte suite du manga Alice in Borderland, 18 tomes sortis entre 2013 et 2017. L’un des premiers manga « jeu de survie » arrivé en France et qui n’a pas eu le succès qu’il méritait, tout simplement parce que le genre n’était peut-être pas en vogue à l’époque ou parce qu’il a été éclipsé par King’s game qui a été publié en même temps. Alice était l’un des personnages de la première série, adolescent à l’époque, il faisait partie des quelques survivants du jeu. Borderland est un endroit situé entre la vie et la mort où les « joueurs » sont mis à l’épreuve. Devenu adulte, Alice est sur le point d’être père, suite à un accident, il se retrouve à nouveau à Borderland avec 6 autres joueurs et doit passer une épreuve : le concept est simple, ils doivent entrer dans une capsule pour survivre, chacun peut accorder ce droit à un autre joueur (impossible de se l’octroyer) et chacun a aussi une carte « death » pour contrer un autre joueur. A chaque tour, il y a une capsule en moins. Ceux qui restent meurent. L’intérêt du manga n’est pas le jeu, c’est le questionnement, comment décider de celui qui doit vivre et celui qui doit mourir. Et pour appuyer encore son propos, l’auteur choisit différents personnages : un père qui a élevé seul sa fille, qui est également présente, un médecin et une infirmière urgentiste, un voyou qui n’a pas de scrupule à tué pour voler. Est-ce que toutes les vies ont la même valeur ? Je ne peux pas comparer avec la série originelle car j’étais passée à côté et je ne l’ai acheté que récemment (mais pas encore lue), mais elle est considérée comme une série incontournable. Alice in Borderland retry nous pousse dans des réflexions psychologiques sur la valeur de la vie et de nos actes car finalement, personne n’est tout blanc ou tout noir, chacun a des défauts et commis des erreurs. Sur fond de survival, c’est finalement un thriller psychologique haletant qui nous ai proposé, un manga intéressant fini en 2 tomes. PS : il n'est pas nécessaire d'avoir lu la 1ère série pour comprendre même s'il y a quelques images flashback dans le manga. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/alice-on-borderland-retry-tome-1ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Maintenant que M Kanda et le chat Fukumaru vivent ensembles, ils vont devoir s’habituer l’un à l’autre et apprendre à se connaître. Comme dans le 1er tome, on a la vision et les pensées des 2 côtés. Ce sont plein de petites scènes du quotidien, une suite des comportements des chats avec leur interprétation. Mais encore une fois, ce qu’il y a en plus dans ce manga par rapport aux autres mangas de chat, c’est la chaleur qui s’en dégage. L’auteur ne fait pas qu’accumuler les anecdotes autour des chats et leurs comportements drôles et mignons (et il y a de quoi faire !!) mais il sait mettre des images sur les sentiments. Ceux de ce chat adulte tout moche qui a enfin trouvé une famille et ceux de cet homme qui retrouve de la joie dans son quotidien après le décès de son épouse. On ressent l’attachement l’un pour l’autre et on comprend tout ce qu’un animal peut apporter dans la vie. Même si ce tome est peut-être un peu moins émouvant que le 1er, il reste très bien fait, très bien dessiné et touchant. C’est un petit moment de tendresse et de bonheur dont on aurait tort de se priver.
  21. Titre de l'album : Le chat qui rendait l'homme heureux - et inversement - tome 2 Scenariste de l'album : SAKURAI Umi Dessinateur de l'album : SAKURAI Umi Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Fuyuki Kanda est un homme seul et triste. Un jour, il décide d'entrer dans une animalerie où il remarque Fukumaru, un chat pas très beau, gros et plus très jeune. Ce dernier semble triste et désespéré car personne ne veut de lui. Pourtant, de manière inattendue, l'homme va l'adopter ! Ainsi commence l'histoire d'un quotidien plein de tendresse, entre un homme et un chat en mal d'amour. Critique : Maintenant que M Kanda et le chat Fukumaru vivent ensembles, ils vont devoir s’habituer l’un à l’autre et apprendre à se connaître. Comme dans le 1er tome, on a la vision et les pensées des 2 côtés. Ce sont plein de petites scènes du quotidien, une suite des comportements des chats avec leur interprétation. Mais encore une fois, ce qu’il y a en plus dans ce manga par rapport aux autres mangas de chat, c’est la chaleur qui s’en dégage. L’auteur ne fait pas qu’accumuler les anecdotes autour des chats et leurs comportements drôles et mignons (et il y a de quoi faire !!) mais il sait mettre des images sur les sentiments. Ceux de ce chat adulte tout moche qui a enfin trouvé une famille et ceux de cet homme qui retrouve de la joie dans son quotidien après le décès de son épouse. On ressent l’attachement l’un pour l’autre et on comprend tout ce qu’un animal peut apporter dans la vie. Même si ce tome est peut-être un peu moins émouvant que le 1er, il reste très bien fait, très bien dessiné et touchant. C’est un petit moment de tendresse et de bonheur dont on aurait tort de se priver. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-chat-qui-rendait-l-homme-heureux-et-inversement-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    Ao-chan can't study tome 1

    Ao Horie est lycéenne et tient à intégrer l’université de son choix. Elle est plutôt populaire, et quand le beau gosse du lycée lui fait des avances, elle ne sait pas du tout comment réagir d’autant plus qu’elle a un gros problème : toutes ses références viennent des romans de son père, spécialisé dans les romans érotiques. Elle a tendance à tout interpréter de travers et se faire des films facilement. Ce qui est intéressant, c’est la façon d’aborder les idées que les jeunes ont sur la sexualité : de faire la part des choses entre ce qu’ils lisent et la réalité. Mais ce n’est pas non plus un guide sur la sexualité, ce sont des petits moments de vie où Ao se fait des fausses idées et il faut avouer que ces moments de fantasmes sont vraiment innovants (par rapport à d’autres mangas pour le même âge). Le manga n’est pas déplaisant mais il ne m’a pas emballé plus que ça, honnêtement, je m‘attendais à un manga plus drôle. Je crois tout simplement que je suis passée à côté.
  23. Titre de l'album : Ao-chan can't study tome 1 Scenariste de l'album : KAWAHARA Ren Dessinateur de l'album : KAWAHARA Ren Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Ao Horie est studieuse et déterminée. Pour atteindre son objectif et intégrer l'université de ses rêves, elle est prête à renoncer aux plaisirs futiles de la jeunesse. De toute façon, les garçons ne pensent qu'au sexe ! C'est du moins l'image qu'elle s'en fait grâce à l'éducation de son père, le plus grand romancier «pour adultes» du pays, qui ne vit qu'à travers ses écrits... Comment se concentrer malgré l'influence paternelle ? Et surtout, comment réagir aux avances de l'idole de la classe lorsqu'on n'a que des histoires érotiques pour seules références ? Critique : Ao Horie est lycéenne et tient à intégrer l’université de son choix. Elle est plutôt populaire, et quand le beau gosse du lycée lui fait des avances, elle ne sait pas du tout comment réagir d’autant plus qu’elle a un gros problème : toutes ses références viennent des romans de son père, spécialisé dans les romans érotiques. Elle a tendance à tout interpréter de travers et se faire des films facilement. Ce qui est intéressant, c’est la façon d’aborder les idées que les jeunes ont sur la sexualité : de faire la part des choses entre ce qu’ils lisent et la réalité. Mais ce n’est pas non plus un guide sur la sexualité, ce sont des petits moments de vie où Ao se fait des fausses idées et il faut avouer que ces moments de fantasmes sont vraiment innovants (par rapport à d’autres mangas pour le même âge). Le manga n’est pas déplaisant mais il ne m’a pas emballé plus que ça, honnêtement, je m‘attendais à un manga plus drôle. Je crois tout simplement que je suis passée à côté. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ao-chan-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Nickad

    Sensor

    Sensor est une œuvre récente de Junji Ito, elle date de 2018 et c’est sa 1ère publication en France, l’édition de Mangetsu est irréprochable : un livre relié avec un papier de qualité et une couverture soignée. Concernant l’histoire, c’est un peu confus au départ. Il y a une jeune femme Kyôko Byakuya qui semble errer au hasard dans la montagne au pied d’un volcan, elle se retrouve dans un village où tout le monde l’attendait sans la connaître vraiment. Les habitants sont tous connectés à l’énergie cosmique via des filaments dorés semblables aux cheveux de Pelé (filaments rocheux issus d’un volcan), puis le village disparait et Kyôko va renaitre avec une chevelure dorée. S’ensuivent des histoires autour de Kyôko, une investigation d’un journaliste permet de faire le lien entre chaque. Junji Ito dans sa postface dit que ces personnages n’en ont fait qu’à leurs têtes, qu’ils n’ont pas tenu leur rôle et c’est pourquoi on part un peu sur différentes pistes, chaque chapitre peut être indépendant mais il y a une cohérence d’ensemble qui s’impose à la fin. Car l’œuvre est mystique, elle s’appuie sur les notions de bien et de mal ou lumière et ténèbres et met en avant le thème de l’horreur cosmique. Les filaments dorés sont la lumière, ils permettent d’avoir accès à la connaissance universelle, mais certains hommes veulent s’approprier les annales akashiques pour régner sur le monde. L’horreur est psychologique, elle met l’homme face à son insignifiance par rapport à sa place dans l’univers, à son faible savoir. Junji Ito montre des hommes avides, voulant toujours avoir plus mais met en garde aussi sur la capacité humaine à pouvoir digérer ce flot d’informations. Si graphiquement, il n’y a rien à reprocher et que l’on se trouve bien dans l’univers particulier de l’auteur ; la trame de l’histoire, bien qu’intéressante montre des lacunes. Car Junji Ito soulève plus de questions qu’il n’apporte de réponses, il nous met dans un contexte où les croyances et Dieu ont une importance, et nous laisse parfois en plan car lui-même n’a pas de vérité à donner.
  25. Nickad

    Sensor

    Titre de l'album : Sensor Scenariste de l'album : ITÔ Junji Dessinateur de l'album : ITÔ Junji Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Kyôko Byakuya marche seule au pied de la montagne Sengoku. Est-t-elle perdue ou quelque chose l'a-t-elle attirée ici ? Soudain, un homme étrange apparaît pour lui dire qu'il l'attendait et l'invite dans son village. À son arrivée, la femme contemple la vision étonnante d'un lieu où tout brille comme de l'or. La nuit, en observant le ciel avec les villageois, une infinité d'objets tombe comme la pluie. C'est le premier d'une série d'incidents terrifiants qui sont sur le point de bouleverser la réalité telle qu'on la connait ! Le monde entier sera bientôt à la merci de la beauté et du pouvoir de la femme mystérieuse. Mais qui est Kyôko Byakuya?! Critique : Sensor est une œuvre récente de Junji Ito, elle date de 2018 et c’est sa 1ère publication en France, l’édition de Mangetsu est irréprochable : un livre relié avec un papier de qualité et une couverture soignée. Concernant l’histoire, c’est un peu confus au départ. Il y a une jeune femme Kyôko Byakuya qui semble errer au hasard dans la montagne au pied d’un volcan, elle se retrouve dans un village où tout le monde l’attendait sans la connaître vraiment. Les habitants sont tous connectés à l’énergie cosmique via des filaments dorés semblables aux cheveux de Pelé (filaments rocheux issus d’un volcan), puis le village disparait et Kyôko va renaitre avec une chevelure dorée. S’ensuivent des histoires autour de Kyôko, une investigation d’un journaliste permet de faire le lien entre chaque. Junji Ito dans sa postface dit que ces personnages n’en font fait qu’à leurs têtes, qu’ils n’ont pas tenu leur rôle et c’est pourquoi on part un peu sur différentes pistes, chaque chapitre peut être indépendant mais il y a une cohérence d’ensemble qui s’impose à la fin. Car l’œuvre est mystique, elle s’appuie sur les notions de bien et de mal ou lumière et ténèbres et met en avant le thème de l’horreur cosmique. Les filaments dorés sont la lumière, ils permettent d’avoir accès à la connaissance universelle, mais certains hommes veulent s’approprier les annales akashiques pour régner sur le monde. L’horreur est psychologique, elle met l’homme face à son insignifiance par rapport à sa place dans l’univers, à son faible savoir. Junji Ito montre des hommes avides, voulant toujours avoir plus mais met en garde aussi sur la capacité humaine à pouvoir digérer ce flot d’informations. Si graphiquement, il n’y a rien à reprocher et que l’on se trouve bien dans l’univers particulier de l’auteur ; la trame de l’histoire, bien qu’intéressante montre des lacunes. Car Junji Ito soulève plus de questions qu’il n’apporte de réponses, il nous met dans un contexte où les croyances et Dieu ont une importance, et nous laisse parfois en plan car lui-même n’a pas de vérité à donner. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sensor?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
×
×
  • Créer...