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  1. Nickad

    From FPS to RPG tome 1

    Un personnage qui se retrouve dans le jeu vidéo auquel il jouait, c’est du déjà-vu. Un personnage qui se fait « isekaïer » dans un monde de fantasy, ce n’est pas original non plus. MAIS un joueur en plein jeu vidéo FPS (comprendre jeu de tir avec méga armement et plein de gens à dégommer) qui se retrouve dans un monde de fantasy avec tout son équipement ultra moderne, c’est une première (pour moi en tout cas !). C’est ce qui arrive au personnage principal Ren Saitô. Tout à coup il débarque en pleine cambrousse et va voler au secours d’une jeune fille en détresse enlevée par les gobelins. Autant dire qu’il faut qu’il se dépêcher, ces créatures n’étant vraiment mais vraiment pas tendres avec les filles. S’il ne peut pas encore communiquer son interface jeu lui permet de comprendre le langage d’Ashley (la demoiselle). Le voilà parti pour devenir aventurier sous le nom de Schwartz, travailler pur gagner des sous et de l’expérience et trouver des indices pour pouvoir revenir dans son monde d’origine. Sa seule difficulté : il ne peut pas se servir de la magie, il est donc considéré comme un bon à rien. Heureusement, il a accès à tout son équipement FPS et comme il était doué, il a plein d’armes. Il lui faut à présent trouver une solution pour recharger son artillerie. Le véritable intérêt de ce manga réside dans l’opposition entre les deux styles de jeux : FPS et RPG. C’est plutôt intéressant de voir comment il va s’en sortir avec des armes modernes et comment cela va être perçu. Pour la suite de l’histoire, le scénario semble être cousu de fil blanc : monsieur va s’en sortir, se faire une réputation, avoir des filles à ses côtés, etc… J’espère être surprise, la suite nous le dira.
  2. Titre de l'album : Moi, quand je me réincarne en slime - Trinité tome 1 Scenariste de l'album : FUSE Dessinateur de l'album : TONO Tae Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : Découvrez les nouvelles aventures à Tempest de trois héroïnes pleines d'énergie dans ce nouveau spin-off de Moi, quand je me réincarne en Slime ! Trois jeunes guerrières sont arrivées à Tempest en provenance de trois contrées différentes, chargées d'une mission secrète par leurs dirigeants respectifs : le seigneur Callion d'Eurasanie, le royaume des hommes-bêtes, Millim de la capitale des dragons et Frey de Frubrosie, la nation céleste. Suivez les aventures rocambolesques de nos trois héroïnes qui ne manqueront pas de mettre de l'animation dans la paisible ville fondée par maître Limule ! Critique : Si l’on veut être honnête, ce spin-off de la série principale n’a aucun intérêt si on n’a pas lu l’original. Il faut un minimum de connaissance sur Limule, ses compagnons et son pays de monstres pour apprécier les subtilités des mises en situation. Heureusement pour moi, j’aime cette série alors même si l’histoire s’articule autour de 3 nouveaux personnages, chacune envoyée par un pays étranger pour espionner Tempest. Il est plaisant de lire ces petites histoires et d’y retrouver dans un contexte moins sérieux les personnages phares du manga. Si le scénario est toujours de Fuse, le dessin a été confié à Tae TONO dont c’est la 1ère œuvre en France. Un graphisme dans la lignée de la série principale et qui n’a rien à lui envier. Au final, on obtient une histoire sympathique qui fera plaisir aux fans de la série. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/moi-quand-je-me-reincarne-en-slime-trinite-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Si l’on veut être honnête, ce spin-off de la série principale n’a aucun intérêt si on n’a pas lu l’original. Il faut un minimum de connaissance sur Limule, ses compagnons et son pays de monstres pour apprécier les subtilités des mises en situation. Heureusement pour moi, j’aime cette série alors même si l’histoire s’articule autour de 3 nouveaux personnages, chacune envoyée par un pays étranger pour espionner Tempest. Il est plaisant de lire ces petites histoires et d’y retrouver dans un contexte moins sérieux les personnages phares du manga. Si le scénario est toujours de Fuse, le dessin a été confié à Tae TONO dont c’est la 1ère œuvre en France. Un graphisme dans la lignée de la série principale et qui n’a rien à lui envier. Au final, on obtient une histoire sympathique qui fera plaisir aux fans de la série.
  4. Titre de l'album : Kaiju Defense Force tome 1 Scenariste de l'album : INOUE Junya / SHIRATO Seiichi Dessinateur de l'album : INOUE Junya Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : An X de l'ère Reiwa. Un terrible tsunami, provoqué par une avalanche sous-marine, ravage la côte Pacifique. Toutefois, il n'est que le prologue de calamités à venir. Quelque temps plus tard, à bord du paquebot de luxe Fugaku, se trouve Konoé Sakimori, militaire fraîchement diplômée de l'Académie de défense nationale. Quand un kaijû attaque le navire, une lutte sans merci débute pour les Forces japonaises d'autodéfense qui tentent de repousser ces monstres redoutables. Dans leurs rangs, la jeune Konoé pourrait bien devenir l'héroïne dont le monde a besoin pour sortir de ce cauchemar.. Critique : Un effondrement dans la fosse des Mariannes a entrainé un grand tsunami mais ce n’est pas la seule conséquence : un monstre géant aux allures de grosse coquille St Jacques semble être remonté des profondeurs. Est-ce à cause d’un réveil brutal ou de sa nature profonde, il semble bien décidé à détruire tout sur son passage et surtout à débarrasser la mer des bateaux qui la peuplent. Ce premier tome introduit la série, on a une grosse mise en place des personnages, on ne sait d’ailleurs pas vraiment qui prendra la tête des opérations à part la demoiselle sur la couverture bien entendu. Même Yoshikazu que l’on voit pendant les 55 premières pages disparait mystérieusement, réapparaitra-t-il subitement pour aller à la chasse au monstre ? La suite nous le dira. En attendant, ce kaiju est belliqueux et on sent que l’histoire peut virer au manga catastrophique horrifique, il ne faut peut-être pas se fier à sa classification en shonen. Le titre voit le retour de Junya Inoue connu en France pour ses titres Otogi Matsuri (devenu introuvable) et Btooom qui faisait déjà la polémique entre shonen et seinen. Son graphisme est toujours aussi impeccable que ce soit dans les décors, les expressions des personnages mais aussi dans la conception des scènes d’action. L’édition quant à elle est de qualité avec une belle mise en avant du titre. Kaiju defense force semble être un titre prometteur que l’on suivra avec plaisir. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kaiju-defense-force-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nickad

    Kaiju Defense Force tome 1

    Un effondrement dans la fosse des Mariannes a entrainé un grand tsunami mais ce n’est pas la seule conséquence : un monstre géant aux allures de grosse coquille St Jacques semble être remonté des profondeurs. Est-ce à cause d’un réveil brutal ou de sa nature profonde, il semble bien décidé à détruire tout sur son passage et surtout à débarrasser la mer des bateaux qui la peuplent. Ce premier tome introduit la série, on a une grosse mise en place des personnages, on ne sait d’ailleurs pas vraiment qui prendra la tête des opérations à part la demoiselle sur la couverture bien entendu. Même Yoshikazu que l’on voit pendant les 55 premières pages disparait mystérieusement, réapparaitra-t-il subitement pour aller à la chasse au monstre ? La suite nous le dira. En attendant, ce kaiju est belliqueux et on sent que l’histoire peut virer au manga catastrophique horrifique, il ne faut peut-être pas se fier à sa classification en shonen. Le titre voit le retour de Junya Inoue connu en France pour ses titres Otogi Matsuri (devenu introuvable) et Btooom qui faisait déjà la polémique entre shonen et seinen. Son graphisme est toujours aussi impeccable que ce soit dans les décors, les expressions des personnages mais aussi dans la conception des scènes d’action. L’édition quant à elle est de qualité avec une belle mise en avant du titre. Kaiju defense force semble être un titre prometteur que l’on suivra avec plaisir.
  6. Nickad

    Witch and cat

    Titre de l'album : Witch and cat Scenariste de l'album : KUROI Yodaka Dessinateur de l'album : KUROI Yodaka Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : À première vue, il n'est qu'un simple livreur mais la nuit, il devient trafiquant pour la pègre. Un jour, il finit par se retrouver avec son voisin Juichi Uno, qui l'intéresse depuis quelques temps, autour d'un nabe. Ils passent la nuit ensemble apres avoir bu, et le lendemain, Juichi finit par prendre ses distances. Alors que Sudô craint qu'il n'ait remarqué ses intentions, il surprend Juichi faire face à des hommes sans scrupules dans la rue et s'empresse d'attraper sa main pour s'enfuir. Sudô, grièvement blessé sous les coups ennemis, est sauvé de justesse par un pacte fait avec Juichi qui n'est autre qu'un descendant d'une famille de sorciers. Pour échapper à ses poursuivants, Sudô retourne chez lui pour fuir avec son argent. Mais c'est sans compter sur ses ennemis qui l'y attendent de pied ferme... Critique : Sudô est un jeune homme qui vit au jour le jour, il trempe même dans des histoires louches. Cependant, il salue son voisin tous les jours mais ce dernier l’ignore. Un soir où Sudô revient blessé, il fait plus ample connaissance avec Juichi. De confidence en confidence mais surtout à cause d’un événement violent, Sudô finit par apprendre que Juichi est un sorcier pourchassé et que leurs destins sont à présent liés. L’histoire autour des sorciers et de leur familier est plutôt intéressante et il y a de bonnes idées comme le nombre de vies du familier où l’exploitation du pacte. Seulement pour en faire un titre plus yaoi, le pacte s’entretient par les relations charnelles (une transmission d’énergie plus intense !). Ce n’était pas vraiment nécessaire à l’histoire, enfin si on considère que la relation sorcier/familier est au cœur du scénario… Par contre, si l’objectif est le sexe et que le reste ne sert que d’enrobage, il y a de quoi faire mais peut-être un léger manque. Globalement, on se perd un peu sur les priorités de l’auteur et on aurait aimé un peu plus de teneur par rapport au monde des sorciers mais le manga reste distrayant et bien dessiné. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/manga?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    Witch and cat

    Sudô est un jeune homme qui vit au jour le jour, il trempe même dans des histoires louches. Cependant, il salue son voisin tous les jours mais ce dernier l’ignore. Un soir où Sudô revient blessé, il fait plus ample connaissance avec Juichi. De confidence en confidence mais surtout à cause d’un événement violent, Sudô finit par apprendre que Juichi est un sorcier pourchassé et que leurs destins sont à présent liés. L’histoire autour des sorciers et de leur familier est plutôt intéressante et il y a de bonnes idées comme le nombre de vies du familier où l’exploitation du pacte. Seulement pour en faire un titre plus yaoi, le pacte s’entretient par les relations charnelles (une transmission d’énergie plus intense !). Ce n’était pas vraiment nécessaire à l’histoire, enfin si on considère que la relation sorcier/familier est au cœur du scénario… Par contre, si l’objectif est le sexe et que le reste ne sert que d’enrobage, il y a de quoi faire mais peut-être un léger manque. Globalement, on se perd un peu sur les priorités de l’auteur et on aurait aimé un peu plus de teneur par rapport au monde des sorciers mais le manga reste distrayant et bien dessiné.
  8. Titre de l'album : A returner's magic should be special tome 1 Scenariste de l'album : USONAN Dessinateur de l'album : WOOKJAKGA Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - KBooks Note : Résumé de l'album : Le Labyrinthe des Ombres, la pire catastrophe que l'humanité ait jamais connue, s'est ouvert sur Terre. Desir Herrman est l'un des derniers survivants, mais il échoue à la dernière étape et doit assister à la destruction du monde. Il se réveille et découvre qu'il est revenu 13 ans plus tôt, à son entrée à l'académie de magie. Il a alors trois ans pour s'entraîner avant l'apocalypse. Critique : Les mondes des ombres apparaissent chaque année et représentent la plus grande menace du monde, si on les combat pas, ils empiètent sur le monde normal, infestant les terres d’un brouillard épais où aucun être vivant ne peut y vivre. En 3616, le plus grand monde des ombres et le plus dangereux « le labyrinthe » est apparu, sur les 150 millions de combattants et après 10 ans de combats, il ne reste que 6 personnes pour affronter le boss final. Le combat finit mal et Desir Herrman, l’un des derniers magiciens revient 13 ans en arrière pour donner une nouvelle chance à l’humanité. Le voilà retourné à son entrée à l’académie Hébrion, l’une des plus prestigieuses académies de magie formant les futurs magiciens destinés à affronter le monde des ombres. La véritable originalité de l’histoire réside dans la conception des mondes des ombres. Ce sont des sortes de mondes parallèles régit par des lois qui leur sont propres, un peu comme les donjons. Chacun a un scénario défini qui a un rapport avec un événement historique ; par exemple si dans la réalité le pays X a vaincu le pays Y, dans le monde des ombres, il faudra faire en sorte que le pays Y gagne la guerre. Les mondes sont catégorisés selon leur difficulté et il en existe une infinité. Donc Desir doit faire en sorte de changer le futur, pour cela il faut que les magiciens deviennent plus forts ! Cela commence dès l’académie où la ségrégation est de mise car les élèves roturiers n’ont pas accès aux mêmes enseignements et sont dénigrés. Et pourtant parmi eux se cachent de vrais génies ! Si le webtoon ressemble plus à un shonen de régression assez classique au départ, la suite nous montrera que l’univers est beaucoup plus sombre. Ce qui se passe dans le monde des ombres n’est pas sans incidence sur le monde réel. On peut regretter un graphisme un peu grossier, celui de l’anime est plus fin et raffiné, anime qui a commencé il y a peu (4 épisodes sur crunchyroll). Quant à la série, elle compte 242 chapitres au 31/10 et elle est l’adaptation d’un roman de 8 tomes. A returner’s magic should be special a une histoire intéressante mais assez longue. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/a-returner-s-magic-should-be-special-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Les mondes des ombres apparaissent chaque année et représentent la plus grande menace du monde, si on les combat pas, ils empiètent sur le monde normal, infestant les terres d’un brouillard épais où aucun être vivant ne peut y vivre. En 3616, le plus grand monde des ombres et le plus dangereux « le labyrinthe » est apparu, sur les 150 millions de combattants et après 10 ans de combats, il ne reste que 6 personnes pour affronter le boss final. Le combat finit mal et Desir Herrman, l’un des derniers magiciens revient 13 ans en arrière pour donner une nouvelle chance à l’humanité. Le voilà retourné à son entrée à l’académie Hébrion, l’une des plus prestigieuses académies de magie formant les futurs magiciens destinés à affronter le monde des ombres. La véritable originalité de l’histoire réside dans la conception des mondes des ombres. Ce sont des sortes de mondes parallèles régit par des lois qui leur sont propres, un peu comme les donjons. Chacun a un scénario défini qui a un rapport avec un événement historique ; par exemple si dans la réalité le pays X a vaincu le pays Y, dans le monde des ombres, il faudra faire en sorte que le pays Y gagne la guerre. Les mondes sont catégorisés selon leur difficulté et il en existe une infinité. Donc Desir doit faire en sorte de changer le futur, pour cela il faut que les magiciens deviennent plus forts ! Cela commence dès l’académie où la ségrégation est de mise car les élèves roturiers n’ont pas accès aux mêmes enseignements et sont dénigrés. Et pourtant parmi eux se cachent de vrais génies ! Si le webtoon ressemble plus à un shonen de régression assez classique au départ, la suite nous montrera que l’univers est beaucoup plus sombre. Ce qui se passe dans le monde des ombres n’est pas sans incidence sur le monde réel. On peut regretter un graphisme un peu grossier, celui de l’anime est plus fin et raffiné, anime qui a commencé il y a peu (4 épisodes sur crunchyroll). Quant à la série, elle compte 242 chapitres au 31/10 et elle est l’adaptation d’un roman de 8 tomes. A returner’s magic should be special a une histoire intéressante mais assez longue.
  10. Titre de l'album : Tsugai daemons of the shadow realm tome 2 Scenariste de l'album : ARAKAWA Hiromu Dessinateur de l'album : ARAKAWA Hiromu Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : Du mystère, du surnaturel, de l'aventure, une histoire de fraternité : le nouveau Hiromu Arakawa est un manga inclassable qui réserve bien des surprises !? Ayant pris la fuite après l'attaque du village, Yuru découvre que la vie dans le monde inférieur est bien différente de ce qu'il imaginait. Il décide de partir à la recherche de la mystérieuse Asa prétendant être sa véritable sœur. Mais Yuru tombe dans un piège tendu par une famille de puissants meneurs de Tsugai : les Kagemori ! Critique : Yuru est descendu de sa montagne avec ses deux tsugais protecteurs. En apprenant que ses parents sont peut-être vivants, il décide de retrouver sa sœur Asa pour lui demander des explications et des informations. Il se retrouve à combattre le groupe Kagemori, mais l’existence des jumeaux semblent intéresser de nombreuses personnes et les retrouvailles de Yuru et Asa ne durent pas longtemps avant d’être la cible de nouveaux tsugais. Ce second tome est dans la lignée du 1er, l’aspect découverte en moins. On voit cependant que les tsugais peuvent être très variés que ce soit par leur forme ou leurs compétences. Cela ouvre le champ des possibles et on sait que Hiromu Arakawa est très douée pour créer des rebondissements et des univers complets à ces œuvres. Donc même si ce deuxième tome est moins surprenant, avec un léger déséquilibre entre histoire & combats, il n’en reste pas moins divertissant et très bien exécuté. On apprécie toujours le mélange action / humour qu’elle aime à mettre dans ses mangas et dans celui-ci c’est le décalage entre la vie un peu moyenâgeuse du village de Yuru avec le monde moderne qui l’inspire. Tsugai est un bon shonen que l’on continuera à lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tsugai-daemons-of-the-shadow-realm-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Yuru est descendu de sa montagne avec ses deux tsugais protecteurs. En apprenant que ses parents sont peut-être vivants, il décide de retrouver sa sœur Asa pour lui demander des explications et des informations. Il se retrouve à combattre le groupe Kagemori, mais l’existence des jumeaux semblent intéresser de nombreuses personnes et les retrouvailles de Yuru et Asa ne durent pas longtemps avant d’être la cible de nouveaux tsugais. Ce second tome est dans la lignée du 1er, l’aspect découverte en moins. On voit cependant que les tsugais peuvent être très variés que ce soit par leur forme ou leurs compétences. Cela ouvre le champ des possibles et on sait que Hiromu Arakawa est très douée pour créer des rebondissements et des univers complets à ces œuvres. Donc même si ce deuxième tome est moins surprenant, avec un léger déséquilibre entre histoire & combats, il n’en reste pas moins divertissant et très bien exécuté. On apprécie toujours le mélange action / humour qu’elle aime à mettre dans ses mangas et dans celui-ci c’est le décalage entre la vie un peu moyenâgeuse du village de Yuru avec le monde moderne qui l’inspire. Tsugai est un bon shonen que l’on continuera à lire.
  12. Titre de l'album : Mes cent contes mortels tome 1 Scenariste de l'album : MATONO Anji Dessinateur de l'album : MATONO Anji Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Convoquant les plus grands maîtres du genre, Anji Matono livre une anthologie d'horreur particulièrement efficace. Sans plus attendre, laissez-vous contaminer par les ambiances uniques qui suintent à travers les pages de ce manga... La légende urbaine raconte que si vous lisez les Cent contes jusqu'au dernier, un esprit vengeur viendra s'abattre sur vous. Aussi, quand Yuma, garçon aux pulsions suicidaires, apprend l'existence de cette tradition, il décide de se plonger chaque soir dans un de ces terribles récits... Mais quelles sont ses véritables intentions ? Que vit-il dans son foyer pour avoir de telles envies ? Et surtout, survivra-t-il à cette expérience morbide ? Critique : Qui dit Halloween, dit manga d’horreur !! Pour l’occasion les éditions Akata ont sorti mes cent contes mortels : l’histoire de Yûma, un jeune garçon qui raconte de courts contes horrifiques dans l’espoir de voir apparaître un fantôme au 100e. Pourquoi ? Parce que Yûma a des envies suicidaires et il espère bien que ce fantôme vengeur lui apporte la solution à ses problèmes. Chaque chapitre est construit de la même façon, on voit Yûma dans sa chambre, devant son bureau en train de raconter une histoire. C’est peut-être au travers de réseaux sociaux, on n’en sait rien. On ne sait pas non plus pourquoi il est autant attiré par la mort. Il intervient au début et à la fin de chaque conte et il y a 10 contes dans ce 1er tome, donc si vous savez comptez, il y aura au moins 10 tomes. Concernant le contenu : comme chaque conte est assez court (15 pages environ), il faut qu’il aille à l’essentiel, les contes sont inégaux, certains nous entrainent vraiment dans l’horreur et le dégoût comme « livraison effectuée » et d’autres tiennent plus du fantastique que de l’horreur comme « l’au-delà ». Si les histoires ne sont pas déplaisantes, enfin façon de parler parce qu’on est quand même dans le terrifiant, je crains que l’accumulation des cent contes ne fassent trop, il y a un risque de lassitude. Quant aux interventions de Yûma, elles sont sans doute nécessaires pour que l’on comprenne sa situation et cela aura une importance à la fin, mais c’est tellement lent que c’est ennuyeux. Un manga en demi-teinte. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mes-cents-contes-mortels-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Mes cent contes mortels tome 1

    Qui dit Halloween, dit manga d’horreur !! Pour l’occasion les éditions Akata ont sorti mes cent contes mortels : l’histoire de Yûma, un jeune garçon qui raconte de courts contes horrifiques dans l’espoir de voir apparaître un fantôme au 100e. Pourquoi ? Parce que Yûma a des envies suicidaires et il espère bien que ce fantôme vengeur lui apporte la solution à ses problèmes. Chaque chapitre est construit de la même façon, on voit Yûma dans sa chambre, devant son bureau en train de raconter une histoire. C’est peut-être au travers de réseaux sociaux, on n’en sait rien. On ne sait pas non plus pourquoi il est autant attiré par la mort. Il intervient au début et à la fin de chaque conte et il y a 10 contes dans ce 1er tome, donc si vous savez comptez, il y aura au moins 10 tomes. Concernant le contenu : comme chaque conte est assez court (15 pages environ), il faut qu’il aille à l’essentiel, les contes sont inégaux, certains nous entrainent vraiment dans l’horreur et le dégoût comme « livraison effectuée » et d’autres tiennent plus du fantastique que de l’horreur comme « l’au-delà ». Si les histoires ne sont pas déplaisantes, enfin façon de parler parce qu’on est quand même dans le terrifiant, je crains que l’accumulation des cent contes ne fassent trop, il y a un risque de lassitude. Quant aux interventions de Yûma, elles sont sans doute nécessaires pour que l’on comprenne sa situation et cela aura une importance à la fin, mais c’est tellement lent que c’est ennuyeux. Un manga en demi-teinte. Extrait
  14. Titre de l'album : Ascendant's demon Scenariste de l'album : Jérémy Huet Dessinateur de l'album : Huan Wilches Coloriste : Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Ancien voyou, Ruben a su réprimer ses pulsions destructrices, et surtout préserver son fils de cette rage qui bouillonnait en lui. Mais quand un événement mystérieux rappelant cruellement sa vie antérieure fait surface, la sérénité de son monde est ébranlée. Ruben pourra-t-il vraiment lutter contre son héritage ? Critique : Critique établie à partir du pdf sur le site : https://happymisfitspublishing.substack.com/p/ascendants-demon Happy Misfits poursuit sa création éditoriale en publiant tous les mois , deux histoires courtes , dont celle-ci Ascendant's demon , parue au mois d'octobre . Un trait japonisant assez fin et une histoire de filiation père/fils sur fond de possession démoniaque , voici ce qui vous attend dans cette aventure dynamique . Vous serez saisi d'emblée par le dessin proposé par Huan , qui apporte de la lumière aux cases et un découpage vivant , tonique , comme l'est cette courte histoire . Tout va très vite , on découvre les deux protagonistes principaux et cette violence "viscérale" inscrite en eux , puis le fantastique s'invite de façon assez naturelle , pour un final retentissant . C'est un galop d'essai intéressant pour ce duo d'auteurs , je ne suis pas forcément le plus sensible au style "manga" , mais l'idée est présente , le style aussi , attendons la suite de cette collaboration ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://happymisfitspublishing.substack.com/p/ascendants-demon-22b Voir la totalité de enregistrement
  15. Kevin Nivek

    Ascendant's demon

    Critique établie à partir du pdf sur le site : https://happymisfitspublishing.substack.com/p/ascendants-demon Happy Misfits poursuit sa création éditoriale en publiant tous les mois , deux histoires courtes , dont celle-ci Ascendant's demon , parue au mois d'octobre . Un trait japonisant assez fin et une histoire de filiation père/fils sur fond de possession démoniaque , voici ce qui vous attend dans cette aventure dynamique . Vous serez saisi d'emblée par le dessin proposé par Huan , qui apporte de la lumière aux cases et un découpage vivant , tonique , comme l'est cette courte histoire . Tout va très vite , on découvre les deux protagonistes principaux et cette violence "viscérale" inscrite en eux , puis le fantastique s'invite de façon assez naturelle , pour un final retentissant . C'est un galop d'essai intéressant pour ce duo d'auteurs , je ne suis pas forcément le plus sensible au style "manga" , mais l'idée est présente , le style aussi , attendons la suite de cette collaboration !
  16. Titre de l'album : The most notorious talker tome 6 Scenariste de l'album : Jaki Dessinateur de l'album : Yamorichan Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Maintenant que Kôga fait partie de son groupe, Noel se rend à la guilde des Seekers pour fonder son clan, mais Harold, l'examinateur en charge de leur entretien, refuse froidement son dossier. Les Variants, seigneurs démons capables de détruire le monde, vont bientôt se matérialiser et seuls les plus puissants sont autorisés à créer un clan. Noel ne s'avoue pas vaincu et échafaude un nouveau plan. Il prévoit d'affronter L'Ordre du Chevalier Ailé, afin de montrer la suprématie de Blue Beyond. Armé de ses sinistres manigances, le Talker espère bien éliminer sa cible, le terrible Dantalion, en premier... Critique : C'est presque trop facile ... et c'est peut-être ce qui commence à pécher sur cette série la. En effet c'est toujours graphiquement sublime avec un jeune d'ombrage assez exceptionnel. C'est toujours très bon au niveau du scenario avec une arrivée de monstres hors du commun qui rebat les cartes pour les équipes en présence… mais tout ce passe trop bien pour l'équipe de Noel. On aimerait un peu plus d'adversité pour voir que nos "heros" dans des situations difficiles mais aussi pour rabattre un peu le caquet de notre personnage principal, toujours aussi imbuvable en fait 🙂 Même si c'est une partie de l'intérêt du manga, ca serait pas mal qu'il réfléchisse un peu à sa façon de traiter les gens... et ca passerait bien avec une défaite 🙂 Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-most-notorious-talker-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. C'est presque trop facile ... et c'est peut-être ce qui commence à pécher sur cette série la. En effet c'est toujours graphiquement sublime avec un jeune d'ombrage assez exceptionnel. C'est toujours très bon au niveau du scenario avec une arrivée de monstres hors du commun qui rebat les cartes pour les équipes en présence… mais tout ce passe trop bien pour l'équipe de Noel. On aimerait un peu plus d'adversité pour voir que nos "heros" dans des situations difficiles mais aussi pour rabattre un peu le caquet de notre personnage principal, toujours aussi imbuvable en fait 🙂 Même si c'est une partie de l'intérêt du manga, ca serait pas mal qu'il réfléchisse un peu à sa façon de traiter les gens... et ca passerait bien avec une défaite 🙂
  18. Titre de l'album : la boutique du magicien Scenariste de l'album : IKE Reibun Dessinateur de l'album : IKE Reibun Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Tim travaille depuis quelques mois dans la boutique d'un magicien. C'est ce dernier, Sylvain, qui l'a sauvé alors qu'il fuyait sa condition d'esclave. Tim commence à s'adapter à sa nouvelle vie et à l'étrange clientèle du lieu, mais il a conscience qu'il ne pourra pas rester là éternellement. Surtout vu les sentiments qu'il éprouve pour son sauveur... Critique : Dans ce monde fantastique, les magiciens qui ont beaucoup de pouvoirs doivent porter des vêtements et masque filtrant pour ne pas nuire à leur entourage, leurs paroles pourraient influencer directement les autres. Sylvain est un magicien qui a recueilli Tim, un esclave échappé du pays voisin. Sa boutique propose toutes sortes de service si on y met le prix : potion pour devenir beau, pour devenir invisible, pour changer d’apparence… A force de travailler pour Sylvain, Tim en est tombé amoureux et pour le séduire, il utilise en cachette une potion pour changer d’apparence. Mais en a-t-il vraiment besoin ? Si l’histoire d’amour n’est pas originale et ne présente pas de rebondissements extraordinaires, le point fort de ce manga est le dessin et le soin apporté à la création de cet univers fantastique. On découvre un trait fin, élégant, des décors soignés, un style vestimentaire proche du steam punk et des mises en scènes qui savent faire ressortir les passages où la magie est en œuvre. Avec un tel univers, on aurait aimé en apprendre plus sur la magie, les pouvoirs de Sylvain, la transformation du père, l’environnement plus général. C’est dommage que ce nouveau monde ne serve qu’un one shot où l’histoire n’est pas à la hauteur de son écrin. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-boutique-du-magicien?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    la boutique du magicien

    Dans ce monde fantastique, les magiciens qui ont beaucoup de pouvoirs doivent porter des vêtements et masque filtrant pour ne pas nuire à leur entourage, leurs paroles pourraient influencer directement les autres. Sylvain est un magicien qui a recueilli Tim, un esclave échappé du pays voisin. Sa boutique propose toutes sortes de service si on y met le prix : potion pour devenir beau, pour devenir invisible, pour changer d’apparence… A force de travailler pour Sylvain, Tim en est tombé amoureux et pour le séduire, il utilise en cachette une potion pour changer d’apparence. Mais en a-t-il vraiment besoin ? Si l’histoire d’amour n’est pas originale et ne présente pas de rebondissements extraordinaires, le point fort de ce manga est le dessin et le soin apporté à la création de cet univers fantastique. On découvre un trait fin, élégant, des décors soignés, un style vestimentaire proche du steam punk et des mises en scènes qui savent faire ressortir les passages où la magie est en œuvre. Avec un tel univers, on aurait aimé en apprendre plus sur la magie, les pouvoirs de Sylvain, la transformation du père, l’environnement plus général. C’est dommage que ce nouveau monde ne serve qu’un one shot où l’histoire n’est pas à la hauteur de son écrin.
  20. Titre de l'album : Critique par une : ado L'amour transparent Scenariste de l'album : Hitomi Dessinateur de l'album : Hitomi Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Miki est un jeune homme poursuivi par la malchance depuis sa plus tendre enfance. Timide et renfermé, il se tient à l'écart des autres et subit sa condition en silence. Jusqu'au jour où il rencontre un homme étrange, qui lui demande s'il peut se nourrir de son malheur... Miki, surpris, apprend que l'homme n'est pas humain : c'est un akashibito, un être qui se nourrit des émotions négatives de son hôte lorsqu'un contrat est passé. Voyant que l'inconnu est en train de mourir de faim, par bonté d'âme, Miki décide d'accepter de l'aider. Il lui donne un nom, Shiro, scellant ainsi le contrat que les lie. Dorénavant, Shiro restera avec Miki, et se nourrira de son extrême malchance. Mais tout risque de se compliquer si les sentiments s'en mêlent... Critique : Une très bonne romantasy comme le dirait certaines de mes amis (une romance avec de la fantasy). Miki est un jeune humain malchanceux au possible depuis tout petit, il n'est pas sociable, très timide et assez pris par des pensées négatives. Un jour Miki rencontre un homme pâle, à la mine fatigué. Cet homme le supplia de l'aider, de lui laisser se nourrir de son malheur, suite à cela Miki découvrit que cet "homme" n'en était pas un en vérité mais un akashibito, un être qui se nourrit des émotions négatives de son maitre. Miki décida donc de l'aider et de passer un contrat avec celui-ci, enfin heureux que son malheur soit utile à quelqu'un. On suit l'histoire de la cohabitation qu'ont ces deux êtres de nature différentes mais aussi le retour du bonheur de Miki. C'est une romance très mignonne, calme mais assez différentes des autres yaoi one-shot. J'ai vraiment apprécié lire ce manga, entre retournement de situation, découverte inattendu mais aussi moment mignon, choupi et plein d'amour je trouve que ce yaoi ce lit très bien, les dessins ne sont pas brouillons ou brusque contrairement à certains mangas et surtout yaoi, l'histoire tient debout, elle est plutôt bien écrite et se suit très bien. Personnellement j'aurai aimé une suite, en savoir plus sur les akashibito mais c'est comme ça, et l'histoire est très bien comme ça quand bien même. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-amour-transparent?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Une très bonne romantasy comme le dirait certaines de mes amis (une romance avec de la fantasy). Miki est un jeune humain malchanceux au possible depuis tout petit, il n'est pas sociable, très timide et assez pris par des pensées négatives. Un jour Miki rencontre un homme pâle, à la mine fatigué. Cet homme le supplia de l'aider, de lui laisser se nourrir de son malheur, suite à cela Miki découvrit que cet "homme" n'en était pas un en vérité mais un akashibito, un être qui se nourrit des émotions négatives de son maitre. Miki décida donc de l'aider et de passer un contrat avec celui-ci, enfin heureux que son malheur soit utile à quelqu'un. On suit l'histoire de la cohabitation qu'ont ces deux êtres de nature différentes mais aussi le retour du bonheur de Miki. C'est une romance très mignonne, calme mais assez différentes des autres yaoi one-shot. J'ai vraiment apprécié lire ce manga, entre retournement de situation, découverte inattendu mais aussi moment mignon, choupi et plein d'amour je trouve que ce yaoi ce lit très bien, les dessins ne sont pas brouillons ou brusque contrairement à certains mangas et surtout yaoi, l'histoire tient debout, elle est plutôt bien écrite et se suit très bien. Personnellement j'aurai aimé une suite, en savoir plus sur les akashibito mais c'est comme ça, et l'histoire est très bien comme ça quand bien même.
  22. Titre de l'album : I want to see u shy tome 1 Scenariste de l'album : Rakure Umagome Dessinateur de l'album : Rakure Umagome Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Par curiosité, Akito Shirasawa diffuse la vidéo X qu’il a tournée en plein festival culturel de son école. Mais il est loin d’imaginer toutes les conséquences de sa blague… surtout lorsque Kaho Honjô, une camarade de promo qu’il a surprise en train de se donner du plaisir, vient solliciter son aide pour réaliser ses fantasmes… Critique : Akito Shirasawa est un lycéen épris de cinéma, grâce à son défunt père qui était réalisateur, il a des exigences en matière de qualité de l’image, construction du scénario et intérêt de l’histoire. Alors lorsque ses camarades de classe lui proposent de réaliser leur film, il accepte mais trouve leur film ennuyeux à mourir. Du coup, lors de la projection lors du festival de l’école, Akito remplace leur film par un de ses réalisations : la relation adultère et charnelle entre deux de ses professeurs. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, Akito ne cherche pas à faire des films érotiques et n’est pas spécialement pervers, réputation qu’il aura après cette projection en plus d’un renvoi temporaire du lycée… Il est vraiment dans une démarche artistique : faire un film intéressant que ce soit sur le sujet mais surtout sur la qualité des prises de vues (images et point de vues). Il cherche avant tout à donner une sensation au public. Alors quand sa camarade de classe lui propose un projet osé parce que pour elle, ce sera la façon de se dévoiler et d’exister en quelque sorte, il va tout mettre en œuvre pour réaliser l’œuvre parfaite sans prendre en compte les conséquences. On assiste à toute la passion d’un cinéaste et une passion d’autant plus difficile à défendre quand on veut mettre en avant la beauté du corps humain et de la sexualité. Avec son sujet atypique, le manga sait séduire, en plus d’un propos réfléchi sur le cinéma, on navigue ente érotisme et fantasmes avec un graphisme soigné et une héroïne aux formes généreuses. A découvrir mais à réserver à un public averti. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/i-want-to-see-u-shy-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    I want to see u shy tome 1

    Akito Shirasawa est un lycéen épris de cinéma, grâce à son défunt père qui était réalisateur, il a des exigences en matière de qualité de l’image, construction du scénario et intérêt de l’histoire. Alors lorsque ses camarades de classe lui proposent de réaliser leur film, il accepte mais trouve leur film ennuyeux à mourir. Du coup, lors de la projection lors du festival de l’école, Akito remplace leur film par un de ses réalisations : la relation adultère et charnelle entre deux de ses professeurs. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, Akito ne cherche pas à faire des films érotiques et n’est pas spécialement pervers, réputation qu’il aura après cette projection en plus d’un renvoi temporaire du lycée… Il est vraiment dans une démarche artistique : faire un film intéressant que ce soit sur le sujet mais surtout sur la qualité des prises de vues (images et point de vues). Il cherche avant tout à donner une sensation au public. Alors quand sa camarade de classe lui propose un projet osé parce que pour elle, ce sera la façon de se dévoiler et d’exister en quelque sorte, il va tout mettre en œuvre pour réaliser l’œuvre parfaite sans prendre en compte les conséquences. On assiste à toute la passion d’un cinéaste et une passion d’autant plus difficile à défendre quand on veut mettre en avant la beauté du corps humain et de la sexualité. Avec son sujet atypique, le manga sait séduire, en plus d’un propos réfléchi sur le cinéma, on navigue ente érotisme et fantasmes avec un graphisme soigné et une héroïne aux formes généreuses. A découvrir mais à réserver à un public averti.
  24. poseidon2

    Kurage

    Titre de l'album : Kurage Scenariste de l'album : Hishiwo Miyazawa Dessinateur de l'album : Hishiwo Miyazawa Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Alors que, comme d'habitude, il prend son bus pour rentrer chez lui, en banlieue, voilà qu'il s'endort. Mais il ne se réveille qu'au terminus du bus, une petite station balnéaire à l'atmosphère douce et lente. Sorti de son quotidien, il s'offre un instant de repos, moment que son esprit choisit pour lui remémorer de lointains souvenirs, et la mémoire d'un amour fugace, entrevu et aussitôt disparu, qu'il croyait avoir oublié. Cet homme va devoir faire face à la mémoire, aux souvenirs et aux regrets, bercé par les flots lents et réguliers du ressac. Mais est-ce vraiment la réalité ? Critique : Kurage c'est une des très bonnes surprises manga de ce début de rentrée (bon ok, on n'est pas au début, mais presque). Surprise en partie parce que c'est un manga qui prend son temps. Un manga qui détonne au milieu des parutions actuelles, toutes plus speed les une que les autres. Pour tout vous dire j'y ai retrouvé un bon gout de Taniguchi. Une filiation avec le journal de mon père surtout. Il faut dire que l'histoire n'est pas très éloignée, même si celle-ci est plus poétique. Elle nous invite à la réflexion sur ce qui peut se cacher au fond de nous et ce que l'on pourrait être si on réussissait à être en accord avec nos erreurs passées. Et cela sans brutalité et sans pression. Une belle découverte pour un moment de calme et de réflexion. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kurage?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. poseidon2

    Kurage

    Kurage c'est une des très bonnes surprises manga de ce début de rentrée (bon ok, on n'est pas au début, mais presque). Surprise en partie parce que c'est un manga qui prend son temps. Un manga qui détonne au milieu des parutions actuelles, toutes plus speed les une que les autres. Pour tout vous dire j'y ai retrouvé un bon gout de Taniguchi. Une filiation avec le journal de mon père surtout. Il faut dire que l'histoire n'est pas très éloignée, même si celle-ci est plus poétique. Elle nous invite à la réflexion sur ce qui peut se cacher au fond de nous et ce que l'on pourrait être si on réussissait à être en accord avec nos erreurs passées. Et cela sans brutalité et sans pression. Une belle découverte pour un moment de calme et de réflexion.
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