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  1. poseidon2

    Coffee moon t4

    Titre de l'album : Coffee moon t4 Scenariste de l'album : Mochito Bota Dessinateur de l'album : Mochito Bota Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Des jeunes filles se battent pour briser le cycle du temps et connaître enfin le lendemain ! Déterminées à enrayer la boucle infernale et injuste où elles sont enfermées, Pieta et ses amies reçoivent la visite inopinée d'une jeune fille nommée Stéphanie.Cette dernière, qui a aussi des cercles concentriques dans les yeux, leur propose une alliance qui laisse nos héroïnes perplexes. C'est alors que Niki s'exclame... Je connais une autre fille avec les yeux en spirale ! Un groupe de détentrices de pouvoirs qui s'est ligué contre la Syzygie, et qui semble bien connaître les pouvoirs reçus par Pieta et certaines de ses amies...Le ricanement d'une sorcière se fait entendre dans la nuit... Nouvelles aventures en perspective dans ce quatrième volume ! Critique : Bon ce que je craignais est en train de se produire. L'histoire super intrigante des deux premiers tomes, entre angoisse et thriller psychologique, est en train de tourner complètement au... n'importe quoi. Il faut le dire 😞 Chaque nouveau tome apporte des nouvelles filles aux nouveaux pouvoirs et ce deux par deux. On en vient à les confondre tout en perdant de vue ce qu'il se passe vraiment. Plus de boucle temporelle ? Mais alors pourquoi cette troisième aiguille qui apparait de nouveau ? Et où étaient les méchants dans les deux premiers tomes ? ils dormaient ? ils refaisaient leurs journées de méchant peinard ? Bref on a l'impression que le succès du début à pousser notre auteur à chercher la série longue… sans forcément réfléchir plus en amont sur un scenario qui monte de façon logique et compréhensible. Je ne sais trop quoi espérer du projet, en sachant qu'il y en a 5 (série en cours) au japon. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/coffee-moon-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Nickad

    A vos côtés

    Tôru est un jeune homme qui a fini ses études et commencé à travailler, il a deux ambitions pour le moment : économiser suffisamment pour déménager et quitter le domicile familial et photographier les chevaux sur les champs de course. Pour assouvir sa passion, il fait souvent les navettes entre Tokyo et Kyoto, c’est là qu’il repère un homme plus âgé qui semble éreinté par son travail. Le trouvant différent, il se met à le regarder puis une fois chez lui, il y repense, espère le revoir et commence à se demander s’il n’est pas amoureux de lui. Natsume ONO, aussi connue sous le pseudo BASSO a commencé sa carrière en 2004, certaines de ses œuvres ont été publiées en France à partir de 2006 (Goyô, Ristorante paradiso et Gente) mais elles sont plutôt restées confidentielles. Peut-être que le scénario a joué mais c’est surtout son graphisme, en marge du style classique « manga » qui a classée l’autrice dans une case à part. Il faut reconnaître qu’il y a un temps d’adaptation à la lecture et souvent il faut plus se fier aux mots qu’au graphisme pour apprécier la situation. Ses personnages ont tendance à être très longilignes avec quelques disproportions au niveau des yeux. C’est un peu dommage car il y a un risque de passer à côté de récits intéressants, une réflexion que je m’étais déjà faite en lisant Gente il y a plus de 10 ans… Bref, passé le côté graphique, on a une histoire intéressante, une tranche de vie qui parle d’une rencontre tout simplement. Une rencontre inattendue, un petit rien qui marque une personne et qui pourrait en rester là ; et puis qui s’étoffe très lentement au fil des jours. Sans vraiment provoquer le destin, sans chercher vraiment à aller plus loin, la vie va permettre aux personnages de se recroiser et petit à petit se parler jusqu’à ce que Tôru fasse un premier pas timide, sans vouloir s’immiscer vraiment dans la vie de l’autre tout en voulant en faire partie. Et c’est cette élégance qui marque, cette retenue qui existe, cette position délicate d’être sur le fil du rasoir… Le manga nous propose une belle approche de la romance. A découvrir.
  3. Nickad

    A vos côtés

    Titre de l'album : A vos côtés Scenariste de l'album : BASSO Dessinateur de l'album : BASSO Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Bien que Tooru économise afin de pouvoir vivre indépendamment de ses parents, le jeune salarié, soffre de temps en temps un aller-retour à Kyoto afin dassister à des courses hippiques, où il sadonne à son loisir : la photographie. Mais un soir, alors quil revient de lhippodrome en train, il remarque un homme nettement plus âgé que lui, à lair éreinté. Fasciné par ce col blanc, il lépie depuis un siège voisin dans le wagon, et se laisse captiver par ses manières, sa façon de manger, latmosphère quil dégage. Bientôt, ce ne sera plus uniquement pour aller voir des chevaux quil se rendra à Kyoto... Critique : Tôru est un jeune homme qui a fini ses études et commencé à travailler, il a deux ambitions pour le moment : économiser suffisamment pour déménager et quitter le domicile familial et photographier les chevaux sur les champs de course. Pour assouvir sa passion, il fait souvent les navettes entre Tokyo et Kyoto, c’est là qu’il repère un homme plus âgé qui semble éreinté par son travail. Le trouvant différent, il se met à le regarder puis une fois chez lui, il y repense, espère le revoir et commence à se demander s’il n’est pas amoureux de lui. Natsume ONO, aussi connue sous le pseudo BASSO a commencé sa carrière en 2004, certaines de ses œuvres ont été publiées en France à partir de 2006 (Goyô, Ristorante paradiso et Gente) mais elles sont plutôt restées confidentielles. Peut-être que le scénario a joué mais c’est surtout son graphisme, en marge du style classique « manga » qui a classée l’autrice dans une case à part. Il faut reconnaître qu’il y a un temps d’adaptation à la lecture et souvent il faut plus se fier aux mots qu’au graphisme pour apprécier la situation. Ses personnages ont tendance à être très longilignes avec quelques disproportions au niveau des yeux. C’est un peu dommage car il y a un risque de passer à côté de récits intéressants, une réflexion que je m’étais déjà faite en lisant Gente il y a plus de 10 ans… Bref, passé le côté graphique, on a une histoire intéressante, une tranche de vie qui parle d’une rencontre tout simplement. Une rencontre inattendue, un petit rien qui marque une personne et qui pourrait en rester là ; et puis qui s’étoffe très lentement au fil des jours. Sans vraiment provoquer le destin, sans chercher vraiment à aller plus loin, la vie va permettre aux personnages de se recroiser et petit à petit se parler jusqu’à ce que Tôru fasse un premier pas timide, sans vouloir s’immiscer vraiment dans la vie de l’autre tout en voulant en faire partie. Et c’est cette élégance qui marque, cette retenue qui existe, cette position délicate d’être sur le fil du rasoir… Le manga nous propose une belle approche de la romance. A découvrir. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/a-vos-cotes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Nouvelle série Doki Doki avec... et bien un Isekai ! Un ! Mais un très bon isekai ! très bon car reprenant la base de la réincarnation : un mort qui renait et dont nous vivons... la naissance et l'enfance. Enfance normale et super intéressante. En effet, on n'est pas, ici, dans un isekai ou une personne vient d'un autre monde et tombe dans un monde "type" jeu vidéo (avec compétence, expérience et level up). On est ici dans un isekai assez pur, qui n'est pas sans rappeler les excellents premiers tomes de Mushoku Tensei. Notre jeune garçon grandit, s'adapte à sa nouvelle vie en cherchant à ne pas perdre l'expérience de sa vie passée. Mais ce tome 1 va au-delà de la simple renaissance. Il nous présente un monde médiéval fantastique dans lequel notre héros est amené à jouer un rôle intéressant. Bref un excellent début de série 🙂
  5. Titre de l'album : Conqueror of the dying kingdom t1 Scenariste de l'album : Fudeorca / Toi8 Dessinateur de l'album : Muramasa Sabiku Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Face à la guerre qui approche, le paisible éleveur d'oiseaux géants doit prendre son envol et affronter son destin ! Avant de se réincarner dans le royaume de Shiyalta, Yuri était un jeune homme seul et ayant perdu goût à la vie.Dans ce nouveau monde de fantasy, la vie de Yuri trouve enfin un sens : des parents aimants, et un avenir prometteur dans le ranch de son père, dédié à l'élevage d'oiseaux géants. Ces aigles rois sont destinés à servir de montures aux soldats d'une guerre certes lointaine, mais contre un envahisseur toujours plus pressant... Cependant, la gangrène se développe insidieusement au coeur du royaume et la guerre se rapproche de Yuri et de sa famille, irrémédiablement... Après la mort de son oncle, Yuri est convoqué par son clan... Un grand destin attend notre héros ! Critique : Nouvelle série Doki Doki avec... et bien un Isekai ! Un ! Mais un très bon isekai ! très bon car reprenant la base de la réincarnation : un mort qui renait et dont nous vivons... la naissance et l'enfance. Enfance normale et super intéressante. En effet, on n'est pas, ici, dans un isekai ou une personne vient d'un autre monde et tombe dans un monde "type" jeu vidéo (avec compétence, expérience et level up). On est ici dans un isekai assez pur, qui n'est pas sans rappeler les excellents premiers tomes de Mushoku Tensei. Notre jeune garçon grandit, s'adapte à sa nouvelle vie en cherchant à ne pas perdre l'expérience de sa vie passée. Mais ce tome 1 va au-delà de la simple renaissance. Il nous présente un monde médiéval fantastique dans lequel notre héros est amené à jouer un rôle intéressant. Bref un excellent début de série 🙂 Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/conqueror-of-the-dying-kingdom-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Nickad

    Allez aime moi !

    Allez, aime-moi ! parle de deux jeunes comédiens. Le premier, Rei, est un génie, il arrive à se mettre facilement dans la peau de ses personnages à tel point qu’il devient celui qu’il incarne. Seulement une fois le rôle fini, il n’en garde pas de souvenirs et ignore qui il est vraiment. Le second, Akira, excelle en mannequinat mais il lui manque la capacité à vraiment entrer dans son rôle quand il est acteur, quoi qu’il joue il reste Akira. Chacun va envier ce que l’autre a alors que se passera-t-il quand ils devront jouer ensemble ? J’ai choisi ce titre parce qu’il abordait le thème du comédien et de son rapport à sa façon de jouer et d’incarner son rôle. Une thématique qui m’intéresse car j’ai quelques comédiens plus ou moins amateurs dans mon entourage ; c’est aussi la raison pour laquelle j’avais lu Thermomètre sentimental qui pour le coup n’avait aucun intérêt sur ce sujet. Les deux personnages abordent leur métier de façon différente mais intéressante bien que le cas de Rei soit assez extrême et peu crédible (le fait qu’il ne se souvienne pas de ses tournages par exemple). Ce qui est surtout bien c’est de montrer les différences pour un comédien entre ses moments on et off, ce qu’il est et ce qu’il peut être. La partie romance du livre est assez anodine et ne se trouve pas au cœur de l’histoire, une simple amitié aurait fait l’affaire mais bon c’est un yaoi alors il faut qu’il y ait de l’amour ! La seconde histoire, elle, aborde le sujet toujours compliqué du mélange entre amitié et amour et reste plutôt classique. Un manga plutôt bien fait et intéressant, et si vous êtes intéressé par l’aspect comédien, je vous conseille d’aller lire Seiyuka, un manga qui parle des comédiens de doublage et qui est vraiment assez poussé sur cette thématique (enfin si vous le trouvez…).
  7. Nickad

    Allez aime moi !

    Titre de l'album : Allez aime moi ! Scenariste de l'album : LONDON Pariko Dessinateur de l'album : LONDON Pariko Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Akira, mannequin, souhaite faire carrière dans le cinéma. Après avoir été accepté à une audition en tant que personnage principal, il apprend qu'il tournera avec Rei Kinosaki, acteur depuis son enfance, que tout le monde considère comme un génie. Akira lui-même a déjà rencontré Rei une fois, un souvenir qui ne s'est toujours pas effacé de sa mémoire. Lorsque le tournage commence, il ne tarde pas à se rendre compte que Rei est quelqu'un de très particulier : chaque fois qu'on lui donne un rôle, il s'en imprègne jusqu'à devenir son personnage... Critique : Allez, aime-moi ! parle de deux jeunes comédiens. Le premier, Rei, est un génie, il arrive à se mettre facilement dans la peau de ses personnages à tel point qu’il devient celui qu’il incarne. Seulement une fois le rôle fini, il n’en garde pas de souvenirs et ignore qui il est vraiment. Le second, Akira, excelle en mannequinat mais il lui manque la capacité à vraiment entrer dans son rôle quand il est acteur, quoi qu’il joue il reste Akira. Chacun va envier ce que l’autre a alors que se passera-t-il quand ils devront jouer ensemble ? J’ai choisi ce titre parce qu’il abordait le thème du comédien et de son rapport à sa façon de jouer et d’incarner son rôle. Une thématique qui m’intéresse car j’ai quelques comédiens plus ou moins amateurs dans mon entourage ; c’est aussi la raison pour laquelle j’avais lu Thermomètre sentimental qui pour le coup n’avait aucun intérêt sur ce sujet. Les deux personnages abordent leur métier de façon différente mais intéressante bien que le cas de Rei soit assez extrême et peu crédible (le fait qu’il ne se souvienne pas de ses tournages par exemple). Ce qui est surtout bien c’est de montrer les différences pour un comédien entre ses moments on et off, ce qu’il est et ce qu’il peut être. La partie romance du livre est assez anodine et ne se trouve pas au cœur de l’histoire, une simple amitié aurait fait l’affaire mais bon c’est un yaoi alors il faut qu’il y ait de l’amour ! La seconde histoire, elle, aborde le sujet toujours compliqué du mélange entre amitié et amour et reste plutôt classique. Un manga plutôt bien fait et intéressant, et si vous êtes intéressé par l’aspect comédien, je vous conseille d’aller lire Seiyuka, un manga qui parle des comédiens de doublage et qui est vraiment assez poussé sur cette thématique (enfin si vous le trouvez…). Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/allez-aime-moi?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Sett a interrompu le tournoi pour aller affronter Azur, le roi met fin à cette situation et confine Sett pendant un mois. Azur demande à Nina de repartir avec lui mais elle décline cette proposition voulant aller au bout de sa résolution de protéger leur pays Fortuna par ses propres moyens et également parce qu’elle s’est attachée à Sett. Pendant que son cœur balance entre les deux garçons, d’autres princes agissent dans l’ombre et la situation dégénère. Encore un grand tome de l’épopée de Nina ! Si auparavant, on avait l’impression d’être dans des querelles de succession gentillettes, les actions augmentent d’un niveau et passent aux choses sérieuses. Ce ne sont plus des bâtons dans les roues qui sont mis en action mais bien une élimination définitive que ce soit pour les envoyés de Fortuna ou pour ceux qui ne sont pas dans les bonnes grâces des princes. Je vous avertis, le prochain tome sera fabuleux et va nous emmener encore plus loin dans l’action et les rebondissements ! Ce nouveau tome de Nina du royaume aux étoiles reste dans la même veine que les précédents, on ne s’ennuie pas et one ne sait quel parti prendre entre Sett et Azur ! Mon seul bémol serait graphiquement, les yeux « shojo kawaii » de Nina sont un peu trop grands, mais cela reste du détail. Vivement le prochain tome !
  9. Titre de l'album : Nina du royaume aux étoiles tome 6 Scenariste de l'album : RIKACHI Dessinateur de l'album : RIKACHI Coloriste : Editeur de l'album : Michel Lafon Note : Résumé de l'album : J'ai pris ma décision. On attaquera Fortuna avant l'arrivée du printemps. Pour ses agissements lors du tournoi de l'empire, Sett est emprisonné. De son côté, Nina réussit à parler seule à seul avec Azur qui lui réitère son envie de la faire revenir à Fortuna. Mais la princesse est bien résolue à rester à Galgada pour les protéger, lui et son pays. Et elle va devoir faire vite car le roi de Galgada décide d'avancer le mariage entre Nina et Sett, et l'invasion de Fortuna. Critique : Sett a interrompu le tournoi pour aller affronter Azur, le roi met fin à cette situation et confine Sett pendant un mois. Azur demande à Nina de repartir avec lui mais elle décline cette proposition voulant aller au bout de sa résolution de protéger leur pays Fortuna par ses propres moyens et également parce qu’elle s’est attachée à Sett. Pendant que son cœur balance entre les deux garçons, d’autres princes agissent dans l’ombre et la situation dégénère. Encore un grand tome de l’épopée de Nina ! Si auparavant, on avait l’impression d’être dans des querelles de succession gentillettes, les actions augmentent d’un niveau et passent aux choses sérieuses. Ce ne sont plus des bâtons dans les roues qui sont mis en action mais bien une élimination définitive que ce soit pour les envoyés de Fortuna ou pour ceux qui ne sont pas dans les bonnes grâces des princes. Je vous avertis, le prochain tome sera fabuleux et va nous emmener encore plus loin dans l’action et les rebondissements ! Ce nouveau tome de Nina du royaume aux étoiles reste dans la même veine que les précédents, on ne s’ennuie pas et one ne sait quel parti prendre entre Sett et Azur ! Mon seul bémol serait graphiquement, les yeux « shojo kawaii » de Nina sont un peu trop grands, mais cela reste du détail. Vivement le prochain tome ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nina-du-royaume-aux-etoiles-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nickad

    Club naked tome 1

    Tachibana, employé, se fait trainer plus ou moins de force par sa cheffe dans un club de strip-tease pour femme. Elle estime qu’il manque de charisme et qu’il pourrait en tirer une leçon. Pensant ne voir que des hommes nus se trémousser, Tachibana est surpris par la qualité du spectacle et par le niveau des danseurs surtout leur star Rio. Il revient tous les vendredis pour y assister mais s’en va toujours avant le final (le nu intégral). Un jour il aide Rio et ils deviennent plus proches. Le manga propose une jolie thématique, pas joli parce qu’il y a de beaux éphèbes à regarder quoi que cela agrémente sympathiquement l’histoire mais joli car c’est un thème que je n’avais pas encore vu être abordé tout au moins dans ce sens-là. Je parle bien sûr de l’univers du strip-tease. Il est intéressant de voir comment ces travailleurs sont perçus (artistiquement ou sexuellement) et comment eux, vivent ce travail très clivant. En même temps, il y a la construction des relations personnelles qui ne sont pas toujours évidentes à établir quand on fait ce genre de métier. Tout comme Amour placebo qui aborde la prostitution, ce manga nous entraine dans un univers méconnu et permet de voir les éléments sous un autre angle. L’histoire reste tout de même romancée, elle n’est pas non plus une analyse psychologique poussée et reste sur une note positive. Une histoire agréable à lire et à regarder.
  11. Nickad

    Club naked tome 1

    Titre de l'album : Club naked tome 1 Scenariste de l'album : SAGAWA Miku Dessinateur de l'album : SAGAWA Miku Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Tachibana, ingénieur système qui n'a jamais eu de petite amie malgré son âge, est forcé un soir par sa supérieure de l'accompagner dans un club de stripteaseurs nommé Naked. C'est alors qu'il est subjugué par Rio, le numéro un ! Entre les shows élaborés aux tenues diverses et les beaux corps musclés, Tachibana apprécie le spectacle bien qu'il soit un homme. Qui aurait cru que le jour viendrait où il aimerait admirer un strip-teaseur à moitié nu ! Il commence ainsi à se rendre au club chaque semaine comme s'il était devenu accro...?! Critique : Tachibana, employé, se fait trainer plus ou moins de force par sa cheffe dans un club de strip-tease pour femme. Elle estime qu’il manque de charisme et qu’il pourrait en tirer une leçon. Pensant ne voir que des hommes nus se trémousser, Tachibana est surpris par la qualité du spectacle et par le niveau des danseurs surtout leur star Rio. Il revient tous les vendredis pour y assister mais s’en va toujours avant le final (le nu intégral). Un jour il aide Rio et ils deviennent plus proches. Le manga propose une jolie thématique, pas joli parce qu’il y a de beaux éphèbes à regarder quoi que cela agrémente sympathiquement l’histoire mais joli car c’est un thème que je n’avais pas encore vu être abordé tout au moins dans ce sens-là. Je parle bien sûr de l’univers du strip-tease. Il est intéressant de voir comment ces travailleurs sont perçus (artistiquement ou sexuellement) et comment eux, vivent ce travail très clivant. En même temps, il y a la construction des relations personnelles qui ne sont pas toujours évidentes à établir quand on fait ce genre de métier. Tout comme Amour placebo qui aborde la prostitution, ce manga nous entraine dans un univers méconnu et permet de voir les éléments sous un autre angle. L’histoire reste tout de même romancée, elle n’est pas non plus une analyse psychologique poussée et reste sur une note positive. Une histoire agréable à lire et à regarder. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/club-naked-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Réédition grand format pour Space Chef Caisar de Boichi. Et l'occasion, pour ceux qui ne l'auraient pas lu, de profiter pleinement… du dessin et des personnages féminins de l'auteur de Dr Stone, Sun-kun Rock et récemment de rien de moi que le spin off de One Piece sur Ace. Car il ne faut pas se mentir : si les blagues et gags sont un des intérêts de cette lecture, ce one shot sert surtout à Boichi à mettre en avant sa "pâte" concernant la présentation de la gent féminine et des situations ambiguës. Et je dois bien avouer que j'ai étrangement bien plus apprécié cette relecture que la première que je trouvais un poil de placé. Surement dû à l'age (ou au format allait savoir) mais j'ai, cette fois-ci, adoré ! Comme quoi tout change
  13. Titre de l'album : Space chef Caisar - grand format Scenariste de l'album : Boichi Dessinateur de l'album : Boichi Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : SF, cuisine, action : (re)découvrez en grand format une grande aventure intergalactique à la sauce Boichi ! An 999 du calendrier spatial... trois jolies filles, les monster hunters du team Manade, sillonnent la galaxie. A leurs côte s voyage un jeune chef, sous les fre les traits duquel se cache la le gende des fourneaux galactiques : Caisar ! De son hachoir, il pourfend avec aisance tous les ingre dients et les embu ches qui se dressent devant lui... mais quel est son vrai but ? Critique : Réédition grand format pour Space Chef Caisar de Boichi. Et l'occasion, pour ceux qui ne l'auraient pas lu, de profiter pleinement… du dessin et des personnages féminins de l'auteur de Dr Stone, Sun-kun Rock et récemment de rien de moi que le spin off de One Piece sur Ace. Car il ne faut pas se mentir : si les blagues et gags sont un des intérêts de cette lecture, ce one shot sert surtout à Boichi à mettre en avant sa "pâte" concernant la présentation de la gent féminine et des situations ambiguës. Et je dois bien avouer que j'ai étrangement bien plus apprécié cette relecture que la première que je trouvais un poil de placé. Surement dû à l'age (ou au format allait savoir) mais j'ai, cette fois-ci, adoré ! Comme quoi tout change Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/space-chef-caisar?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Nickad

    Obey me ! tome 1

    A l’origine obey me ! est un jeu pour smartphone et c’est un otome game : un jeu de drague où il faut conquérir les différents personnages. Il a ensuite été décliné en anime (2 saisons disponibles) avant d’arriver en manga. Après cette lecture qui ne m’a pas vraiment emballée, je suis allée voir quelques moments de l’anime. Une chose est sûre, c’est qu’il a exactement le même intérêt que le manga, à savoir les beaux gosses !! Concernant l’histoire, Ibuki, une jeune humaine arrive subitement au royaume des démons dans le cadre d’un échange scolaire. L’académie est dirigée par Diavolo et une fratrie de 7 garçons tient le haut du panier : Lucifer, Mammon, Leviathan, Satan, Asmodeus, Beelzebub, Belphégor. Ibuki va chercher à devenir amie avec eux pour rester en vie d’une part car l’âme d’un humain est délicieuse et pour retrouver son apparence car pour le moment elle ressemble à un mini mouton. Chacun des frères représente un péché capital et a donc un caractère bien défini. Concrètement le manga n’a pas un grand intérêt, l’auteur dit même que le scénario repose sur les « gags marquants » du jeu. Comme ici, le lecteur n’a pas d’actions à mener et que le personnage principal (Ibuki) n’est pas mis en avant, il n’y a pas grand-chose d’autres à faire que de reluquer les 7 frères. Alors amoureux et amoureuses des beaux garçons, ne vous privez pas d’aller voir les dessins qui sont l’atout majeur du livre. Inventez des situations, voyez les personnages en uke, seme… et imaginez des dōjinshi car c’est bien la seule chose à faire avec ce manga qui est fini en 3 tomes !
  15. Nickad

    Obey me ! tome 1

    Titre de l'album : Obey me ! tome 1 Scenariste de l'album : NTT Solmare Dessinateur de l'album : NITÔ Subaru Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Tiré d'un jeu mobile à succès, le phénomène Obey Me ! débarque en France ! Dans la "RAD", une école du monde des démons, Ibuki, une humaine choisie pour participer au programme d'échange scolaire, se rend compte qu'elle a perdu la mémoire et qu'elle se réveille sous la forme d'un mouton. Pour couronner le tout, elle se retrouve entourée de sept frères démons, tous plus beaux les uns que les autres. Avec deux anges et un autre humain sorcier, elle démarre une année scolaire intense dans le monde des démons !! Critique : A l’origine obey me ! est un jeu pour smartphone et c’est un otome game : un jeu de drague où il faut conquérir les différents personnages. Il a ensuite été décliné en anime (2 saisons disponibles) avant d’arriver en manga. Après cette lecture qui ne m’a pas vraiment emballée, je suis allée voir quelques moments de l’anime. Une chose est sûre, c’est qu’il a exactement le même intérêt que le manga, à savoir les beaux gosses !! Concernant l’histoire, Ibuki, une jeune humaine arrive subitement au royaume des démons dans le cadre d’un échange scolaire. L’académie est dirigée par Diavolo et une fratrie de 7 garçons tient le haut du panier : Lucifer, Mammon, Leviathan, Satan, Asmodeus, Beelzebub, Belphégor. Ibuki va chercher à devenir amie avec eux pour rester en vie d’une part car l’âme d’un humain est délicieuse et pour retrouver son apparence car pour le moment elle ressemble à un mini mouton. Chacun des frères représente un péché capital et a donc un caractère bien défini. Concrètement le manga n’a pas un grand intérêt, l’auteur dit même que le scénario repose sur les « gags marquants » du jeu. Comme ici, le lecteur n’a pas d’actions à mener et que le personnage principal (Ibuki) n’est pas mis en avant, il n’y a pas grand-chose d’autres à faire que de reluquer les 7 frères. Alors amoureux et amoureuses des beaux garçons, ne vous privez pas d’aller voir les dessins qui sont l’atout majeur du livre. Inventez des situations, voyez les personnages en uke, seme… et imaginez des dōjinshi car c’est bien la seule chose à faire avec ce manga qui est fini en 3 tomes ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/obey-me-l-academie-des-demons-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Titre de l'album : Blue Lock - épisode Nagi t1 Scenariste de l'album : Muneyuki Kaneshiro Dessinateur de l'album : Muneyuki Kaneshiro Coloriste : Editeur de l'album : Pika Note : Résumé de l'album : C'est relou... est la sempiternelle rengaine de Seishirô Nagi, élève de première qui se complait dans la mollesse. Sa vie connaît un tournant radical quand il fait la rencontre de Reo Mikage. Beau, intelligent, sportif et héritier d'une imposante entreprise, Reo a tout pour lui, mais n'a qu'une seule envie : devenir champion du monde de football. Pour y parvenir, il décide d'embrigader le paresseux Nagi dans son club de football après avoir été témoin des dons naturels de ce dernier, capable des prouesses techniques les plus incroyables... sans effort. Dotés de capacités exceptionnelles, le duo ne va pas tarder à se faire remarquer. Notamment par un programme très spécial destiné aux meilleurs attaquants... le Blue Lock ! Critique : Premier hors série de la série à suspens et à succès sur le foot nommé : Blue Lock. Tout amateur de manga de sport n'a pas pu rater la déferlante Blue lock. Comme si une série de plus de 24 tomes (oui oui pour les Français qui n'étaient pas au courant, on n'a pas fini 🙂 ) ne nous donnait pas assez de détails, voici venir les spin off dont le premier sur le personnage de Nagi, personnage numéro deux derrière Isagi. Juste un tome pour remplir encore plus les caisses me demanderez-vous ? Et bien.... pas du tout ! oui oui. En fait, on l'avait oublié, mais Nagi n'est pas parti prenant des 3:4 premiers tomes de Blue Lock. Ca fait bizarre en y repensant, mais on ne connaissait pas son passé et comment il s'est qualifié. Cela rend donc ce spin off savoureux. Surtout qu'on voit Nagi et son compère jouer hors du Blue Lock, un peu comme on l'a vu avec Isagi sur le premier tome. En fait, c'est le premier tome de Blue lock vue par Nagi. On pourrait même s'amuser à intervertir les deux premiers et deuxième tome (car oui la suite arrive) et je pense que notre histoire resterait cohérente. Un vrai plus à la série donc, et pas juste un tome vie pour faire de l'argent. Ca en est presque étonnant ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/blue-lock-episode-nagi-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. poseidon2

    Blue Lock - épisode Nagi t1

    Premier hors série de la série à suspens et à succès sur le foot nommé : Blue Lock. Tout amateur de manga de sport n'a pas pu rater la déferlante Blue lock. Comme si une série de plus de 24 tomes (oui oui pour les Français qui n'étaient pas au courant, on n'a pas fini 🙂 ) ne nous donnait pas assez de détails, voici venir les spin off dont le premier sur le personnage de Nagi, personnage numéro deux derrière Isagi. Juste un tome pour remplir encore plus les caisses me demanderez-vous ? Et bien.... pas du tout ! oui oui. En fait, on l'avait oublié, mais Nagi n'est pas parti prenant des 3:4 premiers tomes de Blue Lock. Ca fait bizarre en y repensant, mais on ne connaissait pas son passé et comment il s'est qualifié. Cela rend donc ce spin off savoureux. Surtout qu'on voit Nagi et son compère jouer hors du Blue Lock, un peu comme on l'a vu avec Isagi sur le premier tome. En fait, c'est le premier tome de Blue lock vue par Nagi. On pourrait même s'amuser à intervertir les deux premiers et deuxième tome (car oui la suite arrive) et je pense que notre histoire resterait cohérente. Un vrai plus à la série donc, et pas juste un tome vie pour faire de l'argent. Ca en est presque étonnant !
  18. poseidon2

    Ring eyes t1

    Nouvelle série de l'auteur de Sky High Survival... ce qui n'est pas forcément un gage de qualité pour moi. La série principale partait sur une bonne idée, mais l'auteur n'a jamais réussi à trouver comment conclure et comment se désengluer des rallonges qu'il avait mises à son scenario. J'espère que c'est pour se ressourcer et pas faute de ventes, mais il nous livre ici une histoire très courte, en 4 tomes. Une histoire qui part tambour battant avec un premier tome qui lance plein de piste. Un personnage central très fort, une histoire de combat pouvoir/sans pouvoir habituelle, mais bien pensé avec un isolement des sans pouvoir et des combats dantesques entre les psychos. De quoi avoir un peu peur. En effet, il y a là toutes les bases pour faire une longue série avec, dès ce tome-ci, une hiérarchie des puissants à battre affichée comme objectifs nécessaires. On se demande donc bien comment cette série pourrait tenir en 4 tomes... Autrement qu'en étant écourtée. J'avoue être un peu circonspect malgré la qualité de ce tome 1
  19. poseidon2

    Ring eyes t1

    Titre de l'album : Ring eyes t1 Scenariste de l'album : Hajime Inoryuu Dessinateur de l'album : Takahiro Ôba Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Dans un monde ou les personnes dotées de pouvoirs extrasensoriels font la loi, une jeune fille a été sauvagement assassinée, le corps coupé en deux dans le sens de la longueur. 12 ans plus tard, pour la venger du criminel resté impuni, Mamoru Inubô, un sans-pouvoirs, décide de se servir de Riko Saibara, une jeune extra, en la séduisant. Mais l'identité de cette dernière et l'ennemi qui les attend risque de s'avérer plus dangereux que prévu... Critique : Nouvelle série de l'auteur de Sky High Survival... ce qui n'est pas forcément un gage de qualité pour moi. La série principale partait sur une bonne idée, mais l'auteur n'a jamais réussi à trouver comment conclure et comment se désengluer des rallonges qu'il avait mises à son scenario. J'espère que c'est pour se ressourcer et pas faute de ventes, mais il nous livre ici une histoire très courte, en 4 tomes. Une histoire qui part tambour battant avec un premier tome qui lance plein de piste. Un personnage central très fort, une histoire de combat pouvoir/sans pouvoir habituelle, mais bien pensé avec un isolement des sans pouvoir et des combats dantesques entre les psychos. De quoi avoir un peu peur. En effet, il y a là toutes les bases pour faire une longue série avec, dès ce tome-ci, une hiérarchie des puissants à battre affichée comme objectifs nécessaires. On se demande donc bien comment cette série pourrait tenir en 4 tomes... Autrement qu'en étant écourtée. J'avoue être un peu circonspect malgré la qualité de ce tome 1 Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ring-eyes-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    Zone fantôme tome 2

    4 nouvelles histoires composent ce second tome, 4 histoires qui ont toutes un rapport aux fantômes mais pas toutes égales en longueur et en intérêt, bien qu’elles soient toutes intéressantes bien entendu. En 3e position, on retrouve la fratrie Hikizuri qui n’a pas pris une ride bien que Junji Itô ait mis 27 ans à y revenir, l’histoire est la suite directe de ce qui s’est passé dans la seconde nouvelle et n’apporte pas trop de nouveauté et ce sera mon bémol sur cet ouvrage. Aussi étonnant que cela paraisse quand on entend l’auteur dire qu’il manque d’inspiration et qu’il est parti d’une simple idée dans un carnet pour écrire ses histoires, cela ne se ressent pas du tout dans l’écriture des nouvelles. Comme quoi, un rien peut inspirer le génie. On appréciera surtout la deuxième histoire du recueil « le village de l’ether » qui est d’ailleurs mise en valeur sur la très belle couverture du recueil et qui a tendance à éclipser un peu les autres. Un récit qui allie science et mysticisme et qui a donné de la difficulté graphiquement à Junji Itô. Un nouveau recueil inédit puisqu’il date de l’année dernière. Comme toujours, il est impossible de prédire ce que l’on va trouver dans les œuvres de Junji Itô et encore moins possible de prévoir le développement ou la chute des récits. C’est peut-être lié à la thématique du livre mais on ressent autant l’impatience de comprendre de quoi il retourne que l’effroi qui se tapie dans l’ombre. A lire.
  21. Titre de l'album : Zone fantôme tome 2 Scenariste de l'album : ITO Junji Dessinateur de l'album : ITO Junji Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Un père obsédé par la poussière vit avec son enfant et deux femmes de ménage chargées de repousser inlassablement ce démon noir, un jeune étudiant décide de retourner dans son village d'enfance et y découvre des maisons abandonnées remplies d'étranges machines et peuplées de personnages fantomatiques, la fratrie Hikizuri convainc une jeune femme de séjourner sous son toit pour déchiffrer le mal qui la hante, un marais envahi de tortues possédées par les âmes de villageois morts lors d'une terrible inondation... Critique : 4 nouvelles histoires composent ce second tome, 4 histoires qui ont toutes un rapport aux fantômes mais pas toutes égales en longueur et en intérêt, bien qu’elles soient toutes intéressantes bien entendu. En 3e position, on retrouve la fratrie Hikizuri qui n’a pas pris une ride bien que Junji Itô ait mis 27 ans à y revenir, l’histoire est la suite directe de ce qui s’est passé dans la seconde nouvelle et n’apporte pas trop de nouveauté et ce sera mon bémol sur cet ouvrage. Aussi étonnant que cela paraisse quand on entend l’auteur dire qu’il manque d’inspiration et qu’il est parti d’une simple idée dans un carnet pour écrire ses histoires, cela ne se ressent pas du tout dans l’écriture des nouvelles. Comme quoi, un rien peut inspirer le génie. On appréciera surtout la deuxième histoire du recueil « le village de l’ether » qui est d’ailleurs mise en valeur sur la très belle couverture du recueil et qui a tendance à éclipser un peu les autres. Un récit qui allie science et mysticisme et qui a donné de la difficulté graphiquement à Junji Itô. Un nouveau recueil inédit puisqu’il date de l’année dernière. Comme toujours, il est impossible de prédire ce que l’on va trouver dans les œuvres de Junji Itô et encore moins possible de prévoir le développement ou la chute des récits. C’est peut-être lié à la thématique du livre mais on ressent autant l’impatience de comprendre de quoi il retourne que l’effroi qui se tapie dans l’ombre. A lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/zone-fantome-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    The gamer tome 1

    Jihan est un lycéen accro aux jeux vidéo à tel point qu’il y fait référence sans arrêt. Un jour, il se découvre une étrange capacité : il est devenu comme un personnage de jeu et peut voir les noms, niveaux et compétences des gens qu’il croise. Il a même une interface où il peut voir son statut, obtenir des points d’expérience et les attribuer là où il le souhaite comme dans un vrai jeu. Il découvre alors qu’il existe autour de lui un autre monde où des humains ont des capacités comme son meilleur ami. Ce dernier lui explique que ce monde caché s’appelle l’Abysse et qu’il est dangereux. Il y a quelques mois je cherchais un nouveau webtoon à lire, ne sachant pas lequel choisir dans cette jungle je me suis dit que j’allais en prendre un qui avait déjà beaucoup de chapitres en me disant que s’il a 300 chapitres (au moins) c’est qu’il fonctionne et qu’il doit être intéressant ! Depuis l’expérience m’a prouvé que ce n’était pas toujours le cas. Donc je tombe sur The Gamer qui en est actuellement à presque 430 chapitres (disponibles sur webtoon naver) ; je commence la lecture avec comme 1ère impression que les épisodes sont assez courts et que le graphisme est moyen (correct mais assez grossier par moment et il va parfois à la facilité). 300 chapitres plus loin, et j’avoue que cela fait 274 jour que je n’ai pas lu de nouveaux chapitres (merci webtoon pour ce décompte très précis !) je me dis toujours la même chose avec en plus un intérêt des plus mitigé. J’ai persisté pourtant mais finalement l’histoire évolue peu et tourne un peu en rond. Pour les amateurs de jeux vidéo qui aime bien les scénarios où il faut construire et développer son environnement (renforcer son domaine, produire des bénéfices…) et pour ceux qui ont du temps à perdre, ce webtoon pourra vous plaire. Ce n’est pas qu’il est désagréable mais comme je le disais précédemment, l’histoire principale avance peu et l’accent est plutôt mis sur le développement et l’utilisation des capacités du gamer. Il y a quand même toute une vérité à découvrir sur l’origine des pouvoirs du héros (et éventuellement les secrets de sa famille) et sur l’Abysse mais ce n’est pas ce qui est mis en avant. A la place vous aurez tout un tas de fenêtres pop-up qui affichent les évolutions et capacités de Jihan qui va passer la majorité de son temps à farmer. The gamer est un webtoon assez ancien puisqu’il est sorti en septembre 2013, adapté d’une série de roman (14 tomes), il est un classique du genre et en a inspiré d’autres. Je conseille de le réserver aux amateurs de jeux vidéo, un autre lecteur pourrait s’y ennuyer.
  23. Nickad

    The gamer tome 1

    Titre de l'album : The gamer tome 1 Scenariste de l'album : Seong Sang-Yeong Dessinateur de l'album : SANG-A Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - KBooks Note : Résumé de l'album : Jihan était un lycéen ordinaire... mais ça, c'était avant d'acquérir la capacité de percevoir le monde qui l'entoure comme un jeu vidéo. Suite à cette découverte, il tombe sur un monde caché rempli d'autres personnes comme lui. Désormais pris entre ses devoirs et ses quêtes, Jihan doit apprendre à maîtriser son nouveau pouvoir afin de progresser dans la vie ! Critique : Jihan est un lycéen accro aux jeux vidéo à tel point qu’il y fait référence sans arrêt. Un jour, il se découvre une étrange capacité : il est devenu comme un personnage de jeu et peut voir les noms, niveaux et compétences des gens qu’il croise. Il a même une interface où il peut voir son statut, obtenir des points d’expérience et les attribuer là où il le souhaite comme dans un vrai jeu. Il découvre alors qu’il existe autour de lui un autre monde où des humains ont des capacités comme son meilleur ami. Ce dernier lui explique que ce monde caché s’appelle l’Abysse et qu’il est dangereux. Il y a quelques mois je cherchais un nouveau webtoon à lire, ne sachant pas lequel choisir dans cette jungle je me suis dit que j’allais en prendre un qui avait déjà beaucoup de chapitres en me disant que s’il a 300 chapitres (au moins) c’est qu’il fonctionne et qu’il doit être intéressant ! Depuis l’expérience m’a prouvé que ce n’était pas toujours le cas. Donc je tombe sur The Gamer qui en est actuellement à presque 430 chapitres (disponibles sur webtoon naver) ; je commence la lecture avec comme 1ère impression que les épisodes sont assez courts et que le graphisme est moyen (correct mais assez grossier par moment et il va parfois à la facilité). 300 chapitres plus loin, et j’avoue que cela fait 274 jour que je n’ai pas lu de nouveaux chapitres (merci webtoon pour ce décompte très précis !) je me dis toujours la même chose avec en plus un intérêt des plus mitigé. J’ai persisté pourtant mais finalement l’histoire évolue peu et tourne un peu en rond. Pour les amateurs de jeux vidéo qui aime bien les scénarios où il faut construire et développer son environnement (renforcer son domaine, produire des bénéfices…) et pour ceux qui ont du temps à perdre, ce webtoon pourra vous plaire. Ce n’est pas qu’il est désagréable mais comme je le disais précédemment, l’histoire principale avance peu et l’accent est plutôt mis sur le développement et l’utilisation des capacités du gamer. Il y a quand même toute une vérité à découvrir sur l’origine des pouvoirs du héros (et éventuellement les secrets de sa famille) et sur l’Abysse mais ce n’est pas ce qui est mis en avant. A la place vous aurez tout un tas de fenêtres pop-up qui affichent les évolutions et capacités de Jihan qui va passer la majorité de son temps à farmer. The gamer est un webtoon assez ancien puisqu’il est sorti en septembre 2013, adapté d’une série de roman (14 tomes), il est un classique du genre et en a inspiré d’autres. Je conseille de le réserver aux amateurs de jeux vidéo, un autre lecteur pourrait s’y ennuyer. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-gamer-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. poseidon2

    Mission : Yozakura family t13

    Arf arf décidément Yozakua Family suit presque trop les codes du manga. Rebelote le retour du tome qui ne sert pas à grand-chose. On continue de dévoiler le prochain objectif de la famille, mais on ne fait pas plus pour laisser la place à ce tome de transition, mettant en scènes différents membres de la famille dans des instants cocasses permettant de mieux les comprendre. Même si je vois l'intérêt de ce genre de tome pour les fans de la série, ils ont tendance à vraiment m'ennuyer 😞 Mais au moins maintenant les objectifs des prochains tomes sont clairs et nous promettent un prochain arc à 200 à l'heure !
  25. Titre de l'album : Mission : Yozakura family t13 Scenariste de l'album : Hitsuji Gondaira Dessinateur de l'album : Hitsuji Gondaira Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : À la recherche de Momo, Taiyô et les Yozakura se rendent dans l'ancienne résidence de la famille. Le vieux manoir est devenu un célèbre lieu hanté qui attire les curieux. Futaba y sent une grande puissance, qui semble contrôler tous les lieux. C'est alors qu'apparaît dame Ninomae, la 2e chef de la famille !! Critique : Arf arf décidément Yozakua Family suit presque trop les codes du manga. Rebelote le retour du tome qui ne sert pas à grand-chose. On continue de dévoiler le prochain objectif de la famille, mais on ne fait pas plus pour laisser la place à ce tome de transition, mettant en scènes différents membres de la famille dans des instants cocasses permettant de mieux les comprendre. Même si je vois l'intérêt de ce genre de tome pour les fans de la série, ils ont tendance à vraiment m'ennuyer 😞 Mais au moins maintenant les objectifs des prochains tomes sont clairs et nous promettent un prochain arc à 200 à l'heure ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mission-yozakura-family-tome-13?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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