Aller au contenu
  • S’inscrire

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'manga'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Catégories

  • Critiques

Forums

  • Les forums BD
    • Toute la BD
    • Projets participatifs
    • Petites Annonces BD
    • Liens BD vers ailleurs
  • Et si on parlait d'autre chose que la bande dessinée ?
    • Améliorons 1001BD
    • Films et séries TV
    • 1001 Jeux Video
    • Livres - Musique - Spectacles - Théatre - Musées
    • 1001 choses à dire
  • TEAM

Calendriers

  • Community Calendar

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui contiennent…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


  1. Titre de l'album : Mieruko-Chan - slice of horror tome 6 Scenariste de l'album : IZUMI Tomoki Dessinateur de l'album : IZUMI Tomoki Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Miko, une lycéenne, s'efforce désespérément d'ignorer les créatures invisibles aux yeux des gens normaux. La jeune fille se rend avec Mitsue, la médium, et Rom, un homme mystérieux, au sanctuaire d'où viennent les créatures responsables de la malédiction des "trois fois". L'endroit est plongé dans une atmosphère mystique et serait intimement lié au passé de Mitsue... Critique : Miko accompagnée de la vieille Mitsue et de l’extravagant Rom sont en chemin pour le temple où Miko a fait un vœu, ils espèrent pouvoir trouver une solution pour aider les deux jeunes filles. Au cours du trajet, on découvre le passé de Mitsue et de Rom qui sont aussi venu dans ce temple il y a de nombreuses années. Depuis le début du manga, il y avait deux divinités renard qui se trouvaient dans l’entourage de Miko. Parfois ces renards étaient bienveillants et parfois non, on ne savait pas trop pourquoi ils étaient là ni ce qu’ils attendaient de Miko. Le mystère est à présent résolu mais des évènements liés au passé de Rom semblent aussi interférer dans la situation de la jeune fille. La représentation des monstres est décidemment le point fort du graphisme de Tomoki Izumi, ils sont originaux et surtout flippants à souhait. Cela tranche avec le personnage de Miko qui a des traits assez ronds digne d’un shojo. Il ne faut pas oublier des petites pointes d’humour (comme les lunettes de soleil protectrice) qui apportent un peu de légèreté dans cette histoire des plus sombres quand on y regarde de près. Un manga toujours fidèle à lui-même qui sait nous sortir de notre routine quotidienne. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mieruko-chan-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Revoilà notre couple tout mignon Chiaki et Kasuma. Après leurs premiers émois dans Let’s be together et une aventure en tant qu’adultes dans let’s be a family, nous pouvons à présent assister à leurs débuts de vie étudiante. Ils ont tous les deux faits leur coming-out, plus ou moins facilement et avec plus ou moins de compréhension de la part de leur famille. Pour que leur couple soit accepté, ils doivent arriver à s’autogérer, chacun a donc pris un logement. Le manga nous propose d’un côté une belle romance, et de l’autre un aspect sociétal avec ces deux-jeunes qui vont devoir assumer ce qu’ils sont et qui ils aiment. On sent qu’il y a toujours une réticence à se montrer, à dire les choses comme elles sont, on sent que le regard des autres à beaucoup d’importance et ce n’est pas étonnant. Mais Tomo Kurahashi arrive à aborder ces thèmes sans plomber l’histoire, en restant neutre, il n’y a pas de jugement, juste des faits et des réalités. Heureusement l’amour triomphe de tout et ce jeune couple met à l’honneur l’Amour avec un grand A.
  3. Titre de l'album : Let's be together - night and day tome 1 Scenariste de l'album : KURAHASHI Tomo Dessinateur de l'album : KURAHASHI Tomo Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Après avoir été des amis d'enfance, Chiaki et Kazuma sortent désormais ensemble. Ils ont emménagé dans des appartements séparés à Tokyo et ont moins le temps de se voir, mais leur amour est encore plus fort qu'à l'époque où ils vivaient dans leur ville natale. Alors ils chérissent encore plus le temps qu'ils peuvent passer ensemble... Que pourrait-il bien manquer à ce tableau idyllique ? Critique : Revoilà notre couple tout mignon Chiaki et Kasuma. Après leurs premiers émois dans Let’s be together et une aventure en tant qu’adultes dans let’s be a family, nous pouvons à présent assister à leurs débuts de vie étudiante. Ils ont tous les deux faits leur coming-out, plus ou moins facilement et avec plus ou moins de compréhension de la part de leur famille. Pour que leur couple soit accepté, ils doivent arriver à s’autogérer, chacun a donc pris un logement. Le manga nous propose d’un côté une belle romance, et de l’autre un aspect sociétal avec ces deux-jeunes qui vont devoir assumer ce qu’ils sont et qui ils aiment. On sent qu’il y a toujours une réticence à se montrer, à dire les choses comme elles sont, on sent que le regard des autres à beaucoup d’importance et ce n’est pas étonnant. Mais Tomo Kurahashi arrive à aborder ces thèmes sans plomber l’histoire, en restant neutre, il n’y a pas de jugement, juste des faits et des réalités. Heureusement l’amour triomphe de tout et ce jeune couple met à l’honneur l’Amour avec un grand A. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/let-s-be-together-s2-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Nickad

    Your turn to die tome 1

    Voici un nouveau manga survival où les personnages sont soumis à une série de tests, et ne savent pas pourquoi ils ont été choisi. La différence par rapport à certains mangas, c’est qu’il y a toujours une solution pour que personne ne meure (pour le moment en tout cas). Mais pour ça, il faut savoir surmonter ses peurs et rester maître de soi pour arriver à réfléchir. Adapté d’un jeu vidéo, la série est en cours et compte 3 tomes, le concept du manga reste le même que dans le jeu : un escape game mortel des plus sordides où il faut plus que jamais faire fonctionner ses neurones. C’est bien là le point négatif du livre, c’est une adaptation de jeu donc le récit privilégie l’action plutôt que la psychologie. On n’a pas le temps d’apprendre à connaître les personnages, les tests sont à peine posés que la solution ou l’issue arrive déjà. On sait que dans un escape game, il faut aller vite et que le temps est limité, mais le manga, lui n’est pas soumis à la même contrainte alors un peu de développement aurait été bienvenu. La partie survival est plutôt bien faite, on a envie aussi de savoir pourquoi les personnages sont là. Après tout va un peu trop vite, cela reste une histoire correcte pour le genre. Extrait
  5. Titre de l'album : Your turn to die tome 1 Scenariste de l'album : NANKIDAI Dessinateur de l'album : IKEGAMI Tatsuya Coloriste : Editeur de l'album : Mana Books Note : Résumé de l'album : Ces derniers temps, Sara Chidouin est tourmentée par un individu énigmatique qu'elle croit même voir devant ses fenêtres. Joe Tazuna, un bon camarade de Sara, se fait du souci pour la jeune fille et se propose de la raccompagner chez elle. C'est là qu'ils sont attaqués par une force inconnue et qu'ils perdent connaissance. À leur réveil, ils constatent avec effroi qu'ils sont retenus prisonniers dans un lieu mystérieux... Critique : Voici un nouveau manga survival où les personnages sont soumis à une série de tests, et ne savent pas pourquoi ils ont été choisi. La différence par rapport à certains mangas, c’est qu’il y a toujours une solution pour que personne ne meure (pour le moment en tout cas). Mais pour ça, il faut savoir surmonter ses peurs et rester maître de soi pour arriver à réfléchir. Adapté d’un jeu vidéo, la série est en cours et compte 3 tomes, le concept du manga reste le même que dans le jeu : un escape game mortel des plus sordides où il faut plus que jamais faire fonctionner ses neurones. C’est bien là le point négatif du livre, c’est une adaptation de jeu donc le récit privilégie l’action plutôt que la psychologie. On n’a pas le temps d’apprendre à connaître les personnages, les tests sont à peine posés que la solution ou l’issue arrive déjà. On sait que dans un escape game, il faut aller vite et que le temps est limité, mais le manga, lui n’est pas soumis à la même contrainte alors un peu de développement aurait été bienvenu. La partie survival est plutôt bien faite, on a envie aussi de savoir pourquoi les personnages sont là. Après tout va un peu trop vite, cela reste une histoire correcte pour le genre. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/your-turn-to-die-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Nickad

    L'enfant du dragon fantôme tome 3

    Eve continue à rendre des petits services, en même temps, elle recherche toutes les informations concernant les dragons. Elle rencontre ainsi d’autres individus et apprend, petit à petit les choses de la vie. Côté graphique, le dessin est superbe, bourré de petits détails et de trouvailles avec un côté super kawaii. C’est du côté scénario qu’il y a un manque. A force d’accumuler des petites histoires du quotidien de cette petite sorcière, on a oublié qu’il y avait un objectif principal : retrouver les enfants du dragon fantôme. Mais le manga étant ce qu’il est, je n’avais aucune envie d’aller vérifier dans le 1er tome et de replonger dans une histoire qui n’est pas vraiment passionnante. Bien sûr cela reste mon point de vue mais il manque indéniablement une étincelle qui mettrait un peu de vie dans l’œuvre. Avoir un univers original et développé ainsi qu’un beau graphisme ne suffit pas à rendre l’histoire palpitante. Si je devais donner un défaut c’est l’absence de liant entre les personnages, ils ont tous l’air d’être un peu blasés, ne laissent pas exploser leurs sentiments et du coup, cela ne déclenche pas d’empathie pour le lecteur. Le manga n’est pas désagréable mais on pourrait très bien aller faire autre chose à la place que cela n’aurait pas d’incidence sur notre culture otaku.
  7. Titre de l'album : L'enfant du dragon fantôme tome 3 Scenariste de l'album : YUKISHIRO Ichi Dessinateur de l'album : YUKISHIRO Ichi Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Un duo magique et improbable paré pour une aventure hors du commun ! Dodo, un dragon fait d'os, et Eve, une petite fille qu'il protège comme sa fille, poursuivent leur travail au bureau des demandes de la sorcière. Toujours dans l'idée de trouver de nouvelles relations pour la jeune fille, le dragon continue de chercher ses enfants pour les lui présenter. C'est alors qu'ils entendent parler d'un village protégé par un dieu dragon. Critique : Eve continue à rendre des petits services, en même temps, elle recherche toutes les informations concernant les dragons. Elle rencontre ainsi d’autres individus et apprend, petit à petit les choses de la vie. Côté graphique, le dessin est superbe, bourré de petits détails et de trouvailles avec un côté super kawaii. C’est du côté scénario qu’il y a un manque. A force d’accumuler des petites histoires du quotidien de cette petite sorcière, on a oublié qu’il y avait un objectif principal : retrouver les enfants du dragon fantôme. Mais le manga étant ce qu’il est, je n’avais aucune envie d’aller vérifier dans le 1er tome et de replonger dans une histoire qui n’est pas vraiment passionnante. Bien sûr cela reste mon point de vue mais il manque indéniablement une étincelle qui mettrait un peu de vie dans l’œuvre. Avoir un univers original et développé ainsi qu’un beau graphisme ne suffit pas à rendre l’histoire palpitante. Si je devais donner un défaut c’est l’absence de liant entre les personnages, ils ont tous l’air d’être un peu blasés, ne laissent pas exploser leurs sentiments et du coup, cela ne déclenche pas d’empathie pour le lecteur. Le manga n’est pas désagréable mais on pourrait très bien aller faire autre chose à la place que cela n’aurait pas d’incidence sur notre culture otaku. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-enfant-du-dragon-fantome-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Nickad

    Ma revenante bien-aimée tome 2

    Ce second tome est toujours composé de petites histoires, après une dispute de couple, il y a un passage très drôle sur Remi chez le coiffeur puis on revient sur leurs débuts de leur histoire avec les efforts qu’a fait Remi pour devenir une revenante capable de parler et se tenir droite. Comme dans toutes les séries humoristiques qui enchaînent des saynètes du quotidien, tous les chapitres ne sont pas au même niveau mais comme pour le moment nous n’en sommes encore qu’au début de la série, on échappe à la sensation de redondance. Et comme c’est ma première série sur cette thématique, je reste agréablement surprise par le récit avec des idées innovantes et parfois farfelues. Le manga a encore beaucoup de choses à nous montrer (10 tomes en cours) et beaucoup de situations à explorer ; espérons que la suite reste aussi divertissante. En attendant, ne vous priver pas d’un bon moment de détente.
  9. Titre de l'album : Ma revenante bien-aimée tome 2 Scenariste de l'album : WAKASA Takeshi Dessinateur de l'album : WAKASA Takeshi Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : À l'approche des fêtes de fin d'année, le quotidien haut en couleur de Riku et de Remi se poursuit, toujours secoué par les pouvoirs incontrôlés de l'attachante revenante : après avoir englouti le flan que Riku gardait précieusement de côté, elle tente un périlleux passage au salon de coiffure. Désormais délestée d'un flan et affublée d'une nouvelle coupe de cheveux, la revenante bien-aimée doit faire face à « l'homme en noir », un être surgi de son passé. Notre couple parviendra-t-il à surmonter le danger que celui-ci représente ?!Dans cette comédie romantico-horrifique, un mari froussard est confronté à des événements mauvais pour le cœur, mais bons pour le moral !Le mariage : à la vie, à la mort ! Critique : Ce second tome est toujours composé de petites histoires, après une dispute de couple, il y a un passage très drôle sur Remi chez le coiffeur puis on revient sur leurs débuts de leur histoire avec les efforts qu’a fait Remi pour devenir une revenante capable de parler et se tenir droite. Comme dans toutes les séries humoristiques qui enchaînent des saynètes du quotidien, tous les chapitres ne sont pas au même niveau mais comme pour le moment nous n’en sommes encore qu’au début de la série, on échappe à la sensation de redondance. Et comme c’est ma première série sur cette thématique, je reste agréablement surprise par le récit avec des idées innovantes et parfois farfelues. Le manga a encore beaucoup de choses à nous montrer (10 tomes en cours) et beaucoup de situations à explorer ; espérons que la suite reste aussi divertissante. En attendant, ne vous priver pas d’un bon moment de détente. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ma-revenante-bien-aimee-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nickad

    No revenge for Mary tome 3

    Pour s’éloigner du prince qui la courtise, Mary est partie habiter dans le duché de Rose auprès de son frère. Comme ils ne peuvent pas annoncer qu’elle est la réincarnation de Rosemary, elle travaille en tant que servante personnelle de Reinald. Mais si tout semble se passer pour le mieux, Reinald et Albert n’ont pas renoncé à leur vengeance, les 20 années à se préparer ne peuvent pas être vaines et ce n’est pas parce que Mary ne souhaite pas se venger qu’eux sont prêts à pardonner. Alors discrètement, les choses se mettent en place et le plan est lancé. Graphiquement parlant, le manga reste moyen, ce n’est pas rédhibitoire mais dans le paysage actuel, il se trouve en-dessous. J’apprécie que le traducteur ait laissé tomber les mots qui sortaient de nulle part. Le point fort de ce manga c’est la vengeance, ce n’est pas la 1ère fois que c’est un thème dans une réincarnation mais c’est sans doute la 1ère fois où la vengeance est conduite par des proches de la victime. Quant à la victime, elle se moque complètement de cet aspect et compte bien profiter tranquillement de sa nouvelle vie. Et c’est toute la thématique autour de ce sujet qui apporte une profondeur à l’histoire, surtout dans ce 3eme tome où le plan qui a été muri pendant 20 ans se met en marche. C’est tout une psychologie qui est abordée, peut-on renoncer à sa revanche quand elle a été le seul moteur à nous faire avancer pendant aussi longtemps ? Quand elle a été la seule raison de vivre des personnages ? Le prochain tome sera donc déterminant pour l’histoire, à ne pas manquer si vous êtes arrivés jusque-là.
  11. Titre de l'album : No revenge for Mary tome 3 Scenariste de l'album : AKAKO Dessinateur de l'album : IWAAKI Haru Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Réincarnée auprès de ceux qui l'ont tuée, choisira-t-elle de se venger ? Rosemary, l'ancienne fiancée du roi injustement pendue, s'est réincarnée sous les traits de Mary, une servante du palais royal. Son petit frère Reinald, le héros du royaume, et Albert, son ami d'enfance, viennent de découvrir son secret. Le jour où leurs destins vont basculer approche à grand pas... Critique : Pour s’éloigner du prince qui la courtise, Mary est partie habiter dans le duché de Rose auprès de son frère. Comme ils ne peuvent pas annoncer qu’elle est la réincarnation de Rosemary, elle travaille en tant que servante personnelle de Reinald. Mais si tout semble se passer pour le mieux, Reinald et Albert n’ont pas renoncé à leur vengeance, les 20 années à se préparer ne peuvent pas être vaines et ce n’est pas parce que Mary ne souhaite pas se venger qu’eux sont prêts à pardonner. Alors discrètement, les choses se mettent en place et le plan est lancé. Graphiquement parlant, le manga reste moyen, ce n’est pas rédhibitoire mais dans le paysage actuel, il se trouve en-dessous. J’apprécie que le traducteur ait laissé tomber les mots qui sortaient de nulle part. Le point fort de ce manga c’est la vengeance, ce n’est pas la 1ère fois que c’est un thème dans une réincarnation mais c’est sans doute la 1ère fois où la vengeance est conduite par des proches de la victime. Quant à la victime, elle se moque complètement de cet aspect et compte bien profiter tranquillement de sa nouvelle vie. Et c’est toute la thématique autour de ce sujet qui apporte une profondeur à l’histoire, surtout dans ce 3eme tome où le plan qui a été muri pendant 20 ans se met en marche. C’est tout une psychologie qui est abordée, peut-on renoncer à sa revanche quand elle a été le seul moteur à nous faire avancer pendant aussi longtemps ? Quand elle a été la seule raison de vivre des personnages ? Le prochain tome sera donc déterminant pour l’histoire, à ne pas manquer si vous êtes arrivés jusque-là. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/no-revenge-for-mary-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Nickad

    Le destin de Claire tome 3

    Alors que Claire pensait que sa relation avec Vick arrivait à sa fin pour ne pas faire de l’ombre à la future fiancée du prince, ce dernier, avec l’accord du roi, décide d’officialiser avec Claire. Elle doit vivre à présent au palais. Mais une famille influente du pays, qui aurait joué un rôle dans la disparition du royaume de Lindel, ne voit pas d’un très bon œil l’arrivée de cette survivante. En même temps qu’ils échafaudent de sombres plans, Vick décide de se rendre officiellement au royaume de Noston, le pays d’origine de Claire. La fin du manga est des plus intéressante et promet un 4eme tome explosif ! Enfin tout est relatif, car on est quand même dans un manga relativement bon enfant. De ce que l’on voit sur la sœur de Claire (Charlotte), les règlements de compte ne sont pas loin. Il va aussi y avoir la confrontation de l’ex-fiancé et du fiancé actuel dans un contexte politique où la diplomatie doit primer avant tout. Au milieu de tout ça, il y a Claire, un peu trop polie et un peu trop parfaite, qui manque un peu de piquant il faut bien l’avouer. Le tout reste très agréable à regarder et à lire, un bon divertissement accessible à tous.
  13. Titre de l'album : Le destin de Claire tome 3 Scenariste de l'album : SAKI Chibu Dessinateur de l'album : SHIROTORI Ushio Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Claire a réussi à purifier la plus puissante tornade magique de toute l'histoire de Paffuto et sauve par la même occasion le royaume. Peu de temps après, le "bal', qui sert à trouver une fiancée au prince héritier de Paffuto, s'ouvre. Les destins de Claire et de Vick s'apprêtent à prendre un tournant décisif au cours de la soirée... Critique : Alors que Claire pensait que sa relation avec Vick arrivait à sa fin pour ne pas faire de l’ombre à la future fiancée du prince, ce dernier, avec l’accord du roi, décide d’officialiser avec Claire. Elle doit vivre à présent au palais. Mais une famille influente du pays, qui aurait joué un rôle dans la disparition du royaume de Lindel, ne voit pas d’un très bon œil l’arrivée de cette survivante. En même temps qu’ils échafaudent de sombres plans, Vick décide de se rendre officiellement au royaume de Noston, le pays d’origine de Claire. La fin du manga est des plus intéressante et promet un 4eme tome explosif ! Enfin tout est relatif, car on est quand même dans un manga relativement bon enfant. De ce que l’on voit sur la sœur de Claire (Charlotte), les règlements de compte ne sont pas loin. Il va aussi y avoir la confrontation de l’ex-fiancé et du fiancé actuel dans un contexte politique où la diplomatie doit primer avant tout. Au milieu de tout ça, il y a Claire, un peu trop polie et un peu trop parfaite, qui manque un peu de piquant il faut bien l’avouer. Le tout reste très agréable à regarder et à lire, un bon divertissement accessible à tous. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-destin-de-claire-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Avant toute chose, ne vous fiez pas au titre, ne partez pas en courant en pensant qu’il s’agit encore d’un isekai, ce serait franchement dommage. Car il ne s’agit pas d’un isekai même si cela aborde le sujet. Mio Hayama est une jeune mère dont le fils de 17 ans est mort dans un accident de la circulation. En voulant en savoir plus sur son fils, elle découvre que celui-ci était féru de light novel et lisait beaucoup d’isekai. Elle commence à lire ses livres et peu à peu elle pense que son fils n’est pas mort et qu’il s’est réincarné dans un autre monde. Elle contacte alors Dobara, un ancien camarade de lycée qu’elle n’a pas revu depuis des années, le seul dans son entourage qui s’intéressait aux mangas. Elle lui demande alors de l’aider à trouver un moyen de se rendre dans un autre monde afin de revoir son fils. C’est un sujet extrêmement difficile et douloureux qui est abordé : le deuil de son enfant. Mio est une femme qui s’est persuadé que son fils s’est réincarné, que ce soit vrai ou pas, on sent que la perte est tellement forte qu’elle cherche absolument de l’espoir. Inconsciemment, elle refuse le décès. Dobara n’était qu’un élève dans la même classe, il n’était pas proche de Mio et si lui, avait déjà rêvé d’aller dans un autre monde, il sait que cela reste de la fiction. Pourtant il va aider Mio dans ses recherches, il se doute qu’elle est dans le déni et peut-être même dans la folie, il sait qu’elle aurait besoin d’une aide médicale mais ne peut rester les bras croisés devant sa détresse. Toute la force de l’histoire réside dans les silences, Mio se comporte normalement, elle ne montre pas ses sentiments profonds car elle est persuadée que son fils est vivant ailleurs, il y a même une certaine légèreté dans la narration. Pourtant on ressent constamment le drame qui est derrière. Peut-être parce qu’en tant que parent, on a tous un jour pensé à ce qui se passerait si on perdait un enfant, comment on réagirait… On sait que l’on ne se remet jamais. Alors merci à l’autrice d’avoir écrit cette histoire, d’avoir pensé aux parents qui restent derrière et même si l’origine du scénario était d’imaginer les parents des jeunes qui se retrouvent réincarnés ou invoqués dans un autre monde, l’absence reste la même. Destiné à un public mature pour tout ce qui se trouve entre les lignes, le manga aborde le deuil de façon différente et sous des allures fantaisistes sait nous émouvoir. Extrait Série finie en 5 tomes
  15. Titre de l'album : Mon fils semble avoir été réincarné dans un autre monde tome 1 Scenariste de l'album : KANEMOTO Dessinateur de l'album : SHIBATA Hikari Coloriste : Editeur de l'album : Mana Books Note : Résumé de l'album : Le quotidien de Dobara, 35 ans, employé de bureau, est chamboulé lorsque débarque dans sa vie Mio Hayama, son ancienne camarade de classe, qu'il n'avait pas revue depuis plus de dix-sept ans. Cette dernière lui apprend que son fils est décédé dans un tragique accident de voiture, mais elle reste convaincue qu'il continue de vivre quelque part, dans un des mondes fantastiques qu'il aimait tant. Elle compte sur les connaissances d'otaku de Dobara pour l'aider à le retrouver. Critique : Avant toute chose, ne vous fiez pas au titre, ne partez pas en courant en pensant qu’il s’agit encore d’un isekai, ce serait franchement dommage. Car il ne s’agit pas d’un isekai même si cela aborde le sujet. Mio Hayama est une jeune mère dont le fils de 17 ans est mort dans un accident de la circulation. En voulant en savoir plus sur son fils, elle découvre que celui-ci était féru de light novel et lisait beaucoup d’isekai. Elle commence à lire ses livres et peu à peu elle pense que son fils n’est pas mort et qu’il s’est réincarné dans un autre monde. Elle contacte alors Dobara, un ancien camarade de lycée qu’elle n’a pas revu depuis des années, le seul dans son entourage qui s’intéressait aux mangas. Elle lui demande alors de l’aider à trouver un moyen de se rendre dans un autre monde afin de revoir son fils. C’est un sujet extrêmement difficile et douloureux qui est abordé : le deuil de son enfant. Mio est une femme qui s’est persuadé que son fils s’est réincarné, que ce soit vrai ou pas, on sent que la perte est tellement forte qu’elle cherche absolument de l’espoir. Inconsciemment, elle refuse le décès. Dobara n’était qu’un élève dans la même classe, il n’était pas proche de Mio et si lui, avait déjà rêvé d’aller dans un autre monde, il sait que cela reste de la fiction. Pourtant il va aider Mio dans ses recherches, il se doute qu’elle est dans le déni et peut-être même dans la folie, il sait qu’elle aurait besoin d’une aide médicale mais ne peut rester les bras croisés devant sa détresse. Toute la force de l’histoire réside dans les silences, Mio se comporte normalement, elle ne montre pas ses sentiments profonds car elle est persuadée que son fils est vivant ailleurs, il y a même une certaine légèreté dans la narration. Pourtant on ressent constamment le drame qui est derrière. Peut-être parce qu’en tant que parent, on a tous un jour pensé à ce qui se passerait si on perdait un enfant, comment on réagirait… On sait que l’on ne se remet jamais. Alors merci à l’autrice d’avoir écrit cette histoire, d’avoir pensé aux parents qui restent derrière et même si l’origine du scénario était d’imaginer les parents des jeunes qui se retrouvent réincarnés ou invoqués dans un autre monde, l’absence reste la même. Destiné à un public mature pour tout ce qui se trouve entre les lignes, le manga aborde le deuil de façon différente et sous des allures fantaisistes sait nous émouvoir. Extrait Série finie en 5 tomes Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mon-fils-semble-avoir-ete-reincarne-dans-un-autre-monde-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Nickad

    Villainess level 99 tome 1

    Ouh la ! Attention déjà vu ! Une jeune fille se réincarne dans un jeu de drague (otome game), elle incarne la méchante de l’histoire, décide de changer son destin, monte donc son niveau et doit faire face à l’héroïne de l’histoire ainsi qu’à ses prétendants qui sont tous plus irritants les uns que les autres. Si je fais abstraction des autres mangas de ce genre, ce qui n’est pas forcément évident, et que l’on regarde Villainess level 99 comme étant le 1er du genre ; il n’est pas si mal fait. Il y a tous les éléments qui font la caractéristique du genre. Je dirais que le point fort de ce manga, c’est son héroïne, Eumiella et son côté hyper pragmatique et stoïque. La jeune fille prend la situation avec une certaine distance et n’a pas forcément les réactions que l’on attendrait dans ces circonstances. Le dessin est agréable et les prétendants sont vraiment énervants. En passant, on a un petit discours sur les préjugés du genre « le roi démon avait les cheveux noirs alors tous les gens avec des cheveux noirs incarnent le mal ». En conclusion, je dirais qu’il faut attendre de voir la suite pour voir si le manga va trouver son identité au milieu des autres car il ne brille pas par son originalité pour le moment. Extrait
  17. Titre de l'album : Villainess level 99 tome 1 Scenariste de l'album : TANABATA Satori Dessinateur de l'album : NOCOMI / TEA Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Une étudiante japonaise discrète est réincarnée dans le corps d'Eumiella Dolkness, une super méchante cachée de son otome game préféré. Dans ce monde médiéval imaginaire qu'elle croyait connaître par cœur, elle se retrouve en première ligne face à une aristocratie impitoyable qui va tout faire pour la démasquer. Que la partie commence !!! Critique : Ouh la ! Attention déjà vu ! Une jeune fille se réincarne dans un jeu de drague (otome game), elle incarne la méchante de l’histoire, décide de changer son destin, monte donc son niveau et doit faire face à l’héroïne de l’histoire ainsi qu’à ses prétendants qui sont tous plus irritants les uns que les autres. Si je fais abstraction des autres mangas de ce genre, ce qui n’est pas forcément évident, et que l’on regarde Villainess level 99 comme étant le 1er du genre ; il n’est pas si mal fait. Il y a tous les éléments qui font la caractéristique du genre. Je dirais que le point fort de ce manga, c’est son héroïne, Eumiella et son côté hyper pragmatique et stoïque. La jeune fille prend la situation avec une certaine distance et n’a pas forcément les réactions que l’on attendrait dans ces circonstances. Le dessin est agréable et les prétendants sont vraiment énervants. En passant, on a un petit discours sur les préjugés du genre « le roi démon avait les cheveux noirs alors tous les gens avec des cheveux noirs incarnent le mal ». En conclusion, je dirais qu’il faut attendre de voir la suite pour voir si le manga va trouver son identité au milieu des autres car il ne brille pas par son originalité pour le moment. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/villainess-level-99-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Nickad

    The runway tome 1

    Jian travaille dans un magazine de mode « the runway », le jour où elle doit rencontrer son nouveau boss elle arrive en retard et mal habillée. Elle reconnaît en ce dernier le seul homme qui a été un coup d’un soir, 3 mois auparavant à Paris. En même temps, elle rencontre son nouveau voisin et se méprend sur sa situation, en pensant que c’est un couple gay avec un enfant. The runway a eu immédiatement un certain succès, grâce, sans doute au petit jeu du chat et de la souris entre Jian et SHIN Hyeonmin (son patron). D’un côté, on a une jeune femme qui a été trompée par son fiancée et qui a noyé son chagrin, une seule fois, dans une aventure d’un soir. Elle est moderne, n’a pas d’a priori sur les autres et elle est ouverte d’esprit. De l’autre, il y a Hyeonmin, un homme séduisant qui a réussi dans la vie mais qui a du mal à se remettre d’un deuil, mais il n’hésite pas à aider son prochain malgré son comportement assez froid. K ! Addict, le nouveau label de K ! World, le magazine spécialisé dans la pop culture coréenne, nous présente ici leur premier titre, contrairement à beaucoup de leurs confrères, ils ont opté pour un format manga classique, tout en couleur évidemment, à un prix plus raisonnable (8.95 €). The Runway est adapté d’un roman, c’est une série en cours et a 85 chapitres actuellement (ce 1er tome en a 11). La romance fonctionne bien, les personnages sont intrigants et attachants. Le graphisme est beau, détaillé et adapté à cette histoire d’amour naissante. Le livre se lit tout seul, on ne s’ennuie pas une seul seconde et la fin arrive bien trop vite !
  19. Nickad

    The runway tome 1

    Titre de l'album : The runway tome 1 Scenariste de l'album : HIRACHELL / Domi Dessinateur de l'album : NOKDU Coloriste : Editeur de l'album : K! Addict Note : Résumé de l'album : " Mon coup d'un soir est mon nouveau patron ?! ". Jian ne sait plus où se mettre quand elle apprend que son nouveau chef est l'homme qu'elle a séduit à Paris trois mois plus tôt... Et qu'il est également son nouveau voisin ! La jeune femme fait tout pour l'éviter, mais ce dernier ne semble pas vouloir coopérer. Arrivera-t-elle à garder leur relation d'un soir secrète ? Critique : Jian travaille dans un magazine de mode « the runway », le jour où elle doit rencontrer son nouveau boss elle arrive en retard et mal habillée. Elle reconnaît en ce dernier le seul homme qui a été un coup d’un soir, 3 mois auparavant à Paris. En même temps, elle rencontre son nouveau voisin et se méprend sur sa situation, en pensant que c’est un couple gay avec un enfant. The runway a eu immédiatement un certain succès, grâce, sans doute au petit jeu du chat et de la souris entre Jian et SHIN Hyeonmin (son patron). D’un côté, on a une jeune femme qui a été trompée par son fiancée et qui a noyé son chagrin, une seule fois, dans une aventure d’un soir. Elle est moderne, n’a pas d’a priori sur les autres et elle est ouverte d’esprit. De l’autre, il y a Hyeonmin, un homme séduisant qui a réussi dans la vie mais qui a du mal à se remettre d’un deuil, mais il n’hésite pas à aider son prochain malgré son comportement assez froid. K ! Addict, le nouveau label de K ! World, le magazine spécialisé dans la pop culture coréenne, nous présente ici leur premier titre, contrairement à beaucoup de leurs confrères, ils ont opté pour un format manga classique, tout en couleur évidemment, à un prix plus raisonnable (8.95 €). The Runway est adapté d’un roman, c’est une série en cours et a 85 chapitres actuellement (ce 1er tome en a 11). La romance fonctionne bien, les personnages sont intrigants et attachants. Le graphisme est beau, détaillé et adapté à cette histoire d’amour naissante. Le livre se lit tout seul, on ne s’ennuie pas une seul seconde et la fin arrive bien trop vite ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-runway-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    The Croaking tome 1

    Les Avians sont des êtres humains dotés d’ailes, ils sont répartis seront leurs espèces et vient désormais sur une île depuis la guerre qu’ont provoqué les Corbeaux. Ces derniers sont devenus la lie de la société. C’est dans ce contexte qu’entrent au Perchoir, l’académie militaire, deux jeunes hommes Ky, un balbuzard et Scra, un corbeau qui ne semble appartenir à aucune nuée. The croaking est un webcomic britannique publié sur la plateforme Webtoon, la 2e saison vient de se terminer (187 épisodes). Megan Grey (aussi connue sous le nom d’Echorise) n’en est pas à ses débuts puisqu’elle a déjà publié plusieurs autres livres, The croaking a été nominé aux Ringo Awards 2020 dans la catégorie best webcomic. Personnellement, j’ai eu un peu de mal à entrer dans l’histoire, d’abord parce que je trouve le graphisme un peu trop épuré à mon goût ; un manque de détails puis une ambiance assez sombre qui engendrent une absence d’immersion. De plus, il y a tout le vocabulaire et la culture autour du thème, un lecteur plus enclin à l’ornithologie s’y retrouverait plus facilement. Après, et ça c’est dans le développement du scénario, il y a beaucoup de mystères, on ne sait pas ce que recherchent les personnages principaux, on ne comprend pas tout le contexte politique et historique de ce monde. La thématique est donc intéressante mais pour le moment, on ne découvre qu’une amorce de l’histoire. A suivre.
  21. Titre de l'album : The Croaking tome 1 Scenariste de l'album : GREY Megan Dessinateur de l'album : GREY Megan Coloriste : Editeur de l'album : Kotoon Note : Résumé de l'album : Au Perchoir, un faux pas et vous risquez de vous bruler les ailes... Après une guerre civile dévastatrice, les derniers membres de la civilisation des Avians - des humains dotés d'ailes d'oiseaux - se sont établis sur la seule île encore habitable. Depuis lors, les Corbeaux, qui ont déclenché cette guerre fratricide, sont mis au ban de la communauté au contraire des Aigles qui constituent l'élite de cette nouvelle société. Dans ce contexte, Scra est accepté à l'académie militaire la plus prestigieuse du monde, le Perchoir. C'est le premier Corbeau à y être admis. Entre les tests de vol, les cours et les meurtres, Scra et ses camarades, Ky et Ree, doivent s'unir pour démêler les secrets qui entourent son admission. Leur enquête les mènera à s'interroger sur la guerre des Corbeaux, responsable de la chute de leur civilisation, et sur l'existence d'une super arme appelée The Croaking. Critique : Les Avians sont des êtres humains dotés d’ailes, ils sont répartis seront leurs espèces et vient désormais sur une île depuis la guerre qu’ont provoqué les Corbeaux. Ces derniers sont devenus la lie de la société. C’est dans ce contexte qu’entrent au Perchoir, l’académie militaire, deux jeunes hommes Ky, un balbuzard et Scra, un corbeau qui ne semble appartenir à aucune nuée. The croaking est un webcomic britannique publié sur la plateforme Webtoon, la 2e saison vient de se terminer (187 épisodes). Megan Grey (aussi connue sous le nom d’Echorise) n’en est pas à ses débuts puisqu’elle a déjà publié plusieurs autres livres, The croaking a été nominé aux Ringo Awards 2020 dans la catégorie best webcomic. Personnellement, j’ai eu un peu de mal à entrer dans l’histoire, d’abord parce que je trouve le graphisme un peu trop épuré à mon goût ; un manque de détails puis une ambiance assez sombre qui engendrent une absence d’immersion. De plus, il y a tout le vocabulaire et la culture autour du thème, un lecteur plus enclin à l’ornithologie s’y retrouverait plus facilement. Après, et ça c’est dans le développement du scénario, il y a beaucoup de mystères, on ne sait pas ce que recherchent les personnages principaux, on ne comprend pas tout le contexte politique et historique de ce monde. La thématique est donc intéressante mais pour le moment, on ne découvre qu’une amorce de l’histoire. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-croaking-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. poseidon2

    Oneira T3

    Mais qu'est ce que c'est beau....... pfffff.... franchement plus ça avance plus Frederica Di Meo prend de l'assurance et plus les dessins sont réussis. On va jeter un pavé : les parutions actuelles, c'est le plus beau dessin que j'ai vu depuis plus de 6 mois, tout manga confondu. Et oui messieurs japonais qui se relâchent pour produire toujours plus de manga en batterie. Les européens ont rattrapé le niveau graphiquement parlant, ce qui était le seul défaut que l'on pouvait encore trouver par ici. C'est sublime et l'histoire tient aussi la route. SI on enchaîne un peu trop les scènes d'actions à mon gout, cette histoire médiéval fantastique reste très sympa... et puis, je ne sais pas si je vous l'ai dit, mais on en prend plus les mirettes...
  23. poseidon2

    Oneira T3

    Titre de l'album : Oneira T3 Scenariste de l'album : Cab Dessinateur de l'album : Frederica di meco Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Maintenant que le cardinal Lemegeton a révélé son vrai visage, l'affrontement semble inévitable. Venus et Bastione, pris au piège, n'ont d'autre choix que de se lancer dans une sanglante bataille. De son côté, Arane, en proie au chagrin, se laisse emporter par la rage du combat, mais cet exutoire sera-t-il suffisant pour apaiser son coeur ? Un troisième volet dans les flammes et le sang ! Critique : Mais qu'est ce que c'est beau....... pfffff.... franchement plus ça avance plus Frederica Di Meo prend de l'assurance et plus les dessins sont réussis. On va jeter un pavé : les parutions actuelles, c'est le plus beau dessin que j'ai vu depuis plus de 6 mois, tout manga confondu. Et oui messieurs japonais qui se relâchent pour produire toujours plus de manga en batterie. Les européens ont rattrapé le niveau graphiquement parlant, ce qui était le seul défaut que l'on pouvait encore trouver par ici. C'est sublime et l'histoire tient aussi la route. SI on enchaîne un peu trop les scènes d'actions à mon gout, cette histoire médiéval fantastique reste très sympa... et puis, je ne sais pas si je vous l'ai dit, mais on en prend plus les mirettes... Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/oneira-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Le Paris manga de décembre 2022 a été riche en rencontres, je vous propose de découvrir l’interview de CAB, l’auteur scénariste de la série Oneira éditée aux éditions Kana (eh oui, je ne suis pas en avance pour les retranscriptions…mea culpa 😓) Bonjour Cab, merci d’avoir accepté cette interview Comme tu viens d’avoir 30 ans, tu es donc de la génération qui a grandi avec le manga Oui je suis de la génération qui a connu les post-vestiges du Club Dorothée. Il y avait cette culture Dragon Ball qui était un peu partie, moi j’ai plus connu l’héritage avec le Big 3 : One piece, Naruto Bleach, j’ai plus grandi avec Fullmetal Alchemist. Après j’ai connu Hamtaro, Les cités d’or mais ce n’était pas hyper populaire car à l’époque Ségolène Royal avait interdit les productions japonaises au profit des productions américaines. S’il y a un manga avec lequel j’ai grandi c’est Pokémon, une production américano-japonaise. J’ai connu l’explosion du papier, sa démocratisation avec l’arrivée de Naruto. Adolescent, je ne lisais pas beaucoup de manga, je lisais plus des romans. J’ai découvert Tolkien assez tôt mais ça échappait un peu à mon degré de compréhension. J’avais essayé de lire le Silmarrillion en anglais, mais c’était infernal car Tolkien est un universitaire qui faisait de la langue donc il y avait beaucoup de termes complexes. Je suis tombé dans la fantasy avec Harry Potter mais surtout le Sorceleur, ensuite j’ai découvert Elric le nécromancien, plus récemment le nom du vent de Patrick Rothfuss. Mes lectures étaient plus orientées roman que manga. Le manga c’était un peu une lecture pop-corn pour moi, le premier que j’ai lu c’était Fullmetal Alchemist, c’est le seul manga, à cette époque, qui m’avait ouvert une profondeur. On peut faire du Naruto en étant plus profond avec des thématiques plus adultes. Je n’avais pas trouvé ça avant de me pencher sur des lectures comme Asano ou Tezuka. Si j’avais envie de me pencher vers une histoire profonde où je voulais voyager et réfléchir, je lisais des romans. On voit que ce qui t’intéresse c’est la partie scénaristique, pourquoi t’être orienté vers le manga ? Je ne me suis pas dit j’ai grave envie de faire du manga. Moi je voulais raconter des histoires et le manga, le format sériel, c’était la seule porte d’entrée. Dans la BD, c’est un art super elliptique, tu n’as pas le temps, tu as une limite de page presque drastique, en 43 pages tu ne peux pas raconter grand chose, 60 pages ou 90 si tu arrives à négocier mais ça coûte cher. C’est rare de signer plus d’un diptyque. Le manga tu pars déjà sur 3 tomes, presque 600 pages. Ce que j’aime dans le manga c’est le côté séquentiel. Une BD, quand un personnage donne un coup de poing, tu vois le coup de poing, la case d’après le coup de poing est parti et l’autre personnage l’a pris. Dans le manga, si tu veux faire 15 cases où le coup de poing part, tu peux te le permettre. Tu peux vraiment distiller l’action et la narration, ça s’inscrit vraiment dans ce que je voulais raconter. Tu aurais pu écrire un roman Alors oui mais les romans c’est encore plus dur à faire signer, surtout en France et surtout de la fantasy. Et au-delà de ça, les romans demandent un savoir-faire que je n’ai pas. Ce n’est pas quelque chose que tu peux apprendre sur le tas, il faut lire des tas de bouquins et avoir un certain talent et je ne pense pas l’avoir. Si j’avais envie de faire un roman, je me lancerai à fond dedans ou je ferai un recueil de nouvelles mais à cette époque-là, ça ne m’était pas venu à l’esprit d’en faire un. Finalement, est-ce que le manga était le moyen le plus rapide de sortir tes histoires ? Pas le plus rapide car je m’en fous de la rapidité. Si je voulais bien raconter les histoires que j’avais en tête, le manga était la seule voie possible. Mais je ne me suis pas lancé dedans en claquant des doigts. A la base j’ai écrit un scénario, je l’ai fait lire, on m’a dit c’est nul et c’est vrai que c’était nul. On ne se lance pas dans l’écriture d’un scénario sans en connaître les codes alors j’ai lu un tas de bouquins, je suis allé à des conférences, à des masterclass. Au final t’apprends, tu rates, tu recommences, tu rates, tu recommences jusqu’au moment où tu ne rates plus. Quand as-tu commencé Oneira ? J’ai commencé à écrire Oneira en mars 2017, je l’ai proposé à Timothée de chez Kana en septembre 2018 et il a été signé en 2019. Ça a pris 2 ans et demi avant d’être signé. Avant tu as fait autre chose ? J’avais fait un manga chez H2T qui s’appelle d’encre et de feu. C’était déjà désuet au moment où je l’ai fait, c’était un peu un récit nostalgique de ce que je voulais raconter quand j’étais adolescent. Oneira correspond plus à ce que j’ai envie de lire. Pour le dessinateur comment as-tu fait ? As-tu pensé à dessiner toi-même ? Dessiner ne m’intéresse absolument pas, je suis nul et ça ne me plaît pas et je trouve ça vraiment dur. Par contre, c’est un vrai plaisir de regarder les gens dessiner. Avec Timothée en a fait des passer des castings. On a eu plusieurs essais européens, et c’est vraiment le dossier de Federica qui a le plus marché. En plus de proposer un trait un peu plus dur dark fantasy, Federica apportait une sensibilité, notamment pour la relation mère-fille, il fallait qu’il y ait de l’émotionnel. Dès qu’on a reçu son dossier, on a su que c’était elle. Comment se passe un casting ? J’ai séquencé, une séquence égale à une page, j’avais fait 2 séquences d’action et 2 de narration, il fallait voir comment la personne se débrouillait et comment on arrivait à créer une symbiose entre le script et le dessin. Mes scripts sont assez poussés dans le détails, indications de lieux, de temps, indications des plans, je propose des angles de vues, je mets les dialogues et je rajoute des intentions, genre en colère… Federica a pour consigne de me dire si elle pense que le plan ne convient pas, elle garde une certaine liberté car le dessin c’est son domaine d’expertise. Est-ce que vous vous sentez vraiment co-auteurs ? Tellement, car c’est un travail de fusion, on est tous les deux acteurs de l’œuvre. Quand je décris un décor et quand je vois Federica le faire, je me dis c’est tellement mieux que ce que j’avais imaginé. De la même façon qu’elle me fait 100% confiance pour le scénario, je lui fais 100% confiance sur le dessin. Parfois, il y a des petits détails qui ne sont pas dans le script qu’elle rajoute mais c’est toujours cohérent. D’où vient l’idée d’Oneira ? Ça vient d’une chanson des années 50-60 de Nat King Cole qui s’appelle Nature boy. Un jour, je suis tombé sur une reprise d’une chanteuse scandinave qui s’appelle Aurora. Les premières notes m’ont terrifiées, c’était très viscéral, je l’écoutais en boucle, je me suis dit, il faut que j’arrive à capter le truc de cette histoire, que j’arrive à la raconter et plus je l’imaginais, plus il ne me semblait pas réel. Je me suis dit que c’était quelque chose que je pourrais cauchemarder, alors je me suis renseigné sur cet univers. Découvrez Nature boy par Aurora Il fallait, pour moi, que ce soit une femme qui soit le personnage principal. C’était une évidence qu’elle soit dans la quarantaine, car il fallait que ce soit une légende vivante dans son monde, que ce soit une mère, qu’elle ait de l’expérience, il fallait qu’on la suive à un moment où elle est déjà arrivée à maturité, que la relation mère-fille soit déjà installée. C’est un parti pris risqué, car ce que l’on aime chez un personnage c’est voir son évolution. Là on démarre avec une femme qui a déjà des acquis, des certitudes c’est complexe mais c’est plus intéressant car tout le tome 1 va jouer avec un personnage qui est très défini et les tomes 2, 3 et 4 vont la redéfinir d’une certaine manière. Toute l’histoire était déjà dans ma tête ; dès 2018, je savais déjà où j’allais. Si l’éditeur te dis, ça marche super bien, il faudrait que tu prolonges l’histoire ou a contrario, s’il te dit on s’arrête là, que fais-tu ? Si je dois le prolonger ce serait possible, vu la fin mais ce n’est pas le but, je pense que je dirais non. Aujourd’hui on a déjà signé 4 tomes qui constituent un préquel à l’histoire principale. Si ça fonctionne, on part sur une histoire longue et là je pourrais tout raconter, au départ je voulais faire entre 10 et 15 tomes. Aujourd’hui, ça se passe bien, on saura en 2023 si on prolonge l’aventure. Est-ce que tu arrives à en vivre ou est-ce que tu fais autre chose à côté ? Je fais aussi script doctor, les gens m’envoient leurs scripts, je les améliore, je leur trouve de nouveaux axes de lecture, des éléments à creuser. C’est plus ça qui me fait vivre actuellement. Le but c’est de cumuler des projets. Ce qui me prend le plus de temps, d’énergie et d’investissement, c’est Oneira. As-tu d’autres projets ? Oui, certains concernent Oneira mais dans un autre format ainsi qu’un autre projet de dark fantasy que je ne vais pas tarder à proposer à Kana. J’ai fini les tomes d’Oneira en 2020, ça me permet de faire d’autre projets autour, un album de musique, une série audio, ça me permet de m’investir dans la production de Federica, et de remanier des petites choses. Comment vis-tu les critiques ? Oneira n’a pas eu trop de critiques négatives, si c’est constructif, genre il y a une incohérence, là je fais attention. Après si c’est quelqu’un qui dit qu’il aime pas, ben tous les gouts sont dans la nature et ça ne me touche pas. Au début de la lecture d’Oneira, ce n’est pas toujours évident de tout comprendre Effectivement, il y a énormément d’info, il y a beaucoup de termes. On a essayé de ne pas inventé des noms fantastiques, ou rester dans du latin. Tout ce que l’on n’a pas expliqué dans ce 1er tome, on l’a mis en bonus comme les deux cauchemars qui apparaissent dans le 2eme chapitre. La difficulté c’est que l’on arrive dans une histoire qui est déjà démarrée comme quand on prend un train en marche. Mais on ne voulait pas couper l’immersion, on n’a pas fait des encadrés comme dans certains mangas qui expliquent qui sont les personnages. C’était important d’arriver à embarquer les gens dès le début. Les dessins sont superbes, peut-être un peu chargés par rapport à ce que l’on l’habitude de voir en manga et les dialogues sont appréciables avec du vocabulaire recherché Federica se cherchait un peu sur le tome 1, depuis elle a changé de plume, elle est plus fine, et elle a aussi changé de manière de dessiner, du coup, le trait est plus clair sur les tomes suivants. Alors ça, on l’a eu dans les critiques négatives « langage trop soutenu ». Cela va bien dans l’univers. Après on contrebalance, on a des personnages qui parlent comme des rustres. Pour moi c’est plus important de rester sur la ligne directrice et ne pas la tronquer pour un lectorat. Les statistiques montrent que le lectorat d’Oneira et sur la tranche 18-35 ans. Merci à CAB d’avoir répondu à nos questions, d’avoir pris le temps de faire une photo et une vidéo exclusive pour les lecteurs de 1001BD et merci à Federica Di Meo pour la dédicace. Cab-dec 2022.mp4
  25. Nickad

    Partners 2.0 tome 1

    Murata un jeune informaticien et Tomoka une jeune serveuse font partie de la même guilde dans un jeu en ligne. Lors d’un repas organisé, ils discutent pas mal du jeu d’abord, puis de leurs vies. Peu à peu ils se mettent à parler de leurs relations amoureuses et se rendent compte qu’ils ont de nombreux points communs à commencer par une rupture sentimentale. Tous les deux rêvent d’une certaine liberté en la matière, pas forcément sur le nombre de partenaire mais plutôt sur la façon de vivre leur couple : pouvoir être soi-même, pouvoir de discuter de tout sans tabou et surtout garder son espace privé. De fil en aiguille, ils finissent dans un love hôtel et entame une relation d’un nouveau genre. Partners 2.0 n’est pas qu’une histoire de sexe, ce n’est pas non plus l’amour avec un grand A. C’est juste l’histoire de 2 jeunes adultes qui assument leurs envies sans faux-semblants. Bien sûr, ils parlent de relations sexuelles, les dialogues sont très fleuris et imagés, c’est d’ailleurs intelligemment et agréablement fait. Les choses sont dites sans tabou mais sans vulgarité non plus et c’est ce qui fait le charme du livre. Il y a également un peu de nudité, un peu d’érotisme mais on n’est pas dans un hentai donc rien de très choquant (le livre est quand même destiné à un public adulte). Quant au titre, il est particulièrement bien choisi, car ici, on nous parle d’une relation actuelle, dans un monde qui s’éloigne du schéma classique de la vie de couple, où chacun a le droit de vivre ses envies sans se faire juger. Il y a comme un vent de fraicheur et de modernisme, c’est innovant et c’est bien comme ça.
×
×
  • Créer...