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  1. Titre de l'album : La petite loutre menteuse tome 1 Scenariste de l'album : LOMMY Dessinateur de l'album : LOMMY Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Je suis adorable, mais je ne suis pas très sage. J'adore faire des bêtises. Je souris, je ris, je me fâche, je pleure, mais souvent je fais semblant ! Raconter des mensonges, je trouve ça très amusant ! Pas vous ? Critique : La petite loutre menteuse est une série humoristique publiée à l’origine sur les réseaux sociaux, c’est un yonkoma, un manga à quatre cases dans le sens vertical. La petite loutre est mignonne et coquine, elle aime les blagues sur tout et n’importe quoi. Les dessins, en couleur, sont bien faits et elle a une petite frimousse agréable. Ses petites blagues sont inégales, certaines font sourire, d’autres moins ; mais ce qui est sûr, c’est que c’est une lecture tout public. L’inconvénient de ce genre de format, c’est qu’il est fait pour être lu petit à petit, une petite histoire par jour ou une par semaine. Quand on lit le recueil d’une traite, on tombe forcément dans la sensation de redondance et on peut vite se lasser. Dans Hamlet (acte III scène 2) Shakespeare donne des conseils aux comédiens dont celui-ci que je trouve fort à propos pour ce manga : « Et que ceux qui jouent les clowns ne disent rien en dehors de leur rôle ! car il en est qui se mettent à rire d’eux-mêmes pour faire rire un certain de spectateurs ineptes, au moment même où il faudrait remarquer quelque situation essentielle de la pièce. » Qu’il est énervant de voir cette petite loutre dire à la fin de ces blagues « non je rigole » comme si le lecteur n’est pas en mesure de comprendre qu’il s’agit d’humour. D’un autre côté, ses blagues manquent parfois d’une chute… Alors c’est mignon, c’est gentillet, parfois drôle mais c’est surtout à prendre à petites doses. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-petite-loutre-menteuse-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Nickad

    La grossesse de M. Hiyama

    Depuis une dizaine d’années ; les hommes peuvent tomber enceints ; pas d’un autre homme comme beaucoup le pense, mais d’une femme. Difficile pour eux de le savoir avant que cela n’arrive vu qu’ils n’ont pas de cycle menstruel. Quand M Hiyama réalise qu’il est enceint, il en est à douze semaines environ, mais il n’est pas marié et ne sait pas qui est la mère. Et comme il est chef d’entreprise, il doit alors prendre une décision cruciale : garder ou non le bébé. Au travers de cette histoire un peu fantaisiste, l’autrice aborde tous les préjugés qui existent autour de la grossesse même des préjugés qui pourraient exister si un jour ce cas de figure devenait réel. Cela passe par les remarques désobligées au travail, dans les transports, dans les lieux publics « vous allez être en retard parce que vous avez la nausée […] vous pourriez faire un effort, non ? ». Les remarques sur les parents célibataires sont aussi bien présentes et dans le cas de M Hiyama, la méconnaissance qui le catalogue directement en personne gay. D’un autre côté, le fait qu’un homme soit enceint lui permet de mieux réfléchir à la situation, aux difficultés qu’il rencontre, il revient aussi sur sa façon de penser avant d’être dans cette situation. Il est toujours difficile de se mettre à la place des gens quand on n’est pas concerné, on a beau faire de son mieux pour comprendre, ce n’est pas comme si on le vivait, et je ne parle pas que de la grossesse… Alors un livre comme la grossesse de M Hiyama est une aubaine qui pousse le lecteur à voir les choses différemment, il porte un véritable message de tolérance et de compréhension tout en abordant le sujet avec une certaine légèreté et beaucoup de bienveillance. Une réussite ! Pour information, une série a été réalisée à partir de ce livre sous le même nom, elle est disponible sur Netflix. Extrait
  3. Titre de l'album : La grossesse de M. Hiyama Scenariste de l'album : SAKAI Eri Dessinateur de l'album : SAKAI Eri Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Cela fait environ dix ans que, suite à une évolution naturelle, tous les hommes fertiles peuvent tomber enceints. Et jusqu'à ce que ça lui arrive, Kentarô Hiyama n'avait jamais envisagé cette éventualité. Salaryman chargé d'un poste à responsabilité, coureur de jupons célibataire, il profitait de la vie sans réfléchir aux conséquences. Mais quand son médecin lui annonce qu'il est enceint d'environ dix semaines, il devra tout remettre en question. Réalisant alors à quel point la société est inégalitaire, il décide de porter l'enfant à terme et de créer sa place lui-même ! Critique : Depuis une dizaine d’années ; les hommes peuvent tomber enceints ; pas d’un autre homme comme beaucoup le pense, mais d’une femme. Difficile pour eux de le savoir avant que cela n’arrive vu qu’ils n’ont pas de cycle menstruel. Quand M Hiyama réalise qu’il est enceint, il en est à douze semaines environ, mais il n’est pas marié et ne sait pas qui est la mère. Et comme il est chef d’entreprise, il doit alors prendre une décision cruciale : garder ou non le bébé. Au travers de cette histoire un peu fantaisiste, l’autrice aborde tous les préjugés qui existent autour de la grossesse même des préjugés qui pourraient exister si un jour ce cas de figure devenait réel. Cela passe par les remarques désobligées au travail, dans les transports, dans les lieux publics « vous allez être en retard parce que vous avez la nausée […] vous pourriez faire un effort, non ? ». Les remarques sur les parents célibataires sont aussi bien présentes et dans le cas de M Hiyama, la méconnaissance qui le catalogue directement en personne gay. D’un autre côté, le fait qu’un homme soit enceint lui permet de mieux réfléchir à la situation, aux difficultés qu’il rencontre, il revient aussi sur sa façon de penser avant d’être dans cette situation. Il est toujours difficile de se mettre à la place des gens quand on n’est pas concerné, on a beau faire de son mieux pour comprendre, ce n’est pas comme si on le vivait, et je ne parle pas que de la grossesse… Alors un livre comme la grossesse de M Hiyama est une aubaine qui pousse le lecteur à voir les choses différemment, il porte un véritable message de tolérance et de compréhension tout en abordant le sujet avec une certaine légèreté et beaucoup de bienveillance. Une réussite ! Pour information, une série a été réalisée à partir de ce livre sous le même nom, elle est disponible sur Netflix. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-grossesse-de-m-hiyama?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. poseidon2

    Togen Anki t8

    Fin du combat entre Mudano et Tsukuyomi. Voilà. Fin de la critique… Bon ok je devrais ajouter que cette fin de combat est juste passionnante. Mudano est plus puissant que l’on ne pouvait le penser avant ce combat. Après il serait dommage de trop en dire tellement ce combat occupe la quasi-totalité du tome. La seule chose intéressante ajoutée est l’évolution de notre héros en fin de tome avec le début de son combat contre son ami Momotaro. Deux combats qui vont surement finir notre arc en cours dans le prochain tome avec après, et on peut m’espérer, une pause dans l’action pour remettre un peu d’ordre dans une histoire ou l’overdose d’action commence à nous perdre.
  5. poseidon2

    Togen Anki t8

    Titre de l'album : Togen Anki t8 Scenariste de l'album : Yura Urushibara Dessinateur de l'album : Yura Urushibara Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Une légende raconte qu'un enfant extrêmement fort serait né d'une pêche et baptisé Momotarô. Lorsqu'il devint assez grand et puissant, ce valeureux guerrier aurait chassé les Oni qui pillaient les villages. Ce héros n'est pas une légende... Tout comme les Oni... Leurs descendants sont encore parmi nous et la bataille opposant le clan Momotarô au clan des Oni fait rage ! Mudano est entravé par une technique de Tsukuyomi, le commandant Momotarô qui utilise les cartes de tarot pour se battre ! L'arrondissement de Nerima à Tokyo devient le théâtre de terribles affrontements entre Oni et Momotarô !! Critique : Fin du combat entre Mudano et Tsukuyomi. Voilà. Fin de la critique… Bon ok je devrais ajouter que cette fin de combat est juste passionnante. Mudano est plus puissant que l’on ne pouvait le penser avant ce combat. Après il serait dommage de trop en dire tellement ce combat occupe la quasi-totalité du tome. La seule chose intéressante ajoutée est l’évolution de notre héros en fin de tome avec le début de son combat contre son ami Momotaro. Deux combats qui vont surement finir notre arc en cours dans le prochain tome avec après, et on peut m’espérer, une pause dans l’action pour remettre un peu d’ordre dans une histoire ou l’overdose d’action commence à nous perdre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/togen-anki-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Ash s’est retrouvé seul dans la forêt qui est très dangereuse, après plusieurs jours les villageois pensent qu’il n’y a plus d’espoir. C’est là qu’Ash revient, heureusement pour lui, il a rencontré Ban en cours de route, le chasseur du village. Avec lui, il découvre d’autres plantes et crée un remède à base d’aloe vera. Voilà un nouveau moyen de récolter de l’argent pour le village ce qui va leur permettre de développer une ferme apicole. Mais la vie reste quand même très dure et les gens peuvent mourir rapidement, d’un rhume ou d’une fracture parfois. Ash doit à tout prix trouver d’autre remèdes surtout avec l’approche de l’hiver. Pour rappel Ash est né avec des souvenirs de sa vie antérieure, une vie qui avait sans doute eu lieu de nombreux siècles avant, dans le même monde. Il n’en a que des images confuses et pas de connaissances précises. S’il sait vers quoi il avance, il n’a pas la science infuse et doit travailler et expérimenter pour avancer. C’est donc le point positif de l’histoire, Ash progresse avec les moyens du bord, pas à pas, avec l’aide des gens qui l’entoure. Mais à ce rythme-là, le manga risque de durer longtemps…. Enfin à condition qu’il ne soit pas abandonné entre temps ! Car s’il se lit facilement et qu’il est plutôt agréable, il lui manque la petite étincelle qui pousserait le lecteur à se ruer dessus lors de sa parution. Il n’en reste pas moins un shonen assez classique bien fait qui a les moyens de décoller.
  7. Titre de l'album : Ash, le bâtisseur de civilisation tomes 2 & 3 Scenariste de l'album : AMAKAWA Mizuumi Dessinateur de l'album : KUROKI Yoruno / OKUMA Mai Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Pour retrouver la culture perdue de l'ancienne civilisation, le jeune Ash fait renaître les techniques apicoles d'antan. Néanmoins, les souvenirs douloureux de la mort de son ami refont surface à l'approche de l'hiver. Il se met alors en tête de créer un remède pour éviter que d'autres ne meurent d'un simple "rhume". Peu après, son amie Maika tombe malade et perd connaissance. Le médicament qu'a développé Ash possède des effets indésirables et nocifs et le jeune garçon va alors devoir prendre une décision importante. Critique : Ash s’est retrouvé seul dans la forêt qui est très dangereuse, après plusieurs jours les villageois pensent qu’il n’y a plus d’espoir. C’est là qu’Ash revient, heureusement pour lui, il a rencontré Ban en cours de route, le chasseur du village. Avec lui, il découvre d’autres plantes et crée un remède à base d’aloe vera. Voilà un nouveau moyen de récolter de l’argent pour le village ce qui va leur permettre de développer une ferme apicole. Mais la vie reste quand même très dure et les gens peuvent mourir rapidement, d’un rhume ou d’une fracture parfois. Ash doit à tout prix trouver d’autre remèdes surtout avec l’approche de l’hiver. Pour rappel Ash est né avec des souvenirs de sa vie antérieure, une vie qui avait sans doute eu lieu de nombreux siècles avant, dans le même monde. Il n’en a que des images confuses et pas de connaissances précises. S’il sait vers quoi il avance, il n’a pas la science infuse et doit travailler et expérimenter pour avancer. C’est donc le point positif de l’histoire, Ash progresse avec les moyens du bord, pas à pas, avec l’aide des gens qui l’entoure. Mais à ce rythme-là, le manga risque de durer longtemps…. Enfin à condition qu’il ne soit pas abandonné entre temps ! Car s’il se lit facilement et qu’il est plutôt agréable, il lui manque la petite étincelle qui pousserait le lecteur à se ruer dessus lors de sa parution. Il n’en reste pas moins un shonen assez classique bien fait qui a les moyens de décoller. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ash-le-batisseur-de-civilisation-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Titre de l'album : Kujo l'implacable t1 Scenariste de l'album : Shôhei Manabe Dessinateur de l'album : Shôhei Manabe Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Pour Taiza Kujô, la loi et la morale sont deux choses différentes. C'est pourquoi il ne ressent pas de culpabilité à défendre des membres de la pègre ou des individus ayant déjà un casier judiciaire bien rempli. Son objectif est de trouver une ligne de défense qui aura un maximum d'avantages pour le client qu'il défend. Le profit ne l'intéresse d'ailleurs pas. Son seul objectif : défendre son client, qui que soit l'adversaire en face. Critique : Nouveau manga sorti en grande pompe chez Kana : Kujo l’implacable. Nouveau manga de l’auteur de L’usurier de l’ombre, manga dont je n’ai pas manqué vous faire part de tout le dégout que me donnait le personnage principal. J’avais un peu peur que ce Kujo l’implacable soit dans la même veine, surtout au vu de la couverture et du résumé. Mais il n’en est rien. Enfin pas complètement. Shôhei Manabe nous livre ici un avocat qui se fait l’avocat de tous les clients mafieux, donc un avocat pourri de prime abord. Mais cet avocat se retrouve vouloir défendre les plus faibles de ce milieu et choisit donc d’être un moindre mal dans une société qui ne différencie pas un Yakuza d’un gamin enrôlé de force dans un gang. Si on met du temps à aimer le personnage, on finit par s’identifier à son « second ». Un assistant premier de sa promo qui est le seul à avoir découvert en quoi Kujo était un avocat d’exception. Un excellent premier tome qui nous promet d’ors et déjà une belle série. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kujo-implacable-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. poseidon2

    Kujo l'implacable t1

    Nouveau manga sorti en grande pompe chez Kana : Kujo l’implacable. Nouveau manga de l’auteur de L’usurier de l’ombre, manga dont je n’ai pas manqué vous faire part de tout le dégout que me donnait le personnage principal. J’avais un peu peur que ce Kujo l’implacable soit dans la même veine, surtout au vu de la couverture et du résumé. Mais il n’en est rien. Enfin pas complètement. Shôhei Manabe nous livre ici un avocat qui se fait l’avocat de tous les clients mafieux, donc un avocat pourri de prime abord. Mais cet avocat se retrouve vouloir défendre les plus faibles de ce milieu et choisit donc d’être un moindre mal dans une société qui ne différencie pas un Yakuza d’un gamin enrôlé de force dans un gang. Si on met du temps à aimer le personnage, on finit par s’identifier à son « second ». Un assistant premier de sa promo qui est le seul à avoir découvert en quoi Kujo était un avocat d’exception. Un excellent premier tome qui nous promet d’ors et déjà une belle série.
  10. jusqu’à
    Le Salon Fantastique et la Japan Party s'associent pour partager un grand espace de 10 000 m3 au parc floral de Paris le week-end des 8 et 9 avril 2023 Le Salon Fantastique est un événement culturel dont l’objectif est de rendre justice aux cultures de l’imaginaire et ludiques, trop souvent décrites comme des cultures marginales. Nous accueillons chaque année presque une centaine d’auteurs, des dizaines d’artisans, des artistes, des éditeurs de romans ou de jeux et des créateurs de tous horizons. Depuis 2011, Japan Party est le festival des cultures geek et asiatiques organisé par l’association d’intérêt général Imagin’ Con. Le billet vous donnera accès aux 2 événements Chaque festival garde son identité propre tout en s’articulant autour du partage de valeurs communes : encourager les créateurs, auteurs et artisans ; respecter et écouter les partenaires, exposants et intervenants ; et faire de l’originalité le fer de lance de cette nouvelle édition ! Pour cette édition spéciale, plus de 400 exposants attendront les fans : boutiques, jeunes créateurs, illustrateurs, associations, animations Les premiers invités annoncés : Musiciens, auteurs, comédiens de doublage, youtubeurs et influenceurs… Tous ces univers se rencontrent aussi par le biais des invités présents durant le weekend. En voici quelques-uns, d’autres seront annoncés prochainement : Lixiviatio et Neivee (streameuses), Magoyond (musique), Davy Mourier (auteur), Evy Reeves (autrice), Joranne Bagoule (illustratrice et blogueuse Japon), Alexis Thomassian (voix de Martin Mystère, Light dans Death Note ou encore Fry dans Futurama), Céline Monsarrat (Bulma dans Dragon Ball, Dory dans Le Monde de Nemo/Dory…), Pascale Chemin (Kirua dans Hunter X Hunter, Annie dans L’Attaque des Titans, Command Shepard dans Mass Effect), Boris Rehlinger (voix régulière de Colin Farrell et Ben Affleck ; Pedro Pascal et son personnage de Joel dans la série The Last of US) ou encore Géraldine Asselin (Halle Berry, Zoe Saldana ; Ashley dans Mass Effects). Sachez qui si vous venez déguisé (au moins 80% de la tenue) Vous bénéficiez d'un tarif réduit ! Site officiel
  11. jusqu’à
    Comme vous le savez, Paris Manga et Sci-fi show se tient 2 fois par an, quand il n'y a pas le Covid... La 33 édition se tiendra le week-end des 1er et 2 avril 2023 Au parc des expositions de Paris Nord Villepinte Voici les premiers Invités Comme d'habitude n'oubliez pas de vous rendre sur le site officiel pour réserver vos places et vos créneaux de dédicace pour certains artistes ! Site officiel de Paris Manga
  12. Nickad

    Sexy cosplay doll tome 9

    Marine se retrouve face à un problème de poids : elle a grossi ! Enfin légèrement bien sûr mais suffisamment pour ne plus rentrer dans les costumes que Gojô lui a fait. Elle finit par comprendre que c’est parce qu’elle est trop gourmande et surtout qu’elle mange entre les repas ! Puis tous les deux s’essayent à la photographie comme Marine s’est acheté un super appareil photo ! Gojô se découvre alors un nouvel intérêt et commence à communiquer avec un certain Akira qu’il décide de rencontrer à la prochaine convention. Nos deux héros continuent leur petit bonhomme de chemin, tranquillement, un peu trop peut-être concernant leur histoire sentimentale ! On aimerait vraiment qu’ils passent enfin la seconde ! Mais ce qui est bien, c’est qu’ils sont comme tout le monde, de simples adolescents passionnés. Le lecteur peut facilement s’identifier et apprendre tout un tas d’astuces sur le cosplay, le maquillage, la photographie… On se rend compte quand même que du côté du cosplay, les français sont moins bien lotis que les japonais et n’ont pas de boutiques dédiées avec tout un tas de matériaux et d’accessoires. Le manga reste toujours agréable à lire, alterne entre cosplay et tranche de vie pour ne pas lasser. Un bon divertissement.
  13. Titre de l'album : Sexy cosplay doll tome 9 Scenariste de l'album : FUKUDA Shinichi Dessinateur de l'album : FUKUDA Shinichi Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Les dures journées de travail de Marine sont enfin récompensées avec l'achat de son propre appareil photo ! Pour le tester, elle décide de participer au prochain rassemblement de cosplayeurs, mais, cette fois, de l'autre côté de l'objectif. Gojô, lui, a prévu de retrouver une personne rencontrée sur les réseaux sociaux et qu'il admire beaucoup, au même rassemblement. Invité avec Marine à un after par d'autres cosplayeurs, il plonge encore plus profondément dans l'univers des fans de mangas et d'anime ! Critique : Marine se retrouve face à un problème de poids : elle a grossi ! Enfin légèrement bien sûr mais suffisamment pour ne plus rentrer dans les costumes que Gojô lui a fait. Elle finit par comprendre que c’est parce qu’elle est trop gourmande et surtout qu’elle mange entre les repas ! Puis tous les deux s’essayent à la photographie comme Marine s’est acheté un super appareil photo ! Gojô se découvre alors un nouvel intérêt et commence à communiquer avec un certain Akira qu’il décide de rencontrer à la prochaine convention. Nos deux héros continuent leur petit bonhomme de chemin, tranquillement, un peu trop peut-être concernant leur histoire sentimentale ! On aimerait vraiment qu’ils passent enfin la seconde ! Mais ce qui est bien, c’est qu’ils sont comme tout le monde, de simples adolescents passionnés. Le lecteur peut facilement s’identifier et apprendre tout un tas d’astuces sur le cosplay, le maquillage, la photographie… On se rend compte quand même que du côté du cosplay, les français sont moins bien lotis que les japonais et n’ont pas de boutiques dédiées avec tout un tas de matériaux et d’accessoires. Le manga reste toujours agréable à lire, alterne entre cosplay et tranche de vie pour ne pas lasser. Un bon divertissement. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sexy-cosplay-doll-tome-9?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Nickad

    High Key x Low Key

    Au cours d’une exposition, Mao découvre un jour les photos de Mel et son mannequin fétiche Kei. S’il est d’abord envouté par Kei, il finit peu à peu par apprécier tout autant le photographe. Il parcourt alors les différentes expositions de l’auteur, seul endroit où il peut voir ses œuvres. C’est là qu’il finit par rencontrer Mel qui lui propose de devenir mannequin. Avant toute chose, ce yaoi est pour public averti et contient des scènes plus qu’érotiques. Le graphisme très fin avec des personnages élancés et résolument fait pour plaire au lectorat féminin et n’est pas sans rappelé celui de Setona Mizushiro (le jeu du chat et de la souris). Les trois personnages principaux sont tous avides de présence, d’une âme sœur qui comblerait le vide en leur cœur. Ils s’approchent, se jalousent, se cherchent et finissent par trouver un équilibre tant sur le point sentimental que sur le point physique. C’est un manga sensuel et élégant et aussi très osé. Le seul bémol en ce qui me concerne c’est l’apparence un peu trop androgyne de Mao mais sinon, c’est une lecture agréable et une belle leçon d’amour sans préjugé et sans limite.
  15. Nickad

    High Key x Low Key

    Titre de l'album : High Key x Low Key Scenariste de l'album : HAIDA Nanako Dessinateur de l'album : HAIDA Nanako Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Captivé par les photos du mystérieux et peu médiatisé Kei, modèle du photographe appelé Mel, Mao se rend souvent aux expositions photos dans le but de voir son idole. Alors qu''il était en train d''admirer un tableau, le photographe Mel en personne lui propose de devenir son modèle. Envoûté par le regard pénétrant de Mel, son visage de mannequin et sa voix posée, Mao se retrouve dans son lit sans même s''en apercevoir. Critique : Au cours d’une exposition, Mao découvre un jour les photos de Mel et son mannequin fétiche Kei. S’il est d’abord envouté par Kei, il finit peu à peu par apprécier tout autant le photographe. Il parcourt alors les différentes expositions de l’auteur, seul endroit où il peut voir ses œuvres. C’est là qu’il finit par rencontrer Mel qui lui propose de devenir mannequin. Avant toute chose, ce yaoi est pour public averti et contient des scènes plus qu’érotiques. Le graphisme très fin avec des personnages élancés et résolument fait pour plaire au lectorat féminin et n’est pas sans rappelé celui de Setona Mizushiro (le jeu du chat et de la souris). Les trois personnages principaux sont tous avides de présence, d’une âme sœur qui comblerait le vide en leur cœur. Ils s’approchent, se jalousent, se cherchent et finissent par trouver un équilibre tant sur le point sentimental que sur le point physique. C’est un manga sensuel et élégant et aussi très osé. Le seul bémol en ce qui me concerne c’est l’apparence un peu trop androgyne de Mao mais sinon, c’est une lecture agréable et une belle leçon d’amour sans préjugé et sans limite. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/high-key-low-key/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Nickad

    Game of Familia tomes 4 et 5

    Le machiavélique Sasae a manipulé les différents enfants du roi de Daba afin qu’ils s’entretuent, pendant ce temps, il compte bien trouver le mécanisme qui bloque la magie. Mais il n’est pas le seul à être malin et il se retrouve à affronter le roi ! Tout finit bien pour la familia qui se retrouve à participer aux affaires politiques de Daba. Si les 3 femmes de la familia sont plus là pour le plaisir des yeux que pour l’avancée de l’histoire, Sasae lui est le personnage principal autour duquel tout s’articule. Il est le manipulateur de l’ombre qui s’occupe des sales besognes et qui semble toujours avoir un coup d’avance. Cela rend l’histoire très mature et un poil obscure. Comme il s’agit de survie avant tout et de protéger sa familia, ses décisions sont parfois très dures et son sens moral peut être remis en question. On en apprend plus sur son passé avec son père, qui en passant, était une belle ordure ! Toujours destiné à un lectorat adulte, ce sombre « héros » apporte une vraie nouveauté dans l’isekai, rend les situations plus denses et intenses. Mais attention, les ennemis de Sasae semblent être tout autant intelligents et les stratagèmes se multiplient. C’est bien aussi parfois d’avoir des méchants puissants et des affrontements complexes ! Un manga tout en action et bien rythmé.
  17. Titre de l'album : Game of Familia tomes 4 et 5 Scenariste de l'album : YAMAGUCHI Mikoto Dessinateur de l'album : D.P. Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Un nouvel arc commence ! En s'infiltrant dans l'État magique de Laiknel, Sasae va découvrir une puissance technologique allant à l'encontre de la morale humaine... ! L'ordre a enfin été rétabli à Daba, mais le répit de Sasae et sa famille sera de courte durée, car ils apprennent que les Dead Mells ont finalement brisé les derniers remparts de la forteresse nord et ont envahi le royaume. Suspectant que l'État magique de Laiknel pourrait être responsable d'avoir utilisé la force de l'armée des Dead Mells à son avantage, Sasae prétend vouloir inscrire Hinana dans leur école de magie pour infiltrer le pays avec elle et mener son enquête. Dans cette école où enseigne le plus puissant des Sorciers, Ode Seeker, ils vont tenter de percer le mystère entourant une étrange jeune fille et des expériences qui semblent conduites par l'école... Pour le bien de son pays, elle va offrir son corps au démon ! Que l'opération d'infiltration de l'école de magie commence !! Critique : Le machiavélique Sasae a manipulé les différents enfants du roi de Daba afin qu’ils s’entretuent, pendant ce temps, il compte bien trouver le mécanisme qui bloque la magie. Mais il n’est pas le seul à être malin et il se retrouve à affronter le roi ! Tout finit bien pour la familia qui se retrouve à participer aux affaires politiques de Daba. Si les 3 femmes de la familia sont plus là pour le plaisir des yeux que pour l’avancée de l’histoire, Sasae lui est le personnage principal autour duquel tout s’articule. Il est le manipulateur de l’ombre qui s’occupe des sales besognes et qui semble toujours avoir un coup d’avance. Cela rend l’histoire très mature et un poil obscure. Comme il s’agit de survie avant tout et de protéger sa familia, ses décisions sont parfois très dures et son sens moral peut être remis en question. On en apprend plus sur son passé avec son père, qui en passant, était une belle ordure ! Toujours destiné à un lectorat adulte, ce sombre « héros » apporte une vraie nouveauté dans l’isekai, rend les situations plus denses et intenses. Mais attention, les ennemis de Sasae semblent être tout autant intelligents et les stratagèmes se multiplient. C’est bien aussi parfois d’avoir des méchants puissants et des affrontements complexes ! Un manga tout en action et bien rythmé. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/game-of-familia-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. poseidon2

    Blue Lock T1&2

    Avec la fin de la réédition de Slam Dunk, j'étais doucement en recherche d'un manga de sport. Et c'est là que j'ai vu l'offre d'été Pika : 3 mangas achetés, une serviette de plage offerte. Ayant des fanatiques de manga à la maison, cela faisait le cadeau facile, étant en pus à la bourre dans les ateliers des sorciers. J'ai donc jeté mon dévolue sur Blue Lock en espérant trouver un bon manga de foot. Et il se trouve que.... ben ce n'est pas vraiment un manga de foot. Un manga sur le foot oui mais pas vraiment de foot. On serait plutôt sur un manga de "Survival" en mode seul le plus fort survit sur fond de foot. Car c'est ce qui est surprenant : Le Blue Lock c'est Kholanta ! 300 jeunes sont rassemblés et un seul deviendra l'attaquant suprême, sur les cadavres des carrières des autres ! Et sur ces deux premiers tomes l'histoire passent vraiment bien. Enchainant les épreuves sportives mais éliminatoires, on découvre ici nos différents attaquants et notre héros est poussé dès le début dans ces derniers retranchements. Nos auteurs réussissent à nous fournir à la fois la montée en puissance sportive standard mais aussi le stress du Survival. Bref deux bons premiers tomes d'une belle série hybride qui change des parutions actuelles.
  19. poseidon2

    Blue Lock T1&2

    Titre de l'album : Blue Lock T1&2 Scenariste de l'album : Yûsuke Nomura Dessinateur de l'album : Muneyuki Kaneshiro Coloriste : Editeur de l'album : Pika Note : Résumé de l'album : Coupe du monde 2018, l'équipe de football du Japon est éliminée en huitièmes de finale... Ce nouvel échec incite l'Union japonaise de football à fonder le «Blue Lock» : un centre de formation révolutionnaire rassemblant les 300 meilleurs attaquants lycéens du pays. L'objectif du coach du Blue Lock, Jinpachi Ego, est clair : détecter l'unique attaquant qui écrasera tous ses rivaux par son talent et son hyper-individualisme ! Pour Yoichi Isagi, joueur bouillonnant encore inconnu, il n'y a pas d'alternative... S'il veut survivre au programme hautement sélectif qui l'attend, il devra abandonner le jeu collectif et se transcender pour devenir l'attaquant ultime ! Critique : Avec la fin de la réédition de Slam Dunk, j'étais doucement en recherche d'un manga de sport. Et c'est là que j'ai vu l'offre d'été Pika : 3 mangas achetés, une serviette de plage offerte. Ayant des fanatiques de manga à la maison, cela faisait le cadeau facile, étant en pus à la bourre dans les ateliers des sorciers. J'ai donc jeté mon dévolue sur Blue Lock en espérant trouver un bon manga de foot. Et il se trouve que.... ben ce n'est pas vraiment un manga de foot. Un manga sur le foot oui mais pas vraiment de foot. On serait plutôt sur un manga de "Survival" en mode seul le plus fort survit sur fond de foot. Car c'est ce qui est surprenant : Le Blue Lock c'est Kholanta ! 300 jeunes sont rassemblés et un seul deviendra l'attaquant suprême, sur les cadavres des carrières des autres ! Et sur ces deux premiers tomes l'histoire passent vraiment bien. Enchainant les épreuves sportives mais éliminatoires, on découvre ici nos différents attaquants et notre héros est poussé dès le début dans ces derniers retranchements. Nos auteurs réussissent à nous fournir à la fois la montée en puissance sportive standard mais aussi le stress du Survival. Bref deux bons premiers tomes d'une belle série hybride qui change des parutions actuelles. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/blue-lock-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. poseidon2

    Grand blue 13-14

    Franchement j’ai eu l’air de quoi moi ? Ça sert à quoi de faire des mangas aussi drôles en plein milieu d’une série ? Ça sert juste à me faire passer pour un grand benêt, rigolant tout seul au beau milieu d’un gymnase ! Blague à part, je pense que ces deux tomes sont peut-être les meilleurs de la série !!! On se retrouve durant 2 tomes avec uniquement nos quatre personnages principaux. Les quatre qui ont le même âge et qui partagent la même passion. Cela permet à notre auteur d’effectuer une vraie avancée dans les relations entre ces 4 personnages. Entre Kohei qui découvre que Pot de Peinture est amoureuse de Iori et Chisa qui se rend compte que sous ces airs de guignol, c’est finalement un mec plus que bien, nos aventures amoureuses sont relancer. Et cela alors même que Iori n’a, lui, rien remarquer. Et cela permettant surtout d’user et d’abuser de quiproquos plus drôles les uns que les autres. On se bidonne, on s’émeut et on profite de dessins sublimes des fonds marins de Kimitake Yoshioka. Bref deux tomes qui débutent et concluent la partie sur les vacances de nos quatre premières années et le fait de bien belle façon. On en veut encore !
  21. Titre de l'album : Grand blue 13-14 Scenariste de l'album : Kenji Inoue Dessinateur de l'album : Kimitake Yoshioka Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Sa force mentale est vraiment incroyable !! Iori, Kôhei et Chisa sont enfin arrivés aux Palaos ! Ils vont bientôt découvrir que même à l'étranger, le club ne rate pas une occasion de tourner toutes les situations en délire total ! C'est la durée de base qu'ils marquent sur les Love Hotels !! Chisa perd confiance en sa capacité à devenir monitrice de plongée, et Aina fait face à Kôhei qui semble avoir découvert qu'elle est amoureuse d'iori, et qui fait tout pour s'en mêler ! Critique : Franchement j’ai eu l’air de quoi moi ? Ça sert à quoi de faire des mangas aussi drôles en plein milieu d’une série ? Ça sert juste à me faire passer pour un grand benêt, rigolant tout seul au beau milieu d’un gymnase ! Blague à part, je pense que ces deux tomes sont peut-être les meilleurs de la série !!! On se retrouve durant 2 tomes avec uniquement nos quatre personnages principaux. Les quatre qui ont le même âge et qui partagent la même passion. Cela permet à notre auteur d’effectuer une vraie avancée dans les relations entre ces 4 personnages. Entre Kohei qui découvre que Pot de Peinture est amoureuse de Iori et Chisa qui se rend compte que sous ces airs de guignol, c’est finalement un mec plus que bien, nos aventures amoureuses sont relancer. Et cela alors même que Iori n’a, lui, rien remarquer. Et cela permettant surtout d’user et d’abuser de quiproquos plus drôles les uns que les autres. On se bidonne, on s’émeut et on profite de dessins sublimes des fonds marins de Kimitake Yoshioka. Bref deux tomes qui débutent et concluent la partie sur les vacances de nos quatre premières années et le fait de bien belle façon. On en veut encore ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/grand-blue-tome-14?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    GRAY tome 1

    GRAY est LE super héros coréen, sa notoriété est même devenue mondiale et des touristes font le déplacement exprès dans l’espoir de l’apercevoir. Mais un jour, il tue le méga super vilain de la ville Pinoki. Tout super héros qu’il soit, un meurtre reste un meurtre et il se rend à la police. Devant l’inspecteur, il passe aux aveux, il revient sur ses débuts et comment il en est arrivé là. Gray s’est vraiment l’histoire à laquelle on ne s’attendait pas. C’est l’histoire d’un homme, Lee Seolwon, fan de super héros et président d’une société de jouets qui veut vendre du rêve aux enfants et aux adultes. Qui devant le manque d’enthousiasme de ses directeurs, monte un projet insensé pour faire vendre des produits dérivés : créer de toute pièce un super héros ! Mais pour que son personnage devienne une star, il faut qu’il devienne indispensable au pays en combattant les méchants. Et c’est encore mieux s’il y a un super vilain. C’est comme ça que le spectacle commence ! Un super plan orchestré de main de maître. Gray montre donc l’arrière du décor, la manipulation de l’opinion publique en fonction de la psychologie humaine. Tout est extrêmement bien pensé, tout est calculé pour que l’on voit que ce que le héros veut que l’on voit. Alors pourquoi en est-il arrivé au meurtre ? C’est toute la question et c’est toute l’histoire du livre. Avec un peu de Batman pour les accessoires, un peu de Kick Ass pour la mise en scène, Gray nous dévoile de sombres côtés : l’appât du gain, la crédulité des hommes, la facilité de se laisser mouvoir par les évènements sans chercher à comprendre… En tout cas c’est une approche intéressante des super-héros. Série finie en 3 tomes
  23. Nickad

    GRAY tome 1

    Titre de l'album : GRAY tome 1 Scenariste de l'album : WOOLLEE Dessinateur de l'album : WOOLLEE Coloriste : Editeur de l'album : KOYOHAN Note : Résumé de l'album : Lee Seolwon a toujours rêvé d'être un super-héros, au point qu'il fi nit par se faire fabriquer un véritable costume ! Mais un problème se pose alors, comment devenir un super-héros sans super-vilain ? Une seule solution : en créer un soi-même. Dis-nous, Gray, que se passerait-il si ton secret était dévoilé ? Critique : GRAY est LE super héros coréen, sa notoriété est même devenue mondiale et des touristes font le déplacement exprès dans l’espoir de l’apercevoir. Mais un jour, il tue le méga super vilain de la ville Pinoki. Tout super héros qu’il soit, un meurtre reste un meurtre et il se rend à la police. Devant l’inspecteur, il passe aux aveux, il revient sur ses débuts et comment il en est arrivé là. Gray s’est vraiment l’histoire à laquelle on ne s’attendait pas. C’est l’histoire d’un homme, Lee Seolwon, fan de super héros et président d’une société de jouets qui veut vendre du rêve aux enfants et aux adultes. Qui devant le manque d’enthousiasme de ses directeurs, monte un projet insensé pour faire vendre des produits dérivés : créer de toute pièce un super héros ! Mais pour que son personnage devienne une star, il faut qu’il devienne indispensable au pays en combattant les méchants. Et c’est encore mieux s’il y a un super vilain. C’est comme ça que le spectacle commence ! Un super plan orchestré de main de maître. Gray montre donc l’arrière du décor, la manipulation de l’opinion publique en fonction de la psychologie humaine. Tout est extrêmement bien pensé, tout est calculé pour que l’on voit que ce que le héros veut que l’on voit. Alors pourquoi en est-il arrivé au meurtre ? C’est toute la question et c’est toute l’histoire du livre. Avec un peu de Batman pour les accessoires, un peu de Kick Ass pour la mise en scène, Gray nous dévoile de sombres côtés : l’appât du gain, la crédulité des hommes, la facilité de se laisser mouvoir par les évènements sans chercher à comprendre… En tout cas c’est une approche intéressante des super-héros. Série finie en 3 tomes Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gray-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. C’est marrant, ce manga commence exactement pareil que le webtoon Arena : des élèves partent faire un voyage scolaire en bus quand tout à coup, le bus est aspiré dans un autre monde ! Les voilà vendus au plus offrant en fonction de leur quantité de rudia : une énergie possédée par les humains qui permet de piloter des mecha-mages, des sortes de robots destinés au combat. Toute la classe a eu son niveau de rudia mesuré, c’est Yui Shirayuki la plus belle fille de la classe qui obtient le meilleur score (36 000) et Yûta, notre héros, amoureux de la belle, lui a le score de 2, n’ayant aucun intérêt pour aucun des pays, il est vendu comme esclave contre quelques noix. Vous vous en doutez, le niveau de rudia de Yûta, a été mal évalué, il va devoir se débrouiller dans ce monde où l’on n’est rien sans rudia, faire des rencontres en cours de route, monter son petit groupe et partir à l’aventure ! Un déroulement shonen assez classique. Mais il y a un autre aspect intéressant dans ce manga : c’est la valeur d’un être humain ! Ici le niveau de rudia définit les classes, tout à coup, des élèves quelconques vont se comporter comme des rois et traiter les plus faibles comme de la bouse. Il est facile de se laisser emporter par un nouveau pouvoir, nos héros arriveront-ils à garder leur humanité ? D’autant plus difficile qu’ils vont de voir combattre et ça dans des pays différents, leur amitié risque d’en souffrir… Mecha-mages est donc un bon shonen d’aventure avec des personnages attachants, qui a un dessin agréable et un rythme soutenu. D’ailleurs, je suis arrivée au bout de ce 1er tome en me disant quoi ? déjà fini ? ce qui est plutôt bon signe ! 4 tomes en cours
  25. Titre de l'album : Mecha-mages d'esclave à héros tome 1 Scenariste de l'album : RYOMA Dessinateur de l'album : CAMBRIA Bakuhatsu Taro , KUROI Susumu Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Dans un autre monde, existent des machines appelées "mecha-mages" que seuls des hommes possédant une énergie particulière, baptisée "rudia", peuvent contrôler. Ses habitants ont l'habitude d'invoquer fréquemment des terriens de manière aléatoire pour faire d'eux les pilotes de ces machines. La raison est simple : les terriens possèdent des niveaux élevés de rudia. Un jour, la classe de Yûta se fait invoquer dans cet autre monde, mais le jeune garçon se retrouve avec un niveau de rudia incroyablement bas. Critique : C’est marrant, ce manga commence exactement pareil que le webtoon Arena : des élèves partent faire un voyage scolaire en bus quand tout à coup, le bus est aspiré dans un autre monde ! Les voilà vendus au plus offrant en fonction de leur quantité de rudia : une énergie possédée par les humains qui permet de piloter des mecha-mages, des sortes de robots destinés au combat. Toute la classe a eu son niveau de rudia mesuré, c’est Yui Shirayuki la plus belle fille de la classe qui obtient le meilleur score (36 000) et Yûta, notre héros, amoureux de la belle, lui a le score de 2, n’ayant aucun intérêt pour aucun des pays, il est vendu comme esclave contre quelques noix. Vous vous en doutez, le niveau de rudia de Yûta, a été mal évalué, il va devoir se débrouiller dans ce monde où l’on n’est rien sans rudia, faire des rencontres en cours de route, monter son petit groupe et partir à l’aventure ! Un déroulement shonen assez classique. Mais il y a un autre aspect intéressant dans ce manga : c’est la valeur d’un être humain ! Ici le niveau de rudia définit les classes, tout à coup, des élèves quelconques vont se comporter comme des rois et traiter les plus faibles comme de la bouse. Il est facile de se laisser emporter par un nouveau pouvoir, nos héros arriveront-ils à garder leur humanité ? D’autant plus difficile qu’ils vont de voir combattre et ça dans des pays différents, leur amitié risque d’en souffrir… Mecha-mages est donc un bon shonen d’aventure avec des personnages attachants, qui a un dessin agréable et un rythme soutenu. D’ailleurs, je suis arrivée au bout de ce 1er tome en me disant quoi ? déjà fini ? ce qui est plutôt bon signe ! 4 tomes en cours Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mecha-mages-d-esclave-a-heros-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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