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  1. Nickad

    Goodbye Harlequin

    Au lycée Akino Kubo, un élève brillant qui s’ennuie dans la vie car son avenir est tout tracé, rencontre un jour Eichi Shimizu, redoublant à cause de ses absences liées à son métier de mannequin. Il est tout de suite attiré par ce garçon à la beauté froide et peu communicatif. Après une relation courte et osée, Shimizu quitte le lycée. Des années plus tard, Kubo, devenu styliste retrouve Shimizu et décide de faire de lui l’égérie de sa marque. Les deux personnages principaux ont tous les deux des situations familiales compliquées. Si dans le cas de Kubo, ce n’est pas dramatique et crée de la concurrence dans la fratrie, c’est beaucoup plus sérieux pour Shimizu. Le jeune homme a été marqué par des drames et des séparations douloureuses, il ne veut plus s’attacher à personne de peur de souffrir. Il est devenu mannequin dans l’espoir que sa véritable famille le voit. Hélas, si les bases de leurs caractères sont intéressantes, le manga peine à les exploiter. C’est pareil concernant leur relation qui découle d’un arrangement professionnel ou encore des personnages secondaires qui disparaissent aussi vite qu’ils sont arrivés. Le graphisme est très beau et très sensuel (à réserver à un public averti), les personnages sont élégants, et l’univers de la mode renforce le côté artistique du titre mais le scénario aurait pu être plus profond. On reste en survol la majorité du temps. En conclusion, Goodbye Harlequin est un manga plus agréable à regarder qu’à lire.
  2. Nickad

    Goodbye Harlequin

    Titre de l'album : Goodbye Harlequin Scenariste de l'album : KUSABI Keri Dessinateur de l'album : KUSABI Keri Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Le mannequin populaire Eichi Shimizu devient l'égérie masculine de la marque à l'avenir prometteur, Gallant Quartz. Mais il se rend très vite compte qu'il a en fait été recommandé par un ancien camarade de classe, Akino Kubo, avec lequel il avait eu un rapport sexuel. Critique : Au lycée Akino Kubo, un élève brillant qui s’ennuie dans la vie car son avenir est tout tracé, rencontre un jour Eichi Shimizu, redoublant à cause de ses absences liées à son métier de mannequin. Il est tout de suite attiré par ce garçon à la beauté froide et peu communicatif. Après une relation courte et osée, Shimizu quitte le lycée. Des années plus tard, Kubo, devenu styliste retrouve Shimizu et décide de faire de lui l’égérie de sa marque. Les deux personnages principaux ont tous les deux des situations familiales compliquées. Si dans le cas de Kubo, ce n’est pas dramatique et crée de la concurrence dans la fratrie, c’est beaucoup plus sérieux pour Shimizu. Le jeune homme a été marqué par des drames et des séparations douloureuses, il ne veut plus s’attacher à personne de peur de souffrir. Il est devenu mannequin dans l’espoir que sa véritable famille le voit. Hélas, si les bases de leurs caractères sont intéressantes, le manga peine à les exploiter. C’est pareil concernant leur relation qui découle d’un arrangement professionnel ou encore des personnages secondaires qui disparaissent aussi vite qu’ils sont arrivés. Le graphisme est très beau et très sensuel (à réserver à un public averti), les personnages sont élégants, et l’univers de la mode renforce le côté artistique du titre mais le scénario aurait pu être plus profond. On reste en survol la majorité du temps. En conclusion, Goodbye Harlequin est un manga plus agréable à regarder qu’à lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/goodbye-harlequin?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    Last mission : PK killer tome 1

    Nishiki, un jeune salarié, aime jouer aux jeux vidéo en réalité virtuelle. Depuis qu’il est petit son rêve est d’incarné un marchand dans un jeu d’heroic fantasy, hélas, il se rend vite compte que la classe marchand est dénigré et quand il se retrouve expulsé de la guilde, il décide de faire une dernière mission avant d’arrêter de jouer. Au cours de cette dernière mission, il va rencontrer une jeune joueuse de la classe « marchand » et surtout, n’ayant plus rien à perdre, il va se donner à fond pour éliminer les PK (Player killer : les joueurs qui s’en prennent aux autres joueurs pour leur dérober leurs biens et compétences). Il se découvre alors un penchant pour le combat. Dans le style de manga MMORPG, il y a évidemment Sword Art Online, la référence en la matière et puis il y en a plein d’autres, plus ou moins intéressants. Il y a deux points qui se démarquent dans Last mission : PK Killer. D’abord l’objectif de Nishiki, abandonnés son rêve et ses espoirs sur la classe « marchand », il va trouver une motivation pour éliminer les PK et laisse un peu de côté la quête principale du jeu. Ensuite, son attitude dans le jeu va avoir des répercussions directes dans sa vraie vie, il va se mettre à avoir des agissements qu’il n’avait pas avant. Etant donné que la série est terminée en 3 tomes, on suppose que c’est avant tout la transformation de Nishiki qui va être mise à l’honneur ; en espérant que cela soit vraiment le cas car si c’est juste le déroulé du MMORPG, l’intérêt n’est pas le même. En attendant d’en savoir plus, le manga est bien conçu, agréable à la lecture et au visuel et il est divertissant.
  4. Titre de l'album : Last mission : PK killer tome 1 Scenariste de l'album : AAA Dessinateur de l'album : HARADA Eri Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Nishiki, jeune salary man, accro aux jeux vidéo, fait partie de la classe des marchands dans son RPG en réalité virtuelle. Un jour, les joueurs de sa propre guilde décident de le virer car il ne leur est plus d'aucune utilité. Désabusé, il décide de se lancer dans une dernière quête avant de décrocher. Naît alors en lui une soif de combattre comme il n'en avait jamais connue auparavant ! Critique : Nishiki, un jeune salarié, aime jouer aux jeux vidéo en réalité virtuelle. Depuis qu’il est petit son rêve est d’incarné un marchand dans un jeu d’heroic fantasy, hélas, il se rend vite compte que la classe marchand est dénigré et quand il se retrouve expulsé de la guilde, il décide de faire une dernière mission avant d’arrêter de jouer. Au cours de cette dernière mission, il va rencontrer une jeune joueuse de la classe « marchand » et surtout, n’ayant plus rien à perdre, il va se donner à fond pour éliminer les PK (Player killer : les joueurs qui s’en prennent aux autres joueurs pour leur dérober leurs biens et compétences). Il se découvre alors un penchant pour le combat. Dans le style de manga MMORPG, il y a évidemment Sword Art Online, la référence en la matière et puis il y en a plein d’autres, plus ou moins intéressants. Il y a deux points qui se démarquent dans Last mission : PK Killer. D’abord l’objectif de Nishiki, abandonnés son rêve et ses espoirs sur la classe « marchand », il va trouver une motivation pour éliminer les PK et laisse un peu de côté la quête principale du jeu. Ensuite, son attitude dans le jeu va avoir des répercussions directes dans sa vraie vie, il va se mettre à avoir des agissements qu’il n’avait pas avant. Etant donné que la série est terminée en 3 tomes, on suppose que c’est avant tout la transformation de Nishiki qui va être mise à l’honneur ; en espérant que cela soit vraiment le cas car si c’est juste le déroulé du MMORPG, l’intérêt n’est pas le même. En attendant d’en savoir plus, le manga est bien conçu, agréable à la lecture et au visuel et il est divertissant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/last-mission-pk-killer-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Asako est un jeune policier qui a un don bien étrange, en allant sur des scènes de crimes, il peut ressentir les derniers instants de la victime. Non seulement il accède à ses pensées, à ses dernières paroles mais les traces des violences apparaissent alors sur son corps. Cela permet aux enquêteurs de trouver des indices sur les événements. Asako fait partie de la 6eme division et il travaille avec l’inspecteur Kurowa. Leurs relations commencent à changer au moment au la victime est l’ex-femme de Kurowa, Asako ne sait plus si ce qu’il ressent vient de lui ou de la défunte. Accèder à la dernière essence d’une victime de meurtre, on l’a déjà vu, mais c’était surtout des informations ou des visions, il n’y avait encore jamais eu l’apparition de stigmates. Ça c’est la première nouveauté, la seconde c’est le partage de sentiments entre la victime et Asako, ce mélange qui lui fait perdre pied sans savoir si ce sont ses propres sentiments ou ceux d’une autre. La trame du récit est innovante et intéressante. Le graphisme est inégal, parfois détaillé, il lui arrive d’être aussi épuré, c’est peut-être volontaire mais c’est plus difficile de s’immerger dans l’histoire. Quant aux sentiments des personnages (attention scènes érotiques), ils auraient pu être plus profonds, on reste dans une certaine incertitude. Globalement le manga nous apporte de la nouveauté mais il laisse un côté inachevé qui ne convainc pas vraiment.
  6. Titre de l'album : Stigmata - les empreintes de la passion tomes 1 et 2 (FIN) Scenariste de l'album : TAKAHASHI Hidebu Dessinateur de l'album : TAKAHASHI Hidebu Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Depuis qu'il s'est installé chez Kuroiwa, Asako a de plus en plus de mal à contenir ses sentiments. Perturbé par ses rêves et visions, il ne sait plus comment se comporter avec son collègue, surtout que ce dernier fait parfois preuve d'une intimité troublante. Mais tandis que l'enquête sur l'assassinat de Mari piétine, une vieille photo pourrait donner les premiers éléments de réponse... Critique : Asako est un jeune policier qui a un don bien étrange, en allant sur des scènes de crimes, il peut ressentir les derniers instants de la victime. Non seulement il accède à ses pensées, à ses dernières paroles mais les traces des violences apparaissent alors sur son corps. Cela permet aux enquêteurs de trouver des indices sur les événements. Asako fait partie de la 6eme division et il travaille avec l’inspecteur Kurowa. Leurs relations commencent à changer au moment au la victime est l’ex-femme de Kurowa, Asako ne sait plus si ce qu’il ressent vient de lui ou de la défunte. Accèder à la dernière essence d’une victime de meurtre, on l’a déjà vu, mais c’était surtout des informations ou des visions, il n’y avait encore jamais eu l’apparition de stigmates. Ça c’est la première nouveauté, la seconde c’est le partage de sentiments entre la victime et Asako, ce mélange qui lui fait perdre pied sans savoir si ce sont ses propres sentiments ou ceux d’une autre. La trame du récit est innovante et intéressante. Le graphisme est inégal, parfois détaillé, il lui arrive d’être aussi épuré, c’est peut-être volontaire mais c’est plus difficile de s’immerger dans l’histoire. Quant aux sentiments des personnages (attention scènes érotiques), ils auraient pu être plus profonds, on reste dans une certaine incertitude. Globalement le manga nous apporte de la nouveauté mais il laisse un côté inachevé qui ne convainc pas vraiment. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/stigmata-les-empreintes-de-la-passion-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    Hana l'inaccessible tome 5

    Le nouveau personnage arrivé dans le tome 4 : Nagi, l’ancien chef de Hana a un gros problème de communication… enfin qu’avec Hana. Il est amoureux d’elle et perd ses moyens en sa présence, du coup, il parle peu et surtout en anglais. Hana se méprend constamment sur son attitude et interprète à sa façon. Ne se sentant pas à la hauteur (elle pense avoir beaucoup de chemin à faire professionnellement), elle décide de rompre avec Tsuyoshi. Si au début de la série, il y avait une redondance et une niaiserie que je trouvais énervantes, la suite avait fini par être agréable. Sans être un grand manga, l’histoire se lisait bien et le dessin réussi, surtout dans les expressions des personnages, y était pour beaucoup. Mais pourquoi le personnage de Nagi ?? On avait déjà Hana qui n’arrivait pas à s’exprimer, alors pourquoi ajouter un personnage dans le même style ? On sent que l’auteur a voulu ajouter une touche comique avec les quiproquos que cela engendre mais franchement, c’est lourd… Heureusement qu’il y a des personnages secondaires comme Ichigo qui permettent de faire avancer un peu le récit mais cela n’est pas suffisant, il y a un vrai problème d’équilibre entre l‘humour et la romance et je crains qu’on ne passe à côté des deux.
  8. Titre de l'album : Hana l'inaccessible tome 5 Scenariste de l'album : MURATA Koji Dessinateur de l'album : MURATA Koji Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : La super carte maîtresse du fabricant de pâtisseries traditionnelles, Mitsubachi, se nomme Hana Takamine et a vingt-sept ans ! Une belle jeune femme aussi douée qu'une écolière de CM2 pour ce qui est de l'amour !! Sa relation avec Tsuyoshi finit par passer de simples collègues à presque couple, mais suite au retour de Nagi Fudô, la légendaire carte maîtresse de l'entreprise Mitsubachi, Hana est en proie à une grande panique !! De plus, un voyage d'entreprise qui s'annonce très mouvementé, commence !! Critique : Le nouveau personnage arrivé dans le tome 4 : Nagi, l’ancien chef de Hana a un gros problème de communication… enfin qu’avec Hana. Il est amoureux d’elle et perd ses moyens en sa présence, du coup, il parle peu et surtout en anglais. Hana se méprend constamment sur son attitude et interprète à sa façon. Ne se sentant pas à la hauteur (elle pense avoir beaucoup de chemin à faire professionnellement), elle décide de rompre avec Tsuyoshi. Si au début de la série, il y avait une redondance et une niaiserie que je trouvais énervantes, la suite avait fini par être agréable. Sans être un grand manga, l’histoire se lisait bien et le dessin réussi, surtout dans les expressions des personnages, y était pour beaucoup. Mais pourquoi le personnage de Nagi ?? On avait déjà Hana qui n’arrivait pas à s’exprimer, alors pourquoi ajouter un personnage dans le même style ? On sent que l’auteur a voulu ajouter une touche comique avec les quiproquos que cela engendre mais franchement, c’est lourd… Heureusement qu’il y a des personnages secondaires comme Ichigo qui permettent de faire avancer un peu le récit mais cela n’est pas suffisant, il y a un vrai problème d’équilibre entre l‘humour et la romance et je crains qu’on ne passe à côté des deux. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hana-l-inaccessible-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Des détectives au poil

    Un ancien policier devenu détective privé et un jeune assistant qui ressemble à un voyou sans en être un, et qui le don d’attirer les animaux, se retrouvent à enquêter plus souvent sur la disparition d’animaux domestiques que sur des affaires plus sérieuses (d’où le jeu de mot dans le titre « au poil » faisant référence à nos amis les bêtes). Inutile de s’appesantir sur l’histoire car il n’y a pas grand choses à en dire… Tout dans ce manga est moyen, l’histoire d’amour n’est pas développée, l’auteur nous avance des personnages différents mais leur caractère n’est pas exploité. Quant aux animaux… c’est anecdotique… Attention, il n’y a pas non plus d’éléments rédhibitoires et il est tout public (pas de scène de sexe) mais on s’ennuie ferme… Allez lire melty kiss plutôt…
  10. Titre de l'album : Des détectives au poil Scenariste de l'album : NOJI Dessinateur de l'album : NOJI Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Rô, un assistant brillant, travaille dans l'agence de détective Sako. Malgré son air menaçant et ses cheveux roses, il est adoré des animaux de compagnie et est la meilleure personne pour les retrouver en cas de disparition. Et surtout, il est fou amoureux de Fumika, son patron. Rô travaille d'arrache-pied pour soutenir Fumi à résoudre ses enquêtes, mais ne perd aucune occasion pour tenter de le faire chavirer... Critique : Un ancien policier devenu détective privé et un jeune assistant qui ressemble à un voyou sans en être un, et qui le don d’attirer les animaux, se retrouvent à enquêter plus souvent sur la disparition d’animaux domestiques que sur des affaires plus sérieuses (d’où le jeu de mot dans le titre « au poil » faisant référence à nos amis les bêtes). Inutile de s’appesantir sur l’histoire car il n’y a pas grand choses à en dire… Tout dans ce manga est moyen, l’histoire d’amour n’est pas développée, l’auteur nous avance des personnages différents mais leur caractère n’est pas exploité. Quant aux animaux… c’est anecdotique… Attention, il n’y a pas non plus d’éléments rédhibitoires et il est tout public (pas de scène de sexe) mais on s’ennuie ferme… Allez lire melty kiss plutôt… Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/des-detectives-au-poil?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    Call of the night tome 4

    Kô continue ses errances nocturnes avec Nazuna, cette fois ils vont donner un coup de main à Midori, une autre vampire qui travaille dans un maid café. Puis au hasard de la nuit, Kô va tomber sur son professeur principal ! J’étais curieuse de lire la suite de ce manga pour voir si le coup de cœur du début était passager ou non. Je suis ravie, la suite est dans la même veine que le début, cette même ambiance particulière qui rend la lecture agréable et prenante. Pourtant, si on regarde les sujets du manga, ses personnages, il n’y a rien d’extraordinaire, des vampires qui vivent tranquillement au milieu des humains, qui boivent du sang certes, mais modérément. Des adolescents, lassés du système scolaire qui trainent la nuit, des petites tranches de vie… Est-ce parce que tous ses petits bouts sont bien agencés ou parce que l’histoire se déroule en nocturne, là où le temps semble s’écouler différemment, là où l’on sort du quotidien répétitif, que le manga fait mouche ? Difficile à dire… Ce qui est sûr c’est que Call of the Night sait nous emmener dans des errances nocturnes inhabituelles, une ballade étrangement plaisante…
  12. Titre de l'album : Call of the night tome 4 Scenariste de l'album : KOTOYAMA Dessinateur de l'album : KOTOYAMA Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : Impossible de résister à l'appel de la nuit ! La nuit où Kô Yamori, collégien et éternel insomniaque, décide de sortir se promener seul, il fait la rencontre de Nazuna Nanakusa, une jolie vampire. Sa veillée seule avec elle va bouleverser le destin de Kô... Critique : Kô continue ses errances nocturnes avec Nazuna, cette fois ils vont donner un coup de main à Midori, une autre vampire qui travaille dans un maid café. Puis au hasard de la nuit, Kô va tomber sur son professeur principal ! J’étais curieuse de lire la suite de ce manga pour voir si le coup de cœur du début était passager ou non. Je suis ravie, la suite est dans la même veine que le début, cette même ambiance particulière qui rend la lecture agréable et prenante. Pourtant, si on regarde les sujets du manga, ses personnages, il n’y a rien d’extraordinaire, des vampires qui vivent tranquillement au milieu des humains, qui boivent du sang certes, mais modérément. Des adolescents, lassés du système scolaire qui trainent la nuit, des petites tranches de vie… Est-ce parce que tous ses petits bouts sont bien agencés ou parce que l’histoire se déroule en nocturne, là où le temps semble s’écouler différemment, là où l’on sort du quotidien répétitif, que le manga fait mouche ? Difficile à dire… Ce qui est sûr c’est que Call of the Night sait nous emmener dans des errances nocturnes inhabituelles, une ballade étrangement plaisante… Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/call-of-the-night-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Laisse-moi te détester tome 2

    Naoto et Hazuki sont devenus partenaires, ils mènent une petite vie tranquille avec leurs deux enfants. Il y a bien les petits soucis du quotidien et des doutes, notamment Naoto s’inquiète de la relation entre sa fille Shizuku et son nouveau père, mais rien qui ne soit dramatique. Seulement un jour, Naoto croise celui qui l’avait agressé autrefois et qui pourrait bien être le vrai père de Shiziku. Encore une fois, l’histoire dépasse le cadre du omegaverse, car au travers de ce contexte, le manga aborde des thèmes sérieux et importants. La peur que le nouveau conjoint n’accepte pas les enfants issus d’un autre homme, la confiance dans l’autre, la communication, la peur d’être rejeté et surtout l’affrontement d’une victime face à son bourreau. Le graphisme est réussi et met en valeur toute cette palette de sentiments, le scénario est bien mené, on ne voit pas le temps passé. Mais surtout c’est une histoire touchante, avec sa part de tristesse mais qui montre des personnages prêts à tout pour s’accorder un droit au bonheur.
  14. Titre de l'album : Laisse-moi te détester tome 2 Scenariste de l'album : HIJIKI Dessinateur de l'album : HIJIKI Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Après être devenu le partenaire de Hazuki, Naoto a donné naissance à un nouvel enfant. Minato. Formant désormais une famille de quatre membres avec Shizuku, les deux hommes filent le parfait amour. Cependant, Naoto est sur le point de faire face à nouveau à son passé traumatisant... Critique : Naoto et Hazuki sont devenus partenaires, ils mènent une petite vie tranquille avec leurs deux enfants. Il y a bien les petits soucis du quotidien et des doutes, notamment Naoto s’inquiète de la relation entre sa fille Shizuku et son nouveau père, mais rien qui ne soit dramatique. Seulement un jour, Naoto croise celui qui l’avait agressé autrefois et qui pourrait bien être le vrai père de Shiziku. Encore une fois, l’histoire dépasse le cadre du omegaverse, car au travers de ce contexte, le manga aborde des thèmes sérieux et importants. La peur que le nouveau conjoint n’accepte pas les enfants issus d’un autre homme, la confiance dans l’autre, la communication, la peur d’être rejeté et surtout l’affrontement d’une victime face à son bourreau. Le graphisme est réussi et met en valeur toute cette palette de sentiments, le scénario est bien mené, on ne voit pas le temps passé. Mais surtout c’est une histoire touchante, avec sa part de tristesse mais qui montre des personnages prêts à tout pour s’accorder un droit au bonheur. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/laisse-moi-te-detester-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. poseidon2

    Bucket list of the dead tome 8

    Premier tome un peu décevant pour une de mes séries de détentes. Après un tome 7 hilarant avec une partie dans l'hôtel magique et un 6 a fond avec la protection du village, ce tome 8 se trouve être un peu plat. On enchaine les scènettes de découverte du Japon mais on est un peu comme notre héros dans la meilleure histoire de ce tome : blasé. Ok on a des zombies. Ok ils font des trucs rigolos mais ils en ont fait plein déjà. Si lui retrouve la motivation, on espère bien qu'il en ait suffisamment pour nous redonner un coup de booster dans le tome 9 sous peine de s'endormir.
  16. Titre de l'album : Bucket list of the dead tome 8 Scenariste de l'album : Haro Asô Dessinateur de l'album : Haro Asô Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Cela fait trois ans qu'Akira Tendô, 24 ans, travaille comme un forcené pour une société esclavagiste. Il est en total burn out, mais n'est même plus assez lucide pour s'en apercevoir... jusqu'au jour où son quotidien bascule : les zombies ont pris le contrôle de Tokyo ?! Pour le jeune homme, c'est la délivrance : rien de mieux qu'une bonne épidémie de zombie pour enfin profiter joyeusement de chaque jour qui passe ! Désormais, Akira va pouvoir croquer la vie à pleines dents ! Pour ce faire, il décide de dresser une liste de 100 choses qu'il voudrait absolument faire avant de devenir un zombie ! Akira parviendra-t-il à rayer toutes les lignes de sa liste avant de mourir ? Critique : Premier tome un peu décevant pour une de mes séries de détentes. Après un tome 7 hilarant avec une partie dans l'hôtel magique et un 6 a fond avec la protection du village, ce tome 8 se trouve être un peu plat. On enchaine les scènettes de découverte du Japon mais on est un peu comme notre héros dans la meilleure histoire de ce tome : blasé. Ok on a des zombies. Ok ils font des trucs rigolos mais ils en ont fait plein déjà. Si lui retrouve la motivation, on espère bien qu'il en ait suffisamment pour nous redonner un coup de booster dans le tome 9 sous peine de s'endormir. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bucket-list-of-the-dead-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Une critique de @TheOtaku : … un shojo très mignon, deux meilleures potes filles à fond, un meilleur pote presque jaloux (de la copine) et une petite amie badass et mignonne au possible, qu’est-ce qu’il en a de la chance … notre Izumi ultra malchanceux ! De petites histoires plutôt courtes sur la vie au lycée et en dehors de ce groupe d’amis, ce couple, voilà comment définir ce manga. Les histoires sont drôles, belles et leur amitié est incroyablement belle et chaleureuse. Le tome 5 porte beaucoup plus sur le rapport aux amis, les différences qu’on a, mais aussi l’attachement qu’on ressent pour nos meilleurs amis. Alors que, le tome 6 est beaucoup plus centré sur Izumi et Shiki, ce couple mignon mais vraiment pas doué. Ces deux tomes, comme la série elle-même, sont vraiment plaisants à lire. Un peu d’amitié, d’amour et de joie ne peut faire de mal à personne ! Et même, dans ce quotidien où l’on entend parler de guerre, de choses horribles à la radio, aux infos, à la télé le soir, ça ne peut faire que du bien de lire une romance sans prise de tête toute mignonne, après avoir subi les problèmes de travail, les grèves h24, et finir par parler de plus en plus souvent de choses horribles ou tristes ! Bien sur le fait qu’il n’y ai pas une seule histoire peu être un défaut, mais quand il y a une grande histoire, on se prend plus la tête, on réfléchit sur la suite à la fin du tome etc … C’est pas très relaxant !
  18. Titre de l'album : Shikomori n'est pas juste mignonne t5 t6 Scenariste de l'album : Maki Keigo Dessinateur de l'album : Maki Keigo Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Ma copine est trop cool pour moi !! Non seulement il est maladroit, mais Izumi est aussi très malchanceux ! Cela a cependant du bon, puisqu'une de ses mésaventures lui a permis de rencontrer Shikimori... Et de sortir avec elle ! Mais sa petite amie est si mignonne, si classe, qu'il ne peut pas s'empêcher de complexer... Alors il saute sur toutes les occasions pour tenter de se montrer digne d'elle ! Mais les choses se passe rarement comme il l'espère... Critique : Une critique de @TheOtaku : … un shojo très mignon, deux meilleures potes filles à fond, un meilleur pote presque jaloux (de la copine) et une petite amie badass et mignonne au possible, qu’est-ce qu’il en a de la chance … notre Izumi ultra malchanceux ! De petites histoires plutôt courtes sur la vie au lycée et en dehors de ce groupe d’amis, ce couple, voilà comment définir ce manga. Les histoires sont drôles, belles et leur amitié est incroyablement belle et chaleureuse. Le tome 5 porte beaucoup plus sur le rapport aux amis, les différences qu’on a, mais aussi l’attachement qu’on ressent pour nos meilleurs amis. Alors que, le tome 6 est beaucoup plus centré sur Izumi et Shiki, ce couple mignon mais vraiment pas doué. Ces deux tomes, comme la série elle-même, sont vraiment plaisants à lire. Un peu d’amitié, d’amour et de joie ne peut faire de mal à personne ! Et même, dans ce quotidien où l’on entend parler de guerre, de choses horribles à la radio, aux infos, à la télé le soir, ça ne peut faire que du bien de lire une romance sans prise de tête toute mignonne, après avoir subi les problèmes de travail, les grèves h24, et finir par parler de plus en plus souvent de choses horribles ou tristes ! Bien sur le fait qu’il n’y ai pas une seule histoire peu être un défaut, mais quand il y a une grande histoire, on se prend plus la tête, on réfléchit sur la suite à la fin du tome etc … C’est pas très relaxant ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/shikimori-n-est-pas-juste-mignonne-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    Hitomoji - stress mortel tome 1

    Un petit début scientifique pour bien comprendre le manga : certaines personnes sont porteuses d’une bactérie appelée anthropamide, quand celle-ci se réveille à cause d’un stress important, son hôte perd alors sa forme humaine (sauf la tête), devient une sorte de blob et peut finir par mourir si la cause du stress n’est pas résolue le plus rapidement possible. On les appelle alors des hitomojis. L’histoire suit le quotidien de la brigade spéciale en charge des hitomojis, elle doit d’une part protéger le malade et les personnes aux alentours (quand un hitomoji meurt, il répand alors ses miasmes dans l’air), et elle doit surtout trouver rapidement la cause du stress et essayer de le résoudre. Ce 1er tome suit donc deux patients : un homme divorcé pris dans les tumultes du droit de garde et une femme devenue alcoolique suit à l’abandon de son petit ami. S’il y a une part de fantastique sur la transformation de l’homme en hitomoji, c’est surtout la psychologie qui est importante. Ici, l’enquête doit être rapide et ensuite il faut user de diplomatie pour arriver à résoudre les problèmes. Ce qui est bien, c’est que la brigade spéciale ne réussit pas à tous les coups. Finalement, on se rend compte que l’hitomoji n’est qu’une métaphore de notre société, c’est une représentation physique du stress qui nous ronge, de ce « poison quotidien » qu’il convient d’éliminer avant qu’il ne soit trop tard. Une série intéressante finie en 4 tomes.
  20. Titre de l'album : Hitomoji - stress mortel tome 1 Scenariste de l'album : MASE Motoro Dessinateur de l'album : MASE Motoro Coloriste : Editeur de l'album : Crunchyroll Note : Résumé de l'album : Le Japon ploie sous une épidémie sans précédent. Une mutation du myxomycète, organisme de la famille des amibes, contamine les humains et, sous l'effet du stress, les transforme en hitomoji. Mais la brigade médicale menée par la téméraire Misaki Tamaru se bat pour aider les victimes à surmonter leurs angoisses... Car chaque minute compte avant que la mutation ne grignote leur humanité et ne fasse de nouvelles victimes ! Critique : Un petit début scientifique pour bien comprendre le manga : certaines personnes sont porteuses d’une bactérie appelée anthropamide, quand celle-ci se réveille à cause d’un stress important, son hôte perd alors sa forme humaine (sauf la tête), devient une sorte de blob et peut finir par mourir si la cause du stress n’est pas résolue le plus rapidement possible. On les appelle alors des hitomojis. L’histoire suit le quotidien de la brigade spéciale en charge des hitomojis, elle doit d’une part protéger le malade et les personnes aux alentours (quand un hitomoji meurt, il répand alors ses miasmes dans l’air), et elle doit surtout trouver rapidement la cause du stress et essayer de le résoudre. Ce 1er tome suit donc deux patients : un homme divorcé pris dans les tumultes du droit de garde et une femme devenue alcoolique suit à l’abandon de son petit ami. S’il y a une part de fantastique sur la transformation de l’homme en hitomoji, c’est surtout la psychologie qui est importante. Ici, l’enquête doit être rapide et ensuite il faut user de diplomatie pour arriver à résoudre les problèmes. Ce qui est bien, c’est que la brigade spéciale ne réussit pas à tous les coups. Finalement, on se rend compte que l’hitomoji n’est qu’une métaphore de notre société, c’est une représentation physique du stress qui nous ronge, de ce « poison quotidien » qu’il convient d’éliminer avant qu’il ne soit trop tard. Une série intéressante finie en 4 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hitomoji-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Après avoir aidé une jeune fille dans le train alors qu’elle se faisait tripoter, Ryo découvre qu’il s’agit de son amie d’enfance avec qui il n’a plus de relations depuis longtemps. Cet événement permet de renouer des liens. Mais entre-temps, lui est un peu le garçon à part de la classe, et elle, Hina est devenue la star du lycée. Ryo ne comprend pas trop pourquoi, après tant d’années, elle décide de lui parler à nouveau. Ensemble, ils revivent des souvenirs et peu à peu, les promesses de l’enfance refont surface. Adapté d’un light novel ce manga est réellement un shojo au sens premier du terme, inutile d’aller chercher midi à quatorze heures, il y a de la romance, de la romance et que de la romance ! Pas de propos cachés, pas de lycéens hors normes ou atypiques ; juste une histoire d’amis d’enfance qui se sont fait des promesses d’enfants, qui se sont éloignés et qui vont se retrouver. Hina a un côté timide et essaye de faire des gros sous-entendus pour faire comprendre ses sentiments. Ryo n’est pas encore au stade où il pourrait croire qu’il a une chance car pour lui, la star du lycée ne peut pas être avec un gars comme lui. Alors c’est sans grande originalité mais c’est mignon, c’est frais et ça se lit tout seul. Extrait
  22. Titre de l'album : Il ne comprend pas qu'il me plaît tome 1 Scenariste de l'album : KENNOJI / MATSUURA Haco Dessinateur de l'album : MODORIKAWA Yoh / Fly Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Alors qu'il prend le train pour se rendre au lycée, Ryô porte secours à une passagère victime d'un pervers sexuel. Cette dernière n'est autre qu'Hina, son amie d'enfance avec qui il avait pris ses distances depuis le collège. Dès lors, Hina semble s'intéresser de nouveau à son camarade, mais de façon plus... mature ! Ryô sera-t-il quant à lui assez mature pour comprendre ce qu'elle veut...? Critique : Après avoir aidé une jeune fille dans le train alors qu’elle se faisait tripoter, Ryo découvre qu’il s’agit de son amie d’enfance avec qui il n’a plus de relations depuis longtemps. Cet événement permet de renouer des liens. Mais entre-temps, lui est un peu le garçon à part de la classe, et elle, Hina est devenue la star du lycée. Ryo ne comprend pas trop pourquoi, après tant d’années, elle décide de lui parler à nouveau. Ensemble, ils revivent des souvenirs et peu à peu, les promesses de l’enfance refont surface. Adapté d’un light novel ce manga est réellement un shojo au sens premier du terme, inutile d’aller chercher midi à quatorze heures, il y a de la romance, de la romance et que de la romance ! Pas de propos cachés, pas de lycéens hors normes ou atypiques ; juste une histoire d’amis d’enfance qui se sont fait des promesses d’enfants, qui se sont éloignés et qui vont se retrouver. Hina a un côté timide et essaye de faire des gros sous-entendus pour faire comprendre ses sentiments. Ryo n’est pas encore au stade où il pourrait croire qu’il a une chance car pour lui, la star du lycée ne peut pas être avec un gars comme lui. Alors c’est sans grande originalité mais c’est mignon, c’est frais et ça se lit tout seul. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/il-ne-comprend-pas-qu-il-me-plait-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    Elden ring tome 1

    A l’origine Elden Ring est un jeu vidéo sorti en 2022, un univers de dark fantasy sérieux et assez sombre qui a eu un certain succès. Rien d’étonnant à ce qu’il y ait une adaptation manga et pour ceux qui connaissent le jeu, l’auteur a voulu en faire une version plus légère, comique même. Le personnage principal « Sans-nom » semble être destiné à un grand avenir, ou plutôt il a été choisi par la Grâce pour potentiellement devenir le seigneur d’Elden. Mais lui se réveille en sous-vêtement et sans souvenir, il se retrouve dans un environnement où il ne comprend rien et rencontre d’étranges personnages tous plus énigmatiques les uns que les autres. Je serai bien en peine de noter ce manga, d’abord parce que je ne connais pas l’univers d’Elden Ring, ensuite parce que le décalage volontaire du personnage me laisse perplexe. Il y a en même temps un côté très sérieux avec une quête à accomplir et de belle phrases et de l’autre, un gars un peu brut qui comprend surtout le langage propre aux jeux vidéo et qui en plus ne semble pas faire grand cas de l’objectif qui lui a été donné. Je ne sais pas quoi penser de ce scénario qui semble un peu partir dans tous les sens…. Par contre, le graphisme est très intéressant, il y a des décors et des personnages plus proches de la BD d’heroic fantasy que du manga et visiblement, on y retrouve les lieux et certains personnages du jeu. Donc si comme moi, vous débarquez dans cet univers, sachez que le livre est tout à fait lisible sans connaissance et qu’il faudra aller plus loin pour se faire vraiment un avis sur le scénario. La suite est déjà disponible en numérique sur le site de Mana books au prix de 0.49€ le chapitre. Extrait PS : la dernière image ci-dessous vient du jeu vidéo
  24. Nickad

    Elden ring tome 1

    Titre de l'album : Elden ring tome 1 Scenariste de l'album : TOBITA Nikkichi / FromSoftware Dessinateur de l'album : TOBITA Nikkichi Coloriste : Editeur de l'album : Mana Books Note : Résumé de l'album : Nécrolimbe, royaume de l'Entre-Terre. C'est sans le sou et sans vêtements que «Sans-nom» vient d'atterrir ici. Désespéré face au caractère impitoyable du monde dans lequel il a été projeté, il fait la rencontre de la mystérieuse Melina. Celle-ci lui propose alors un marché et l'encourage à suivre la grâce jusqu'à l'Arbre-Monde. Sur sa route, Sans-nom tombera sur un panel d'individus tous plus gratinés les uns que les autres : Pat l'Affranchi, Blaidd le Semi-Loup, Margit le Déchu, Godrick le Greffé, et Ranni la Sorcière... Poursuivant son voyage à travers Nécrolimbe au péril de sa vie, notre héros arrive bientôt à sa prochaine destination : le château de Voilorage ! Critique : A l’origine Elden Ring est un jeu vidéo sorti en 2022, un univers de dark fantasy sérieux et assez sombre qui a eu un certain succès. Rien d’étonnant à ce qu’il y ait une adaptation manga et pour ceux qui connaissent le jeu, l’auteur a voulu en faire une version plus légère, comique même. Le personnage principal « Sans-nom » semble être destiné à un grand avenir, ou plutôt il a été choisi par la Grâce pour potentiellement devenir le seigneur d’Elden. Mais lui se réveille en sous-vêtement et sans souvenir, il se retrouve dans un environnement où il ne comprend rien et rencontre d’étranges personnages tous plus énigmatiques les uns que les autres. Je serai bien en peine de noter ce manga, d’abord parce que je ne connais pas l’univers d’Elden Ring, ensuite parce que le décalage volontaire du personnage me laisse perplexe. Il y a en même temps un côté très sérieux avec une quête à accomplir et de belle phrases et de l’autre, un gars un peu brut qui comprend surtout le langage propre aux jeux vidéo et qui en plus ne semble pas faire grand cas de l’objectif qui lui a été donné. Je ne sais pas quoi penser de ce scénario qui semble un peu partir dans tous les sens…. Par contre, le graphisme est très intéressant, il y a des décors et des personnages plus proches de la BD d’heroic fantasy que du manga et visiblement, on y retrouve les lieux et certains personnages du jeu. Donc si comme moi, vous débarquez dans cet univers, sachez que le livre est tout à fait lisible sans connaissance et qu’il faudra aller plus loin pour se faire vraiment un avis sur le scénario. La suite est déjà disponible en numérique sur le site de Mana books au prix de 0.49€ le chapitre. Extrait PS : la dernière image ci-dessous vient du jeu vidéo Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/elden-ring-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    Entre nos mains tome 1

    Makimura et Midori ont passé tout le lycée ensemble, les deux jeunes filles filaient le parfait amour et profitaient de chaque instant. Mais le jour du diplôme Midori s’en va, estimant que deux filles ensemble, cela ne peut pas durer éternellement. Des années plus tard, Makimura se lamente auprès d’une amie, ce n’est pas facile de trouver l’amour quand on aime les filles et encore moins facile quand on n’a jamais pu oublier son amour de jeunesse. C’est là qu’elle croise Midori, elle pense pouvoir se rapprocher et avoir une seconde chance mais apprend que cette dernière est sur le point de se marier. Dans ce manga, chaque personnage amène un sujet. Makimura permet de montrer toute la difficulté d’être lesbienne dans la société actuelle. Midori représente parfaitement le conflit qui peut exister entre faire ce dont on a envie et se conformer à ce que la majorité considère comme normal : se marier avec un homme, devenir une bonne mère, être responsable quand on est adulte… Et Tazune (le futur mari) incarne le mâle suprême d’une société patriarcale qui se sent supérieur aux femmes. Il a d’ailleurs un certain nombre de propos offusquants « les femmes […] elles sont faciles à manipuler ». Mais toute l’histoire tourne autour de Midori, c’est elle le chef d’orchestre sauf qu’elle ne sait pas encore quelle partition jouer, elle hésite et ne se rend pas encore compte des futures tornades qu’elle engendre. Un peu dérangée par le graphisme où il y a quelques problèmes de proportion, le manga a quand même capté mon attention. Entre les réflexions du futur mari et cette pauvre Midori qui ne sait plus où elle en est et qui essaye de se convaincre qu’elle pourra être heureuse de cette façon, l’autrice arrive à nous faire réagir et à nous donner l’envie de lire la suite. La série est terminée en 4 tomes. Extrait
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