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  1. Titre de l'album : in these words - Bad company tome 1 Scenariste de l'album : NARCISSUS Dessinateur de l'album : TOGAI Jun Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Après une soirée torride, le détective David Krause quitte à regret les bras de son amant pour retrouver un informateur. Toutefois, le rendez-vous tourne court quand David se fait droguer et enlever… Katsuya prend alors les choses en main et tente par tous les moyens, même les plus risqués, de sauver l’homme qu’il aime. À ce moment-là, le récit se divise en deux : d’un côté, David impuissant, qui subit les châtiments barbares d’un geôlier sadique, et de l’autre, Katsuya qui met tout en œuvre pour le retrouver ! De révélations bouleversantes en rencontres inattendues, le passé tragique de Katsuya se dévoile... Critique : Avant les événements racontés dans In these words, David et Katsuya avaient déjà vécu des aventures, pas toujours joyeuses mais quand on travaille dans la police, devenir une cible est un risque. Le détective David Krause est enlevé un soir, il se retrouve à être victime d’un site malaisant sur le darkweb, l’information est donnée, il tiendra peut-être une semaine, le temps est compté pour résoudre cette affaire. Guilt Pleasure sait nous emmener dans des sphères un peu particulières, dans des affaires sordides qui ne mettent pas l’humain à l’honneur. Plus concret que in these words qui joue beaucoup sur la psychologie et les troubles, Bad company nous plonge dans les travers de notre société et dans une enquête qui part pour être très intéressante. Le graphisme est toujours superbe, surtout les représentations du corps humain. Les autrices confirment leur talent et montrent encore une fois qu’elles ont une place à part dans l’univers du yaoi où chacun de leur livre est attendu avec ferveur. 4 tomes en cours. Pour public averti Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/in-these-words-stories-bad-compagny?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Avant les événements racontés dans In these words, David et Katsuya avaient déjà vécu des aventures, pas toujours joyeuses mais quand on travaille dans la police, devenir une cible est un risque. Le détective David Krause est enlevé un soir, il se retrouve à être victime d’un site malaisant sur le darkweb, l’information est donnée, il tiendra peut-être une semaine, le temps est compté pour résoudre cette affaire. Guilt Pleasure sait nous emmener dans des sphères un peu particulières, dans des affaires sordides qui ne mettent pas l’humain à l’honneur. Plus concret que in these words qui joue beaucoup sur la psychologie et les troubles, Bad company nous plonge dans les travers de notre société et dans une enquête qui part pour être très intéressante. Le graphisme est toujours superbe, surtout les représentations du corps humain. Les autrices confirment leur talent et montrent encore une fois qu’elles ont une place à part dans l’univers du yaoi où chacun de leur livre est attendu avec ferveur. 4 tomes en cours. Pour public averti
  3. Titre de l'album : Nina du Royaume aux étoiles tome 1 Scenariste de l'album : RIKACHI Dessinateur de l'album : RIKACHI Coloriste : Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Nina, jeune orpheline aux yeux d'un bleu profond, est enlevée et emmenée au palais royal pour remplacer la princesse Alisha, disparue dans un accident. Destinée à épouser le prince héritier du royaume de Galgada, elle a trois mois pour apprendre à se comporter comme une véritable princesse, tout en trompant l'ensemble des nobles de la Cour. Critique : La princesse du royaume est décédée dans un accident, pour ne pas perturber l’ordre dans un pays déjà en proie à des manigances politiques autour du pouvoir, une orpheline est choisie par le 2eme prince pour remplacer sa défunte sœur : la jeune Nina devient alors Alisha et doit donner le change en attendant de se marier au prince du royaume voisin. Le synopsis n’est pas forcément innovant, des sosies de prince ou princesse on en a vue dans d’autres mangas mais souvent c’était un personnage destiné à gouverner, ce qui n’est pas le cas ici. Alisha n’est pas à la tête du royaume et ne doit pas le devenir, elle est un « outil » ; tout d’abord pour le pays car elle doit se marier avec le prince d’un autre pays et nouer ainsi une alliance et puis pour Azur, le 2eme prince dans un dessein que l’on ignore encore. Et puis Nina est une jeune fille qui n’a plus rien et qui n’a plus rien à perdre, enfin pour le moment, car elle va finir par s’attacher à certaines personnes. Le shojo est bien fait et comme tout shojo un peu historique, le graphisme s’attache aussi à bien représenter les décors, costumes et autres détails. La lecture est fluide, sans temps mort et le personnage de Nina intéressant, loin d’être une pauvre ingénue, elle ne se laisse pas faire et se permet parfois une attitude des plus familières. La série fait partie de la nouvelle collection Kazoku (« famille ») de l’éditeur Michel Lafon qui a été lancée en septembre 2021 avec le titre La peste. Elle compte 6 tomes en cours. Extrait Autres infos : Edition Michel Lafon - collection Kazoku Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nina-du-royaume-aux-etoiles-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. La princesse du royaume est décédée dans un accident, pour ne pas perturber l’ordre dans un pays déjà en proie à des manigances politiques autour du pouvoir, une orpheline est choisie par le 2eme prince pour remplacer sa défunte sœur : la jeune Nina devient alors Alisha et doit donner le change en attendant de se marier au prince du royaume voisin. Le synopsis n’est pas forcément innovant, des sosies de prince ou princesse on en a vue dans d’autres mangas mais souvent c’était un personnage destiné à gouverner, ce qui n’est pas le cas ici. Alisha n’est pas à la tête du royaume et ne doit pas le devenir, elle est un « outil » ; tout d’abord pour le pays car elle doit se marier avec le prince d’un autre pays et nouer ainsi une alliance et puis pour Azur, le 2eme prince dans un dessein que l’on ignore encore. Et puis Nina est une jeune fille qui n’a plus rien et qui n’a plus rien à perdre, enfin pour le moment, car elle va finir par s’attacher à certaines personnes. Le shojo est bien fait et comme tout shojo un peu historique, le graphisme s’attache aussi à bien représenter les décors, costumes et autres détails. La lecture est fluide, sans temps mort et le personnage de Nina intéressant, loin d’être une pauvre ingénue, elle ne se laisse pas faire et se permet parfois une attitude des plus familières. La série fait partie de la nouvelle collection Kazoku (« famille ») de l’éditeur Michel Lafon qui a été lancée en septembre 2021 avec le titre La peste. Elle compte 6 tomes en cours. Extrait
  5. Nickad

    Golden Guy tome 1

    Titre de l'album : Golden Guy tome 1 Scenariste de l'album : WATANABE Jun Dessinateur de l'album : WATANABE Jun Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Kai Sakurai est le chef d'un petit clan, appartenant à la famille Kamezuru, une influente organisation de yakuzas. Alors qu'il pense couler des jours heureux avec une partie de ses membres, un de ses compagnons est sauvagement assassiné ! Prêt à tout pour retrouver le meurtrier, Kai est loin de se douter que cette affaire va faire remonter d'anciens conflits à l'intérieur du clan, et pourrait même le mener au fameux trésor des Tokugawa...Désir, violence et complot seront les maîtres-mot de cette série de Jun Watanabe (Montage, Malédiction finale). Critique : Si les querelles entre des clans de yakuzas sont courantes, leurs motivations ne sont pas toujours les mêmes, et si en plus il y a un trésor mythique à trouver, certains ne vont reculer devant rien pour arriver à leur fin. Est-ce que les liens de la « famille » au sens mafieux pourront survivre à de tels événements ? Le manga se situe entre thriller et aventure car ce n’est pas juste une chasse au trésor, il s’agit aussi de relations humaines et des liens qui sont très forts entre les membres d’un clan de yakuza. Complots, meurtres, manipulations, combats, le clan Osaragi arrivera-t-il à s’en sortir surtout que l’argent fait tourner les têtes et que personne n’est à l’abri d’une trahison ? Soutenu par un graphisme fort et des personnages facilement identifiables avec des visages masculins bien marqués, le manga va droit au but avec ce qu’il faut de violence et de tension. On aime ça et on en redemande, vivement la suite ! Autres infos : 6 tomes en cours Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/golden-guy-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Nickad

    Golden Guy tome 1

    Si les querelles entre des clans de yakuzas sont courantes, leurs motivations ne sont pas toujours les mêmes, et si en plus il y a un trésor mythique à trouver, certains ne vont reculer devant rien pour arriver à leur fin. Est-ce que les liens de la « famille » au sens mafieux pourront survivre à de tels événements ? Le manga se situe entre thriller et aventure car ce n’est pas juste une chasse au trésor, il s’agit aussi de relations humaines et des liens qui sont très forts entre les membres d’un clan de yakuza. Complots, meurtres, manipulations, combats, le clan Osaragi arrivera-t-il à s’en sortir surtout que l’argent fait tourner les têtes et que personne n’est à l’abri d’une trahison ? Soutenu par un graphisme fort et des personnages facilement identifiables avec des visages masculins bien marqués, le manga va droit au but avec ce qu’il faut de violence et de tension. On aime ça et on en redemande, vivement la suite !
  7. Nickad

    Survivor's club tome 1

    Les auteurs ont trouvé une façon efficace de lutter contre le harcèlement scolaire ! Une solution radicale : au lieu que l’élève brimé se suicide seul en espérant peut-être attirer l’attention sur les problèmes qu’il a vécu, il se fait exploser en emmenant ses camarades avec lui ! Là, c’est sûr les coupables seront punis ! Mais est-ce que tous les élèves de la classe sont coupables ? A mi-chemin entre signal 100 et many reasons why, le manga tient autant du survival (quel élève va s’en sortir ?) que de l’enquête : comment l’élève brimé a-t-il pu se procurer la bombe ? qui l’a aidé ? D’un côté on a les survivants du 1er attentat qui cherchent à comprendre et de l’autre les otages d’une autre classe en prise avec un simulacre de procès pour savoir qui est ou n’est pas coupable de brimades. C’est là, que les sombres côtés de la nature humaine vont ressortir : êtes-vous prêts à sacrifier votre prochain pour survivre ? Le manga est plutôt efficace, avec une scène d’explosion choquante, un après attentat ancré dans la réalité (les survivants ont des prothèses !). Maintenant, il faudra voir si cela sera suffisant pour lutter contre le harcèlement, est-ce que le message va passer ou est-ce qu’on va se cantonner à du survival sans lendemain ? Série finie en 3 tomes.
  8. Titre de l'album : Survivor's club tome 1 Scenariste de l'album : AOISEI Dessinateur de l'album : ANAJIRO Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Une succession d'actes terroristes organisés par des élèves brimés répand la terreur dans les classes de la ville ! Trois ans après le premier attentat, un survivant enquête pour trouver qui a fourni la bombe de l'attentat. Trois années ont passé depuis qu'un élève, persécuté par ses camarades, s'est fait exploser, tuant de nombreux élèves. Takumi Shindô et six autres survivants se réunissent pour découvrir qui a fourni la bombe. Au même moment, une jeune fille brimée, fait son apparition dans une classe d'un lycée privé, le corps recouvert de bombes. « Ceci est un procès pour harcèlement moral. Vous allez tous mourir avec moi ». Critique : Les auteurs ont trouvé une façon efficace de lutter contre le harcèlement scolaire ! Une solution radicale : au lieu que l’élève brimé se suicide seul en espérant peut-être attirer l’attention sur les problèmes qu’il a vécu, il se fait exploser en emmenant ses camarades avec lui ! Là, c’est sûr les coupables seront punis ! Mais est-ce que tous les élèves de la classe sont coupables ? A mi-chemin entre signal 100 et many reasons why, le manga tient autant du survival (quel élève va s’en sortir ?) que de l’enquête : comment l’élève brimé a-t-il pu se procurer la bombe ? qui l’a aidé ? D’un côté on a les survivants du 1er attentat qui cherchent à comprendre et de l’autre les otages d’une autre classe en prise avec un simulacre de procès pour savoir qui est ou n’est pas coupable de brimades. C’est là, que les sombres côtés de la nature humaine vont ressortir : êtes-vous prêts à sacrifier votre prochain pour survivre ? Le manga est plutôt efficace, avec une scène d’explosion choquante, un après attentat ancré dans la réalité (les survivants ont des prothèses !). Maintenant, il faudra voir si cela sera suffisant pour lutter contre le harcèlement, est-ce que le message va passer ou est-ce qu’on va se cantonner à du survival sans lendemain ? Série finie en 3 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/survivor-s-club-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Alma tome 1

    Alma est un bon et beau manga post-apocalyptique. Il commence avec Ray, un garçon perdu au milieu des ruines d’une ville moderne. Les décors sont magnifiques, les bâtiments effondrés, les voitures à l’abandon, les vitres cassées… tout nous permet de nous plonger dans l’ambiance de fin du monde. L’auteur a pris soin des détails et propose des points de vue sous plusieurs angles qui donnent un vrai relief au dessin. Ray recherche chaque jour d’autres humains, tout en cartographiant la zone. Tout comme lui, on apprend au fur et à mesure le contexte, on découvre que ce monde était technologiquement très avancé (son animal de compagnie est en partie mécanisé), on sent qu’il y a eu un conflit avec les robots, un peu comme dans le film A.I. (il y a d’ailleurs certains points communs) Le personnage de Ray, tout en rondeur, symbolise l’espoir, un regard nouveau sur la situation, son innocence permet à l’auteur d’apporter de la douceur, une certaine forme de poésie et surtout d’entamer une réflexion sur l’humanité. Ce 1er tome n’est que le début du voyage, on sent qu’il y a des secrets à découvrir et on a envie d’y aller. Un très bon début pour un récit fini en 4 tomes.
  10. Nickad

    Alma tome 1

    Titre de l'album : Alma tome 1 Scenariste de l'album : MITO Shinji Dessinateur de l'album : MITO Shinji Coloriste : Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Dans un monde en ruine d'où l'humanité semble avoir été éradiquée, Ray cherche désespérément d'autres survivants sous le regard inquiet de son amie Trice. Lorsqu'un attaquant venu du ciel tente de tuer Ray, Trice s'interpose et révèle au grand jour un secret caché depuis quinze ans... Commence alors pour le jeune homme un long voyage, guidé par les paroles de son amie. Critique : Alma est un bon et beau manga post-apocalyptique. Il commence avec Ray, un garçon perdu au milieu des ruines d’une ville moderne. Les décors sont magnifiques, les bâtiments effondrés, les voitures à l’abandon, les vitres cassées… tout nous permet de nous plonger dans l’ambiance de fin du monde. L’auteur a pris soin des détails et propose des points de vue sous plusieurs angles qui donnent un vrai relief au dessin. Ray recherche chaque jour d’autres humains, tout en cartographiant la zone. Tout comme lui, on apprend au fur et à mesure le contexte, on découvre que ce monde était technologiquement très avancé (son animal de compagnie est en partie mécanisé), on sent qu’il y a eu un conflit avec les robots, un peu comme dans le film A.I. (il y a d’ailleurs certains points communs) Le personnage de Ray, tout en rondeur, symbolise l’espoir, un regard nouveau sur la situation, son innocence permet à l’auteur d’apporter de la douceur, une certaine forme de poésie et surtout d’entamer une réflexion sur l’humanité. Ce 1er tome n’est que le début du voyage, on sent qu’il y a des secrets à découvrir et on a envie d’y aller. Un très bon début pour un récit fini en 4 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/alma-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    Tomie

    Sacrée expérience que la lecture de Tomie, cette œuvre qui lança la carrière de Junji Ito et qui débute la collection de l’auteur chez Mangetsu. Tomie est une jeune fille, extrêmement belle, qui ne laisse pas les hommes indifférents et attisent la jalousie des femmes ; mais une jeune fille destinée à avoir un destin tragique à chacune de ses renaissances. Si le principe de base était d’inventer un personnage qui pourrait se régénérer à partir d’un morceau de son corps, l’histoire est imprégnée de deux autres points importants de la vie de l’auteur : la mort d’un de ses amis quand il était adolescent et sa peur des femmes. Mais résumer Tomie à ces aspects serait vraiment restrictif. Tomie est d’abord l’incarnation du mal, le mal à l’état pur, sans état d’âme, qui devient de plus en plus violent mais c’est aussi une malédiction, destinée à ne jamais trouver le repos, à être assassinée à chaque fois. Et plus on lui fait du mal, plus il y a de Tomie. S’il y avait un fil conducteur entre les premiers chapitres, où l’on voyait bien d’où elle venait, Tomie a fini par prendre son indépendance, et les chapitres aussi ; comme si Tomie s’était répandue dans le monde pour mettre les humains face à leurs plus sombres instincts. Tomie est donc un manga incontournable, vous n’êtes pas obligé d’aimer, cela reste un manga d’horreur et l’univers de Junji Ito est assez particulier, par contre, il ne vous laissera pas indifférent. De plus, Mangetsu nous propose une édition de qualité avec une préface d'Alexandre Aja (réalisateur français) et une postface de Morolian, spécialiste de l’auteur qui revient sur l’origine de l’œuvre et en fait une analyse.
  12. Nickad

    Tomie

    Titre de l'album : Tomie Scenariste de l'album : ITÔ Junji Dessinateur de l'album : ITÔ Junji Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Tomie Kawakami est le mal incarné. Reconnaissable entre mille grâce à ses longs cheveux noirs et son grain de beauté sous l’œil gauche, elle déclenche les passions chez tous les hommes qui croisent son regard, jusqu'à les pousser à l'assassiner dans d'atroces circonstances. Ce que ses amants ne savent pas, c'est qu'une fois sous son emprise démoniaque, il est impossible de lui échapper et que la mort elle-même fait partie de son plan de conquête. Ses victimes, partagées entre l'amour et la folie, vont petit à petit réaliser l'indicible : peu importe le nombre de fois qu'ils la tueront, le monde ne pourra jamais se débarrasser de Tomie. Pire, son pouvoir ne fait que grandir inlassablement à chacune de ses renaissances. Critique : Sacrée expérience que la lecture de Tomie, cette œuvre qui lança la carrière de Junji Ito et qui débute la collection de l’auteur chez Mangetsu. Tomie est une jeune fille, extrêmement belle, qui ne laisse pas les hommes indifférents et attisent la jalousie des femmes ; mais une jeune fille destinée à avoir un destin tragique à chacune de ses renaissances. Si le principe de base était d’inventer un personnage qui pourrait se régénérer à partir d’un morceau de son corps, l’histoire est imprégnée de deux autres points importants de la vie de l’auteur : la mort d’un de ses amis quand il était adolescent et sa peur des femmes. Mais résumer Tomie à ces aspects serait vraiment restrictif. Tomie est d’abord l’incarnation du mal, le mal à l’état pur, sans état d’âme, qui devient de plus en plus violent mais c’est aussi une malédiction, destinée à ne jamais trouver le repos, à être assassinée à chaque fois. Et plus on lui fait du mal, plus il y a de Tomie. S’il y avait un fil conducteur entre les premiers chapitres, où l’on voyait bien d’où elle venait, Tomie a fini par prendre son indépendance, et les chapitres aussi ; comme si Tomie s’était répandue dans le monde pour mettre les humains face à leurs plus sombres instincts. Tomie est donc un manga incontournable, vous n’êtes pas obligé d’aimer, cela reste un manga d’horreur et l’univers de Junji Ito est assez particulier, par contre, il ne vous laissera pas indifférent. De plus, Mangetsu nous propose une édition de qualité avec une préface d'Alexandre Aja (réalisateur français) et une postface de Morolian, spécialiste de l’auteur qui revient sur l’origine de l’œuvre et en fait une analyse. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tomie?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Endroll back tome 1

    Yuka, jeune lycéenne, vient de se suicider, son frère Asaharu apprend à l’enterrement que sa sœur était victime de harcèlement. Désespéré, il regrette de ne pas avoir pu l’aider, c’est alors qu’apparaît un « ange » ou du moins ce qui y ressemble. Cet être lui propose de revenir en arrière et de tuer le responsable de la mort de Yuka, à cette condition il pourra la faire ressusciter mais il y a aussi un prix à payer s’il échoue. En ce moment, il y a beaucoup d’histoire qui aborde les problèmes de harcèlement, un problème grave qui peut prendre de nombreux aspects. J’avais un peu peur de retomber sur une trame déjà existante, mais ce n’est pas le cas ! A mi-chemin entre Many reasons why et Re:zero, le manga mêle polar et fantastique, Asaharu va devoir mener l’enquête et va pouvoir utiliser certaines facultés pour y arriver. Mais le plus intéressant c’est le point de vue abordé : lui, famille de victime, animé de son chagrin et de son incompréhension va devoir prendre du recul, ne pas juger sur les apparences, ne pas démarrer au quart de tour. Et c’est une leçon à retenir : ne pas passer trop vite aux conclusions avant d’avoir tous les éléments en main, ne pas se fier à la 1ere impression, chercher à découvrir la vérité. Et la vérité pourrait ne pas être celle à laquelle on s’attend. C’est aussi une leçon sur la connaissance que l’on a des autres, le fait d’être de la même famille ne veut pas dire que l’on sait tout de l’autre. Côté graphisme, le dessin est intéressant, certaines expressions sont saisissantes et la mise en page donne du dynamisme à l’action. L’édition est de belle qualité, avec une jaquette sur papier glacé, d’ailleurs n’hésitez pas à aller voir ce qui se cache dessous. C’est un très bon début de série, avec une fin de 1er tome qui nous laisse en suspens et plus qu'impatient de lire la suite. Série finie en 3 tomes.
  14. Titre de l'album : Endroll back tome 1 Scenariste de l'album : KANTETSU Dessinateur de l'album : NAKAZATO Haruna Coloriste : Editeur de l'album : ChattoChatto Note : Résumé de l'album : Suite au suicide de sa sœur Yuka, victime d'intimidation, son frère Asaharu déçut de son comportement fait la rencontre d'un ange. Celui-ci lui propose un marché : trouvez le meurtrier de sa sœur dans les 3 mois afin de permettre sa résurrection». Mais rien ne se fait sans contrepartie : à chaque erreur, Asaharu verra son espérance de vie diminuer. La vie de sa sœur à t'elle plus de valeur que la sienne? La chasse au criminel démarre !! Critique : Yuka, jeune lycéenne, vient de se suicider, son frère Asaharu apprend à l’enterrement que sa sœur était victime de harcèlement. Désespéré, il regrette de ne pas avoir pu l’aider, c’est alors qu’apparaît un « ange » ou du moins ce qui y ressemble. Cet être lui propose de revenir en arrière et de tuer le responsable de la mort de Yuka, à cette condition il pourra la faire ressusciter mais il y a aussi un prix à payer s’il échoue. En ce moment, il y a beaucoup d’histoire qui aborde les problèmes de harcèlement, un problème grave qui peut prendre de nombreux aspects. J’avais un peu peur de retomber sur une trame déjà existante, mais ce n’est pas le cas ! A mi-chemin entre Many reasons why et Re:zero, le manga mêle polar et fantastique, Asaharu va devoir mener l’enquête et va pouvoir utiliser certaines facultés pour y arriver. Mais le plus intéressant c’est le point de vue abordé : lui, famille de victime, animé de son chagrin et de son incompréhension va devoir prendre du recul, ne pas juger sur les apparences, ne pas démarrer au quart de tour. Et c’est une leçon à retenir : ne pas passer trop vite aux conclusions avant d’avoir tous les éléments en main, ne pas se fier à la 1ere impression, chercher à découvrir la vérité. Et la vérité pourrait ne pas être celle à laquelle on s’attend. C’est aussi une leçon sur la connaissance que l’on a des autres, le fait d’être de la même famille ne veut pas dire que l’on sait tout de l’autre. Côté graphisme, le dessin est intéressant, certaines expressions sont saisissantes et la mise en page donne du dynamisme à l’action. L’édition est de belle qualité, avec une jaquette sur papier glacé, d’ailleurs n’hésitez pas à aller voir ce qui se cache dessous. C’est un très bon début de série, avec une fin de 1er tome qui nous laisse en suspens et plus qu'impatient de lire la suite. Série finie en 3 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/endroll-back-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nickad

    Barbarities tome 1

    Dans un royaume fictif de type occidental, vers une époque proche du 16e siècle, Adam un jeune homme plutôt libertin se voit confier la protection d’un magistrat le seigneur Montague. Il fait alors la connaissance de Joël, le neveu du seigneur et va être attiré par lui. Ce dernier ne voit pas d’intérêt aux relations amoureuses et passe tout son temps à travailler pour améliorer le bien-être de ces concitoyens et protéger le pays. Le Yaoi est un genre très libre, il n’a pas vraiment de structure ce qui fait que l’on peut y trouver une grande diversité d’histoires. Du point de vue érotisme, Barbarities est un yaoi soft, vous n’y verrez que quelques enlacements et embrassades, rien de choquant et rien à censurer. Mais c’est un manga très intéressant, au travers de cette fiction, ce sont les intrigues et complots de palais que l’on découvre, les relations entre état et religion, l’influence de l’un sur l’autre et les deux sur le peuple, ce sont les courtoisies en façade, les mœurs légères des libertins. Barbarities est un manga riche avec des personnages complexes, de très beaux dessins avec un trait fin, une justesse dans les expressions et dans la position des personnages (j’apprécie le graphisme des cheveux ondulés peu courants dans le manga). Et puis c’est la relation ambiguë entre Adam et Joël, entre celui qui batifole et qui tombe amoureux pour la 1ere fois et celui qui n’y entend rien et ne cherche pas à savoir. Une belle lecture pour un livre de qualité et ses 241 pages. Série en cours
  16. Nickad

    Barbarities tome 1

    Titre de l'album : Barbarities tome 1 Scenariste de l'album : TSUTA Suzuki Dessinateur de l'album : TSUTA Suzuki Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Dans le royaume de Lorraine, le vicomte Adam Cunning se voit assigné la garde du vieux ministre de la Justice de la couronne, le seigneur Montague. Le jeune noble, hédoniste et libertin, décide pour tromper son ennui de se rendre à une partie fine où est censé apparaître Joël, le neveu de son maître. Timide et maladroit, ce dernier n´est toutefois pas là pour prendre du bon temps, mais pour tirer parti de la situation afin de mener à bien une certaine mission. Semblant être bien moins à l´aise avec les choses de la chair qu´avec les choses de l´esprit, il aura besoin de toute l´aide que le bel Adam pourra lui apporter. Critique : Dans un royaume fictif de type occidental, vers une époque proche du 16e siècle, Adam un jeune homme plutôt libertin se voit confier la protection d’un magistrat le seigneur Montague. Il fait alors la connaissance de Joël, le neveu du seigneur et va être attiré par lui. Ce dernier ne voit pas d’intérêt aux relations amoureuses et passe tout son temps à travailler pour améliorer le bien-être de ces concitoyens et protéger le pays. Le Yaoi est un genre très libre, il n’a pas vraiment de structure ce qui fait que l’on peut y trouver une grande diversité d’histoires. Du point de vue érotisme, Barbarities est un yaoi soft, vous n’y verrez que quelques enlacements et embrassades, rien de choquant et rien à censurer. Mais c’est un manga très intéressant, au travers de cette fiction, ce sont les intrigues et complots de palais que l’on découvre, les relations entre état et religion, l’influence de l’un sur l’autre et les deux sur le peuple, ce sont les courtoisies en façade, les mœurs légères des libertins. Barbarities est un manga riche avec des personnages complexes, de très beaux dessins avec un trait fin, une justesse dans les expressions et dans la position des personnages (j’apprécie le graphisme des cheveux ondulés peu courants dans le manga). Et puis c’est la relation ambiguë entre Adam et Joël, entre celui qui batifole et qui tombe amoureux pour la 1ere fois et celui qui n’y entend rien et ne cherche pas à savoir. Une belle lecture pour un livre de qualité et ses 241 pages. Série en cours Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    Quand sonne la tempête tome 1

    Sakai est un jeune un peu paumé, ayant abandonnée l’école au collège, il enchaine des petits boulots. Mais le dernier qu’il doit faire va l’entrainer dans une situation inextricable, désespérée où son sens moral va être mis à l’épreuve et où sa vie va être menacée. A travers la description de cette jeunesse désœuvrée, subissant le poids de la société, Masaki Enjoji nous propose un thriller prenant : la vengeance d’un père qui n’a plus rien à perdre, le combat de Sakai, moralement perdu entre son sens du devoir et le poids de ses erreurs qui se débat tant bien que mal dans l’enfer où il est tombé. L’histoire est dure, parfois teintée de scènes incongrues ou volontairement barrées qui donne un petit côté WTF. La situation de Sakai avec son portable à l’intérieur de son ventre est totalement inédite et ne lui laisse que peu de temps pour agir. Pas de répit pour le lecteur, l’action est présente qu’elle vienne des personnages ou des éléments naturels qui se déchainent. Le dessin est travaillé, certaines planches photo réalistes permettent une meilleure immersion dans cet univers brutal et froid. Un très bon début pour cette série finie en 5 tomes.
  18. Titre de l'album : Quand sonne la tempête tome 1 Scenariste de l'album : ENJOJI Masaki Dessinateur de l'album : ENJOJI Masaki Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Quelque part au Japon, dans une ville de province portant les stigmates d'un violent séisme... Quand Sakai a accepté, une unique fois, un petit boulot de «collecteur» pour la mafia locale, il n'imaginait pas dans quoi il s'embarquait. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, et tandis qu'un terrible typhon s'approche de la ville, le voilà impliqué dans une sombre histoire de meurtre, avec un téléphone portable greffé dans ses entrailles... Entre vengeances, secrets du passé, chantages et autres magouilles, ce « déchet de la société » arrivera-t-il à sauver sa peau ? Critique : Sakai est un jeune un peu paumé, ayant abandonnée l’école au collège, il enchaine des petits boulots. Mais le dernier qu’il doit faire va l’entrainer dans une situation inextricable, désespérée où son sens moral va être mis à l’épreuve et où sa vie va être menacée. A travers la description de cette jeunesse désœuvrée, subissant le poids de la société, Masaki Enjoji nous propose un thriller prenant : la vengeance d’un père qui n’a plus rien à perdre, le combat de Sakai, moralement perdu entre son sens du devoir et le poids de ses erreurs qui se débat tant bien que mal dans l’enfer où il est tombé. L’histoire est dure, parfois teintée de scènes incongrues ou volontairement barrées qui donne un petit côté WTF. La situation de Sakai avec son portable à l’intérieur de son ventre est totalement inédite et ne lui laisse que peu de temps pour agir. Pas de répit pour le lecteur, l’action est présente qu’elle vienne des personnages ou des éléments naturels qui se déchainent. Le dessin est travaillé, certaines planches photo réalistes permettent une meilleure immersion dans cet univers brutal et froid. Un très bon début pour cette série finie en 5 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/quand-sonne-la-tempete-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    Chastity Reverse World tome 1

    Momona Ichikawa se réveille à l’hôpital et elle découvre petit à petit que le monde a changé : ses amies matent sans aucune discrétion les hommes, tiennent des propos crus, des femmes allaitent devant tout le monde, les affiches de publicité montrent des hommes en sous-vêtement… Bref, il semblerait que la sexualité entre hommes et femmes ait été interchangée, les hommes sont devenus la proie des femmes clairement perverses. On comprend tout de suite qu’au-delà de la comédie coquine, il s’agit bel et bien d’une critique de notre société, de la dénonciation des comportements sexistes et des dérives sexuelles. Ce qui est vraiment intéressant, c’est la transposition des comportements : on se met à réfléchir, comme les auteurs, à comment agirait une fille dans telle ou telle situation. Mais le manga peut aussi se prendre au 1er degré, et regarder ces déviances est franchement amusant ! Alors bravo aux auteurs pour cette idée surprenante, car montrer de tels agissements effectués par des femmes permet de les mettre en avant. Si en plus, cela pouvait permettre à certains une prise de conscience, ce serait déjà ça de gagner ! Le manga réserve encore d’autres réflexions mais je vous laisse les découvrir.
  20. Titre de l'album : Chastity Reverse World tome 1 Scenariste de l'album : AMAHARA Dessinateur de l'album : MANTARO Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Le monde ne tourne pas rond. Depuis son accident, Ichikawa a l'impression que quelque chose a changé... Ses copines font preuve d'une libido débordante et ne s'en cachent pas, tandis que les garçons sont traités comme des objets... Comme si le rapport de force entre les hommes et les femmes s'était inversé ! Elle va alors découvrir un monde où la morale est diamétralement opposée à ce qu'elle connaissait jusqu'alors ! Les seins n'intéressent plus personne !! Des hommes aux longues jambes et en slip moulant sont représentés sur d'énormes affiches ! Basée sur le hentai Chasteté inversée, publié en France chez Hot Manga, Chastity Reverse World en reprend le principe sur un ton beaucoup plus humoristique tout en interrogeant le rapport entre les genres. Certaines situations nous paraîtraient-elles encore normales si nous intervertissions les rôles ? Les mésaventures vécues par Ichikawa peuvent paraître ridicules, voir même invraisemblables, et c'est justement là que se situe la substance même de Chastity Reverse World... Critique : Momona Ichikawa se réveille à l’hôpital et elle découvre petit à petit que le monde a changé : ses amies matent sans aucune discrétion les hommes, tiennent des propos crus, des femmes allaitent devant tout le monde, les affiches de publicité montrent des hommes en sous-vêtement… Bref, il semblerait que la sexualité entre hommes et femmes ait été interchangée, les hommes sont devenus la proie des femmes clairement perverses. On comprend tout de suite qu’au-delà de la comédie coquine, il s’agit bel et bien d’une critique de notre société, de la dénonciation des comportements sexistes et des dérives sexuelles. Ce qui est vraiment intéressant, c’est la transposition des comportements : on se met à réfléchir, comme les auteurs, à comment agirait une fille dans telle ou telle situation. Mais le manga peut aussi se prendre au 1er degré, et regarder ces déviances est franchement amusant ! Alors bravo aux auteurs pour cette idée surprenante, car montrer de tels agissements effectués par des femmes permet de les mettre en avant. Si en plus, cela pouvait permettre à certains une prise de conscience, ce serait déjà ça de gagner ! Le manga réserve encore d’autres réflexions mais je vous laisse les découvrir. Autres infos : Pour public averti Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chastity-reverse-world-t-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Nickad

    KAIJU N°8 tome 1

    Kaiju N°8 est le titre phare de l’année chez Kazé, annoncé fin juin, il bénéficie d’une grande campagne de promotion ! Mais de quoi parle-t-on exactement ? Le début du manga est assez classique : notre bonne vieille Terre est envahie par des monstres (kaiju) qui apparaissent de temps en temps, détruisent tout sur leur passage, croquent de l’humain et surtout on ne sait pas d’où ils viennent ni pourquoi. De braves humains, avec des capacités supérieures à la normale, exterminent ces vilaines bestioles. Jusque-là, on retrouve une thématique assez habituelle, voir green worldz, kanon, world trigger, Q-Kou, VS earth, etc… Après leur passage, des nettoyeurs viennent les dépecer pour récupérer tout ce qui est exploitable. Notre héros est justement l’un d’eux, au cours d’une journée où il forme un petit nouveau, le voilà confronté à un Kaiju ; les deux hommes s’en sortent grâce à l’intervention des forces de Défense et finissent à l’hôpital. Ils décident plus tard de passer les tests pour faire partie de ces forces (c’est d’ailleurs leur rêve ultime !). Raconté comme ça, rien de très original me direz-vous, mais un événement inattendu se produit à la fin du 1er chapitre qui va changer la donne. Je ne vous en dirai pas plus car ce serait gâcher la surprise ! Le manga mêle donc action, combats et une grosse dose d’humour, il y a des moments qui m’ont bien fait rire ! Et c’est là le charme du manga, au déroulé classique du « manga de monstres à combattre » vient s’ajouter l’humour. Non seulement cela apporte de la légèreté mais laisse aussi la place à des situations imprévues. Un excellent 1er tome qui nous laisse vraiment dans l’attente de la suite !
  22. Nickad

    KAIJU N°8 tome 1

    Titre de l'album : KAIJU N°8 tome 1 Scenariste de l'album : MATSUMOTO Naoya Dessinateur de l'album : MATSUMOTO Naoya Coloriste : Editeur de l'album : Crunchyroll Note : Résumé de l'album : Enfant, Kafka Hibino rêvait d’intégrer les Forces de Défense pour combattre ces terribles ennemis, mais après de nombreux échecs à l’examen d’entrée, ce trentenaire travaille à nettoyer les rues de leurs encombrants cadavres. jusqu’au jour où une mystérieuse créature s’introduit dans son organisme et le métamorphose en une entité surpuissante mi-humaine, mi-kaiju. Son nouveau nom de code : “Kaiju n° 8”. Critique : Kaiju N°8 est le titre phare de l’année chez Kazé, annoncé fin juin, il bénéficie d’une grande campagne de promotion ! Mais de quoi parle-t-on exactement ? Le début du manga est assez classique : notre bonne vieille Terre est envahie par des monstres (kaiju) qui apparaissent de temps en temps, détruisent tout sur leur passage, croquent de l’humain et surtout on ne sait pas d’où ils viennent ni pourquoi. De braves humains, avec des capacités supérieures à la normale, exterminent ces vilaines bestioles. Jusque-là, on retrouve une thématique assez habituelle, voir green worldz, kanon, world trigger, Q-Kou, VS earth, etc… Après leur passage, des nettoyeurs viennent les dépecer pour récupérer tout ce qui est exploitable. Notre héros est justement l’un d’eux, au cours d’une journée où il forme un petit nouveau, le voilà confronté à un Kaiju ; les deux hommes s’en sortent grâce à l’intervention des forces de Défense et finissent à l’hôpital. Ils décident plus tard de passer les tests pour faire partie de ces forces (c’est d’ailleurs leur rêve ultime !). Raconté comme ça, rien de très original me direz-vous, mais un événement inattendu se produit à la fin du 1er chapitre qui va changer la donne. Je ne vous en dirai pas plus car ce serait gâcher la surprise ! Le manga mêle donc action, combats et une grosse dose d’humour, il y a des moments qui m’ont bien fait rire ! Et c’est là le charme du manga, au déroulé classique du « manga de monstres à combattre » vient s’ajouter l’humour. Non seulement cela apporte de la légèreté mais laisse aussi la place à des situations imprévues. Un excellent 1er tome qui nous laisse vraiment dans l’attente de la suite ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kaiju-n-8-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    Solo leveling tome 3

    Jinwoo et Jinho sont sortis sains et saufs du traquenard mené par Hwang Dongsuk, ils décident de s’associer pour conquérir des donjons de niveaux C, Jinwoo en retirant de l’expérience et faisant évoluer son niveau, Jinho pour la renommée et pouvoir ainsi devenir chef de guilde. Sauf qu’ils commencent à attirer l’attention et Jinwoo va avoir de plus en plus de mal à cacher son double éveil et ses capacités, surtout que des ennemis puissants sont à l’approche. Solo leveling ne baisse pas, ni en matière de rythme, ni d’intérêt ; je dirai même que cela va en progressant, on découvre un peu plus les enjeux qui gravitent autour des donjons et combien la situation de Jinwoo est spéciale. L’édition est vraiment de qualité, les couvertures rehaussées de doré sont sublimes et on se fait à la mise en page (par rapport au webtoon), il y a quand même des moments où l’enchainement de la lecture des images n’est pas évident mais c’est un petit bémol pour un grand manhwa. Vivement la suite ! Et pour les impatients, la série est disponible sur verytoon, 71 chapitres pour le moment, le tome 3 s’arrête au 37 et la série, toujours en cours en est au 168 à ce jour.
  24. Titre de l'album : Solo leveling tome 3 Scenariste de l'album : CHUGONG Dessinateur de l'album : DUBU (REDICE STUDIO) Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Lorsque d'étranges portails sont apparus aux quatre coins du monde, l'humanité a dû trouver une parade pour ne pas finir massacrée par les griffes des monstres des monstres qui en sortent. Dans le même temps, certaines personnes ont développé des capacités permettant de les chasser. Ces combattants intrépides n'hésitent pas à foncer au cœur des donjons pour combattre les créatures qu'ils abritent. Critique : Jinwoo et Jinho sont sortis sains et saufs du traquenard mené par Hwang Dongsuk, ils décident de s’associer pour conquérir des donjons de niveaux C, Jinwoo en retirant de l’expérience et faisant évoluer son niveau, Jinho pour la renommée et pouvoir ainsi devenir chef de guilde. Sauf qu’ils commencent à attirer l’attention et Jinwoo va avoir de plus en plus de mal à cacher son double éveil et ses capacités, surtout que des ennemis puissants sont à l’approche. Solo leveling ne baisse pas, ni en matière de rythme, ni d’intérêt ; je dirai même que cela va en progressant, on découvre un peu plus les enjeux qui gravitent autour des donjons et combien la situation de Jinwoo est spéciale. L’édition est vraiment de qualité, les couvertures rehaussées de doré sont sublimes et on se fait à la mise en page (par rapport au webtoon), il y a quand même des moments où l’enchainement de la lecture des images n’est pas évident mais c’est un petit bémol pour un grand manhwa. Vivement la suite ! Et pour les impatients, la série est disponible sur verytoon, 71 chapitres pour le moment, le tome 3 s’arrête au 37 et la série, toujours en cours en est au 168 à ce jour. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/solo-leveling-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    Whispering you a love song tome 3

    Himari comptait prendre son temps avant de répondre à Yori, histoire de savoir vraiment ce qu’elle ressentait et ne pas induire la jeune fille en erreur. Seulement voilà, une amie très proche de Yori, et accessoirement amoureuse de cette dernière, lui fait un peu la morale et la presse un peu. Devant ces remarques, Himari se sent perdue et demande son avis à sa meilleure amie. Le manga est à la fois très mignon, très innocent et très juste. On assiste aux prémices de l’amour, aux questionnements de l’adolescence et on apprécie que l’autrice laisse ses héroïnes réfléchir sérieusement à leurs sentiments et aussi aux sentiments de l’autre. Le graphisme est toujours aussi agréable avec beaucoup de rondeur et de douceur. Un manga qui se lit sans modération.
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