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  1. Nickad

    Valhallian the black iron tome 3

    C’est le moment de la grande offensive contre Kara, les troupes de guerriers errants dont fait partie Tetsujiro arrivent à se faufiler jusqu’à l’arbre monde mais au lieu de les attaquer par surprise, ils sont reçus comme s’ils étaient attendus. Devant la menace d’exterminer les Midgardiennes, Tetsujiro se rend, les romains ont prévus pour lui des jeux du cirque extrêmes où il devra enchainer les morts jusqu’à ce que le public se lasse. Un 3eme tome particulièrement violent où la majorité de l’histoire se déroule dans une arène dans l’affrontement entre Tetsujiro et Spartacus. On apprend cependant plusieurs choses concernant le statut des Einherjars, notamment qu’ils ne peuvent pas ressusciter indéfiniment et qu’il y a un prix à payer pour cela. L’histoire avance lentement et met plutôt l’accent sur les combats. Si le graphisme est convaincant et rend hommage aux guerriers, il manque cependant un peu d’intérêt sur le reste. A voir si la deuxième moitié (la série est finie en 6 tomes) amènera l’étincelle qui captivera le lecteur.
  2. Titre de l'album : Valhallian the black iron tome 3 Scenariste de l'album : MATSUBARA Toshimitsu Dessinateur de l'album : MATSUBARA Toshimitsu Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Un samouraï? surdoué au cœur de la bataille du Valhalla ! Après un combat spectaculaire face au champion de Kara, Tetsujiro et les autres guerriers errants poursuivent leur objectif : s'emparer de l'arbre monde dans l'espoir de retrouver la vie qu'ils menaient avant leur mort... Malheureusement, les Romains leur tendent une embuscade ! Grâce à Guan Yu, les Einherjar parviennent tout de même à entrer dans le bastion de la déesse... mais, contre toute attente, ils découvrent qu'un grand banquet a été préparé pour les accueillir ! Quel piège machiavélique est-ce que le général Crassus peut bien avoir imaginé ? Les armées les plus puissantes de l'Histoire s'affrontent en plein cœur du Valhalla... Toshimitsu Matsubara nous entraîne dans un récit épique au dessin et à la mise en scène vertigineuses ! Critique : C’est le moment de la grande offensive contre Kara, les troupes de guerriers errants dont fait partie Tetsujiro arrivent à se faufiler jusqu’à l’arbre monde mais au lieu de les attaquer par surprise, ils sont reçus comme s’ils étaient attendus. Devant la menace d’exterminer les Midgardiennes, Tetsujiro se rend, les romains ont prévus pour lui des jeux du cirque extrêmes où il devra enchainer les morts jusqu’à ce que le public se lasse. Un 3eme tome particulièrement violent où la majorité de l’histoire se déroule dans une arène dans l’affrontement entre Tetsujiro et Spartacus. On apprend cependant plusieurs choses concernant le statut des Einherjars, notamment qu’ils ne peuvent pas ressusciter indéfiniment et qu’il y a un prix à payer pour cela. L’histoire avance lentement et met plutôt l’accent sur les combats. Si le graphisme est convaincant et rend hommage aux guerriers, il manque cependant un peu d’intérêt sur le reste. A voir si la deuxième moitié (la série est finie en 6 tomes) amènera l’étincelle qui captivera le lecteur. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/valhallian-the-black-iron-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    Fleur du désert tome 1

    Une troupe des forces terrestres d'autodéfense japonaise stationnant à Djibouti est appelée pour une mission de sauvetage auprès d'un hélicoptère qui s'est craché à 70 km de là en plein désert. Une équipe de douze soldats et trois véhicules sont envoyés, sur place la situation est compliquée, ils décident de camper afin de mener les opérations de rapatriement des corps le lendemain. Pendant la nuit, trois femmes font irruption demandant de l'aide. Elles sont poursuivis par le clan des Warzden qui cherche à éradiquer leur clan, les Biyomal-Kadang. Les japonais ont à peine le temps de prendre une décision qu'ils se font attaquer. Les survivants, sept soldats et une femme, doivent alors s'enfuir dans les montagnes et trouver une solution pour rallier leur camp. L'action se déroule au cœur d'une Afrique sans pitié, que ce soit par la nature du climat (désert et fortes températures) ou par ses habitants. Confrontés à ça, il y a les soldats japonais, des membres des forces terrestres d'autodéfense qui n'ont jamais combattus de leur vie. L'histoire met donc face à face deux peuples très différents. D'un côté les clans africains engagés dans des guerres civiles sans fin et adeptes de la purification ethnique : des hommes sans pitié et prêts à tout. De l'autre, des japonais formés aux arts martiaux et au maniement des armes mais qui ne sont pas de véritables soldats (le Japon n'a pas d'armée) et dont les missions sont le sauvetage et la lutte contre la piraterie. Des hommes qui se sont engagés pour aider et protéger et non pour combattre et tuer. Devant une situation où leurs vies sont en jeu, ils vont devoir prendre des décisions qui vont avoir un impact fort par rapport à leurs valeurs. Le manga met aussi très bien en avant le désert, dur et impitoyable. Fleur du désert est un manga captivant, on est pris par le récit dans un rythme effréné où le temps de respirer peut tout changer. Servi par un scénario bien ficelé (le scénariste est également l'auteur du roman éponyme qui a reçu le prix du meilleur roman au concours Mystery Writers) et illustré par la très talentueuse Ikumi Fukuda, connue aussi sous le pseudonyme de Kotteri (manga Veil), Fleur du désert ne pourra pas vous laisser indifférent. 3 tomes en cours.
  4. Titre de l'album : Fleur du désert tome 1 Scenariste de l'album : TSUKIMURA Ryoe Dessinateur de l'album : FUKUDA Ikumi (Kotteri) Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Le lieutenant Tomonaga, membre des Forces d'auto-défense japonaises, est en poste à Djibouti. Lui et 11 autres hommes sont envoyés en mission de secours, en plein désert, loin de leur base. Mais prise entre les feux des conflits politiques de la région, la mission vire au cauchemar... Critique : Une troupe des forces terrestres d'autodéfense japonaise stationnant à Djibouti est appelée pour une mission de sauvetage auprès d'un hélicoptère qui s'est craché à 70 km de là en plein désert. Une équipe de douze soldats et trois véhicules sont envoyés, sur place la situation est compliquée, ils décident de camper afin de mener les opérations de rapatriement des corps le lendemain. Pendant la nuit, trois femmes font irruption demandant de l'aide. Elles sont poursuivis par le clan des Warzden qui cherche à éradiquer leur clan, les Biyomal-Kadang. Les japonais ont à peine le temps de prendre une décision qu'ils se font attaquer. Les survivants, sept soldats et une femme, doivent alors s'enfuir dans les montagnes et trouver une solution pour rallier leur camp. L'action se déroule au cœur d'une Afrique sans pitié, que ce soit par la nature du climat (désert et fortes températures) ou par ses habitants. Confrontés à ça, il y a les soldats japonais, des membres des forces terrestres d'autodéfense qui n'ont jamais combattus de leur vie. L'histoire met donc face à face deux peuples très différents. D'un côté les clans africains engagés dans des guerres civiles sans fin et adeptes de la purification ethnique : des hommes sans pitié et prêts à tout. De l'autre, des japonais formés aux arts martiaux et au maniement des armes mais qui ne sont pas de véritables soldats (le Japon n'a pas d'armée) et dont les missions sont le sauvetage et la lutte contre la piraterie. Des hommes qui se sont engagés pour aider et protéger et non pour combattre et tuer. Devant une situation où leurs vies sont en jeu, ils vont devoir prendre des décisions qui vont avoir un impact fort par rapport à leurs valeurs. Le manga met aussi très bien en avant le désert, dur et impitoyable. Fleur du désert est un manga captivant, on est pris par le récit dans un rythme effréné où le temps de respirer peut tout changer. Servi par un scénario bien ficelé (le scénariste est également l'auteur du roman éponyme qui a reçu le prix du meilleur roman au concours Mystery Writers) et illustré par la très talentueuse Ikumi Fukuda, connue aussi sous le pseudonyme de Kotteri (manga Veil), Fleur du désert ne pourra pas vous laisser indifférent. 3 tomes en cours. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/fleurs-desert-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nickad

    Summer ghost tomes 1 et 2 (fin)

    Avant de lire ce manga, préparez vos mouchoirs ! A l'origine de cette histoire il y a un long métrage d'animation présenté au festival d'Annecy, puis il y a la sortie simultanée du manga (fini en 2 tomes) et du roman, tous les deux aux éditions Delcourt. Tomoya, Aoi et Ryo se sont rencontrés sur internet, un jour Tomoya leur parle d'une légende urbaine "le summer ghost", un fantôme de femme qui n'apparaitrait que l'été et que lorsque l'on tire des feux d'artifice. Ils décident de se donner rendez-vous et d'aller à la rencontre de ce fantôme. Si la légende est vraie, c'est ce que dit le fantôme, une jeune femme du nom d'Ayane qui va marquer l'histoire : seuls ceux qui sont proches de la mort peuvent la voir. On découvre les personnages, chacun de leur côté, leurs histoires personnelles et leurs souffrances. Un mal grandissant au fur et à mesure des pages, une douleur qui semble sans fin et qui les plonge en plein désarroi, les entrainant peu à peu vers le gouffre. On suit des adolescents mal dans leur peau, n'arrivant pas à faire face à un destin qui les dépasse, ne sachant pas comment affronter la vie... ou la mort jusqu'à ce que la situation explose et que les mots sortent. Le récit est fort, triste et profondément bouleversant. Le lecteur plonge dans leur intimité sans retenue, espère qu'ils vont pouvoir surmonter la situation ensembles et compatit avec eux et pour eux. La fin apporte une touche d'espoir. Carpe diem les amis.
  6. Titre de l'album : Summer ghost tomes 1 et 2 (fin) Scenariste de l'album : LOUNDRAW / OTSUICHI Dessinateur de l'album : INOMI Yoshi Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Summer Ghost : voici le nom d'une légende urbaine selon laquelle un fantôme apparaîtrait sur l'ancien site d'un aéroport si l'on y lance des feux d'artifice. Un jour d'été, Tomoya, Aoi et Ryo, trois lycéens qui se sont rencontrés sur Internet, décident d'aller à la rencontre de ce fantôme. C'est pendant cette nuit d'été, à la frontière entre la vie et la mort, que commence une histoire qu'ils ne seront pas près d'oublier. Critique : Avant de lire ce manga, préparez vos mouchoirs ! A l'origine de cette histoire il y a un long métrage d'animation présenté au festival d'Annecy, puis il y a la sortie simultanée du manga (fini en 2 tomes) et du roman, tous les deux aux éditions Delcourt. Tomoya, Aoi et Ryo se sont rencontrés sur internet, un jour Tomoya leur parle d'une légende urbaine "le summer ghost", un fantôme de femme qui n'apparaitrait que l'été et que lorsque l'on tire des feux d'artifice. Ils décident de se donner rendez-vous et d'aller à la rencontre de ce fantôme. Si la légende est vraie, c'est ce que dit le fantôme, une jeune femme du nom d'Ayane qui va marquer l'histoire : seuls ceux qui sont proches de la mort peuvent la voir. On découvre les personnages, chacun de leur côté, leurs histoires personnelles et leurs souffrances. Un mal grandissant au fur et à mesure des pages, une douleur qui semble sans fin et qui les plonge en plein désarroi, les entrainant peu à peu vers le gouffre. On suit des adolescents mal dans leur peau, n'arrivant pas à faire face à un destin qui les dépasse, ne sachant pas comment affronter la vie... ou la mort jusqu'à ce que la situation explose et que les mots sortent. Le récit est fort, triste et profondément bouleversant. Le lecteur plonge dans leur intimité sans retenue, espère qu'ils vont pouvoir surmonter la situation ensembles et compatit avec eux et pour eux. La fin apporte une touche d'espoir. Carpe diem les amis. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/summer-ghost-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Titre de l'album : Je suis tombée dans un jeu de harem inversé tome 1 Scenariste de l'album : INUI Dessinateur de l'album : GOYA Coloriste : Editeur de l'album : Michel Lafon Note : Résumé de l'album : Dur réveil quand on se retrouve dans le corps de la terrifiante princesse impériale Elvia. D'autant plus qu'il s'agit de la méchante d'un jeu vidéo vouée à mourir dans d'atroces souffrances. Pour échapper à ce destin funeste, une seule solution : s'impliquer dans la vie du château, forger des alliances, et contrecarrer les manigances de l'intrigante Urielle, l'héroïne du jeu, prête à tout pour l'emporter ! Critique : Je redoutais un peu ce livre, pensant que j’allais avoir une copie de seule la mort attend la vilaine, et j’avais tort !! Alors oui, il s’agit d’un otome game et d’un isekai comme le titre l’indique. Le personnage principal se réveille dans le corps de la princesse Elvia, elle ne se rappelle pas de sa précédente vie (elle ne sait plus qui elle était ni ce qu’elle faisait et rien ne dit qu’elle soit décédée). Mais elle peut voir des fenêtres de notification du système qui lui indique donc qu’elle est dans un jeu et qu’elle est la personne à « abattre ». Elle va tout faire pour empêcher son funeste destin et réparer les erreurs de la précédente Elvia. Sauf que ce qui pourrait être considéré comme une histoire déjà vue possède un certains nombres d’éléments qui renouvellent le genre. En premier lieu Elvia n’est pas la joueuse du jeu et elle ne le connaît même pas : elle se retrouve dans un jeu de drague joué par une autre personne (le personnage d’Urielle) !! Elle peut donc voir de temps en temps les actions de cette dernière et essayer d’y faire face. Deuxièmement, le contexte est plus adulte, on est loin de la séduction comme dans le manga Otome game où il s’agissait d’amour fleur bleue, ici, la vraie Elvia était un tyran qui n’hésitait pas à ordonner (sous peine de mort) aux hommes qui lui plaisait de la contenter sexuellement. Notre héroïne se réveille d’ailleurs dans son lit en compagnie de deux hommes nus ! Le webtoon ne montre pas de scène de sexe mais les suggère fortement. Enfin, en poussant plus loin l’histoire (et oui, vous me connaissez, quand une histoire me plait je vais direct aller lire la suite…), une autre dimension prend place (le destin du monde en quelque sorte). Graphiquement parlant, c’est parfait, une romance avec des belles personnes et du soin dans les détails. Un webtoon comme on les aime à déguster sans modération ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/je-suis-tombee-dans-un-jeu-de-harem-inverse-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Je redoutais un peu ce livre, pensant que j’allais avoir une copie de seule la mort attend la vilaine, et j’avais tort !! Alors oui, il s’agit d’un otome game et d’un isekai comme le titre l’indique. Le personnage principal se réveille dans le corps de la princesse Elvia, elle ne se rappelle pas de sa précédente vie (elle ne sait plus qui elle était ni ce qu’elle faisait et rien ne dit qu’elle soit décédée). Mais elle peut voir des fenêtres de notification du système qui lui indique donc qu’elle est dans un jeu et qu’elle est la personne à « abattre ». Elle va tout faire pour empêcher son funeste destin et réparer les erreurs de la précédente Elvia. Sauf que ce qui pourrait être considéré comme une histoire déjà vue possède un certains nombres d’éléments qui renouvellent le genre. En premier lieu Elvia n’est pas la joueuse du jeu et elle ne le connaît même pas : elle se retrouve dans un jeu de drague joué par une autre personne (le personnage d’Urielle) !! Elle peut donc voir de temps en temps les actions de cette dernière et essayer d’y faire face. Deuxièmement, le contexte est plus adulte, on est loin de la séduction comme dans le manga Otome game où il s’agissait d’amour fleur bleue, ici, la vraie Elvia était un tyran qui n’hésitait pas à ordonner (sous peine de mort) aux hommes qui lui plaisait de la contenter sexuellement. Notre héroïne se réveille d’ailleurs dans son lit en compagnie de deux hommes nus ! Le webtoon ne montre pas de scène de sexe mais les suggère fortement. Enfin, en poussant plus loin l’histoire (et oui, vous me connaissez, quand une histoire me plait je vais direct aller lire la suite…), une autre dimension prend place (le destin du monde en quelque sorte). Graphiquement parlant, c’est parfait, une romance avec des belles personnes et du soin dans les détails. Un webtoon comme on les aime à déguster sans modération !
  9. Nickad

    Ocean rush tome 2

    Umiko a commencé l’université et fait sa première vidéo mais devant les critiques du professeur elle se demande si ce n’est pas trop tard pour elle de réaliser son rêve. En même temps, elle s’intègre peu à peu avec les autres étudiants et en vient même à aborder des sujets plus personnels comme les histoires d’amour. Mais c’est surtout la présence de Kai qui lui permet d’avancer, l’adolescent, énigmatique séduit partout où il passe. Ocean rush est empreint d’une certaine beauté tranquille, avançant au rythme d’Umiko, on apprécie son regard sur le 7e art, sa passion hésitante et son envie sans limite. C’est aussi l’amitié avec Kai qui se joue de la différence d’âge et qui ne laisse que deux personnes qui apprennent à se connaître, deux êtres qui se dévoilent peu à peu devant et derrière la caméra. C’est à la fois l’apaisement de savoir qu’il n’y a pas d’obsolescence programmée pour les rêves et la déferlante d’une passion qui nous pousse à vouloir aussi nous lancer dans une aventure qui pourrait changer notre vie. Un livre inspirant.
  10. Nickad

    Ocean rush tome 2

    Titre de l'album : Ocean rush tome 2 Scenariste de l'album : TARACHINE John Dessinateur de l'album : TARACHINE John Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : En racontant une histoire d'amitié intergénérationnelle, Ocean Rush s'impose comme un hommage au septième art. Véritable ovni, ce manga de John Tarachine ne manquera pas de vous émouvoir grâce à l'humanité de ses personnages. Depuis qu'elle a repris ses études, Umiko est en proie au doute. Se sentant mise de côté par les étudiants plus jeunes qu'elles, elle commence à se décourager. N'était-ce pas présomptueux, à son âge, de se lancer dans ce projet de devenir réalisatrice de films ? Heureusement qu'elle peut compter sur le soutien de Kai. Tandis que ce dernier se confie sur son passé, la vieille dame a une nouvelle révélation : son film, c'est avec lui qu'elle le fera. Dès lors, la voilà motivée comme jamais ! Critique : Umiko a commencé l’université et fait sa première vidéo mais devant les critiques du professeur elle se demande si ce n’est pas trop tard pour elle de réaliser son rêve. En même temps, elle s’intègre peu à peu avec les autres étudiants et en vient même à aborder des sujets plus personnels comme les histoires d’amour. Mais c’est surtout la présence de Kai qui lui permet d’avancer, l’adolescent, énigmatique séduit partout où il passe. Ocean rush est empreint d’une certaine beauté tranquille, avançant au rythme d’Umiko, on apprécie son regard sur le 7e art, sa passion hésitante et son envie sans limite. C’est aussi l’amitié avec Kai qui se joue de la différence d’âge et qui ne laisse que deux personnes qui apprennent à se connaître, deux êtres qui se dévoilent peu à peu devant et derrière la caméra. C’est à la fois l’apaisement de savoir qu’il n’y a pas d’obsolescence programmée pour les rêves et la déferlante d’une passion qui nous pousse à vouloir aussi nous lancer dans une aventure qui pourrait changer notre vie. Un livre inspirant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ocean-rush-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Titre de l'album : Though I am an inept villainess tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : NAKAMURA Satsuki Dessinateur de l'album : OHITSUJI Ei / YUKI Kana Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Manigances à la cour ! La princesse Reirin, favorite du palais, échange de corps avec la plus détestée des apprenties ?! Le soir de la fête des étoiles Tanabata, Reirin, le papillon de Son Altesse, est poussée dans le vide par Keigetsu Shu, la femme la plus détestée de la cour. Reirin se réveille alors en prison, dans le corps de son agresseuse, incapable d'expliquer la situation ! Mais elle, qui a toujours été de constitution fragile, est maintenant ravie d'avoir un corps sain ! La voilà plus déterminée que jamais à surmonter les adversités grâce à son mental d'acier ! Le manga tiré du light novel à succès ! En réimpression continue. Le grand drame d'inversion de corps se déroulant dans un palais chinois ! Reirin a changé de corps avec la maléfique Keigetsu. Accusée d'avoir attenté à sa propre vie, elle est exilée dans une cabane délabrée... Mais c'est en fait la liberté dont elle a toujours rêvé ?! Critique : J’ai eu l’occasion de lire le pdf du tome 1 en avant-première et je n’attendais qu’une chose, la sortie en librairie pour aller dévorer le second tome, et je n’ai pas été déçue. Cette lecture a été un vrai coup de cœur !! Pour ceux qui connaissent, l’histoire se situe entre Les carnets de l’apothicaire et Rouge éclipse, la série compte 5 tomes pour le moment. Il était une fois un prince et des prétendantes concubines qui voulaient lui plaire, chacune espérait pouvoir devenir l’heureuse élue. Mais dans le cœur du prince il n’y avait que de la place pour la favorite Reirin, une jeune fille douée en tout mais à la santé fragile. Elle était jalousée et un jour l’une d’elle, l’apprentie Keigetsu, se servant de magie noire, utilisa le passage d’une comète pour échanger leurs corps ! Le prince intervint et emprisonna Keigetsu (qui est en réalité Reirin si vous avez suivi). Cette dernière, de par son caractère bienveillant et ultra positif, s’en sortit et fut exilée au fond d’un jardin dans une cabane abandonnée avec très peu de bien et une suivante qui la détestait. Mais Reirin était ravie, elle qui ne pouvait rien faire à cause de sa santé fragile pouvait enfin s’en donner à cœur joie dans ce nouveau corps en pleine forme !! Et tandis qu’elle profitait de sa nouvelle vie, Keigetsu découvrait la vie de la favorite entre un corps souffrant et les exigences que l’on attendait d’elle. J’en ai trop dit ?? Non rassurez-vous ! je ne suis pas rentrée dans les détails, vous découvrirez les différentes situations et les réactions pour le moins inattendues et drôles de la nouvelle Reirin ! Comme elle prend tout de manière positive et qu’elle interprète également tout à sa façon, elle va vite retourner les différents évènements à son avantage. Jamais les expressions « l’habit ne fait pas le moine » et « tel est pris qui croyait prendre » n’auront été aussi vraies, quel que soit le corps dans lequel se retrouvent ces deux jeunes femmes, leur caractère finit toujours pas ressortir ! Le manga nous propose une histoire pétillante et amusante avec un très beau graphisme, des personnages forts, une intrigue intéressante et une forte envie d’aller lire la suite !! Une réussite !! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/though-i-am-an-inept-villainess-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. J’ai eu l’occasion de lire le pdf du tome 1 en avant-première et je n’attendais qu’une chose, la sortie en librairie pour aller dévorer le second tome, et je n’ai pas été déçue. Cette lecture a été un vrai coup de cœur !! Pour ceux qui connaissent, l’histoire se situe entre Les carnets de l’apothicaire et Rouge éclipse, la série compte 5 tomes pour le moment. Il était une fois un prince et des prétendantes concubines qui voulaient lui plaire, chacune espérait pouvoir devenir l’heureuse élue. Mais dans le cœur du prince il n’y avait que de la place pour la favorite Reirin, une jeune fille douée en tout mais à la santé fragile. Elle était jalousée et un jour l’une d’elle, l’apprentie Keigetsu, se servant de magie noire, utilisa le passage d’une comète pour échanger leurs corps ! Le prince intervint et emprisonna Keigetsu (qui est en réalité Reirin si vous avez suivi). Cette dernière, de par son caractère bienveillant et ultra positif, s’en sortit et fut exilée au fond d’un jardin dans une cabane abandonnée avec très peu de bien et une suivante qui la détestait. Mais Reirin était ravie, elle qui ne pouvait rien faire à cause de sa santé fragile pouvait enfin s’en donner à cœur joie dans ce nouveau corps en pleine forme !! Et tandis qu’elle profitait de sa nouvelle vie, Keigetsu découvrait la vie de la favorite entre un corps souffrant et les exigences que l’on attendait d’elle. J’en ai trop dit ?? Non rassurez-vous ! je ne suis pas rentrée dans les détails, vous découvrirez les différentes situations et les réactions pour le moins inattendues et drôles de la nouvelle Reirin ! Comme elle prend tout de manière positive et qu’elle interprète également tout à sa façon, elle va vite retourner les différents évènements à son avantage. Jamais les expressions « l’habit ne fait pas le moine » et « tel est pris qui croyait prendre » n’auront été aussi vraies, quel que soit le corps dans lequel se retrouvent ces deux jeunes femmes, leur caractère finit toujours pas ressortir ! Le manga nous propose une histoire pétillante et amusante avec un très beau graphisme, des personnages forts, une intrigue intéressante et une forte envie d’aller lire la suite !! Une réussite !!
  13. Hiyama en voulant aider une idole masculine à gérer sa grossesse se retrouve à nouveau sur le devant de la scène. En même temps sa relation avec Aki évolue, cette dernière se rend compte qu’elle voudrait faire partie de la famille. La paternité de M Hiyama permet vraiment de montrer tous les aprioris autour de la grossesse et de la parentalité. Si l’on découvre des comportements sexistes on voit aussi que nombreux sont considérés comme normaux et qu’ils font partis du quotidien. C’est justement ce genre de livre qui permet d’en prendre conscience et de se dire que ces attitudes ne sont pas normales. L’autre aspect intéressant et hélas, toujours d’actualité car il semble faire partie de la nature humaine, c’est l’absence de compassion. Une sorte d’égocentrisme qui fait que si une situation ne nous touche pas directement on s’en moque ou plutôt on passe à côté car cela ne nous concerne pas. En passant, on a aussi un aperçu du monde des idoles au Japon, sujet qui est exploité plus profondément dans Oshi no Ko mais qui montre une fois de plus que ce milieu est excessivement difficile, éprouvant et très sexiste. La paternité de M Hiyama est donc un très bon livre, tout comme la grossesse de M Hiyama, qui nous montre qu’il y a encore beaucoup à faire dans la lutte contre les préjugés et l’amélioration des conditions de travail, de garde… afin que chacun puisse élever ses enfants sereinement.
  14. Titre de l'album : La paternité de M Hiyama tome 2 (fin) Scenariste de l'album : SAKAI Eri Dessinateur de l'album : SAKAI Eri Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Avec La Paternité de M. Hiyama, Eri Sakai questionne avec légèreté - mais non sans pertinence - la manière dont nous regardons aujourd'hui la parentalité ainsi que la place des grossesses dans nos sociétés modernes. Papa & Kids, l'établissement que Kentarô Hiyama a créé, a définitivement fermé. Et pour ne rien arranger, il a été piégé par un paparazzi qui le soupçonne d'être secrètement en couple avec la chanteuse Sakura Asakawa ! Heureusement que l'extombeur de femmes a de la suite dans les idées : en effet, il cherche à imposer à son entreprise un nouveau projet. Et son initiative ne laisse pas Aki indifférente... Au fil des mois, cette dernière a réalisé à quel point il est difficile de mener de front sa carrière et l'éducation de son enfant. Un changement est-il en train de s'opérer en elle ? Critique : Hiyama en voulant aider une idole masculine à gérer sa grossesse se retrouve à nouveau sur le devant de la scène. En même temps sa relation avec Aki évolue, cette dernière se rend compte qu’elle voudrait faire partie de la famille. La paternité de M Hiyama permet vraiment de montrer tous les aprioris autour de la grossesse et de la parentalité. Si l’on découvre des comportements sexistes on voit aussi que nombreux sont considérés comme normaux et qu’ils font partis du quotidien. C’est justement ce genre de livre qui permet d’en prendre conscience et de se dire que ces attitudes ne sont pas normales. L’autre aspect intéressant et hélas, toujours d’actualité car il semble faire partie de la nature humaine, c’est l’absence de compassion. Une sorte d’égocentrisme qui fait que si une situation ne nous touche pas directement on s’en moque ou plutôt on passe à côté car cela ne nous concerne pas. En passant, on a aussi un aperçu du monde des idoles au Japon, sujet qui est exploité plus profondément dans Oshi no Ko mais qui montre une fois de plus que ce milieu est excessivement difficile, éprouvant et très sexiste. La paternité de M Hiyama est donc un très bon livre, tout comme la grossesse de M Hiyama, qui nous montre qu’il y a encore beaucoup à faire dans la lutte contre les préjugés et l’amélioration des conditions de travail, de garde… afin que chacun puisse élever ses enfants sereinement. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-paternite-de-m-hiyama-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. poseidon2

    Rebuild the world tome 4

    Je crois que je vous ai déjà dis que j'étais fan des parutions vega. Ils ont commencé doucement, mais avec des séries sérieuses et qui changent des thèmes habituels comme avec Tesla ou encore Rebuild the World. Série qui n'en fini plus de me surprendre. L'évolution de notre personnage est tel qu'il saute les étages "chiantes" du manga classique et accède très rapidement à de nouvelles parties de la société grâce à ses compétences. Cela permet à notre auteur de continuer à décrire son univers et à nous livrer des pistes sur les vraies ambitions de notre IA. Et plus on en sait, plus on a envie d'en savoir ! On est pris au piège de ce Rebuild the World.... piège dont on n'a même pas envie de sortir !
  16. Titre de l'album : Rebuild the world tome 4 Scenariste de l'album : Kirihito Ayamura Dessinateur de l'album : Kirihito Ayamura Coloriste : Editeur de l'album : VEGA Note : Résumé de l'album : Akira et Alpha ont passé un accord de coopération, Alpha passe donc à la phase « entraînement » et influe sur le corps du jeune guerrier. Cette fois, c'est au combat au corps-à-corps que les deux s'entraînent. Mais la montée en puissance intrigue les autres chasseurs qui voient d'un mauvais oeil cet inconnu en train de devenir le meilleur d'entre eux. Akira accepte néanmoins une mission collective et part dans la zone avec d'autres chasseurs pour nettoyer un district des monstres qui l'infestent. Une mission dangereuse à plus d'un titre. Critique : Je crois que je vous ai déjà dis que j'étais fan des parutions vega. Ils ont commencé doucement, mais avec des séries sérieuses et qui changent des thèmes habituels comme avec Tesla ou encore Rebuild the World. Série qui n'en fini plus de me surprendre. L'évolution de notre personnage est tel qu'il saute les étages "chiantes" du manga classique et accède très rapidement à de nouvelles parties de la société grâce à ses compétences. Cela permet à notre auteur de continuer à décrire son univers et à nous livrer des pistes sur les vraies ambitions de notre IA. Et plus on en sait, plus on a envie d'en savoir ! On est pris au piège de ce Rebuild the World.... piège dont on n'a même pas envie de sortir ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rebuild-the-world-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    Hare-Kon tome 1

    Koharu n’a pas de chance avec les hommes, elle tombe tout le temps amoureuse d’hommes mariés !! Lassée de cette vie, elle décide de retourner vivre dans sa ville natale où ses parents tiennent un café. Elle retrouve son père hospitalisé, sa famille endettée prête à vendre leur café. Et surtout, elle découvre que dans cette ville, un arrêté municipal autorise la polygamie ! C’est là qu’elle rencontre un jeune homme qui lui propose d’être sa 3e femme en échange d’une aide financière. Ce premier tome (série finie en 20 volumes) et clairement une introduction : on découvre Koharu, ses déboires amoureux et la situation de sa famille. On découvre également la nouvelle loi qui a lieu dans la ville et le potentiel futur mari de Koharu. Concernant la loi sur la polygamie on reste encore dans le flou, cet aspect n’est que peu développé. L’autrice NON s’est faite remarquer par son excellent thriller Adabana, on découvre à présent une œuvre plus ancienne Hare-kon qui aborde des thématiques autour des relations de couple au travers d’une panoplie de personnages variés. Il conviendra d’aller lire la suite pour savoir si le manga penchera du côté comédie loufoque et sensuelle ou s’il y aura des sujets plus sérieux derrière cette première impression nonchalante.
  18. Nickad

    Hare-Kon tome 1

    Titre de l'album : Hare-Kon tome 1 Scenariste de l'album : NON Dessinateur de l'album : NON Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Koharu, fatiguée de ne tomber que sur des hommes mariés, menteurs et volages, se décide à quitter la ville et à rentrer chez ses parents. Mais elle découvre bien vite que ceux-ci croulent sous les dettes et que leur petit commerce est menacé... Arrive alors un homme étrange, qui propose de solder la dette... en échange de la main de Koharu. Et comme si cela ne suffisait pas, l'homme n'hésite pas à le dire : il a déjà deux épouses ! Critique : Koharu n’a pas de chance avec les hommes, elle tombe tout le temps amoureuse d’hommes mariés !! Lassée de cette vie, elle décide de retourner vivre dans sa ville natale où ses parents tiennent un café. Elle retrouve son père hospitalisé, sa famille endettée prête à vendre leur café. Et surtout, elle découvre que dans cette ville, un arrêté municipal autorise la polygamie ! C’est là qu’elle rencontre un jeune homme qui lui propose d’être sa 3e femme en échange d’une aide financière. Ce premier tome (série finie en 20 volumes) et clairement une introduction : on découvre Koharu, ses déboires amoureux et la situation de sa famille. On découvre également la nouvelle loi qui a lieu dans la ville et le potentiel futur mari de Koharu. Concernant la loi sur la polygamie on reste encore dans le flou, cet aspect n’est que peu développé. L’autrice NON s’est faite remarquer par son excellent thriller Adabana, on découvre à présent une œuvre plus ancienne Hare-kon qui aborde des thématiques autour des relations de couple au travers d’une panoplie de personnages variés. Il conviendra d’aller lire la suite pour savoir si le manga penchera du côté comédie loufoque et sensuelle ou s’il y aura des sujets plus sérieux derrière cette première impression nonchalante. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hare-kon-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    Fragments d'horreur

    Ce nouveau recueil de Junji ITO comporte 8 courtes histoires et marque un tournant dans la carrière de l’auteur. C’est en effet avec ce recueil que Junji ITO revient à son genre de prédilection, l’horreur, après avoir travaillé 8 ans sur d’autres genres de récit. L’un d’eux Kaidan sera d’ailleurs édité prochainement chez Mangetsu. Comme le dit l’auteur dans sa postface, son éditeur lui a fait retravaillé la première histoire car son instinct n’était pas tout à fait revenu. Je dois admettre que je partage cet avis, par rapport à de grandes œuvres comme Tomié, Spirale ou le Mort amoureux, on sent que l’on est en-dessous. Même si le fond du propos et certaines illustrations relèvent bien du genre horreur, on a du mal, dans l’ensemble, à se laisser surprendre voire écœurer (réaction normale face à de l’horreur repoussante) par ces nouvelles. Certaines s’en sortent mieux que d’autres (Tomio et le col sanglant et l’oiseau noir notamment) mais globalement il y a un manque. Peut-être est-ce dû à la longueur des récits qui laissent peu de temps pour s’immerger ou peut-être simplement est-ce dû aux très bons ouvrages de l’auteur que l’on a découvert préalablement. Après avoir goûté à l’excellence, on apprécie moins le niveau très bon !! Quoi qu’il en soit, ce recueil est très bien réalisé et comporte tout de même de très bons récits qu’il est intéressant de découvrir. L’édition est augmentée comme à chaque fois, d’une préface, postface de l’auteur et analyse de l’œuvre que l’on lit toujours avec plaisir. Et on apprécie la très belle revisite du Cri de Munch qui cache plein de petites références aux histoires du livre, plein de petits fragments d’horreur…
  20. Titre de l'album : Fragments d'horreur Scenariste de l'album : ITO Junji Dessinateur de l'album : ITO Junji Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Un homme volage prisonnier de son futon, une maison classée au patrimoine national dont l'antique charpente semble habitée par un esprit lascif, un cheveu de sorcière tranchant comme une guillotine ensanglantée ou encore une femme obsédée depuis l'enfance par les scalpels et les éviscérations...Junji Ito sème les graines du cauchemar dans ce recueil composé de huit contes délicieusement horrifiques dont six publiés pour la première fois en français. Cette édition bénéficie d'une préface d'exception par Joan Lainé et d'une analyse en fin d'ouvrage par Morolian, spécialiste francophone de l'auteur. Critique : Ce nouveau recueil de Junji ITO comporte 8 courtes histoires et marque un tournant dans la carrière de l’auteur. C’est en effet avec ce recueil que Junji ITO revient à son genre de prédilection, l’horreur, après avoir travaillé 8 ans sur d’autres genres de récit. L’un d’eux Kaidan sera d’ailleurs édité prochainement chez Mangetsu. Comme le dit l’auteur dans sa postface, son éditeur lui a fait retravaillé la première histoire car son instinct n’était pas tout à fait revenu. Je dois admettre que je partage cet avis, par rapport à de grandes œuvres comme Tomié, Spirale ou le Mort amoureux, on sent que l’on est en-dessous. Même si le fond du propos et certaines illustrations relèvent bien du genre horreur, on a du mal, dans l’ensemble, à se laisser surprendre voire écœurer (réaction normale face à de l’horreur repoussante) par ces nouvelles. Certaines s’en sortent mieux que d’autres (Tomio et le col sanglant et l’oiseau noir notamment) mais globalement il y a un manque. Peut-être est-ce dû à la longueur des récits qui laissent peu de temps pour s’immerger ou peut-être simplement est-ce dû aux très bons ouvrages de l’auteur que l’on a découvert préalablement. Après avoir goûté à l’excellence, on apprécie moins le niveau très bon !! Quoi qu’il en soit, ce recueil est très bien réalisé et comporte tout de même de très bons récits qu’il est intéressant de découvrir. L’édition est augmentée comme à chaque fois, d’une préface, postface de l’auteur et analyse de l’œuvre que l’on lit toujours avec plaisir. Et on apprécie la très belle revisite du Cri de Munch qui cache plein de petites références aux histoires du livre, plein de petits fragments d’horreur… Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/fragments-d-horreur?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Michio et Roxanne se sont bien habitués à leur nouvelle vie, entre exploration du labyrinthe et moments coquins, ils sont bien occupés. Mais pour pouvoir aller dans les niveaux supérieurs, il leur faut renforcer leur équipe, Michio décide donc d’aller acheter une seconde esclave, une naine en espérant qu’elle développera des capacités de forgeron et une femme bien sûr, pour avancer dans la voie du harem. Je suis toujours bien embêtée avec ce manga, il a tendance à trainer en longueur avec beaucoup d’explications sur ce que les personnages font et comment ils le font. Et c’est quand je me dis que j’arrête qu’il y a quelques éléments éparpillés par ci par là qui attirent mon attention. Pas assez spectaculaires cependant pour me donner envie de relire le tome ni de vouloir absolument lire la suite. Et du côté charme, Roxanne assure toujours le fan service mais la création du harem avance également lentement, il aura fallu 7 tomes pour que la 2eme demoiselle arrive, on en peut pas vraiment appeler ça un harem encore… Pour ce qui de l’aspect fantasy, à moins de vraiment penser un jour se faire isekaier (eh oui, un nouveau verbe traine chez les jeunes..), toutes ces informations sont lourdes et ne servent pas à grand-chose. On aurait aimé que la promesse du titre, le fameux harem, soit tenue avec plus de rythme et de mordant mais à ce rythme-là, on y sera encore dans 10 ans…
  22. Titre de l'album : Harem in the fantasy world dungeon tomes 6 et 7 Scenariste de l'album : SOGANO Shachi Dessinateur de l'album : HYOUJU Issei Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Dans le labyrinthe, Michio procède par tâtonnements afin de permettre à Sherry de devenir forgeron. De retour chez lui et pour se remettre de cette journée, il profite d'un bon bain en compagnie de Sherry et de Roxanne. C'est bientôt l'heure de sa première nuit avec Sherry, grâce à laquelle il va enfin pouvoir goûter au bonheur du harem ! Critique : Michio et Roxanne se sont bien habitués à leur nouvelle vie, entre exploration du labyrinthe et moments coquins, ils sont bien occupés. Mais pour pouvoir aller dans les niveaux supérieurs, il leur faut renforcer leur équipe, Michio décide donc d’aller acheter une seconde esclave, une naine en espérant qu’elle développera des capacités de forgeron et une femme bien sûr, pour avancer dans la voie du harem. Je suis toujours bien embêtée avec ce manga, il a tendance à trainer en longueur avec beaucoup d’explications sur ce que les personnages font et comment ils le font. Et c’est quand je me dis que j’arrête qu’il y a quelques éléments éparpillés par ci par là qui attirent mon attention. Pas assez spectaculaires cependant pour me donner envie de relire le tome ni de vouloir absolument lire la suite. Et du côté charme, Roxanne assure toujours le fan service mais la création du harem avance également lentement, il aura fallu 7 tomes pour que la 2eme demoiselle arrive, on en peut pas vraiment appeler ça un harem encore… Pour ce qui de l’aspect fantasy, à moins de vraiment penser un jour se faire isekaier (eh oui, un nouveau verbe traine chez les jeunes..), toutes ces informations sont lourdes et ne servent pas à grand-chose. On aurait aimé que la promesse du titre, le fameux harem, soit tenue avec plus de rythme et de mordant mais à ce rythme-là, on y sera encore dans 10 ans… Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/harem-in-the-fantasy-world-dungeon-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    Live forever tome 1

    Sarah était une adolescente comme une autre, pleine de vie, qui s'amusait et jouait dans un groupe de rock, jusqu'au jour où sa mère meurt subitement d'une maladie. Sarah ne sait pas comment faire pour gérer son chagrin, son deuil, alors elle s'accroche à une folle rumeur qui dit que le vieil d'homme d'à côté serait un vampire. Alors Sarah cherche à se rapprocher de lui, essaye de trouver ses secrets, lui vole du sang mais elle trouve aussi une oreille attentive à qui elle peut confier tout ce qu'elle ressent. Live forever n'est pas qu'une revisite du mythe du vampire. Il y a un côté fantastique avec des énigmes et des phénomènes étranges mais c'est aussi et peut-être avant tout, un livre sur le deuil et la perte d'un proche. Avec son petit côté comics et son graphisme à la Sin City en plus épuré, le webcomic sait capter notre attention. C'est graphiquement très beau, on s'attarde, on profite et en même temps c'est émouvant de voir cette adolescente qui s'accroche à un espoir de vie éternelle et qui tient parfois des propos très profonds sur la vie et la mort. Fini en 2 tomes, Live forever mérite le détour.
  24. Titre de l'album : Live forever tome 1 Scenariste de l'album : TREVINO Raul Dessinateur de l'album : TREVINO Raul Coloriste : Editeur de l'album : Kotoon Note : Résumé de l'album : Jouer avec la vie et la mort n'est pas sans risque... Sarah vient de perdre sa mère. Le deuil et la douleur sont tellement trop difficiles à vivre qu'elle part à la recherche d'un antidote qui offrirait à ses proches la vie éternelle. Elle décide alors de croire les rumeurs selon lesquelles son voisin serait un vampire. Critique : Sarah était une adolescente comme une autre, pleine de vie, qui s'amusait et jouait dans un groupe de rock, jusqu'au jour où sa mère meurt subitement d'une maladie. Sarah ne sait pas comment faire pour gérer son chagrin, son deuil, alors elle s'accroche à une folle rumeur qui dit que le vieil d'homme d'à côté serait un vampire. Alors Sarah cherche à se rapprocher de lui, essaye de trouver ses secrets, lui vole du sang mais elle trouve aussi une oreille attentive à qui elle peut confier tout ce qu'elle ressent. Live forever n'est pas qu'une revisite du mythe du vampire. Il y a un côté fantastique avec des énigmes et des phénomènes étranges mais c'est aussi et peut-être avant tout, un livre sur le deuil et la perte d'un proche. Avec son petit côté comics et son graphisme à la Sin City en plus épuré, le webcomic sait capter notre attention. C'est graphiquement très beau, on s'attarde, on profite et en même temps c'est émouvant de voir cette adolescente qui s'accroche à un espoir de vie éternelle et qui tient parfois des propos très profonds sur la vie et la mort. Fini en 2 tomes, Live forever mérite le détour. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/live-forever-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Dans un monde post-apocalyptique, une lycéenne vadrouille en compagnie de son chien, un shiba inu. Elle semble être la dernière humaine, ne sait pas où elle va, n'a pas d'objectif à part voyager. Son chien est un shiba inu, le chien typique des japonais, un chien têtu et fier qui parle. D'ailleurs tout le monde parle dans cette historie : les animaux mais aussi les différentes espèces qui peuplent la Terre, que ce soit les créatures du folklore ou les extraterrestres. Ces derniers se sont installés tranquillement, ne sont pas forcément la cause de la disparition des humains (on n'en sait rien d'ailleurs) et cultivent leurs champs comme si c'était leur rêve de toujours. Comme le dit l'autrice dans sa postface, l'histoire se déroule dans un monde où tout est possible, absolument libre. Elle laisse libre court à son imagination, mais loin d'en faire un récit loufoque, cela lui permet en plus des parties humoristiques de philosopher un peu. Parfois la lycéenne se pose des questions intelligentes genre "est-ce que les gens changent ? qu'est- ce qu'il y a après la mort ? est-ce que l'homme qui se fait téléporter reste toujours lui-même ? ...". Des questions riches et variées auxquelles le chien va répondre de façon tout à fait sérieuse, le tout ponctué de citations célèbres intéressantes qui poussent à la réflexion. Derrière son côté road-trip sans grand intérêt, la fin du monde avec mon shiba inu est donc un livre à plusieurs niveaux de lecture. Il y a le côté humoristique où tout est possible et s'appuie surtout sur la relation entre la lycéenne et son shiba inu. Puis il y a un côté plus réfléchi, celui où elle couche sur papier toutes les questions que l'on a pu se poser un jour en tentant d'y répondre de façon objective et philosophique. Donc contrairement à ce que je craignais, le livre est plutôt agréable et réserve de bonnes surprises mais, et oui car il y a un "mais"... ce genre d'histoires, format yonkoma (4 cases verticales) publié d'abord sur les réseaux sociaux peut se retrouver vite indigeste quand on les assemble en recueil relié et a un potentiel de relecture réduit. Ce qui n'empêche pas d'apprécier certains passages. Un livre sympathique à lire en prenant son temps
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