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  1. Titre de l'album : Le goût des fraises tome 1 Scenariste de l'album : IRONO Dessinateur de l'album : IRONO Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : Une comédie romantique qui vous fera rougir comme une fraise?! Sara, une étudiante de 20 ans, remplace temporairement son grand-père dans l'exploitation de fraises familiale, avec l'aide de Minori Sugiura, un producteur de 33 ans. D'abord effrayée par son nouveau collègue, Sara va découvrir une facette inattendue de lui, donnant naissance à des sentiments... De son côté, Minori est sous le charme, mais peine à exprimer ce qu'il ressent pour la jeune femme... Un amour pur qui frappe en plein cœur ! Une comédie romantique innocente malgré l'écart d'âge entre les personnages, et qui a beaucoup fait parler d'elle sur les réseaux Critique : Pendant l’hospitalisation de son grand-père, Sara va le remplacer dans son travail : la récolte des fraises. Elle est aidée par Minori, un homme de 13 ans son ainé. Très vite, chacun est attiré par l’autre mais Minori étant très stoïque, il ne laisse pas transparaitre ses émotions. La communication est d’autant plus compliquée à cause de leurs différences d’page, chacun pense que l’autre n’est pas intéressé. Cette romance est trop mignonne ! Alors on peut aussi y trouver quelques idées plus sérieuses, notamment la lutte contre les préjugés sur la différence d’âge, sur les hommes qui aiment ce qui est sucré… Mais ce n’est clairement pas le propos, non ici, c’est fleurs bleues et étoiles dans les yeux : Une romance tout en douceur pleine de maladresse et de pureté. Ça me fait d’ailleurs un peu penser à The ice guy & the cool girl, des histoires toutes douces pleines de bons sentiments et sans arrière-pensée ! C’est le genre de récit qui se lit tout seul et qui fait sourire, un petit moment de bonheur ! A noter : il y a une planche de stickers à l'intérieur du tome 1 et une opération spéciale en librairie pour avoir un sachet de graines à planter ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-gout-des-fraises-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Nickad

    Genesis tomes 9 et 10

    Comme je n’ai pas trouvé d’anciennes critiques sur ce manga, je me permets de vous faire un court résumé de la série. Résumé : Au cours d’une promenade, un groupe de 7 étudiants en anthropologie découvrent au fond d’une grotte des peintures rupestres non répertoriées mais suite à un éboulement, ils trouvent une autre sortie et se retrouve en pleine préhistoire. Ne sachant pas d’abord où ils sont, ils sont vite obligés de se rendre à l’évidence quand ils voient des mammouths. Mais quand ils se font attaquer par des hommes de Neandertal, la réalité les rattrape, il faut à présent apprendre à survivre : trouver à manger, s’abriter et surtout se défendre. Si pour la majorité d’entre eux, il est difficile d’accepter les faits et encore plus difficile de s’acclimater à ce nouvel environnement ; Taiga, un garçon un peu timoré, va vite trouver sa place. C’est grâce à lui et son nouveau courage que la petite troupe va aller cohabiter avec les homo-sapiens et afin d’améliorer leur quotidien et se faire accepter, ils se servent de leurs connaissances et modifient quelque peu l’ordre des choses. Seulement, d’autres événements leurs font penser que l’histoire a déjà déviée : les néandertaliens qui auraient dû disparaitre au profit des homo-sapiens se sont organiser en armée et comptent exterminer tous les autres peuples, les colorés et les sang-mêlé comme ils disent. Forcément, l’introduction de nouveaux procédés (apprivoiser un loup, inventer la roue, faire un four et construire des armes en métal…) changent le passé. Un personnage se permet d’ailleurs de faire la morale aux autres en leur rappelant que changer le passé changera forcément leur futur et qu’ils ne pourront peut-être pas rentrer chez eux. A part lui, les autres ont pleinement conscience que rentrer n’est plus une option, ils sont là pour une bonne raison et cette raison arrive justement au tome 9 : bien avant eux, un groupe de militaires nazis s’étaient déjà égarés à la préhistoire et l’un d’entre eux a suggéré de mener à bien leur mission : appliquer l’idéologie nazi « imposer au monde un peuple et une nation uniques ». Mon avis : Si le retour dans le temps n’est pas forcément une nouveauté dans les récits, cette incursion en préhistoire est particulièrement bien faite. Nous n’avons pas des personnages qui vont réussir facilement, ils vont apprendre, douloureusement parfois, à vivre dans un milieu primitif. Il y a d’un côté l’apprentissage de la vie à cette époque avec de nombreux détails et de l’autre côté, les conséquences de leur présence sur leur environnement avec la question obligatoire : a-t-on le droit de changer le passé ? Il y a donc une partie historique et culturelle mais en plus des réflexions psychologiques comme le fait d’être obligé de tuer quand on vient d’une époque où c’est considéré comme un meurtre… Je reste sceptique sur l’arrivée des nazis. N’importe quel autre groupe perdu dans la partie néandertalienne aurait eu le même effet ou presque : afin d’éviter la fin de leur peuple, ils auraient quand même dû migrer vers le sud pour éviter l’extinction due à la période glaciaire et donc affronter les autres peuples en place. Je ne suis pas sûre que le fait qu’il s’agisse de nazis apporte une plus-value à l’histoire, la suite répondra peut-être à cette question. Malgré son graphisme particulier qui souffre parfois de disproportions dans l’anatomie des personnages, Genesis est une série très intéressante et assez prenante, une fois lancé dans la lecture, il est difficile de s’arrêter. Je luis met une note globale de 4.5/5 avec cependant une baisse sur ces deux derniers tomes avec ce léger changement d’orientation qui fait que nous ne sommes plus uniquement dans un récit de survie.
  3. Titre de l'album : Genesis tomes 9 et 10 Scenariste de l'album : MORI Kouji Dessinateur de l'album : MORI Kouji Coloriste : Editeur de l'album : Vega-Dupuis Note : Résumé de l'album : Alors qu'ils se promènent dans la campagne australienne, Taiga et ses amis découvrent une grotte où sont peintes des fresques rupestres très anciennes. La joie de cette découverte est de courte durée car un tremblement de terre les enferme dans la grotte. Trouvant néanmoins une sortie, les jeunes gens découvrent qu’ils ont été transportés en pleine Préhistoire, à l'époque de l'affrontement entre hommes de Neandertal et Homo sapiens. Mammouths, crocodiles géants, meutes de loups géants... Chaque mammifère est une menace pour leur survie. Pourront-ils dépasser leurs habitudes et retrouver l'instinct animal qui leur permettra de vivre ? Critique : Comme je n’ai pas trouvé d’anciennes critiques sur ce manga, je me permets de vous faire un court résumé de la série. Résumé : Au cours d’une promenade, un groupe de 7 étudiants en anthropologie découvrent au fond d’une grotte des peintures rupestres non répertoriées mais suite à un éboulement, ils trouvent une autre sortie et se retrouve en pleine préhistoire. Ne sachant pas d’abord où ils sont, ils sont vite obligés de se rendre à l’évidence quand ils voient des mammouths. Mais quand ils se font attaquer par des hommes de Neandertal, la réalité les rattrape, il faut à présent apprendre à survivre : trouver à manger, s’abriter et surtout se défendre. Si pour la majorité d’entre eux, il est difficile d’accepter les faits et encore plus difficile de s’acclimater à ce nouvel environnement ; Taiga, un garçon un peu timoré, va vite trouver sa place. C’est grâce à lui et son nouveau courage que la petite troupe va aller cohabiter avec les homo-sapiens et afin d’améliorer leur quotidien et se faire accepter, ils se servent de leurs connaissances et modifient quelque peu l’ordre des choses. Seulement, d’autres événements leurs font penser que l’histoire a déjà déviée : les néandertaliens qui auraient dû disparaitre au profit des homo-sapiens se sont organiser en armée et comptent exterminer tous les autres peuples, les colorés et les sang-mêlé comme ils disent. Forcément, l’introduction de nouveaux procédés (apprivoiser un loup, inventer la roue, faire un four et construire des armes en métal…) changent le passé. Un personnage se permet d’ailleurs de faire la morale aux autres en leur rappelant que changer le passé changera forcément leur futur et qu’ils ne pourront peut-être pas rentrer chez eux. A part lui, les autres ont pleinement conscience que rentrer n’est plus une option, ils sont là pour une bonne raison et cette raison arrive justement au tome 9 : bien avant eux, un groupe de militaires nazis s’étaient déjà égarés à la préhistoire et l’un d’entre eux a suggéré de mener à bien leur mission : appliquer l’idéologie nazi « imposer au monde un peuple et une nation uniques ». Mon avis : Si le retour dans le temps n’est pas forcément une nouveauté dans les récits, cette incursion en préhistoire est particulièrement bien faite. Nous n’avons pas des personnages qui vont réussir facilement, ils vont apprendre, douloureusement parfois, à vivre dans un milieu primitif. Il y a d’un côté l’apprentissage de la vie à cette époque avec de nombreux détails et de l’autre côté, les conséquences de leur présence sur leur environnement avec la question obligatoire : a-t-on le droit de changer le passé ? Il y a donc une partie historique et culturelle mais en plus des réflexions psychologiques comme le fait d’être obligé de tuer quand on vient d’une époque où c’est considéré comme un meurtre… Je reste sceptique sur l’arrivée des nazis. N’importe quel autre groupe perdu dans la partie néandertalienne aurait eu le même effet ou presque : afin d’éviter la fin de leur peuple, ils auraient quand même dû migrer vers le sud pour éviter l’extinction due à la période glaciaire et donc affronter les autres peuples en place. Je ne suis pas sûre que le fait qu’il s’agisse de nazis apporte une plus-value à l’histoire, la suite répondra peut-être à cette question. Malgré son graphisme particulier qui souffre parfois de disproportions dans l’anatomie des personnages, Genesis est une série très intéressante et assez prenante, une fois lancé dans la lecture, il est difficile de s’arrêter. Je luis met une note globale de 4.5/5 avec cependant une baisse sur ces deux derniers tomes avec ce léger changement d’orientation qui fait que nous ne sommes plus uniquement dans un récit de survie. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/genesis-tome-9?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Nickad

    Pumpkin night tomes 2 et 3

    C’est gore, répugnant, horrible, écœurant et encore gore. Bref un vrai « délice » pour les yeux ! Mieux vaut avoir le cœur bien accroché quand vous lisez cette série. Si le second tome est dans la lignée du 1er, où il y a une surenchère de moments dégoutants, on est surpris dans ce 3e tome d’y trouver autre chose qu’une vulgaire vengeance. Oui, il y a de la dénonciation et cela ne se limite pas qu’au harcèlement scolaire ! On y parle de corruption et surtout d’un manque absolu de morale. Quand Kazuya demande les raisons d’un tel harcèlement et qu’on lui répond « y’a pas besoin de raison pour harceler quelqu’un ! On le fait parce que c’est marrant c’est tout ! » on sent que l’auteur souhaite marquer les esprits et c’est surtout la fin du tome 3 qui nous laisse penser que le manga porte peut-être un message. Il reste néanmoins, comme je l’avais souligné dans la chronique du 1er tome, un gros problème de réalisme. Autant les histoires de harcèlement et corruption sont plausibles, autant il y a des éléments complétement improbables qui ont tendance à nous sortir du récit (comme le fait par exemple que l’on laisse des scalpels et une multitude de seringues à la portée d’un malade dans une chambre d’hôpital…). Je comprends que l’objectif du manga soit de marquer les esprits mais je ne suis pas sûre que cela serve vraiment le propos si réellement il y a une volonté de faire passer un message. Quoi qu’il en soit, le livre est A RESERVER A UN PUBLIC ADULTE !
  5. Titre de l'album : Pumpkin night tomes 2 et 3 Scenariste de l'album : HOKAZONO Masaya Dessinateur de l'album : TANIGUCHI Seima - Gussan Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Kazuya finit par apprendre la vérité au sujet de l'incident qui a défiguré Naoko lors d'une nuit d'Halloween. Mais maintenant que la lumière est faite sur les raisons qui poussent la jeune fille à se venger, Kazuya et elle sont confrontés à une force contre laquelle même la police ne peut lutter...Au moment où Naoko passe de prédatrice à proie, elle reconnaît être l'invincible Pumpkin Night, qui apparaît au cœur de la nuit noire. Tandis qu'Halloween approche, une nouvelle menace s'avance dans les ténèbres...Un récit sanguinaire pour les amateurs de slasher movie, à ne pas mettre entre toutes les mains ! Critique : C’est gore, répugnant, horrible, écœurant et encore gore. Bref un vrai « délice » pour les yeux ! Mieux vaut avoir le cœur bien accroché quand vous lisez cette série. Si le second tome est dans la lignée du 1er, où il y a une surenchère de moments dégoutants, on est surpris dans ce 3e tome d’y trouver autre chose qu’une vulgaire vengeance. Oui, il y a de la dénonciation et cela ne se limite pas qu’au harcèlement scolaire ! On y parle de corruption et surtout d’un manque absolu de morale. Quand Kazuya demande les raisons d’un tel harcèlement et qu’on lui répond « y’a pas besoin de raison pour harceler quelqu’un ! On le fait parce que c’est marrant c’est tout ! » on sent que l’auteur souhaite marquer les esprits et c’est surtout la fin du tome 3 qui nous laisse penser que le manga porte peut-être un message. Il reste néanmoins, comme je l’avais souligné dans la chronique du 1er tome, un gros problème de réalisme. Autant les histoires de harcèlement et corruption sont plausibles, autant il y a des éléments complétement improbables qui ont tendance à nous sortir du récit (comme le fait par exemple que l’on laisse des scalpels et une multitude de seringues à la portée d’un malade dans une chambre d’hôpital…). Je comprends que l’objectif du manga soit de marquer les esprits mais je ne suis pas sûre que cela serve vraiment le propos si réellement il y a une volonté de faire passer un message. Quoi qu’il en soit, le livre est A RESERVER A UN PUBLIC ADULTE ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pumpkin-night-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Quand j’ai vu le titre de cette série j’ai eu un peu peur de me retrouver dans une histoire comme La princesse maudite et son servant immortel, les deux titres se ressemblant un peu. Heureusement il n’en est rien, pas que l’autre série soit mauvaise mais l’humour étant particulier (vous pouvez retrouver la critique ici) cela se prend plutôt à petites doses. Dans le royaume de Justitia, Fréméa est une sainte capable de soigner les maladies mais comme elle est de basse extraction et qu’historiquement le pouvoir de la sainte se transmettait dans la famille royale, certains politiciens véreux décident de faire croire au monde que la princesse s’est fait voler ses pouvoirs de sainte par Fréméa. Du jour au lendemain, elle est reconnue coupable et chassée du royaume. Heureusement, le chevalier Roland lui est dévoué et décide de l’accompagner. Ils commencent une nouvelle vie ailleurs tandis que le royaume de Justitia sombre peu à peu. On est un peu dans la même gamme d’histoire que Le destin de Claire où une héroïne, après une injustice, va trouver le bonheur ailleurs. Pendant ce temps, c’est le chaos dans son pays d’origine, les coupables finiront par être punis et son statut sera rétabli. En attendant, on a des personnages secondaires pas très finauds et du coup très énervants : le prince, ex-fiancée, qui ne cherche pas plus loin que le bout de son nez ; la princesse, tellement imbue d’elle-même qu’elle croit qu’elle a des pouvoirs… La série s’annonce sympathique et pleine d’aventures, 2 volumes en cours.
  7. Titre de l'album : La sainte déchue et son fervent protecteur tome 1 Scenariste de l'album : HINOKAGE Sora Dessinateur de l'album : AKEKO Suzu , CHUM Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Bannie, mais désormais libre ? Fréméa commence une nouvelle vie aux côtés de son fidèle chevalier ! Fréméa est la sainte du royaume de Justitia. Ce n'est qu'une fois tous les cent ans que l'une d'entre elles voit le jour. En tant qu'élue de ce centenaire, elle n'a que très peu de liberté, et en compagnie de son fidèle chevalier, Roland, elle guérit le peuple de tous les maux qui l'accablent. Un jour, une rumeur circule selon laquelle Fréméa est une usurpatrice. Elle se retrouve alors bannie du royaume. Cependant une nouvelle vie pleine de liberté s'offre désormais à elle, aux côtés de son fervent protecteur Roland, qui est le seul à croire en la jeune femme. Une histoire douce et paisible d'une sainte en exil et de son chevalier protecteur ! Critique : Quand j’ai vu le titre de cette série j’ai eu un peu peur de me retrouver dans une histoire comme La princesse maudite et son servant immortel, les deux titres se ressemblant un peu. Heureusement il n’en est rien, pas que l’autre série soit mauvaise mais l’humour étant particulier (vous pouvez retrouver la critique ici) cela se prend plutôt à petites doses. Dans le royaume de Justitia, Fréméa est une sainte capable de soigner les maladies mais comme elle est de basse extraction et qu’historiquement le pouvoir de la sainte se transmettait dans la famille royale, certains politiciens véreux décident de faire croire au monde que la princesse s’est fait voler ses pouvoirs de sainte par Fréméa. Du jour au lendemain, elle est reconnue coupable et chassée du royaume. Heureusement, le chevalier Roland lui est dévoué et décide de l’accompagner. Ils commencent une nouvelle vie ailleurs tandis que le royaume de Justitia sombre peu à peu. On est un peu dans la même gamme d’histoire que Le destin de Claire où une héroïne, après une injustice, va trouver le bonheur ailleurs. Pendant ce temps, c’est le chaos dans son pays d’origine, les coupables finiront par être punis et son statut sera rétabli. En attendant, on a des personnages secondaires pas très finauds et du coup très énervants : le prince, ex-fiancée, qui ne cherche pas plus loin que le bout de son nez ; la princesse, tellement imbue d’elle-même qu’elle croit qu’elle a des pouvoirs… La série s’annonce sympathique et pleine d’aventures, 2 volumes en cours. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-sainte-dechue-et-son-fervent-protecteur-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Nickad

    Le palais des assassins tome 1

    Nouveauté chez ki-oon et pour ceux qui connaissent Les carnets de l’apothicaire, on se retrouve un peu dans la même ambiance : des intrigues et des complots au cœur du palais impérial ! Ici l’empereur est un jeune garçon dont les deux demi-frères ont été assassinés, il est lui-même la cible de personnes cherchant à obtenir le pouvoir. Notre héroïne, Karin est la fille d’un haut-fonctionnaire influent et surtout effrayant, elle a hérité de lui toutes les techniques d’assassin mais prendre la suite de son père ne l’intéresse pas. Karin souhaite mener une vie tranquille et se faire des amies, c’est pourquoi elle cherche à se faire embaucher comme servante au cœur de la cour intérieure. Hélas, entre la réputation de sa famille et son regard un peu flippant, tout le monde s’éloigne d’elle. Malgré elle, Karin se retrouve au cœur de plusieurs évènements dramatiques, heureusement, elle a un sens de l’observation et des réactions hors du commun qui lui permettent d’agir rapidement et discrètement. Ce 1er tome est fort sympathique, il y a un côté sérieux avec tous les complots politiques, de l’humour avec Karin dont les agissements sont mal interprétés et de l’action avec les techniques d’assassin de sa famille. C’est peut-être sur ce dernier point que je mettrai un bémol : Karin est un peu trop douée et elle réussit à déjouer les pièges trop facilement (c’est limite un personnage cheaté), ce qui fait qu’on s’éloigne un peu du récit historique et qu’on se rapproche plus d’une fantaisie. Il reste que la lecture est agréable, le graphisme est maitrisé et le trame générale intéressante. Une série à suivre. Extrait
  9. Titre de l'album : Le palais des assassins tome 1 Scenariste de l'album : IORI Tabasa Dessinateur de l'album : IORI Tabasa Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Plus facile d'assassiner ses ennemis que de se faire des amis ! Karin vient d'entrer comme apprentie servante au quartier des femmes du palais impérial. Dans ce lieu à part, elle espère réaliser son voeu de toujours : se faire des amies ! Fille du haut fonctionnaire le plus craint de l'empire et considérée comme le bras armé de son conspirateur de père, elle a toute sa vie vécu isolée. Même si elle est experte dans l'art de l'assassinat, elle n'aspire qu'à une vie normale ! Pourtant, les efforts qu'elle fournit pour se rapprocher de ses camarades sont vains, car la peur qu'elle inspire fait d'elle une paria... Un soir de tempête, alors qu'elle est au bord du désespoir, un garçon s'approche pour lui offrir son parapluie avant de disparaître... Ce n'est autre que l'empereur lui-même ! Ce geste d'amitié inattendu redonne courage à la jeune fille, qui jure de prouver sa reconnaissance. L'occasion ne tarde pas : elle débusque un assassin infiltré qui cherche à atteindre le petit monarque et l'élimine grâce à ses talents cachés ! Tant de gens veulent la perte du souverain... mais Karin se promet de le protéger dans l'ombre ! Comment fraterniser dans un nid de vipères ? Le Palais des assassins vous entraîne dans l'univers d'une héroïne aussi habile au combat que maladroite en amitié ! Critique : Nouveauté chez ki-oon et pour ceux qui connaissent Les carnets de l’apothicaire, on se retrouve un peu dans la même ambiance : des intrigues et des complots au cœur du palais impérial ! Ici l’empereur est un jeune garçon dont les deux demi-frères ont été assassinés, il est lui-même la cible de personnes cherchant à obtenir le pouvoir. Notre héroïne, Karin est la fille d’un haut-fonctionnaire influent et surtout effrayant, elle a hérité de lui toutes les techniques d’assassin mais prendre la suite de son père ne l’intéresse pas. Karin souhaite mener une vie tranquille et se faire des amies, c’est pourquoi elle cherche à se faire embaucher comme servante au cœur de la cour intérieure. Hélas, entre la réputation de sa famille et son regard un peu flippant, tout le monde s’éloigne d’elle. Malgré elle, Karin se retrouve au cœur de plusieurs évènements dramatiques, heureusement, elle a un sens de l’observation et des réactions hors du commun qui lui permettent d’agir rapidement et discrètement. Ce 1er tome est fort sympathique, il y a un côté sérieux avec tous les complots politiques, de l’humour avec Karin dont les agissements sont mal interprétés et de l’action avec les techniques d’assassin de sa famille. C’est peut-être sur ce dernier point que je mettrai un bémol : Karin est un peu trop douée et elle réussit à déjouer les pièges trop facilement (c’est limite un personnage cheaté), ce qui fait qu’on s’éloigne un peu du récit historique et qu’on se rapproche plus d’une fantaisie. Il reste que la lecture est agréable, le graphisme est maitrisé et le trame générale intéressante. Une série à suivre. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-palais-des-assassins-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nickad

    JK Haru tome 5

    Bon vu les événements du tome 4 on se doutait que l’avenir de la belle Sikraso n’allait pas être aussi beau qu’elle l’avait espéré. Elle qui pensait partir pour remonter le moral des soldats avant la bataille en chantant s’est retrouvée malgré elle obligée de les contenter physiquement. L’influence du nouveau commandant sur ses hommes est tellement importante que ceux-ci sont passés de comportements « à peu près convenables » (pour ce monde) à complétement ignobles. Alors même s’il n’y a pas beaucoup d’événements dans ce volume, il reste intense et absolument horrifique. Le manga dénonçait des comportements sexistes et dégradants mais là, il a franchi un cap : le barbarisme comme s’il n’y a avait rien a sauvé chez les hommes. Quant à la fin du tome, on entre dans une phase plus liée à l’isekai, c’est-à-dire que l’on se retrouve avec une Haru qui a peut-être des compétences cachées et qui part chercher vengeance. Je reste un peu perplexe sur ce potentiel développement, il faudra attendre le tome 6 pour savoir vers quoi l’on tend.
  11. Nickad

    JK Haru tome 5

    Titre de l'album : JK Haru tome 5 Scenariste de l'album : HIRATORI Ko Dessinateur de l'album : YAMADA J-Ta Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Cet endroit aussi était un autre monde pour elle. Après un accident de la route, Haru, jeune lycéenne, s'est retrouvée dans un autre monde où elle est contrainte à travailler comme prostituée. Après de nombreuses aventures, elle décide de prendre la place de son aînée, Sikraso, partie en mission dans une caserne militaire. Critique : Bon vu les événements du tome 4 on se doutait que l’avenir de la belle Sikraso n’allait pas être aussi beau qu’elle l’avait espéré. Elle qui pensait partir pour remonter le moral des soldats avant la bataille en chantant s’est retrouvée malgré elle obligée de les contenter physiquement. L’influence du nouveau commandant sur ses hommes est tellement importante que ceux-ci sont passés de comportements « à peu près convenables » (pour ce monde) à complétement ignobles. Alors même s’il n’y a pas beaucoup d’événements dans ce volume, il reste intense et absolument horrifique. Le manga dénonçait des comportements sexistes et dégradants mais là, il a franchi un cap : le barbarisme comme s’il n’y a avait rien a sauvé chez les hommes. Quant à la fin du tome, on entre dans une phase plus liée à l’isekai, c’est-à-dire que l’on se retrouve avec une Haru qui a peut-être des compétences cachées et qui part chercher vengeance. Je reste un peu perplexe sur ce potentiel développement, il faudra attendre le tome 6 pour savoir vers quoi l’on tend. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jk-haru-sex-worker-in-another-world-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Nickad

    Céline, une vie parisienne tome 1

    XIXe siècle, Céline est une jeune fille de 14 ans qui est montée à Paris pour expérimenter la vie mais elle ne sait pas encore ce qu’elle veut faire. Le hasard la met sur la route d’un vieil homme chaleureux mais un peu étrange qui lui propose de devenir ses yeux : elle devra faire plein de petits boulots pour lui raconter la vie simple des parisiens afin d’écrire un livre. Céline semble un peu simple, un peu effacée, imperturbable et impassible mais c’est surtout parce qu’elle se pose des questions, elle découvre et observe un monde dont elle ignorait presque tout. Elle suit à la lettre les consignes que lui a laissée sa tutrice, personne que l’on ne voit pas mais qui est très importante pour Céline. Ce que M Fontaine veut montrer à Céline c’est ce que l'auteur veut faire découvrir au lecteur : le Paris de la fin du XIXe siècle à une époque de paix et de développement social et économique. Il nous parle de la ville, de ses quartiers mais surtout de ses habitants, tous les petits métiers qui existaient. A chaque fois, il y a une petite description du métier, la tranche de salaire, la pénibilité et l’évolution possible. L’auteur souhaitait parler du Paris qu’il avait découvert avec les impressionnistes et son manga est lui aussi comme un tableau. Il n’y a pas de jugement, c’est une rencontre, un regard doux posé sur une ville, une époque, sans extravagance ni drame. C’est à la fois un constat et une ballade, un moment agréable à partager.
  13. Titre de l'album : Céline, une vie parisienne tome 1 Scenariste de l'album : HINOSHITA Akame Dessinateur de l'album : HINOSHITA Akame Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Le quotidien des Parisiens comme vous ne l'avez jamais vu ! À Paris, une jeune fille de 14 ans, Céline, que l'on dit venir de la lune, cherche ce qu'elle aimerait faire dans la vie. Armée seulement des enseignements de sa tutrice, elle se rend à la capitale et tombe par hasard sur un vieux monsieur. Il lui propose de travailler dans un domaine qui lui permet de toucher diverses professions. Dans un Paris du XIXe siècle en plein essor, décrit tel un tableau, arrivera-t-elle à trouver sa voie ? Critique : XIXe siècle, Céline est une jeune fille de 14 ans qui est montée à Paris pour expérimenter la vie mais elle ne sait pas encore ce qu’elle veut faire. Le hasard la met sur la route d’un vieil homme chaleureux mais un peu étrange qui lui propose de devenir ses yeux : elle devra faire plein de petits boulots pour lui raconter la vie simple des parisiens afin d’écrire un livre. Céline semble un peu simple, un peu effacée, imperturbable et impassible mais c’est surtout parce qu’elle se pose des questions, elle découvre et observe un monde dont elle ignorait presque tout. Elle suit à la lettre les consignes que lui a laissée sa tutrice, personne que l’on ne voit pas mais qui est très importante pour Céline. Ce que M Fontaine veut montrer à Céline c’est ce que l'auteur veut faire découvrir au lecteur : le Paris de la fin du XIXe siècle à une époque de paix et de développement social et économique. Il nous parle de la ville, de ses quartiers mais surtout de ses habitants, tous les petits métiers qui existaient. A chaque fois, il y a une petite description du métier, la tranche de salaire, la pénibilité et l’évolution possible. L’auteur souhaitait parler du Paris qu’il avait découvert avec les impressionnistes et son manga est lui aussi comme un tableau. Il n’y a pas de jugement, c’est une rencontre, un regard doux posé sur une ville, une époque, sans extravagance ni drame. C’est à la fois un constat et une ballade, un moment agréable à partager. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/celine-une-ville-parisienne-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Nickad

    Pandora seven tome 1

    Lia vit tranquillement sur une petite ile isolée du reste du monde, elle est la seule humaine au milieu de 6 autres races, tout le monde s’entend très bien et la grande fête de l’ile est sur le point de débuter quand un vaisseau arrive. Des magiciens et guerriers humains débarquent, détruisent tout sur leur passage afin de trouver la boite de Pandore. Lia voulant sauver sa mère adoptive, fusionne malencontreusement avec la boite. Méchants humains, gentils monstres et boite mythique qui fera basculer le destin du monde, voici les éléments de ce manga. Il y a Lia, une humaine ayant grandie entourée d’affection sur une ile sans haine ni discrimination qui va se retrouver brutalement confrontée à la dure réalité du monde : soif de pouvoirs, abus physique, racisme, violence… La transition entre le début qui semble être une aventure toute mignonne et l’attaque des humains est assez violente, notre héroïne va de désenchantement en désenchantement, même l’espoir de trouver de l’aide auprès d’une sorcière la renvoie au constat amer de n’être jugée que par ses origines sans avoir pu s’exprimer. Il y a un décalage très net entre le graphisme rond du manga et le propos. Côté univers, Pandora seven surfe sur plusieurs vagues, il y a de l’heroic fantasy, de la dark fantasy, un côté science-fiction provenant des équipements humains et parfois un peu de légèreté humoristique. Le manga propose donc une multitude d’éléments variés dans ce 1er tome, pour le moment le mélange fonctionne bien mais certains évènements se déroulent un peu vite. Reste à savoir si l’auteur ne se perdra pas en cours de route, la série est en cours et compte 4 tomes actuellement. A suivre. Extrait
  15. Titre de l'album : Pandora seven tome 1 Scenariste de l'album : KAYASHIMA Yuta Dessinateur de l'album : KAYASHIMA Yuta Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Lia, une jeune humaine élevée par une mère dragon, est la seule de son espèce sur la petite île où elle vit paisiblement entourée de nombreuses créatures fantastiques. Mais ses jours heureux prennent fin quand une armée d'humains sanguinaires débarque pour dévaster son île dans le seul but de récupérer la boîte de Pandore ! Critique : Lia vit tranquillement sur une petite ile isolée du reste du monde, elle est la seule humaine au milieu de 6 autres races, tout le monde s’entend très bien et la grande fête de l’ile est sur le point de débuter quand un vaisseau arrive. Des magiciens et guerriers humains débarquent, détruisent tout sur leur passage afin de trouver la boite de Pandore. Lia voulant sauver sa mère adoptive, fusionne malencontreusement avec la boite. Méchants humains, gentils monstres et boite mythique qui fera basculer le destin du monde, voici les éléments de ce manga. Il y a Lia, une humaine ayant grandie entourée d’affection sur une ile sans haine ni discrimination qui va se retrouver brutalement confrontée à la dure réalité du monde : soif de pouvoirs, abus physique, racisme, violence… La transition entre le début qui semble être une aventure toute mignonne et l’attaque des humains est assez violente, notre héroïne va de désenchantement en désenchantement, même l’espoir de trouver de l’aide auprès d’une sorcière la renvoie au constat amer de n’être jugée que par ses origines sans avoir pu s’exprimer. Il y a un décalage très net entre le graphisme rond du manga et le propos. Côté univers, Pandora seven surfe sur plusieurs vagues, il y a de l’heroic fantasy, de la dark fantasy, un côté science-fiction provenant des équipements humains et parfois un peu de légèreté humoristique. Le manga propose donc une multitude d’éléments variés dans ce 1er tome, pour le moment le mélange fonctionne bien mais certains évènements se déroulent un peu vite. Reste à savoir si l’auteur ne se perdra pas en cours de route, la série est en cours et compte 4 tomes actuellement. A suivre. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pandora-seven-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Nickad

    #DRCL midnight children tome 1

    Voici la série Ki-oon tant attendue de ce début d’année, une revisite du mythe de Dracula ! Bien sûr le sujet a été vu et revu et on peut s’inquiéter d’une énième variante. Rassurez-vous cette version est réussie et elle est même très intrigante ! On a d’abord une rencontre visuelle, un premier chapitre fort qui nous met dans l’ambiance, le graphisme est détaillé, fin et précis mais surtout sait nous plonger directement dans une ambiance inquiétante, légèrement horrifique. Puis vient la seconde rencontre, celle des « héros » de l’histoire, des étudiants en médecine qui naviguent entre réalité de leur époque (notamment la place des femmes dans les sciences), blagues morbides, mystère et poésie. On reconnait tout de suite la pâte graphique de Shin’ichi Sakamoto, qui avait déjà fait sensation en France avec ses titres Nés pour cogner, Ascension ou encore Innocent / Innocent Rouge. Encore une fois, on retrouve son goût pour des personnages atypiques allant de Mina, la jeune fille forte décidée à dépasser les limites de son époque à Luke en proie à une double personnalité. Les dessins sont envoutants, oniriques et il nous appartient d’y trouver notre propre signification. L’œuvre se veut innovante, elle s’inspire de Dracula pour nous emmener ailleurs. Un premier tome qui ne nous laisse pas de marbre sans savoir vraiment où il nous conduira. Extrait
  17. Titre de l'album : #DRCL midnight children tome 1 Scenariste de l'album : Shinichi SAKAMOTO , STOKER Bram Dessinateur de l'album : Shinichi SAKAMOTO Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Le mythe de Dracula revisité par un orfèvre du manga ! À la fin du xixe siècle, un vaisseau russe embarque d'étranges caisses remplies d'une terre à l'odeur pestilentielle. La traversée des océans est un calvaire pour l'équipage : disparitions et morts suspectes s'enchaînent. Certains parlent d'un fantôme... Quand le bateau parvient enfin à destination en Angleterre, il a tout d'une épave flottante. Alors que la police portuaire se lance à la recherche de survivants, elle tombe sur une énorme créature mi-homme mi-loup, qui disparaît comme par magie... Quelques instants plus tard, dans le cimetière de la ville, quatre élèves du prestigieux établissement Whitby assistent à une scène terrifiante : un de leurs camarades est capturé par une bête ténébreuse ! Seule Mina Murray, l'unique fille de l'établissement, a le courage de voler à son secours, mais il est déjà trop tard... Critique : Voici la série Ki-oon tant attendue de ce début d’année, une revisite du mythe de Dracula ! Bien sûr le sujet a été vu et revu et on peut s’inquiéter d’une énième variante. Rassurez-vous cette version est réussie et elle est même très intrigante ! On a d’abord une rencontre visuelle, un premier chapitre fort qui nous met dans l’ambiance, le graphisme est détaillé, fin et précis mais surtout sait nous plonger directement dans une ambiance inquiétante, légèrement horrifique. Puis vient la seconde rencontre, celle des « héros » de l’histoire, des étudiants en médecine qui naviguent entre réalité de leur époque (notamment la place des femmes dans les sciences), blagues morbides, mystère et poésie. On reconnait tout de suite la pâte graphique de Shin’ichi Sakamoto, qui avait déjà fait sensation en France avec ses titres Nés pour cogner, Ascension ou encore Innocent / Innocent Rouge. Encore une fois, on retrouve son goût pour des personnages atypiques allant de Mina, la jeune fille forte décidée à dépasser les limites de son époque à Luke en proie à une double personnalité. Les dessins sont envoutants, oniriques et il nous appartient d’y trouver notre propre signification. L’œuvre se veut innovante, elle s’inspire de Dracula pour nous emmener ailleurs. Un premier tome qui ne nous laisse pas de marbre sans savoir vraiment où il nous conduira. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/drcl-midnight-children-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Nickad

    Un second au revoir tome 2

    Plus on avance dans cette série plus on s’engouffre dans une sorte de folie créative. L’art n’a sans doute pas de limites et les personnages talentueux semblent être inaccessibles. Alors, comment Hinata peut arriver à changer le passé et le destin de son ami si rien de ce qu’il découvre découle de comportements logiques ? En tout cas, il a trouvé un allié, un journaliste qui enquête sur le professeur d’arts plastiques mais encore une fois, tout se retrouve chamboulé. Difficile de faire un résumé ni de parler de ce second volume sans trop en dévoiler et ce serait vraiment dommage vu la tournure des événements. Sachez seulement que le second tome se termine comme le premier : sur un cliffhanger insoutenable. On sort de cette lecture frustré et excité, vivement la suite !
  19. Titre de l'album : Un second au revoir tome 2 Scenariste de l'album : TANAKA Tomo Dessinateur de l'album : TAKOGAWA Takomaru Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Hinata Harusawa reçoit un jour un appel : le corps de son meilleur ami, Sora Otonashi, disparu lorsqu'ils étaient en deuxième année de lycée, a été retrouvé. En observant la toile que Sora avait peinte avant sa disparition, un de ses amis remarque quelque chose... et est immédiatement attaqué par un inconnu... Critique : Plus on avance dans cette série plus on s’engouffre dans une sorte de folie créative. L’art n’a sans doute pas de limites et les personnages talentueux semblent être inaccessibles. Alors, comment Hinata peut arriver à changer le passé et le destin de son ami si rien de ce qu’il découvre découle de comportements logiques ? En tout cas, il a trouvé un allié, un journaliste qui enquête sur le professeur d’arts plastiques mais encore une fois, tout se retrouve chamboulé. Difficile de faire un résumé ni de parler de ce second volume sans trop en dévoiler et ce serait vraiment dommage vu la tournure des événements. Sachez seulement que le second tome se termine comme le premier : sur un cliffhanger insoutenable. On sort de cette lecture frustré et excité, vivement la suite ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/un-second-au-revoir-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Une critique de @Y_Kanzaki Les Idaten, ces divinités veillant sur les humains, n’ont plus rien à faire depuis que les démons menaçant de détruire le monde ont été scellés. A quoi bon passer ses journées à s’entraîner au combat lorsqu'il n’y a qu’un monde de paix qui se dessine à l’horizon ? De paix vous dites ? Ça, c’est sans compter sur les humains et leur insatiable envie de pouvoir ! Alors, que se passe-t-il lorsque des Idaten n’ayant aucun entraînement au combat se retrouvent à devoir affronter un démon que les humains ont ressuscité ? Au premier abord, on pourrait croire que cette histoire est un simple shonen où des dieux sans expérience doivent affronter des démons. Mais sous couvert de ce résumé, c’est en réalité la folie des Hommes qui est dépeinte: les démons sont ressuscités par des Hommes avides de pouvoir et de puissance. De plus, le rôle des Idaten est de protéger les humains, mais que faire lorsqu’ils se persécutent entre eux ? Doit-on intervenir alors qu’il faut juste protéger l’humanité en général et non chaque être humain ? Au niveau du graphisme, il y a un véritable contraste entre les traits des Idaten qui sont assez simples et enfantins et des passages où le dessin est bien plus franc et choquant. Cela fait bien ressortir la folie et la cruauté des Hommes. En conclusion, ce premier tome met vraiment l’accent sur le rôle des idaten et ce qu’ils considèrent comme un monde de paix. La deuxième moitié du tome introduit les dérives de l’Homme et sa cruauté, ce qui nous amène à nous demander qui sont les vrais démons. Un premier tome intéressant. ATTENTION ! Ce livre est destiné à un public adulte car certaines scènes sont choquantes et explicites ! Série finie en 9 tomes.
  21. Titre de l'album : The Idaten Deities know only peace tome 1 Scenariste de l'album : AMAHARA Dessinateur de l'album : COOLKYOUSINNJYA Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Voilà 800 ans que les Idaten, divinités protectrices, on scellé les démons et que le monde vit en paix. Les jeunes Idaten n’ont rien vécu des combats acharnés et des sacrifices de leurs ancêtres. Ils ne connaissent rien de la guerre, de la peine et de l’acharnement des combats. Si le sceau vient à se briser, sauront-ils accomplir leur devoir et protéger l’humanité ? Critique : Une critique de @Y_Kanzaki Les Idaten, ces divinités veillant sur les humains, n’ont plus rien à faire depuis que les démons menaçant de détruire le monde ont été scellés. A quoi bon passer ses journées à s’entraîner au combat lorsqu'il n’y a qu’un monde de paix qui se dessine à l’horizon ? De paix vous dites ? Ça, c’est sans compter sur les humains et leur insatiable envie de pouvoir ! Alors, que se passe-t-il lorsque des Idaten n’ayant aucun entraînement au combat se retrouvent à devoir affronter un démon que les humains ont ressuscité ? Au premier abord, on pourrait croire que cette histoire est un simple shonen où des dieux sans expérience doivent affronter des démons. Mais sous couvert de ce résumé, c’est en réalité la folie des Hommes qui est dépeinte: les démons sont ressuscités par des Hommes avides de pouvoir et de puissance. De plus, le rôle des Idaten est de protéger les humains, mais que faire lorsqu’ils se persécutent entre eux ? Doit-on intervenir alors qu’il faut juste protéger l’humanité en général et non chaque être humain ? Au niveau du graphisme, il y a un véritable contraste entre les traits des Idaten qui sont assez simples et enfantins et des passages où le dessin est bien plus franc et choquant. Cela fait bien ressortir la folie et la cruauté des Hommes. En conclusion, ce premier tome met vraiment l’accent sur le rôle des idaten et ce qu’ils considèrent comme un monde de paix. La deuxième moitié du tome introduit les dérives de l’Homme et sa cruauté, ce qui nous amène à nous demander qui sont les vrais démons. Un premier tome intéressant. ATTENTION ! Ce livre est destiné à un public adulte car certaines scènes sont choquantes et explicites ! Série finie en 9 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/idaten-know-only-peace-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Titre de l'album : Kaijû Defense Force tome 2 Scenariste de l'album : INOUE Junya Dessinateur de l'album : INOUE Junya Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : An X de l'ère Reiwa. Un terrible tsunami, provoqué par une avalanche sous-marine, ravage la côte Pacifique. Toutefois, il n'est que le prologue de calamités à venir. Agrippé sous le paquebot de luxe Fugaku, le kaijû déploie ses tentacules à l'intérieur du bateau et attaque les passagers les uns après les autres. Pendant un instant, Konoé manque de sombrer face à cette situation désespérée et totalement imprévisible. Elle parvient cependant à retrouver son sang-froid et la voici désormais prête à donner le signal de la contre-attaque... Son courage parviendra-t-il à sauver les passagers du danger ? Critique : La situation est tendue à bord du Fugaku, il faut absolument arriver à prévenir les passagers de s’éloigner des fenêtres, la kaijû déploie ses tentacules par chaque ouverture et arrive même à défoncer les portes. Heureusement Konoé se rend compte que le bruit les attire, elle arrive à transmettre un message et à joindre également ses supérieurs pour les tenir au courant de la situation. Après bien des négociations, l’équipe de secours se prépare à intervenir. Junya Inoue, surtout connu en France pour sa série Btooom, est un auteur qui sait faire de bons scénarios avec un équilibre entre action, fantastique et tranche de vie. Son trait est percutant et détaillé, ses scènes de combats et d’attaques sont dynamiques et sa mise en scène est efficace. Kaiju defense force est comme un bon film catastrophe, un peu comme Godzilla, où de simples humains pétris de bonne volonté vont surpasser leurs limites pour affronter un monstre inconnu au péril de leur vie et sauver les humains. Le rythme est endiablé, l’action constante, on ne s’ennuie pas un seul instant et on ne demande qu’à lire la suite ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kaiju-defense-force-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    Kaijû Defense Force tome 2

    La situation est tendue à bord du Fugaku, il faut absolument arriver à prévenir les passagers de s’éloigner des fenêtres, la kaijû déploie ses tentacules par chaque ouverture et arrive même à défoncer les portes. Heureusement Konoé se rend compte que le bruit les attire, elle arrive à transmettre un message et à joindre également ses supérieurs pour les tenir au courant de la situation. Après bien des négociations, l’équipe de secours se prépare à intervenir. Junya Inoue, surtout connu en France pour sa série Btooom, est un auteur qui sait faire de bons scénarios avec un équilibre entre action, fantastique et tranche de vie. Son trait est percutant et détaillé, ses scènes de combats et d’attaques sont dynamiques et sa mise en scène est efficace. Kaiju defense force est comme un bon film catastrophe, un peu comme Godzilla, où de simples humains pétris de bonne volonté vont surpasser leurs limites pour affronter un monstre inconnu au péril de leur vie et sauver les humains. Le rythme est endiablé, l’action constante, on ne s’ennuie pas un seul instant et on ne demande qu’à lire la suite !
  24. Nickad

    Succubus & Hitman tomes 3 & 4

    Le 3e tome de la série marque la fin de l’affrontement des Sold Killers contre le clan Aragami, les combats sont denses et violents, leur mise en scène est efficace et rythmée. Pendant ce temps, l’érotisme est de mise dans la salle ont sont retenues les jeunes filles. Mais leur combat, durement gagné, a aussi attiré l’attention de personnes dangereuses comme le baron de la drogue d’Asie du Sud-Est. Ce dernier a un plan à exécuter qui implique des sacrifices humains, les Sold Killers comptent bien l’en empêcher. De l’action, du gore et de l’érotisme, les 3 piliers de la série augmentent encore d’un niveau. Si tous ces éléments sont parfaitement équilibrés et mis en valeur par un excellent graphisme, on a tendance à perdre un peu de vue la trame principale. Le chemin de notre héros semble n’être semé que d’embuches et il lui faudra sans doute du temps pour arriver à ses fins. En attendant le lecteur n’a pas le temps de s’ennuyer ! Soulignons le fait qu’il y a quand même une morale car notre héros ne peut passer devant une injustice sans agir et punit les méchants. Une série qui va à 100 à l’heure et qui est efficace.
  25. Titre de l'album : Succubus & Hitman tomes 3 & 4 Scenariste de l'album : FUKAMI makoto Dessinateur de l'album : TOKIYA Seigo Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Shôya et Ryôgo, les Sold Killers, livrent un duel acharné contre les Violators Jingo Ootori et Hyôe Kakizaki, membres du clan Aragami. Alors qu'ils luttent contre ce ninja de l'ombre et cet épéiste du vent, ils vont vite comprendre que leur combat est loin d'être terminé... Critique : Le 3e tome de la série marque la fin de l’affrontement des Sold Killers contre le clan Aragami, les combats sont denses et violents, leur mise en scène est efficace et rythmée. Pendant ce temps, l’érotisme est de mise dans la salle ont sont retenues les jeunes filles. Mais leur combat, durement gagné, a aussi attiré l’attention de personnes dangereuses comme le baron de la drogue d’Asie du Sud-Est. Ce dernier a un plan à exécuter qui implique des sacrifices humains, les Sold Killers comptent bien l’en empêcher. De l’action, du gore et de l’érotisme, les 3 piliers de la série augmentent encore d’un niveau. Si tous ces éléments sont parfaitement équilibrés et mis en valeur par un excellent graphisme, on a tendance à perdre un peu de vue la trame principale. Le chemin de notre héros semble n’être semé que d’embuches et il lui faudra sans doute du temps pour arriver à ses fins. En attendant le lecteur n’a pas le temps de s’ennuyer ! Soulignons le fait qu’il y a quand même une morale car notre héros ne peut passer devant une injustice sans agir et punit les méchants. Une série qui va à 100 à l’heure et qui est efficace. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/succubus-hitman-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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