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  1. Titre de l'album : Crescent moon, dance with the monster 1 Scenariste de l'album : FUJITA Kazuhiro Dessinateur de l'album : FUJITA Kazuhiro Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Mary Shelley face à la créature de Frankenstein... au féminin ! Le Black Museum accueille une visiteuse de choix : Mary Shelley, autrice de l'acclamé Frankenstein ! Parmi les reliques de crimes célèbres rassemblées au cœur de ce lieu étrange, elle s'intéresse à une mystérieuse bottine rouge à talon retrouvée lors d'un bal royal en 1842, dont elle prétend connaître la propriétaire... À cette époque, Mary Shelley vit dans le besoin, malgré le succès critique de son roman. Veuve et mère, elle se démène pour payer l'éducation de son fils. Alors, quand son riche beau-père lui demande d'aller le voir, lui qui s'est pourtant toujours opposé à son mariage, elle accepte à contrecœur, de peur de voir sa pension suspendue... Mais, une fois sur place, Mary comprend qu'il l'a attirée là pour une entrevue secrète avec un capitaine de l'armée anglaise. Un an plus tôt, celui-ci a affronté sept combattantes de talent qui ont décimé son bataillon avant de disparaître... sauf une, tombée d'une falaise, dont le corps a été récupéré et ramené à la vie ! Une femme enveloppée de bandelettes cachant ses horribles cicatrices et chaussée de bottines rouges à talons apparaît alors devant les yeux effarés de l'autrice... Cette dernière se voit confier une mission : la rendre présentable pour un bal très spécial donné par la reine Victoria dans quatre mois. Car qui de mieux que l'inventrice de Frankenstein pour amadouer cette créature ? Grande, forte et redoutable à l'épée... la combattante ressuscitée bouleverse les conventions. Dans ce nouvel épisode de sa saga gothique, Kazuhiro Fujita nous fait redécouvrir une figure fondatrice de la littérature fantastique, en lutte pour une société plus juste pour les femmes... et les monstres ! Critique : Crescent moon, dance with the monster est le nouveau livre de la collection Black Museum chez Ki-oon ; une collection qui comprend actuellement deux autres titres Springald et Ghost Lady, trois mangas de l’auteur FUJITA Kazuhiro, surtout connu pour son titre Karakuri Circus. Les titres de la collection black museum se présente toujours de la même façon, on part d’une pièce à conviction située dans le musée interne à Scotland Yard et on nous raconte une histoire mélangeant imagination et faits historiques. Dans Crescent Moon, Mary Shelley, l’autrice de Frankenstein, vient voir une étrange bottine rouge, elle rencontre la conservatrice du musée à qui elle va raconter toute l’histoire liée à la bottine : l’histoire d’une créature revenue à la vie grâce à un scientifique. Mary Shelley se retrouve donc au cœur d’évènements tout droit sortis de son propre roman ou tout au moins dans la même lignée ! Ce qui est intéressant, c’est aussi tout le contexte historique : il y a de vrais passages de la vie de l’autrice mélangés aux us et coutumes de l’époque. La condition de la femme dans l’Angleterre du 19e siècle est d’ailleurs assez frappante ! La situation de Mary Shelley d’abord : bien que son roman est eu du succès, il a d’abord été publié anonymement en 1818, ce n’est qu’à sa 3e édition en 1831 que son nom est révélé, entrainant de nombreux reproches à son encontre !! Et puis, il y a plein de personnages féminins secondaires qui parlent de leur vie de tous les jours et des comportement masculins « une fille n’a pas besoin de savoir lire » « pour une femme se consacrer à la création artistique relève d’un comportement antisocial »… Des propos assez choquants à entendre de nos jours mais qui étaient normaux à l’époque ! Mary Shelley est d’ailleurs traitée de monstre car elle a osé écrire !! Crescent Moon est un manga qui commence joliment avec un scénario intéressant, une édition de qualité avec un papier suffisamment épais pour ne pas voir au travers et surtout un auteur aussi doué en narration qu’en graphisme. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/crescent-moon-dance-with-the-monster-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Crescent moon, dance with the monster est le nouveau livre de la collection Black Museum chez Ki-oon ; une collection qui comprend actuellement deux autres titres Springald et Ghost Lady, trois mangas de l’auteur FUJITA Kazuhiro, surtout connu pour son titre Karakuri Circus. Les titres de la collection black museum se présente toujours de la même façon, on part d’une pièce à conviction située dans le musée interne à Scotland Yard et on nous raconte une histoire mélangeant imagination et faits historiques. Dans Crescent Moon, Mary Shelley, l’autrice de Frankenstein, vient voir une étrange bottine rouge, elle rencontre la conservatrice du musée à qui elle va raconter toute l’histoire liée à la bottine : l’histoire d’une créature revenue à la vie grâce à un scientifique. Mary Shelley se retrouve donc au cœur d’évènements tout droit sortis de son propre roman ou tout au moins dans la même lignée ! Ce qui est intéressant, c’est aussi tout le contexte historique : il y a de vrais passages de la vie de l’autrice mélangés aux us et coutumes de l’époque. La condition de la femme dans l’Angleterre du 19e siècle est d’ailleurs assez frappante ! La situation de Mary Shelley d’abord : bien que son roman est eu du succès, il a d’abord été publié anonymement en 1818, ce n’est qu’à sa 3e édition en 1831 que son nom est révélé, entrainant de nombreux reproches à son encontre !! Et puis, il y a plein de personnages féminins secondaires qui parlent de leur vie de tous les jours et des comportement masculins « une fille n’a pas besoin de savoir lire » « pour une femme se consacrer à la création artistique relève d’un comportement antisocial »… Des propos assez choquants à entendre de nos jours mais qui étaient normaux à l’époque ! Mary Shelley est d’ailleurs traitée de monstre car elle a osé écrire !! Crescent Moon est un manga qui commence joliment avec un scénario intéressant, une édition de qualité avec un papier suffisamment épais pour ne pas voir au travers et surtout un auteur aussi doué en narration qu’en graphisme.
  3. poseidon2

    Kujô l'implacable tome 4

    Dur. Toujours très dur ces lectures de Kujo l'implacable. Et celle-ci l'est peut être encore plus. Je pensais que le coup du traitement des personnes âgées dans les maisons de retraites était horrible et bien autant vous dire que celle-ci relatant la galère "volontaire" d'une jeune fille abandonnés de tous, surtout de sa famille, tournant des films X pour se faire de l'argent et pour plaire à un homme, aux point de dégringoler dans la prostitution… c'est juste ouf et nous fait espérer que ces faits sont bien ... fictifs... Kujo n'est quasiment pas présent dans ce tome 4 tellement l'histoire de notre malheureuse héroïne est dense, triste et écœurante. Kujo devrait être bien plus partie prenante dans le prochain tome, prenant la défense de notre jeune fille. Reste que même sans lui et malgré un sentiment de dégoût constant, cette série prend aux tripes et "surprend" par la justesse des points de vue évoqués, quels qu'ils soient.
  4. Titre de l'album : Kujô l'implacable tome 4 Scenariste de l'album : Shôhei Manabe Dessinateur de l'album : Shôhei Manabe Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Kujô a pris en charge une nouvelle affaire : défendre Shizuku, une jeune femme qui a poignardé son petit-ami. Lors de leur entretien, elle décide de raconter pourquoi la mort de son petit-ami était le seul moyen pour qu'elle puisse « redevenir elle-même ». De son côté, Reiko Kameoka, une avocate de la même promotion que Kujô, compte bien mettre en lumière les abus des sociétés tournant des films pornographiques. Critique : Dur. Toujours très dur ces lectures de Kujo l'implacable. Et celle-ci l'est peut être encore plus. Je pensais que le coup du traitement des personnes âgées dans les maisons de retraites était horrible et bien autant vous dire que celle-ci relatant la galère "volontaire" d'une jeune fille abandonnés de tous, surtout de sa famille, tournant des films X pour se faire de l'argent et pour plaire à un homme, aux point de dégringoler dans la prostitution… c'est juste ouf et nous fait espérer que ces faits sont bien ... fictifs... Kujo n'est quasiment pas présent dans ce tome 4 tellement l'histoire de notre malheureuse héroïne est dense, triste et écœurante. Kujo devrait être bien plus partie prenante dans le prochain tome, prenant la défense de notre jeune fille. Reste que même sans lui et malgré un sentiment de dégoût constant, cette série prend aux tripes et "surprend" par la justesse des points de vue évoqués, quels qu'ils soient. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kujo-l-implacable-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Titre de l'album : Goblin slayer - Dai Katana tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : KAGYU Kumo Dessinateur de l'album : AOKI Shogo - Fukamizuiro , LACK Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : Préquel de Goblin Slayer se déroulant dix ans avant les événements de la série principale. Le Donjon de la mort, à l'extrémité nord du monde, est un labyrinthe souterrain imprenable semant la désolation. Un groupe de six aventuriers, à qui l'on octroiera plus tard le titre de héros, tentent de conquérir cet endroit. Des cendres et de la jeunesse pour cette adaptation en manga aux visuels redoutables. Découvrez les évènements qui ont eu lieu dix ans avant l'histoire principale de la série dark fantasy à succès, Goblin Slayer ! Comme à l'accoutumée, une nouvelle inédite de l'auteur Kumo Kagyu, viendra clore cette histoire ! Critique : Voici un nouveau spin-off de Goblin Slayer, celui-ci se déroulant 10 ans avant les événements de la série principale. On suit un groupe d’aventuriers débutants se rendant dans la cité érigée au-dessus du labyrinthe de la mort où se trouverait la source du mal. Si avec le temps beaucoup d’aventuriers se cantonnent aux premiers étages du donjon pour récupérer des richesses, quelques-uns ont encore la volonté de vouloir conquérir le donjon pour aller tuer le boss de fin. C’est le cas des personnages de ce spin-off. Arrivés à 3, ils font la connaissance, dans ces deux premiers tomes, des 3 autres membres qui formeront leur équipe. Le manga commence par les évènements de la fin puis qu’il montre un extrait du combat final, on revient ensuite sur le cheminement qui les as emmenés à ce stade. Le scénario est assez sombre et le graphisme rend bien l’ambiance de dark fantasy, il est détaillé, un peu chargé parfois mais il fait bien ressortir le climat inquiétant du donjon et les combats. Côté scénario, le côté sombre ressort très bien avec l’éphémérité de la vie des aventuriers et les réflexions des personnages qui sont conscients que tout peut basculer à n’importe quel moment. Je m’inquiète plus sur la durée de la série, à la fin du tome 2, l’escalier menant au 3eme niveau du donjon vient tout juste d’être découvert. Quand on sait que le boss final se trouve au dernier niveau et que souvent il y a 100 niveaux dans un donjon, je crains que le manga ne dure longtemps… En dehors de cette inquiétude, on a un bon scénario de dark fantasy même s’il n’est pas vraiment original. Le graphisme y a une part belle et apporte une réelle immersion dans l’histoire, reste à savoir si le déroulement va trainer en longueur ou sera aller à l’essentiel. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/goblin-slayer-tome-1-9782380716214?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Nickad

    La punition tomes 1 et 2

    Yôsuke est un jeune homme qui aime se faire entretenir et n’aime pas bosser. Pour faire court, c’est un gigolo qui se complait dans cette situation et en profite un maximum. Avec l’argent « de poche » qu’il reçoit de sa maitresse, Yôsuke batifole à droite et à gauche, mais il touche un jour aux filles d’un établissement où les relations sont interdites. Il reçoit la visite du dirigeant qui lui fait payer son comportement. Yôsuke se retrouve à la rue et décide de se squatter chez ce dernier mais il ne sait pas encore ce qui l’attend. Yôsuke est clairement un sale môme qui mérite une punition… Oh ! Oh ! le titre du manga est donc parfaitement bien choisi ! On n’est pas dans une histoire de BDSM mais plus dans une question d’éducation. D’un côté, il y a Yôsuke a toujours profité de tout et de tout le monde : il squatte chez ses amis, se fait inviter, ne paye rien, ne travaille pas… il profite complètement de la société et de ceux qui l’entoure et en plus il en est fier !! De l’autre il y a Sujuma, un chef d’entreprise qui aime que l’on respecte les règles. Il aime l’ordre, la propreté et surtout ne pas se laisser emmerder. Alors forcément l’arrivée de Yôsuke chez lui va quelque peu mettre le bazar et il est bien décidé à le dresser. La série est à réservée à un public adulte car ce qui se passe entre les deux personnages n’est pas vraiment moral. Cependant le scénario est riche et l’opposition entre les deux est intéressante. L’autrice prend son temps pour faire évoluer la relation entre les personnages et c’est tant mieux, cela permet de suivre leur cheminement psychologique et sentimental tout en introduisant de nouveaux personnages.
  7. Titre de l'album : La punition tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : HINAKO Dessinateur de l'album : HINAKO Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Yôsuke mène une vie de rêve en tant que gigolo : entretenu par une maîtresse , il vit dans son appartement, toutes ses dépenses sont payées et il a même de l'argent de poche. Mais Yôsuke, qui aime prendre des risques, est régulièrement infidèle à sa maîtresse. Un jour, Sujima, le propriétaire de l'établissement qu'il fréquente, et qui interdit à ses employées d'avoir des relations sexuelles avec les clients, découvre que Yôsuke a désobéi à ses règles en couchant avec plusieurs d'entre elles. Il décide donc de le punir en le violant et en lui mettant une ceinture de chasteté pour lui faire passer l'envie de recommencer. Mais lorsque Yôsuke se retrouve à la rue, jeté à la porte par sa maîtresse, il décide de retourner voir son violeur pour lui demander de lui enlever la ceinture... et aussi pour essayer de squatter chez lui. Critique : Yôsuke est un jeune homme qui aime se faire entretenir et n’aime pas bosser. Pour faire court, c’est un gigolo qui se complait dans cette situation et en profite un maximum. Avec l’argent « de poche » qu’il reçoit de sa maitresse, Yôsuke batifole à droite et à gauche, mais il touche un jour aux filles d’un établissement où les relations sont interdites. Il reçoit la visite du dirigeant qui lui fait payer son comportement. Yôsuke se retrouve à la rue et décide de se squatter chez ce dernier mais il ne sait pas encore ce qui l’attend. Yôsuke est clairement un sale môme qui mérite une punition… Oh ! Oh ! le titre du manga est donc parfaitement bien choisi ! On n’est pas dans une histoire de BDSM mais plus dans une question d’éducation. D’un côté, il y a Yôsuke a toujours profité de tout et de tout le monde : il squatte chez ses amis, se fait inviter, ne paye rien, ne travaille pas… il profite complètement de la société et de ceux qui l’entoure et en plus il en est fier !! De l’autre il y a Sujuma, un chef d’entreprise qui aime que l’on respecte les règles. Il aime l’ordre, la propreté et surtout ne pas se laisser emmerder. Alors forcément l’arrivée de Yôsuke chez lui va quelque peu mettre le bazar et il est bien décidé à le dresser. La série est à réservée à un public adulte car ce qui se passe entre les deux personnages n’est pas vraiment moral. Cependant le scénario est riche et l’opposition entre les deux est intéressante. L’autrice prend son temps pour faire évoluer la relation entre les personnages et c’est tant mieux, cela permet de suivre leur cheminement psychologique et sentimental tout en introduisant de nouveaux personnages. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-punition-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Titre de l'album : Dans le sens du vent - Nord, nord-ouest tome 6 Scenariste de l'album : IRIE Aki Dessinateur de l'album : IRIE Aki Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Kei Miyama, détective indépendant de 17 ans, vit avec son grand-père français en Islande. Il possède le pouvoir communiquer avec les appareils électriques et les automobiles. Sa vie bascule soudainement lorsqu'un détective japonais en congés sur l'île lui annonce l'assassinat de son oncle et sa tante par son propre frère. Qui croire ? Convaincu de l'innocence de ce dernier, il va mener l'enquête. Critique : Oh my god !! Ça ne peut pas commencer comme ça et ça ne peut pas finir comme ça !! Tout ce temps où j’attendais avec impatience la suite de ce manga n’aura pas été vain, je n’ai pas été déçue du voyage : j’ai même été cueillie au vol et je suis à présent à nouveau dans l’attente de la suite sans une certaine frénésie d’ailleurs ! Le début de tome est tout en émotion et même si les circonstances ne sont pas vraiment favorables à un épanchement, surtout pour un événement qui ne pouvait qu’arriver, on ne peut s’empêcher de ressentir de l’empathie pour les personnages. Je pense que cela vient du style de narration, il y a en même temps que de la retenue une façon d’effleurer les sentiments qui laisse sous-entendre plutôt que de montrer. C’est triste et beau, réservé et émouvant. Et puis arrive un certain retour à la réalité, la fuite, la colère présente mais dissimulée et une fin qui remet le déroulement en cause. Le récit ne se trouve jamais vraiment où on l’attend, l’autrice nous emmène une nouvelle fois vers des contrées inconnues, nous happe avec son graphisme fin et distingué, nous séduit et nous laisse dans l’attente fiévreuse d’une suite qui ne viendra pas tout de suite, alors on ne peut que savourer ce tome et y revenir une fois fini. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dans-le-sens-du-vent-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Oh my god !! Ça ne peut pas commencer comme ça et ça ne peut pas finir comme ça !! Tout ce temps où j’attendais avec impatience la suite de ce manga n’aura pas été vain, je n’ai pas été déçue du voyage : j’ai même été cueillie au vol et je suis à présent à nouveau dans l’attente de la suite sans une certaine frénésie d’ailleurs ! Le début de tome est tout en émotion et même si les circonstances ne sont pas vraiment favorables à un épanchement, surtout pour un événement qui ne pouvait qu’arriver, on ne peut s’empêcher de ressentir de l’empathie pour les personnages. Je pense que cela vient du style de narration, il y a en même temps que de la retenue une façon d’effleurer les sentiments qui laisse sous-entendre plutôt que de montrer. C’est triste et beau, réservé et émouvant. Et puis arrive un certain retour à la réalité, la fuite, la colère présente mais dissimulée et une fin qui remet le déroulement en cause. Le récit ne se trouve jamais vraiment où on l’attend, l’autrice nous emmène une nouvelle fois vers des contrées inconnues, nous happe avec son graphisme fin et distingué, nous séduit et nous laisse dans l’attente fiévreuse d’une suite qui ne viendra pas tout de suite, alors on ne peut que savourer ce tome et y revenir une fois fini.
  10. Subaru et Togo sont à présent ensembles. Les parents de Subaru s’inquiètent un peu de cette relation, non pas parce qu’il sort avec un homme mais plus car l’appartement de Togo n’est pas vraiment fait pour les personnes en fauteuil roulant et ils ont peur que Subaru ne se blesse. Au même moment Togo cherche en nouveau logement dans l’espoir d’emménager avec Subaru. La romance entre les protagonistes se poursuit et elle est toute mignonne. La rencontre avec les parents de Subaru permet au lecteur de prendre conscience de certaines difficultés de la vie de tous les jours pour les personnes à mobilité réduite. Le manga parle de cette situation avec beaucoup de simplicité sans jamais tomber dans l’apitoiement, cela le manga agréable à lire et cela permet également de ne pas cataloguer les gens handicapés. C’est juste une romance pure et sincère avec quelques aménagements et de beaux moments à vivre.
  11. Titre de l'album : Après avoir regardé le ciel étoilé tome 2 (fin) Scenariste de l'album : KIDA Bisco Dessinateur de l'album : KIDA Bisco Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Subaru est designer et se déplace en fauteuil roulant. Il doit créer le design d'une brochure pour un spectacle en planétarium en collaboration avec son photographe favori, Togo. Une fois son travail terminé, Subaru se rend à l'avant-première du projet et se retrouve face à Togo. Ils admirent ensemble le ciel étoilé, et Subaru sent son coeur battre la chamade... Critique : Subaru et Togo sont à présent ensembles. Les parents de Subaru s’inquiètent un peu de cette relation, non pas parce qu’il sort avec un homme mais plus car l’appartement de Togo n’est pas vraiment fait pour les personnes en fauteuil roulant et ils ont peur que Subaru ne se blesse. Au même moment Togo cherche en nouveau logement dans l’espoir d’emménager avec Subaru. La romance entre les protagonistes se poursuit et elle est toute mignonne. La rencontre avec les parents de Subaru permet au lecteur de prendre conscience de certaines difficultés de la vie de tous les jours pour les personnes à mobilité réduite. Le manga parle de cette situation avec beaucoup de simplicité sans jamais tomber dans l’apitoiement, cela le manga agréable à lire et cela permet également de ne pas cataloguer les gens handicapés. C’est juste une romance pure et sincère avec quelques aménagements et de beaux moments à vivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/apres-avoir-regarde-le-ciel-etoile-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Voici un nouveau spin-off de Goblin Slayer, celui-ci se déroulant 10 ans avant les événements de la série principale. On suit un groupe d’aventuriers débutants se rendant dans la cité érigée au-dessus du labyrinthe de la mort où se trouverait la source du mal. Si avec le temps beaucoup d’aventuriers se cantonnent aux premiers étages du donjon pour récupérer des richesses, quelques-uns ont encore la volonté de vouloir conquérir le donjon pour aller tuer le boss de fin. C’est le cas des personnages de ce spin-off. Arrivés à 3, ils font la connaissance, dans ces deux premiers tomes, des 3 autres membres qui formeront leur équipe. Le manga commence par les évènements de la fin puis qu’il montre un extrait du combat final, on revient ensuite sur le cheminement qui les as emmenés à ce stade. Le scénario est assez sombre et le graphisme rend bien l’ambiance de dark fantasy, il est détaillé, un peu chargé parfois mais il fait bien ressortir le climat inquiétant du donjon et les combats. Côté scénario, le côté sombre ressort très bien avec l’éphémérité de la vie des aventuriers et les réflexions des personnages qui sont conscients que tout peut basculer à n’importe quel moment. Je m’inquiète plus sur la durée de la série, à la fin du tome 2, l’escalier menant au 3eme niveau du donjon vient tout juste d’être découvert. Quand on sait que le boss final se trouve au dernier niveau et que souvent il y a 100 niveaux dans un donjon, je crains que le manga ne dure longtemps… En dehors de cette inquiétude, on a un bon scénario de dark fantasy même s’il n’est pas vraiment original. Le graphisme y a une part belle et apporte une réelle immersion dans l’histoire, reste à savoir si le déroulement va trainer en longueur ou sera aller à l’essentiel. A suivre.
  13. On sait à présent qui est le chef de ceux qui ont des pouvoirs : Haretake Tsuchimikado ! Mais lui aussi semble être sous l’influence d’une entité mystérieuse. Konosuke a trouvé des alliés et il est prêt à tout pour retrouver sa femme. En chemin, il tombe sur un drôle de personnage et doit jouer dans un tripot. Depuis le 4eme tome, la série a un regain d’intérêt. Avec les explications qui arrivent, on cerne mieux la situation et les personnages. On comprend également mieux ce qui se passe et ce que Konosuke doit faire. Cependant, l’histoire reste quand même très complexe, très fantastique et très originale. Si j’ai un conseil à vous donner, c’est de lire plusieurs tomes à la suite, trop de temps entre deux tomes peut vite perdre le lecteur.
  14. Titre de l'album : La danse du soleil et de la lune tome 5 Scenariste de l'album : MATSUURA Daruma Dessinateur de l'album : MATSUURA Daruma Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Un samourai? sans sabre, une mystérieuse fiancée... Découvrez le nouveau conte fantastique de Daruma Matsuura (Kasane) ! À bout de forces, Konosuke et Aki sont recueillis par Katsuma, un puissant maître du yin et du yang. L'homme n'est autre que l'ancien professeur de Haretake Tsuchimikado, le commanditaire de l'enlèvement de Tsuki ! Conscient d'être en partie responsable du malheur de ses hôtes, il leur raconte ce qu'il sait de leur ennemi... Haretake aurait dû mourir quand il était enfant, brisé par un pouvoir trop grand pour lui, mais son père a pratiqué un sort interdit pour le ramener à la vie. Depuis, une sombre présence grandit dans l'esprit du jeune garçon... et, sans s'en douter, Konosuke se dresse sur son chemin ! Critique : On sait à présent qui est le chef de ceux qui ont des pouvoirs : Haretake Tsuchimikado ! Mais lui aussi semble être sous l’influence d’une entité mystérieuse. Konosuke a trouvé des alliés et il est prêt à tout pour retrouver sa femme. En chemin, il tombe sur un drôle de personnage et doit jouer dans un tripot. Depuis le 4eme tome, la série a un regain d’intérêt. Avec les explications qui arrivent, on cerne mieux la situation et les personnages. On comprend également mieux ce qui se passe et ce que Konosuke doit faire. Cependant, l’histoire reste quand même très complexe, très fantastique et très originale. Si j’ai un conseil à vous donner, c’est de lire plusieurs tomes à la suite, trop de temps entre deux tomes peut vite perdre le lecteur. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-danse-du-soleil-et-de-la-lune-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nickad

    B-Side tome 2

    Rui a survécu à sa chute mais il aura plusieurs mois de convalescence. Deux événements vont alors changer la situation, le premier c’est que son grand-père autoritaire ne veut plus de lui comme disciple. Le deuxième c’est que l’influence de Ludwig lui a donné une nouvelle motivation et un objectif à accomplir : écrire une symphonie. Ce qu’il faut garder en tête lors de la lecture c’est que Beethoven n’est pas célèbre dans le monde du livre, du coup, vouloir jouer un de ses morceaux revient à jouer un artiste limite inconnu. Si au départ, Rui ne faisait qu’entendre puis voir l’esprit de Ludwig, on sent que la limite entre les deux devient de plus en plus incertaine, au point que parfois Rui n’est plus lui-même. En plus d’un scénario original et intéressant, le gros point fort de ce manga est le graphisme. La présence de l’esprit/fantôme de Beethoven est bien compréhensible et l’on voit clairement ses interactions avec Rui. Mais ce qui est encore plus fort, c’est de pouvoir s’immerger dans le processus de création musicale, même si on n’entend pas les notes, on ressent les effets que cela a sur les différents personnages. Un manga à découvrir et à suivre !
  16. Nickad

    B-Side tome 2

    Titre de l'album : B-Side tome 2 Scenariste de l'album : HIRAI Cocoro Dessinateur de l'album : HIRAI Cocoro Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Beethoven n'a pas dit son dernier mot ! Rui a commencé à jouer et à composer pour Jiang, le groupe de son frère. Après le succès de la première représentation, il se lance à corps perdu dans ce projet, mais tout s'effondre avec le décès brutal de Yugo, victime d'une crise cardiaque... Quand le jeune violoniste prend conscience, pendant un concours, qu'il n'entendra plus jamais la musique de son frère, il quitte la scène, monte sur le toit du bâtiment et se jette dans le vide. Son passager fantomatique le convainc cependant de s'accrocher à la vie... Rui est de retour, et il a une symphonie à créer ! Face A : l'artiste en devenir / Face B : le fantôme de Beethoven ! Découvrez l'improbable tandem formé par un fantôme prisonnier de son ambition et un jeune homme avide de liberté. Dans sa nouvelle œuvre, Cocoro Hirai ( Les Temps retrouvés, Sous un ciel nouveau) fait exploser la musique et les émotions à l'image ! Critique : Rui a survécu à sa chute mais il aura plusieurs mois de convalescence. Deux événements vont alors changer la situation, le premier c’est que son grand-père autoritaire ne veut plus de lui comme disciple. Le deuxième c’est que l’influence de Ludwig lui a donné une nouvelle motivation et un objectif à accomplir : écrire une symphonie. Ce qu’il faut garder en tête lors de la lecture c’est que Beethoven n’est pas célèbre dans le monde du livre, du coup, vouloir jouer un de ses morceaux revient à jouer un artiste limite inconnu. Si au départ, Rui ne faisait qu’entendre puis voir l’esprit de Ludwig, on sent que la limite entre les deux devient de plus en plus incertaine, au point que parfois Rui n’est plus lui-même. En plus d’un scénario original et intéressant, le gros point fort de ce manga est le graphisme. La présence de l’esprit/fantôme de Beethoven est bien compréhensible et l’on voit clairement ses interactions avec Rui. Mais ce qui est encore plus fort, c’est de pouvoir s’immerger dans le processus de création musicale, même si on n’entend pas les notes, on ressent les effets que cela a sur les différents personnages. Un manga à découvrir et à suivre ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/b-side-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    Gestalt tome 3 (fin)

    Comme je le présentais au tome 2 en voyant la différence par rapport au 1er tome, le 3e reste dans la lignée : en chute libre ! Vous n’obtiendrez aucune explication, ni qui sont vraiment les messagers et la dame de la destruction, ni d’où viennent les pouvoirs, comment ils sont attribués, à quoi ils sont vraiment censés servi ; etc… Bref une histoire fourre-tout qui part dans tous les sens et qui n’a même pas de vraie fin. Certains mangas laissent une porte ouverte, ici, c’est un boulevard !! Ou l’auteur n’a pas su gérer ses ambitions de départ, qui étaient plutôt pas mal avec un petit air de Gantz ou il s’est retrouvé à devoir boucler la série en 3 volumes ce qui était clairement impossible à faire au vu des éléments du 1er tome. Saluons quand même l’effort graphique avec des scènes d’actions dynamiques (et peu incompréhensibles vu la quantité de pouvoirs qui existe) et la grande imagination de l’auteur. Vu que c’était sa 1ère œuvre, espérons qu’il s’entourera d’un bon manager pour l’aider à canaliser toutes ses idées pour la suivante. En attendant, passez votre chemin !
  18. Titre de l'album : Gestalt tome 3 (fin) Scenariste de l'album : YÔTÔ Ringo Dessinateur de l'album : YÔTÔ Ringo Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Pour réinitialiser l'humanité, appuyez ici. Tandis que Soso et ses compagnons tentent de trouver une solution pour retourner chez eux sans anéantir l'humanité, d'étranges individus aux allures d'anges apparaissent... et s'en prennent à eux ! En effet, ces nouveaux ennemis ont pour mission de les éliminer afin de protéger les humains... Très vite, deux camps se forment : certains élus décident d'embrasser la cause de la dame de la destruction, tandis que d'autres essaient au contraire de se rebeller et de la combattre... Soso et Hanami parviendront-ils à s'opposer à une divinité ? Avec ce troisième et dernier volume de Gestalt, plongez dans un récit bourré d'action mené par le talentueux Yoto Ringo ! Critique : Comme je le présentais au tome 2 en voyant la différence par rapport au 1er tome, le 3e reste dans la lignée : en chute libre ! Vous n’obtiendrez aucune explication, ni qui sont vraiment les messagers et la dame de la destruction, ni d’où viennent les pouvoirs, comment ils sont attribués, à quoi ils sont vraiment censés servi ; etc… Bref une histoire fourre-tout qui part dans tous les sens et qui n’a même pas de vraie fin. Certains mangas laissent une porte ouverte, ici, c’est un boulevard !! Ou l’auteur n’a pas su gérer ses ambitions de départ, qui étaient plutôt pas mal avec un petit air de Gantz ou il s’est retrouvé à devoir boucler la série en 3 volumes ce qui était clairement impossible à faire au vu des éléments du 1er tome. Saluons quand même l’effort graphique avec des scènes d’actions dynamiques (et peu incompréhensibles vu la quantité de pouvoirs qui existe) et la grande imagination de l’auteur. Vu que c’était sa 1ère œuvre, espérons qu’il s’entourera d’un bon manager pour l’aider à canaliser toutes ses idées pour la suivante. En attendant, passez votre chemin ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gestalt-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Rascal does not dream est une série de light novels, logical witch est le 3e opus, fini en 2 tomes. Chaque arc met en scène un problème particulier ; si le personnage principal reste le même : Sakuta Azusagawa, lycéen, la problématique change. Cela signifie que l’on peut lire les séries indépendamment même si c’est plus facile d’avoir lu les autres car il y a par moment des références liées aux événements passés. Sakuta et sa sœur ont vécu des événements étranges à l’adolescence, ce que l’on appelle le « syndrome de la puberté » qui se manifeste différemment selon les personnes, provoque des situations paranormales et sont provoqués par des problèmes souvent psychologiques. Chaque opus est une rencontre entre Sakuta et un autre personnage souffrant du syndrome. Ici, il s’agit de son amie Futaba qui souffre d’un dédoublement, un doppelgänger en quelque sorte. La série est plutôt sympathique et propose beaucoup d’innovations. Son plus gros problème est le temps entre deux opus (enfin, dans la parution française), on a le temps d’oublier un peu ce qui s’est passé (le second arc remonte à 3 ans). Une série à découvrir.
  20. Titre de l'album : Rascal does not dream of logical witch tome 1 Scenariste de l'album : KAMOSHIDA Hajime Dessinateur de l'album : AKINA Tsukako Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Après avoir réussi à trouver une solution heureuse au problème de Koga, Sakuta compte bien profiter des vacances d'été pour passer du temps avec sa petite amie, la grande actrice Mai Sakurajima. Malheureusement, le planning chargé de cette dernière leur laisse peu d'opportunités... Un soir qu'ils réussissent enfin à se retrouver un peu, ils aperçoivent Futaba, l'amie de Sakuta, qui pénètre seule dans un net café. Sauf qu'il est justement en plein appel téléphonique avec ce qui semble être une tout autre Futaba, un double ! Critique : Rascal does not dream est une série de light novels, logical witch est le 3e opus, fini en 2 tomes. Chaque arc met en scène un problème particulier ; si le personnage principal reste le même : Sakuta Azusagawa, lycéen, la problématique change. Cela signifie que l’on peut lire les séries indépendamment même si c’est plus facile d’avoir lu les autres car il y a par moment des références liées aux événements passés. Sakuta et sa sœur ont vécu des événements étranges à l’adolescence, ce que l’on appelle le « syndrome de la puberté » qui se manifeste différemment selon les personnes, provoque des situations paranormales et sont provoqués par des problèmes souvent psychologiques. Chaque opus est une rencontre entre Sakuta et un autre personnage souffrant du syndrome. Ici, il s’agit de son amie Futaba qui souffre d’un dédoublement, un doppelgänger en quelque sorte. La série est plutôt sympathique et propose beaucoup d’innovations. Son plus gros problème est le temps entre deux opus (enfin, dans la parution française), on a le temps d’oublier un peu ce qui s’est passé (le second arc remonte à 3 ans). Une série à découvrir. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rascal-does-not-dream-of-logical-witch-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Nickad

    Burn the house down tome 3

    Anzu pensait avoir apprivoisé Kiichi mais voilà que la situation s’inverse : non seulement il a compris qui elle était mais il a aussi une vidéo d’elle en train de fouiller dans les affaires de la mère. Elle n’a pas d’autre choix que de se plier à ses exigences. La tension monte mais en même temps on se rapproche d’une certaine vérité, laquelle ? Il se peut que le scénario nous réserve des surprises. En même temps, les efforts d’Anzu ont commencé à porter leurs fruits, avec le retour de boucles d’oreille, sa mère retrouve peu à peu la mémoire. On va de surprise en surprise, on découvre aussi le père mais son comportement est assez suspect : d’un côté il semble être content de retrouver sa cadette mais de l’autre il n’a pas donné de nouvelles depuis treize ans. On ne sait vraiment pas ce qui va se passer et c’est très bien ainsi ! le suspense est à son comble et on veut vraiment en savoir plus.
  22. Titre de l'album : Burn the house down tome 3 Scenariste de l'album : FUJISAWA Moyashi Dessinateur de l'album : FUJISAWA Moyashi Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Entre jalousie, vengeance et secrets, laissez-vous embarquer par Burn the House Down, un manga haletant qui, au fil de ses nombreux rebondissements, ne cessera de vous surprendre ! Anzu a été démasquée par Kiichi ! Elle qui pensait que le jeune homme était inoffensif se retrouve en bien mauvaise posture. Pour se justifier, elle tente de cacher les raisons de sa présence, mais le fils de Makiko Mitarai n'est pas dupe. Anzu n'a alors plus d'autre choix que de lui dévoiler une partie de la vérité. Sa vie prend alors un tournant plus dangereux que jamais... Critique : Anzu pensait avoir apprivoisé Kiichi mais voilà que la situation s’inverse : non seulement il a compris qui elle était mais il a aussi une vidéo d’elle en train de fouiller dans les affaires de la mère. Elle n’a pas d’autre choix que de se plier à ses exigences. La tension monte mais en même temps on se rapproche d’une certaine vérité, laquelle ? Il se peut que le scénario nous réserve des surprises. En même temps, les efforts d’Anzu ont commencé à porter leurs fruits, avec le retour de boucles d’oreille, sa mère retrouve peu à peu la mémoire. On va de surprise en surprise, on découvre aussi le père mais son comportement est assez suspect : d’un côté il semble être content de retrouver sa cadette mais de l’autre il n’a pas donné de nouvelles depuis treize ans. On ne sait vraiment pas ce qui va se passer et c’est très bien ainsi ! le suspense est à son comble et on veut vraiment en savoir plus. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/burn-the-house-down-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Titre de l'album : Shadow of the ring tome 2 Scenariste de l'album : NAKAGAWA Kaiji Dessinateur de l'album : NAKAGAWA Kaiji Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Loin de ces considérations politiques, la petite Kamalu ne souhaite qu'une chose, venger la mort de son frère Bulan. Elle décide donc de quitter son foyer pour se lancer à la poursuite du meurtrier... Une ethnie nomade dotée d'une culture aussi étrange que fascinante, une route enveloppée par une nuit éternelle, d'étonnantes armes polymorphes... Après Route End et ses meurtres en série, le talentueux Kaiji Nakagawa est de retour dans un univers de fantasy unique en son genre ! Entre complots et conflits larvés, le peuple de l'ombre trouvera-t-il son chemin ? Critique : Dans le 1er tome, on avait besoin de se familiariser avec ce nouvel univers, qui était d’ailleurs prometteur. Ce second volume me laisse un peu perplexe. D’abord ; il y a de nouveaux pays avec de nouveaux personnages : on a du mal à bien comprendre qui est avec qui et quelles sont les relations entre les différents pays. Ensuite, il y a les armes, des sortes de tenues de combat qui se ressemblent toutes : ce qui fait qu’entre deux combattants, ce n’est pas toujours aisé de les reconnaitre. On a un peu l’impression d’être jeté au milieu du livre sans avoir lu le début : on arrive directement dans l’action, au cœur d’un conflit. D’un côté c’est bien car on n’a pas une introduction interminable mais de l’autre, vu que l’on se trouve dans un univers complétement inédit, on a du mal à s’immerger sans un minimum de connaissance. Je regrette également le survol des personnages : on n’a pas vraiment le temps de les connaitre. Pour le moment, le lecteur reste un spectateur ; il y a peut-être trop d’informations d’un coup, on a à peine le temps de découvrir le pays de Keiju que l’on part déjà dans un autre décor. Pour le moment, l’histoire ne m’a pas convaincue et a du mal à capter mon attention. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/shadow-of-the-ring-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Nickad

    My home hero tome 17

    Une critique de Yuki.Kanzaki Kubo, totalement déchaîné, massacre un à un tous les habitants du village. Tetsuo, se sentant coupable de ce qui est en train d’arriver, prend la décision d’arrêter Kubo...Même s’il doit y perdre la vie! Enfin la fin du volet sur le village de Kasen !! Il était temps ! Après des tomes assez longs et ennuyants, ce 17e volume est, lui, assez entraînant: je n’ai pas vu le temps passer. Il y a une véritable réflexion sur la portée et la valeur des actions de Tetsuo, et sur sa possible rédemption. Un questionnement sur ce qu’est le meurtre et pourquoi on le fait. Enfin, la fin de ce tome annonce l’arc final de la série qui se déroulera 7 ans plus tard...de quoi nous intriguer! Un tome sympathique et entraînant comparé aux autres tomes de l’arc du village, mais en-dessous du début de la saga.
  25. Titre de l'album : My home hero tome 17 Scenariste de l'album : YAMAKAWA Naoki Dessinateur de l'album : ASAKI Masashi Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : Que seriez-vous prêt à faire pour protéger votre famille ? Je suis... un véritable démon ! Critique : Une critique de Yuki.Kanzaki Kubo, totalement déchaîné, massacre un à un tous les habitants du village. Tetsuo, se sentant coupable de ce qui est en train d’arriver, prend la décision d’arrêter Kubo...Même s’il doit y perdre la vie! Enfin la fin du volet sur le village de Kasen !! Il était temps ! Après des tomes assez longs et ennuyants, ce 17e volume est, lui, assez entraînant: je n’ai pas vu le temps passer. Il y a une véritable réflexion sur la portée et la valeur des actions de Tetsuo, et sur sa possible rédemption. Un questionnement sur ce qu’est le meurtre et pourquoi on le fait. Enfin, la fin de ce tome annonce l’arc final de la série qui se déroulera 7 ans plus tard...de quoi nous intriguer! Un tome sympathique et entraînant comparé aux autres tomes de l’arc du village, mais en-dessous du début de la saga. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/my-home-hero-tome-17?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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