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  1. Titre de l'album : Hellfire messenger tome 2 Scenariste de l'album : SATÔ Dessinateur de l'album : MIYAGI Morinari Coloriste : Editeur de l'album : Michel Lafon Note : Résumé de l'album : Pour protéger la princesse Primavera, Flare affronte l'ange Morié. Mis en difficulté par la puissance écrasante de l'envoyé céleste, le jeune exorciste doit puiser dans la force des flammes de l'enfer. Au risque de réveiller un démon sommeillant en lui. Mais ce n'est pas la seule menace qui plane sur le petit groupe, car une ombre inquiétante les observe... Critique : Flare qui a été engagé par la princesses Primavera (Prim) pour la protéger se retrouve aux prises avec un ange venu assassiner Prim. C’est au cours de cet affrontement qu’il commence à découvrir ses capacités et les différentes façons d’utiliser ses flammes, c’est là aussi qu’il entend une voix dans sa tête qui semble pouvoir lui apporter plus de puissance. Flare et un personnage qui a beaucoup de naïveté, d’abord parce qu’il a grandi dans un village isolé ensuite parce que le monde a changé (il s’est écoulé 1000 ans !). Il a sur le monde un regard enfantin qui découvre mais qui ne juge pas. Comme il a plus tendance à poser des questions, il ne panique pas face aux diverses situations et aux attaques, il a un petit côté décalé inattendu qui apporte beaucoup de légèreté à l’histoire. Et son côté innocent plaît beaucoup car il y a aussi de la romane dans l’air. Hellfire messenger est un shonen d’aventure où humour et romance s’invitent et heureusement car sinon, il y aurait un risque que cela devienne une accumulation de combats. Pour le moment il y a un bon équilibre qui rend le manga agréable à lire. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hellfire-messenger-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Nickad

    Failure Frame tome 5

    L’ordre des dragons noirs a été vaincu, Tôka et Seras se dirigent vers le nid des monstres aux yeux dorés dans l’espoir de trouver un moyen de vaincre la déesse Vicius. Pendant ce temps, les camarades de classe de Tôka s’entrainent et à part la déléguée Sogô, les autres font peu cas de ceux qui sont inférieurs au rang A. Certains ont pris la grosse tête et commencent à traiter les êtres inférieurs comme des déchets. Quand il s’agit de tuer ou être tuer et que l’on tue son ennemi, plusieurs questions se posent alors, faut-il le faire franchement sans aucune hésitation ? Est-ce que cela fait de nous une personne mauvaise ? Faut-il abandonner tout sentiment lorsque l’on fait la guerre ? On peut aussi se demander s’il vaut mieux s’adapter au nouveau monde dans lequel on se trouve ou se lâcher complétement justement parce que ce monde n’est pas le nôtre. Dis comme ça, on a l’impression que cela n’a rien à voir avec le manga mais c’est pourtant le genre de réflexion qui me sont venues en le lisant et en voyant le comportement des protagonistes. Alors est-ce moi qui réfléchit trop ou est-ce qu’il y a des messages à trouver dans cette histoire ? Si l’on s’en tient au récit pur, c’est un isekai d’heroic fantasy où les personnages sont assez égocentriques (pour la majorité d’entre eux) et cherchent avant tout à accomplir leurs envies que de sauver vraiment le monde. Cela apporte un côté sombre, pas forcément très reluisant mais peut-être plus proche de la nature humaine et permet au manga d’avoir une identité propre. A suivre
  3. Titre de l'album : Failure Frame tome 5 Scenariste de l'album : SHINOZAKI Kaoru Dessinateur de l'album : UYOSHI Shô Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Leur objectif : le repaire de la Sorcière des Tabous... Grâce aux instructions de la Déesse, les anciens camarades de Tôka gagnent progressivement en puissance. Parmi eux, Kirihara, Oyamada et Yasu sont de plus en plus arrogants et ivres de pouvoir. Mais la remplaçante de la Déesse saura les remettre à leur juste place... De son côté, Tôka a vaincu le plus puissant des humains et s'aventure vers le Nid des Monstres aux Yeux Dorés en compagnie de Seras, afin de dénicher la Sorcière des Tabous. Je ne suis pas un héros œuvrant pour le bien. Me qualifier de démon serait même plus approprié. Critique : L’ordre des dragons noirs a été vaincu, Tôka et Seras se dirigent vers le nid des monstres aux yeux dorés dans l’espoir de trouver un moyen de vaincre la déesse Vicius. Pendant ce temps, les camarades de classe de Tôka s’entrainent et à part la déléguée Sogô, les autres font peu cas de ceux qui sont inférieurs au rang A. Certains ont pris la grosse tête et commencent à traiter les êtres inférieurs comme des déchets. Quand il s’agit de tuer ou être tuer et que l’on tue son ennemi, plusieurs questions se posent alors, faut-il le faire franchement sans aucune hésitation ? Est-ce que cela fait de nous une personne mauvaise ? Faut-il abandonner tout sentiment lorsque l’on fait la guerre ? On peut aussi se demander s’il vaut mieux s’adapter au nouveau monde dans lequel on se trouve ou se lâcher complétement justement parce que ce monde n’est pas le nôtre. Dis comme ça, on a l’impression que cela n’a rien à voir avec le manga mais c’est pourtant le genre de réflexion qui me sont venues en le lisant et en voyant le comportement des protagonistes. Alors est-ce moi qui réfléchit trop ou est-ce qu’il y a des messages à trouver dans cette histoire ? Si l’on s’en tient au récit pur, c’est un isekai d’heroic fantasy où les personnages sont assez égocentriques (pour la majorité d’entre eux) et cherchent avant tout à accomplir leurs envies que de sauver vraiment le monde. Cela apporte un côté sombre, pas forcément très reluisant mais peut-être plus proche de la nature humaine et permet au manga d’avoir une identité propre. A suivre Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/failure-frame-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Kozakura sait à présent concilier ses chats et ses jeux vidéo, elle a appris leurs manies et peut éviter leurs interactions quand ceux-ci essayent de l’empêcher de jouer. Puis arrive un moment important pour elle, il est temps qu’elle pense à ce qu’elle veut vraiment et à ce qui est le plus important. Et cette décision clôturera la série. Pour être tout à fait honnête, ce dernier tome n’est pas très intéressant et l’on aurait pu s’en passer. J’apprécie quand même l’effort de l’auteur d’avoir fait une conclusion car ce genre de série peut durer très longtemps. On retiendra que la série était sympathique, agréable, parfois drôle, elle a su nous divertir et nous apporter une dose de mignonnerie. Tous ceux qui ont des animaux domestiques ont dû se reconnaître à un moment ou un autre, surtout ceux qui ont des chats. Un manga gentillet qui se lit facilement et qui apporte une dose de positif et de bonne humeur.
  5. Titre de l'album : La gameuse et son chat tome 8 (fin) Scenariste de l'album : NADATANI Wataru Dessinateur de l'album : NADATANI Wataru Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Comment survivre à l'arrivée d'un chat quand on ne vit que pour les jeux vidéo ? Ses journées de gameuse tournent maintenant toutes autour de ses deux chats. Sans qu'elle ne s'en aperçoive, ils sont devenus sa plus grande source de joie! Mais où se trouve vraiment le bonheur de Kozakura? Critique : Kozakura sait à présent concilier ses chats et ses jeux vidéo, elle a appris leurs manies et peut éviter leurs interactions quand ceux-ci essayent de l’empêcher de jouer. Puis arrive un moment important pour elle, il est temps qu’elle pense à ce qu’elle veut vraiment et à ce qui est le plus important. Et cette décision clôturera la série. Pour être tout à fait honnête, ce dernier tome n’est pas très intéressant et l’on aurait pu s’en passer. J’apprécie quand même l’effort de l’auteur d’avoir fait une conclusion car ce genre de série peut durer très longtemps. On retiendra que la série était sympathique, agréable, parfois drôle, elle a su nous divertir et nous apporter une dose de mignonnerie. Tous ceux qui ont des animaux domestiques ont dû se reconnaître à un moment ou un autre, surtout ceux qui ont des chats. Un manga gentillet qui se lit facilement et qui apporte une dose de positif et de bonne humeur. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-gameuse-et-son-chat-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Léon décide de se rendre sur le front pour soigner les blessés de l’armée de Lavarta, de son côté Zechs avec la rébellion ont pris la ville de Maha et ils tiennent le fort mais sans aide, ils ne pourront pas tenir longtemps. C’est à ce moment qu’Aster part pour le royaume d’Hermine pour négocier. Ils acceptent l’alliance à deux conditions : la première c’est de répandre les techniques des sorciers dans leur pays, la seconde d’éradiquer le village d’Arca, proche de leur frontière. Toujours superbement illustré, le manga reste prenant. Zechs est en proie au doute, il voit en rêve les fantômes de ses victimes et bien qu’il sache que ce mal est nécessaire pour leur cause, il ne peut s’empêcher de se poser des questions. De son côté, Leon se rapproche, mais on ne sait pas vraiment quelles sont ses intentions par rapport à son disciple. Si l’action est mesurée dans ce tome, c’est la psychologie qui domine et qui nous permet de voir les ravages de la guerre. Impossible pour le moment de savoir où l’on va, et devant la situation de nos héros, on ne peut qu’espérer qu’une solution « pacifique » arrive pour ne pas les voir s’affronter.
  7. Titre de l'album : Les tisserands de la vérité tome 5 Scenariste de l'album : SATO Sakura Dessinateur de l'album : INUDUKA Hiro Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Leon part rejoindre le champ de bataille et Zechs s'apprête à participer à sa plus grande bataille. Que l'avenir réserve au maître et à son ancien disciple ? Critique : Léon décide de se rendre sur le front pour soigner les blessés de l’armée de Lavarta, de son côté Zechs avec la rébellion ont pris la ville de Maha et ils tiennent le fort mais sans aide, ils ne pourront pas tenir longtemps. C’est à ce moment qu’Aster part pour le royaume d’Hermine pour négocier. Ils acceptent l’alliance à deux conditions : la première c’est de répandre les techniques des sorciers dans leur pays, la seconde d’éradiquer le village d’Arca, proche de leur frontière. Toujours superbement illustré, le manga reste prenant. Zechs est en proie au doute, il voit en rêve les fantômes de ses victimes et bien qu’il sache que ce mal est nécessaire pour leur cause, il ne peut s’empêcher de se poser des questions. De son côté, Leon se rapproche, mais on ne sait pas vraiment quelles sont ses intentions par rapport à son disciple. Si l’action est mesurée dans ce tome, c’est la psychologie qui domine et qui nous permet de voir les ravages de la guerre. Impossible pour le moment de savoir où l’on va, et devant la situation de nos héros, on ne peut qu’espérer qu’une solution « pacifique » arrive pour ne pas les voir s’affronter. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-tisserands-de-la-verite-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. poseidon2

    Fire force t27

    Si la série Fire force était déjà une très bonne série durant son début et son développement, je dois bien avouer que la fin de la série est elle carrément excellente ! Le 26 était déjà très bon, mais ce 27... fiou je ne trouve rien à y redire ! Plus que de l'action, il nous révèle ce qu'il va se passer avec la fusion des mondes, mais il nous fait surtout nous mordre les doigts sur le piège tendu par le grand prédicateur. Piège dans lequel Shinra fonce tête baissée. Entre tension, émotion et pression, ce tome 27 nous transporte comme un des membres de la huitième brigade et nous promet 7 prochains tomes exceptionnels. Il va juste être difficile de les lire un par un 😞
  9. poseidon2

    Fire force t27

    Titre de l'album : Fire force t27 Scenariste de l'album : Atsushi Ohkubo Dessinateur de l'album : Atsushi Ohkubo Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Quel destin Shinra porte-t-il donc sur ses épaules ? Et quelle est la vérité sur sa naissance et celle de son frère Shô ? Alors que ce dernier, accompagné d'Arrow, mène une enquête sur le mystérieux secret concernant sa famille, il retrouve, par le biais de l'Adora Link, sa mère Mari devenue une Torche humaine. Quelle décision le jeune homme va-t-il prendre après avoir découvert toute la vérité ?! Au même moment, un huitième pilier apparaît dans la baie de Tama et le titan Raffless I descend du ciel, menaçant l'empire plongé dans le désespoir. Alors que tout le peuple tremble devant le châtiment céleste, le combat commence entre deux messies : le jeune héros Shinra face au père fondateur de l'église du Saint-Soleil ! Shinra va faire obstacle à Fairy et à l'escouade du Cataclysme, et découvrir ce qu'est un véritable héros !! Les deux frères Kusakabe vont-ils enfin se retrouver ?! Critique : Si la série Fire force était déjà une très bonne série durant son début et son développement, je dois bien avouer que la fin de la série est elle carrément excellente ! Le 26 était déjà très bon, mais ce 27... fiou je ne trouve rien à y redire ! Plus que de l'action, il nous révèle ce qu'il va se passer avec la fusion des mondes, mais il nous fait surtout nous mordre les doigts sur le piège tendu par le grand prédicateur. Piège dans lequel Shinra fonce tête baissée. Entre tension, émotion et pression, ce tome 27 nous transporte comme un des membres de la huitième brigade et nous promet 7 prochains tomes exceptionnels. Il va juste être difficile de les lire un par un 😞 Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/fire-force-tome-27?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Toujours dans l’optique de faire reconnaitre la classe de dresseur, Valius passe le concours d’entrée de l’académie d’élite, il finit major avec des scores encore jamais vu. En parallèle, il s’inscrit à la guilde des aventuriers et commence sa première quête. C’est là qu’il rencontre Artemis, une sélénite, qui lui permet de récupérer des pouvoirs divins. Dans ma critique précédente, j’avais dit qu’il fallait attendre la suite pour se prononcer sur l’intérêt de la série. C’est plutôt un point négatif sui se profile : Valius utilise sa magie et ses sorts, il est tellement fort, que finalement être dresseur n’apporte rien de plus. Il ne rencontre aucune difficulté devant lui (ou les règle en claquant des doigts, façon de parler bien sûr) et en plus peut se rendre de la Terre à la Lune aussi facilement que s’il franchissait une porte ! Quant à la partie dresseur, elle est plutôt mise de côté dans ces deux tomes. Graphiquement parlant, s’il y a des idées intéressantes, notamment dans la mise en scène des combats, le manga pêche sur les personnages. Il y a des problèmes de proportion et l’auteur a tendance à aller à la facilité : il ne se donne pas toujours la peine de dessiner les deux yeux de ses héros ; un dessin globalement encore assez jeune. Une lecture finalement pas très passionnante, voir assez quelconque qui ne restera pas dans les annales.
  11. Titre de l'album : Dresseur dans un autre monde tomes 2 et 3 Scenariste de l'album : YOSHIGAE Tamaki Dessinateur de l'album : RHYTHM Niwa / KATTO Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Varius poursuit sa progression phénoménale et de nouveaux combats épiques s'annoncent ! Critique : Toujours dans l’optique de faire reconnaitre la classe de dresseur, Valius passe le concours d’entrée de l’académie d’élite, il finit major avec des scores encore jamais vu. En parallèle, il s’inscrit à la guilde des aventuriers et commence sa première quête. C’est là qu’il rencontre Artemis, une sélénite, qui lui permet de récupérer des pouvoirs divins. Dans ma critique précédente, j’avais dit qu’il fallait attendre la suite pour se prononcer sur l’intérêt de la série. C’est plutôt un point négatif sui se profile : Valius utilise sa magie et ses sorts, il est tellement fort, que finalement être dresseur n’apporte rien de plus. Il ne rencontre aucune difficulté devant lui (ou les règle en claquant des doigts, façon de parler bien sûr) et en plus peut se rendre de la Terre à la Lune aussi facilement que s’il franchissait une porte ! Quant à la partie dresseur, elle est plutôt mise de côté dans ces deux tomes. Graphiquement parlant, s’il y a des idées intéressantes, notamment dans la mise en scène des combats, le manga pêche sur les personnages. Il y a des problèmes de proportion et l’auteur a tendance à aller à la facilité : il ne se donne pas toujours la peine de dessiner les deux yeux de ses héros ; un dessin globalement encore assez jeune. Une lecture finalement pas très passionnante, voir assez quelconque qui ne restera pas dans les annales. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dresseur-dans-un-autre-monde-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Nickad

    Slice of life tome 2

    Naruhiko fait pour la 1ère fois face à ses fans ! D’abord avec une fillette de 10 ans amoureuse d’un des personnages du manga et qui est complétement obsédée même au point de menacer les autres fans. Ensuite parce qu’il doit se rendre à Tokyo pour sa 1ère séance de dédicaces, une première pour lui car malgré ses 10 ans de carrière, on ne lui avait encore jamais proposé. C’est une épreuve de taille pour le mangaka qui non seulement doute beaucoup de lui-même lais qui n’a jamais vraiment quitté sa petite ile. J’avoue que ce second tome m’a bien fait rire, la jeune fan de 10 ans est assez extrême, on comprend mieux les comportements d’hystériques que l’on voit parfois à la télé. Et puis il y a le duo de Naruhiko et de son jeune assistant Toshi, le dernier s’amuse beaucoup des déboires du mangaka, il y a des dialogues souvent drôles. Mais on voit aussi toute la complexité du métier, comment il s’inspire des petites scènes du quotidien pour construire son histoire, et surtout les doutes et les angoisses de l’auteur confronté pour la 1ere fois de sa vie à un succès. Un manga fort sympathique où il fait bon de vivre.
  13. Titre de l'album : Slice of life tome 2 Scenariste de l'album : YOSHINO Satsuki Dessinateur de l'album : YOSHINO Satsuki Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Naruhiko vivote depuis dix ans de sa plume de mangaka. Ses récits remplis de dragons et de magie lui ont permis de se faire une place dans les pages des magazines, sans lui assurer un revenu suffisant pour quitter sa petite île natale... Il vit donc dans la maison de sa grand-mère, entouré des bons soins de sa mère et de Toshihito, son assistant dévoué. Alors que sa dernière série vient encore d'être interrompue par manque de succès, il se lance sans conviction dans une histoire tirée de son environnement immédiat : les aventures quotidiennes de quatre garçons nés sur une petite île et liés par une amitié indéfectible. Critique : Naruhiko fait pour la 1ère fois face à ses fans ! D’abord avec une fillette de 10 ans amoureuse d’un des personnages du manga et qui est complétement obsédée même au point de menacer les autres fans. Ensuite parce qu’il doit se rendre à Tokyo pour sa 1ère séance de dédicaces, une première pour lui car malgré ses 10 ans de carrière, on ne lui avait encore jamais proposé. C’est une épreuve de taille pour le mangaka qui non seulement doute beaucoup de lui-même lais qui n’a jamais vraiment quitté sa petite ile. J’avoue que ce second tome m’a bien fait rire, la jeune fan de 10 ans est assez extrême, on comprend mieux les comportements d’hystériques que l’on voit parfois à la télé. Et puis il y a le duo de Naruhiko et de son jeune assistant Toshi, le dernier s’amuse beaucoup des déboires du mangaka, il y a des dialogues souvent drôles. Mais on voit aussi toute la complexité du métier, comment il s’inspire des petites scènes du quotidien pour construire son histoire, et surtout les doutes et les angoisses de l’auteur confronté pour la 1ere fois de sa vie à un succès. Un manga fort sympathique où il fait bon de vivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/slice-of-life-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Nickad

    Adieu Eri

    Il y a plusieurs histoires dans Adieu Eri, on ne sait pas vraiment ce qui est vrai, ce qui ne l’est pas et peu importe à vrai dire. Car ce qui est important c’est l’histoire, les images, ce que l’on peut en faire. Là où le scénario peut nous emmener. Et Le manga est riche de possibilités, les histoires sont imbriquées, comme si chacune incluait la précédente. On est d’abord un peu spectateur puis on est touché, submergé par l’émotion du scénario. Le sujet est délicat (filmer la fin d’un proche) et le propos interroge. Puis on revient vers une tranche de vie qui ressemble à un épilogue mais qui finalement ne l’est pas. Le manga est comme un film, ou plutôt comme plusieurs courts métrages, il est monté comme un storyboard, avec l’enchainement des plans, la mise au point des images, le jeu des acteurs. On ne sait jamais vraiment ce qui est filmé ou ce qui ne l’est pas, ce qui est histoire ou vérité. Adieu Eri est une expérience intéressante, d’abord déroutante et assez bouleversante car l’auteur est bon et sait nous emmener là où il veut. C’est un bel hommage au 7e art !
  15. Nickad

    Adieu Eri

    Titre de l'album : Adieu Eri Scenariste de l'album : FUJIMOTO Tatsuki Dessinateur de l'album : FUJIMOTO Tatsuki Coloriste : Editeur de l'album : Crunchyroll Note : Résumé de l'album : « Je veux que tu me filmes jusqu'à ma mort. » Yûta, adolescent mordu de cinéma, accomplit cette dernière volonté de sa mère avec un brio... explosif. Dépité par la réception de son court-métrage, il s'apprête à en finir à son tour. Lorsqu'il rencontre Eri. Cinéphile, comme lui, la mystérieuse jeune fille va inspirer Yûta et l'aider à réaliser un nouveau film... Après Look Back, Tatsuki Fujimoto revient explorer la frontière floue entre le réel et la fiction, pour livrer, dans ce troublant court-métrage dessiné, une vibrante déclaration d'amour au septième art. Critique : Il y a plusieurs histoires dans Adieu Eri, on ne sait pas vraiment ce qui est vrai, ce qui ne l’est pas et peu importe à vrai dire. Car ce qui est important c’est l’histoire, les images, ce que l’on peut en faire. Là où le scénario peut nous emmener. Et Le manga est riche de possibilités, les histoires sont imbriquées, comme si chacune incluait la précédente. On est d’abord un peu spectateur puis on est touché, submergé par l’émotion du scénario. Le sujet est délicat (filmer la fin d’un proche) et le propos interroge. Puis on revient vers une tranche de vie qui ressemble à un épilogue mais qui finalement ne l’est pas. Le manga est comme un film, ou plutôt comme plusieurs courts métrages, il est monté comme un storyboard, avec l’enchainement des plans, la mise au point des images, le jeu des acteurs. On ne sait jamais vraiment ce qui est filmé ou ce qui ne l’est pas, ce qui est histoire ou vérité. Adieu Eri est une expérience intéressante, d’abord déroutante et assez bouleversante car l’auteur est bon et sait nous emmener là où il veut. C’est un bel hommage au 7e art ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/adieu-eri?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Nickad

    Sounds of life tomes 1 et 2

    Le koto est un instrument traditionnel japonais, il n’est clairement pas à la mode auprès des lycéens. Takezô est le dernier membre du club de koto de son lycéen, il faut absolument qu’il trouve des membres pour éviter sa fermeture. Pour le moment il subit plus la présence des voyous de l’établissement qui squatte la salle. C’est alors qu’arrive Kudô, qui traine derrière lui une réputation de délinquant ultime et qui a déjà eu affaire à la police. Il souhaite sincèrement apprendre le koto. Arriveront-ils à sauver le club ? Un club à sauver, des jeunes qui subissent une image que l’on a attribué, et un instrument passé de mode, voilà les ingrédients de ce manga. Chacun des membres a rejoint le club pour des raisons différentes et au bout du compte, la musique finira par les réunir. Le graphisme est agréable, le rythme ne traine pas, l’histoire est bien menée et nous donne envie de continuer la lecture. De ce côté, il y a de quoi faire car la série compte 27 tomes et elle est toujours en cours. Les personnages, certains au caractère bien trempé, mettent de l’animation dans ce club et nous pousse à nous intéresser au koto. Un peu comme dans l’anime those snow white notes qui remet le shamisen au goût du jour, on est entrainé par ces jeunes qui veulent aller au bout de leurs rêves, il ne manque qu’un fond musical pour que tout soit parfait. Un très bon début. Extrait
  17. Titre de l'album : Sounds of life tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : AMU Dessinateur de l'album : AMU Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Depuis la rentrée et le départ de ses aînées pour l'université, Takezô est devenu le seul membre du club de koto. Passionné par cet instrument, il refuse de laisser le club disparaître faute de nouvelles recrues. Mais sa salle est déjà envahie de délinquants, et aucun de ses camarades ne semble s'intéresser à une activité musicale aussi traditionnelle... jusqu'au jour où Chika, un élève à la mauvaise réputation, demande à s'inscrire. Critique : Le koto est un instrument traditionnel japonais, il n’est clairement pas à la mode auprès des lycéens. Takezô est le dernier membre du club de koto de son lycéen, il faut absolument qu’il trouve des membres pour éviter sa fermeture. Pour le moment il subit plus la présence des voyous de l’établissement qui squatte la salle. C’est alors qu’arrive Kudô, qui traine derrière lui une réputation de délinquant ultime et qui a déjà eu affaire à la police. Il souhaite sincèrement apprendre le koto. Arriveront-ils à sauver le club ? Un club à sauver, des jeunes qui subissent une image que l’on a attribué, et un instrument passé de mode, voilà les ingrédients de ce manga. Chacun des membres a rejoint le club pour des raisons différentes et au bout du compte, la musique finira par les réunir. Le graphisme est agréable, le rythme ne traine pas, l’histoire est bien menée et nous donne envie de continuer la lecture. De ce côté, il y a de quoi faire car la série compte 27 tomes et elle est toujours en cours. Les personnages, certains au caractère bien trempé, mettent de l’animation dans ce club et nous pousse à nous intéresser au koto. Un peu comme dans l’anime those snow white notes qui remet le shamisen au goût du jour, on est entrainé par ces jeunes qui veulent aller au bout de leurs rêves, il ne manque qu’un fond musical pour que tout soit parfait. Un très bon début. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sounds-of-life-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Nickad

    Witch watch tome 3

    L’arrivée de Kanshi dans la maisonnée apporte un coup de folie : il est sociable, enjoué et dépensier, le voilà qui doit participer à un show pour gagner de l’argent. Seulement, comme il n’est pas d’accord avec le scenario, il bouleverse la représentation. La petite équipe continue son quotidien tout en faisant attention à la menace qui pèse sur Nico. Le manga oscille entre gags et fantastique, le chapitre où ils font des vidéos amateurs et particulièrement amusante. Witch watch est un manga qui ne se prend pas au sérieux et qui apporte aventure et bonne humeur, il se lit bien et il est distrayant.
  19. Nickad

    Witch watch tome 3

    Titre de l'album : Witch watch tome 3 Scenariste de l'album : SHINOHARA Kenta Dessinateur de l'album : SHINOHARA Kenta Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Afin d'obéir à un antique serment, Morihito Otogi, un lycéen à la force surhumaine des ogres doit cohabiter avec son amie d'enfance, la sorcière Nico ! À peine revenue de sa formation en sorcellerie, elle rêve à de romantiques retrouvailles. Quant à lui, devenu le familier de la jeune sorcière, il préfère se concentrer sur sa mission : la protéger d'un désastre qui lui a été prophétisé... Critique : L’arrivée de Kanshi dans la maisonnée apporte un coup de folie : il est sociable, enjoué et dépensier, le voilà qui doit participer à un show pour gagner de l’argent. Seulement, comme il n’est pas d’accord avec le scenario, il bouleverse la représentation. La petite équipe continue son quotidien tout en faisant attention à la menace qui pèse sur Nico. Le manga oscille entre gags et fantastique, le chapitre où ils font des vidéos amateurs et particulièrement amusante. Witch watch est un manga qui ne se prend pas au sérieux et qui apporte aventure et bonne humeur, il se lit bien et il est distrayant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/witch-watch-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    A toi d'être un héros tome 2

    Ibuki a échangé le rouleau de Abe No Seimei pour le lire au moment où son frère en avait besoin pour combattre, cet acte finit par un drame et Narumi meurt. Aussi étrange que cela paraisse, Ibuki devient le nouveau porteur du rouleau, il apprend alors qu’un démon est scellé en lui. En même temps, l’Eglise Véritable Evangélique, désireuse de récupérer tous les rouleaux débarque au sanctuaire ainsi qu’un autre groupe bien décidé à abattre Abe no Seimei et à ressusciter le démon. Ibuki doit à présent apprendre à maitriser ses pouvoirs. La situation se précise et on voit à présent les différentes factions bien que les motivations des « méchants » soient encore obscures. Il aura quand même fallu plus d’un tome pour s’adapter à l’univers du manga mais une fois fait, ce dernier est plutôt pas mal, il y a du fantastique et du mystère à profusion et beaucoup d’action. Le dessin est soigné, le rythme est bon et le scénario devient de plus en plus intéressant.
  21. Titre de l'album : A toi d'être un héros tome 2 Scenariste de l'album : CHIYO Yashiro Dessinateur de l'album : CHIYO Yashiro Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : De nouvelles épreuves attendent Ibuki ! Critique : Ibuki a échangé le rouleau de Abe No Seimei pour le lire au moment où son frère en avait besoin pour combattre, cet acte finit par un drame et Narumi meurt. Aussi étrange que cela paraisse, Ibuki devient le nouveau porteur du rouleau, il apprend alors qu’un démon est scellé en lui. En même temps, l’Eglise Véritable Evangélique, désireuse de récupérer tous les rouleaux débarque au sanctuaire ainsi qu’un autre groupe bien décidé à abattre Abe no Seimei et à ressusciter le démon. Ibuki doit à présent apprendre à maitriser ses pouvoirs. La situation se précise et on voit à présent les différentes factions bien que les motivations des « méchants » soient encore obscures. Il aura quand même fallu plus d’un tome pour s’adapter à l’univers du manga mais une fois fait, ce dernier est plutôt pas mal, il y a du fantastique et du mystère à profusion et beaucoup d’action. Le dessin est soigné, le rythme est bon et le scénario devient de plus en plus intéressant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/a-toi-d-etre-un-heros-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. La grande Jahy c’est la numéro 2 du monde démoniaque ! Elle mène son petit monde à la baguette, a pleins de sous-fifres, a des pouvoirs et fait des caprices ! Enfin ça c’était avant, car maintenant que le monde démoniaque s’est effondré parce qu’une magical girl a détruit leur pierre magique, Jahy se retrouve coincée dans le corps d’une petite fille, quasiment sans pouvoir et sans argent et en plus dans le monde des humains ! Le manga est une suite de saynètes humoristiques sur le nouveau quotidien de la grande Jahy. Son objectif : rassembler les fragments de la pierre pour reconstruire le monde démoniaque mais de nombreux problèmes se dressent sur son chemin : d’abord, elle ne sait pas où sont les fragments, elle a perdu la majorité de ses pouvoirs, elle a même rétréci et surtout, il faut d’abord qu’elle arrive à survivre ! Le manga a un côté mignon, c’est amusant et c’est sans prise de tête. Un titre idéal pour se relaxer et se divertir !
  23. Titre de l'album : La grande Jahy ne perd jamais tome 1 Scenariste de l'album : KONBU Wakame Dessinateur de l'album : KONBU Wakame Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : La grande Jahy est la n°2 du Royaume des Démons. Force, magie, autorité... elle possède tout et est aussi crainte que respectée. Enfin, était. Le Royaume des Démons a été détruit, et Jahy vit désormais la vie triviale et fastidieuse d'une humaine ordinaire : minuscule appartement, loyer à payer, travail et tâches ménagères. Mais il en faut plus pour la décourager et elle est déterminée : Jahy restaurera de ses mains son royaume déchu ! Critique : La grande Jahy c’est la numéro 2 du monde démoniaque ! Elle mène son petit monde à la baguette, a pleins de sous-fifres, a des pouvoirs et fait des caprices ! Enfin ça c’était avant, car maintenant que le monde démoniaque s’est effondré parce qu’une magical girl a détruit leur pierre magique, Jahy se retrouve coincée dans le corps d’une petite fille, quasiment sans pouvoir et sans argent et en plus dans le monde des humains ! Le manga est une suite de saynètes humoristiques sur le nouveau quotidien de la grande Jahy. Son objectif : rassembler les fragments de la pierre pour reconstruire le monde démoniaque mais de nombreux problèmes se dressent sur son chemin : d’abord, elle ne sait pas où sont les fragments, elle a perdu la majorité de ses pouvoirs, elle a même rétréci et surtout, il faut d’abord qu’elle arrive à survivre ! Le manga a un côté mignon, c’est amusant et c’est sans prise de tête. Un titre idéal pour se relaxer et se divertir ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-grande-jahy-ne-perd-jamais-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Nickad

    Ragna crimson tome 10

    Quand la série a commencé j’étais plutôt emballée, il y avait un anti-héros qui faisait équipe avec le roi des démons qui cherchait lui-même à réformer son « troupeau ». Et puis peu à peu les objectifs des personnages se sont noyés dans des vagues de combats sans fin, il y a plus de personnages, plus d’adversaires, plein de duels dans tous les coins… Où est donc passée la trame de l’histoire, le fil conducteur ?? De temps en temps, on a quelques informations, quelques bribes d’avancée mais c’est peu. On sent que l’auteur s’en donne à cœur joie dans le graphisme, dans la mise en scène des combats ; il n’y a qu’à voir le 1er chapitre de ce 10e tome : 46 pages de combats sans un seul son ou mot !! Certes de ce côté-là, les amateurs y trouveront leur compte mais pour ceux qui souhaitent un minimum de progrès dans le scenario, passez votre chemin d’autant plus que le temps entre 2 tomes est long (7 mois entre le 9 et le 10) et que l’on a vite fait de s’y perdre.
  25. Titre de l'album : Ragna crimson tome 10 Scenariste de l'album : KOBAYASHI Daiki Dessinateur de l'album : KOBAYASHI Daiki Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : La bataille fait rage contre les derniers membres des Dragons du clan des ailés, mais les derniers représentants sont aussi les plus redoutables, et ils usent de toute leur puissance pour vaincre les humains qui s'opposent à eux! Critique : Quand la série a commencé j’étais plutôt emballée, il y avait un anti-héros qui faisait équipe avec le roi des démons qui cherchait lui-même à réformer son « troupeau ». Et puis peu à peu les objectifs des personnages se sont noyés dans des vagues de combats sans fin, il y a plus de personnages, plus d’adversaires, plein de duels dans tous les coins… Où est donc passée la trame de l’histoire, le fil conducteur ?? De temps en temps, on a quelques informations, quelques bribes d’avancée mais c’est peu. On sent que l’auteur s’en donne à cœur joie dans le graphisme, dans la mise en scène des combats ; il n’y a qu’à voir le 1er chapitre de ce 10e tome : 46 pages de combats sans un seul son ou mot !! Certes de ce côté-là, les amateurs y trouveront leur compte mais pour ceux qui souhaitent un minimum de progrès dans le scenario, passez votre chemin d’autant plus que le temps entre 2 tomes est long (7 mois entre le 9 et le 10) et que l’on a vite fait de s’y perdre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ragna-crimson-tome-10?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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