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  1. Titre de l'album : Yakuza reincarnation tome 1 Scenariste de l'album : NATSUHARA Takeshi Dessinateur de l'album : MIYASHITA Hiroki Coloriste : Editeur de l'album : Kaze Note : Résumé de l'album : Assassiné par un gang ennemi, un yakuza se réincarne en une jeune et jolie princesse d'un monde de fantasy. Malgré sa nouvelle apparence, notre héros garde son caractère bien trempé. Yakuza un jour, yakuza toujours Critique : Ryûmatsu est un vieux yakuza, pas forcément pour l’âge puisqu’il y a la cinquantaine, mais plutôt pour sa façon de faire, il suit un code qui semble dépassé. Sa présence gêne et il finit par mourir. Le voilà réincarné dans le corps d’une jeune princesse dans un monde d’heroic fantasy, fidèle à lui-même et à ses valeurs, il ne pourra pas rester sans rien faire devant les injustices et va agir avec ses méthodes de yakuza bien évidemment. Et oui, encore un isekai de plus, cette fois c’est un yakuza qui se réincarne et en plus en tant que princesse ! Ayant retrouvé jeunesse et vitalité, il va se servir de ses poings pour combattre le mal ! Maintenant que ça s’est dit, il n’y a pas grand-chose de plus à dire, enfin de très original à dire : il y a des monstres, des épées, de la magie, des complots… L’intérêt principal c’est l’opposition des caractères entre le yakuza expérimenté et la jeune princesse, naïve, ne connaissant rien au monde. Son attitude et ses actions vont donc être à l’opposé de ce que son entourage attend. Le manga ne manque pas d’actions et a un bon rythme. Le graphisme est adéquat au genre, sauf peut-être la coupe de cheveux de la princesse qui est assez improbable mais c’est un détail. Le manga est efficace et rempli son rôle, on y trouve ce que l’on attend d’un isekai, maintenant, il faudra attendre la suite pour voir s’il se démarquera du lot. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/yakuza-reincarnation-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Nickad

    Goodnight world tome 1

    Taichiro est presque un ikkikomori, il ne sort de sa chambre que lorsqu’il a besoin de se nourrir. Il ne parle plus à son père qu’il considère comme un looser, ni à son frère et sa mère semble avoir quitté le domicile. Il passe son temps connecté à un jeu de réalité virtuelle « planet » dans lequel il a trouvé des compagnons avec lesquels il a des relations proches, comme celles d’une famille. A leurs côtés, il redécouvre des sentiments qu’il pensait disparus, naviguant entre réel et virtuel, il se heurte régulièrement à la dure réalité. Goodnight world est un constat d’une facette de la société actuelle, le manga montre les fractures sociales, les gens qui préfèrent fuir les problèmes et se réfugier dans un monde virtuel. Il montre à la fois que les liens ne se construisent pas facilement, qu’il faut partager pour créer et il dénonce, d’une certaine façon, ces espaces virtuels qui prennent de plus en plus d’importance dans la vie. Mais il n’y a pas que ça, car il y a l’histoire du jeu, des événements étranges liant réel et virtuel, qui ne sont pas sans rappeler des sujets déjà abordés dans SAO. Mais surtout, il y a cette « fausse famille » dont le lecteur apprend très vite l’identité et qui change toute la perception des relations entre les personnages. Un manga intrigant et innovant. Série finie en 5 tomes. Extrait ici : Goodnight World T.1 - AKATA (akazoom.fr)
  3. Titre de l'album : Goodnight world tome 1 Scenariste de l'album : OKABE Urû Dessinateur de l'album : OKABE Urû Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Avec "Goodnight World", Uru Okabe livre un manga d'action complexe, qui questionne sur les univers virtuels... Entre catfishing, famille décomposée et désespoir, le mangaka dresse un portrait sombre et lucide du monde contemporain. Taichiro est en rupture sociale complète. Détestant sa famille du plus profond de son être, il s'est réfugié dans PLANET, le MMO en réalité virtuelle le plus en vogue du moment. Dans cette autre réalité, il est membre d'Akabane, l'une des plus prestigieuses guildes de ce jeu en ligne. Au sein de cet autre univers, il s'est créé une famille de substitution. Aux côtés de Shiro, Mei et AAAAA, il espère bien vaincre le légendaire Black Bird of Happiness. Mais l'équilibre précaire de sa vie bascule quand, un jour, son véritable père est hospitalisé... Rappelé brutalement à la réalité par sa famille qu'il exècre, ne risque-t-il pas d'aller de désillusion en déception en découvrant ceux qui se cachent derrière ses camarades de guilde ? Critique : Taichiro est presque un ikkikomori, il ne sort de sa chambre que lorsqu’il a besoin de se nourrir. Il ne parle plus à son père qu’il considère comme un looser, ni à son frère et sa mère semble avoir quitté le domicile. Il passe son temps connecté à un jeu de réalité virtuelle « planet » dans lequel il a trouvé des compagnons avec lesquels il a des relations proches, comme celles d’une famille. A leurs côtés, il redécouvre des sentiments qu’il pensait disparus, naviguant entre réel et virtuel, il se heurte régulièrement à la dure réalité. Goodnight world est un constat d’une facette de la société actuelle, le manga montre les fractures sociales, les gens qui préfèrent fuir les problèmes et se réfugier dans un monde virtuel. Il montre à la fois que les liens ne se construisent pas facilement, qu’il faut partager pour créer et il dénonce, d’une certaine façon, ces espaces virtuels qui prennent de plus en plus d’importance dans la vie. Mais il n’y a pas que ça, car il y a l’histoire du jeu, des événements étranges liant réel et virtuel, qui ne sont pas sans rappeler des sujets déjà abordés dans SAO. Mais surtout, il y a cette « fausse famille » dont le lecteur apprend très vite l’identité et qui change toute la perception des relations entre les personnages. Un manga intrigant et innovant. Série finie en 5 tomes. Extrait ici : Goodnight World T.1 - AKATA (akazoom.fr) Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/goodnight-world-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Nickad

    Le jardin des illusions

    Depuis quelques années Delcourt nous propose un one shot pour l’été, le manga de cette année compile 10 histoires courtes « sur les différentes formes de l’acceptation ». Après lecture, le thème est assez juste, et il s’agit en réalité de 9 histoires, la 10eme étant la suite de la 1ère. Cela étant, je n’ai pas abordé le livre en cherchant spécialement une trame ou des explications, les histoires sont variées, on entre facilement dans chacune d’entre elles, les dessins sont magnifiques et empreints d’une certaine magie. Ensuite quand j’ai lu que l’auteur avait fait beaucoup d’illustrations sur des contes, j’ai compris que c’était ça le cœur du livre, ces petites histoires sont comme des contes, des petits voyages poétiques, il y a beaucoup de douceur (à part la fin de l’histoire la plus sombre mais qui a aussi une part de beauté), une certaine sérénité parfois, l’envie de prendre le temps de se poser et de savourer les illustrations. Vu la diversité des histoires, chacun devrait y trouver son compte, à la fin du livre, l’auteur nous raconte la genèse de chacune d'entre elles : c’est d’ailleurs là que j’ai vu que le féminin comme le masculin était utilisé, après recherches, impossible de savoir si l’auteur est un homme ou une femme… Mais quoi qu’il en soit, c’est un bien beau livre qui vous fera passer un moment agréable. Ci-dessous : les images en noir et blanc sont issues du jardin des illusions, celles en couleur, des illustrations indépendantes de Senbon Umishima.
  5. Titre de l'album : Le jardin des illusions Scenariste de l'album : UMISHIMA Senbon Dessinateur de l'album : UMISHIMA Senbon Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Ce recueil réunit neuf histoires complètes : une sirène qui apprend que le courage c'est aussi d'accepter l'échec ; une danseuse qui découvre que la persévérance finit toujours par payer ; une femme qui accepte d'être damnée pour avoir laissé mourir l'être cher ; une touriste qui accepte de suivre un chat qui va lui faire découvrir Dubrovnik de son point de vue, etc. Critique : Depuis quelques années Delcourt nous propose un one shot pour l’été, le manga de cette année compile 10 histoires courtes « sur les différentes formes de l’acceptation ». Après lecture, le thème est assez juste, et il s’agit en réalité de 9 histoires, la 10eme étant la suite de la 1ère. Cela étant, je n’ai pas abordé le livre en cherchant spécialement une trame ou des explications, les histoires sont variées, on entre facilement dans chacune d’entre elles, les dessins sont magnifiques et empreints d’une certaine magie. Ensuite quand j’ai lu que l’auteur avait fait beaucoup d’illustrations sur des contes, j’ai compris que c’était ça le cœur du livre, ces petites histoires sont comme des contes, des petits voyages poétiques, il y a beaucoup de douceur (à part la fin de l’histoire la plus sombre mais qui a aussi une part de beauté), une certaine sérénité parfois, l’envie de prendre le temps de se poser et de savourer les illustrations. Vu la diversité des histoires, chacun devrait y trouver son compte, à la fin du livre, l’auteur nous raconte la genèse de chacune d'entre elles : c’est d’ailleurs là que j’ai vu que le féminin comme le masculin était utilisé, après recherches, impossible de savoir si l’auteur est un homme ou une femme… Mais quoi qu’il en soit, c’est un bien beau livre qui vous fera passer un moment agréable. Ci-dessous : les images en noir et blanc sont issues du jardin des illusions, celles en couleur, des illustrations indépendantes de Senbon Umishima. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-jardin-des-illusions?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Nickad

    Lupin III - anthologie

    Pour tous ceux qui regardent un peu les anime, le nom de Lupin III ne vous sera pas inconnu, appelé « Edgar de la cambriole » dans la version française, ce personnage est le descendant d’Arsène Lupin (son petit-fils, Lupin 3eme du nom !). Crée en 1967 par Kazuhiko Kato sous le nom de plume de Monkey Punch (l’auteur est décédé en avril 2019), le manga se compose de plusieurs petites histoires, il n’y a pas moins de 9 séries autour du personnage, soit plus de 80 volumes, Monkey Punch n’a écrit que les 31 premiers. Pour la petite histoire, si le nom français était Edgar, c’est que l’auteur n’avait pas demandé l’autorisation aux ayant-droits de Maurice Leblanc, après accord entre les parties, le nom de Lupin III n’était autorisé qu’au Japon ; à présent, Lupin est dans le domaine public et les œuvres peuvent reprendre leur nom d’origine. Cette anthologie est donc la 1ère parution en France de l’œuvre de Monkey Punch, c’est un ouvrage qui permet de découvrir les différentes facettes du manga et ses personnages principaux : Lupin, son équipe : Jigen, Goemon, Fujiko Mine et son grand adversaire l’inspecteur Zenigata. Concernant le livre en lui-même, le dessin fait un peu vieillot, si certains décors sont bien faits, les personnages et leurs expressions ne sont pas très soignés, on sent le gag rapide dessiné pour des parutions régulières. Les histoires n’ont aucun rapport les unes avec les autres et ne sont même pas dans l’ordre chronologique. Pour ceux qui ne connaîtraient pas du tout le personnage, je ne suis pas sûre que ce manga ait un intérêt. Et pour ceux qui voudrait le connaitre, je vous conseille plutôt le film de Hayao Miyazaki « le château de Cagliostro » qui est d’ailleurs son premier long métrage.
  7. Titre de l'album : Lupin III - anthologie Scenariste de l'album : Monkey Punch Dessinateur de l'album : Monkey Punch Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : La série Lupin III de Monkey Punch a marqué l'histoire du manga et influencé toute une génération d'auteurs de mangas et d'animés. retrouvez, dans cette anthologie, les meilleurs moments des aventures cultes du plus célèbre des voleurs aux multiples visages ! Au travers de onze histoires courtes, sélectionnées avec soin par le dernier éditeur de l'auteur, vous êtes conviés à pénétrer cet univers énergique, loufoque, iconoclaste, parfois déconcertant, mais assurément réjouissant ! Critique : Pour tous ceux qui regardent un peu les anime, le nom de Lupin III ne vous sera pas inconnu, appelé « Edgar de la cambriole » dans la version française, ce personnage est le descendant d’Arsène Lupin (son petit-fils, Lupin 3eme du nom !). Crée en 1967 par Kazuhiko Kato sous le nom de plume de Monkey Punch (l’auteur est décédé en avril 2019), le manga se compose de plusieurs petites histoires, il n’y a pas moins de 9 séries autour du personnage, soit plus de 80 volumes, Monkey Punch n’a écrit que les 31 premiers. Pour la petite histoire, si le nom français était Edgar, c’est que l’auteur n’avait pas demandé l’autorisation aux ayant-droits de Maurice Leblanc, après accord entre les parties, le nom de Lupin III n’était autorisé qu’au Japon ; à présent, Lupin est dans le domaine public et les œuvres peuvent reprendre leur nom d’origine. Cette anthologie est donc la 1ère parution en France de l’œuvre de Monkey Punch, c’est un ouvrage qui permet de découvrir les différentes facettes du manga et ses personnages principaux : Lupin, son équipe : Jigen, Goemon, Fujiko Mine et son grand adversaire l’inspecteur Zenigata. Concernant le livre en lui-même, le dessin fait un peu vieillot, si certains décors sont bien faits, les personnages et leurs expressions ne sont pas très soignés, on sent le gag rapide dessiné pour des parutions régulières. Les histoires n’ont aucun rapport les unes avec les autres et ne sont même pas dans l’ordre chronologique. Pour ceux qui ne connaîtraient pas du tout le personnage, je ne suis pas sûre que ce manga ait un intérêt. Et pour ceux qui voudrait le connaitre, je vous conseille plutôt le film de Hayao Miyazaki « le château de Cagliostro » qui est d’ailleurs son premier long métrage. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lupin-the-third?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. A cause de ses origines à la fois de serdien et de sorcier, Zechs a beaucoup de mal a trouvé sa place même au sein de la forteresse de fer. Sa rencontre avec Aster et son affectation au 75e peloton vont changer la situation, pour la 1ere fois depuis son apprentissage, Zechs va se faire des amis et surtout va pouvoir compter sur leur soutien. Mais les tensions politiques s’intensifient et une guerre pointe à l’horizon. Ah qu’il est agréable de lire ce manga, non seulement il est superbe graphiquement mais il se bonifie avec la progression de l’histoire ! Si en soi, la trame principale n’est pas si originale, c’est tellement bien écrit et bien mené qu’il est difficile de lui trouver des défauts, il a ce petit plus qui en font un très bon manga. A découvrir pour ceux qui ne l’auraient pas encore fait !
  9. Titre de l'album : Les tisserands de la vérité tome 3 Scenariste de l'album : SATÔ Sakura Dessinateur de l'album : INUZUKA Hiro Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Zechs est désormais un membre officiel de la «Forteresse de fer», suite à son intégration au 75e peloton. Pour autant, il éprouve toujours des difficultés à s'entendre et à se lier aux autres sorciers de la plus haute institution magique du pays de Lavarta. Mais sa rencontre avec Aster Hart va tout changer... Les rouages du destin sont en marche ! Critique : A cause de ses origines à la fois de serdien et de sorcier, Zechs a beaucoup de mal a trouvé sa place même au sein de la forteresse de fer. Sa rencontre avec Aster et son affectation au 75e peloton vont changer la situation, pour la 1ere fois depuis son apprentissage, Zechs va se faire des amis et surtout va pouvoir compter sur leur soutien. Mais les tensions politiques s’intensifient et une guerre pointe à l’horizon. Ah qu’il est agréable de lire ce manga, non seulement il est superbe graphiquement mais il se bonifie avec la progression de l’histoire ! Si en soi, la trame principale n’est pas si originale, c’est tellement bien écrit et bien mené qu’il est difficile de lui trouver des défauts, il a ce petit plus qui en font un très bon manga. A découvrir pour ceux qui ne l’auraient pas encore fait ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-tisserands-de-la-verite-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nickad

    Mars Red tome 1

    J’avoue, j’avais un peu peur de lire un énième manga sur les vampires mais j’ai été agréablement surprise. Même si on retrouve les codes du vampire : surpuissance, transmission par morsure, besoin de sang et crainte du soleil, l’histoire est tournée de façon à ne pas tomber dans le schéma classique. L’histoire se déroule pendant l’ère Taisho, le Japon est plutôt prospère et se modernise grâce à son ouverture sur le monde. Mais dans l’ombre, un virus se propage et transforme les humains en vampires, le taux de survie à une morsure est faible mais ceux qui s'en sortent sont dotés de capacités supérieures. L’armée a décidé de monter une unité spéciale autour de ces nouveaux soldats afin de lutter contre les vampires « civils » cachés dans la population (dont certains sont violents) mais aussi pour les utiliser comme espions et super soldats. Mars Red est un manga plus complet qu’il n’y paraît car il propose plusieurs histoires en une. Il y a les activités de l’unité « code zéro » avec ses combats et ses activités secrètes, l’histoire de Aoi Shirase jeune journaliste à la recherche de son ami perdu (qui est devenu membre de l’unité) et un fond politico-historique autour de l’importance de la militarisation du pays. Soutenu par un dessin de qualité qui oscille entre les différents aspects du manga, l’auteur prend le temps d’explorer tout un tas de thèmes annexes comme le deuil, la perte de l’humanité, l’immortalité… Une fois n’est pas coutume, cette courte série (3 tomes seulement) est l’adaptation d’une pièce de théâtre, un anime est également disponible depuis 2021 en France. Difficile pour le moment de dire quel est l’objectif final de l’auteur mais en attendant, ce 1er tome est réussi et on ne voit pas le temps passer.
  11. Nickad

    Mars Red tome 1

    Titre de l'album : Mars Red tome 1 Scenariste de l'album : FUJISAWA Bun'ô Dessinateur de l'album : KARAKARA Kemuri Coloriste : Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Japon 1923, durant l'ère Taishô, un virus transforme les humains en vampires. Quatre hommes atteints par ce virus intègrent une unité spéciale de l'armée, le « Code Zero », ils sont chargés de « neutraliser » les personnes elles-mêmes contaminées, mais incapables de se contrôler. Aoi Shirase, journaliste d'un quotidien local, enquête sur des meurtres glauques qui surviennent quelquefois la nuit à Tôkyô, ternissant l'image d'une ville sûre et moderne. Au fil de ses recherches, elle découvre l'existence du virus et de ces agents travaillant pour le gouvernement. Un lien va se nouer entre la journaliste et ces vampires, d'autant qu'elle en connait un des membres : Shûtarô Kurusu, déclaré mort pendant la guerre russo-japonaise du début du siècle. Critique : J’avoue, j’avais un peu peur de lire un énième manga sur les vampires mais j’ai été agréablement surprise. Même si on retrouve les codes du vampire : surpuissance, transmission par morsure, besoin de sang et crainte du soleil, l’histoire est tournée de façon à ne pas tomber dans le schéma classique. L’histoire se déroule pendant l’ère Taisho, le Japon est plutôt prospère et se modernise grâce à son ouverture sur le monde. Mais dans l’ombre, un virus se propage et transforme les humains en vampires, le taux de survie à une morsure est faible mais ceux qui s'en sortent sont dotés de capacités supérieures. L’armée a décidé de monter une unité spéciale autour de ces nouveaux soldats afin de lutter contre les vampires « civils » cachés dans la population (dont certains sont violents) mais aussi pour les utiliser comme espions et super soldats. Mars Red est un manga plus complet qu’il n’y paraît car il propose plusieurs histoires en une. Il y a les activités de l’unité « code zéro » avec ses combats et ses activités secrètes, l’histoire de Aoi Shirase jeune journaliste à la recherche de son ami perdu (qui est devenu membre de l’unité) et un fond politico-historique autour de l’importance de la militarisation du pays. Soutenu par un dessin de qualité qui oscille entre les différents aspects du manga, l’auteur prend le temps d’explorer tout un tas de thèmes annexes comme le deuil, la perte de l’humanité, l’immortalité… Une fois n’est pas coutume, cette courte série (3 tomes seulement) est l’adaptation d’une pièce de théâtre, un anime est également disponible depuis 2021 en France. Difficile pour le moment de dire quel est l’objectif final de l’auteur mais en attendant, ce 1er tome est réussi et on ne voit pas le temps passer. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mars-red-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Nickad

    Teenage Renaissance tome 1

    Etrange ce manga… son appartenance à la collection WTF donne déjà une première idée, celle de ne rentrer dans aucun moule ! Si l’histoire est assez classique : l’adolescence avec le réveil des hormones et de la sexualité, des garçons à l’imagination débordante qui fantasment et qui regardent des vidéos pour adulte sur internet… C’est la façon de le faire qui est vraiment très originale. Car notre héros n’est autre que le David de Michel-Ange, la fille dont il est amoureux la Vénus de la naissance de Vénus de Boticelli, le père de David, Michel-Ange en personne et on croise dans ses camarades de classe, Mona Lisa, Mannekenpis, Goliath… Outre le graphisme parfois très proche de l’œuvre originale, l’auteur s’amuse à reproduire des œuvres d’art dans le déroulé de l’action, revisitées à sa façon, bien entendu. L’histoire en elle-même n’est pas le véritable intérêt de ce manga, on s’amuse à reconnaître les tableaux, les sculptures, à apprécier la qualité de dessinateur de Yushin Kuroki, il ponctue en plus son manga d’explications artistiques des œuvres et des artistes. Ce manga est donc un divertissement et un livre culturel qui vous fera réviser vos connaissances sur la Renaissance. Si j’ai mis la note de 3.5 c’est que je suis partagée, j’ai plus l’impression d’être en face d’un exercice de style, réussi et intéressant certes, mais je crains que l’histoire ne soit pas à la hauteur. Série finie en 4 tomes. Extrait : Teenage Renaissance T.1 - AKATA (akazoom.fr)
  13. Titre de l'album : Teenage Renaissance tome 1 Scenariste de l'album : KUROKI Yûshin Dessinateur de l'album : KUROKI Yûshin Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Malgré ses airs sculpturaux (et ses pectoraux...), le jeune David est un lycéen comme les autres, c'est-à-dire en pleine puberté ! Et comme tous ses camarades du lycée du Louvre, il est travaillé par ses hormones. Mais le chemin pour obtenir l'amour (ou plutôt la petite culotte ?) de la belle Vénus (de Botticelli ?) sera semé d'embûches... Arrivera-t-il à séduire le cœur de sa dulcinée ? Critique : Etrange ce manga… son appartenance à la collection WTF donne déjà une première idée, celle de ne rentrer dans aucun moule ! Si l’histoire est assez classique : l’adolescence avec le réveil des hormones et de la sexualité, des garçons à l’imagination débordante qui fantasment et qui regardent des vidéos pour adulte sur internet… C’est la façon de le faire qui est vraiment très originale. Car notre héros n’est autre que le David de Michel-Ange, la fille dont il est amoureux la Vénus de la naissance de Vénus de Boticelli, le père de David, Michel-Ange en personne et on croise dans ses camarades de classe, Mona Lisa, Mannekenpis, Goliath… Outre le graphisme parfois très proche de l’œuvre originale, l’auteur s’amuse à reproduire des œuvres d’art dans le déroulé de l’action, revisitées à sa façon, bien entendu. L’histoire en elle-même n’est pas le véritable intérêt de ce manga, on s’amuse à reconnaître les tableaux, les sculptures, à apprécier la qualité de dessinateur de Yushin Kuroki, il ponctue en plus son manga d’explications artistiques des œuvres et des artistes. Ce manga est donc un divertissement et un livre culturel qui vous fera réviser vos connaissances sur la Renaissance. Si j’ai mis la note de 3.5 c’est que je suis partagée, j’ai plus l’impression d’être en face d’un exercice de style, réussi et intéressant certes, mais je crains que l’histoire ne soit pas à la hauteur. Série finie en 4 tomes. Extrait : Teenage Renaissance T.1 - AKATA (akazoom.fr) Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/teenage-renaissance-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Nickad

    Bungô stray dogs tome 18

    Je profite de la sortie du tome 18 (sur 21 en cours) pour faire une présentation générale de cette série à succès. Dans la ville de Yokohama, le jeune Atsushi Nakajima est chassé de l’orphelinat, il sauve par hasard Osamu Dazai. Celui-ci l’invite à rejoindre son agence « l’agence des détectives armés » : un groupe spécialisée dans les enquêtes hors normes, quand la police se retrouve dépassée. Il rencontre les autres membres, tous plus ou moins atypiques : Ryonosuke Akutagawa, Kenji Miyazawa, Ranpo Edogawa, Akiko Yosano…, tous ont un point commun : ils possèdent des pouvoirs paranormaux ! Leur agence va se retrouver en conflit avec la mafia portuaire, qui a aussi des membres aux capacités paranormales, puis un 3eme parti va arriver et une « guerre » va avoir lieu. Après ce 1er arc, l’agence sera aux prises avec un nouvel adversaire Dostoïevski, un génie du crime ! Le dénouement de cet arc approche et sera peut-être pour le tome 19. Je n’ai pas cité les noms des personnages par hasard, pour ceux qui ont un peu de culture sur la littérature japonaise, ils auront remarqué que ce sont le nom d’écrivains célèbres (Osamu Dazai est l’auteur de la déchéance d’un homme par exemple). Le nom des ennemis sont aussi des noms d’auteurs ou de personnages, on retrouvera par exemple Lovecraft, Edgar Alan Poe, Steinbeck, Pouchkine… Les personnages sont tous travaillés soigneusement, que ce soit dans leur caractère ou dans leurs pouvoirs, il y a un rapport avec leur modèle, on retrouve les envies de suicide de Dazai, ou le côté enquêteur d’Edogawa… La série est également truffée de références littéraires, si les premiers tomes sont axés sur le Japon, les autres s’ouvrent sur le monde. L’autre point intéressant de la série c’est que même si cela s’articule plus ou moins autour d’Atsushi, il n’est pas toujours au centre de l’action, chaque personnage à son tour a droit à son moment de gloire, que ce soit au cours d’un affrontement ou d’un aperçu de son passé. La série mélange enquêtes et action, se permet des pointes d’humour. Avec sa palette de personnages et de pouvoirs, il y a des possibilités importantes de développement, elle a un rythme soutenu, ne manque pas de rebondissements, parfois imprévus et ne donne pas toujours l’avantage au même groupe. Un concept intéressant, surtout pour ses personnages et plutôt bien mené.
  15. Titre de l'album : Bungô stray dogs tome 18 Scenariste de l'album : ASAGIRI Kafka Dessinateur de l'album : HARUKAWA 35 Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : L’Agence des Détectives armés est une organisation spéciale regroupant des enquêteurs tous dotés de capacités surnaturelles. Ils n’interviennent que sur les affaires que la police ne parvient pas à résoudre. Durant leurs investigations, ils se retrouvent souvent confrontés à la Mafia portuaire, qui réunit, elle aussi, des membres extraordinaires. Seulement, les assauts de la mafia deviennent plus insistants depuis l’arrivée, dans l’Agence, d’Atsushi, un jeune homme ayant le pouvoir de se changer en tigre, dont la tête est mise à prix. Critique : Je profite de la sortie du tome 18 (sur 21 en cours) pour faire une présentation générale de cette série à succès. Dans la ville de Yokohama, le jeune Atsushi Nakajima est chassé de l’orphelinat, il sauve par hasard Osamu Dazai. Celui-ci l’invite à rejoindre son agence « l’agence des détectives armés » : un groupe spécialisée dans les enquêtes hors normes, quand la police se retrouve dépassée. Il rencontre les autres membres, tous plus ou moins atypiques : Ryonosuke Akutagawa, Kenji Miyazawa, Ranpo Edogawa, Akiko Yosano…, tous ont un point commun : ils possèdent des pouvoirs paranormaux ! Leur agence va se retrouver en conflit avec la mafia portuaire, qui a aussi des membres aux capacités paranormales, puis un 3eme parti va arriver et une « guerre » va avoir lieu. Après ce 1er arc, l’agence sera aux prises avec un nouvel adversaire Dostoïevski, un génie du crime ! Le dénouement de cet arc approche et sera peut-être pour le tome 19. Je n’ai pas cité les noms des personnages par hasard, pour ceux qui ont un peu de culture sur la littérature japonaise, ils auront remarqué que ce sont le nom d’écrivains célèbres (Osamu Dazai est l’auteur de la déchéance d’un homme par exemple). Le nom des ennemis sont aussi des noms d’auteurs ou de personnages, on retrouvera par exemple Lovecraft, Edgar Alan Poe, Steinbeck, Pouchkine… Les personnages sont tous travaillés soigneusement, que ce soit dans leur caractère ou dans leurs pouvoirs, il y a un rapport avec leur modèle, on retrouve les envies de suicide de Dazai, ou le côté enquêteur d’Edogawa… La série est également truffée de références littéraires, si les premiers tomes sont axés sur le Japon, les autres s’ouvrent sur le monde. L’autre point intéressant de la série c’est que même si cela s’articule plus ou moins autour d’Atsushi, il n’est pas toujours au centre de l’action, chaque personnage à son tour a droit à son moment de gloire, que ce soit au cours d’un affrontement ou d’un aperçu de son passé. La série mélange enquêtes et action, se permet des pointes d’humour. Avec sa palette de personnages et de pouvoirs, il y a des possibilités importantes de développement, elle a un rythme soutenu, ne manque pas de rebondissements, parfois imprévus et ne donne pas toujours l’avantage au même groupe. Un concept intéressant, surtout pour ses personnages et plutôt bien mené. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bungo-stray-dogs-tome-18?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Nickad

    Chiruran tome 3

    Début des duels pour les anciens membres du Rôshi Gumi, ils affrontent en 1 contre 1 les maîtres des cinq styles d’Aizu ; ce n’est qu’à la condition de gagner les 5 duels qu’ils pourront rejoindre le clan Aizu. Sans surprise sur l’issue des duels, le récit prend le temps d’analyser chaque technique, chaque position et chaque mouvement de l’affrontement. En prime, on a des retours dans le passé des protagonistes rappelant leur formation et ce qui les a poussés à développer leur maniement des armes. Un tome axé principalement sur les combats, ce n’est qu’à la toute fin du livre que l’on plonge un peu dans le côté historique. Je suis assez partagée : d’un côté les combats sont super bien réalisés et les personnages ont du caractère mais de l’autre, j’aurai aimé que l’on avance un peu plus dans la légende et les événements qui feront leur renommée. Il y a un peu trop de technique à mon goût mais je reconnais la qualité de l’œuvre pour les amateurs du genre.
  17. Nickad

    Chiruran tome 3

    Titre de l'album : Chiruran tome 3 Scenariste de l'album : UMEMURA Shinya Dessinateur de l'album : HASHIMOTO Eiji Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Troisième année de l'ère Bunkyû.Les anciens membres du Rôshi Gumi - Serizawa, Kondô et leurs compagnons restés à Kyoto - essaient d'entrer au service du clan Aizu. Ils seront embauchés à une condition : vaincre les maîtres des cinq écoles d'Aizu dont la bravoure fait la fierté du clan à travers tout l'archipel. À la veille de la création du Shinsen Gumi, que cachent réellement ces combats féroces pour la bande de samouraïs rebelles ? Critique : Début des duels pour les anciens membres du Rôshi Gumi, ils affrontent en 1 contre 1 les maîtres des cinq styles d’Aizu ; ce n’est qu’à la condition de gagner les 5 duels qu’ils pourront rejoindre le clan Aizu. Sans surprise sur l’issue des duels, le récit prend le temps d’analyser chaque technique, chaque position et chaque mouvement de l’affrontement. En prime, on a des retours dans le passé des protagonistes rappelant leur formation et ce qui les a poussés à développer leur maniement des armes. Un tome axé principalement sur les combats, ce n’est qu’à la toute fin du livre que l’on plonge un peu dans le côté historique. Je suis assez partagée : d’un côté les combats sont super bien réalisés et les personnages ont du caractère mais de l’autre, j’aurai aimé que l’on avance un peu plus dans la légende et les événements qui feront leur renommée. Il y a un peu trop de technique à mon goût mais je reconnais la qualité de l’œuvre pour les amateurs du genre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chiruran-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Soleil nous propose une réédition du manga Suikoden III en version « complete » qui comptera 5 tomes au total (la 1ere édition comportait 11 tomes et a été publiée entre 2006 et 2008). Suikoden est donc l’adaptation manga du jeu vidéo du même nom, le III pour le 3eme jeu, les 2 premiers n’ayant pas eu de version en manga. Il n’y a pas besoin de connaître l’univers pour lire le manga ce qui est d’ailleurs mon cas. Une grande guerre fait rage entre les Grasslands (peuple proche de la nature composé de 6 clans/espèces) et les Zexen (humains vivant dans des cités, époque moyenâgeuse avec chevaliers et armures). Mais ce que chacun ignore c’est qu’une 3eme force agit dans l’ombre, les manipulant et cherchant à récupérer les True Rune, artefacts magiques aux pouvoirs incommensurables. Ce 1er volume permet à la fois d’entrer dans l’univers de Suikoden et de découvrir les premiers personnages ; là-dessus il y a du boulot car l’auteur dit qu’il y en a 108, plus ou moins importants, on trouve la liste au dos du livre pour ceux que ça intéresse. Concernant l’histoire, on va suivre des personnages issus de ces différents peuples, en quête de vengeance, de vérité ou à la recherche de leur famille, qui vont être amené à se croiser ou à s’affronter. Bien que ce soit plus une introduction et qu’il va nous falloir un peu plus d’informations, les pièces commencent à se mettre en place et on voit bien que Suikoden III est comme une grande épopée : de l’aventure avec de grands combats portée par un graphisme à la hauteur, avec détails et décors. Un bon début.
  19. Titre de l'album : Suikoden III complete edition tome 1 Scenariste de l'album : SHIMIZU Aki Dessinateur de l'album : SHIMIZU Aki Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : La guerre fait rage depuis des lustres entre les Grasslands et les Zexen. De chaque côté, les jeunes générations sont formées pour défendre leur clan. Victimes de cette guerre fratricide, la frêle Chris et le jeune Hugo devront se battre jusqu'à la mort. Derrière ce conflit se cache cependant la quête des True Rune, conférant à leurs possesseurs des pouvoirs inimaginables. Critique : Soleil nous propose une réédition du manga Suikoden III en version « complete » qui comptera 5 tomes au total (la 1ere édition comportait 11 tomes et a été publiée entre 2006 et 2008). Suikoden est donc l’adaptation manga du jeu vidéo du même nom, le III pour le 3eme jeu, les 2 premiers n’ayant pas eu de version en manga. Il n’y a pas besoin de connaître l’univers pour lire le manga ce qui est d’ailleurs mon cas. Une grande guerre fait rage entre les Grasslands (peuple proche de la nature composé de 6 clans/espèces) et les Zexen (humains vivant dans des cités, époque moyenâgeuse avec chevaliers et armures). Mais ce que chacun ignore c’est qu’une 3eme force agit dans l’ombre, les manipulant et cherchant à récupérer les True Rune, artefacts magiques aux pouvoirs incommensurables. Ce 1er volume permet à la fois d’entrer dans l’univers de Suikoden et de découvrir les premiers personnages ; là-dessus il y a du boulot car l’auteur dit qu’il y en a 108, plus ou moins importants, on trouve la liste au dos du livre pour ceux que ça intéresse. Concernant l’histoire, on va suivre des personnages issus de ces différents peuples, en quête de vengeance, de vérité ou à la recherche de leur famille, qui vont être amené à se croiser ou à s’affronter. Bien que ce soit plus une introduction et qu’il va nous falloir un peu plus d’informations, les pièces commencent à se mettre en place et on voit bien que Suikoden III est comme une grande épopée : de l’aventure avec de grands combats portée par un graphisme à la hauteur, avec détails et décors. Un bon début. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/suikoden-iii-complete-edition-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    wandering witch tome 1

    Elaina la sorcière découvre un monde vaste, rempli de mystères... et de dangers ! Jeune sorcière vagabonde, Elaina sillonne un monde vaste et bigarré rempli de créatures surprenantes et de civilisations mystérieuses. Suivez ses rencontres, son apprentissage et découvrez les liens qu'elle tissera au gré de ses voyages... Une suite d'histoires courtes, légères et comiques, ou sombres et tragiques, mais toujours pleines de poésie et de magie !
  21. Titre de l'album : wandering witch tome 1 Scenariste de l'album : SHIRAISHI Jôgi Dessinateur de l'album : NANAO Ikki / Nanao Itsuki , AZURE Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : Elaina la sorcière découvre un monde vaste, rempli de mystères... et de dangers ! Jeune sorcière vagabonde, Elaina sillonne un monde vaste et bigarré rempli de créatures surprenantes et de civilisations mystérieuses. Suivez ses rencontres, son apprentissage et découvrez les liens qu'elle tissera au gré de ses voyages... Une suite d'histoires courtes, légères et comiques, ou sombres et tragiques, mais toujours pleines de poésie et de magie ! Critique : Elaina la sorcière découvre un monde vaste, rempli de mystères... et de dangers ! Jeune sorcière vagabonde, Elaina sillonne un monde vaste et bigarré rempli de créatures surprenantes et de civilisations mystérieuses. Suivez ses rencontres, son apprentissage et découvrez les liens qu'elle tissera au gré de ses voyages... Une suite d'histoires courtes, légères et comiques, ou sombres et tragiques, mais toujours pleines de poésie et de magie ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/wandering-witch-voyages-d-une-sorciere-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    Battle game in 5 seconds tome 15

    Épilogue de l’épisode avec l’explosif jeune X, les membres autour de Ringo rencontrent le père d’Akira et passent un contrat avec lui. Pendant ce temps dans le désastre les joueurs se sont alliés pour affronter l’observateur Leonhardt. Akira nous démontre encore une fois que ces capacités d’analyse et d’observation sont hors norme, et Yuri que l’on peut gagner en puissance grâce à la force des sentiments. Si les ¾ du volume correspondent à la suite des événements et combats commencés dans les précédents avec quelques explications sur le rôle des observateurs, la fin laisse place à une révélation qui pourrait bien changer les rapports entre les personnages et nous intrigue profondément. Les scènes de combat sont toujours aussi bien faites et il y a assez de mystères pour garder le lecteur en haleine. A suivre.
  23. Titre de l'album : Battle game in 5 seconds tome 15 Scenariste de l'album : HARAWATA Saizou Dessinateur de l'album : KASHIWA Miyako Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Ringo a sauvé les otages au péril de sa vie, mais elle a subi des blessures qui risquent de lui être fatales dans son combat contre le jeune X. L'équipe de Ringo, qui a payé un lourd tribut pour obtenir la victoire, fait une rencontre inattendue dans le bâtiment de la Diète. Dans le Désastre, Akira imagine une méthode pour venir à bout du programme, mais on vient lui mettre des bâtons dans les roues... Critique : Épilogue de l’épisode avec l’explosif jeune X, les membres autour de Ringo rencontrent le père d’Akira et passent un contrat avec lui. Pendant ce temps dans le désastre les joueurs se sont alliés pour affronter l’observateur Leonhardt. Akira nous démontre encore une fois que ces capacités d’analyse et d’observation sont hors norme, et Yuri que l’on peut gagner en puissance grâce à la force des sentiments. Si les ¾ du volume correspondent à la suite des événements et combats commencés dans les précédents avec quelques explications sur le rôle des observateurs, la fin laisse place à une révélation qui pourrait bien changer les rapports entre les personnages et nous intrigue profondément. Les scènes de combat sont toujours aussi bien faites et il y a assez de mystères pour garder le lecteur en haleine. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/battle-game-in-5-seconds-tome-15?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Nickad

    Tower of God tome 2

    Le premier test touche à sa fin mais pour pouvoir aller plus loin, il faut que les joueurs forment des équipes de 3 personnes en 5 minutes ! Il n’y a pas d’autre choix que de s’allier avec la personne avec qui vous étiez en train de combattre. Du coup Bam et Khun se retrouve à faire équipe avec Rak le crocodile et se dirigent vers le test suivant. Ce volume s’attarde aussi sur d’autres équipes qui auront leur importance plus tard, car plus on monte dans la tour, moins il y a de réguliers, ils seront donc amenés à s’allier ou s’affronter par la suite. On découvre aussi que la force n’est pas le seul atout qu’il faut avoir dans ce périple, la chance et la capacité à s’adapter au shinsu (sorte d’énergie qui peut servir d’arme si besoin) sont aussi déterminants. Le tome est tout aussi captivant et intriguant que le 1er, les particularités de la tour se dévoilent peu à peu et les personnages ont tous un caractère bien définis (même ceux qui semblent secondaires). Tower of God nous montre à nouveau que son univers est très travaillé et offre des possibilités de développement infinies. On aimerait juste que le livre soit plus épais pour en profiter plus longtemps. Une réussite !
  25. Titre de l'album : Tower of God tome 2 Scenariste de l'album : SIU Dessinateur de l'album : SIU Coloriste : SIU Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Pouvoir, argent, splendeurs, vengeance... Pour celles et ceux qui réussissent à atteindre son sommet, il n’est aucun désir que la Tour de Dieu ne puisse exaucer. Seulement, combien y parviennent ? Lancé à la poursuite de son amie Rachel, Bam est entré dans la Tour et a survécu à la première épreuve. Armé du Mars noir, il se trouve à présent à l’étage d’Evankhell, où il fait la rencontre d’un étrange garçon aux cheveux bleus et d’un drôle de crocodile qui le prend pour une tortue. Critique : Le premier test touche à sa fin mais pour pouvoir aller plus loin, il faut que les joueurs forment des équipes de 3 personnes en 5 minutes ! Il n’y a pas d’autre choix que de s’allier avec la personne avec qui vous étiez en train de combattre. Du coup Bam et Khun se retrouve à faire équipe avec Rak le crocodile et se dirigent vers le test suivant. Ce volume s’attarde aussi sur d’autres équipes qui auront leur importance plus tard, car plus on monte dans la tour, moins il y a de réguliers, ils seront donc amenés à s’allier ou s’affronter par la suite. On découvre aussi que la force n’est pas le seul atout qu’il faut avoir dans ce périple, la chance et la capacité à s’adapter au shinsu (sorte d’énergie qui peut servir d’arme si besoin) sont aussi déterminants. Le tome est tout aussi captivant et intriguant que le 1er, les particularités de la tour se dévoilent peu à peu et les personnages ont tous un caractère bien définis (même ceux qui semblent secondaires). Tower of God nous montre à nouveau que son univers est très travaillé et offre des possibilités de développement infinies. On aimerait juste que le livre soit plus épais pour en profiter plus longtemps. Une réussite ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tower-of-god-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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