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  1. Nickad

    l'Ile aux escaliers tome 1

    Quel étrange récit que celui-là ! Imaginez une île où l’on arrive sans savoir comment, en ayant oublié plusieurs jours ou plusieurs mois, une île où une vie tranquille vous attend, où tout est fait pour que vous vous y sentiez bien. Où même en ayant conscience que la situation n’est pas normale vous ne ressentiez pas le besoin de partir. Et de toute façon, même si vous vouliez vous ne pourriez pas, car l’île aux escaliers ne laisse partir que ceux qui ont retrouvé ce qu’ils ont perdu. Du mystère, voilà ce qu’il y a dans cette histoire, comme les personnages, on ne sait pas grand-chose, et c’est l’arrivée de Manabe qui va enfin faire bouger les choses. Il y a une sorte de mélancolie qui se dégage du livre, une étrange sensation de planer entre deux mondes, les personnages sont-ils dans un rêve ou la réalité ? Et si finalement, l’île n’était qu’une métaphore ? Un moyen de se trouver soi-même ? Encore une fois, la collection moonlight nous surprend avec ce manga adapté d’un roman de Yutaka Kono. L’histoire est très originale, servie par des dessins agréables, empreints d’une certaine douceur et laissant transparaitre la magie ambiante. Série finie en 3 tomes.
  2. Titre de l'album : l'Ile aux escaliers tome 1 Scenariste de l'album : KONO Yutaka Dessinateur de l'album : UZUKI Ai Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : On raconte qu'au sommet des marches dont cette île tire son nom vit une sorcière, et que tous ceux qui aspirent à quitter cet endroit doivent absolument trouver... ce qu'ils ont pu perdre quand ils y sont arrivés. J'ignore ce que c'est. Mais je sais une chose. C'est que quand MANABE, une fille au regard déterminé, a débarqué ici, j'ai eu le sentiment que plus rien ne serait jamais plus comme avant... Critique : Quel étrange récit que celui-là ! Imaginez une île où l’on arrive sans savoir comment, en ayant oublié plusieurs jours ou plusieurs mois, une île où une vie tranquille vous attend, où tout est fait pour que vous vous y sentiez bien. Où même en ayant conscience que la situation n’est pas normale vous ne ressentiez pas le besoin de partir. Et de toute façon, même si vous vouliez vous ne pourriez pas, car l’île aux escaliers ne laisse partir que ceux qui ont retrouvé ce qu’ils ont perdu. Du mystère, voilà ce qu’il y a dans cette histoire, comme les personnages, on ne sait pas grand-chose, et c’est l’arrivée de Manabe qui va enfin faire bouger les choses. Il y a une sorte de mélancolie qui se dégage du livre, une étrange sensation de planer entre deux mondes, les personnages sont-ils dans un rêve ou la réalité ? Et si finalement, l’île n’était qu’une métaphore ? Un moyen de se trouver soi-même ? Encore une fois, la collection moonlight nous surprend avec ce manga adapté d’un roman de Yutaka Kono. L’histoire est très originale, servie par des dessins agréables, empreints d’une certaine douceur et laissant transparaitre la magie ambiante. Série finie en 3 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-ile-aux-escaliers-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    Solo Leveling tome 2

    Jinwoo a maintenant accédé à un système différent, en plus d’être un chasseur, il devient aussi un joueur bien qu’il ne sache pas dans quoi exactement. Il va apprendre qu’il est tenu de se plier à ces nouvelles règles sans quoi sa vie peut s’arrêter mais qu’il peut aussi en tirer parti : comment augmenter ses capacités et surtout comment s’en servir. Si la 1ere moitié du tome se concentre sur l’évolution de ses nouvelles capacités et la compréhension du fonctionnement de ce nouveau système. La 2eme est la conquête d’un nouveau donjon, avec une nouvelle équipe. Jinwoo va ainsi entrer dans son premier donjon de niveau C et affronter de nouvelles épreuves. Côté mise en page, on a toujours quelques petits défauts : la réduction des vignettes pour en mettre un maximum, fait que certaines informations sont difficiles à lire : par exemple les fenêtres d’informations sur les capacités de Jinwoo sont tellement écrites petites qu’il m’a presque fallu prendre une loupe ! Le sens de lecture des images n’est pas toujours intuitif : parfois on doit d’abord lire la page de gauche puis celle de droite, parfois c’est en partie sur les 2 pages, et certaines images à cheval ne sont pas toujours très lisibles. Solo leveling reste un très bon webtoon, toujours servi par de superbes illustrations. L’action bat son plein; l’histoire est fluide et prend parfois des chemins inattendus (surtout à la fin de ce tome, mais ça, il vous faudra le lire pour le découvrir !).
  4. Titre de l'album : Solo Leveling tome 2 Scenariste de l'album : CHUGONG Dessinateur de l'album : DUBU (REDICE STUDIO) Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Lorsque d'étranges portails sont apparus aux quatre coins du monde, l'humanité a dû trouver une parade pour ne pas finir massacrée par les griffes des monstres des monstres qui en sortent. Dans le même temps, certaines personnes ont développé des capacités permettant de les chasser. Ces combattants intrépides n'hésitent pas à foncer au cœur des donjons pour combattre les créatures qu'ils abritent. Critique : Jinwoo a maintenant accédé à un système différent, en plus d’être un chasseur, il devient aussi un joueur bien qu’il ne sache pas dans quoi exactement. Il va apprendre qu’il est tenu de se plier à ces nouvelles règles sans quoi sa vie peut s’arrêter mais qu’il peut aussi en tirer parti : comment augmenter ses capacités et surtout comment s’en servir. Si la 1ere moitié du tome se concentre sur l’évolution de ses nouvelles capacités et la compréhension du fonctionnement de ce nouveau système. La 2eme est la conquête d’un nouveau donjon, avec une nouvelle équipe. Jinwoo va ainsi entrer dans son premier donjon de niveau C et affronter de nouvelles épreuves. Côté mise en page, on a toujours quelques petits défauts : la réduction des vignettes pour en mettre un maximum, fait que certaines informations sont difficiles à lire : par exemple les fenêtres d’informations sur les capacités de Jinwoo sont tellement écrites petites qu’il m’a presque fallu prendre une loupe ! Le sens de lecture des images n’est pas toujours intuitif : parfois on doit d’abord lire la page de gauche puis celle de droite, parfois c’est en partie sur les 2 pages, et certaines images à cheval ne sont pas toujours très lisibles. Solo leveling reste un très bon webtoon, toujours servi par de superbes illustrations. L’action bat son plein; l’histoire est fluide et prend parfois des chemins inattendus (surtout à la fin de ce tome, mais ça, il vous faudra le lire pour le découvrir !). Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/solo-leveling-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nickad

    Chiruran tomes 1 et 2

    Pour ceux qui s’intéressent un peu au Japon et à l’époque des samouraïs, difficile de ne pas avoir entendu le nom de Shinsen Gumi, une milice essentiellement composée de rônins qui faisait régner l’ordre à Kyoto à la fin du shogunat Tokugawa. Chiruran revient donc sur les origines de ce groupement et sur ses personnages marquants : Isami Kondo, Toshizo Hijikata, Soji Okita, Hajime Saito, Shinpachi Nagakura parmi les plus connus. On a pu découvrir certains de ces noms dans le manga Kenshin le vagabond. Chiruran (comprendre « les pétales dispersées » selon l’auteur) est d’abord un manga historique : nous sommes en 1859, l’arrivée du commodore Matthew C. Perry en 1953 a forcé le Japon à s’ouvrir aux autres pays mais a aussi entrainé de nombreux troubles et luttes politiques au sein du gouvernement, opposant le shogun aux impérialistes (pour faire simple). La révolution Meiji mettra en place un gouvernement tourné vers la modernité qui abolira par la suite l’ancien système des seigneurs féodaux et interdira le port du sabre en 1876 marquant ainsi la fin des samouraïs. Le manga commence en 1912, une jeune journaliste rencontre l’un des survivants du Shinsen Gumi : Shinpachi Nagakura et va lui demander de revenir sur le passé, ce sera donc lui le narrateur. Il oriente le récit autour de Toshizo Hijitaka surnommé « le chien fou du Shieikan ». On verra donc ses rencontres et ses duels, avec les futurs membres de la milice, puis on les suivra au cours de leur évolution et des événements historiques. Et vu que la période était très troublée, il y a de quoi faire, le manga en est d’ailleurs à 29 tomes et est toujours en cours. Le récit, certainement en partie romancée, est très ancré dans l’action, ce sont tous des personnages forts avec une vraie « gueule », Eiji Hashimoto se permet de bien marqué les visages d’une part pour les identifier rapidement et ensuite pour leur donner du caractère. Le dessin est d’ailleurs très travaillé, avec une bonne représentation des villes et une bonne dynamique dans les combats. Les deux premiers tomes représentent la mise en place du récit : on apprend à connaître les personnages, leurs caractère et motivations, tout en se recadrant dans le contexte historique. Le rythme est soutenu, le dessin réaliste, on plonge vraiment dans l’action et on ne s’ennuie pas un seul instant. Un bon début pour cette série destinée à devenir un titre phare des éditions Mangetsu comme Ao Ashi.
  6. Titre de l'album : Chiruran tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : UMEMURA Shinya Dessinateur de l'album : HASHIMOTO Eiji Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Edo, 1859. Le shogunat Tokugawa vit ses derniers instants. Toshiz Hijikata, 24 ans, s'entête à défier tous les samouraïs qui croisent sa route. Son rêve ? Devenir le sabreur le plus puissant de la capitale.Des années plus tard, on le surnommera « le démon du Shinsen Gumi », une milice samouraï légendaire dont il prendra le vice-commandement... À quoi pensait-il ? Que cherchait-il ? Et surtout, quelles vérités Shinpachi Nagakura, l'un des rares survivants de cette époque tumultueuse, révélera-t-il au sujet de son ancien compagnon ?C'est ici que débute la légende d'une bande de vauriens abonnée aux coups d'éclat. Critique : Pour ceux qui s’intéressent un peu au Japon et à l’époque des samouraïs, difficile de ne pas avoir entendu le nom de Shinsen Gumi, une milice essentiellement composée de rônins qui faisait régner l’ordre à Kyoto à la fin du shogunat Tokugawa. Chiruran revient donc sur les origines de ce groupement et sur ses personnages marquants : Isami Kondo, Toshizo Hijikata, Soji Okita, Hajime Saito, Shinpachi Nagakura parmi les plus connus. On a pu découvrir certains de ces noms dans le manga Kenshin le vagabond. Chiruran (comprendre « les pétales dispersées » selon l’auteur) est d’abord un manga historique : nous sommes en 1859, l’arrivée du commodore Matthew C. Perry en 1953 a forcé le Japon à s’ouvrir aux autres pays mais a aussi entrainé de nombreux troubles et luttes politiques au sein du gouvernement, opposant le shogun aux impérialistes (pour faire simple). La révolution Meiji mettra en place un gouvernement tourné vers la modernité qui abolira par la suite l’ancien système des seigneurs féodaux et interdira le port du sabre en 1876 marquant ainsi la fin des samouraïs. Le manga commence en 1912, une jeune journaliste rencontre l’un des survivants du Shinsen Gumi : Shinpachi Nagakura et va lui demander de revenir sur le passé, ce sera donc lui le narrateur. Il oriente le récit autour de Toshizo Hijitaka surnommé « le chien fou du Shieikan ». On verra donc ses rencontres et ses duels, avec les futurs membres de la milice, puis on les suivra au cours de leur évolution et des événements historiques. Et vu que la période était très troublée, il y a de quoi faire, le manga en est d’ailleurs à 29 tomes et est toujours en cours. Le récit, certainement en partie romancée, est très ancré dans l’action, ce sont tous des personnages forts avec une vraie « gueule », Eiji Hashimoto se permet de bien marqué les visages d’une part pour les identifier rapidement et ensuite pour leur donner du caractère. Le dessin est d’ailleurs très travaillé, avec une bonne représentation des villes et une bonne dynamique dans les combats. Les deux premiers tomes représentent la mise en place du récit : on apprend à connaître les personnages, leurs caractère et motivations, tout en se recadrant dans le contexte historique. Le rythme est soutenu, le dessin réaliste, on plonge vraiment dans l’action et on ne s’ennuie pas un seul instant. Un bon début pour cette série destinée à devenir un titre phare des éditions Mangetsu comme Ao Ashi. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chiruran-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    Tower of God tome 1

    Avec Noblesse, Tower of God fait partie de mes premiers webtoon et de mes webtoon préférés !!. Commencé en 2010, la série est toujours en cours (494 chapitres à ce jour). Le 1er tome comprend les 7 premiers, ce qui va faire beaucoup de tomes au final… mais après tout one piece va sortir le 100eme à la fin de l’année donc ce n’est pas un obstacle ! Tower of God c’est un manga fantastique dans un univers complétement inédit : il existe une tour avec plein d’étages, ceux qui arrivent en haut de cette tour peuvent obtenir tout ce qu’ils désirent ! Seulement voilà, la concurrence est rude, à chaque étage il y a des épreuves à réussir, seule une poignée progresse. Mais n’importe qui ne peut pas accéder à la tour, elle choisit ses élus ! Et de temps en temps, un être y accède par ses propres moyens, il devient alors un « irrégulier », c’est le cas de Bam, notre personnage principal, que l’on va suivre tout au long de son ascension. Tower of God a un univers riche, dans ses décors, dans les capacités des personnages, dans la diversité des peuples de la tour. Mais c’est surtout une ambiance particulière, énigmatique et captivante, parfois sombre. C’est de l’aventure et de l’action, mais aussi l’histoire de relations, de liens qui se tissent et se défont. Une série originale et prenante ! L’édition respecte bien le webtoon, dans un petit format, tout en couleur, sens coréen donc pareil qu’en France ! Pour information, le début est disponible en anime sur crunchyroll et respecte bien le déroulé de l’histoire.
  8. Titre de l'album : Tower of God tome 1 Scenariste de l'album : SIU Dessinateur de l'album : SIU Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Bam, un jeune homme ayant perdu la mémoire vit seul, abandonné dans un monde désolé.Il fait la connaissance de la jeune Rachel qui lui rend souvent visite et prend soin de lui, jusqu´à ce que cette dernière le quitte pour rejoindre la Tour des dieux.Dans l´unique but de retrouver la fille qu´il aime Bam réussi à quitter son monde et à entrer dans la Tour.Toutefois, seuls les plus talentueux auront une chance de la gravir.Mensonge, alliance, traitrise, pouvoir mystérieux, meurtres les alliés d´hier deviendrons les ennemies de demain afin d´atteindre le sommet de la tour des dieux. Critique : Avec Noblesse, Tower of God fait partie de mes premiers webtoon et de mes webtoon préférés !!. Commencé en 2010, la série est toujours en cours (494 chapitres à ce jour). Le 1er tome comprend les 7 premiers, ce qui va faire beaucoup de tomes au final… mais après tout one piece va sortir le 100eme à la fin de l’année donc ce n’est pas un obstacle ! Tower of God c’est un manga fantastique dans un univers complétement inédit : il existe une tour avec plein d’étages, ceux qui arrivent en haut de cette tour peuvent obtenir tout ce qu’ils désirent ! Seulement voilà, la concurrence est rude, à chaque étage il y a des épreuves à réussir, seule une poignée progresse. Mais n’importe qui ne peut pas accéder à la tour, elle choisit ses élus ! Et de temps en temps, un être y accède par ses propres moyens, il devient alors un « irrégulier », c’est le cas de Bam, notre personnage principal, que l’on va suivre tout au long de son ascension. Tower of God a un univers riche, dans ses décors, dans les capacités des personnages, dans la diversité des peuples de la tour. Mais c’est surtout une ambiance particulière, énigmatique et captivante, parfois sombre. C’est de l’aventure et de l’action, mais aussi l’histoire de relations, de liens qui se tissent et se défont. Une série originale et prenante ! L’édition respecte bien le webtoon, dans un petit format, tout en couleur, sens coréen donc pareil qu’en France ! Pour information, le début est disponible en anime sur crunchyroll et respecte bien le déroulé de l’histoire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tower-of-god-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Ace of hearts tome 1

    Avant toute chose, je vous conseille de lire le résumé avant de vous lancer dans la lecture ; ce que j’ai fait au bout du 1er chapitre car j’étais totalement perdue… Il s’agit d’un récit fantastique, se déroulant au début du 20e siècle. Certains humains sont « possédés » par d’anciennes divinités égyptiennes : on les appelle les syndromes. Parfois, les divinités se manifestent de façon étrange et peuvent mettre en danger leur entourage, c’est pourquoi des lois spéciales existent et il arrive qu’ils soient pourchassés. L’histoire se déroule dans un collège où sont réunis plusieurs enfants touchés par les syndromes. Pour le coup, l’histoire est originale, le graphisme intéressant, le côté obscur et sombre de l’histoire ressort bien. Par contre, c’est un peu fouillis, il y a quelques manques dans le scénario pour que l’histoire soit fluide et compréhensible. On sent que l’auteure a du potentiel (sauf erreur c’est son premier manga), mais le tout est encore un peu jeune. C’est donc une histoire intéressante, inédite, qui ne pourra que se bonifier !
  10. Titre de l'album : Ace of hearts tome 1 Scenariste de l'album : Shiru Midoriiro Dessinateur de l'album : Shiru Midoriiro Coloriste : Editeur de l'album : Shockdom Note : Résumé de l'album : Lian et Noha, deux enfants sans un toit, s'introduisent dans un institut. Le directeur, Monsieur Kimmer, un homme mystérieux, décide de les accueillir avec la promesse d'un avenir serein. Toutefois, cela ne dure pas longtemps, car les deux enfants découvrent de posséder des capacités extraordinaires et se retrouvent avec l'armée aux trousses. Le syndrome qui touche Lian est très rare et le garçon a du mal à le maîtriser. Et pourtant, malgré leur « particularité », Monsieur Kimmer maintient le secret et décide de les garder sous sa protection. Critique : Avant toute chose, je vous conseille de lire le résumé avant de vous lancer dans la lecture ; ce que j’ai fait au bout du 1er chapitre car j’étais totalement perdue… Il s’agit d’un récit fantastique, se déroulant au début du 20e siècle. Certains humains sont « possédés » par d’anciennes divinités égyptiennes : on les appelle les syndromes. Parfois, les divinités se manifestent de façon étrange et peuvent mettre en danger leur entourage, c’est pourquoi des lois spéciales existent et il arrive qu’ils soient pourchassés. L’histoire se déroule dans un collège où sont réunis plusieurs enfants touchés par les syndromes. Pour le coup, l’histoire est originale, le graphisme intéressant, le côté obscur et sombre de l’histoire ressort bien. Par contre, c’est un peu fouillis, il y a quelques manques dans le scénario pour que l’histoire soit fluide et compréhensible. On sent que l’auteure a du potentiel (sauf erreur c’est son premier manga), mais le tout est encore un peu jeune. C’est donc une histoire intéressante, inédite, qui ne pourra que se bonifier ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ace-of-hearts-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    La gameuse et son chat tome 3

    Le chat de notre gameuse a grandi, il peut maintenant grimper plus haut, sauter sur les meubles et donc faire plus de dégâts. Après avoir acheté un arbre à chat gigantesque et tout un tas d’accessoires dont un griffoir, Kozakura s’apprête à faire un nouveau jeu très attendu. Mais quand on est fan de jeu, le plus important c’est le temps à y consacrer ! Elle se fait un emploi du temps rigoureux pour cela, mais son chat n’a pas donné son accord et va venir perturber le planning ! L’auteur sait se renouveler dans les petites anecdotes du quotidien et même si le passage du jeu interrompu ou raté parce que le chat joue avec la manette et les boutons revient régulièrement, il y a assez d’à-côtés pour ne pas se lasser. Ceux qui ont un chat chez eux devraient se retrouver dans ces petites histoires. Le manga a toujours son côté super mignon avec des postures du chat irrésistibles, mais aussi le côté humoristiques d’autant plus que Kozakura voit tous ce qui l’entoure comme un jeu, les griffes du chat devenant les lames de l’assassin, les connaissances de l’employée du magasin pour animaux faisant d’elle « le grand sage »… Un manga sympathique et distrayant, un bon moment de détente !
  12. Titre de l'album : La gameuse et son chat tome 3 Scenariste de l'album : NADATANI Wataru Dessinateur de l'album : NADATANI Wataru Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Comment survivre à l'arrivée d'un chat quand on ne vit que pour les jeux vidéo ? La nouvelle série de l'auteur de Félin pour l'autre ! Kozakura, 29 ans, célibataire et fière de l'être. Son but dans la vie : consacrer la moindre minute de son temps libre aux jeux vidéo. Mais voilà qu'un nouveau joueur fait son apparition dans sa vie : un petit chat tout ce qu'il y a de plus réel, qui va bien l'occuper entre deux parties... Car cohabiter avec un félin plein de vie, ce n'est pas pour les petits joueurs, et la gameuse va le découvrir à ses dépens ! Critique : Le chat de notre gameuse a grandi, il peut maintenant grimper plus haut, sauter sur les meubles et donc faire plus de dégâts. Après avoir acheté un arbre à chat gigantesque et tout un tas d’accessoires dont un griffoir, Kozakura s’apprête à faire un nouveau jeu très attendu. Mais quand on est fan de jeu, le plus important c’est le temps à y consacrer ! Elle se fait un emploi du temps rigoureux pour cela, mais son chat n’a pas donné son accord et va venir perturber le planning ! L’auteur sait se renouveler dans les petites anecdotes du quotidien et même si le passage du jeu interrompu ou raté parce que le chat joue avec la manette et les boutons revient régulièrement, il y a assez d’à-côtés pour ne pas se lasser. Ceux qui ont un chat chez eux devraient se retrouver dans ces petites histoires. Le manga a toujours son côté super mignon avec des postures du chat irrésistibles, mais aussi le côté humoristiques d’autant plus que Kozakura voit tous ce qui l’entoure comme un jeu, les griffes du chat devenant les lames de l’assassin, les connaissances de l’employée du magasin pour animaux faisant d’elle « le grand sage »… Un manga sympathique et distrayant, un bon moment de détente ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-gameuse-et-son-chat-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Zechs a enfin maitrisé sa magie grâce au leçons adaptées de Léon vu qu’il souffre de dyslexie. Il rejoint une guilde où il excelle, puis fini par être recruté par la forteresse de fer, là où sont les plus grands sorciers. Seulement, du fait de ses origines, où qu’il se trouve il est confronté aux même discriminations. Déjà que les sorciers sont très mal vus, le fait d’être serdien le met même à l’écart des autres sorciers, et son talent inné fait qu’il est très jalousé. Au travers de ces différents événements, l’auteur approfondi les aspects liés à la différence, les sentiments de jalousie face au talent, le comportement de masse tel des moutons de Panurge. Le tome est plus dans l’action que le précédent et Zechs va devoir se battre surtout contre les hommes pour faire changer les mentalités. C’est un tome très prenant qui s’arrête beaucoup trop tôt ! Vivement le 3 !
  14. Titre de l'album : Les tisserands de la vérité tome 2 Scenariste de l'album : SATÔ Sakura Dessinateur de l'album : INUDUKA Hiro Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Leon est un sorcier aux faibles pouvoirs. Zechs est quant à lui un enfant prodige, mais qui est incapable de lire. Ce dernier est envoyé auprès de Leon pour apprendre la magie. Zechs n’aspire qu’à une chose : retourner à la “forteresse de fer” et obtenir un statut élevé, pour que plus personne ne puisse le prendre de haut à cause de ses origines. Cependant, il n’aurait jamais pensé que son maître, sa désormais seule famille, se mette en travers de son chemin… Critique : Zechs a enfin maitrisé sa magie grâce au leçons adaptées de Léon vu qu’il souffre de dyslexie. Il rejoint une guilde où il excelle, puis fini par être recruté par la forteresse de fer, là où sont les plus grands sorciers. Seulement, du fait de ses origines, où qu’il se trouve il est confronté aux même discriminations. Déjà que les sorciers sont très mal vus, le fait d’être serdien le met même à l’écart des autres sorciers, et son talent inné fait qu’il est très jalousé. Au travers de ces différents événements, l’auteur approfondi les aspects liés à la différence, les sentiments de jalousie face au talent, le comportement de masse tel des moutons de Panurge. Le tome est plus dans l’action que le précédent et Zechs va devoir se battre surtout contre les hommes pour faire changer les mentalités. C’est un tome très prenant qui s’arrête beaucoup trop tôt ! Vivement le 3 ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-tisserands-de-la-verite-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nickad

    Overlord tome 13

    Même si le personnage principal Momonga se retrouve coincé dans le jeu comme dans sword art online, le parallèle s’arrête là. En effet, l’univers dans lequel il arrive ressemble fortement au jeu Yggdrasil mais l’environnement est un peu différent : la forteresse de la guilde est la même mais le monde autour ne ressemble à rien de connu et les PNJ (personnages non joueurs) ont vraiment pris vie avec leur propre conscience et personnalité. Momonga par ailleurs est loin d’être un héros, c’est un PK (player killer), chef puissant d’une guilde obscure, squelette et nécromancien, il n’hésite pas à éliminer tous ceux qui ne lui servent à rien. N’ayant pas d’attaches dans la vraie vie, il se demande s’il y a un intérêt à retourner dans le monde réel. En attendant, il va apprendre à connaitre les PNJ que lui et ses coéquipiers ont créés et va tout faire pour que le nom de leur guilde « Ainz Ooal Gown » devienne connu dans le monde entier au cas où d’autres de ses camarades seraient aussi piégés dans le jeu. L’univers du jeu est très travaillé, les dessins détaillés, l’univers est assez sombre et nous montre bien que Overlord est du côté des ténèbres. Concernant l’histoire, le côté réel est presque totalement absent, car même s’il s’agit d’un humain qui joue, il ne cherche pas à retrouver des objets de sa vie d’avant et ne pense que très rarement au monde d’où il vient. On est vraiment en immersion dans ce nouveau monde et on suit simplement les aventures de ces personnages : une histoire de fantasy pure. Momonga vient de finir une opération visant à faire de lui un aventurier de renom (ça c’est pour les apparences), en même temps, il décide de devenir le roi de la pègre, en sachant que le but ultime est de conquérir le monde ! Le tome 13 est un tome de transition se situant à la fin d’un événement, il enchaine des petites anecdotes, pas déplaisantes mais pas toujours intéressantes, il est un peu moins dans l’action que les précédents, un entracte en quelques sortes. La série n’est pas déplaisante mais il n’y a pas de sens caché, il faut vraiment la prendre comme une aventure. Donc si vous aimez les créatures fantastiques et les combats, Overlord devrait vous plaire. Sachez que vous pouvez retrouver les personnages dans le light novel à l’origine du manga et dans l’anime, la série est toujours en cours.
  16. Nickad

    Overlord tome 13

    Titre de l'album : Overlord tome 13 Scenariste de l'album : OSHIO Satoshi Dessinateur de l'album : MIYAMA Hugin Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Nous sommes en l'an 2138. Yggdrasil, le célèbre MMORPG à succès est sur le point de fermer. Momonga, nécromancien mort vivant de niveau 100, chef de la puissante guilde « Ainz Ooal Gown », attend seul l'arrêt du jeu. Cependant, l'heure de la fermeture passée, Momonga ne se déconnecte pas et les personnages non jouables se retrouvent dotés dune conscience Prisonnier d'un monde inconnu, notre seigneur maléfique va partir à la recherche d'un nouveau but à son existence et prendre la décision de conquérir ce nouvel univers tout en y laissant son empreinte... Critique : Même si le personnage principal Momonga se retrouve coincé dans le jeu comme dans sword art online, le parallèle s’arrête là. En effet, l’univers dans lequel il arrive ressemble fortement au jeu Yggdrasil mais l’environnement est un peu différent : la forteresse de la guilde est la même mais le monde autour ne ressemble à rien de connu et les PNJ (personnages non joueurs) ont vraiment pris vie avec leur propre conscience et personnalité. Momonga par ailleurs est loin d’être un héros, c’est un PK (player killer), chef puissant d’une guilde obscure, squelette et nécromancien, il n’hésite pas à éliminer tous ceux qui ne lui servent à rien. N’ayant pas d’attaches dans la vraie vie, il se demande s’il y a un intérêt à retourner dans le monde réel. En attendant, il va apprendre à connaitre les PNJ que lui et ses coéquipiers ont créés et va tout faire pour que le nom de leur guilde « Ainz Ooal Gown » devienne connu dans le monde entier au cas où d’autres de ses camarades seraient aussi piégés dans le jeu. L’univers du jeu est très travaillé, les dessins détaillés, l’univers est assez sombre et nous montre bien que Overlord est du côté des ténèbres. Concernant l’histoire, le côté réel est presque totalement absent, car même s’il s’agit d’un humain qui joue, il ne cherche pas à retrouver des objets de sa vie d’avant et ne pense que très rarement au monde d’où il vient. On est vraiment en immersion dans ce nouveau monde et on suit simplement les aventures de ces personnages : une histoire de fantasy pure. Momonga vient de finir une opération visant à faire de lui un aventurier de renom (ça c’est pour les apparences), en même temps, il décide de devenir le roi de la pègre, en sachant que le but ultime est de conquérir le monde ! Le tome 13 est un tome de transition se situant à la fin d’un événement, il enchaine des petites anecdotes, pas déplaisantes mais pas toujours intéressantes, il est un peu moins dans l’action que les précédents, un entracte en quelques sortes. La série n’est pas déplaisante mais il n’y a pas de sens caché, il faut vraiment la prendre comme une aventure. Donc si vous aimez les créatures fantastiques et les combats, Overlord devrait vous plaire. Sachez que vous pouvez retrouver les personnages dans le light novel à l’origine du manga et dans l’anime, la série est toujours en cours. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/overlord-tome-13?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    L'enfant du dragon fantôme tome 1

    Dans un monde de magie, un dragon décide de s’occuper d’une petite humaine abandonnée. Mais les jours du vieux dragon sont comptés, Eve seule à nouveau, développe des capacités magiques et arrive à ramener l’âme du dragon. Commence alors le périple de ce duo improbable : une petite magicienne, ignorante de la société et le fantôme du dragon protecteur. Le contexte n’est pas sans rappeler d’autres mangas de Komikku avec des duos étonnant comme dans Somali et l’esprit de la forêt ou the ancient magus bride. Le dessin est agréable, les décors sont bien travaillés et détaillés, les personnages énigmatiques, l’ambiance plutôt douce malgré des scènes d’action. L’histoire a aussi une portée moderne avec un message écologique puisque le début se passe dans une forêt qui sert de déchetterie, les personnages font ensuite attention au comportement des animaux, à la préservation de leur espace naturel. Il y a aussi une leçon sur le savoir vivre en société et une critique de la même société qui n’hésite pas à détruire pour son profit. Une aventure magique tout en douceur pour ce 1er tome à la lecture fluide et agréable.
  18. Titre de l'album : L'enfant du dragon fantôme tome 1 Scenariste de l'album : YUKISHIRO Ichi Dessinateur de l'album : YUKISHIRO Ichi Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Dans monde imaginaire, il existe une forêt que tout le monde prend pour une décharge. Au milieu de celle-ci vit un vieux dragon dont les jours sont comptés. Un jour, il trouve par hasard une petite fille qui a été abandonnée au milieu des déchets. Contre toute attente, il va la prendre sous son aile pour la protéger. Peu après, le vieux dragon meurt, mais il se réincarne tel un phénix en un jeune dragon squelettique. Avec la jeune fille baptisée Eve, ils vont aller au-devant d'une grande aventure magique dans un monde qui leur est inconnue ! Critique : Dans un monde de magie, un dragon décide de s’occuper d’une petite humaine abandonnée. Mais les jours du vieux dragon sont comptés, Eve seule à nouveau, développe des capacités magiques et arrive à ramener l’âme du dragon. Commence alors le périple de ce duo improbable : une petite magicienne, ignorante de la société et le fantôme du dragon protecteur. Le contexte n’est pas sans rappeler d’autres mangas de Komikku avec des duos étonnant comme dans Somali et l’esprit de la forêt ou the ancient magus bride. Le dessin est agréable, les décors sont bien travaillés et détaillés, les personnages énigmatiques, l’ambiance plutôt douce malgré des scènes d’action. L’histoire a aussi une portée moderne avec un message écologique puisque le début se passe dans une forêt qui sert de déchetterie, les personnages font ensuite attention au comportement des animaux, à la préservation de leur espace naturel. Il y a aussi une leçon sur le savoir vivre en société et une critique de la même société qui n’hésite pas à détruire pour son profit. Une aventure magique tout en douceur pour ce 1er tome à la lecture fluide et agréable. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/enfant-dragon-fantome-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    AO ASHI - playmaker tomes 1 et 2

    Lancement du 1er titre des éditions Mangetsu avec Ao Ashi, un manga de Yûgo Kobayashi, édité depuis 2015 qui a remporté la 65e édition des Manga Awards en 2020. Le manga de sport n’est pas forcément le genre que j’affectionne et je ne suis pas une assidue du football, loin de là même. Et pourtant ce manga m’a prise dans ses filets, j’ai lu les 2 tomes d’un coup ! Ouah ! le foot ce n’est donc pas que des gens qui tapent dans un ballon pour marquer des buts !! 😁 L’auteur sait mettre en valeur tout ce qu’il y a autour du jeu : l’importance de la composition de l’équipe, des positions des joueurs, l’indispensable esprit d’équipe, le sens de l’observation, et l’acquisition des techniques. Le jeune Ashito Aoi a certainement un don pour ce sport, il part donc passer les détections pour essayer de devenir professionnel. Au cours des épreuves, il va se rendre compte qu’il ne suffit pas d’être dynamique, endurant et aimer le foot pour être un bon joueur. Car finalement, tous les aspirants le sont ! Ne pas se décourager et motiver l’équipe sont aussi des éléments indispensables. Il va aussi apprendre que certains sont prêts à tout pour éliminer la concurrence. Ces deux premiers tomes sont centrés sur les épreuves de détection, presque que du sport donc ! Mais il y a un tel rythme souligné par un graphisme dynamique que l’on est happés par le match et prêts à les encourager. Le manga est présenté comme un mélange shonen (pour le sport) et seinen pour tout ce qui se passe en dehors du terrain, c’est ce qui lui permet sans doute de tenir (24 tomes en cours), impossible de juger cet aspect pour le moment. En attendant, c’est un très bon début !
  20. Titre de l'album : AO ASHI - playmaker tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : KOBAYASHI Yûgo Dessinateur de l'album : KOBAYASHI Yûgo Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Aoi Ashito habite dans la préfecture d’Ehime et ne l’a jamais quittée. Bien qu’il soit un surdoué du football, il souffre depuis toujours d’un caractère trop impulsif. Après avoir été témoin du talent d’Ashito, le directeur des U18 du Tokyo Esperion FC, lui recommande de participer à une détection à Tokyo. Sans le sou ni véritable connaissance des rouages de la formation professionnelle, Ashito se lance corps et âme dans un grand voyage, qui l’amènera peut-être un jour jusqu’aux sommets du football japonais. Critique : Lancement du 1er titre des éditions Mangetsu avec Ao Ashi, un manga de Yûgo Kobayashi, édité depuis 2015 qui a remporté la 65e édition des Manga Awards en 2020. Le manga de sport n’est pas forcément le genre que j’affectionne et je ne suis pas une assidue du football, loin de là même. Et pourtant ce manga m’a prise dans ses filets, j’ai lu les 2 tomes d’un coup ! Ouah ! le foot ce n’est donc pas que des gens qui tapent dans un ballon pour marquer des buts !! 😁 L’auteur sait mettre en valeur tout ce qu’il y a autour du jeu : l’importance de la composition de l’équipe, des positions des joueurs, l’indispensable esprit d’équipe, le sens de l’observation, et l’acquisition des techniques. Le jeune Ashito Aoi a certainement un don pour ce sport, il part donc passer les détections pour essayer de devenir professionnel. Au cours des épreuves, il va se rendre compte qu’il ne suffit pas d’être dynamique, endurant et aimer le foot pour être un bon joueur. Car finalement, tous les aspirants le sont ! Ne pas se décourager et motiver l’équipe sont aussi des éléments indispensables. Il va aussi apprendre que certains sont prêts à tout pour éliminer la concurrence. Ces deux premiers tomes sont centrés sur les épreuves de détection, presque que du sport donc ! Mais il y a un tel rythme souligné par un graphisme dynamique que l’on est happés par le match et prêts à les encourager. Le manga est présenté comme un mélange shonen (pour le sport) et seinen pour tout ce qui se passe en dehors du terrain, c’est ce qui lui permet sans doute de tenir (24 tomes en cours), impossible de juger cet aspect pour le moment. En attendant, c’est un très bon début ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ao-ashi-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Nickad

    Battle game in 5 seconds tome 14

    Voilà un bon tome sous tension : le jeune X a pris des otages et appel à l’affrontement avec Ringo. Ne pouvant pas laisser des innocents se faire tuer, il va lui falloir trouver une stratégie pour gagner contre ce poseur de bombes. Seulement comment contrer une personne qui peut transformer tout ce qui a de la valeur en bombes ? Comment utiliser au mieux les pouvoirs de membre de l’équipe ? Quelle stratégie adopter ? Un tome plein d’actions et de réflexions où il va falloir être plus malin que l’adversaire, qui permet en même temps d’avoir une approche philosophique sur la valeur d’une vie. Un tome très prenant qui ne nous laisse pas une minute pour souffler !
  22. Titre de l'album : Battle game in 5 seconds tome 14 Scenariste de l'album : HARAWATA Saizou Dessinateur de l'album : KASHIWA Miyako Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Pariant sur de faibles chances de s'en sortir, Akira fonce dans le Désastre où il retrouve Yûri. Mais qu'est-ce qui l'a vraiment motivé à s'élancer dans ce jeu au mépris du danger ? Pendant ce temps, à Tokyo, l'ennemi menace Ringo, qui a survécu après avoir frôlé la mort. Kitajima et elle vont-ils se sortir de cette situation très épineuse ? Critique : Voilà un bon tome sous tension : le jeune X a pris des otages et appel à l’affrontement avec Ringo. Ne pouvant pas laisser des innocents se faire tuer, il va lui falloir trouver une stratégie pour gagner contre ce poseur de bombes. Seulement comment contrer une personne qui peut transformer tout ce qui a de la valeur en bombes ? Comment utiliser au mieux les pouvoirs de membre de l’équipe ? Quelle stratégie adopter ? Un tome plein d’actions et de réflexions où il va falloir être plus malin que l’adversaire, qui permet en même temps d’avoir une approche philosophique sur la valeur d’une vie. Un tome très prenant qui ne nous laisse pas une minute pour souffler ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/battle-game-in-5-seconds-tome-14?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Cet arc est sans doute et pour le moment le plus ambitieux de SAO, non pas parce que les autres manquaient de teneur mais parce qu’il va encore plus loin dans la réflexion. Kirito accepte d’être testeur pour une nouvelle machine de réalité virtuelle : le soul translator, il s’agit d’implanter dans le cerveau des souvenirs pour avoir une immersion totale dans le nouvel univers. En gros, les joueurs se retrouvent dans le jeu sans savoir qu’ils sont dans un jeu et n’ont aucun souvenir de leur vie actuelle. La question évidente c’est à quoi ça sert d’y jouer si on ne peut pas s’en souvenir ? La réponse viendra au tome 3. Ce projet est en réalité destiné à créer l’intelligence artificielle la plus développée possible et la plus proche de l’âme humaine. L’histoire se déroule donc sur 2 plans : d’un côté, Kirito coincé à l’intérieur du jeu après un accident doit évoluer pour comprendre le fonctionnement et les secrets de cet univers (l’underworld). De l’autre, dans la réalité, les scientifiques analysent le fonctionnement du cerveau humain, cherchent les interactions des signaux électriques et pensent à des futurs utilisations du système, militaires notamment… Si d’un côté on a le côté aventure fantastique toujours plaisant et bien rythmé. De l’autre, on a un apport important de réflexions scientifiques et philosophiques : qu’est-ce que l’âme ? où se trouve-t-elle ? comment créer une IA ? Quelles limites lui donner ? Comment restreindre l’influence de l’homme dans le développement de l’IA ?... Autant de sujets vers lesquels nous nous dirigeons. Si certains arcs de SAO tiennent plus du divertissement, celui-là est franchement intéressant. Un incontournable de la série. La note vaut pour la série et pas forcément pour ce tome en particulier.
  24. Titre de l'album : Sword art online - Project Alicization tome 4 Scenariste de l'album : KAWAHARA Reki Dessinateur de l'album : YAMADA Koutarou Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Après avoir abattu l'arbre Gigas Cedar, Kirito et Eugeo décident de partir à la recherche d'Alice, l'amie d'enfance d'Eugeo, retenue prisonnière à Centoria, ville sous le contrôle d'une mystérieuse Grande Prêtresse surnommée « Administrator ». Ils s'inscrivent à l'Académie d'Escrime de la ville pour devenir des Chevaliers Vertueux mais se heurtent à la discrimination de classe existante entre les étudiants originaires du bas peuple et les nobles. Un incident éclate entre Kirito, Eugeo et deux élèves nobles, qui n'hésitent pas à abuser de leurs privilèges pour malmener des filles de l'Académie. Mais dans quel but ont réellement été instituées les lois des « Tables interdites » du monde de l'Underworld... ? Critique : Cet arc est sans doute et pour le moment le plus ambitieux de SAO, non pas parce que les autres manquaient de teneur mais parce qu’il va encore plus loin dans la réflexion. Kirito accepte d’être testeur pour une nouvelle machine de réalité virtuelle : le soul translator, il s’agit d’implanter dans le cerveau des souvenirs pour avoir une immersion totale dans le nouvel univers. En gros, les joueurs se retrouvent dans le jeu sans savoir qu’ils sont dans un jeu et n’ont aucun souvenir de leur vie actuelle. La question évidente c’est à quoi ça sert d’y jouer si on ne peut pas s’en souvenir ? La réponse viendra au tome 3. Ce projet est en réalité destiné à créer l’intelligence artificielle la plus développée possible et la plus proche de l’âme humaine. L’histoire se déroule donc sur 2 plans : d’un côté, Kirito coincé à l’intérieur du jeu après un accident doit évoluer pour comprendre le fonctionnement et les secrets de cet univers (l’underworld). De l’autre, dans la réalité, les scientifiques analysent le fonctionnement du cerveau humain, cherchent les interactions des signaux électriques et pensent à des futurs utilisations du système, militaires notamment… Si d’un côté on a le côté aventure fantastique toujours plaisant et bien rythmé. De l’autre, on a un apport important de réflexions scientifiques et philosophiques : qu’est-ce que l’âme ? où se trouve-t-elle ? comment créer une IA ? Quelles limites lui donner ? Comment restreindre l’influence de l’homme dans le développement de l’IA ?... Autant de sujets vers lesquels nous nous dirigeons. Si certains arcs de SAO tiennent plus du divertissement, celui-là est franchement intéressant. Un incontournable de la série. La note vaut pour la série et pas forcément pour ce tome en particulier. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sword-art-online-alicization-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Si le nerve gear utilisé au début de la saga SAO permettait de vivre une expérience virtuelle en connectant directement son esprit avec le jeu (donc possibilité de jouer pendant son sommeil !), le nouveau système Augma permet de superposer des images virtuelles à la réalité, un peu comme les pokémon ont envahis nos rues. La conséquence principale se situe au niveau du corps, si dans un jeu normal, vous faites bouger vos avatars grâce à vos mains, ici vous devez vraiment bouger votre corps, il vaut donc mieux être sportif. SAO explore encore une fois 2 thèmes récurrents : les possibilités d’avancées technologiques dans le domaine du virtuel et du jeu et les dérives et dangers que cela peut avoir. On a vu dans des arcs précédents, notamment mother’s rosario que cela pourrait permettre à une personne malade, alitée, de vivre des expériences et de faire des rencontres comme une personne normale, mais on a vu aussi que l’intrusion dans l’esprit pouvait avoir des conséquences. Et c’est exactement cet aspect qui est à l’étude dans Ordinal Scale : peut-on reconstituer quelqu’un à partir des bribes de souvenirs des personnes qu’elle a rencontrées ? peut-on extraire des souvenirs d’un esprit et surtout peut-on le faire sans endommager cet esprit ? Encore une fois, SAO mêle habilement l’action dans des mondes de fantasy et la réflexion. On a plaisir à retrouver nos héros, à voir l’évolution de leur histoire. Et bien que la trame d’un arc à l’autre reste sensiblement la même, l’auteur arrive a toujours aller plus loin dans l’exploration des possibilités scientifiques.
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