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  1. Nickad

    Faraway Paladin tome 7

    Présentation de la série : William est un bébé qui était censé être sacrifié pour libérer le roi des démons. Sauvé par les 3 gardiens de l’endroit, il est élevé par eux, 3 morts-vivants : Blood un guerrier squelette, Marie une prêtresse momie et Gas, un magicien fantôme. William grandit auprès de ces êtres hors-norme, apprenant la magie et l’épée, le jour de ses 14 ans, il prend son départ après avoir appris la vérité sur ses parents. C’est à son tour de partir à l’aventure et de répandre la lumière de sa déesse, de développer son culte. En chemin, il va se lier d’amitié avec un demi-elfe, découvrir que le monde de ses parents remonte à 200 ans et que ce qu’il connaît n’est pas forcément d’actualité. Petit à petit, Will va réaliser des exploits qui vont l’amener à être nommer paladin chargé de reconquérir les terres du sud peuplées par les monstres. Il va y développer une ville et devenir le seigneur de la région. Résumé du tome 7 : Will doit gérer sa ville, il faut qu’il trouve du travail pour chacun, accueillir les nouveaux arrivants, qu’ils soient réfugiés ou commerçants et surtout régler les différents problèmes et servir de médiateur entre les habitants qui sont d’origine et de culture diverses. Le tome 7 aborde la situation du peuple nain et l’on fait notamment la connaissance avec l’un d’eux, Rolf qui va devenir son serviteur. Faraway Paladin est un très bon manga d’aventures et d’heroic fantasy. Contrairement à beaucoup d’autres, le héros ne part pas de chez lui en quête de gloire, ni pour obéir à un quelconque ordre, il part pour apprendre la vie. C’est une sorte de voyage initiatique où il va découvrir le monde et s’accomplir avant de revenir vers sa famille. Bien sûr, il y a une menace qui plane, des monstres à combattre mais il y a plus qu’une simple aventure. Le manga aurait pu se contenter d’être juste cela, en préparant cette critique, je me suis rendue compte que c’était un isekai, mais ce détail n’a aucune importance parce que cela n’a pas d’incidence sur l’histoire, c’est à peine si le personnage y fait référence. Le graphisme est agréable et le manga a une adaptation en anime disponible gratuitement sur crunchyroll. Les deux versions sont bien et cohérentes, pas de préférence cette fois ! Un titre à découvrir si vous ne le connaissez pas.
  2. Titre de l'album : Faraway Paladin tome 7 Scenariste de l'album : YANAGINO Kanata Dessinateur de l'album : OKUBASHI Mutsumi Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Le monde a été créé par les Dieux. Chacune de leur parole a apporté un élément ou une connaissance. C'est dans cet univers que vit William, un jeune humain dégourdi qui a appris à utiliser cette magie. Avec la bonne parole et le bon symbole, il s'entraîne à jeter des sorts. Trois personnages surnaturels veillent sur lui : Vlad le chevalier squelettique, Marie la momie et Gus un sorcier fantôme. Ils essaient de lui enseigner correctement les techniques de magie, de combat et aussi de nombreuses connaissances. William prie les Dieux afin de recevoir un jour leur bénédiction et il s'intéresse surtout à la déesse de la roue de la vie et de la réincarnation, Gracefil. Il se doute que ses trois mentors lui cachent des choses sur la nature de ce monde et notamment pourquoi il est le seul humain vivant. Critique : Présentation de la série : William est un bébé qui était censé être sacrifié pour libérer le roi des démons. Sauvé par les 3 gardiens de l’endroit, il est élevé par eux, 3 morts-vivants : Blood un guerrier squelette, Marie une prêtresse momie et Gas, un magicien fantôme. William grandit auprès de ces êtres hors-norme, apprenant la magie et l’épée, le jour de ses 14 ans, il prend son départ après avoir appris la vérité sur ses parents. C’est à son tour de partir à l’aventure et de répandre la lumière de sa déesse, de développer son culte. En chemin, il va se lier d’amitié avec un demi-elfe, découvrir que le monde de ses parents remonte à 200 ans et que ce qu’il connaît n’est pas forcément d’actualité. Petit à petit, Will va réaliser des exploits qui vont l’amener à être nommer paladin chargé de reconquérir les terres du sud peuplées par les monstres. Il va y développer une ville et devenir le seigneur de la région. Résumé du tome 7 : Will doit gérer sa ville, il faut qu’il trouve du travail pour chacun, accueillir les nouveaux arrivants, qu’ils soient réfugiés ou commerçants et surtout régler les différents problèmes et servir de médiateur entre les habitants qui sont d’origine et de culture diverses. Le tome 7 aborde la situation du peuple nain et l’on fait notamment la connaissance avec l’un d’eux, Rolf qui va devenir son serviteur. Faraway Paladin est un très bon manga d’aventures et d’heroic fantasy. Contrairement à beaucoup d’autres, le héros ne part pas de chez lui en quête de gloire, ni pour obéir à un quelconque ordre, il part pour apprendre la vie. C’est une sorte de voyage initiatique où il va découvrir le monde et s’accomplir avant de revenir vers sa famille. Bien sûr, il y a une menace qui plane, des monstres à combattre mais il y a plus qu’une simple aventure. Le manga aurait pu se contenter d’être juste cela, en préparant cette critique, je me suis rendue compte que c’était un isekai, mais ce détail n’a aucune importance parce que cela n’a pas d’incidence sur l’histoire, c’est à peine si le personnage y fait référence. Le graphisme est agréable et le manga a une adaptation en anime disponible gratuitement sur crunchyroll. Les deux versions sont bien et cohérentes, pas de préférence cette fois ! Un titre à découvrir si vous ne le connaissez pas. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/faraway-paladin-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    Frieren tomes 1 et 2

    Frieren est une elfe, avec ses compagnons, elle a combattu le roi des démons ; la paix revenue, après dix ans d’aventures, elle a repris son chemin. Mais le temps ne s’écoule pas de la même façon pour les elfes et cinquante ans plus tard, quand elle revoit ses compagnons, elle a à peine le temps d’échanger que Himmel le héros décède. C’est en entendant les remarques de la foule que Frieren se rend compte qu’elle ne connaissait rien de lui. Quelque chose se met à changer en elle, un début de prise de conscience de l’autre, un remord peut-être. Frieren est un manga d’heroic fantasy atypique, il y a tous les éléments fantastiques du récit habituel : la troupe de héros qui combat le mal, de la magie, des elfes, des nains… il y a aussi de l’aventure mais différemment. Car l’aspect le plus important de ce récit, c’est qu’il est raconté du point de vue d’une elfe, un être destiné à vivre des centaines voire des milliers d’années et pour qui la durée de vie d’un être humain ne correspond qu’à un court instant de son existence. Alors même si Frieren part en voyage, elle ne s’inquiète pas de rester au même endroit plusieurs années, elle se moque de passer un an à chercher une fleur, elle n’est pas pressée. Et quand tout à coup, elle réalise que pour les hommes le temps passe beaucoup plus vite, elle se dit qu’elle aurait dû faire quelque chose, prendre le temps de connaître mieux ses camarades, partager plus de moments avec eux. Et c’est globalement le message de ce manga : le rapport au temps. C’est avec une certaine subtilité, que l’auteur nous appelle à profiter de la vie, de tous les instants présents, des gens qui nous entourent, le fameux Carpe Diem. Dans le 1er tome de la série, le temps qui passe à toute vitesse est clairement mis en évidence, une succession de cases sans paroles où l’on voit la vie de l’elfe. Et puis, ensuite, elle continue son périple avec les disciples de ses compagnons, comme s’ils avaient prévu de laisser un peu d’eux pour qu’elle ne soit pas seule dans sa temporalité. C’est alors qu’un autre thème est abordé, celui du souvenir : une réflexion sur la trace qu’on laisse dans le monde et sur la façon de ne pas oublier ceux qui sont partis. Ce n’est que dans le second tome que le manga prend un côté un peu plus aventure, car Frieren part à la recherche d’un sort qui lui permettrait de pouvoir communiquer avec l’âme de ses compagnons disparus, pour pouvoir dire à Himmel ce qu’elle n’a pas eu le temps de lui dire. Le manga a un côté poétique et mélancolique sublimé par un graphisme de premier ordre. C’est beau, c’est sensible, c’est à la fois une histoire d’aventure et en même temps un plaidoyer pour prendre soin de nous et des autres, pour prendre le temps de vivre et de ne pas laisser de regrets. Une réussite. Ceux qui s’attendent à un manga d’action pourraient être déçus car il y a une sorte de langueur omniprésente et je pense qu'il faut un certaine maturité pour bien l'apprécier. 6 tomes en cours
  4. Titre de l'album : Frieren tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : YAMADA Kanehito Dessinateur de l'album : ABE Tsukasa Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Le jeune héros Himmel et ses compagnons, l'elfe Frieren, le nain Eisen et le prêtre Heiter, rentrent victorieux de leur combat contre le roi des démons. Au bout de dix années d'efforts, ils ont ramené la paix dans le royaume. Il est temps pour eux de retrouver une vie normale... Difficile à imaginer après tant d'aventures en commun ! Frieren, elle, ne semble guère touchée par la séparation. Pour la magicienne à la longévité exceptionnelle, une décennie ne pèse pas lourd. Elle reprend la route en solo et promet de retrouver ses camarades un demi-siècle plus tard. Elle tient parole... mais ces retrouvailles sont aussi les derniers instants passés avec Himmel, devenu un vieillard qui s'éteint paisiblement sous ses yeux. Frieren est sous le choc... La vie des humains est si courte ! L'elfe a beau être experte en magie, il lui reste encore un long chemin à parcourir pour comprendre la race humaine... Son nouvel objectif : s'initier aux arcanes du cœur ! Critique : Frieren est une elfe, avec ses compagnons, elle a combattu le roi des démons ; la paix revenue, après dix ans d’aventures, elle a repris son chemin. Mais le temps ne s’écoule pas de la même façon pour les elfes et cinquante ans plus tard, quand elle revoit ses compagnons, elle a à peine le temps d’échanger que Himmel le héros décède. C’est en entendant les remarques de la foule que Frieren se rend compte qu’elle ne connaissait rien de lui. Quelque chose se met à changer en elle, un début de prise de conscience de l’autre, un remord peut-être. Frieren est un manga d’heroic fantasy atypique, il y a tous les éléments fantastiques du récit habituel : la troupe de héros qui combat le mal, de la magie, des elfes, des nains… il y a aussi de l’aventure mais différemment. Car l’aspect le plus important de ce récit, c’est qu’il est raconté du point de vue d’une elfe, un être destiné à vivre des centaines voire des milliers d’années et pour qui la durée de vie d’un être humain ne correspond qu’à un court instant de son existence. Alors même si Frieren part en voyage, elle ne s’inquiète pas de rester au même endroit plusieurs années, elle se moque de passer un an à chercher une fleur, elle n’est pas pressée. Et quand tout à coup, elle réalise que pour les hommes le temps passe beaucoup plus vite, elle se dit qu’elle aurait dû faire quelque chose, prendre le temps de connaître mieux ses camarades, partager plus de moments avec eux. Et c’est globalement le message de ce manga : le rapport au temps. C’est avec une certaine subtilité, que l’auteur nous appelle à profiter de la vie, de tous les instants présents, des gens qui nous entourent, le fameux Carpe Diem. Dans le 1er tome de la série, le temps qui passe à toute vitesse est clairement mis en évidence, une succession de cases sans paroles où l’on voit la vie de l’elfe. Et puis, ensuite, elle continue son périple avec les disciples de ses compagnons, comme s’ils avaient prévu de laisser un peu d’eux pour qu’elle ne soit pas seule dans sa temporalité. C’est alors qu’un autre thème est abordé, celui du souvenir : une réflexion sur la trace qu’on laisse dans le monde et sur la façon de ne pas oublier ceux qui sont partis. Ce n’est que dans le second tome que le manga prend un côté un peu plus aventure, car Frieren part à la recherche d’un sort qui lui permettrait de pouvoir communiquer avec l’âme de ses compagnons disparus, pour pouvoir dire à Himmel ce qu’elle n’a pas eu le temps de lui dire. Le manga a un côté poétique et mélancolique sublimé par un graphisme de premier ordre. C’est beau, c’est sensible, c’est à la fois une histoire d’aventure et en même temps un plaidoyer pour prendre soin de nous et des autres, pour prendre le temps de vivre et de ne pas laisser de regrets. Une réussite. Ceux qui s’attendent à un manga d’action pourraient être déçus car il y a une sorte de langueur omniprésente et je pense qu'il faut un certaine maturité pour bien l'apprécier. 6 tomes en cours Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/frieren-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Saison 2 de la série, 2eme période de la vie de Mai. Cette dernière atteinte par la dévorante, une maladie qui tue ceux qui ont trop de magie en eux et pas les moyens de l’en extirper à l’aide d’objets magiques n’a pas d’autre choix que de rejoindre le temple si elle veut survivre. Les négociations pratiques vont avoir lieu : l’argent qu’elle versera comme tribut, sa résidence, son activité avec son atelier pour fabriquer du papier et ses activités commerciales avec Benno. Le plus difficile pour elle est qu’elle va devoir agir comme une noble et apprendre l’étiquette, elle se voit également attribuer 3 servants, aucun vraiment motivés pour servir une roturière. Si La petite faiseuse de livres est un isekai, il n’a rien à voir avec la majorité d’entre eux, même si Mai a de la magie en elle, elle n’a pas de super pouvoirs, ne doit pas vaincre le roi des démons, c’est juste sa vie au quotidien, avec son ambition de fabriquer des livres et d’en faire un objet accessible à tous avec les moyens dont elle dispose du haut de ses 7 ans. Elle se heurte aux difficultés du quotidien, à ses devoirs en tant qu’enfant de famille modeste, aux règles qui régissent la société et aux différents statuts. Devenu apprentie prêtresse, elle est à présent confrontée à un univers qu’elle ne connaît pas du tout et ce qui est acquis dans notre monde n’est pas du tout vu de la même façon dans celui-là. C’est vraiment l’un de mes mangas préférés, car il n’y a pas trop de côté isekai (juste quand elle pense à de nouveaux objets ou recettes de cuisine), qu’il y a un juste équilibre entre tranche de vie et aventure et les personnages sont attachants. Un manga à découvrir si vous ne l’avez pas déjà fait, l’adaptation en anime est disponible sur crunchyroll sous le titre "ascendance of a bookworm".
  6. Titre de l'album : La petite faiseuse de livres - 2eme arc tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : KAZUKI Miya Dessinateur de l'album : SUZUKA Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : a suite des aventures d'Urano Motosu, jeune fille passionnée de lecture, réincarnée dans le corps de Maïn, dans un monde où le papier n'existe pas. Critique : Saison 2 de la série, 2eme période de la vie de Mai. Cette dernière atteinte par la dévorante, une maladie qui tue ceux qui ont trop de magie en eux et pas les moyens de l’en extirper à l’aide d’objets magiques n’a pas d’autre choix que de rejoindre le temple si elle veut survivre. Les négociations pratiques vont avoir lieu : l’argent qu’elle versera comme tribut, sa résidence, son activité avec son atelier pour fabriquer du papier et ses activités commerciales avec Benno. Le plus difficile pour elle est qu’elle va devoir agir comme une noble et apprendre l’étiquette, elle se voit également attribuer 3 servants, aucun vraiment motivés pour servir une roturière. Si La petite faiseuse de livres est un isekai, il n’a rien à voir avec la majorité d’entre eux, même si Mai a de la magie en elle, elle n’a pas de super pouvoirs, ne doit pas vaincre le roi des démons, c’est juste sa vie au quotidien, avec son ambition de fabriquer des livres et d’en faire un objet accessible à tous avec les moyens dont elle dispose du haut de ses 7 ans. Elle se heurte aux difficultés du quotidien, à ses devoirs en tant qu’enfant de famille modeste, aux règles qui régissent la société et aux différents statuts. Devenu apprentie prêtresse, elle est à présent confrontée à un univers qu’elle ne connaît pas du tout et ce qui est acquis dans notre monde n’est pas du tout vu de la même façon dans celui-là. C’est vraiment l’un de mes mangas préférés, car il n’y a pas trop de côté isekai (juste quand elle pense à de nouveaux objets ou recettes de cuisine), qu’il y a un juste équilibre entre tranche de vie et aventure et les personnages sont attachants. Un manga à découvrir si vous ne l’avez pas déjà fait, l’adaptation en anime est disponible sur crunchyroll sous le titre "ascendance of a bookworm". Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-petite-faiseuse-de-livres-saison-2-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    Look back

    L’histoire commence à l’école primaire, Fujino écrit des mangas en 4 cases pour le journal de l’école, elle est admirée par ses camarades jusqu’au jour où elle doit partager cette place avec Kyômoto. Les dessins de cette dernière sont nettement plus travaillés, Fujino ne compte pas se laisser faire devant cette élève qui ne vient même plus à l’école, cet esprit la pousse à s’améliorer. Sur le point de laisser tomber, elle rencontre Kyômoto pour la 1ère fois et les deux jeunes filles vont alors se rapprocher. L’auteur Tatsuki FUJIMOTO est connu et célèbre pour ses deux séries Fire punch et Chainsaw man, avec Look back il explore un nouveau genre, plus intimiste et plus poétique, on pourrait même se demander si l’histoire de ces jeunes filles qui vont devenir mangaka n’a pas quelque chose d’autobiographique. Le graphisme du manga est superbe et aux travers de certaines planches, certaines sans texte, on comprend bien la passion qui anime les mangakas et le travail acharné qu’ils produisent. Si le livre a été reconnu par ses pairs et a déjà remporté des prix, j’y mettrais un bémol. En effet, il faut plusieurs lectures pour bien comprendre le dernier tiers du livre, et ce n’est qu’après avoir lu la plaquette accompagnant cette sortie que j’ai compris de quoi il retournait. Je pense également qu’il touche plus les personnes évoluant dans un milieu similaire que des lecteurs ordinaires, ceux-là doivent s’y reconnaitre alors que pour nous, l’influence du processus de création sur le quotidien n’est pas intuitive. Je lui reconnais des qualités mais je n’irai pas jusqu’à l’encenser.
  8. Nickad

    Look back

    Titre de l'album : Look back Scenariste de l'album : FUJIMOTO Tatsuki Dessinateur de l'album : FUJIMOTO Tatsuki Coloriste : Editeur de l'album : Kaze Note : Résumé de l'album : Fujino, adolescente surdouée, a une confiance absolue en son talent. Kyômoto, elle, se terre dans sa chambre et pratique sans relâche. Deux jeunes filles d'une même ville de province, qu'une passion fervente pour le dessin va faire se rencontrer, et unir par un lien indéfectible... Critique : L’histoire commence à l’école primaire, Fujino écrit des mangas en 4 cases pour le journal de l’école, elle est admirée par ses camarades jusqu’au jour où elle doit partager cette place avec Kyômoto. Les dessins de cette dernière sont nettement plus travaillés, Fujino ne compte pas se laisser faire devant cette élève qui ne vient même plus à l’école, cet esprit la pousse à s’améliorer. Sur le point de laisser tomber, elle rencontre Kyômoto pour la 1ère fois et les deux jeunes filles vont alors se rapprocher. L’auteur Tatsuki FUJIMOTO est connu et célèbre pour ses deux séries Fire punch et Chainsaw man, avec Look back il explore un nouveau genre, plus intimiste et plus poétique, on pourrait même se demander si l’histoire de ces jeunes filles qui vont devenir mangaka n’a pas quelque chose d’autobiographique. Le graphisme du manga est superbe et aux travers de certaines planches, certaines sans texte, on comprend bien la passion qui anime les mangakas et le travail acharné qu’ils produisent. Si le livre a été reconnu par ses pairs et a déjà remporté des prix, j’y mettrais un bémol. En effet, il faut plusieurs lectures pour bien comprendre le dernier tiers du livre, et ce n’est qu’après avoir lu la plaquette accompagnant cette sortie que j’ai compris de quoi il retournait. Je pense également qu’il touche plus les personnes évoluant dans un milieu similaire que des lecteurs ordinaires, ceux-là doivent s’y reconnaitre alors que pour nous, l’influence du processus de création sur le quotidien n’est pas intuitive. Je lui reconnais des qualités mais je n’irai pas jusqu’à l’encenser. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/look-back?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Welcome to the ballroom tome 1

    Tatara Fujita est un collégien qui n’a pas encore trouvé sa voie, il aimerait bien avoir un don, une passion, une motivation dans la vie, quelque chose qui pourrait lui faire ressentir qu’il est vivant, qu’il n’est pas vide et qui lui permettrait de changer, d’avancer. Un jour, suite à un concours de circonstances, il va découvrir le monde de la danse de salon (valse, salsa…) et pour la première fois, il va se sentir happé, fasciné et va décider de devenir danseur et faire de la compétition. Représenter la danse en dessins, pouvoir donner l’impression des mouvements, des enchainements, de la rapidité ce n’est jamais très facile à faire. Même si je n’ai pas été totalement convaincue par ces représentations, ce qui marche bien en revanche, c’est les sensations que la danse procure chez notre héros. On ressent bien l’éveil de son intérêt, sa fascination et son envie d’apprendre. Et puis, pour une fois, ce n’est pas de la danse classique, ni de la street, ici on parle de danse de salon : un genre souvent dénigré par les jeunes car souvent considéré comme obsolète. L’auteure joue donc l’originalité en choisissant ce style de danse et en prenant comme personnage principal un garçon, elle va donc à l’encontre des tendances et c’est très bien ! Une belle découverte, à suivre.
  10. Titre de l'album : Welcome to the ballroom tome 1 Scenariste de l'album : TAKEUCHI Tomo Dessinateur de l'album : TAKEUCHI Tomo Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Collégien, Tatara Fujita n'a ni talent ni passion et ne sait pas quoi faire de sa vie. Le hasard et une bande de caïds mal intentionnés l'amènent à rencontrer Kaname Sengoku, un danseur professionnel qui l'attire dans un studio de danse de salon. Tatara y découvre l'univers de la danse sportive. Critique : Tatara Fujita est un collégien qui n’a pas encore trouvé sa voie, il aimerait bien avoir un don, une passion, une motivation dans la vie, quelque chose qui pourrait lui faire ressentir qu’il est vivant, qu’il n’est pas vide et qui lui permettrait de changer, d’avancer. Un jour, suite à un concours de circonstances, il va découvrir le monde de la danse de salon (valse, salsa…) et pour la première fois, il va se sentir happé, fasciné et va décider de devenir danseur et faire de la compétition. Représenter la danse en dessins, pouvoir donner l’impression des mouvements, des enchainements, de la rapidité ce n’est jamais très facile à faire. Même si je n’ai pas été totalement convaincue par ces représentations, ce qui marche bien en revanche, c’est les sensations que la danse procure chez notre héros. On ressent bien l’éveil de son intérêt, sa fascination et son envie d’apprendre. Et puis, pour une fois, ce n’est pas de la danse classique, ni de la street, ici on parle de danse de salon : un genre souvent dénigré par les jeunes car souvent considéré comme obsolète. L’auteure joue donc l’originalité en choisissant ce style de danse et en prenant comme personnage principal un garçon, elle va donc à l’encontre des tendances et c’est très bien ! Une belle découverte, à suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/welcome-to-the-ballroom-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    Failure frame tomes 1 et 2

    Toute la classe de Tôka Mimori, jeune lycéen, est invoqué dans un autre monde pour devenir des héros et combattre le mal. Jusque-là, rien de très original… Chacun se voit attribuer un rang et des compétences, Tôka obtient le rang E, le plus faible qui soit, la déesse Vicius, ne lui voyant aucun intérêt décide de l’envoyer dans des ruines qui lui servent d’oubliettes et dont personne n’est jamais ressorti. On pourrait penser que le début est un peu comme Chillin life, sauf qu’ici, le personnage de Tôka est beaucoup plus sombre, au fur et à mesure qu’il combat des monstres au péril de sa vie et parfois avec difficulté, il développe des compétences mais il développe surtout son esprit de vengeance, au point que lorsqu’il affronte des humains pour la première fois, il n’hésite pas une seconde à s’en débarrasser et plutôt cruellement. Tôka est-il en passe de devenir un monstre sans cœur ? Le côté héros sombre qui ne ressent plus rien est assez intéressant (un aspect que l’on a aussi dans Arifureta). Cependant, à partir du moment où il va rencontrer d’autres humains, Tôka va perdre un peu ce côté négatif, j’espère que l’on ne retombera pas dans une trame trop classique… Le manga est bien dessiné, les scènes d’action sont efficaces et l’auteur a su apporter du renouveau dans les sorts et techniques utilisées. Un isekai efficace pour le moment.
  12. Titre de l'album : Failure frame tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : SHINOZAKI Kaoru Dessinateur de l'album : UYOSHI Shô Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : VENGEANCE DANS UN AUTRE MONDE. Tôka Mimori, lycéen aussi discret qu'un PNJ appartenant au décor, a été invoqué dans un autre monde avec ses camarades de classe afin que tous deviennent des héros. Mais tandis qu'autour de lui se succèdent les attributions de rangs S ou A, lui se voit qualifié de rang E, autrement dit bon à jeter, et se retrouve expédié au fin fond de ruines dont personne n'est jamais ressorti vivant. C'est alors qu'il découvre que ses compétences d'altération d'état, à première vue inutiles, lui permettent en fait de terrasser de puissants monstres !Je vais me rebeller contre ce monde... Avec ces capacités dont ils se sont tant moqués ! Ainsi débute le récit de vengeance de ce héros rejeté de tous aux pouvoirs hors normes, en passe de devenir un démon.En terrassant des monstres, un adolescent se métamorphose peu à peu en démon. Critique : Toute la classe de Tôka Mimori, jeune lycéen, est invoqué dans un autre monde pour devenir des héros et combattre le mal. Jusque-là, rien de très original… Chacun se voit attribuer un rang et des compétences, Tôka obtient le rang E, le plus faible qui soit, la déesse Vicius, ne lui voyant aucun intérêt décide de l’envoyer dans des ruines qui lui servent d’oubliettes et dont personne n’est jamais ressorti. On pourrait penser que le début est un peu comme Chillin life, sauf qu’ici, le personnage de Tôka est beaucoup plus sombre, au fur et à mesure qu’il combat des monstres au péril de sa vie et parfois avec difficulté, il développe des compétences mais il développe surtout son esprit de vengeance, au point que lorsqu’il affronte des humains pour la première fois, il n’hésite pas une seconde à s’en débarrasser et plutôt cruellement. Tôka est-il en passe de devenir un monstre sans cœur ? Le côté héros sombre qui ne ressent plus rien est assez intéressant (un aspect que l’on a aussi dans Arifureta). Cependant, à partir du moment où il va rencontrer d’autres humains, Tôka va perdre un peu ce côté négatif, j’espère que l’on ne retombera pas dans une trame trop classique… Le manga est bien dessiné, les scènes d’action sont efficaces et l’auteur a su apporter du renouveau dans les sorts et techniques utilisées. Un isekai efficace pour le moment. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/failure-frame-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Delcourt/Tonkam sort une nouvelle édition de dragon quest : the adventure of Daï, ce manga avait été publié sous le titre Fly entre 1996 et 1999 chez j’ai lu puis été ressorti en version simple chez Tonkam entre 2007 et 2013 avec une nouvelle traduction. La version simple compte 37 tomes et cette nouvelle édition en comptera 25, elle bénéficie d’un papier de qualité et de plusieurs pages en couleur en milieu de livre. Le manga est un classique, voir un incontournable du genre. Nous avons des apprentis héros qui vont s’allier pour lutter contre le retour du roi du mal dans un monde d’heroic fantasy. Pas de super pouvoirs comme l’on peut voir dans les isekai, mais un travail acharné pour s’améliorer et même si certains ont des prédispositions pour l’épée ou la magie, ils n’arrivent à gagner qu’au prix de nombreux efforts. J’ai lu la version fly, il y a donc plus de 20 ans, je trouve que le manga a bien vieilli, le graphisme a peut-être un coté vintage mais les scènes d’actions sont efficaces. Ce n’est pas qu’un manga de combats, il y a des passages plus drôles ou plus touchants et les personnages vont avoir une véritable évolution. Bien sûr comme il y a eu une nouvelle traduction, le nom des personnages a changé et même si j’ai oublié certains détails, j’ai bien la trame de l’histoire en tête. Il m’est même arrivé d’y penser de temps en temps, à certaines scènes ou déroulements que je n’ai jamais revus dans d’autres mangas. Il se peut que comme c’est l’une de mes premières séries et qu’il n’y en n’avait pas autant à l’époque, j’ai une affection particulière pour ce manga mais celui-là je l’ai gardé contrairement à d’autres et ça m’a fait plaisir de le relire.
  14. Titre de l'album : Dragon quest : the adventure of Daï tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : SANJO Riku Dessinateur de l'album : INADA Koji Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Le Roi du Mal est ressuscité ! Encore plus puissant qu'avant, Hadlar arrive sur l'île Dermline pour se venger de celui qui l'avait tué autrefois : Avan. Celui-ci n'a d'autre choix que d'affronter son ennemi de toujours pour protéger ses disciples. Mais sera-t-il à la hauteur pour terrasser Hadlar, alors qu'il vient de consommer presque toute son énergie pour l'entraînement de Daï ? Critique : Delcourt/Tonkam sort une nouvelle édition de dragon quest : the adventure of Daï, ce manga avait été publié sous le titre Fly entre 1996 et 1999 chez j’ai lu puis été ressorti en version simple chez Tonkam entre 2007 et 2013 avec une nouvelle traduction. La version simple compte 37 tomes et cette nouvelle édition en comptera 25, elle bénéficie d’un papier de qualité et de plusieurs pages en couleur en milieu de livre. Le manga est un classique, voir un incontournable du genre. Nous avons des apprentis héros qui vont s’allier pour lutter contre le retour du roi du mal dans un monde d’heroic fantasy. Pas de super pouvoirs comme l’on peut voir dans les isekai, mais un travail acharné pour s’améliorer et même si certains ont des prédispositions pour l’épée ou la magie, ils n’arrivent à gagner qu’au prix de nombreux efforts. J’ai lu la version fly, il y a donc plus de 20 ans, je trouve que le manga a bien vieilli, le graphisme a peut-être un coté vintage mais les scènes d’actions sont efficaces. Ce n’est pas qu’un manga de combats, il y a des passages plus drôles ou plus touchants et les personnages vont avoir une véritable évolution. Bien sûr comme il y a eu une nouvelle traduction, le nom des personnages a changé et même si j’ai oublié certains détails, j’ai bien la trame de l’histoire en tête. Il m’est même arrivé d’y penser de temps en temps, à certaines scènes ou déroulements que je n’ai jamais revus dans d’autres mangas. Il se peut que comme c’est l’une de mes premières séries et qu’il n’y en n’avait pas autant à l’époque, j’ai une affection particulière pour ce manga mais celui-là je l’ai gardé contrairement à d’autres et ça m’a fait plaisir de le relire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dragon-quest-the-adventure-of-dai-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nickad

    Danmachi épisode Ryû tome 5

    Le poing noir et le chat noir ont toutes les deux des contrats pour éliminer Ryû, sachant qu’elles risquent d’avoir des difficultés à la vaincre, elles prennent un peu de temps pour l’observer. Cette dernière, au contact de Syl, a enfin décider d’aller de l’avant et semble avoir trouvé sa place à l’auberge. Les deux tueuses, voyant la situation évoluer, ne peuvent s’empêcher de faire un parallèle avec leur propre vie. Retour dans le passé de Lunoa, le poing noir et de Chloé, le chat noir, deux tueuses qui ne se connaissent pas encore mais qui vont également finir par travailler à l’auberge de la Fertile Maitresse. Des passés sombres qui dénoncent au passage le comportement de certains dieux sans scrupules et nous montre également que la bienveillance existe dans le monde de Danmachi. Encore une fois le manga nous montre que l’univers de Danmachi est très travaillé et réfléchi surtout dans le développement des personnages, que ce soit par leur caractère ou leur histoire personnelle. Fin de l’épisode dans le prochain tome.
  16. Titre de l'album : Danmachi épisode Ryû tome 5 Scenariste de l'album : OMORI Fujino Dessinateur de l'album : MOMOYAMA Hinase Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Grâce aux remerciements de Syl, le cœur de Ryû vient enfin d’être délivré du passé qui le retenait prisonnier… Ayant choisi d’aller de nouveau vers l’avant, elle décide de montrer sa gratitude envers Syl, mais…Dans le même temps, Lunoa et Chloé qui espionnaient Ryû semblent perplexes en constatant le changement d’attitude de leur cible. Leur lourd passé et leurs raisons de se battre sont enfin dévoilés… Critique : Le poing noir et le chat noir ont toutes les deux des contrats pour éliminer Ryû, sachant qu’elles risquent d’avoir des difficultés à la vaincre, elles prennent un peu de temps pour l’observer. Cette dernière, au contact de Syl, a enfin décider d’aller de l’avant et semble avoir trouvé sa place à l’auberge. Les deux tueuses, voyant la situation évoluer, ne peuvent s’empêcher de faire un parallèle avec leur propre vie. Retour dans le passé de Lunoa, le poing noir et de Chloé, le chat noir, deux tueuses qui ne se connaissent pas encore mais qui vont également finir par travailler à l’auberge de la Fertile Maitresse. Des passés sombres qui dénoncent au passage le comportement de certains dieux sans scrupules et nous montre également que la bienveillance existe dans le monde de Danmachi. Encore une fois le manga nous montre que l’univers de Danmachi est très travaillé et réfléchi surtout dans le développement des personnages, que ce soit par leur caractère ou leur histoire personnelle. Fin de l’épisode dans le prochain tome. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dan-machi-familia-chronicle-episode-ryu-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    Phantom Seer tome 1

    Phantom seer c’est la rencontre de Riku, une lycéenne qui aime aider son prochain mais qui va apprendre qu’elle attire les phantoms « créatures non humaines qui provoquent des phénomènes étranges » et de Iori, un medium doué qui ne rêve que de devenir un lycéen banal. Ils vont être amenés à collaborer pour chasser les phantoms. Une fille à problèmes et un garçon avec des pouvoirs qui vont à la chasse aux monstres, des exorcismes, des rivaux, des situations fantastiques… le manga a tous les éléments qu’il faut pour en faire un bon shonen du genre. Pourtant, j’ai trouvé qu’il lui manquait quelque chose pour qu’il se démarque des autres. Peut-être parce que la finalité n’est pas très claire, on apprend vaguement et assez tardivement que Iori espère retrouver quelqu’un. Parce que sans objectif à atteindre, le manga peut vite devenir un amoncellement de situations similaires et peut durer longtemps, car c’est typiquement le genre d’histoire où il n’y a pas de fin : il y aura toujours des phantoms ! Peut-être que cela arrivera par la suite, mais le manga, publié dans le shonen jump, a été arrêté par l’éditeur au bout de 4 tomes, a-t-il souffert de la comparaison avec d’autres mangas du même style ? ou peut-être n’a-t-il pas réussi à trouver l’étincelle qui lui manque dans ce début ? Un manga qui semble prometteur, espérons que l'auteur ait réussi à lui faire une fin correcte.
  18. Titre de l'album : Phantom Seer tome 1 Scenariste de l'album : GOTO Tôgo Dessinateur de l'album : MATSUURA Kento Coloriste : Editeur de l'album : Kaze Note : Résumé de l'album : Issu d'une lignée qui fait trembler les créatures paranormales, Iori est un puissant médium capable d'exorciser les esprits malfaisants appelés "phantom". Or, ce lycéen fainéant, égoïste et désagréable ne rêve que d'une chose : une vie banale. Tout le contraire de Riku, une camarade populaire et altruiste... mais qui attire tous les phantom alentour ! Lorsqu'on assigne à Iori la protection de Riku, les deux camarades décident de collaborer pour, peut-être, changer leurs destins... Critique : Phantom seer c’est la rencontre de Riku, une lycéenne qui aime aider son prochain mais qui va apprendre qu’elle attire les phantoms « créatures non humaines qui provoquent des phénomènes étranges » et de Iori, un medium doué qui ne rêve que de devenir un lycéen banal. Ils vont être amenés à collaborer pour chasser les phantoms. Une fille à problèmes et un garçon avec des pouvoirs qui vont à la chasse aux monstres, des exorcismes, des rivaux, des situations fantastiques… le manga a tous les éléments qu’il faut pour en faire un bon shonen du genre. Pourtant, j’ai trouvé qu’il lui manquait quelque chose pour qu’il se démarque des autres. Peut-être parce que la finalité n’est pas très claire, on apprend vaguement et assez tardivement que Iori espère retrouver quelqu’un. Parce que sans objectif à atteindre, le manga peut vite devenir un amoncellement de situations similaires et peut durer longtemps, car c’est typiquement le genre d’histoire où il n’y a pas de fin : il y aura toujours des phantoms ! Peut-être que cela arrivera par la suite, mais le manga, publié dans le shonen jump, a été arrêté par l’éditeur au bout de 4 tomes, a-t-il souffert de la comparaison avec d’autres mangas du même style ? ou peut-être n’a-t-il pas réussi à trouver l’étincelle qui lui manque dans ce début ? Un manga qui semble prometteur, espérons que l'auteur ait réussi à lui faire une fin correcte. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/phantom-seer-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Subaru et Emilia ont rejoint le sanctuaire, ils apprennent que nul ne peut en sortir à moins qu’un sang-mêlé ne réussisse à passer les épreuves du tombeau de la sorcière de l’Avarice. Le soir tombé, Emilia se lance et contre toute attente, Subaru est également autorisé à passer l’épreuve. On pourrait penser qu’arrivé au 4eme arc, on se lasse du manga mais chaque arc, bien que s’articulant autour d’un problème particulier et d’une boucle, permet également d’avancer dans la trame principale, c’est-à-dire, l’histoire de la sorcière et la sélection pour devenir la nouvelle reine. Chaque arc arrive à innover et nous mettre dans des situations différentes, on en apprend un peu plus sur les personnages et leurs relations s’approfondissent. Le rythme toujours dynamique, le graphisme de qualité font que l’on ne s’ennuie pas du tout. Re :zero est un bon shonen qui a le succès qu’il mérite. Pour info, l’anime est disponible gratuitement sur crunchyroll.
  20. Titre de l'album : Re:zero - 4eme arc : Le sanctuaire de la sorcière de l'Avarice tome 2 Scenariste de l'album : NAGATSUKI Tappei Dessinateur de l'album : ATORI Haruno Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Subaru Natsuki, un lycéen subitement invoqué dans un autre monde, a pénétré avec Émilia dans le Sanctuaire où se trouvent Ram et Roswaal. Afin de résoudre les problèmes de cette terre à l’histoire compliquée, une épreuve leur est imposée. Néanmoins, celle-ci s’avère pour le moins déstabilisante... Critique : Subaru et Emilia ont rejoint le sanctuaire, ils apprennent que nul ne peut en sortir à moins qu’un sang-mêlé ne réussisse à passer les épreuves du tombeau de la sorcière de l’Avarice. Le soir tombé, Emilia se lance et contre toute attente, Subaru est également autorisé à passer l’épreuve. On pourrait penser qu’arrivé au 4eme arc, on se lasse du manga mais chaque arc, bien que s’articulant autour d’un problème particulier et d’une boucle, permet également d’avancer dans la trame principale, c’est-à-dire, l’histoire de la sorcière et la sélection pour devenir la nouvelle reine. Chaque arc arrive à innover et nous mettre dans des situations différentes, on en apprend un peu plus sur les personnages et leurs relations s’approfondissent. Le rythme toujours dynamique, le graphisme de qualité font que l’on ne s’ennuie pas du tout. Re :zero est un bon shonen qui a le succès qu’il mérite. Pour info, l’anime est disponible gratuitement sur crunchyroll. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/re-zero-arc-4-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Une fois n’est pas coutume, je ne vais pas revenir sur le résumé mais plutôt rentrer directement dans le vif du sujet. Le manga, sur fond vaguement historique, raconte une lutte contre un gouvernement despotique avec un ajout fantastique venant d’artefacts qui permettraient d’octroyer des pouvoirs. Je ne suis pas contre une histoire fantastique historique à condition bien sûr qu’il y ait un semblant de cohérence, et ici, on a à la fois Oda Nobunaga et le Shinsengumi dans la même temporalité alors qu’en réalité 300 ans les séparent !! Si c’est pour mélanger tout et n’importe quoi, autant créer une histoire de toute pièce !! Si on fait abstraction de cet aspect et que l’on se concentre sur l’action, l’histoire n’est pas si mal, il y a une recherche de trésors, une soif de pouvoirs, une vengeance, des affrontements et des personnages bien caractérisés. Le graphisme est soigné, les combats bien dynamiques… bref, un vrai shonen qui donne envie. Et puis là, on apprend que c’est fini en 2 tomes, on se demande forcément comment traiter tout cette révolte en aussi peu de temps. Eh bien, ce n’est pas possible, le deuxième tome se termine sur « la bataille commence maintenant » et pour faire un semblant de fin l’auteur explique que c’est l’histoire de ceux qui ont décidé de prendre les armes et non l’histoire de leur combat : une pirouette pas très convaincante… Après quand on sait que le manga n’a pas vraiment eu de succès lors de sa prépublication au Japon, on se doute que l’éditeur a dû mettre fin à la série prématurément. Alors même s’il y avait de bons éléments dans ces « prémices » qui auraient mérités d’être poursuivis, vous risquez de rester sur votre faim et forcément, comme je l’ai été, d’être déçus.
  22. Titre de l'album : La lame de la rébellion tomes 1 & 2 (fin) Scenariste de l'album : TSUBAKI Taro Dessinateur de l'album : TSUBAKI Taro Coloriste : Editeur de l'album : Michel Lafon Note : Résumé de l'album : Japon, 1570. Décidé à mettre fin au règne d'Oda Nobunaga qui lui a infligé tant de souffrances, Asuka Asagiri s'empare d'une antique épée dotée d'une puissance hors norme. Mais l'intervention de la mystérieuse Sôki, détentrice du collier de la soumission qui lui permet de totalement contrôler une personne, bouleverse son plan. Critique : Une fois n’est pas coutume, je ne vais pas revenir sur le résumé mais plutôt rentrer directement dans le vif du sujet. Le manga, sur fond vaguement historique, raconte une lutte contre un gouvernement despotique avec un ajout fantastique venant d’artefacts qui permettraient d’octroyer des pouvoirs. Je ne suis pas contre une histoire fantastique historique à condition bien sûr qu’il y ait un semblant de cohérence, et ici, on a à la fois Oda Nobunaga et le Shinsengumi dans la même temporalité alors qu’en réalité 300 ans les séparent !! Si c’est pour mélanger tout et n’importe quoi, autant créer une histoire de toute pièce !! Si on fait abstraction de cet aspect et que l’on se concentre sur l’action, l’histoire n’est pas si mal, il y a une recherche de trésors, une soif de pouvoirs, une vengeance, des affrontements et des personnages bien caractérisés. Le graphisme est soigné, les combats bien dynamiques… bref, un vrai shonen qui donne envie. Et puis là, on apprend que c’est fini en 2 tomes, on se demande forcément comment traiter tout cette révolte en aussi peu de temps. Eh bien, ce n’est pas possible, le deuxième tome se termine sur « la bataille commence maintenant » et pour faire un semblant de fin l’auteur explique que c’est l’histoire de ceux qui ont décidé de prendre les armes et non l’histoire de leur combat : une pirouette pas très convaincante… Après quand on sait que le manga n’a pas vraiment eu de succès lors de sa prépublication au Japon, on se doute que l’éditeur a dû mettre fin à la série prématurément. Alors même s’il y avait de bons éléments dans ces « prémices » qui auraient mérités d’être poursuivis, vous risquez de rester sur votre faim et forcément, comme je l’ai été, d’être déçus. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-lame-de-la-rebellion-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    Team Phoenix tome 1

    Les robots ont pris le pouvoir dans l’univers, ils ont décidé d’éliminer toutes les autres races mais quelques-uns pensent que certains humains peuvent être rééduqués et servir leur cause. C’est à ce moment que Saphir décide de se rebeller et monte son équipage de pirates de l’espace. Kenny Ruiz, auteur et dessinateur de bandes dessinées, s’est prêté à l’hommage rendu à Osamu Tezuka dans Tezucomi (critique ICI), c’est à ce moment que Team Phoenix est né : utiliser les personnages phares de Tezuka dans un space opera. Il n’est pas nécessaire de connaître l’œuvre du maître, pour apprécier le manga, l’histoire est cohérente, le trait de Kenny Ruiz précis et détaillé. Je trouve qu’on rentre facilement et rapidement dans le récit, il y a certes beaucoup de personnages mais assez de scenario et de développements pour en faire plus qu’une simple galerie hommage. C’est une véritable aventure qui vous attend avec ce qu’il faut d’actions et de suspens, on retrouve toutes les questions sur les conflits humains/robots, la cohabitation entre espèces, les sentiments chez les IA…. Et les fans de Tezuka auront plaisir à chercher ou redécouvrir leurs héros dans de nouvelles situations. La série est prévue en 6 tomes Bande annonce
  24. Titre de l'album : Team Phoenix tome 1 Scenariste de l'album : RUIZ Kenny / TEZUKA Osamu Dessinateur de l'album : RUIZ Kenny Coloriste : Editeur de l'album : VEGA Note : Résumé de l'album : La Grande Guerre qui fit rage entre les espèces vivantes et les robots se solda par la victoire de ses derniers. Après des décennies de conflit émergeait ainsi l'Union Robotique, un gouvernement totalitaire dirigé par le puissant Atlas. Sous son régime, ceux jugés utiles reçoivent « un permis de vivre » délivré par le gouvernement. Pour les autres, c'est la mort. Une poignée de rebelles, survivants de l'ancienne Alliance Biologique, lui résiste. Au sein de cette résistance se forme bientôt une nouvelle équipe de champions : la Team Phoenix. Critique : Les robots ont pris le pouvoir dans l’univers, ils ont décidé d’éliminer toutes les autres races mais quelques-uns pensent que certains humains peuvent être rééduqués et servir leur cause. C’est à ce moment que Saphir décide de se rebeller et monte son équipage de pirates de l’espace. Kenny Ruiz, auteur et dessinateur de bandes dessinées, s’est prêté à l’hommage rendu à Osamu Tezuka dans Tezucomi (critique ICI), c’est à ce moment que Team Phoenix est né : utiliser les personnages phares de Tezuka dans un space opera. Il n’est pas nécessaire de connaître l’œuvre du maître, pour apprécier le manga, l’histoire est cohérente, le trait de Kenny Ruiz précis et détaillé. Je trouve qu’on rentre facilement et rapidement dans le récit, il y a certes beaucoup de personnages mais assez de scenario et de développements pour en faire plus qu’une simple galerie hommage. C’est une véritable aventure qui vous attend avec ce qu’il faut d’actions et de suspens, on retrouve toutes les questions sur les conflits humains/robots, la cohabitation entre espèces, les sentiments chez les IA…. Et les fans de Tezuka auront plaisir à chercher ou redécouvrir leurs héros dans de nouvelles situations. La série est prévue en 6 tomes Bande annonce Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/team-phoenix-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. poseidon2

    Fire force t20-21

    Pfffff comme c'est bon. Et comme j'ai bien fait d'écouter mon fiston. J'avais un peu laché l'affaire sur Fire force. Trop de truc à lire, trop de séries en cours.... et il y avait un temp mort. Mon fils m'a seriné durant des jours me disant qu'il fallait que je me remette à jour alors un jour ou j'avais envie de ne pas reflechir je l'ai écouté et j'ai vraiment bien fait. Ces deux tomes sont excellents. Tout bouge ! le grand prédicateur, l'empire, la 8 ieme brigade, les pouvoirs de Shinra et d'Arthur, le capitaine Obi.... tout ! Un rythme de dingue, des combats de folie, des retournements de situations, des personnages qui vont au bout d'eux même et un suspens insoutenable. On ferme ce tome comme on peut fermer les meilleurs tomes des séries de Shonen : avec une furieuse envie de lire la suite ! C'est de la lecture détente mais de la bonne. Une lecture qui nous fait oublier des les premiers pages les soucis du quotidien et qui nous plonge au plein coeur d'une aventure démentielle. J'en veux encore ! et vite !
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