Rechercher dans la communauté
Affichage des résultats pour les étiquettes 'urban'.
60 résultats trouvés
-
Titre de l'album : Le mythe de l'ossuaire - Les résidents Scenariste de l'album : Jeff Lemire Dessinateur de l'album : Andrea Sorrentino Coloriste : Andrea Sorrentino Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : A la mort d'un de leurs voisins, dix habitants d'un HLM qui ne se connaissent que peu et que tout oppose devront coopérer alors que des phénomènes étranges surviennent autour d'eux. Invasion de mouches, baignoires remplies de sang, hallucinations glaçantes... le lugubre bâtiment cache une bien sombre histoire et un passage vers une dimension terrifiante, dans les tréfonds de laquelle ses résidents devront s'aventurer pour espérer en percer les mystères... et rester en vie. Contenu vo : The Bone Orchard Mythos: Tenement #1-10. Critique : Ceux qui nous suivent savent que je n'ai pas vraiment d'appétence pour les BDs d'horreur. J'ai eu du mal avec le dernier en date chez Urban d'ailleurs (le deviant). Et pourtant, pourtant.... ce mythe de l'ossuaire, comme les précédents, m'a scotché. Surement le talent de Jeff Lemire et la beauté du dessin d'Andrea Sorentino.... Surement le mélange des deux. Mais je mettrai le talent de Jeff Lemire un peu au-dessus. En effet il réussit, encore une fois, à trouver le juste milieu entre le récit d'angoisse et le récit d'aventure. Un mix savoureux à mi-chemin entre Sanctuaire et les mythes de Cthulhu. Lemire a créé une vraie mythologie sombre comme a pu le faire Lovecraft avec son géant vert. On a beau être mal à l'aise en le fermant.... on en redemande ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-mythe-de-l-ossuaire-les-residents?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Ceux qui nous suivent savent que je n'ai pas vraiment d'appétence pour les BDs d'horreur. J'ai eu du mal avec le dernier en date chez Urban d'ailleurs (le deviant). Et pourtant, pourtant.... ce mythe de l'ossuaire, comme les précédents, m'a scotché. Surement le talent de Jeff Lemire et la beauté du dessin d'Andrea Sorentino.... Surement le mélange des deux. Mais je mettrai le talent de Jeff Lemire un peu au-dessus. En effet il réussit, encore une fois, à trouver le juste milieu entre le récit d'angoisse et le récit d'aventure. Un mix savoureux à mi-chemin entre Sanctuaire et les mythes de Cthulhu. Lemire a créé une vraie mythologie sombre comme a pu le faire Lovecraft avec son géant vert. On a beau être mal à l'aise en le fermant.... on en redemande !
-
Titre de l'album : Créature commandos présente Frankenstein Scenariste de l'album : Grant Morrison | Jeff Lemire Dessinateur de l'album : Alberto Ponticelli | Doug Mahnke Coloriste : Alberto Ponticelli | Doug Mahnke Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Loin des bancs de la Justice League adorée du grand public, Frankenstein fait partie d'un réseau d'êtres étranges qui travaillent pour une organisation gouvernementale encore plus étrange : les Sur-Humains Agents de Défense de l'État, plus connus sous le nom de S.H.A.D.E. Avec son équipe, le monstre le plus célèbre de l'histoire protège l'humanité des menaces surnaturelles. Mais peut-il protéger le monde de menaces encore plus horribles que lui ? Et surtout, étant lui-même vilipendé pour ce qu'il est, voudra-t-il accepter cette mission ? Contenu vo : Seven Soldiers #1-4 + Frankenstein : Agent of S.H.A.D.E. #1-7. Critique : Urban continue sa diversification de l'univers de Batman avec maintenant une minisérie sur Frankenstein et les Créatures Commandos. Une série qui ne comptera que 2 volumes et qui nous raconte l'histoire d'un Frankenstein pas comme les autres. Loin d'un Frankenstein décérébré comme a pu le rendre célèbre le film du début du 20ieme siècle. On le découvre super puissant, immortel (car déjà mort en fait) et très puissant, s'occupant de tout ce que les héros normaux ne prennent pas. Ce qui nécessite de la sauvagerie, des morts et des gerbes de sang, peu importe sa couleur. Nos deux scénaristes nous livrent deux histoires qui se tiennent et garde le même niveau de WTF et de repartis cinglantes. Un bon défouloir pour un personnage que je n'aurais pas calé dans la catégorie héros.... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/creature-commandos-presente-frankenstein?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
- comics
- creature commande
-
(et 3 en plus)
Étiqueté avec :
-
Urban continue sa diversification de l'univers de Batman avec maintenant une minisérie sur Frankenstein et les Créatures Commandos. Une série qui ne comptera que 2 volumes et qui nous raconte l'histoire d'un Frankenstein pas comme les autres. Loin d'un Frankenstein décérébré comme a pu le rendre célèbre le film du début du 20ieme siècle. On le découvre super puissant, immortel (car déjà mort en fait) et très puissant, s'occupant de tout ce que les héros normaux ne prennent pas. Ce qui nécessite de la sauvagerie, des morts et des gerbes de sang, peu importe sa couleur. Nos deux scénaristes nous livrent deux histoires qui se tiennent et garde le même niveau de WTF et de repartis cinglantes. Un bon défouloir pour un personnage que je n'aurais pas calé dans la catégorie héros....
-
- comics
- creature commande
-
(et 3 en plus)
Étiqueté avec :
-
Titre de l'album : Batman - City of madness Scenariste de l'album : Christian Ward Dessinateur de l'album : Christian Ward Coloriste : Christian Ward Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : La Cour des Hiboux, sinistre cabale gothamienne qui tire les ficelles dans l'ombre, garde un portail menant à une Gotham City déformée, en proie à des créatures terrifiantes dépassant largement les frontières de l'imaginable. Quand ce passage entre les deux mondes cède une créature de la nuit s'infiltre dans Gotham avec un objectif bien précis en tête : trouver son propre Robin pour l'accompagner dans son éternelle quête de vengeance... Critique : Nouveau one shot chez Urban. Un one shot comme on les aime chez Urban/ DC avec une histoire dense et un tome hors continuité. Un tome entièrement confié à Christian Ward qui nous livre une maestria graphique comme rarement quand on aime le travail torturé et coloré. Si vous aimez le travail de Ward, foncez. Si vous etes moins fan.. et bien ce one shot vaux le coup. L'histoire proposée est un mix entre le multivers noir et la cour des hiboux. Un mix intéressant centré sur batman et sa part sombre. On regrettera juste le traitement des personnages secondaire peut être un peu trop rapide mais c'est dure d'être vraiment complet sur un seul tome. En bref un bon one shot de batman et un très bon si on aime Ward. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-city-of-madness?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Nouveau one shot chez Urban. Un one shot comme on les aime chez Urban/ DC avec une histoire dense et un tome hors continuité. Un tome entièrement confié à Christian Ward qui nous livre une maestria graphique comme rarement quand on aime le travail torturé et coloré. Si vous aimez le travail de Ward, foncez. Si vous etes moins fan.. et bien ce one shot vaux le coup. L'histoire proposée est un mix entre le multivers noir et la cour des hiboux. Un mix intéressant centré sur batman et sa part sombre. On regrettera juste le traitement des personnages secondaire peut être un peu trop rapide mais c'est dure d'être vraiment complet sur un seul tome. En bref un bon one shot de batman et un très bon si on aime Ward.
-
Titre de l'album : Duke Scenariste de l'album : Joshua Williamson Dessinateur de l'album : Tom Reilly Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Conrad Hauser, un des soldats les plus décorés de l'armée américain plus connu sous le nom de Duke, a établi un premier contact avec un être extraterrestre, et a bien failli y rester. Mais personne, pas même le colonel Hawk, ne croit à l'histoire du chasseur à réaction qui s'est transformé en un colossal robot et qui a tenté de le tuer. Désabusé, Duke se met en quête de réponses, entraîné dans un conflit auquel aucun entraînement n'aurait pu le préparer. Une guerre à laquelle seul un véritable héros américain a une chance de survivre... Critique : Deuxième tome autour de la création des GI Joes après celui sur la création de Cobra (ou inversement en fonction de votre sens de lecture) et quatrième tome de cette année sur le reboot de l'energonverse de Joshua Williamson. J'avais été bluffé par le tome sur Commander Cobra. Je vous laisse voir la critique. Celui-ci sur Duke est plus "consensuel". Un héros qui est renié par une hiérarchie qui ne veut pas dévoiler l'existence des Transformers, quitte à s'aliéner son meilleur élément. L'histoire est donc assez classique, ne mettant que peu l'accent sur les entités extraterrestres de Cobra ou des Transformers. Alors certes, quand on a lu les autres, on remarquera plein de petits détails qui font le sel de ces tomes croisés et cela nous fera apprécier ce Duke. J'ai un peu peur que les autres n'y voit pas grand-chose de plus qu'un Expendables en BD..... Attendons de voir le premier tome de GI Joes, qui devrait redéfinir ce tome comme un préquel, avant de vraiment juger l'interet de ce Duke. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/duke-9782365775502?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Deuxième tome autour de la création des GI Joes après celui sur la création de Cobra (ou inversement en fonction de votre sens de lecture) et quatrième tome de cette année sur le reboot de l'energonverse de Joshua Williamson. J'avais été bluffé par le tome sur Commander Cobra. Je vous laisse voir la critique. Celui-ci sur Duke est plus "consensuel". Un héros qui est renié par une hiérarchie qui ne veut pas dévoiler l'existence des Transformers, quitte à s'aliéner son meilleur élément. L'histoire est donc assez classique, ne mettant que peu l'accent sur les entités extraterrestres de Cobra ou des Transformers. Alors certes, quand on a lu les autres, on remarquera plein de petits détails qui font le sel de ces tomes croisés et cela nous fera apprécier ce Duke. J'ai un peu peur que les autres n'y voit pas grand-chose de plus qu'un Expendables en BD..... Attendons de voir le premier tome de GI Joes, qui devrait redéfinir ce tome comme un préquel, avant de vraiment juger l'interet de ce Duke.
-
Titre de l'album : Cobra commander Scenariste de l'album : Joshua Williamson Dessinateur de l'album : Andrea Milana Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Dans un monde où l'organisation Cobra - célèbre formation antagoniste des G.I. Joe - n'a pas encore vu le jour, les plans sinistres d'un homme pour utiliser la mystérieuse substance extraterrestre connue sous le nom d'Energon provoquent des ondes de choc à travers la galaxie. Qui est Cobra Commander ? D'où vient-il, et quels sont ses plans ? Mais par-dessus tout, quelles horreurs prévoit-il d'abattre sur notre monde ? Critique : Décidément cet Energonverse est plein de bonnes surprises. Je dois bien avouer que, lorsque j'ai vu la news de lancement chez Urban, j'étais perplexe. Pour moi, GI Joe et les Transformers, c'étaient des jouets pour enfants...Et si cela reste vrai, cet Energonverse est lui bien plus. Plus global, plus sombre, plus violent, plus adulte. Déjà le premier Transformers et le Void Rivals nous avait montré que l'univers était plus étendu que la simple guerre entre les Transformers et leurs ennemis de toujours. Avec ce Cobra Commander, Joshua Williamson ajoute une couche à son univers, introduisant une nouvelle espèce cherchant à mettre la main sur l'Energon. Pour ce faire, il nous offre un one shot d'introduction… d'un méchant. Mais un vrai sans scrupules ni morale. Et ça marche ! On a un one shot très adulte, nous offrant la formation dans le sang de l'organisation Cobra. Organisation qui deviendra l'antagoniste principale de GI Joe. C'est bien dessiné, c'est dense, sans de concession... c'est un exemple de comics d'action ! Je vais me jeter sur le Duke sortie en meme temps ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/cobra-commander?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Décidément cet Energonverse est plein de bonnes surprises. Je dois bien avouer que, lorsque j'ai vu la news de lancement chez Urban, j'étais perplexe. Pour moi, GI Joe et les Transformers, c'étaient des jouets pour enfants...Et si cela reste vrai, cet Energonverse est lui bien plus. Plus global, plus sombre, plus violent, plus adulte. Déjà le premier Transformers et le Void Rivals nous avait montré que l'univers était plus étendu que la simple guerre entre les Transformers et leurs ennemis de toujours. Avec ce Cobra Commander, Joshua Williamson ajoute une couche à son univers, introduisant une nouvelle espèce cherchant à mettre la main sur l'Energon. Pour ce faire, il nous offre un one shot d'introduction… d'un méchant. Mais un vrai sans scrupules ni morale. Et ça marche ! On a un one shot très adulte, nous offrant la formation dans le sang de l'organisation Cobra. Organisation qui deviendra l'antagoniste principale de GI Joe. C'est bien dessiné, c'est dense, sans de concession... c'est un exemple de comics d'action ! Je vais me jeter sur le Duke sortie en meme temps !
-
Titre de l'album : Bat-man - First knight Scenariste de l'album : Mike Perrins Dessinateur de l'album : Dan Jurgens Coloriste : Dan Jurgens Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : 1939, le fascisme monte au lendemain de la Grande Dépression, alors qu'un Batman débutant arpente les rues de Gotham. Enquêtant sur une série de crimes, Batman réalise que chacun de ses suspects est en réalité mort et enterré. Avec pour seul allié James Gordon, enquêteur au GCPD, le Chevalier Noir va devoir lever le voile sur ces «criminels réanimés» et trouver le moyen de les arrêter... Critique : C'est parti pour un nouveau tome sur les origines de Batman. Si cela semble un peu trop répétitif avec un nombre conséquent de "premier combat", celui ci se démarque par la temporalité de son action : Il se place véritablement au début du comics avec une action qui prend place dans le Gotham de la fin des années 30, entre grande dépression, montée de l'antisémitisme et menace d'une nouvelle guerre mondiale. Notre Bat-man se bat avec les outils de l'époque et affronte des méchants que l'époque peut lui apporter : des gangsters. Mais la ou nos auteurs tire leur épingle du jeu, c'est qu'ils réunissent, via une habile utilisation de "morts-vivants" à insérer une couche de fantastique dans ces années très souvent dédiées à ces seuls gangsters. Un one shot sombre, mais très en accord avec l'époque décrite. Une bonne histoire de Bat-Man qui, à défaut d'être super original sur les personnages principaux, sait nous attirer dans son ambiance année 30 ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bat-man-first-knight?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Titre de l'album : L'assassin royal tome 1 Scenariste de l'album : Robin Hobb (Scénario, Adapté de) Jody Houser (Scénario) Dessinateur de l'album : Ryan Kelly Coloriste : Ryan Kelly Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Lorsque le fils illégitime du prince Chivalry's est abandonné par un vieux fermier au frère dudit prince, la vie du garçon change à jamais. Rebaptisé « Fitz » par ses nouveaux gardiens, il est plongé dans les intrigues complexes des cours des Six Duchés. Mais un pouvoir s'éveille chez le jeune garçon, d'un genre nouveau. Quelque chose qu'il devra apprendre à contrôler, au risque de provoquer la chute du royaume. Critique : Et oui et oui. C'est reparti pour une adaptation de l'assassin royal de Robin Hobb. Après la version française chez Soleil, voici la version outre manche en format souple. On ne va pas revenir sur l'histoire elle-même, étant celle de l'assassin royal au final. SI vous voulez en savoir plus... Wikipédia est votre ami. Que reste-t-il à dire me demanderez-vous ? Et bien tout d'abord le dessin, particulièrement réussi sur celui-ci. Un cran au-dessus de l'adaptation Soleil de mon point de vue (même si je confonds quand même un peu certains personnages ressemblant tous à des chevaliers). On a certaines planches assez magnifiques. Ensuite il y a la pagination. Pour 15 euros, on a 136 pages, ce qui équivaut à 6 chapitres. Sachant que nos amis américains en sont au début du troisième volume, on peut se dire que cette adaptation (d'au moins 18 chapitres) sera forcément plus complète que la version Soleil qui faisait 10 tomes. Pour ma part, n'ayant pas la version Soleil, je vais continuer cette adaptation-ci ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-assassin-royal-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Et oui et oui. C'est reparti pour une adaptation de l'assassin royal de Robin Hobb. Après la version française chez Soleil, voici la version outre manche en format souple. On ne va pas revenir sur l'histoire elle-même, étant celle de l'assassin royal au final. SI vous voulez en savoir plus... Wikipédia est votre ami. Que reste-t-il à dire me demanderez-vous ? Et bien tout d'abord le dessin, particulièrement réussi sur celui-ci. Un cran au-dessus de l'adaptation Soleil de mon point de vue (même si je confonds quand même un peu certains personnages ressemblant tous à des chevaliers). On a certaines planches assez magnifiques. Ensuite il y a la pagination. Pour 15 euros, on a 136 pages, ce qui équivaut à 6 chapitres. Sachant que nos amis américains en sont au début du troisième volume, on peut se dire que cette adaptation (d'au moins 18 chapitres) sera forcément plus complète que la version Soleil qui faisait 10 tomes. Pour ma part, n'ayant pas la version Soleil, je vais continuer cette adaptation-ci !
-
C'est parti pour un nouveau tome sur les origines de Batman. Si cela semble un peu trop répétitif avec un nombre conséquent de "premier combat", celui ci se démarque par la temporalité de son action : Il se place véritablement au début du comics avec une action qui prend place dans le Gotham de la fin des années 30, entre grande dépression, montée de l'antisémitisme et menace d'une nouvelle guerre mondiale. Notre Bat-man se bat avec les outils de l'époque et affronte des méchants que l'époque peut lui apporter : des gangsters. Mais la ou nos auteurs tire leur épingle du jeu, c'est qu'ils réunissent, via une habile utilisation de "morts-vivants" à insérer une couche de fantastique dans ces années très souvent dédiées à ces seuls gangsters. Un one shot sombre, mais très en accord avec l'époque décrite. Une bonne histoire de Bat-Man qui, à défaut d'être super original sur les personnages principaux, sait nous attirer dans son ambiance année 30 !
-
Titre de l'album : Joker + Harley Quinn - Bad romance Scenariste de l'album : collectif Dessinateur de l'album : collectif Coloriste : collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Le Joker et Harley Quinn ont toujours eu une relation... explosive. De l'amour fou à l'amour/haine en passant par l'envie de voir ailleurs, il faut dire que les trente dernières années ont été particulièrement tumultueuses pour le Prince et la Princesse du crime de Gotham. Cette anthologie propose de revenir sur l'idylle meurtrière et l'évolution du couple le plus dément de DC au travers de 8 récits réalisés par des équipes créatives qui ont su marquer l'histoire des personnages. Critique : Pour la sortie du numéro deux de Joker au cinéma, Urban nous sort une combinaison de petites histoires qui marquent l'histoire du couple le plus sulfureux de l'univers DC. Une compilation qui se veut "temporelle" en commençant par la première rencontre via une Partie de l'excellent Breaking Glass de Mariko Tamaki en passant par des épisodes clownesque de Paul Dini et finissant par les derniers événements ou Harley à définitivement tournée la page. Un condensé rapide de leur relation, logiquement orienté vers le personnage d'Harley vu que le Joker n'a pas vraiment eu d'autre rôle que celui du génie du mal. Les histoires sont très hétérogènes. Certaines immanquables quand d'autres complètement loufoques et un poil (trop) décalées. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/joker-harley-quinn-bad-romance?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Pour la sortie du numéro deux de Joker au cinéma, Urban nous sort une combinaison de petites histoires qui marquent l'histoire du couple le plus sulfureux de l'univers DC. Une compilation qui se veut "temporelle" en commençant par la première rencontre via une Partie de l'excellent Breaking Glass de Mariko Tamaki en passant par des épisodes clownesque de Paul Dini et finissant par les derniers événements ou Harley à définitivement tournée la page. Un condensé rapide de leur relation, logiquement orienté vers le personnage d'Harley vu que le Joker n'a pas vraiment eu d'autre rôle que celui du génie du mal. Les histoires sont très hétérogènes. Certaines immanquables quand d'autres complètement loufoques et un poil (trop) décalées.
-
Titre de l'album : Le dernier festin de Rubin Scenariste de l'album : Ram V Dessinateur de l'album : Filipe Andrade Coloriste : Filipe Andrade Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Mohan l'avait pressenti dès leur première rencontre, ce Rubin Baksh ne lui disait rien qui vaille. Le simple fait de lui proposer plus d'argent pour se rencontrer qu'il n'en gagnait en un mois aurait dû lui mettre la puce à l'oreille. Mais la curiosité étant trop forte, et bien qu'il ait d'abord refusé sa proposition de l'accompagner sur les routes pour réaliser un documentaire culinaire, il finit par accepter. Cette quête de saveurs oubliées et cachées le mènera-t-elle, sans le savoir, au dernier festin de Rubin ? Critique : Le duo de "Toutes les morts de Laila Star" reviennent avec un nouvel album et un album encore une fois sur une divinité de la mythologie indienne. Enfin cette fois c'est un Ogre donc plutôt le méchant des histoires. Un personnages qui, encore une fois, se prend l'envie de sortir de sa retraite pour se meler à l'espèce humaine. Cette fois c'est pour partager son amour de la nourriture avec les humains, même si cela l'oblige à lutter contre sa propre nature. On ne peut nier la filiation avec "Toutes les morts de Laila Star". Graphiquement déjà on retrouve avec plaisir le pastel de Filipe Andrade avec ses couleurs pâles et ses flous. On retrouve aussi la pâte de Ram V avec un récit initiatique rondement mené le long de métaphore culinaire pas forcément facile à comprendre. C'est le seul "problème" de cette nouvelle collaboration : elle est plus exigeante que la précédente ou la narration nous guidait un peu plus. Ici il faut réussir à embrasser l'ambiance du récit, lire les recettes qui le parsèment et réussir à faire le parallèle avec l'aventure de notre Ogre et de son biographe. Intéressant, joli mais plus compliqué que le précédent. Santé ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-dernier-festin-de-rubin?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Le duo de "Toutes les morts de Laila Star" reviennent avec un nouvel album et un album encore une fois sur une divinité de la mythologie indienne. Enfin cette fois c'est un Ogre donc plutôt le méchant des histoires. Un personnages qui, encore une fois, se prend l'envie de sortir de sa retraite pour se meler à l'espèce humaine. Cette fois c'est pour partager son amour de la nourriture avec les humains, même si cela l'oblige à lutter contre sa propre nature. On ne peut nier la filiation avec "Toutes les morts de Laila Star". Graphiquement déjà on retrouve avec plaisir le pastel de Filipe Andrade avec ses couleurs pâles et ses flous. On retrouve aussi la pâte de Ram V avec un récit initiatique rondement mené le long de métaphore culinaire pas forcément facile à comprendre. C'est le seul "problème" de cette nouvelle collaboration : elle est plus exigeante que la précédente ou la narration nous guidait un peu plus. Ici il faut réussir à embrasser l'ambiance du récit, lire les recettes qui le parsèment et réussir à faire le parallèle avec l'aventure de notre Ogre et de son biographe. Intéressant, joli mais plus compliqué que le précédent. Santé !
-
Titre de l'album : Nights tome 1 Scenariste de l'album : Wyatt Kennedy Dessinateur de l'album : Luigi Formisano Coloriste : Francesco Segama Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : 2003, Floride espagnole. Vince Okonma est un adolescent normal. Entre sa colocation avec un créateur de jeux vidéo, son cousin tueur à gages et son nouveau lycée, il s'adapte à sa nouvelle vie après le décès de ses parents. Il apprend également à côtoyer vampires et fantômes dans les couloirs de l'école. Sa nouvelle meilleure amie ? Gray, autoproclamée « plus grande vampire de tous les temps ». Jusqu'ici, tout va bien... Critique : Mmmhhh.... il n'y aurait pas une légère odeur de East of West .... non vous ne sentez pas ca ? A vous n'avez surement pas lu Nights alors 🙂 En effet je trouve que cet album, pourtant estampillé "Ado", à des aires de la fresque de Hickman. Alors on en est pas encore la mais il y a des trucs... une histoire de monde complètement décalée ou les monstres sont des entités comme les autres. Un monde ou les histoires d'amour entre des humains et des monstres ne choque personne mais aussi ou les pouvoirs de certains peuvent changer bien plus que les sentiments de l'autre. Le coté "une histoire simple qui se dirige vers quelque chose de bien plus dense" est aussi un des aspects qui m'a donné un sentiment de East of West. On sent bien, et la fin du tome va dans ce sens, que l'histoire ne nous a révélé qu'un petit bout d'un iceberg qui pourrait être bien plus important. Que ce soit Gray ou encore l'étrange association qui la surveille ou encore le passé de Vince lui-même, on sent bien que, malgré 200 pages super intéressantes, cet album est quasiment une introduction. Et c'est tant mieux 🙂 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nights-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Mmmhhh.... il n'y aurait pas une légère odeur de East of West .... non vous ne sentez pas ca ? A vous n'avez surement pas lu Nights alors 🙂 En effet je trouve que cet album, pourtant estampillé "Ado", à des aires de la fresque de Hickman. Alors on en est pas encore la mais il y a des trucs... une histoire de monde complètement décalée ou les monstres sont des entités comme les autres. Un monde ou les histoires d'amour entre des humains et des monstres ne choque personne mais aussi ou les pouvoirs de certains peuvent changer bien plus que les sentiments de l'autre. Le coté "une histoire simple qui se dirige vers quelque chose de bien plus dense" est aussi un des aspects qui m'a donné un sentiment de East of West. On sent bien, et la fin du tome va dans ce sens, que l'histoire ne nous a révélé qu'un petit bout d'un iceberg qui pourrait être bien plus important. Que ce soit Gray ou encore l'étrange association qui la surveille ou encore le passé de Vince lui-même, on sent bien que, malgré 200 pages super intéressantes, cet album est quasiment une introduction. Et c'est tant mieux 🙂
-
James Tyrion IV se lance dans une nouvelle série pour adolescent et d'amateurs de littérature fantastique des années 80. Je n'ai pas encore tranché quelle était la cible principale de ce Christopher Chaos. En effet les références à Frankenstein, Dracula, aux loups-garous et autres entités fantomatiques pourrait destiner ce comics aux connaisseurs (donc plus vieux) du genre. Cependant, le dessin et l'histoire elle-meme semble plus destiné à un public jeune. Le personnage de Christopher déjà : Garçon gay aux cheveux bleus, introvertis. Le lieu avec un lycée de campagne américaine. Les méchants, très méchants. Et puis le rythme qui met en avant l'action au détriment, parfois, de la compréhension. Bref un ensemble qui ne m'a pas forcément convaincu. J'ai bien aimé le mélange des monstres, mais pas vraiment la cohérence de l'ensemble (rien n'a l'air de choquer le grand public... ou on s'en fou)
-
Titre de l'album : L'étrange quotidien de Christopher Chaos tome 1 Scenariste de l'album : James Tyrion IV Dessinateur de l'album : Tate Brombal Coloriste : Isaac Goodhart Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Christopher Chaos est un adolescent pas tout à fait comme les autres. Toute sa vie, il a su qu'il avait quelque chose de différent. Son esprit brillant lui permet d'accomplir des merveilles qui dépassent les limites de l'imaginable. Malheureusement pour lui, ces compétences hors du commun sont aussi la source de bien des problèmes dans sa vie... Quand un jour, le tombeur de son lycée s'avère être un monstre tout droit sorti d'un film d'horreur, Christopher est plongé dans un monde rempli de créatures et de légendes, menacé par une secte de chasseurs bien déterminée à tous les éliminer. Critique : James Tyrion IV se lance dans une nouvelle série pour adolescent et d'amateurs de littérature fantastique des années 80. Je n'ai pas encore tranché quelle était la cible principale de ce Christopher Chaos. En effet les références à Frankenstein, Dracula, aux loups-garous et autres entités fantomatiques pourrait destiner ce comics aux connaisseurs (donc plus vieux) du genre. Cependant, le dessin et l'histoire elle-meme semble plus destiné à un public jeune. Le personnage de Christopher déjà : Garçon gay aux cheveux bleus, introvertis. Le lieu avec un lycée de campagne américaine. Les méchants, très méchants. Et puis le rythme qui met en avant l'action au détriment, parfois, de la compréhension. Bref un ensemble qui ne m'a pas forcément convaincu. J'ai bien aimé le mélange des monstres, mais pas vraiment la cohérence de l'ensemble (rien n'a l'air de choquer le grand public... ou on s'en fou) Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-etrange-quotidien-de-christopher-chaos-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Urban comics reprend les histoires parues dans Urban Link pour redonner une nouvelle vie à des séries qui le mérite. C'est le cas pour Raven et Beast boys. Cette fois ci Urban édite les deux tomes en un seul gros. Ce qui a du sens tellement les deux destins des teens titans sont liés. Et offre un gros volume de lecture pour nos ados. Une histoire d'aventure, de romance, d'adolescence et de découverte de pouvoir. Tout ce qu'il faut pour nos adolescents et une occasion pour Urban de relancer la franchise des teen titans, ce tome étant le prélude au Robin des teens titans qui vient de sortir.
-
- comics
- teen titan
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
Titre de l'album : Teen titans Raven et Beast boy - intégrale tome 1 Scenariste de l'album : Kami Garcia Dessinateur de l'album : Gabriel Picolo Coloriste : Gabriel Picolo Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Raven a beau n'avoir que dix-sept ans, la vie n'a pas manqué de lui infliger son lot d'épreuves douloureuses. La disparition de sa mère adoptive dans un tragique accident de voiture et l'amnésie totale qui en résulta marquent le début d'une longue et difficile reconstruction personnelle. Alors qu'elle ouvre une nouvelle page en partant s'installer à la Nouvelle-Orléans, d'étranges phénomènes visuels et auditifs commencent à se manifester. De son côté, l'étudiant en terminale, Garfield Logan cumule les complexes. Tous les autres étudiants semblent avoir trouvé leur place, ont l'air de savoir avec précision ce qu'ils aiment, ce qu'ils veulent et surtout qui ils sont, et Gar est encore bien loin de tout ça. Il est celui que personne ne remarque, et son crush, Alana, ne fait pas exception. Son souci du regard des autres finit par prendre une place démesurée, tandis que ses capacités imprévisibles se révèlent. Pour ces deux adolescents,la quête d'identité aux frontières du surnaturel qui anime leurs destins trouvera peut-être un point de rencontre ? Critique : Urban comics reprend les histoires parues dans Urban Link pour redonner une nouvelle vie à des séries qui le mérite. C'est le cas pour Raven et Beast boys. Cette fois ci Urban édite les deux tomes en un seul gros. Ce qui a du sens tellement les deux destins des teens titans sont liés. Et offre un gros volume de lecture pour nos ados. Une histoire d'aventure, de romance, d'adolescence et de découverte de pouvoir. Tout ce qu'il faut pour nos adolescents et une occasion pour Urban de relancer la franchise des teen titans, ce tome étant le prélude au Robin des teens titans qui vient de sortir. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/teen-titans-raven-et-beast-boy-integrale-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
- comics
- teen titan
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
Titre de l'album : Joker - Les derniers jours d'un clown Scenariste de l'album : J.H. Williams III | Chuck Dixon | Jerry Ordway Dessinateur de l'album : Walter McDaniel | Scott Beatty | Ron Randall Coloriste : Walter McDaniel | Scott Beatty | Ron Randall Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Dans le Slab, la prison de sécurité maximale pour les criminels surpuissants, le Joker apprend qu'il est mourant. Il concocte alors un plan pour perpétuer son héritage, en partageant le venin qui l'a transformé en un sociopathe au visage pâle avec d'innombrables autres super-vilains. Pendant ce temps, Oracle, la première ligne de défense, est indisponible. Seule Black Canary répond présente pour essayer d'arrêter une émeute de malfaiteurs sanguinaires. Critique : En voici un album super surprenant. En effet au vu de la couverture, du dessin et de la période chronologique, j'étais sur que cet album était une réédition. Et bien après des recherches sur le net, il ne semblerait pas ! Et pourtant le dessin fait très années 80-90 et l'histoire se passe avec Tim Drake en tant que Robin. On est donc loin de la continuité actuelle. Cela mis à part l'histoire n'est pas trop mal. Le principe de voir ce que le Joker ferait si on lui déclarait qu'il allait mourir est plutôt sympa et le dessin old shool se marie plutôt bien avec les délires loufoques du Joker. Après l'histoire est un peu trop "consensuelle" et la fin cherche trop rapidement à retomber sur ses pattes pour que ce récit soit vraiment marquant. Un récit de vacances pour nostalgique. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/joker-les-derniers-jours-d-un-clown?ref=44 Voir la totalité de enregistrement