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Affichage de[s] tout le contenu étiquetés 'Comics', 'Comic' et 'US' et posté[e][s] durant les 96531 derniers jours.

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  1. Hier
  2. poseidon2

    Dawn of Green Lantern tome 1

    Autour de Hal Jordan de passer dans la moulinette de "Dawn of" avec un démarrage tout en doucement pour notre premier "Lanterne". Un démarrage sous forme d'une histoire complète et une histoire très introductive. Hal se trouve une nouvelle bague (oui oui il avait eu des soucis avec les gardiens précédemment, mais rien à savoir) et combat... Sinistro. Accompagné de son petit passage Terrors, pour une fois pas trop mal car s'appliquant bien à un Hal Jordan torturé, La fin de l'album donne le focus à notre autre lanterne mondiale : John Stewart. la ca devient un peu bizarre. On ne sait pas trop dans quel univers on est mais on semble avoir oublié l'embargo et la mise sous cloche de la terre par les gardiens. C'est court et hyper introductif et parait être la pierre angulaire des prochains tomes....mais pour l'instant c'est un peu nébuleux. Ce Dawn of Green lantern est donc une histoire sympathique qui est bien calibré pour ceux qui ne connaissent pas le personnage dans sa première partie et une deuxième partie plus courte pour... ceux qui le connaissent deja sur le bout des doigts
  3. Titre de l'album : Dawn of Green Lantern tome 1 Scenariste de l'album : Scott Godlewski Dessinateur de l'album : Eduardo Pansica | Júlio Ferreira | Jordi Tarragona | Xermánico Coloriste : Eduardo Pansica | Júlio Ferreira | Jordi Tarragona | Xermánico Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Une vague de changement radical s'abat sur la galaxie. Les gardiens de la planète OA ont disparu et en leur absence les Planètes Unies ont pris le contrôle du Corps des Green Lantern. Elles ont décreté le secteur 2814 - abritant la Terre - comme dangereux, et ont réaffecté leurs gardiens à d'autres secteurs. mais la véritable motivation derrière cette mesure extrême demeure un mystère... Furieux de cet abandon de poste imposé, l'un des Green Lantern démissionne en signe de protestation et décide de retourner sur Terre ! Contenu vo : Green Lantern #1-6 + KNIGHT TERRORS: GREEN LANTERN #1-2. Critique : Autour de Hal Jordan de passer dans la moulinette de "Dawn of" avec un démarrage tout en doucement pour notre premier "Lanterne". Un démarrage sous forme d'une histoire complète et une histoire très introductive. Hal se trouve une nouvelle bague (oui oui il avait eu des soucis avec les gardiens précédemment, mais rien à savoir) et combat... Sinistro. Accompagné de son petit passage Terrors, pour une fois pas trop mal car s'appliquant bien à un Hal Jordan torturé, La fin de l'album donne le focus à notre autre lanterne mondiale : John Stewart. la ca devient un peu bizarre. On ne sait pas trop dans quel univers on est mais on semble avoir oublié l'embargo et la mise sous cloche de la terre par les gardiens. C'est court et hyper introductif et parait être la pierre angulaire des prochains tomes....mais pour l'instant c'est un peu nébuleux. Ce Dawn of Green lantern est donc une histoire sympathique qui est bien calibré pour ceux qui ne connaissent pas le personnage dans sa première partie et une deuxième partie plus courte pour... ceux qui le connaissent deja sur le bout des doigts Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dawn-of-green-lantern-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. alx23

    Canary

    Scott Snyder est un auteur très prolifique en histoire fantastique et horreur. Avec Canary, l'auteur nous propose un western avec un Shérif qui côtoie depuis bien longtemps les forces du mal avec son révolver. D'ailleurs on retrouve un peu l'ambiance de la série American vampire sur la période des cowboys mais avec cette fois des monstres démoniaques avec des dentitions sur tout le corps. On suit donc le parcours du héros intervenant pour seconder un docteur pendant ses analyses d'une ancienne mine désaffectée. En parallèle, on découvre le passé du héros découvrant le mal venant entrecoupé l'action présente. Le dessinateur Dan Panosian fait des merveilles sur ce western, j'apprécie beaucoup son trait dans un style très réaliste. L'auteur installe une ambiance bien étrange surtout avec les ciels avec beaucoup de peinture ou des taches d'encrage coloré. Les humains se transforment en démons ou demi-monstre très crédible. Mon seul reproche serait de ne pas avoir de suite à cette histoire assez dense sur six chapitres pour prolonger l'intrigue même si la fin reste ouverte, après la fin reste ouverte. Canary devrait satisfaire tous les lecteurs de western fantastique tirant sur l'horreur pour le final.
  5. alx23

    Canary

    Titre de l'album : Canary Scenariste de l'album : Scott Snyder Dessinateur de l'album : Dan Panosian Coloriste : Dan Panosian Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Au cours des derniers mois de la conquête du grand Ouest américain, une société minière du Colorado cherche désespérément ce qui peut rester comme minerai. Au cours de ses ultimes fouilles, elle tombe sur de l'uranium radioactif, avant que la mine s'effondre sur elle-même. Des légendes circulent bientôt au sujet de cette mine maudite qui pourrait être hantée... Critique : Scott Snyder est un auteur très prolifique en histoire fantastique et horreur. Avec Canary, l'auteur nous propose un western avec un Shérif qui côtoie depuis bien longtemps les forces du mal avec son révolver. D'ailleurs on retrouve un peu l'ambiance de la série American vampire sur la période des cowboys mais avec cette fois des monstres démoniaques avec des dentitions sur tout le corps. On suit donc le parcours du héros intervenant pour seconder un docteur pendant ses analyses d'une ancienne mine désaffectée. En parallèle, on découvre le passé du héros découvrant le mal venant entrecoupé l'action présente. Le dessinateur Dan Panosian fait des merveilles sur ce western, j'apprécie beaucoup son trait dans un style très réaliste. L'auteur installe une ambiance bien étrange surtout avec les ciels avec beaucoup de peinture ou des taches d'encrage coloré. Les humains se transforment en démons ou demi-monstre très crédible. Mon seul reproche serait de ne pas avoir de suite à cette histoire assez dense sur six chapitres pour prolonger l'intrigue même si la fin reste ouverte, après la fin reste ouverte. Canary devrait satisfaire tous les lecteurs de western fantastique tirant sur l'horreur pour le final. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/canary/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. La dernière semaine
  7. Titre de l'album : Là où gisait le corps Scenariste de l'album : Ed Brubaker Dessinateur de l'album : Sean Phillips Coloriste : Jacob Phillips Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Une pension pleine de drogués ; une femme au foyer négligée ; une jeune fille qui se prend pour une super-héroïne ; un flic qui veut qu'on le laisse tranquille et un détective privé à la recherche d'une fugueuse. Ces récits et ces tranches de vie s'entremêlent au cours d'un été fatidique. Là où gisait le corps est une histoire d'amour et de meurtre, racontée du point de vue de tous les personnages. Mais qui dit vrai ? Critique : En fin d'album, Ed Brubaler explique que Sean Phillips lui avait demandé d'écrire une histoire romantique et d’amour pour changer. Ce dernier a accepté en ajoutant une histoire de drogue au milieu de cette romance autour d'un crime. Avec Là où gisait le corps, Brubaker va surprendre plus d'un lecteur avec une histoire dans un genre différent qui pourrait se rapprocher d'une enquête d'Agatha Christie, dans son dénouement. Car en effet, nous avons un meurtre et les témoignages de neuf personnes différentes vivant dans un même quartier. Toutes les personnes se connaissent plus ou moins bien et chacune nous livre sa vision et ses réflexions directement au lecteur. De cette manière on est pris dans l'enquête et la plupart des personnages semblent tous suspects ou avoir des choses à se reprocher. Les planches de Sean Phillips frôlent la perfection avec toute cette galerie de personnages très réalistes. Jacob gère parfaitement les ambiances avec les couleurs suivant l'intensité des scènes. Après les polars ou les récits fantastique, les auteurs nous livrent une histoire prenante avec neuf points de vue différent sur un meurtre dans une banlieue américaine dans les années 80. Là où gisait le corps est un excellent one shot. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-ou-gisait-le-corps/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. alx23

    Là où gisait le corps

    En fin d'album, Ed Brubaler explique que Sean Phillips lui avait demandé d'écrire une histoire romantique et d’amour pour changer. Ce dernier a accepté en ajoutant une histoire de drogue au milieu de cette romance autour d'un crime. Avec Là où gisait le corps, Brubaker va surprendre plus d'un lecteur avec une histoire dans un genre différent qui pourrait se rapprocher d'une enquête d'Agatha Christie, dans son dénouement. Car en effet, nous avons un meurtre et les témoignages de neuf personnes différentes vivant dans un même quartier. Toutes les personnes se connaissent plus ou moins bien et chacune nous livre sa vision et ses réflexions directement au lecteur. De cette manière on est pris dans l'enquête et la plupart des personnages semblent tous suspects ou avoir des choses à se reprocher. Les planches de Sean Phillips frôlent la perfection avec toute cette galerie de personnages très réalistes. Jacob gère parfaitement les ambiances avec les couleurs suivant l'intensité des scènes. Après les polars ou les récits fantastique, les auteurs nous livrent une histoire prenante avec neuf points de vue différent sur un meurtre dans une banlieue américaine dans les années 80. Là où gisait le corps est un excellent one shot.
  9. L'univers de the white knight continue son extension avec un tome à peine "contrôlé" par l'ami Sean Philipps. Et c'est bien le problème de mon point de vue. Graphiquement, c'est bien moins homogène que ne peuvent l'être les dessins du maitre et rend la lecture moins facile. On se demande parfois comment on peut passer de page quasiment bâclée à d'autres très jolie. Niveau scenario... c'est au mieux intéressant, mais complètement "passable". Cela ressemble à un tome complet d'introduction au prochain album de Murphy et à l'introduction... de superman. Une histoire sans grande ambition ni réelle plus-value où on nous ressort le coup du Joker qui n'arrivera jamais à s'amender dans l'esprit des gens Si vous êtes completistse à la limite....
  10. Titre de l'album : Batman White Knight - Generation Joker Scenariste de l'album : Mirka Andolfo Katana Collins | Clay McCormack Dessinateur de l'album : Mirka Andolfo Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Lorsque, Bryce et Jackie, les jumeaux du Joker et de Harley Quinn s'enfuient dans une Batmobile volée, seul l'hologramme de Jack Napier, a un espoir de les ramener chez eux sains et saufs et de les tenir à l'écart des séides du Joker. Mais le crime n'est pas la seule tentation à laquelle ils vont être confrontés : les enfants découvrent un secret qui pourrait ramener leur père à la vie pour de bon ! Arriveront-ils à faire revivre le plus grand ennemi du Chevalier Noir ? Critique : L'univers de the white knight continue son extension avec un tome à peine "contrôlé" par l'ami Sean Philipps. Et c'est bien le problème de mon point de vue. Graphiquement, c'est bien moins homogène que ne peuvent l'être les dessins du maitre et rend la lecture moins facile. On se demande parfois comment on peut passer de page quasiment bâclée à d'autres très jolie. Niveau scenario... c'est au mieux intéressant, mais complètement "passable". Cela ressemble à un tome complet d'introduction au prochain album de Murphy et à l'introduction... de superman. Une histoire sans grande ambition ni réelle plus-value où on nous ressort le coup du Joker qui n'arrivera jamais à s'amender dans l'esprit des gens Si vous êtes completistse à la limite.... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-white-knight-presents-generation-joker?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Avant
  12. Kevin Nivek

    Birdking - tome 1

    A la lecture de ces 160 pages emplies de magie , on sent les influences des auteurs , tel un feu d'artifice de styles . De Miyazaki au jeu vidéo Dark soul , en passant par les romans de Glenn Cook , voire l'anti-héros Elric , prenez le meilleur de toute cette magie et vous aurez un condensé de ce que Daniel Freedman cherche à réaliser dans cette saga . Un monde imaginaire avec ses croyances , ses dieux et bien entendu son tyran , une jeune femme forgeronne dont le passé semble lourds de secrets ,chaperonnée par un maître forgeron mystérieux , et bien entendu une quête ! Vous pensez qu'il s'agir de "déjà-vu" , et bien , absolument pas ! Les apparences sont trompeuses et vous ne serez pas au bout de vos surprises à la lecture (vivement) conseillé de cet ovni graphique . C'est bien simple, à la fin de ce premier tome , on ne sait presque rien , mais on a tellement hâte de découvrir la suite en octobre de cette année 😉 Tellement de pistes scénaristiques semées par Freedman , tellement à découvrir de ce monde ! Portée par le trait "Mignolesque" du prodige Crom , vous subirez les combats de Bianca avec une intensité folle ! Il rend vivant les affrontements au moyen d'onomatopées décrivant l'action , si bien que les mouvements semblent réels et vouloir sortir des pages . Les planches sont détaillées , le découpage immersif et dynamique , on tourne les pages avec frénésie ! Lui aussi puise ses influences dans la fantasy et donne le meilleur de lui même dans une histoire où souffle et épique ne sont pas de vains mots . Si vous aimes les squelettes , les spectres , les nécromanciens , les armes forgées , la magie etc .... jetez-vous sur ce premier tome qui va vous faire paraître longue l'attente jusqu'à l'automne pour la suite 😉
  13. Titre de l'album : Birdking - tome 1 Scenariste de l'album : Daniel Freedman Dessinateur de l'album : Crom Coloriste : Crom Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Dans un monde plongé dans les ténèbres et dominé par la guerre, Bianca, une jeune apprentie forgeron, est forcée de fuir son pays pour partir à la recherche d'Atlas, une terre légendaire. Elle est accompagnée de Birdking, un esprit gardien dont elle devra percer le mystère, au prix de nombreuses batailles. Critique : A la lecture de ces 160 pages emplies de magie , on sent les influences des auteurs , tel un feu d'artifice de styles . De Miyazaki au jeu vidéo Dark soul , en passant par les romans de Glenn Cook , voire l'anti-héros Elric , prenez le meilleur de toute cette magie et vous aurez un condensé de ce que Daniel Freedman cherche à réaliser dans cette saga . Un monde imaginaire avec ses croyances , ses dieux et bien entendu son tyran , une jeune femme forgeronne dont le passé semble lourds de secrets ,chaperonnée par un maître forgeron mystérieux , et bien entendu une quête ! Vous pensez qu'il s'agir de "déjà-vu" , et bien , absolument pas ! Les apparences sont trompeuses et vous ne serez pas au bout de vos surprises à la lecture (vivement) conseillé de cet ovni graphique . C'est bien simple, à la fin de ce premier tome , on ne sait presque rien , mais on a tellement hâte de découvrir la suite en octobre de cette année 😉 Tellement de pistes scénaristiques semées par Freedman , tellement à découvrir de ce monde ! Portée par le trait "Mignolesque" du prodige Crom , vous subirez les combats de Bianca avec une intensité folle ! Il rend vivant les affrontements au moyen d'onomatopées décrivant l'action , si bien que les mouvements semblent réels et vouloir sortir des pages . Les planches sont détaillées , le découpage immersif et dynamique , on tourne les pages avec frénésie ! Lui aussi puise ses influences dans la fantasy et donne le meilleur de lui même dans une histoire où souffle et épique ne sont pas de vains mots . Si vous aimes les squelettes , les spectres , les nécromanciens , les armes forgées , la magie etc .... jetez-vous sur ce premier tome qui va vous faire paraître longue l'attente jusqu'à l'automne pour la suite 😉 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/birdking-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. poseidon2

    Phenomena tome 1

    Le retour de Bendis chez DC et dans le comics indépendant avec une série ambitieuse et ... fichtrement compliquée. Porté par un dessin de haute volée avec un noir et blanc bien travaillé, ce nouvel un univers très super dense, très innovant et suffisamment compliqué pour que l'on ne comprenne quasiment rien avant le milieu du tome, donc après 75 pages. Une histoire qui devient vraiment intéressante si on a réussi à passer le milieu. En effet, on se met, dans la dernière partie, à approfondir l'univers et le background sur ce qu'il a bien pu se passer pour en arriver là. Un univers qui mérite de s'y pencher, de faire l'effort de passer la première partie un peu trop dense. À noter que le graphisme noir et blanc convient très bien au récit et le format souple n'est pas vraiment dérangeant car permet une lecture aisé et permet de baisser le coup de ce genre d'album.
  15. Titre de l'album : Phenomena tome 1 Scenariste de l'album : Brian Michael Bendis Dessinateur de l'album : André Araújo Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Boldon, jeune garçon en soif d'aventure, débarque dans la grande ville, le rêve ! Toutes ces nouvelles odeurs, ces nouvelles saveurs, tant de créatures à rencontrer ! La découverte de son nouvel environnement est rapidement interrompue lorsqu'il croise le chemin de Spike, fier combattant du peuple Cyper, et de Matilde, jeune voleuse dont les pas la mèneront à la mystérieuse Cité des Yeux d'Or, un lieu à l'origine du Phénomène qui toucha la Terre il y a quelques années... Contenu vo : Phenomena vol. 1 : The Golden City of Eyes Critique : Le retour de Bendis chez DC et dans le comics indépendant avec une série ambitieuse et ... fichtrement compliquée. Porté par un dessin de haute volée avec un noir et blanc bien travaillé, ce nouvel un univers très super dense, très innovant et suffisamment compliqué pour que l'on ne comprenne quasiment rien avant le milieu du tome, donc après 75 pages. Une histoire qui devient vraiment intéressante si on a réussi à passer le milieu. En effet, on se met, dans la dernière partie, à approfondir l'univers et le background sur ce qu'il a bien pu se passer pour en arriver là. Un univers qui mérite de s'y pencher, de faire l'effort de passer la première partie un peu trop dense. À noter que le graphisme noir et blanc convient très bien au récit et le format souple n'est pas vraiment dérangeant car permet une lecture aisé et permet de baisser le coup de ce genre d'album. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/phenomena-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Cette édition spéciale sort pour les 30 ans de la série Hellboy, regroupant le premier tome Les germes de la destruction accompagné de 23 histoires courtes. L'univers d'Hellboy se poursuit encore aujourd’hui après autant d'années et plusieurs autres dessinateurs et scénaristes ont participé à l'étendre. De nombreux albums spin-off sont sortis pour développer les membres du BPRD mais également sur cette équipe composée de créature combattants des monstres dans une ambiance très lovecraftienne. Toutes les histoires proposées dans cet album sont des classiques mais elles ont contribué au succès d'Hellboy, comme l'histoire sur la Baba Yaga, le cercueil enchainé. Toutes les récits sont déjà parues dans différents tomes de la série principale. Mike Mignola assure des planches magnifiques dans son style propre dans une ambiance gothique très prononcée. L’album se termine sur de nombreux bonus avec des recherches graphiques de personnages, des planches encrées mais aussi des peintures de l’album plus rare et des couvertures des comics. Cet album volumineux est une très bonne occasion pour les nouveaux lecteurs de découvrir les aventures fantastiques d'Hellboy ou de posséder une version collector. Pour l'occasion, Mike Mingola écrit une préface pour revenir sur sa création.
  17. Titre de l'album : Hellboy (édition anniversaire 30 ans) Scenariste de l'album : Mike Mignola Dessinateur de l'album : Mike Mignola Coloriste : Mark Chiarello, Dave Stewart, Matthew Hollingsworth Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Alors que le nouveau film consacré à Hellboy est attendu en cours d'année, c'est l'occasion de proposer ses premières aventures, constituées principalement de récits courts, mais aussi sa toute première apparition, chronologiquement parlant, dans les pages de la série NEXT MEN de John BYRNE. Critique : Cette édition spéciale sort pour les 30 ans de la série Hellboy, regroupant le premier tome Les germes de la destruction accompagné de 23 histoires courtes. L'univers d'Hellboy se poursuit encore aujourd’hui après autant d'années et plusieurs autres dessinateurs et scénaristes ont participé à l'étendre. De nombreux albums spin-off sont sortis pour développer les membres du BPRD mais également sur cette équipe composée de créature combattants des monstres dans une ambiance très lovecraftienne. Toutes les histoires proposées dans cet album sont des classiques mais elles ont contribué au succès d'Hellboy, comme l'histoire sur la Baba Yaga, le cercueil enchainé. Toutes les récits sont déjà parues dans différents tomes de la série principale. Mike Mignola assure des planches magnifiques dans son style propre dans une ambiance gothique très prononcée. L’album se termine sur de nombreux bonus avec des recherches graphiques de personnages, des planches encrées mais aussi des peintures de l’album plus rare et des couvertures des comics. Cet album volumineux est une très bonne occasion pour les nouveaux lecteurs de découvrir les aventures fantastiques d'Hellboy ou de posséder une version collector. Pour l'occasion, Mike Mingola écrit une préface pour revenir sur sa création. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hellboy-9782413084778/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. poseidon2

    Lore olympus tome 6

    Pfff je pense que depuis le temps tous les amoureux de romance auront déjà craqué, mais si jamais vous n'avez pas encore franchi le pas, ce tome 6 vous le fera faire. En effet, il contient ce que l'on que trop peu dans des romances contrariées : le passage à l'acte. Pas l'acte "charnel" mais le passage au niveau de couple. Un couple toujours très timide et qui n'ose pas plus s'engager de peur de se faire du mal réciproquement. C'est hyper mignon !!! l'amour se dévoile et s'assume tout doucement, avec les secrets et les histoires qui vont avec et qui leur font s'ouvrir leur cœurs. Avec le procès qui arrive, et les rebondissements qui ne manqueront pas d'arriver avec, l'entente entre notre héroïne et Hades qui augmente nous promet un procès haut en couleur. Vivement la suite !!
  19. Titre de l'album : Lore olympus tome 6 Scenariste de l'album : Rachel Smythe Dessinateur de l'album : Rachel Smythe Coloriste : Editeur de l'album : Hugo bd Note : Résumé de l'album : Cache-cache mortel aux Enfers... Zeus est en chasse et sa proie n'est autre que Perséphone... Heureusement Hadès a une longueur d'avance sur lui et la retrouve avant ! Ce temps passé seul à seul, cachés des autres les rapproche. Perséphone lui raconte enfin la vérité sur ce qui s'est passé au Royaume des mortels et Hadès lui en apprend davantage sur son passé avec Chronos. Mais même Hadès ne peut arrêter la course folle de Zeus, appuyé par Appolon, Menthé et Thétis en sous-marin. Héra, elle, choisit son camp suite à la confirmation de Perséphone sur son intuition et décide à son tour de faire sa chasse au dieu, Apollon étant sa cible. Mari et femme se font face, et la guerre ne fait que commencer. Car le secret que cache Perséphone sur Apollon est sur le point d'être lui aussi, bientôt révélé aux yeux de tous... Critique : Pfff je pense que depuis le temps tous les amoureux de romance auront déjà craqué, mais si jamais vous n'avez pas encore franchi le pas, ce tome 6 vous le fera faire. En effet, il contient ce que l'on que trop peu dans des romances contrariées : le passage à l'acte. Pas l'acte "charnel" mais le passage au niveau de couple. Un couple toujours très timide et qui n'ose pas plus s'engager de peur de se faire du mal réciproquement. C'est hyper mignon !!! l'amour se dévoile et s'assume tout doucement, avec les secrets et les histoires qui vont avec et qui leur font s'ouvrir leur cœurs. Avec le procès qui arrive, et les rebondissements qui ne manqueront pas d'arriver avec, l'entente entre notre héroïne et Hades qui augmente nous promet un procès haut en couleur. Vivement la suite !! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lore-olympus-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Titre de l'album : Once upon a time at the end of the world tome 1 Scenariste de l'album : Jason Aaron Dessinateur de l'album : Nick Dragotta | Alex Tefenkgi Coloriste : Nick Dragotta | Alex Tefenkgi Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Voilà des jours que Mezzy navigue sur sa barque de fortune, traversant des continents de plastique fondu, évitant des abysses infernaux et des geysers de feu noir. Elle n'a pas croisé âme qui vive depuis des lunes, et ses vivres sont à présent épuisés. Elle n'a maintenant d'autre choix que d'errer dans une jungle urbaine hostile où elle espère trouver de quoi se nourrir. Mais une rencontre inattendue va tout changer. Le jeune Maceo, avec lequel elle n'a rien en commun, entre soudain dans sa vie. Vaut-il mieux parcourir une planète ravagée seule, ou accompagnée ? Critique : Nouvelle série de Jason Aaron qui avait quitté le monde du comics indépendant depuis Sea of Stars si je ne m'abuse. Le genre d'album que tout fan de l'auteur attendant avec impatience. Encore plus quand on imagine la fin du monde qu'il pourrait nous livrer. Et bien j'avoue être mi-figue mi-raisin sur ce premier tome. Le scenario de Aaron est plutôt sympa, même si très orienté ado/jeunes adultes, avec un road trip entre deux personnages dont on sait dès le début qu'ils tomberont amoureux (un gars une fille...) et des poursuivants assez mystérieux. S'il est un peu trop classique dans la partie "présent", Aaron titille notre curiosité avec des planches de notre héros "dans le futur" avec un futur radicalement différent de tout ce que l'on pourrait imaginer arriver à nos deux héros. Des excellents hameçons pour nous laisser imaginer un scenario plus complexe qu'il n'y parait. Coté dessin le trait de Tefenkgi est globalement bien adapté à la partie "ado de l'histoire" mais pas vraiment à la partie plus "hard" dans le futur ou elle est un peu trop brouillonne. En bref un premier intriguant, mais surtout sauvé par l'habileté de Aaron à nous laisser envisager le futur de l'album Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/once-upon-a-time-at-the-end-of-the-world-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Nouvelle série de Jason Aaron qui avait quitté le monde du comics indépendant depuis Sea of Stars si je ne m'abuse. Le genre d'album que tout fan de l'auteur attendant avec impatience. Encore plus quand on imagine la fin du monde qu'il pourrait nous livrer. Et bien j'avoue être mi-figue mi-raisin sur ce premier tome. Le scenario de Aaron est plutôt sympa, même si très orienté ado/jeunes adultes, avec un road trip entre deux personnages dont on sait dès le début qu'ils tomberont amoureux (un gars une fille...) et des poursuivants assez mystérieux. S'il est un peu trop classique dans la partie "présent", Aaron titille notre curiosité avec des planches de notre héros "dans le futur" avec un futur radicalement différent de tout ce que l'on pourrait imaginer arriver à nos deux héros. Des excellents hameçons pour nous laisser imaginer un scenario plus complexe qu'il n'y parait. Coté dessin le trait de Tefenkgi est globalement bien adapté à la partie "ado de l'histoire" mais pas vraiment à la partie plus "hard" dans le futur ou elle est un peu trop brouillonne. En bref un premier intriguant, mais surtout sauvé par l'habileté de Aaron à nous laisser envisager le futur de l'album
  22. poseidon2

    Snow angels

    Pfff grosse claque et grosse sortie pour urban Comics. Amis amateurs de comics indépendant et de visuels puissant, arrêtez tout ! Jeff Lemire nous sort un album qui détonnant ! Porté par un Jock au sommet de ce qu'il peut faire. Si ses run sur Batman (sombre reflet, le Batman qui rit) était très bon, la gestion de "design" polaire est juste ouf ! Les points de vue des patineurs, la gestion de l'importance du son, du brouillard et des grands espaces blancs est impressionnante. Mais cela est possible car le scenario survivaliste de Jeff Lemire est tout bonnement excellent ! Des le début on à l'impression de se retrouver des années après le transperceneige. On a froid rien qu'à regarder nos survivants. On angoisse quand un crissement imprévu survient et on s'interroge autant qu'eux sur le pourquoi de leur situation. C'est prenant, c'est sublime, c'est un one shot... et c'est amplement suffisant.
  23. poseidon2

    Snow angels

    Titre de l'album : Snow angels Scenariste de l'album : Jeff Lemire Dessinateur de l'album : Jock Coloriste : Jock Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : La Tranchée. Milliken et Mae ne l'ont jamais quittée, c'est tout ce qu'elles ont toujours connu. Elles sont nées dans la Tranchée et y mourront, comme tout leur peuple. Les deux filles, âgées de huit et onze ans, vivent avec leur père dans cette vaste tranchée sans fin, creusée au milieu d'un désert mortel de glace et de givre. Mais lorsque la Mort elle-même se jette à leurs trousses, faut-t-il braver le désert - en se livrant à une fin certaine - ou suivre la Tranchée, plus loin que quiconque n'a osé s'aventurer ? Contenu vo : Snow Angels (vol.1 + vol. 2) Critique : Pfff grosse claque et grosse sortie pour urban Comics. Amis amateurs de comics indépendant et de visuels puissant, arrêtez tout ! Jeff Lemire nous sort un album qui détonnant ! Porté par un Jock au sommet de ce qu'il peut faire. Si ses run sur Batman (sombre reflet, le Batman qui rit) était très bon, la gestion de "design" polaire est juste ouf ! Les points de vue des patineurs, la gestion de l'importance du son, du brouillard et des grands espaces blancs est impressionnante. Mais cela est possible car le scenario survivaliste de Jeff Lemire est tout bonnement excellent ! Des le début on à l'impression de se retrouver des années après le transperceneige. On a froid rien qu'à regarder nos survivants. On angoisse quand un crissement imprévu survient et on s'interroge autant qu'eux sur le pourquoi de leur situation. C'est prenant, c'est sublime, c'est un one shot... et c'est amplement suffisant. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/snow-angels?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. poseidon2

    Superman lost

    Superman Lost est un one shot ambitieux sur notre homme d'acier. Ambitieux car ayant la volonté de faire... perdre sa volonté à notre inamovible Clark Kent. Et Christopher Priest réussi cet exploit. Il réussit à nous transformer notre Superman en un homme brisé et apathie et à la faire avec une bonne justification. Qui ne serait pas troublé après un voyage dans l'espace de 20 années.... surtout si en revenant les autres ont l'impression qu'il ne s'est passé que quelques heures. Christopher Priest nous livre un superman écartelé par sa volonté de justice, peu importe ou dans l'univers et l'envie de rentrer chez lui. Un écartèlement suffisant pour le briser.... Ce voyage est graphiquement impressionnant. Carlo Pagulayan nous livre une copie presque parfaite et les passages dans l'espace son somptueux ? Le scenario est quant à lui très complexe... et aurait peut-être mérité de l'être un peu moins. il est compliqué de bien faire le rapprochement entre l'aventure de superman et l'enquête de Lois. L'aventure de superman est elle même déjà un peu tordue avec des aller-retour temporels et "universels" parfois un peu touffus. Je pense qu'une deuxième lecture m'éclairera un peu plus mais.... tout le monde n'a pas forcément le temps pour une deuxième lecture.
  25. poseidon2

    Superman lost

    Titre de l'album : Superman lost Scenariste de l'album : Christopher Priest Dessinateur de l'album : Carlo Pagulayan Coloriste : Carlo Pagulayan Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Lois Lane et Clark Kent filent le parfait amour, dans un appartement normal, avec leurs petites habitudes de couple normal. Clark enfile certes collants et cape de temps à autre pour sauver le monde, mais à part ça, tout est des plus ordinaires à Metropolis. Jusqu'au jour où Superman rentre à la maison, après une mission de routine... Debout au milieu du salon, il garde son costume, montrant tous les signes extérieurs d'un trouble de stress post-traumatique, et déclare : « Je suis parti... 20 ans. » SUPERMAN : LOST, une maxi-série de dix numéros scénarisée par Christopher PRIEST, à qui l'on doit un run de Black Panther chez Marvel, mais également des passages sur la JUSTICE LEAGUE et DEATHSTROKE. Critique : Superman Lost est un one shot ambitieux sur notre homme d'acier. Ambitieux car ayant la volonté de faire... perdre sa volonté à notre inamovible Clark Kent. Et Christopher Priest réussi cet exploit. Il réussit à nous transformer notre Superman en un homme brisé et apathie et à la faire avec une bonne justification. Qui ne serait pas troublé après un voyage dans l'espace de 20 années.... surtout si en revenant les autres ont l'impression qu'il ne s'est passé que quelques heures. Christopher Priest nous livre un superman écartelé par sa volonté de justice, peu importe ou dans l'univers et l'envie de rentrer chez lui. Un écartèlement suffisant pour le briser.... Ce voyage est graphiquement impressionnant. Carlo Pagulayan nous livre une copie presque parfaite et les passages dans l'espace son somptueux ? Le scenario est quant à lui très complexe... et aurait peut-être mérité de l'être un peu moins. il est compliqué de bien faire le rapprochement entre l'aventure de superman et l'enquête de Lois. L'aventure de superman est elle même déjà un peu tordue avec des aller-retour temporels et "universels" parfois un peu touffus. Je pense qu'une deuxième lecture m'éclairera un peu plus mais.... tout le monde n'a pas forcément le temps pour une deuxième lecture. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/superman-lost?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  26. Pour ce nouvel album d'Hellboy, Mike Mignola s'entoure une fois de plus de dessinateurs et scénaristes talentueux pour faire vivre des aventures improbables à sa créature. Le plus surprenant dans cet album est la participation d'Olivier Vatine à l'univers d'Hellboy. Vatine fait des merveilles comme d'habitude et c'est un réel plaisir de voir son style sur Hellboy. Mignola et Vatine envoient Hellboy dans la Grèce antique pour venir en aide à un peuple maudit. Pour la deuxième histoire, Mignola collabore de nouveau avec Christopher Golden le scénariste de Lord Baltimore. Le récit prend place dans une maison hantée avec un héritage en jeu où Hellboy vient en renfort en cas de besoin face aux fantômes. Shawn McManus dessine avec maitrise ce récit. Pour la troisième histoire, Mike Mignola fait appel à Gabriel Walta pour mettre en image une suite directe à l’histoire du tome 12 de la série principale. Walta livre des planches soignées. Ensuite pour terminer, Mignola scénarise deux petits récits courts dessinés par Mark Laszlo se déroulant sur deux époques dans les rues de Budapest. Le tome se termine sur de nombreux bonus, recherches graphiques et esquisses des dessinateurs. Ce huitième tome est une très bonne occasion de lire cette série comme les récits sont complets avec en plus la participation de dessinateurs de renommés. A noter qu'il existe une version librairie Pulp's mais j'ai préféré la couverture de la version classique.
  27. Titre de l'album : Hellboy & B.P.R.D. tome 8 - La nuit du cyclope Scenariste de l'album : Olivier Vatine, Mike Mignola, Christopher Golden Dessinateur de l'album : Olivier Vatine, Shawn McManus, Gabriel Walta, Mark Laszlo Coloriste : Olivier Vatine, Dave Stewart Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Cette nouvelle série de récits complets entraine Hellboy de Budapest à la Grèce antique alors qu'il combat des fantômes, règle des querelles familiales surnaturelles et se retrouve face à face avec la déesse Aphrodite ! Critique : Pour ce nouvel album d'Hellboy, Mike Mignola s'entoure une fois de plus de dessinateurs et scénaristes talentueux pour faire vivre des aventures improbables à sa créature. Le plus surprenant dans cet album est la participation d'Olivier Vatine à l'univers d'Hellboy. Vatine fait des merveilles comme d'habitude et c'est un réel plaisir de voir son style sur Hellboy. Mignola et Vatine envoient Hellboy dans la Grèce antique pour venir en aide à un peuple maudit. Pour la deuxième histoire, Mignola collabore de nouveau avec Christopher Golden le scénariste de Lord Baltimore. Le récit prend place dans une maison hantée avec un héritage en jeu où Hellboy vient en renfort en cas de besoin face aux fantômes. Shawn McManus dessine avec maitrise ce récit. Pour la troisième histoire, Mike Mignola fait appel à Gabriel Walta pour mettre en image une suite directe à l’histoire du tome 12 de la série principale. Walta livre des planches soignées. Ensuite pour terminer, Mignola scénarise deux petits récits courts dessinés par Mark Laszlo se déroulant sur deux époques dans les rues de Budapest. Le tome se termine sur de nombreux bonus, recherches graphiques et esquisses des dessinateurs. Ce huitième tome est une très bonne occasion de lire cette série comme les récits sont complets avec en plus la participation de dessinateurs de renommés. A noter qu'il existe une version librairie Pulp's mais j'ai préféré la couverture de la version classique. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hellboy-b-p-r-d-tome-8-la-nuit-du-cyclope/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  28. La série Tv du Doctor Who fête son soixantième anniversaire et pour l'occasion les éditions Black river proposent les dernières adaptions en comics. Cet album se centralise autour du dixième docteur Who accompagné Martha Jones une jeune étudiante en médecine, on croisera également le neuvième docteur avec sa femme Rose. Aussi loin que remonte la série, le docteur est toujours secondé par une femme pour voyager à travers le temps et l'espace dans des aventures palpitantes. Dans cette adaptation, le docteur et Martha devront affronter les Pyroméths, des extraterrestre connus de tous les docteurs. L'auteur Dan Slott s'inspire des milles et une nuit pour écrire son intrigue, ce scénariste est connu pour ses nombreuses histoires sur Spider-man. Pour les dessins, Christopher Jones et Matthew Dow Smith collaborent ensemble sur lueurs du feu, l'un introduit l'histoire et l'autre dessine le reste. Ensuite, Mike Collins dessine Rime ou raison la seconde histoire courte de l'album. Les fans du doctor Who seront content de la reprise de la série par Black River pour avoir de nouvelles adaptations en comics. Les autres pourront découvrir une histoire fantastique avec une touche d'humour dans un style très anglais. On regrettera que l'album ne soit pas complété par une troisième histoire.
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    • Godefroy - tome 1
      Note :
      Soucieux de mettre en avant les grands hommes de Belgique (encore que , France et Belgique se disputent la nationalité du chevalier), les auteurs de ce récit historique s'attaquent à Godefroy de Bouillon , l'un des héros des guerres de croisades . Dans ce tome introductif , nous sommes en l'an de grâce 1095 et nous découvrons ce personnage , qui semble isolé entre un avenir tracé par sa mère et ses ambitions personnelles . En effet , l'usage voudrait qu'il épouse une femme pieuse issue de noble lignée , mais il n'éprouve aucun sentiment envers elle , alors que le hasard met sur sa route la délicieuse et mystérieuse Aëlys et sa chevelure rousse . Un événement soudain va le forcer à prendre la décision de s'engager vers l'Orient porter la parole du pape Urbain II et livrer une guerre sainte , mais pour quelle raison et dans quelles circonstances ? 

      C'est le grand retour des héros historiques dans le paysage BD franco-belge ! Ce support avait été un peu délaissé et ce duo d'auteurs lui rend ses lettres de noblesses . Le récit s'appuie sur une documentation solide (avec des annexes en fin d'album ) et un dessin réaliste à la fois classique et moderne . Théo Dubois D'Enghien a pour modèles Delaby , Swolfs et Serpieri , des maîtres en la matière . Je le trouve pour ma part , effectivement très proche d'un Delaby , à travers son traitement des visages . Les paysages enneigés sont du plus bel effet et l'on connait les difficultés engendrées par ce type de panorama . Il faut avouer que les couleurs de Felideus ornent le moyen-âge de ses plus belles parures ! De la chevelure flamboyante d'Aëlys , en passant par les armures et robes de chevaux , c'est un sans-fautes pour le plaisir rétinien .

      Cette période historique vous plait et vous souhaitez enrichir votre culture générale , ce Godefroy saura vous séduire 😉 
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    • L'imprimerie du diable
      Note :
      Habituée à écrire des scénarios sur des femmes fortes telles Mata Hari et Frédégonde, Virginie Greinier invente la vie de Reine Percheval , guérisseuse dans une campagne reculée française  en 1470 . Sous l'oeil avisée de sa grand-mère , elle va apprendre tous les secrets des plantes et comment confectionner onguents et autres préparations utiles pour les villageois mais aussi les récoltes et le bien-être des bêtes . Elle a la chance d'évoluer aux côtés d'un curé progressiste et bien conscient des bienfaits qu'elle réalise tous les jours . Ce dernier a appris à lire au jeune Etienne qui montre de belles dispositions intellectuelles et rêve d'ailleurs , car son avenir tracé de paysan ne lui sied guère . Nos deux jeunes gens sont épris l'un pour l'autre mais le père d'Etienne , à la rancoeur tenace envers la grand-mère de Reine , finit par le découvrir et s'en prend violemment à son fils . Il quitte le village avec une promesse envers Reine : revenir ! Les années passent et nous voilà en 1495 , Colomb a découvert les Amériques , mais l'imprimerie fait aussi partie des découvertes majeures . Etienne travaille dans une imprimerie à Genève et publie des "canards" anti-sorcières et notamment un manifeste de démonologie : le marteau des sorcières . Oeuvre fondatrice et chapeautée par des hommes en quête de contrôle de la population et surtout de l'influence des femmes ! La chasse est lancée , la délation encouragée , Reine pourra t'elle continuer son oeuvre si bénéfique ? Etienne reviendra t'il et avec quelles dispositions envers elle ?

      Le graphisme lumineux et détaillé de l'artiste Annabel , magnifie un scénario précis , documenté , remarquablement écrit et gagnant en intensité au fil des pages . L'intelligence du propos , la mise en exergue des incohérences entre ces fameuses sorcières aimées des gens car bien conscients de leurs bienfaits , et une religion omniprésente dont l'incitation à la prière semble impuissante ; tout est ancré dans un réel logique et implacable . Sans faire l'erreur de sombrer dans un féminisme accru , Virginie Greinier démontre judicieusement comment la société patriarcale s'est renforcée sous l'égide bienveillante du clergé en déclarant la guerre à ses femmes porteuses d'un savoir qu'ils ne comprenaient pas et ne voulaient pas comprendre ! La profonde humanité et bienveillance de Reine transpire dans ses pages , elle s'illumine tels ses yeux brillants de véracité . Un regard moderne et réaliste sur ces femmes qui méritent tellement mieux que le qualificatif de sorcières .  Une des sorties BD les plus marquantes de l'année , à n'en pas douter !
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    • Titans - Tome 1 Iris
      Note :
      On connait bien l'histoire de Cronos mangeant une pierre donnée par son épouse Rhéa , en pensant qu'il s'agissait du dernier-né : Zeus ! Celui-ci élevé à l'écart sur l'île de Crète ,entreprit sa vengeance à l'âge adulte en déclarant la guerre aux titans menés par Cronos lui-même , la fameuse Titanomachie ! Mais les hommes dans tout cela me direz-vous , qu'en est-il de leur histoire ? Dans cette nouvelle collection de l'éditeur Oxymore chapeautée par Sébastien Grenier et Jean-Luc Istin , Olivier Peru  fait resurgir cette ancestrale querelle divine à l'apogée de la Grèce antique , où Sparte et Athènes règnent en maître . Mais n'y en a t'il pas un de trop justement ? Laci et son graphisme sombre et détaillé délivre des planches superbes , magnifiées par les couleurs et jeux de lumières d'Arif Prianto . On y fait la connaissance d'Iris , une guerrière sparte invaincue et terriblement badass . De sombres machinations politiques sont à l'oeuvre et à l'occasion d'une manifestation sportive entre les deux camps , elle va rencontrer sur son chemin un géant grec , leur champion doté d'une force dévastatrice . Elle qui n'a jamais connu la défaite , va découvrir se sentiment , amplifié par les coutumes de Sparte où l'échec est interdit sous peine de déshonneur et bannissement . Dans sa quête de rédemption elle va découvrir que les apparences sont trompeuses , les Dieux et les Titans se mêlent des affaires humaines , mais dans quel but ?? Prévue en 4 tomes centrés sur des femmes fortes comme Iris , cette saga est prometteuse et dotée de nombreuses qualités narratives et graphiques . De la  mythologie grecque dopée à la testostérone , innovante et moderne , avec une héroïne charismatique et un soupçon de magie divine , voici les ingrédients de ce premier opus réussi !
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    • Nero tome 3 - Jihad
      Note :
      Troisième et dernier tome de Nero (même si un deuxième cycle semble possible) et troisième tome qui conclut notre histoire globalement comme on l'attendait. Pour sauver le monde il faut un certain nombre de sacrifices, de héros et de trahison. Niveau scenario, pas de grande surprise. Le rythme est toujours là et le grand format toujours impressionnant tout comme la qualité de l'ouvrage.

      C'est coté dessin que j'ai été... un peu déçu. En effet je trouve qu'il y a une vraie différence de qualité entre la première et la deuxième partie. La première parait moins appliquée, la ou la deuxième est sublime. Si cela ne change pas l'histoire et la qualité de la lecture, c'est un peu décevant, donnant un peu l'impression d'avoir une qualité dépendante de l'humeur de notre dessinateur.

      La série reste une très belle œuvre graphique dans un très bel écrin et sur un thème un peu oublié ces 10 dernières années.
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    • Critique par une ado : Play it cool, guys tome 5
      Note :
      Une critique de @TheOtaku : Nos 5 beaux et classes hommes mais complètement étourdis sont de retour avec des histoires toujours aussi drôles et pleines de gaffes. L'un veut s'inspirer des histoires d'amour "non-existante" de ses amis pour écrire son nouveau roman et pendant ce temps nos 5 amis passent du temps ensemble à faire des gaffes, toujours des gaffes.

       

      Enfin, comme dans tous les tomes, il n'existe pas de "réel" fil conducteur entre les tomes et le but de cette série est évidemment uniquement de nous faire rire et passer un bon moment. A mon avis, les petites histoires sans fil conducteur seront assez ... plus suffisante à la longue, mais pour l'instant tout va bien, tant qu'on les lit avec un temps d'espace.

       

      Enfin si vous avez besoin d'un moment de calme avec des personnages drôles que ce soit le soir avant de dormir, le matin après le réveil, après le travail, lors d'un un weekend tranquille, ce manga est fait pour vous.
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