Après avoir découvert certaines façons de se servir au mieux des personnes inutiles comme dans Suicide island ou Bosse ou crève, Dropout nous propose une nouvelle version : que faire des élèves qui ne poursuivent pas leurs études, ceux qui ne sont pas admis en université et ceux qui échouent ? Rien de plus simple : prenez les belles filles et transformez-les en esclaves sexuelles pour que les bons étudiants puissent évacuer leur stress. Et si elles se rebellent mater les en les transformant en déversoir publique…
Après cette première histoire non sans intérêt, vous découvrirez d’autres usages de la gent féminine, humaine ou non. Et qui dit non-humain, dit pas de limite côté imagination et proportions de certains organes très exagérées ! Attention tout de même le manga est à réserver à un public plus qu’averti car il se trouve dans la gamme hard du genre. Les différentes histoires ne sont pas au même niveau mais on toutes un point commun : que ce soit à un moment ou un autre, les « femmes » finissent toutes par succomber au désir sexuel. Le manga n’est pas là pour en discuter, c’est clairement un parti pris de l’auteur pour montrer l’opulence sous toutes ses formes.
En général, je ne suis pas très fan des livres avec une accumulation de petites histoires mais comme ici, elles ont toutes un univers propre et une histoire parfois originale (et oui, ce n’est pas que du sexe pour du sexe !), je lui trouve un certain intérêt et il est loin d’être déplaisant.
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