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  • Goodnight world tome 1


    Nickad
    • Scenariste: OKABE Urû Dessinateur: OKABE Urû Editeur: Akata Note :
      Résumé:

      Avec "Goodnight World", Uru Okabe livre un manga d'action complexe, qui questionne sur les univers virtuels... Entre catfishing, famille décomposée et désespoir, le mangaka dresse un portrait sombre et lucide du monde contemporain. Taichiro est en rupture sociale complète. Détestant sa famille du plus profond de son être, il s'est réfugié dans PLANET, le MMO en réalité virtuelle le plus en vogue du moment. Dans cette autre réalité, il est membre d'Akabane, l'une des plus prestigieuses guildes de ce jeu en ligne. Au sein de cet autre univers, il s'est créé une famille de substitution. Aux côtés de Shiro, Mei et AAAAA, il espère bien vaincre le légendaire Black Bird of Happiness. Mais l'équilibre précaire de sa vie bascule quand, un jour, son véritable père est hospitalisé... Rappelé brutalement à la réalité par sa famille qu'il exècre, ne risque-t-il pas d'aller de désillusion en déception en découvrant ceux qui se cachent derrière ses camarades de guilde ?

      Type: Manga L'acheter sur bdfugue Genre: Fantastique Prix: -- Nb de pages: --
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    Taichiro est presque un ikkikomori, il ne sort de sa chambre que lorsqu’il a besoin de se nourrir. Il ne parle plus à son père qu’il considère comme un looser, ni à son frère et sa mère semble avoir quitté le domicile. Il passe son temps connecté à un jeu de réalité virtuelle « planet » dans lequel il a trouvé des compagnons avec lesquels il a des relations proches, comme celles d’une famille. A leurs côtés, il redécouvre des sentiments qu’il pensait disparus, naviguant entre réel et virtuel, il se heurte régulièrement à la dure réalité.

    Goodnight world est un constat d’une facette de la société actuelle, le manga montre les fractures sociales, les gens qui préfèrent fuir les problèmes et se réfugier dans un monde virtuel. Il montre à la fois que les liens ne se construisent pas facilement, qu’il faut partager pour créer et il dénonce, d’une certaine façon, ces espaces virtuels qui prennent de plus en plus d’importance dans la vie.

    Mais il n’y a pas que ça, car il y a l’histoire du jeu, des événements étranges liant réel et virtuel, qui ne sont pas sans rappeler des sujets déjà abordés dans SAO. Mais surtout, il y a cette « fausse famille » dont le lecteur apprend très vite l’identité et qui change toute la perception des relations entre les personnages. Un manga intrigant et innovant.

    Série finie en 5 tomes. Extrait ici : Goodnight World T.1 - AKATA (akazoom.fr)

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  • Dernières Critiques

    • Là où gisait le corps
      Note :
      En fin d'album, Ed Brubaler explique que Sean Phillips lui avait demandé d'écrire une histoire romantique et d’amour pour changer. Ce dernier a accepté en ajoutant une histoire de drogue au milieu de cette romance autour d'un crime. Avec Là où gisait le corps, Brubaker va surprendre plus d'un lecteur avec une histoire dans un genre différent qui pourrait se rapprocher d'une enquête d'Agatha Christie, dans son dénouement. Car en effet, nous avons un meurtre et les témoignages de neuf personnes différentes vivant dans un même quartier. Toutes les personnes se connaissent plus ou moins bien et chacune nous livre sa vision et ses réflexions directement au lecteur. De cette manière on est pris dans l'enquête et la plupart des personnages semblent tous suspects ou avoir des choses à se reprocher. Les planches de Sean Phillips frôlent la perfection avec toute cette galerie de personnages très réalistes. Jacob gère parfaitement les ambiances avec les couleurs suivant l'intensité des scènes.
      Après les polars ou les récits fantastique, les auteurs nous livrent une histoire prenante avec neuf points de vue différent sur un meurtre dans une banlieue américaine dans les années 80. Là où gisait le corps est un excellent one shot.
       
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    • Nordlys
      Note :
      La saga vikings de Vincent Wagner se termine ici avec ce Nordlys , divisé en deux parties distinctes . Dans la première on y suit Njal et sa quête de vengeance afin de trouver ce fameux sorcier pouvant lever le sortilège touchant Pelle . Puis, une seconde partie où l'affrontement final avec Kjartan va prendre fin . C'est une lecture assez complexe que nous livre l'auteur , avec une importante galerie de personnages et de multiples histoires sous-jacentes liants les protagonistes . Le contexte historique est riche , avec Norvège et Suède en pleine évolution vers le christianisme .Ajoutez enfin à cela une pointe de fantastique avec les Ases , ces fameux dieux nordiques , intervenant quand bon leur semble et jouant avec les humains telle une enfant avec ses poupées ! Un récit complet mais auquel il manque du liant , on passe de flashbacks au présent sans aucun point de repère , d'un contexte à un autre sans explication ! Le rythme du fil scénaristique semble sinusoïdal  . Il délivre pour autant de superbes planches , avec un dessin précis , pouvant se montrer avare en détails parfois , mais l'ambiance froide et nordique est bien retranscrite . Peu de couleurs , le blanc et le bleu dominent dans les grands espaces . Les couleurs chaudes seront réservées aux intérieurs et à la présence d'un feu de camp . Pour les amateurs d'histoires vikings plus verbeuses que sanglantes 😉 
      • 0 réponse
    • Les omniscients - Tome 5 - Le second squelette
      Note :
      Je suis probablement dur avec cette série jeunesse mais je trouve que le scénario de Vincent Dugomier peine à décoller. Les enjeux à la fin du premier tome étaient super sympas et vraiment prenants, et puis on a le sentiment que l'intrigue au fur et à mesure qu'elle se complexifiait un peu perdait beaucoup de son intérêt et de sa dramaturgie en se diluant dans des considérations un peu quelconques... On finit presque par se perdre dans des circonvolutions assez anodines finalement, et c'est étonnant pour une série jeunesse.

      Hors cela fait déjà deux tomes que j'ai cette impression de patinage, ce qui est vraiment dommage je trouve tant le pitch de départ s'annonçait prometteur. J'espère que le prochain tome nous fournira un rebond pour aller un peu plus dans le vif du sujet. Par ailleurs, les dessins de Renata Castellani sont très bien pour une série jeunesse et ils donnent plutôt envie de découvrir cette série. 
      • 4 réponses
    • Vertigéo
      Note :
      Dans ce duo de scénaristes , vous connaissez probablement Lloyd Chéry , redac en chef adjoint sur le magazine Métal Hurlant et producteur de l'émission sur France Inter : C'est plus que de la SF . Autant dire que rayon science-fiction , il en connait un bout et ne pouvait pas tomber dans le panneau du "déjà-vu" sur ce genre de support . On pouvait donc être en droit de s'attendre à un scénario abouti et surprenant . Autant vous dire qu'il atteint l'objectif haut la main 🙂 De la présentation de ce monde renaissant après une série d'apocalypses dévastatrices , à de nouvelles croyances et une société neuve avec une séparation des sexes et des emplois bien définis pour chacun , tout est bien construit et réaliste . Il dévoile les infos au compte gouttes , donnant au récit des allures de thriller avec une tension palpable au fil des pages . Le suspens vous tiendra en haleine jusqu'à la toute fin avec LA grande révélation sur cet univers et ses secrets . Peut-être l'unique défaut de cette oeuvre digne héritière de Soleil vert , une fois que vous saurez la fin , l'envie de relire sera éventuellement moins pressante .

      Pour illustrer ce noir et blanc architectural et machiniste , qui de mieux à l'heure actuelle que le prodige Amaury Bundgen ??  Sa première création Ion mud avait retenti comme un coup de tonnerre dans le monde du 9ème art , il fait partie de cette nouvelle génération surdouée de la SF avec Jaouen Salaun entre autres . Il réalise un trait ultra réaliste en persistant dans ce noir et blanc teinté de gris , lumineux à souhait ! Le découpage est aussi fluide que la narration et vous ne sentirez pas défiler sous vos yeux ébahis les 136 pages de ce one-shot assez remarquable .
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    • Studio Cabana tome 1
      Note :
      Yusuke est l'élève à éviter, bien qu'il attire le regard des jeunes filles physiquement, son comportement et ses nombreux cours séchés le mettent dans la catégorie voyou. Il n'y a que Yukari qui se permette de lui faire la morale et de le rappeler à l'ordre. Leur relation aurait pu rester à ce stade mais un jour Yukari découvre que Yusuke chante dans un groupe et elle est émerveillée par le timbre de sa voix et par la sensibilité des paroles. Sa vision de Yusuke va alors évoluer.

      La collection Moonlight de Delcourt nous propose toujours des titres un peu plus recherchés qui ont une véritable identité. Si le premier tome de Studio Cabana (5 tomes en cours) ne se démarque pas trop au niveau du scénario, il faut reconnaître que la patte graphique de l'autrice est agréable avec un trait délicat et des expressions variées. Sans trop en dévoiler la fin du tome annonce une évolution un peu plus mature que la romance lycéenne. On regrettera cependant que sur le 4e de couverture la dernière phrase en dévoile trop, phrase qui n'est pas présente dans le résumé et c'est tant mieux !

      La romance en milieu musical a produit de belles histoires comme Nana, Given ou Lovely love lie, et cela fonctionne d'autant mieux quand on arrive à se laisser emporter par une musique que l'on ne peut entendre, toutes les émotions se jouant dans le graphisme et dans la narration. Hélas, pour le moment, cette partie n'est pas vraiment exploitée mais peut-être que ce n'est pas la priorité de l'œuvre... Du coup, ce premier tome se focalise sur l'amour naissant de Yukari envers Yusuke et sur le doute de ses sentiments : aime-t-elle le garçon ou le chanteur ?  

      Ce premier tome est donc tout en finesse et l'amour s'installe peu à peu comme le doute et la jalousie. Il faudra attendre la suite pour voir si la partie musicale prendra un peu plus de place.

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