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  • Hôtel Voynich tome 1


    Nickad
    • Scenariste: DOUMAN Seiman Dessinateur: DOUMAN Seiman Editeur: Noeve Grafx Note :
      Résumé:

      Après de tragiques événements, Taizou a décidé de s’offrir une pause. C’est sur la petite île de Blefuscu, en plein océan Pacifique, qu’il jette son dévolu. Isolée et méconnue, il pense pouvoir y trouver le calme et la détente dont il a bien besoin. Mais des femmes de chambre au patron en passant par les clients, son hôtel héberge de bien étranges individus… et il se pourrait bien que Blefuscu ne soit pas exactement un îlot de sérénité…

      Type: Manga L'acheter sur bdfugue Genre: Comédie Prix: -- Nb de pages: --
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    Taizo Kazuki arrive sur l’ile de Blefuscu pour tourisme et séjourne à l’hôtel Voynich. Il va croiser le personnel de l’hôtel et ses pensionnaires, tous en l’air d’avoir des raisons bien précises d’être là. Mais l’ile comme l’hôtel ne semblent pas tout à fait normaux, en plus de légendes spirituelles très fortes, une augmentation de la violence entoure ce lieu si particulier.

    Le manga est une suite de courtes scènes sur la vie de l’hôtel et de l’ile, mais il y a quand même une évolution dans l’histoire et dans les relations entre les protagonistes. Les étrangetés ambiantes trouvent leurs explications petit à petit. Les personnages sont atypiques, un peu déjantés, et baignent toujours entre fantastique (limite monstre de foire) et mafieux ; ce qui fait que les scénettes sont variées.

    Si la lecture n’est pas déplaisante et ne manque pas d’originalité, le manga n’a pas un intérêt flagrant, on nous annonce de l’humour ce qui est tout à fait relatif. Une question de point de vue je suppose… Finalement, le manga est plutôt bien fait mais m’a laissé de marbre. A vous de voir.

    Série finie en 3 tomes.

    Hôtel Voynich T01-01.jpg

    Hôtel Voynich T01-04.jpg

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    • Kokoschka - Portrait d'un expressionniste
      Note :
      Je dois bien reconnaître ma méconnaissance de l'artiste aux multiples casquettes : Oskar Kokoschka ! En effet , il était peintre mais aussi écrivain de pièces de théâtre . Ses peintures représentent son héritage le plus connu à ce jour , à l'image de La fiancée du vent (photo ci-jointe) . L'illustrateur espagnol Max Vento s'est lancé dans l'aventure biographique du peintre en débutant en 1912 à Vienne , période riche pour la capitale autrichienne avec de grands artistes et penseurs à l'oeuvre , tels Freud , Klimt et Mahler le compositeur . On découvre donc le jeune Kokoschka à ses débuts de portraitiste en proie avec ses démons intérieurs ( déjà oui) et ses détracteurs , nombreux à cette époque . Le jeune homme est à fleur de peau , en quête de reconnaissance , il ne vit que par et pour son art . Sa rencontre avec la récente veuve de Gustav Mahler , Alma , va profondément changer le cours de sa vie . Véritable muse , et amante , elle va lui permettre de franchir un cap et de réaliser son chef d'oeuve expressionniste La fiancée du vent . Max Vento réalise un scénario soigné , en exposant bien les âmes tourmentées en présence et leurs liens affectifs . Mais on s'aperçoit très vite qu'ils ne vont pas dans le même sens , Alma n'est pas sur la même longueur d'ondes et très vite la passion destructrice du peintre va prendre le dessus sur leur relation . Les dialogues sont au diapason du dessin : parfois courts à l'image de ces cases où seuls les protagonistes apparaissent , sans aucun fond ou décors en arrière plan ; d'autres fois raffinés et verbeux avec toute l'élégance et le raffinement de la période historique . Les humeurs du peintre seront marquées aussi par des ombrages puissants et une certaine folie dans son regard azur . Si l'artiste et son univers vous plait , vous aimerez cette biographie où "expressionnisme" n'est pas un vain mot , sinon , vous enrichirez votre culture générale artistique et cela vous donnera peut-être envie de vous plonger dans la musique de Mahler ou de contempler une toile du grand rival de Kokoschka : Gustav Klimt 😉 
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    • Là où gisait le corps
      Note :
      En fin d'album, Ed Brubaler explique que Sean Phillips lui avait demandé d'écrire une histoire romantique et d’amour pour changer. Ce dernier a accepté en ajoutant une histoire de drogue au milieu de cette romance autour d'un crime. Avec Là où gisait le corps, Brubaker va surprendre plus d'un lecteur avec une histoire dans un genre différent qui pourrait se rapprocher d'une enquête d'Agatha Christie, dans son dénouement. Car en effet, nous avons un meurtre et les témoignages de neuf personnes différentes vivant dans un même quartier. Toutes les personnes se connaissent plus ou moins bien et chacune nous livre sa vision et ses réflexions directement au lecteur. De cette manière on est pris dans l'enquête et la plupart des personnages semblent tous suspects ou avoir des choses à se reprocher. Les planches de Sean Phillips frôlent la perfection avec toute cette galerie de personnages très réalistes. Jacob gère parfaitement les ambiances avec les couleurs suivant l'intensité des scènes.
      Après les polars ou les récits fantastique, les auteurs nous livrent une histoire prenante avec neuf points de vue différent sur un meurtre dans une banlieue américaine dans les années 80. Là où gisait le corps est un excellent one shot.
       
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    • Nordlys
      Note :
      La saga vikings de Vincent Wagner se termine ici avec ce Nordlys , divisé en deux parties distinctes . Dans la première on y suit Njal et sa quête de vengeance afin de trouver ce fameux sorcier pouvant lever le sortilège touchant Pelle . Puis, une seconde partie où l'affrontement final avec Kjartan va prendre fin . C'est une lecture assez complexe que nous livre l'auteur , avec une importante galerie de personnages et de multiples histoires sous-jacentes liants les protagonistes . Le contexte historique est riche , avec Norvège et Suède en pleine évolution vers le christianisme .Ajoutez enfin à cela une pointe de fantastique avec les Ases , ces fameux dieux nordiques , intervenant quand bon leur semble et jouant avec les humains telle une enfant avec ses poupées ! Un récit complet mais auquel il manque du liant , on passe de flashbacks au présent sans aucun point de repère , d'un contexte à un autre sans explication ! Le rythme du fil scénaristique semble sinusoïdal  . Il délivre pour autant de superbes planches , avec un dessin précis , pouvant se montrer avare en détails parfois , mais l'ambiance froide et nordique est bien retranscrite . Peu de couleurs , le blanc et le bleu dominent dans les grands espaces . Les couleurs chaudes seront réservées aux intérieurs et à la présence d'un feu de camp . Pour les amateurs d'histoires vikings plus verbeuses que sanglantes 😉 
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    • Les omniscients - Tome 5 - Le second squelette
      Note :
      Je suis probablement dur avec cette série jeunesse mais je trouve que le scénario de Vincent Dugomier peine à décoller. Les enjeux à la fin du premier tome étaient super sympas et vraiment prenants, et puis on a le sentiment que l'intrigue au fur et à mesure qu'elle se complexifiait un peu perdait beaucoup de son intérêt et de sa dramaturgie en se diluant dans des considérations un peu quelconques... On finit presque par se perdre dans des circonvolutions assez anodines finalement, et c'est étonnant pour une série jeunesse.

      Hors cela fait déjà deux tomes que j'ai cette impression de patinage, ce qui est vraiment dommage je trouve tant le pitch de départ s'annonçait prometteur. J'espère que le prochain tome nous fournira un rebond pour aller un peu plus dans le vif du sujet. Par ailleurs, les dessins de Renata Castellani sont très bien pour une série jeunesse et ils donnent plutôt envie de découvrir cette série. 
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    • Studio Cabana tome 1
      Note :
      Yusuke est l'élève à éviter, bien qu'il attire le regard des jeunes filles physiquement, son comportement et ses nombreux cours séchés le mettent dans la catégorie voyou. Il n'y a que Yukari qui se permette de lui faire la morale et de le rappeler à l'ordre. Leur relation aurait pu rester à ce stade mais un jour Yukari découvre que Yusuke chante dans un groupe et elle est émerveillée par le timbre de sa voix et par la sensibilité des paroles. Sa vision de Yusuke va alors évoluer.

      La collection Moonlight de Delcourt nous propose toujours des titres un peu plus recherchés qui ont une véritable identité. Si le premier tome de Studio Cabana (5 tomes en cours) ne se démarque pas trop au niveau du scénario, il faut reconnaître que la patte graphique de l'autrice est agréable avec un trait délicat et des expressions variées. Sans trop en dévoiler la fin du tome annonce une évolution un peu plus mature que la romance lycéenne. On regrettera cependant que sur le 4e de couverture la dernière phrase en dévoile trop, phrase qui n'est pas présente dans le résumé et c'est tant mieux !

      La romance en milieu musical a produit de belles histoires comme Nana, Given ou Lovely love lie, et cela fonctionne d'autant mieux quand on arrive à se laisser emporter par une musique que l'on ne peut entendre, toutes les émotions se jouant dans le graphisme et dans la narration. Hélas, pour le moment, cette partie n'est pas vraiment exploitée mais peut-être que ce n'est pas la priorité de l'œuvre... Du coup, ce premier tome se focalise sur l'amour naissant de Yukari envers Yusuke et sur le doute de ses sentiments : aime-t-elle le garçon ou le chanteur ?  

      Ce premier tome est donc tout en finesse et l'amour s'installe peu à peu comme le doute et la jalousie. Il faudra attendre la suite pour voir si la partie musicale prendra un peu plus de place.

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