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  • Kaiju Defense Force tome 1


    Nickad
    • Scenariste: INOUE Junya / SHIRATO Seiichi Dessinateur: INOUE Junya Editeur: Mangetsu Note :
      Résumé:

      An X de l'ère Reiwa. Un terrible tsunami, provoqué par une avalanche sous-marine, ravage la côte Pacifique. Toutefois, il n'est que le prologue de calamités à venir. Quelque temps plus tard, à bord du paquebot de luxe Fugaku, se trouve Konoé Sakimori, militaire fraîchement diplômée de l'Académie de défense nationale. Quand un kaijû attaque le navire, une lutte sans merci débute pour les Forces japonaises d'autodéfense qui tentent de repousser ces monstres redoutables. Dans leurs rangs, la jeune Konoé pourrait bien devenir l'héroïne dont le monde a besoin pour sortir de ce cauchemar..

      Type: Manga L'acheter sur bdfugue Genre: Fantastique Prix: 8.20 Nb de pages: 208
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    Un effondrement dans la fosse des Mariannes a entrainé un grand tsunami mais ce n’est pas la seule conséquence : un monstre géant aux allures de grosse coquille St Jacques semble être remonté des profondeurs. Est-ce à cause d’un réveil brutal ou de sa nature profonde, il semble bien décidé à détruire tout sur son passage et surtout à débarrasser la mer des bateaux qui la peuplent.

    Ce premier tome introduit la série, on a une grosse mise en place des personnages, on ne sait d’ailleurs pas vraiment qui prendra la tête des opérations à part la demoiselle sur la couverture bien entendu. Même Yoshikazu que l’on voit pendant les 55 premières pages disparait mystérieusement, réapparaitra-t-il subitement pour aller à la chasse au monstre ? La suite nous le dira. En attendant, ce kaiju est belliqueux et on sent que l’histoire peut virer au manga catastrophique horrifique, il ne faut peut-être pas se fier à sa classification en shonen.

    Le titre voit le retour de Junya Inoue connu en France pour ses titres Otogi Matsuri (devenu introuvable) et Btooom qui faisait déjà la polémique entre shonen et seinen. Son graphisme est toujours aussi impeccable que ce soit dans les décors, les expressions des personnages mais aussi dans la conception des scènes d’action. L’édition quant à elle est de qualité avec une belle mise en avant du titre.

    Kaiju defense force semble être un titre prometteur que l’on suivra avec plaisir.

    Kaiju-Defense-Force-T01 (5).jpg

    Kaiju-Defense-Force-T01 (3).jpg

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    • Chasseuse de fantômes
      Note :
      Les soeurs Gibbs continuent leur tour d'horizon de la jeunesse américaine , saupoudrée d'une dose de fantastique avec ce nouvel opus : Chasseuse de fantômes . On y suit Chelsea une ado avec les problèmes , que nous avons toutes et tous traversés durant cette période si importante de notre vie : le lycée , des parents séparés , les amies , les flirts et surtout les portables et leurs réseaux sociaux occupant tout l'espace ! Lorsque l'on ajoute à tout ceci un père créant sa boîte de "rôtisseur" de fantômes , on imagine que Chelsea craint pour sa "réputation" , le fameux "qu'en-dira-t-on" ! Mais elle va se prendre au jeu et en découvrir sur sa personne au fil de ses aventures avec notamment la rencontre d'un garçon de son âge , mais d'une autre époque , une période post guerre de sécession en Louisiane au sein d'une bâtisse emplie de secrets de famille et d'esprits tourmentés . Les soeurs Gibbs réalisent un scénario soigné , livrant ses révélations au compte goutte tout en ménageant le suspens . Les dialogues sont en phase avec les ados , le lectorat ciblé ne sera pas dépaysé 😉 L'illustratrice Emily Cannon réalise son premier roman graphique avec un dessin coloré , un peu trop "numérique" pour moi , mais tout à fait adapté aux attentes des jeunes . Les visages ronds aux traits et aux expressions exacerbées type "manga" plairont aux amateurs . Le découpage est vivant , les 200 pages défilent à toute vitesse . Si vous cherchez de l'aventure ado à mi-chemin entre la série Ghost whipserer et les films Ghostbusters , avec un soupçon de style manga , foncez 😉 
      • 0 réponse
    • Six tome 2 - Une montagne d'or
      Note :
      J'ai relu ma critique du tome un et, malgré le 4/5, je me suis trouvé.. sévère. Je viens de le relire et ce tome 1 était excellent avec des dessins sublimes et une intrigue, bien qu'introductive, pleine de rebondissements et de caractère.

      Et ce tome deux est tout aussi bon. Il remet au centre de l'histoire notre Kid et nous dévoile un complot vraiment important mais nous montre surtout que chacun des personnages à sa propre histoire et que quand ces histoires se percutent, cela donne des étincelles.

      Étincelles qui allument, dans ce tome deux, un feu d'artifice de tension et de suspens, porté par un dessin toujours aussi beau.

      Le cliffhanger final ne peut que nous donner envie de découvrir le plus vite possible les deux prochains tomes.  

       
      • 1 réponse

    • Dead Rock tome 1
      Note :
      Voici la nouvelle série de Hiro Mashima, l’auteur de Fairy Tail et Edens Zero. Commencée en juillet 2023, elle compte 1 seul tome pour le moment.

      Dead Rock est le nom d’une académie formant les plus puissants de tous les démons. Deux façons d’y entrer : soit avoir eu une recommandation, soit passer une épreuve spéciale qui voit peu de candidats réussir. Et cette année, sur les 1000 inscrits seuls 7 sont reçus et 985 sont morts !! Parmi les reçus se trouve Yakuto, un descendant du dragon noir.

      Une académie située en Enfer avec plein de démons, une classe spéciale avec peu d’élèves et un peu à l’écart des autres, il y a un petit air d’Iruma dans l’air… La ressemblance s’arrête là car même s’il y a de l’humour, l’histoire est assez violente et baigne dans le sang, pas vraiment visuellement car nous sommes dans un shonen et le manga n’est pas gore. Mais si on se penche sur le propos, c’est vraiment la loi du plus fort et le règlement même de l’école l’autorise, l’article 3 dit « on peut tuer tous ceux que l’on n’aime pas » y compris les professeurs ! Et Yakuto est bien décidé à atteindre son objectif quels que soient les moyens !

      Ce nouveau titre de Mashima est clairement plus sombre que ces précédentes œuvres et promet quelques rebondissements intéressants. On appréciera retrouver quelques références à Fairy Tail, notamment l’apparence de Yakuto et ses capacités (« poing destructeur du dragon noir ») qui ne peuvent que nous faire penser à Acnologia. Un manga prometteur dont on lira la suite avec plaisir.

      Extrait
      • 0 réponse
    • How not to summon a demon tomes 7 & 8
      Note :
      Le roi démon qui était enfermé dans le corps de Rem se révèle être une petite fille qui a perdu une partie de sa mémoire et qui raffole de biscuits. Diablo décide donc de la garder dans son groupe. Hélas, Alicia cachait ses objectifs et elle fait tout pour réveiller sa mémoire et éveiller le roi démon afin qu’elle extermine les humains.

      Les aventures de Diablo au pays de la fantasy « fan service » se poursuivent. Côté action, les standards sont de mises : des méchants pas si méchants, des soi-disant gentils assez ignobles, des trahisons, des alliances, des démons et des combats ! Côté ambiance, Diablo est entourée de jeunes femmes aux charmes variées, un indispensable dans les isekai de fantasy ! Concernant le personnage principal ; il est bien réussi, le décalage entre son côté otaku et son comportement de roi-démon est un peu moins présent mais il y a encore des situations qui portent à confusion pour notre plus grand plaisir.

      How not to summon a demon est un manga sympathique qui a sa place dans votre mangathèque d’isekais d’heroic fantasy. C’est un bon shonen distrayant et agréable à lire.
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    • Le chien qui voulait voir le sud
      Note :
      Après une catastrophe naturelle, Tamon, un chien, voyage seul, il regarde toujours dans la même direction. Pendant son périple, il rencontre des personnes variées avec lesquelles il va passer un moment, des personnes qui essayent aussi de survivre dans un monde en ruine, des personnes qui ont toutes une histoire atypique voir un peu dramatique. Le chien semble être comme un ange gardien qui leur permet d’aller de l’avant, de prendre une décision ou juste de leur apporter un peu de réconfort. Mais lui, poursuit sa route comme si quelqu’un l’attendait quelque part.

      L’histoire se déroule après le tsunami de 2011 et met en scène l’après-catastrophe à sa façon. Toutes les personnes que Tamon rencontre mènent des vies difficiles, elles peinent à trouver un travail convenable, elles ont perdu des proches ou des biens, elles vivent des moments difficiles. Tamon ne fait que passer dans leur vie, il n’est pas vraiment un ange gardien dans le sens où les histoires ne se finissent pas toujours bien mais il représente un déclic qui va provoquer un changement, il apporte un réconfort, une présence à ces personnes qui sont particulièrement seules.

      Ce n’est qu’à la fin de livre que Tamon atteindra sa destination, une fin un peu précipitée peut-être qui d’un côté apporte de l’espoir et de l’émotion mais qui de l’autre, nous laisse en proie à un destin inéluctable.

      Certes l’histoire de ce chien qui a passé 5 ans de sa vie à parcourir le pays est belle, l’amitié qui le meut est touchante mais fallait-il en plus du drame de 2011 rajouter une seconde couche sur une autre catastrophe qui n’a que quelques pages pour être abordée ? Ce qui est sûr c’est que le lecteur ressent bien le désarroi des habitants et le besoin de se raccrocher à une présence rassurante.
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