Je pense, à la lecture de ces deux tomes, que dire que Karakuri Circus est un chef-d'œuvre sera une évidence pour tout le monde.
Ces deux tomes montrent le sommet que peut atteindre un manga, en termes de gestion du récit.
Le tome 13 est la conclusion d'une bataille épique avec une montée en pression menant à un climax de dramatisme rarement tout support confondu. L'image de Narumi dans le désert à la fin du tome est éblouissante et nous fait reposer ce tome le coeur gros...
Le tome 14, que l'on pense prendre plus de temps en changeant de scène et en revenant sur Masaru, nous livre lui une lecon de construction de trame. On pensait déja avoir saisi toute l"histoire et que seuls quelques point insignifiants nous avaient échappé. Que nenni. Fujita Kazuhironous montre qu'une bonne histoire se doit d'être entière et cohérente et que le diable se cache vraiment dans les détails. Le passé de Masaru est au moins aussi important que son présent.
Fujita Kazuhiro nous montre que l'on peut, en découpant l'histoire en couche comme un oignon, profiter de toutes les couchent les unes après les autres à partir du moment ou l'oignon est bien découpé.
C'est beau, c'est dantesque, c'est émouvant, c'est triste, c'est rigolo... c'est Karakuri Circus !
Embarquer tous dans le cirque de marionnettes, vous ne le regretterez pas !
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