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  • La malédiction de Spawn tome 1


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    • Scenariste: Todd Mcfarlane, Alan Mcelroy Dessinateur: Dwayne Turner Coloriste: Danny Miki, Todd Broeker Editeur: Delcourt Note :
      Résumé:

      L'univers de Spawn ne se limite pas à une succession d'arcs narratifs, mais est riche de nombreux personnages secondaires ou d'incarnations du suppôt de l'Enfer. Cette série - écrite par l'auteur du film Spawn, Allen McElroy, et dessinée principalement par Dwayne Turner - passe en revue divers personnages créés par Todd McFarlane.

      Type: Comic L'acheter sur bdfugue Genre: Fantastique Prix: 29.95 Nb de pages: 272
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    Avant que les éditions Delcourt récupèrent les droits des comics Spawn en version françaises, les éditions Semic avaient commencé à traduire la série principale ainsi que des hors-séries à la fin des années 90. Fort du succès des derniers épisodes de Spawn sortis et de l’univers étendue, les éditions Delcourt nous proposent maintenant une première intégrale, regroupant onze numéros de la série Curse of Spawn. L'album présente trois histoires sur des personnages emblématiques de la série principale ou inconnus. Alan Mcelroy est le scénariste du film Spanw avant d'écrire Curse of Spawn. On découvre un Hellspawn dans un monde apocalyptique avec des démons surarmés et près à en découdre avec les derniers humains en vie. Les deux inspecteurs Sam & Twitch sont les héros de la seconde histoire dans une enquête prenante et surnaturelle. La dernière histoire revient sur le personnage d'Angela que l'on a déjà croisé plusieurs fois maintenant. Dwayne Turner se charge de la partie graphique dans un style très représentative des années 90 en comics. L'ensemble est bien sombre avec beaucoup de monstres sortant des enfers. 

    Cette première intégrale commence bien pour tous les amateurs de Spawn et pour compléter leur collection avec des titres de qualité avec une nouvelle traduction et un nouveau lettrage.
     

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  • Dernières Critiques

    • Godefroy - tome 1
      Note :
      Soucieux de mettre en avant les grands hommes de Belgique (encore que , France et Belgique se disputent la nationalité du chevalier), les auteurs de ce récit historique s'attaquent à Godefroy de Bouillon , l'un des héros des guerres de croisades . Dans ce tome introductif , nous sommes en l'an de grâce 1095 et nous découvrons ce personnage , qui semble isolé entre un avenir tracé par sa mère et ses ambitions personnelles . En effet , l'usage voudrait qu'il épouse une femme pieuse issue de noble lignée , mais il n'éprouve aucun sentiment envers elle , alors que le hasard met sur sa route la délicieuse et mystérieuse Aëlys et sa chevelure rousse . Un événement soudain va le forcer à prendre la décision de s'engager vers l'Orient porter la parole du pape Urbain II et livrer une guerre sainte , mais pour quelle raison et dans quelles circonstances ? 

      C'est le grand retour des héros historiques dans le paysage BD franco-belge ! Ce support avait été un peu délaissé et ce duo d'auteurs lui rend ses lettres de noblesses . Le récit s'appuie sur une documentation solide (avec des annexes en fin d'album ) et un dessin réaliste à la fois classique et moderne . Théo Dubois D'Enghien a pour modèles Delaby , Swolfs et Serpieri , des maîtres en la matière . Je le trouve pour ma part , effectivement très proche d'un Delaby , à travers son traitement des visages . Les paysages enneigés sont du plus bel effet et l'on connait les difficultés engendrées par ce type de panorama . Il faut avouer que les couleurs de Felideus ornent le moyen-âge de ses plus belles parures ! De la chevelure flamboyante d'Aëlys , en passant par les armures et robes de chevaux , c'est un sans-fautes pour le plaisir rétinien .

      Cette période historique vous plait et vous souhaitez enrichir votre culture générale , ce Godefroy saura vous séduire 😉 
      • 0 réponse
    • L'imprimerie du diable
      Note :
      Habituée à écrire des scénarios sur des femmes fortes telles Mata Hari et Frédégonde, Virginie Greinier invente la vie de Reine Percheval , guérisseuse dans une campagne reculée française  en 1470 . Sous l'oeil avisée de sa grand-mère , elle va apprendre tous les secrets des plantes et comment confectionner onguents et autres préparations utiles pour les villageois mais aussi les récoltes et le bien-être des bêtes . Elle a la chance d'évoluer aux côtés d'un curé progressiste et bien conscient des bienfaits qu'elle réalise tous les jours . Ce dernier a appris à lire au jeune Etienne qui montre de belles dispositions intellectuelles et rêve d'ailleurs , car son avenir tracé de paysan ne lui sied guère . Nos deux jeunes gens sont épris l'un pour l'autre mais le père d'Etienne , à la rancoeur tenace envers la grand-mère de Reine , finit par le découvrir et s'en prend violemment à son fils . Il quitte le village avec une promesse envers Reine : revenir ! Les années passent et nous voilà en 1495 , Colomb a découvert les Amériques , mais l'imprimerie fait aussi partie des découvertes majeures . Etienne travaille dans une imprimerie à Genève et publie des "canards" anti-sorcières et notamment un manifeste de démonologie : le marteau des sorcières . Oeuvre fondatrice et chapeautée par des hommes en quête de contrôle de la population et surtout de l'influence des femmes ! La chasse est lancée , la délation encouragée , Reine pourra t'elle continuer son oeuvre si bénéfique ? Etienne reviendra t'il et avec quelles dispositions envers elle ?

      Le graphisme lumineux et détaillé de l'artiste Annabel , magnifie un scénario précis , documenté , remarquablement écrit et gagnant en intensité au fil des pages . L'intelligence du propos , la mise en exergue des incohérences entre ces fameuses sorcières aimées des gens car bien conscients de leurs bienfaits , et une religion omniprésente dont l'incitation à la prière semble impuissante ; tout est ancré dans un réel logique et implacable . Sans faire l'erreur de sombrer dans un féminisme accru , Virginie Greinier démontre judicieusement comment la société patriarcale s'est renforcée sous l'égide bienveillante du clergé en déclarant la guerre à ses femmes porteuses d'un savoir qu'ils ne comprenaient pas et ne voulaient pas comprendre ! La profonde humanité et bienveillance de Reine transpire dans ses pages , elle s'illumine tels ses yeux brillants de véracité . Un regard moderne et réaliste sur ces femmes qui méritent tellement mieux que le qualificatif de sorcières .  Une des sorties BD les plus marquantes de l'année , à n'en pas douter !
      • 1 réponse

    • Elle n'est rien qu'à moi tome 1
      Note :
      Nachi est le lycéen charismatique type, il est sociable et à du succès avec les filles. Yûri est la fille à part de la classe, elle ne se mêle pas aux autres et passe son temps à lire. Ces deux-là ne semblent rien avoir en commun pourtant leurs regards se portent souvent vers l’autre. Un jour, Nachi, ramasse le livre de Y et il souhaite en savoir plus à son sujet. Elle l’invite chez elle pour lui prêter des livres et sous une impulsion commune, passent à l’acte dans la foulée. C’et le début d’une étrange relation, secrète et charnelle.

      Waouh, le moins que l’on puisse dire c’est que les personnages ne perdent pas de temps ! Improbable ? Peut-être pas ! Car le feu couvait, chacun avait repéré l’autre et était attiré par lui, alors forcément, quand l’occasion se présente, ils se laissent aller. Ce qui est plus étonnant c’est la suite… Que faire quand on est allé trop vite et que l’on ne sort pas encore ensemble ?

      Il est fort possible que l’on tombe dans les prochains tomes dans une relation plus classique. Mais pour le moment, cette romance est très agréable, les dessins sont superbes et pour une fois que la fille férue de lecture n’est pas une fille à lunettes avec des tresses, autant en profiter.
      • 0 réponse
    • About a love song tome 1
      Note :
      About a love song, c’est d’abord une rencontre, celle de Mizuki, un musicien trentenaire qui vit au jour le jour entre quelques concerts et son travail à la supérette, avec Seto, son collègue de boulot, étudiant. Pour Mizuki , Seto représente toute la naïveté et la fraicheur de la jeunesse, c’est sa bouffée d’air frais, les moments passés en sa compagnie l’éloigne de son quotidien et de sa vie désordonnée. Jusque-là, il n’avait jamais envisagé autre chose mais le soir où Seto débarque chez lui car il est en proie à des questionnements vis-à-vis de son avenir, un moment d’intimité se crée. Mais l’histoire doit s’arrêter là car Seto est en réalité encore lycéen.

      A partir du moment où Mizuki prend connaissance de l’âge de Seto, son sens moral se met en marche. Ce n’est pas une question de détournement de mineur vu que Seto est proche de sa majorité mais c’est plutôt la précipitation de la relation qui l’indispose : il souhaite que ce dernier prenne le temps de grandir et d’expérimenter la vie avant de s’engager. Il ne veut pas être la cause d’une décision prise un peu par hasard dans un moment d’instabilité psychologique.

      La différence d’âge est l’une des thématiques principales de ce manga, elle est d’autant plus importante que l’un des protagonistes entre à peine dans la vie d’adulte. Mais en plus de cela, il y a un discours sur le choix de vie et l’importance de l’approbation des parents.

      L’histoire est tout en finesse et en retenue, avec son trait fin et sa narration posée, l’auteur nous offre de beaux moments d’émotions et de sensibilité.
      • 0 réponse
    • Critique par une ado : Play it cool, guys tome 5
      Note :
      Une critique de @TheOtaku : Nos 5 beaux et classes hommes mais complètement étourdis sont de retour avec des histoires toujours aussi drôles et pleines de gaffes. L'un veut s'inspirer des histoires d'amour "non-existante" de ses amis pour écrire son nouveau roman et pendant ce temps nos 5 amis passent du temps ensemble à faire des gaffes, toujours des gaffes.

       

      Enfin, comme dans tous les tomes, il n'existe pas de "réel" fil conducteur entre les tomes et le but de cette série est évidemment uniquement de nous faire rire et passer un bon moment. A mon avis, les petites histoires sans fil conducteur seront assez ... plus suffisante à la longue, mais pour l'instant tout va bien, tant qu'on les lit avec un temps d'espace.

       

      Enfin si vous avez besoin d'un moment de calme avec des personnages drôles que ce soit le soir avant de dormir, le matin après le réveil, après le travail, lors d'un un weekend tranquille, ce manga est fait pour vous.
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