Hop la, le "tuniques bleues" annuel est là ! Et il est... comme d'habitude. Ou presque comme d'habitude, car cette fois, on met (re-met) un peu l'accent sur les "crush" du sergent Chesterfield.
Pour le reste on a une aventure sympathique mais un peu forcée. Nos auteurs ajoutent un "communiste" à une époque où cela n'existait pas et en fond la protagoniste principale de ce tome 67 et cela ne marche que peu. Si le fait de mettre en avant les lacunes des tuniques bleues est rigolo, le côté syndicaliste est trop décalé pour que cela soit autre chose qu'étonnant.
Mais j'ose imaginer qu'il est super dure de trouver une idée neuve au bout de 67 albums.....
Commentaires recommandés
Rejoindre la conversation
Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.