Pour une fois, ce n'est pas Jean-Pierre Pécau à l'écriture du scénario de l'homme de l'année, mais Antoinette de Lornières qui se charge de l'histoire de ce 19eme tome. Avec l'année 1687, l'homme mis en avant est le geôlier du masque de fer. Les théories sont nombreuses sur l'identité de l'homme sous le masque de fer et cet album nous en donne une nouvelle. Au sein du fort de Pignerol, tous les détenus proches du roi sont retenus tout en conservant des privilèges liés à leur statut et titre de noblesse. Dans ce cadre carcéral de luxe, l'origine du masque de fer va naitre. Une grande partie de cet album est consacré aux autres détenus pour cacher la véritable identité du masque de fer mais on perd un peu en intérêt. Les dessins de Vladimir Aleksic sont de qualité pour mettre en image cette époque et le fort.
La saga se poursuit avec des possibilités à l'infini pour les prochains tomes avec ce concept. Après un tome sur l’homme qui inventa King Kong, c’est le masque de fer pour ce tome, il y en a pour tous les gouts avec l’homme de l’année.
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