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  • Many reasons why tome 9 (fin)


    Nickad
    • Scenariste: TOUTAROU Minami Dessinateur: TOUTAROU Minami Editeur: Omaké Note :
      Résumé:

      Himeyama Tsubaki est une jolie lycéenne sans histoire, une élève studieuse et la meilleure de sa classe. À la surprise générale, celle-ci se suicide pourtant dans l'enceinte même du lycée ! Au retour de ses obsèques, tous ses camarades de classe trouvent une lettre sur leur bureau. Elle a en effet rédigé des messages personnels à chacun d'eux. Afin de déterminer et de comprendre ce qui a pu pousser Himeyama à un tel geste, ils décident de lire chacun leur tour le contenu de leur lettre...

      Type: Manga L'acheter sur bdfugue Genre: Thriller Prix: -- Nb de pages: --
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    Fin de la série, il est temps de faire un petit bilan de ces 9 tomes. Si au début on avait l’impression de se trouver entre 13 reasons why et 12 hommes en colère, on est finalement plus proche du 2eme : nous n’aurons jamais de certitude sur les motivations qui ont poussées Tsubaki à se suicider, juste des conjectures qui découlent d’éléments précis et donc probablement assez proches de la vérité.

    Et quelle vérité !! L’enquête menée par les élèves a été une véritable plongée dans la psychologie humaine :  une étude des comportements sociétaux absolument sublime et excessivement intelligente !!

    Et finalement quand on pense arriver à la fin, on croit fermer la porte mais d’autres s’ouvrent alors. Si l’épisode de Tsubaki trouve une conclusion acceptable, le livre nous pousse à nous interroger et pour ceux qui le veulent, il y a matière à discuter et à débattre. Chaque tome nous a laissé dans l’attente du suivant qui a été dévoré sans attente. Une très bonne série à découvrir si vous ne l’avez pas déjà fait.

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    • Un dernier été au cimetière
      Note :
      Pour son premier roman graphique , l'autrice italienne SantaMatita ne s'économise pas sur l'originalité ! On y suit en effet toute une galerie de personnages sur la route des grandes vacances d'été vers une destination pour le moins incongrue : le cimetière . On arrive , on déballe , les enfants courent se retrouver , on s'installe , mais la crypte ou le tombeau remplace la tente ! Les protagonistes se présentent au fil des pages , une famille venant du désert du Nevada pour la première fois , une autre habituée depuis des années , puis certains y vivant à l'année , faisant même pousser des tomates au pied du caveau . On découvre tout ce microcosme lié par la proximité du camping et un deuil proche ou lointain , comme dénominateur commun . Les secrets vont tomber , d'autant plus qu'un événement va venir bouleverser ce biotope : pour des raisons de sécurité et de risque d'éboulements , le cimetière doit fermer ses portes !

      SantaMatita s'épargne les cases détaillées , elle use d'un graphisme type aquarelle et reste dans une certaine simplicité . Peu d'arrière-plans , elle se concentre sur les personnages et leurs motivations . Des visages sans traits , mais facilement reconnaissables à travers les cheveux ou la tenue vestimentaire . Il en va de même pour les caveaux et autres cryptes , toutes plus originales que les autres , avec chacune leur personnalité propre . Comment un univers silencieux et austère comme un cimetière peut déborder de vie sous le trait amusé de l'illustratrice italienne ! De l'humour , un peu de suspens , de la peine , des surprises , et une petite dose de fantômes (rêvés ou pas 😉 ) , voilà le cocktail estival de SantaMatita !
      • 0 réponse
    • Oradour sur Glane, 10 juin 1944
      Note :
      A l'occasion des 80 ans le 10 juin prochain du massacre d'Oradour-sur-Glane , nombreux sont les éditeurs à publier des livres et des BD . Les éditions petitàpetit et leur collection Docu-BD ne pouvaient rester inactifs à ce sujet . C'est chose faite avec ce remarquable livre relatant l'histoire de cette atrocité avec un grand soucis du détail . 643 victimes (hommes , femmes , enfants) , et le bilan matériel est le suivant :  123 maisons , 98 granges et hangars , 22 magasins , 4 écoles et pour finir,  l'église . Il représente à ce jour le seul village encore visible et dans l'état que les allemands l'ont laissé . Un musée a été créé à l'entrée du village , un remarquable édifice architectural , mais les ruines sont restées intactes , un lieu marquant , digne symbole d'un conflit qu'il est nécessaire de ne pas oublier . Le général De Gaulle fut le premier haut dirigeant à visiter les lieux en 1945 , de nombreux ont suivi , mais on retient une phrase qu'il aurait prononcée : "Les enfants et le pain . Les ferments d'une nation" tout en visitant les restes de la boulangerie du village , lieu très largement fréquenté par les enfants .

      Le principe des Docu-BD reste fidèle à ses habitudes , des histoires dessinées , pour nous présenter les différents personnages , les lieux , les rares survivants et leurs combats post-guerre lors des procès ; entrecoupées par des double-pages avec images d'archives , textes explicatifs etc ... Une recette qui a fait ses preuves et qui fonctionne à merveille , on apprend , on s'enrichit sans que ce soit rébarbatif , bien au contraire ! Après cette lecture , vous saurez tout sur ce petit village du Limousin et pourquoi il a été choisi pour cible des allemands , et vous n'oublierez pas !
      • 0 réponse

    • Akane Banashi tomes 1 à 3
      Note :
      Akane a toujours regardé son père faire du rakugo, à tel point qu’elle est devenue elle-même passionnée. Mais un jour, son père se fait exclure de l’école Arakawa et renonce à son art. Akane ne compte pas en rester là, elle va voir le maitre de son père afin de devenir disciple. Après plusieurs années, la voici enfin prête à affronter un public mais elle a encore beaucoup de chemin à parcourir pour devenir un maitre en la matière.

      Parlons un peu du rakugo :

      Le rakugo est une discipline artistique qui se situerait un peu entre le conteur et le one-man show. Seul en scène, le rakugoka, habillé d’un kimono, est assis sur un coussin (en seiza : une position à genoux où les fesses reposent sur les pieds, une position difficile à tenir quand on n’est pas habitué), il n’a que deux accessoires : un éventail et un mouchoir. A partir de là, le rakugoda raconte des histoires en faisant tous les personnages, il doit donc être habile dans sa façon d’interpréter que ce soit en changeant de voix, en faisant ressortir toutes les émotions mais aussi dans les mimiques faciales et les gestes. Un bon rakugoda s’efface au profit de ses personnages, s’adapte à son public et doit les amener à rire de bon cœur !
      • 0 réponse
    • La concubine rebelle tome 1
      Note :
      L’empereur Zhu Li, troisième souverain du Grand Empire Radieux, vient d ‘accéder au trône après la mort tragique de son frère ainé. Afin de perpétuer la lignée, vingt concubines arrivent au palais, elles viennent toutes d’horizons variés, il y a les filles des grands pontes de l’empire mais aussi des filles de clans vaincus ou rivaux. C’est ainsi que Sarannah, fille du chef du clan des Tianhe, a été choisie afin d’établir un traité de paix entre le nord et le sud. Mais elle ne s’attendait pas à tomber dans un nid de vipère où tous les coups sont bons pour devenir la favorite y compris les assassinats.

      Il y a beaucoup d’éléments dans ce premier tome : de la fantasy avec les légendes avec les dieux, du complot politique, une romance et un léger aperçu historique car même si le récit se déroule dans un pays imaginaire, il est grandement inspiré du fonctionnement de la chine impériale. Cela rend l’histoire intéressante mais aussi inaboutie car on aurait apprécié plus de développements dans certains aspects, tout va un peu trop vite.
      • 0 réponse
    • Le professeur qui lisait des histoires d'amour tome 1
      Note :
      J’ai été surprise par cette lecture. D’abord graphiquement, on s’éloigne de l’apparence un peu traditionnelle des webtoons, un trait plus personnel, plus proche de la bande dessinée européenne et des couleurs plus pastelles, plus fades presque neutres par moment. Et puis il y a la narration, une construction avec de longs chapitres ; difficile d’imaginer son découpage en version numérique en chapitres courts. Il n’y a pas vraiment de rebondissements mais on progresse lentement dans le quotidien des personnages, une histoire qui prend son temps et que l’on aurait presque abandonnée en cours de route. Car il est difficile de s’immerger dans l’histoire tellement elle semble anodine au début.

      Et puis, peu à peu, arrivent des flash-back (pas vraiment mis en valeur graphiquement parlant, c’est vraiment sur les dialogues que l’on comprend leur temporalité) et des petites phrases dites entre deux personnages ou en aparté pour le lecteur. Des indices qui nous font comprendre qu’il y a un secret familial, un passé qui aurait dû être oublié.

      L’œuvre est complexe, les personnages tissent des liens entre eux sans savoir qu’ils sont déjà liés. Par exemple, le professeur qui lit des webnovels d’amour lit un roman qui s’appelle le professeur qui lisait des histoires d’amour sans savoir qu’il a servi de modèle à ce personnage. Il y a un côté polar, une énigme à résoudre, un drame sous-jacent.

      Ce récit, proche d’un roman graphique, sort des sentiers battus et arrive à capter notre attention sans que l’on s’en rende compte. Une œuvre atypique à découvrir.
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