Aller au contenu
  • S’inscrire
  • Moi, quand je me réincarne en slime tome 21


    Nickad
    • Scenariste: FUSE Dessinateur: KAWAKAMI Taiki Editeur: Kurokawa Note :
      Résumé:

      Comment un slime devient le seigneur du royaume ! Limule et Hinata se sont de nouveau lancés dans un duel, tandis que les généraux de Hinata combattent Shion et les autres dans une ambiance de guerre totale. Cette situation que Limule voulait éviter, semble le fruit de l'intervention subreptice des Septenniens. Pendant ce temps, un personnage qui règne sur les pays d'Occident semble prêt à comploter dans l'ombre. Limule et Hinata arriveront-ils enfin à discuter ?

      Type: Manga L'acheter sur bdfugue Genre: Fantastique Prix: 7.95 Nb de pages: 192
     Share

    Vu que c’est le 21eme tome et qu’il n’y a pas encore eu de critique sur la série, une présentation générale s’impose.

    Moi quand je me réincarne en slime est un isekai comme son titre l’indique. Mais ce n’est pas n’importe lequel, c’est un des meilleurs et incontournables du genre qui a le mérite de plaire à tout type de lectorat.

    image.thumb.jpeg.cded32bbbccb8ed45923bd238aecfee8.jpeg

    Résumé :

    Satoru Mikami, 37 ans, est employé de bureau. Un jour lors qu’il rencontre la fiancée de son meilleur ami, il se fait poignarder par accident. Alors qu’il est en train de mourir, ses dernières pensées semblent être interprétées comme des souhaits par une entité extérieure. « Est-ce qu’un humain meurt quand il n’a plus de sang » se transforme alors en « obtenir un nouveau corps sans sang » … C’est ainsi qu’après sa mort, il se réincarne en slime ; une petite boule gélatineuse qui n’a pas besoin de se nourrir, qui n‘a pas de corps vraiment solide (ni os ni sang). Au passage, il récupère aussi deux compétences importantes, « grand sage » et « prédateur », issues de ces dernières réflexions. Grand sage lui permet d’avoir une analyse et une compréhension de son environnement tandis que prédateur lui permet d’acquérir les compétences des proies qu’il ingère (à la manière d’un bon vieux blob).

    image.jpeg.911f055d62be9c6c507b387feb44dc8c.jpeg

    Notre slime, aveugle et muet, qui n’a que la sensation du toucher, erre dans une vaste grotte en absorbant les plantes et minéraux qu’il trouve sur son chemin. Il finit par arriver au fond où le dragon de la tempête est prisonnier. Ce dernier, Veldora, va lui apprendre à se servir de son mana pour communiquer et voir ; ils vont devenir amis. Peu après, Limule (et oui il a un nom à présent), va remonter la grotte vers la sortie en battant tous les monstres au passage et en acquérant leurs pouvoirs. Autant dire que lorsqu’il sort enfin de la grotte, il possède une aura inquiétante et il est devenu puissant sans en avoir vraiment conscience. C’est à partir de là que va commencer son aventure ; celle d’un slime qui va créer un pays de monstres dans la paix et la bonne humeur !!

    image.jpeg.ee24e2d9f552951db5ea4e0f846b32ba.jpeg

    Le tome 21 :

    Hinata est allée rencontrer Limule pour discuter de tout ce qui s’est passé entre eux. Hélas, les chevaliers qui l’accompagnent pensent qu’elle est allée lui régler son compte. Entre les quiproquos et les machinations les deux camps s’affrontent et les vérités se dévoilent peu à peu.

    Notre avis sur la série :

    J’ai eu l’occasion de discuter de cette série avec Shonen, l’auteur d’outlaw players (un professionnel des scénarios donc). On partageait le même avis sur le succès de la série : Moi, quand je me réincarne en slime possède un développement : la série sait se renouveler et apporte régulièrement des rebondissements et de nouveaux éléments qui lui redonne des pulsions et sait garder en haleine son lecteur. Mais son succès vient d’abord du choix du personnage principal ; un slime ! Non seulement l’auteur en a fait un monstre sympathique et puissant mais il lui a aussi donné un côté kawaii. Il est en plus accompagné de nombreux personnages secondaires qui ont tous un caractère bien défini, chacun avec ses atouts et ses charmes.

    L’autre point fort de la série est de se positionner du côté des monstres et des démons en montrant qu’ils ont aussi une vie et une famille à protéger. D’ailleurs souvent dans l’histoire, les méchants sont des humains !! Le manga possède également une bonne dose d’humour qui alterne avec les combats et le développement de la ville.

    Pour information, moi quand je me réincarne en slime est un webnovel commencé en 2013, il a ensuite été publié en light novel (20 tomes) avant d’être adapté en manga 2 ans plus tard seulement. Il existe également plusieurs spin-off (romans et mangas) et évidemment un anime (2 saisons et 5 OAV disponibles sur crunchyroll).

    En ce qui me concerne, c’est une série incontournable qui fait partie de mes préférées, la note de 4/5 correspond au tome 21.

     Share


    Retour utilisateur

    Commentaires recommandés



    Rejoindre la conversation

    Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

    Invité
    Ajouter un commentaire…

    ×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

      Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

    ×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

    ×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

    ×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.


  • Qui est en ligne   0 membre, 0 anonyme, 21 invités (Afficher la liste complète)

    • Il n’y a aucun utilisateur enregistré actuellement en ligne
  • Inscription

    Inscrivez vous gratuitement

  • Les previews !

  • Dernières Critiques

    • Canary
      Note :
      Scott Snyder est un auteur très prolifique en histoire fantastique et horreur. Avec Canary, l'auteur nous propose un western avec un Shérif qui côtoie depuis bien longtemps les forces du mal avec son révolver. D'ailleurs on retrouve un peu l'ambiance de la série American vampire sur la période des cowboys mais avec cette fois des monstres démoniaques avec des dentitions sur tout le corps. On suit donc le parcours du héros intervenant pour seconder un docteur pendant ses analyses d'une ancienne mine désaffectée. En parallèle, on découvre le passé du héros découvrant le mal venant entrecoupé l'action présente.
      Le dessinateur Dan Panosian fait des merveilles sur ce western, j'apprécie beaucoup son trait dans un style très réaliste. L'auteur installe une ambiance bien étrange surtout avec les ciels avec beaucoup de peinture ou des taches d'encrage coloré. Les humains se transforment en démons ou demi-monstre très crédible. 
      Mon seul reproche serait de ne pas avoir de suite à cette histoire assez dense sur six chapitres pour prolonger l'intrigue même si la fin reste ouverte, après la fin reste ouverte. Canary devrait satisfaire tous les lecteurs de western fantastique tirant sur l'horreur pour le final.
      • 0 réponse
    • L'Homme en noir
      Note :
      Avec L'homme en noir, Giovanni Di Gregorio et Grégory Panaccione livre une œuvre forte sur les violences sexuelles et l'inceste. En effet, on suit quelques temps le quotidien du jeune Mattéo victime et souffre-douleur de quelques camarades de classes. Il est sujet à de nombreux cauchemars qui instaurent une vie difficile pour s'épanouir. Sa mère est très inquiète de la situation, cherche des solutions avec des docteurs alors que son père semble plus absent avec son travail. Tout l'univers de cet enfant semble parfait à part les querelles avec des enfants de sa classe et pourtant un terrible secret le détruit. Depuis la petite lumière, j'apprécie beaucoup les dessins de Grégory Panaccione dans un style plus réaliste pour convenir aussi au récit dramatique. Les planches de nuit sont très efficaces, surtout avec l'apparition du monstre venant terrifier l'enfant dans ses rêves. 
      Le sujet de l'homme en noir est très dur et très émouvant avec ce pauvre enfant abusé. Cette thématique dénonce les nombreux faits divers tous les ans en France et partout dans le monde. Ce roman graphique m’a choqué comme je ne m’attendais pas à la tournure de  l’histoire, mais c’est très bien réalisé.
       
      • 0 réponse
    • Le jour d'avant
      Note :
      Romain Dutter adapte le roman de Sorj Chalandon centré sur ce drame qui eu lieu à Liévin le 27 décembre 1974 et qui restera comme la plus grave catastrophe minière post-guerre de notre pays . Ce jour là , 42 âmes étaient emportées par un coup de grisou . Tout commence donc par une présentation familiale avec Joseph et Michel , deux frères , fils de paysans . Joseph désire rentrer dans la mine et en faire son métier , sous les conseils désapprobateurs de son père , Michel quant à lui est mécanicien et ne se voit pas endosser la tunique des gueules noires . Joseph finit par s'engager et descendre dans les entrailles de la terre puis le drame survient . Tout le talent de Simon Géliot ressort sur ces pages , à travers ces visages tristes taillés à la serpe , ces rues sous un ciel sombre ,captées par son trait charbonneux , il devient impossible pour le lecteur de ne pas ressentir une vive émotion à la lecture de ce moment fort , magnifiquement dépeint . La ville est en émoi , les veuves marchent , accompagnées de leurs enfants , puis la colère gronde , on cherche des responsables ! Endeuillé , le père de Joseph laisse une note à son fils Michel , ces mots vont le hanter toute sa vie et le conduire inexorablement vers un acte impensable .

      On remarque d'emblée la profondeur du scénario et la qualité d'écriture ,  l'histoire est rondement menée , les secrets se lèvent au fil des pages . De nombreuses surprises vous attendent , les termes faux-semblants vous suivront tout du long , jusqu'au procès de Michel enfermé dans un mutisme profond . Aussi , lorsque vous découvrirez la révélation finale avec stupeur et émoi , vous poursuivrez avec les annexes en fin d'album , nombreuses et détaillées sur ce drame humain qui aurait pu être évité . Une lecture nécessaire qui laissera son empreinte , pour ne pas oublier ces travailleurs de l'ombre "creusant la nuit pendant le jour " comme le dit si bien le père de Joseph .
      • 0 réponse

    • Leçons de vie avec grand frère Uramichi tome 1
      Note :
      Ah Ah Ah !! je suis passée complètement à côté de ce livre !! Ce n’est pas de l’incompréhension ni une aversion graphique, non, je ne sais juste pas ce que je dois en faire.

      Uramichi est un animateur dans une émission pour enfant, il incarne le grand frère gymnastique. Seulement, à 31 ans, il déverse sa bile, il est blasé de sa propre existence et il a un regard cynique sur le monde des adultes. On ne sait jamais si ce qu’il dit est prévu par l’émission dans le style « écoutez les enfants » ou si ce sont des apartés qu’il fait lors du tournage de l’émission. Mais Uramichi n’est pas le seul dans cette émission et ses collègues, tous autour de 30 ans, ne semblent pas mieux lotis. Ils semblent tous être là par défaut et semblent subir leur vie.

      Si on analyse un peu les propos d’Uramichi, c’est clairement dépressif. Est-ce que faire passer ses « leçons » au travers un environnement enfantin a plus d’impact ? Est-ce que l’histoire est censée être drôle ? Est-ce qu’il y a vraiment des leçons à en tirer ? Personnellement, cette lecture m’a laissée perplexe, si Uramichi subit sa vie, j’ai un peu subi le livre car je ne sais absolument pas avec quel regard l’aborder et quelque part je n’en ressens pas l’envie.

      Etant donné que ce manga a déjà reçu des prix, c’est qu’il a un public. Alors si vous voulez découvrir l’histoire pour vous en faire une idée, vous pouvez lire le début gratuitement sur le site de Mana books.
      • 0 réponse
    • Freaking Romance tome 1
      Note :
      La New Romance est un genre littéraire destiné à un public mature (lectorat de prédilection : 18-25 ans) qui aborde les thèmes de désir féminin, consentement et identité sexuelle. Contenant souvent des scènes érotiques, le genre s’est vraiment développé à partir de 50 nuances de gris.

      L’auteur.rice de Freaking Romance fait partie de la génération où l’on s’affirme et où l’on ne craint plus de révéler son orientation. Iel est particulièrement prolifique sur les réseaux sociaux et inscrit ses histoires dans un contexte actuel où les jeunes peuvent s’identifier. On ne pourra que se demander si le personnage secondaire et meilleure amie de Zylith ne serait pas inspiré directement de sa propre vie, un peu comme Hitchcock qui apparaissait dans ses films… Pour information, Snailords est américain.e.

      Zylith est une jeune fille qui vient d’être mise à la porte de chez elle car elle ne voulait pas suivre les études que son père souhaitait. Elle part en quête d’un logement convenable à un prix convenable. Après bien des visites, elle s’installe dans un appartement dit hanté mais comme elle est férue de surnaturel, elle est plus excitée à l’idée de voir un fantôme qu’autre chose. Et quand le fantôme en question est un beau jeune homme et qu’elle se rend compte qu’il peut y avoir des interactions, elle est plus que ravie bien qu’une étrange rumeur sur une locataire précédente ayant disparue l’inquiète quand même un peu.

      C’était une magnifique lecture ! Je n’ai pas vu le temps passer et j’aurais aimé lire l’intégralité en une fois !! En plus d’une très belle édition avec couverture cartonnée et effets de style (vernis 3D et fer holographique), le livre a des pages bonus contenant quelques illustrations et les fiches des personnages. On sent l’inspiration asiatique dans le style graphique de Snailords ainsi que dans le contexte de l’histoire : Zylith souhaite devenir webtooniste et Zelan (le fantôme) serait chanteur.

      • 0 réponse
×
×
  • Créer...