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  • Orcs et Gobelins - Tome 15 - Lardeur


    The_PoP
    • Scenariste: Olivier Peru Dessinateur: Ma Yi Coloriste: Ma Yi Editeur: Soleil Note :
      Résumé:

      S'ils avaient su ce qui les attendait en Terres des Ogres, Lardeur et sa bande de mercenaires ne seraient jamais descendus aussi loin au sud des Terres d'Arran. Mais quand la mort est à vos trousses, et que vous avez déjà tout perdu, que vient le temps d'embrasser la Faucheuse, autant se présenter à elle en véritable cul-vert, le poing serré et la rage au coeur.

      Autres informations: De la bonne fantasy créative et pleine d'hommages
      Type: BD Europeene L'acheter sur bdfugue Genre: Fantasy Prix: -- Nb de pages: --
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    Après m'être régalé de la lecture du dernier Tome de Nains tout juuste sorti j'ai enchaîné avec le dernier Orcs et Gobelins. Forcément quand on passe du temps sur les terres d'Arran, on finit quand même par s'y plaire. Alors enchainer avec l'une des plus récentes séries dérivées de l'univers imaginé par Jean Luc Istin, et probablement d'ailleurs l'une de mes préférées, ça ressemble au bonbon de fin de repas, même après un mois de Novembre  aux allures de gueuleton de fête de fin d'année. Dur d'y résister.

    Orcs et Gobelins c'est la série dérivée où les auteurs s'autorisent le plus de choses finalement. Forcément quand les héros sont les méchants habituels, les fans sont moins enclins à la pendaison lorsqu'on profite d'un épisode ou deux pour rendre de beaux hommages à la Pop culture cinématographique. Ainsi on avait eu un épisode aux allures parfois de Ghostbuster, on a évidemment eu l'hommage à Conan et voici désormais le film de Labyrinthe revisité façon Orcs. 

    Vous noterez d'ailleurs que c'est le second scénario signé par M. Peru dont je dis du bien ce mois-ci. Bravo, faire du frais sur des univers aussi revisité c'est toujours louable.

    Vous l'avez compris, outre un scénario qui m'a beaucoup plu, il faut noter également que la réalisation signée Ma Yi est irréprochable et particulièrement soignée. 

    Au final j'ai une nouvelle fois passé un excellent moment avec cet épisode d'Orcs et Gobelins. Et si le précédent avait été un brin plus fade, force est de constater que la série reste globalement excellente.

     

     

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    • Kiff - Adorables et cruelles
      Note :
      Déjà le troisième tome de l'auteur Max Sulfur et ses héroïnes pulpeuses aux prises d'initiatives certaines . Dans ce Kiff , Adorables et cruelles , il continue d'enchaîner les scènes dans divers contextes (et positions^^) pour le plus grand plaisir des yeux . Son style réaliste fait encore des merveilles , les amateurs seront comblés . Un homme et une femme ou bien souvent , des femmes , composent ce ballet d'échanges de fluides et de situations où dominations consenties et plaisirs charnels seront les maîtres mots . Le "cameraman" Max Sulfur vous proposera plusieurs points de vue : éloigné , global , première personne , de haut en bas , vous serez au plus proche de l'action et ne perdrez rien des envies soudaines de cette galerie de femmes rondes , minces et débordantes d'énergie ! Il est à noter la formidable condition physique du "pauvre hère " victime des exactions de ces adoratrices de la bagatelle ! En effet , les éjaculations se succèdent et s'enchainent sans aucun relâchement ni baisse de rythme ! Chapeau bas 🙂 messieurs ! Du porno-érotisme hétéro un peu plus destiné à un public masculin certes , mais pouvant trouver sa place auprès des femmes avides de découvertes . Une suite dans la lignée des deux premiers tomes , sans aucune perte de qualité graphique , se permettant même d'accentuer encore un peu plus l'intensité des ébats !

      pdf_338_4.pdf
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    • Hors des sentiers battus - tome 1
      Note :
      L'illustratrice berlinoise Marie Sann réalise sa première incursion dans le monde du 9ème art avec une nouvelle série publié chez Tabou . Ce premier tome est une introduction aux multiples découvertes de Lizzy . En effet , elle va au fil de ses rencontres professionnelles et culturelles , réaliser une immersion de son propre corps et sa sexualité . Une évolution 2.0 vers des horizons auxquels elle n'aurait jamais songés auparavant ! Cela commence par la visite d'un sex-shop "moderne" et non destiné à un public exclusivement masculin , puis des discussions et autres "formations" sur le bondage et autre Shibari (art japonais ) , avec pour finalité des travaux pratiques 😉 Lizzy explore ces nouvelles facettes de son corps avec pour leitmotiv le plaisir partagé, une mise en avant du féminin et surtout , des pratiques sexuelles sortant des sentiers battus . De son trait rond , Marie Sann réalise des planches colorées "girly" avec un trait précis et détaillé . Ce style "Disney" convient parfaitement au côté édulcoré de l'héroïne Lizzy avec ses cheveux roses et son visage de princesse . Que les fans de l'éditeur se rassurent , en solo , en couple hétéro , homo , "les scènes d'action" sont rares mais distillées avec élégance  tout en suivant la trame scénaristique et ses rebondissements . L'auteure nous laisse d'ailleurs sur un cliffhanger qui va faire paraître longue l'attente du second tome . Si le côté "cartoon" du dessin ne vous effraie pas pour ce genre de lecture , plongez dans cette aventure avec Lizzy la jeune étudiante exploratrice des sens 😉 

      pdf_339_4.pdf
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      Note :
      Je dois bien reconnaître ma méconnaissance de l'artiste aux multiples casquettes : Oskar Kokoschka ! En effet , il était peintre mais aussi écrivain de pièces de théâtre . Ses peintures représentent son héritage le plus connu à ce jour , à l'image de La fiancée du vent (photo ci-jointe) . L'illustrateur espagnol Max Vento s'est lancé dans l'aventure biographique du peintre en débutant en 1912 à Vienne , période riche pour la capitale autrichienne avec de grands artistes et penseurs à l'oeuvre , tels Freud , Klimt et Mahler le compositeur . On découvre donc le jeune Kokoschka à ses débuts de portraitiste en proie avec ses démons intérieurs ( déjà oui) et ses détracteurs , nombreux à cette époque . Le jeune homme est à fleur de peau , en quête de reconnaissance , il ne vit que par et pour son art . Sa rencontre avec la récente veuve de Gustav Mahler , Alma , va profondément changer le cours de sa vie . Véritable muse , et amante , elle va lui permettre de franchir un cap et de réaliser son chef d'oeuve expressionniste La fiancée du vent . Max Vento réalise un scénario soigné , en exposant bien les âmes tourmentées en présence et leurs liens affectifs . Mais on s'aperçoit très vite qu'ils ne vont pas dans le même sens , Alma n'est pas sur la même longueur d'ondes et très vite la passion destructrice du peintre va prendre le dessus sur leur relation . Les dialogues sont au diapason du dessin : parfois courts à l'image de ces cases où seuls les protagonistes apparaissent , sans aucun fond ou décors en arrière plan ; d'autres fois raffinés et verbeux avec toute l'élégance et le raffinement de la période historique . Les humeurs du peintre seront marquées aussi par des ombrages puissants et une certaine folie dans son regard azur . Si l'artiste et son univers vous plait , vous aimerez cette biographie où "expressionnisme" n'est pas un vain mot , sinon , vous enrichirez votre culture générale artistique et cela vous donnera peut-être envie de vous plonger dans la musique de Mahler ou de contempler une toile du grand rival de Kokoschka : Gustav Klimt 😉 
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    • Là où gisait le corps
      Note :
      En fin d'album, Ed Brubaler explique que Sean Phillips lui avait demandé d'écrire une histoire romantique et d’amour pour changer. Ce dernier a accepté en ajoutant une histoire de drogue au milieu de cette romance autour d'un crime. Avec Là où gisait le corps, Brubaker va surprendre plus d'un lecteur avec une histoire dans un genre différent qui pourrait se rapprocher d'une enquête d'Agatha Christie, dans son dénouement. Car en effet, nous avons un meurtre et les témoignages de neuf personnes différentes vivant dans un même quartier. Toutes les personnes se connaissent plus ou moins bien et chacune nous livre sa vision et ses réflexions directement au lecteur. De cette manière on est pris dans l'enquête et la plupart des personnages semblent tous suspects ou avoir des choses à se reprocher. Les planches de Sean Phillips frôlent la perfection avec toute cette galerie de personnages très réalistes. Jacob gère parfaitement les ambiances avec les couleurs suivant l'intensité des scènes.
      Après les polars ou les récits fantastique, les auteurs nous livrent une histoire prenante avec neuf points de vue différent sur un meurtre dans une banlieue américaine dans les années 80. Là où gisait le corps est un excellent one shot.
       
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    • Nordlys
      Note :
      La saga vikings de Vincent Wagner se termine ici avec ce Nordlys , divisé en deux parties distinctes . Dans la première on y suit Njal et sa quête de vengeance afin de trouver ce fameux sorcier pouvant lever le sortilège touchant Pelle . Puis, une seconde partie où l'affrontement final avec Kjartan va prendre fin . C'est une lecture assez complexe que nous livre l'auteur , avec une importante galerie de personnages et de multiples histoires sous-jacentes liants les protagonistes . Le contexte historique est riche , avec Norvège et Suède en pleine évolution vers le christianisme .Ajoutez enfin à cela une pointe de fantastique avec les Ases , ces fameux dieux nordiques , intervenant quand bon leur semble et jouant avec les humains telle une enfant avec ses poupées ! Un récit complet mais auquel il manque du liant , on passe de flashbacks au présent sans aucun point de repère , d'un contexte à un autre sans explication ! Le rythme du fil scénaristique semble sinusoïdal  . Il délivre pour autant de superbes planches , avec un dessin précis , pouvant se montrer avare en détails parfois , mais l'ambiance froide et nordique est bien retranscrite . Peu de couleurs , le blanc et le bleu dominent dans les grands espaces . Les couleurs chaudes seront réservées aux intérieurs et à la présence d'un feu de camp . Pour les amateurs d'histoires vikings plus verbeuses que sanglantes 😉 
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