Voila du Hellblazer comme je l'aime 🙂Â
Si on n'atteint pas le niveau d'un Mike Carey, on est quand même dans du Hellblazer pur et dur : En Angleterre, une vie dissolue au possible et une très forte interaction avec le diable, dieu et les autres entités qui se croient plus malins que le plus roublard des héros du monde du comics.
Et pourtant le diable n'est pas loin de réussir son coup dans ce tome un où John tombe vraiment à court de solution. C'est quand il tombe le plus bas qu'il est le plus inventif et qu'il nous montre que la roublardise est l'élément essentiel à tout bon magicien.
Un tome qui sent bien l'Angleterre pré Tatcher, une Angleterre des quartiers désœuvrés et de la bière bon marché qui colle parfaitement avec le style Hellblazer.
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