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  • Sandman : Dreaming t1


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    • Scenariste: Simon Spurrier / Neil Gaiman / Dan Watter Dessinateur: Bilquis Evely / Max Fiumara / Sebastián Fiumara / Tom Fowler Coloriste: Collectif Editeur: Urban Comics Note :
      Résumé:

      Le Royaume des Rêves a été abandonné par son roi, ses frontières sont à feu et à sang, son gardien sombre dans la folie, ses sujets s'entredéchirent pour préserver ce qui peut l'être... Mais le vrai cauchemar est encore à venir. Une menace tapie dans l'ombre depuis plus d'un siècle émerge des ténèbres pour remodeler le Royaume des Rêves à son image, sombre et sanglante.

      Type: Comic L'acheter sur bdfugue Genre: Indefini Prix: -- Nb de pages: --
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    En préambule je dois vous avouer que je ne suis pas objectif sur Sandman. C’est pour moi la plus grande fresque ésotérique de l'histoire de la BD. Gaiman est un conteur de génie.

    Alors quand on me propose de retrouver tous les personnages qui ont fait le sel de Sandman dans une suite directe de la fin de "Veillée mortuaire" pour nous présenter ce qu'il advient du rêve, après la disparition de son maitre. Et ce fut pour moi un plaisir infini de retrouver Abel, Caïn, Matthew, Lucien, Merv et les autres. Un peu comme retrouver des amis disparus depuis longtemps. Et des amis qui seraient comme dans notre souvenir.

    Plus que cet aspect nostalgique cet album nous montre surtout la détresse des membres influant du rêve. En effet leur maitre est parti sans qu'ils ne soient au courant. Les personnages oscillent donc tous entre une attente du retour du maitre, une haine dû à l'abandon et une détresse sur la destruction de la structure même de Rêve. 

    Un album qui réussit à concilier nostalgie et histoire intéressante dans l'univers de Sandman, il n'en fallait pas plus pour me faire coucher bien trop tard hier.... Quitte à lire les rêves plutôt qu'a ne les faire.

    Une lecture pour les fans et qui ravira les fans. Vivement la conclusion !

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  • Dernières Critiques

    • Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire
      Note :
      Nouvelle adaptation en bande dessinée d'un roman à succès, avec le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire de Jonas Jonasson. Le scénariste Taillefer se charge de l'écriture de l'adaptation en restant fidèle à l'œuvre d'origine. On retrouve donc ce héros improbable qui va fêter ses 100 ans et s'enfuit de l'ehpad pour vivre de nouvelles aventures, comme durant toute sa vie. En effet, l'histoire est très exagérée pour permettre à Allan Karlsson de participer aux moments les plus importants du dernier siècle. Il rencontre de nombreuses figures historiques entre Oppenheimer, Albert Einstein ou encore Staline. L'homme a voyagé toute sa vie pour se retrouver auprès d'hommes politiques et autres afin de leur venir en aide. La partie graphique est minimaliste sur cet album sans trop de décors mais l'on reconnait bien les personnages historiques.
      Des histoires fonctionnent parfois mieux sous leur format initial mais cette BD du vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire reste un bon divertissement pas sérieux et se laisse lire sans prise de tête. Les lecteurs de la BD auront peut-être envie de lire le roman et inversement pour les lecteurs du roman.
      • 0 réponse
    • La part des lâches
      Note :
      Marguerite Boutrolle réalise son second roman graphique sur cette mode post-Covid  de contre-urbanisation . De nombreux cadres fuient les villes et leur bruit , leur agitation , leur stress , pour se retrouver à la campagne et/ou se recycler professionnellement . D'emblée , l'atmosphère est installée par le trait crayonné charbonneux de l'artiste à travers ces paysages déserts , des rues vides , le calme d'une forêt proche , le doux bruit d'une rivière dévalant son lit . On  y suit Aby en pleine introspection , elle communique par textos avec son compagnon , mais on comprend très vite que l'avenir de leur couple ne tient que par un fil . Puis l'on découvre ses colocataires de fortune , une bande de jeunes gens hétéroclites , aux parcours divers , mais unis par un anticapitalisme forcené et un discours libertaire . On observe leur quotidien , oscillant entre cueillette de fruits puis transformation en confiture , lecture , courses , débats sociétaux ; avec une Aby en retrait , semblant cultiver une certaine solitude et s'en nourrir . Au fond elle ne sait ce dont elle a besoin et sa rencontre avec une femme marginale du village , vivant en autarcie , va lui ouvrir d'autres horizons .

      C'est un portrait contemporain de jeunes adultes en proie au doute , cherchant leur place dans une société en perpétuel mouvement . Une grande mélancolie se dégage en tournant les pages , l'auteure n'hésite pas à marquer des événements par des double-pages vides ou noires , comme des ruptures nécessaires pour le lecteur et les protagonistes . Elle expose aussi une certaine contemplation au détour de pleines pages sur un bord de rivière , une route longeant un pré , un bosquet d'arbres . Tout ceci rend le lecture méditative et interpelle le lecteur qui prend part aux questions d'Aby . Un sujet de fond intéressant qui mérite relecture , en acceptant ce style graphique particulier en bichromie .
      • 2 réponses
    • Truman Capote, retour à Garden city
      Note :
      Truman Capote est surement un auteur super connu aux états unis, mais il l'est beaucoup moins en France, si ce n'est pas l'intermédiaire du film sortie en 2005 et ayant oscarisé le regretté Philipp Seymour Hoffman.

      Alors cet album est le bienvenu et nous permet de découvrir l'homme autant que l'écrivain. Il nous permet aussi de nous rendre compte que l'écriture d'un roman peu être tellement impactante qu'elle peut changer une vie.... 

      C'est bien dessiné et, pour ceux qui ne connaissaient pas 'histoire, super intéressant car en plus de la vie de Truman Capote, on découvre aussi le crime qu'il a décrit et qui lui a tant couté.

      A lire !
      • 0 réponse
    • Opportune
      Note :
      En voila une idée alléchante : reprendre le comte de la belle et la bête et en faire une transposition dans un univers radicalement différent.

      Si l'idée est bonne et le dessin vraiment très sympa, on ne peut s'empêcher de penser que le volume de pages n'est pas à la hauteur de l'ambition de notre scénariste. Attention, l'histoire est plutôt très sympa avec une adaptation du comte maligne qui ne reprend que les grandes lignes mais réussi à garder l'ambiance globale.

      Le dessin est lui d'un très bon niveau avec des planches superbes et des personnages bien travaillées et aisément reconnaissables (mention spéciale à la bête !)

      Non ce qui pêche un peu c'est le contexte.... en fait les changements sont tels que l'on a l'impression de ne faire que survoler notre histoire. Premièrement, on débarque directement dans l'action sans introduction véritable sur les personnages. Ensuite, le passif de cet univers est tel qu'il prend le pas sur celui de notre héroïne qui se trouve rapidement mis au second plan. 

      On aurait préféré un diptyque avec un premier tome plus introductif, mais amenant doucement l'introduction du comte dans notre histoire et permettant de bien mettre le personnage d'Opportune au centre de ce récit...

      On se retrouve avec un bon one shot mais qui nous laisse un gout un peu amer car l'histoire aurait été surement excellente en deux tomes.
      • 0 réponse

    • Critique par une ado : L'enfant en moi tome 2
      Note :
      Une critique de @TheOtaku : En voilà un scénario profond. Sachi décide de se rendre seule à la clinique, en plein le déni, mais à l'instant où elle entend les battements du cœur de l'embryon en elle, elle ne sait plus. Il ne reste plus que 3 semaines à Takara et elle pour prendre une décision mais elle n'arrive plus à savoir. Faut-il avorter ? Faut-il le faire adopter ? Pourras -t-elle le garder ? Quel est l'avis des adultes ? Peu importe leur décision, il leur faudra un accord parental, mais avant tout il faut commencer par en parler aux adultes.

       

      Mais quel manga ! Quelle histoire ! Nous voici avec une histoire des plus prenantes, pleine de suspense, mais aussi une histoire reflétant la triste réalité, la triste dureté de ce que certains pourraient appeler plus tard une "erreur de jeunesse" ou bien un "choix fait à la va-vite". Ce manga est dur à sa façon, il met la boule au ventre à sa façon, il reflète une vérité peu connue, il explique tout dans les détails, des détails qui nous sont souvent inconnus ou peu écouter, il fait mal, et pour preuve il est déconseillé aux moins de 13 ans.

      Ce manga est génial, triste bien sûr mais très bon. L'histoire, les sentiments des personnages et leurs points de vue sont très bien mis en scène et le scénario est assez poussé sans pour autant paraître absurde, il reflète une "triste" condition tout en lui laissant son côté réel et véritable. Enfin, le sujet est abordé de manière simple et sans quelconque sous-entendu péjoratif, ce qui rend la lecture de ce manga encore plus absorbante et calme.

       

      J'ai adoré ce tome 2 et en suis sortie toute chamboulée et toute triste je pourrais dire. 
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