Aller au contenu
  • S’inscrire

JKKS

Members
  • Compteur de contenus

    1 821
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par JKKS

  1. JKKS

    The Dark Knight

    Toujours une incapacité totale à m'exprimer sur le film. Toujours pas revu non plus (ce qui ne devrait pas arriver avant une dizaine de jours à mon avis). Je n'arrive pas à déterminer empiriquement si le film m'a plu ou non. J'ai l'absolue certitude de m'être retrouvé face à quelque chose de terriblement fort. De trop fort pour moi va savoir ... Peut-être qu'à tête reposée ça ira mieux. Peut-être que toute cette attente frénétique et assez insensée au fond (non pas que l'objet ne la mérite pas, bien au contraire) brouille mes capacités de jugement. Je ne sais pas vous mais il m'est arrivé d'attendre des films au point d'en rêver la nuit. Mais bon, les rêves sont ce qu'ils sont, ils sont décousus, insensés, branlants, teintés par vos angoisses. Et au sortir d'une nuit gâchée par ce genre d'inepties, on se surprend à bénir le fait que certains scénaristes aient un esprit un peu plus construit que le votre (bien que souvent moins débridé). Le truc c'est qu'à la sortie de The Dark Knight, c'est ce genre d'impression que j'ai ressenti. Celle de m'être retrouvé face à un film (et plus spécifiquement face à un scénario) violant absolument toutes les règles auxquelles on pouvait s'attendre (légitimement ou non), règles sur lesquelles s'appuyaient en grande partie mon appréhension de cet univers. En fait, ça fait 36h que je traîne un vrai sentiment de tristesse assez profond et franchement tenace ... Pour ceux que ça intéresse, voilà deux nouveaux fonds d'écran:
  2. JKKS

    Derniers achats Comics....

    Réedition de la première saison des Ultimates, épuisé à vitesse grand V quand Panini l'avait sorti pour la première fois en 2005. Considéré comme l'un des meilleurs comic-books de ces dernières années quand même. Et déjà difficile à trouver. Je ne promets rien mais je vais essayer de faire une chronique là-dessus dès que j'aurais critiqué The Dark Knight.
  3. JKKS

    Derniers achats Comics....

    Grosse séance de rattrapage: - Marvel Deluxe Ultimates 1 - Superman & Batman 10 - Superman & Batman HS 5 - DC Universe HS 10 - Infinite Crisis: 52 11 et Ultimate Spider-Man n°58 et 59. Pour un total de 48,60 Euros. C'est mon banquier qui va faire la gueule.
  4. JKKS

    Dragon Ball

    Est-ce que quelqu'un peut m'expliquer pourquoi je me fous éperdument de ce film alors que vous avez tous l'air de paniquer comme des dingues ???
  5. Excellente composition de Carter Burwell (The Big Lebowski, No Country For Old Men, Chevalier) pour In Bruges. Une très belle B.O., sobre mélancolique et élégante à l'image du film.
  6. JKKS

    Last Film Watched

    J'ai vraiment eu la gerbe pour Cloverfield. Efficace comme procédé parce qu'à la fin du film, j'ai eu du mal à quitter mon siège sans tituber. Très immersif en tout cas. Mais à mon avis il vaut mieux avoir des chiottes ou un lavabo à proximité. Ni vu ni lu 30 Jours De Nuit. Ca fait peur ??? (J'aime beaucoup le graphisme de Templesmith aussi )
  7. JKKS

    The Dark Knight

    Et la critique de Chronicart : Les bonnes dispositions prises par Batman begins se confirment en apothéose. Il n'est d'ailleurs pas interdit de voir dans ce second Batman version Nolan le sommet de toute la saga, tant le cinéaste s'approprie la matière mythologique de l'homme-chauve-souris sans une once de second degré, avec une naïveté, un sens du devoir un peu transi qui, loin de contribuer à livrer un monde clé en main (à la manière un peu autiste et cannibale de Burton), semble en permanence ouvert à tous les re-départs, tendu à l'extrême, sur le fil. A cette ouverture, le film doit sa beauté sans prix : une façon si entière d'avaler les grandes scènes, de gonfler jusqu'à menacer d'exploser, de se refuser à tout repli qui en fait sans aucun doute l'épisode le plus lyrique et le plus bouleversant de la série. Cela part d'une très belle idée : Batman, arrivé au point-limite de son emprise sur le crime qui ravage Gotham City (il est sur le point de passer le relais au pouvoir officiel, incarné par l'homme de loi Harvey Dent), découvre l'envers nocif et crépusculaire de son pouvoir. Mettre ainsi la binarité toute contemporaine de l'univers des super-héros à l'épreuve du doute (le jeu du « pile ou face » qui se substitue à la logique du bien et du mal) n'est pas sans danger. En s'ouvrant à un degré de réalisme jamais atteint auparavant, symbolisé par la partie à Hong Kong ou par les références au terrorisme mille fois plus senties que celles de V pour Vendetta (la mythologie se frotte alors, littéralement, à l'inconnu), The Dark knight menace aussi sans cesse de revenir, comme en un refuge, à ses vieilles breloques morales (l'humanisme outré de la séquence des bateaux bourrés d'explosif, alors même que le film semblait prêt à faire imploser son idéal super-héroïque). Politique ? Il y a en tout cas dans ce principe d'ouverture / fermeture tout en extrêmes la prescience d'un effritement salutaire, donnant cette impression que le film avance dans une nuit de questions à la manière d'un paquebot titubant, cherchant en permanence la rupture pour mieux retrouver, in extremis, son empire souverain (cf. la très belle scène finale où Batman repart dans la nuit). C'est que le film flotte toujours au dessus de cette pesanteur métaphysique où les limites de Nolan (brillant illustrateur, metteur en scène un peu pataud) pourraient le pousser. Il faut avant tout voir The Dark Knight comme un beau film naïf, où les questions un peu écrasantes se dissipent au profit d'une électricité macabre en roue libre. C'est là qu'entre en jeu le Joker : il fait à lui-seul du film un chef-d'oeuvre, trouant cet opus de ses ignobles farces, ouvrant en lui des galeries illuminées d'épouvante. La performance crépitante et cathartique de feu Heath Ledger en fait un corps d'altérité absolue : clown blafard et dégoulinant, junkie d'apocalypse, épave fumante autant que créature saturée d'étrangeté (voir la scène absolument sublime où le prédateur demeure immobile, irradiant de malfaisance et minablement humain, dans la cage du commissariat). Avec lui, ce que le film garde d'un peu pesant (les références au polar mannien, les longueurs de la fin) se consume dans une traînée de fumigènes colorés. Ne reste que le lyrisme dégingandé, au suspense admirable, des prises d'otage démentes auxquelles Batman et le spectateur sont livrés comme au chaos (énorme aussi, le rôle tenu par le méchant désespéré « Pile ou Face »), et cette certitude que l'on tient là le film de super-héros rêvé de notre enfance. Par Vincent Malausa Note: 4/5 Juste ça: [...]où les limites de Nolan (brillant illustrateur, metteur en scène un peu pataud)[...], je ne suis pas du tout d'accord. L'inverse à la rigueur, encore que la discrétion de son illustration aille souvent de paire avec sa volonté de ne pas parasiter le propos de l'histoire qu'il met en scène. Un peu à la manière d'un Alan Moore qui s'est souvent entouré de dessinateurs aux styles assez effacés de manière à ce que son scénario conserve une place prépondérante.
  8. JKKS

    The Dark Knight

    Même ces "bons à rien" de Ciné Live ont aimé (je déconne) La critique de Ciné Live: "Christopher Nolan est un dieu. Avec Batman & Robin, Joel Schumacher avait porté l’estocade à un justicier moulé en Inspecteur Gadget frimeur, cartoonesque à outrance, au glamour de bazar. La certitude s’abattait comme une guillotine : jamais Batman ne s’en relèverait. Christopher Nolan accomplit pourtant la résurrection de l’impossible en dévorant ses DC Comics avec envie, redressant Batman pour mieux le guider vers ses origines, ceux d’un héros qui tait son nom, à l’esprit torturé, un anti-Superman qui ne connaîtrait jamais la chaleur des acclamations d’une foule et devra avancer dans les ténèbres. Si Batman Begins était un film où l’ombre d’un homme chauve-souris planait sur une ville aux bleus profonds, couleurs de nuit, The Dark Knight fait tomber sur Gotham City une lumière blanche sous un ciel de plomb. Une mégalopole tentaculaire forgée dans le métal et l’acier, plus proche de nous encore qu’auparavant. Finie la terreur à tête de sac momifiée campée par Cillian Murphy, cette fois, c’est un bouffon psychopathe qui répand le chaos en plein jour, braquant les coffres des mafieux locaux, dézinguant sans préavis ses complices d’un jour, et réinventant l’histoire de son sourire mutilé à chaque nouveau meurtre. Voici venu le temps du Joker. Derrière le maquillage dégoulinant de l’illuminé, on découvre un Heath Ledger au sommet. Puissant. Terrifiant de cohérence dans sa démence, aussi. Il nous aura donc quitté sur un coup d’éclat (The Imaginarium of Doctor Parnassus, le film à venir de Terry Gilliam, mis à part). Un compliment qui n’est pas à prendre comme une politesse posthume. On pourra bien commenter cette performance, on restera en dessous de la force qui se dégage de son Joker… de cette version négative de Batman. Car le tandem des frères Nolan ont livré un scénario au sens du détail exacerbé où il est question de double jeu, de l’image que l’on donne à la ville et où, au bout du compte, la droiture absolue est impossible. Dans le rôle du procureur incorruptible Harvey Dent, même Aaron Eckhart et son regard sans faille feront les frais de cette vérité implacable. Il est un chevalier blanc acharné, accompagné d’une Maggie Gyllenhaal bien plus solide en assistante tiraillée entre deux hommes que ne l’était la transparente Katie Holmes dans le même rôle. Le deuxième, c’est bien sûr Christian Bale qui conduit son paria de héros vers des choix de plus en plus impossibles. Nolan a dépourvu son Batman des rares repères qu’il lui restait encore. Toujours à l’état de cendres, le manoir des Wayne a fait place à un loft hyper moderne et glacé où le Bruce Wayne de Christian Bale parade comme un coq une blonde à chaque bras. Une galerie de gueules sexy qui jouent sans fard dans un univers de destruction duquel triomphe l’être humain dans sa plus inquiétante dualité." Par Christophe Chadefaud Note: 4/5
  9. JKKS

    The Dark Knight

    A J-1. Petit point sur le Box-Office. Les recettes domestiques à 24 jours d'exploitation (avec les chiffres du week-end donc) s'élèvent à 441,628,497 $. Les recettes à l'international maintenant (et là, il est plus délicat d'obtenir des données à jour), approchent les 263,5 millions de dollars. Ce qui nous fait un total déjà confortable de 705,128,497 $. Pour info, The Dark Knight est actuellement à la troisème place des films les plus rémunérateurs de l'histoire (en recettes domestiques). Le prochain à être croqué devrait être Star Wars et ses 460 millions de dollars. L'ogre Titanic et ses 600 millions ne devraient pas être inquiétées.
  10. JKKS

    Last Film Watched

    Vu Thank You For Smoking hier soir. Vraiment bien. On retrouve l'insolence de Juno mais aussi ce point de vue assez singulier qu'utilise Reitman pour s'attaquer à/dénoncer un système. Excellents acteurs, Eckhart en tête. Surpris par la bonne composition de Katie Holmes au passage. la B.O. est une peu fade par contre (contrairement à celle de Juno). Ma note:
  11. Tu regardes trop de films en ce moment toi
  12. Plus sûrement oui, elle a les cheveux plus courts dans Mulholland.
  13. Vendu ! JKKS: 10 pts Pos'2: 9 pts Alucard: 6 pts Esteban: 5 pts alx23 : 4 pts Fredodo: 3 pts Snoop: 2 pts RR: 2 pts Guillaume : 2 pt Doll: 1 pt Blacksad: 1 pt A toi
  14. JKKS

    The Dark Knight

    Et je me suis fait la même réflexion à propos de la critique de Marianne (chez Brazil l'angle est un peu différent) et ça m'embête parce que c'est Macé-Scaron qui l'a écrite (mais encore une fois, je ne vois pas très bien en quoi l'avis d'un journaliste politique mérite sa place dans les pages cultures du journal) et que j'apprécie beaucoup ce type. Après, je peux comprendre que l'on apprécie pas un film et là n'est pas le débat, ce que j'admets plus difficilement c'est que l'on assume pas son choix et que l'on cherche à le légitimer en faisant preuve d'une mauvaise fois mollassonne (ce qui est la cas de la critique de Marianne) ou en noyant le propos du film et le film lui-même sous un flot de régurgitations intellectualisantes à la sauce Nouvel Obs. Mais bon, il n'y a pas non plus de quoi fouetter un chat. Je pense que ce genre d'avis ne devrait de toute façon pas être légion. La preuve Extrait des critiques respectives de Télérama et des Inrocks (vont finir par moins me déplaire ceux-là ): "Avec The Dark Knight, Christopher Nolan et son frère Jonathan ont écrit l'épisode le plus sombre et le plus pessimiste de la saga (...). Heath Ledger crève littéralement l'écran." Note 4/5 Par Jérémie Couston On est ici, maintenant, et l'actualité hurle entre chaque image. (...) The Dark Knight [fait] le choix assumé du sérieux et du premier degré (...) désormais Batman avance dans une nuit épaisse, celle d'un concentré de fiction lourd du poids de l'époque. Note 4/4 Par Jean-Marc Lalanne Et me concernant, je m'impressionne à être d'un calme absolument olympien. Le seul dilemme qui me tiraille c'est que j'ai les 6 première minutes du film en HD et tout et que j'hésite vraiment à les regarder.
  15. JKKS

    café des sports

    Bon ben, on dirait que Paris a repris ses bonnes habitudes
  16. JKKS

    The Dark Knight

    Il a fallu attendre la presse française pour foutre la merde, critiques mitigées de Marianne, Brazil et du Nouvel Obs. Sans me faire le partisan d'une forme malsaine de "pensée unique", je trouve ce côté "tout le monde adore, donc je vais chier dessus" vraiment lassant à la longue.
  17. JKKS

    Figurine Dc : Batman

    Celle là, j'ai même pas eu besoin (l'occasion) de la casser. Si j'ose dire, elle s'est cassée toute seule (Par casser, j'entends qu'elle est partie, pas que je l'ai tapée)
  18. JKKS

    Les Films Du Mois D'aout

    Vu aussi Braquage à l'Anglaise et je dois avouer que je suis plus mitigé que toi pos même si j'ai passé un très bon moment. En fait, je trouve que le film vaut surtout pour son ambiance parce que ni le braquage (à la Spaggiari) , ni ses conséquences (dont un certain nombre sont laissées en suspens) ne présente de véritable intérêt. Bons acteurs également (Statham nickel jamais meilleur que dans des films anglais décidemment). Manque un petit quelque chose quand même. Ma note: Et cet après-midi, je me suis fait Bon Baisers de Bruges, boycott des J.O. oblige. Un excellent film, inattendu pour ma part parce que je pensais voir un gangster-movie "à la Snatch". A la place, j'ai assisté à un drame intimiste, poignant et tragique porté par des acteurs exceptionnels dont Colin Farell qui m'a réellement surpris et Ralph Fiennes dont j'avais presque oublié l'incroyable présence. Un film vraiment parfait à tout égards, capable de faire basculer du rire aux larmes en une réplique acerbe. Ma meilleure toile depuis un moment. Ma note:
  19. C'est Good-Bye Bafana ça !!!
  20. JKKS

    Figurine Dc : Batman

    Je suis un peu emporté mais pas violent de nature. Et pas dis que ça me coûte moins cher si je casse ma prochaine copine plutôt que mon superman Au passage, j'ai acheté Double-Face, superbe figurine.
  21. JKKS

    Derniers achats Comics....

    CITATION(Renardrouge @ 07/08/2008 à 12:48) [snapback]109986[/snapback]non, non, commence par des trucs classiques plutot. C'est indigeste au possible le Moore. Hérétique. Indigeste pour indigeste (pas tellement dans le cas de V d'ailleurs) ça reste quand même le meilleur de ce qui a été produit en graphic novels depuis qu'on a inventé ce terme. Personnellement, aucun auteur de BD ne m'avait transporté comme Orwell, Dumas, Gauthier, Poe ou London avant que je découvre Alan Moore. Sans rire, il faut juste passer l'appréhension que l'on a de lire un pavé et se laisser haper par des histoires à l'ampleur époustouflante et à l'implication émotionnelle totale. Par contre, et là c'est mon opinion, je trouve que DK Returns n'est pas forcément une bonne idée. Ce run est vraiment vraiment douteux (idéologiquement parlant) quant on prend un peu de recul. Je préfère Miller plus sobre et moins prosélyte (comme sur Year One) voir borderline mais honteusement fun comme sur All Star Batman.
  22. JKKS

    Les Films Du Mois D'aout

    Les suites relèvent de rumeurs que rien ne vient étayer dans les faits. La plus probable reste quand même une suite à Monstre et Cie (même si on entend parler de temps à autres d'une suite à Cars aussi). Et surtout Toy Story 3 en 2010 (mais ça c'est prévu depuis mathusalem). Et non, Disney n'a toujours pas son mot à dire quand à la politique que décide de suivre Pixar (qurtout que c'est John Lasseter, un ancien de Pixar qui dirige Disney maintenant).
×
×
  • Créer...