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Kevin Nivek

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Tout ce qui a été posté par Kevin Nivek

  1. Je l'ai lu en poche, oui sympa , et tu sais que Villeneuve va l'adapter au cinoche 😉 ?
  2. Kevin Nivek

    Superman lost

    Ben , j'en ai du slip et , un 3,5 ne me fait pas passer du côté obscur 😉
  3. Je crois que je n'ai lu que le 1 ... J'ai les 3 pourtant !
  4. Kevin Nivek

    Constellation

    Je savais pas qu’il était passé chez Lombard !
  5. Kevin Nivek

    Superman lost

    J'hésitais , mais ta note me refroidit .
  6. Attention tu t'es trompé d'éditeur 😉 J'ai pris l'album en tout cas 🙂
  7. pfff , je viens de recevoir le dernier Buck Danny , mais j'ai envie de relire Y the last man , tome 1 check , que c'est bon cette saga ! J'arrive au tome 2 avec le théâtre , la partie la moins bonne ... J'avais zappé que les 2 cosmonautes y passaient 😞
  8. Kevin Nivek

    Le dieu-fauve

    Pas encore reçu le mien 😞
  9. Titre de l'album : Manchuria opium squad - Tome 13 Scenariste de l'album : Tsukasa Monma Dessinateur de l'album : Shikako Coloriste : Editeur de l'album : Vega-Dupuis Note : Résumé de l'album : Notre équipe de choc répand peu à peu l'influence de l'opium X dans les rues de Shanghai, grâce à des revendeurs qui diffusent l'utilisation de cette drogue dans des fumeries. Cependant, Li Hua a un objectif bien plus grand, qui est de s'emparer de toutes les fumeries de la Hong Bang, ce qui revient à déclarer la guerre à cette organisation. Entre la police municipale de la concession, la Hong Bang et la fiabilité plus que douteuse de leur collaborateur Jing, nos protagonistes devront plus que jamais être sur leurs gardes durant leur ascension... Critique : Nous voici déjà au tome 13 de cette saga incroyable ! Petit rappel de l'histoire de ce "Breaking bad" version manga : Nous sommes à la fin des années 30 , juste avant que le second conflit mondial ne débute . Un jeune homme , Isamu Higata voit sa mère emportée par la peste . Se retrouvant à charge de sa famille il va se lancer dans la culture et le commerce du pavot , autrement dit , l'opium à fumer . De rencontres bonnes ou néfastes , il va jalonner la Mandchourie , véritable terre multiculturelle , partagée entre plusieurs pays et ethnies ! Un terreau fertile pour des aventures les plus rocambolesques avec une multitude de personnages mafieux du même acabit . La violence est crue et omniprésente , elle va croitre de tomes en tomes dans un déluge d'action et de suspens . A l'instar d'une saga comme Gannibal , nous avons ici un page turner qui ne vous ménagera pas ! Chaque fin de tome est propice à un ou des rebondissements , rendant l'attente de la suite , compliquée , voire insupportable 😉 Dans ce 13ème tome , notre équipe de choc , se retrouve à Shanghai , ville cosmopolite , aux influences multiples . Une ville partagée en plusieurs protectorats , mais gangrénée quand même par la mafia locale : la Hong Bang . Leader du commerce de l'opium , ces derniers traquent sans relâche nos jeunes producteurs d'opium X , avec une intensité rare . Li Hua et Isamu semblent avoir une adversaire des plus coriaces avec cette femme à la tête de la Hong Bang , qui ne montre aucune limite dans l'engrenage de la violence . Le dessin est toujours aussi détaillé et dynamique . Si cette période historique riche et la géographie vous plait , vous ne pouvez passer à côté de cette saga . Elle est documentée et l'on apprend une multitudes de choses sur cette région immense , ce "carrefour" asiatique . Des chinois, des japonais , des russes , des mongols , des européens , un véritable feu d'artifice culturel . Série à suivre ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/manchuria-opium-squad-tome-13/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nous voici déjà au tome 13 de cette saga incroyable ! Petit rappel de l'histoire de ce "Breaking bad" version manga : Nous sommes à la fin des années 30 , juste avant que le second conflit mondial ne débute . Un jeune homme , Isamu Higata voit sa mère emportée par la peste . Se retrouvant à charge de sa famille il va se lancer dans la culture et le commerce du pavot , autrement dit , l'opium à fumer . De rencontres bonnes ou néfastes , il va jalonner la Mandchourie , véritable terre multiculturelle , partagée entre plusieurs pays et ethnies ! Un terreau fertile pour des aventures les plus rocambolesques avec une multitude de personnages mafieux du même acabit . La violence est crue et omniprésente , elle va croitre de tomes en tomes dans un déluge d'action et de suspens . A l'instar d'une saga comme Gannibal , nous avons ici un page turner qui ne vous ménagera pas ! Chaque fin de tome est propice à un ou des rebondissements , rendant l'attente de la suite , compliquée , voire insupportable 😉 Dans ce 13ème tome , notre équipe de choc , se retrouve à Shanghai , ville cosmopolite , aux influences multiples . Une ville partagée en plusieurs protectorats , mais gangrénée quand même par la mafia locale : la Hong Bang . Leader du commerce de l'opium , ces derniers traquent sans relâche nos jeunes producteurs d'opium X , avec une intensité rare . Li Hua et Isamu semblent avoir une adversaire des plus coriaces avec cette femme à la tête de la Hong Bang , qui ne montre aucune limite dans l'engrenage de la violence . Le dessin est toujours aussi détaillé et dynamique . Si cette période historique riche et la géographie vous plait , vous ne pouvez passer à côté de cette saga . Elle est documentée et l'on apprend une multitudes de choses sur cette région immense , ce "carrefour" asiatique . Des chinois, des japonais , des russes , des mongols , des européens , un véritable feu d'artifice culturel . Série à suivre !
  11. Titre de l'album : Moon - Tome 1- Une balle pour un croisé Scenariste de l'album : Johan Vandevelde Dessinateur de l'album : Stephan Louwes Coloriste : Editeur de l'album : Anspach editions Note : Résumé de l'album : Trois cents ans après une guerre nucléaire mondiale, l'humanité a repris le dessus. Les hommes se sont rassemblés dans des mégapoles construites sur les ruines de ce qui était autrefois l'Europe. Les scientifiques ont enfin mis au point une technologie qui permet de voyager dans le passé. Mais les plans sont malheureusement révélés au grand jour. Désormais, toute personne disposant de ressources financières suffisantes peut construire sa propre machine à remonter le temps... Avec des parents très souvent absents pour des raisons professionnelles, les triplés Emily, Cleo et Alex sont élevés par des robots, et se révèlent plutôt turbulents. Quand Alex réussit à convaincre ses soeurs de suivre leurs parents, ils découvrent la nature particulière de leur travail: voyager dans le temps pour arrêter de dangereux criminels... Aris Critique : Domaine en vogue dans le monde du 9ème art , la science-fiction parvient encore et toujours à nous surprendre ! Avec Moon, Johan Vandevelde prouve que l'on peut mélanger grande histoire et monde futuriste dans un seul et même écrin . On commence l'histoire en 2323 dans la ville de Perris , qui ressemble étrangement à Paris mais , sous les eaux . 3 enfants semblant livrés à eux même , se retrouvent convoqués chez le principal comme fauteurs de troubles . On découvre leur triste sort , puis , en tournant la page , nous voilà plongés dans une Jérusalem en pleine guerres de croisades en 1187 ! Le couple présenté , que nous identifions rapidement comme les parents des enfants , se retrouve plongé dans la poursuite d'un criminel . Ces derniers voyagent dans le temps et en modifient l'histoire tout en cherchant à s'enrichir ! La brigade secrète dont sont membres les parents , traque ces individus . Mais concilier travail et vie de famille n'est pas aisé , surtout lorsque vos enfants sont plutôt brillants et découvrent par hasard un objet les mettant sur une piste pouvant nuire à ce travail dangereux et secret ! Il s'agit d'un premier tome introductif à ce nouveau monde et les auteurs prennent le temps de bien nous y installer . On sent que les aventures tourneront autour de cette famille , d'autant que les pistes scénaristiques semblent sans fin avec ce genre de postulat . Les voyages dans le temps fascinent toujours et sont une source inépuisable d'histoires , d 'autant qu'ils n'usent pas d'un violence accrue ni des fameux "paradoxes temporels" (pour l'instant) , rendant la lecture tout public . Le dessin en noir et blanc fourmille de détails , le découpage des scènes d'action est dynamique et cinématographique . Cela va à 100 à l'heure, pour notre plus grand plaisir . Une bonne découverte qui ravira les amateurs de SF 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/moon-tome-1-une-balle-pour-un-croise/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Domaine en vogue dans le monde du 9ème art , la science-fiction parvient encore et toujours à nous surprendre ! Avec Moon, Johan Vandevelde prouve que l'on peut mélanger grande histoire et monde futuriste dans un seul et même écrin . On commence l'histoire en 2323 dans la ville de Perris , qui ressemble étrangement à Paris mais , sous les eaux . 3 enfants semblant livrés à eux même , se retrouvent convoqués chez le principal comme fauteurs de troubles . On découvre leur triste sort , puis , en tournant la page , nous voilà plongés dans une Jérusalem en pleine guerres de croisades en 1187 ! Le couple présenté , que nous identifions rapidement comme les parents des enfants , se retrouve plongé dans la poursuite d'un criminel . Ces derniers voyagent dans le temps et en modifient l'histoire tout en cherchant à s'enrichir ! La brigade secrète dont sont membres les parents , traque ces individus . Mais concilier travail et vie de famille n'est pas aisé , surtout lorsque vos enfants sont plutôt brillants et découvrent par hasard un objet les mettant sur une piste pouvant nuire à ce travail dangereux et secret ! Il s'agit d'un premier tome introductif à ce nouveau monde et les auteurs prennent le temps de bien nous y installer . On sent que les aventures tourneront autour de cette famille , d'autant que les pistes scénaristiques semblent sans fin avec ce genre de postulat . Les voyages dans le temps fascinent toujours et sont une source inépuisable d'histoires , d 'autant qu'ils n'usent pas d'un violence accrue ni des fameux "paradoxes temporels" (pour l'instant) , rendant la lecture tout public . Le dessin en noir et blanc fourmille de détails , le découpage des scènes d'action est dynamique et cinématographique . Cela va à 100 à l'heure, pour notre plus grand plaisir . Une bonne découverte qui ravira les amateurs de SF 😉
  13. Le plus tôt possible sera le mieux 🙂
  14. Kevin Nivek

    Amy Winehouse en BD

    J'ai pas pu trouver mieux 😞
  15. Kevin Nivek

    Parlottes BD

    Au bout de 30 balles il me semble
  16. Titre de l'album : Amy Winehouse en BD Scenariste de l'album : Tony Lourenco , Elsa Gambin Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Editeur de l'album : Petit à petit Note : Résumé de l'album : Avec son timbre de voix unique, Amy Winehouse s'est rapidement imposée comme l'une des figures de la soul britannique de ce début du XXIe siècle. Raflant toutes les récompenses sur son passage après l'immense Back to Black, sa carrière a été une explosion dans le monde de la musique. Une explosion trop brève. Multipliant les addictions et d'une santé mentale fragile, Amy s'éteint prématurément, laissant derrière elle une oeuvre mémorable. Découvrez dans ce Docu-BD, entre planches de bande dessinée et pages documentaires, la vie mouvementée de cette artiste au style si reconnaissable, qui résonne encore aujourd'hui partout dans le monde. Critique : Impossible de rédiger mon avis sur cet excellent documentaire sur Amy Winehouse , sans écouter l'album phare : Back to black ! Le 23 juillet 2011 elle entrait dans le cercle des regrettés "club des 27" , avec Janis Joplin entre autres et un certain Kurt Cobain . Les éditions Petitàpetit consacreront un nouvel opus de cette collection sur le chanteur de Nirvana , très bientôt 😉 . Mais revenons à la diva anglaise née dans la banlieue londonienne le 14 septembre 1983 . On y découvre son enfance bercée par une famille passionnée de musique , le père chantant du Sinatra et lui vouant un culte . Elle ne manque pas d'amour mais très vite on aperçoit une adolescente avec un caractère trempé dans l'acier , et une volonté d'arriver à ses fins à toute épreuve . Le divorce de ses parents sonnera comme un compte à rebours enclenché vers son funeste sort . Ses débuts dans des écoles de musique , ses amies , ses amours , ses beuveries , puis son grand amour : Blake . Lui aussi précipitera la chanteuse vers des horizons funèbres . Le succès débutant et s'accentuant , on aperçoit deux trajectoires s'opposant : une reconnaissance musicale et un talent inouï , mais une santé vacillante sous les effets des drogues et alcools consommés à outrance . Une fois de plus , ce format "Docu-BD" fonctionne à merveille , avec un collectif de dessinateurs posant leur style sur les différents moments de sa vie . Dans cette chronologie , interviennent des double-pages avec images d'archives , revues de presse , et autres textes complétant les pages BD précédentes . C'est précis , vivant et incroyablement bien documenté . Vous saurez tout sur la diva anglaise et cette voix qui nous manquera à jamais . "Love is a losing game" , "Rehab" , "back to Black" , résonnent en nous pour toujours et à jamais . Un biopic sortira au cinéma le 24 avril . Mais en attendant , vous pouvez réviser avec ce très beau livre à la somptueuse couverture signée par Benjamin Blaco-Martinez ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/amy-winehouse-en-bd/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Kevin Nivek

    Amy Winehouse en BD

    Impossible de rédiger mon avis sur cet excellent documentaire sur Amy Winehouse , sans écouter l'album phare : Back to black ! Le 23 juillet 2011 elle entrait dans le cercle des regrettés "club des 27" , avec Janis Joplin entre autres et un certain Kurt Cobain . Les éditions Petitàpetit consacreront un nouvel opus de cette collection sur le chanteur de Nirvana , très bientôt 😉 . Mais revenons à la diva anglaise née dans la banlieue londonienne le 14 septembre 1983 . On y découvre son enfance bercée par une famille passionnée de musique , le père chantant du Sinatra et lui vouant un culte . Elle ne manque pas d'amour mais très vite on aperçoit une adolescente avec un caractère trempé dans l'acier , et une volonté d'arriver à ses fins à toute épreuve . Le divorce de ses parents sonnera comme un compte à rebours enclenché vers son funeste sort . Ses débuts dans des écoles de musique , ses amies , ses amours , ses beuveries , puis son grand amour : Blake . Lui aussi précipitera la chanteuse vers des horizons funèbres . Le succès débutant et s'accentuant , on aperçoit deux trajectoires s'opposant : une reconnaissance musicale et un talent inouï , mais une santé vacillante sous les effets des drogues et alcools consommés à outrance . Une fois de plus , ce format "Docu-BD" fonctionne à merveille , avec un collectif de dessinateurs posant leur style sur les différents moments de sa vie . Dans cette chronologie , interviennent des double-pages avec images d'archives , revues de presse , et autres textes complétant les pages BD précédentes . C'est précis , vivant et incroyablement bien documenté . Vous saurez tout sur la diva anglaise et cette voix qui nous manquera à jamais . "Love is a losing game" , "Rehab" , "back to Black" , résonnent en nous pour toujours et à jamais . Un biopic sortira au cinéma le 24 avril . Mais en attendant , vous pouvez réviser avec ce très beau livre à la somptueuse couverture signée par Benjamin Blaco-Martinez !
  18. Kevin Nivek

    Parlottes BD

    Ok mais en même temps tu as Emmaüs qui se plaint que les "majors" avec l'envoi gratuit et leur politique agressive leur prend tout le marché de l'occas en livres !
  19. Kevin Nivek

    Parlottes BD

    Tiens, Rachida Dati vient d'autoriser la pub de "livres" à la télé ! Les éditeurs sont contres , clamant que cela va avantager encore plus les "gros" comme Hachette ( appartenant au groupe Boloré) au détriment des petits , mais aussi que l'investissement important dans la pub tv ne rapportera pas assez en vue de futures ventes liées ! Qu'en pensez-vous ? On a pas eu un petit débat depuis un moment 😉
  20. Kevin Nivek

    Derniers Achats

    Etrange ça ,bon après c'est pas un drame , la lecture sera cool
  21. Kevin Nivek

    Derniers Achats

    Lol , je reçois le dernier Rochette , Au coeur de l'hiver , censé être un récit de montagne à la suite de La dernière Reine et Ailefroide . Sauf que , ce n'est pas une BD ^^Un roman ! J'aurais aimé savoir quand même !
  22. Titre de l'album : Sacha - Tome 2 - Céréales loser Scenariste de l'album : Thitaume Dessinateur de l'album : Stella Lory Coloriste : Editeur de l'album : Bayard Note : Résumé de l'album : La morning-routine de Sacha, 14 ans ? Réveil à 8 heures, douche, petit dej', brossage de dents... et puis se téléporter au collège, ranger sous une casquette ses oreilles de lapin, passer à travers le mur, arrêter le temps ou encore discuter avec ses poux ! Car Sacha n'est pas tout à fait un ado comme les autres : lui se réveille chaque matin avec un pouvoir différent, et pas franchement les plus stylés. Aucune de ses journées ne se ressemblent vraiment, mais elles ont toutes un point commun : c'est TOUJOURS la super-galère ! d Critique : La série publiée dans Géo Ado (Milan éditions) poursuit sa route avec la sortie du tome 2 , les galères continuent pour Sacha ! Vous connaissez l'adage du grand pouvoir et des responsabilités , et bien imaginez vous , réveillé tous les matins avec un nouveau pouvoir ! Invisible c'est plutôt sympa de prime abord , mais pas lorsque vous avez école 😉 . De grandes oreilles , des jambes de chèvre , tout peut arriver , pour le pire et le meilleur . Thitaume qui excelle dans l'humour avec la saga des lapins crétins , dégaine les gags à chacune des pages au cours de petits scènettes savoureuses . Les ennuis de l'adolescence sont exacerbés ici avec les super-pouvoirs de Sacha , mais il n'en demeure pas moins que les thématiques approchées sont les mêmes : moqueries , harcèlement , amitiés , amourettes etc.... On rit et il arrive de repenser (pour nous les adultes) à des situations rencontrées au cours de notre scolarité passée 😉 L'artiste franco-égyptienne Stella Lory réalise des planches "cartoon" , sur un gaufrier d'une ou deux pages . C'est parfait pour le sujet et adapté au lectorat ciblé ( à partir de 11 ans) . On souhaite bon vent à Sacha et ses amis pour de nombreux autres tomes ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sacha-tome-2-cereales-loser/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. La série publiée dans Géo Ado (Milan éditions) poursuit sa route avec la sortie du tome 2 , les galères continuent pour Sacha ! Vous connaissez l'adage du grand pouvoir et des responsabilités , et bien imaginez vous , réveillé tous les matins avec un nouveau pouvoir ! Invisible c'est plutôt sympa de prime abord , mais pas lorsque vous avez école 😉 . De grandes oreilles , des jambes de chèvre , tout peut arriver , pour le pire et le meilleur . Thitaume qui excelle dans l'humour avec la saga des lapins crétins , dégaine les gags à chacune des pages au cours de petits scènettes savoureuses . Les ennuis de l'adolescence sont exacerbés ici avec les super-pouvoirs de Sacha , mais il n'en demeure pas moins que les thématiques approchées sont les mêmes : moqueries , harcèlement , amitiés , amourettes etc.... On rit et il arrive de repenser (pour nous les adultes) à des situations rencontrées au cours de notre scolarité passée 😉 L'artiste franco-égyptienne Stella Lory réalise des planches "cartoon" , sur un gaufrier d'une ou deux pages . C'est parfait pour le sujet et adapté au lectorat ciblé ( à partir de 11 ans) . On souhaite bon vent à Sacha et ses amis pour de nombreux autres tomes !
  24. Kevin Nivek

    Le fantôme de Canterville

    Je connaissais comme tout le monde Le portrait de Dorian Gray , et j'ai découvert avec plaisir une autre facette de l'immense talent du romancier britannique dans ces deux contes . Tout d'abord , Le fantôme de Canterville , où comment un américain ayant fait fortune se cherche un patronyme prestigieux en achetant les yeux fermés un vieux manoir anglais . La critique des "self made men" du nouveau continent est aisée , le "yankee" n'a assurément pas le flegme britannique , ni cette éducation stricte so british . Il en va de même pour sa famille qui découvre ce château avec plaisir et se moque éperdument des turpitudes d'un fantôme hantant les lieux . On savoure les échecs patents de pauvre hère , incapable d'effrayer les membres de la famille . La situation prendra une autre tournure , vous le saurez en vous plongeant dans ce récit aux notes humoristiques . Vient ensuite Le crime de Lord Arthur Saville ! Au cours d'une soirée mondaine , ce Lord vient à se faire lire les lignes de la main et le pire lui est prédit . S'en suit une quête ubuesque pour tenter d'échapper à cette malédiction . Je ne vous dévoile pas l'intrigue mais sachez que l'on s'amuse aussi en lisant les aventures de ce Lord ! Pour illustrer tout ceci , l'octogénaire Marcelé use de son trait charbonneux , tout en noir et blanc . C'est un style particulier qui peut rebuter de prime abord , j'en conviens . Mais plus on avance dans le récit de son compère Rodolphe , et plus cette vague crayonnée prend son sens en imageant parfaitement l'époque et les lieux . Détail amusant sur Oscar Wilde : avant que son homosexualité soit révélée avec pertes et fracas en 1895 , il avait fréquenté Florence Balcombe , qui fut ensuite l'épouse d'un autre grand auteur : Bram Stoker . Un petit monde 😉
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