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Kevin Nivek

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Tout ce qui a été posté par Kevin Nivek

  1. Kevin Nivek

    Derniers Achats

    Il a pris 5 euros de plus pour 8 pages de plus , Nice house of the lake , tome 2 ?????
  2. Kevin Nivek

    Derniers Achats

    On rentre d’Amsterdam demain , je ferai une critique début de semaine pro pour le Tom King , ok .
  3. Kevin Nivek

    Derniers Achats

    Je l’ai commencé , pas donné c’est vrai mais très bon !
  4. Kevin Nivek

    Suicide squad : Blaze

    Oui on dit la même chose ok
  5. Kevin Nivek

    Suicide squad : Blaze

    Oui je craque des fois ! Mais là faut avouer que c’est très bon ! D'ailleurs la fin :
  6. Kevin Nivek

    Suicide squad : Blaze

    J’ai adoré cette lecture moi . Scénario , dessin , pour moi c’est 5/5 !
  7. Le gros pavé sur Mighty Thor ne nécessite pas aussi un gros background , ça passe , tu peux l’entamer sans être largué je pense .
  8. Salut , Vaste sujet 😅. Si t’as des sous , clairement tu prends les deux omnibus sur elle et lui . Car les histoires se chevauchent par moment . Tu parles de Coipel , oui son run est sympa mais en toute honnêteté je préfère celui de Aaron qui est dans l’omnibus avec Gorr comme antagoniste . Il est mille fois mieux développé que dans le film , d’ailleurs tu peux oublier le film 😅. Regarde aussi car ils sont moins chers les Panini de Aaron et Ribic en marvel now il me semble . Tu peux les lire en tout cas sans trop de pre requis sur le personnage .
  9. Kevin Nivek

    Batman Catwoman

    Elle est clairement au centre des débats et c'est excellent , ce Tom King alors !J'ai reçu le one shot sur le Sphinx là 🙂
  10. Je suis pas fan du tisseur mais je t'assure que le ton adulte est vraiment le bienvenu 😉
  11. Kevin Nivek

    Chasseurs de sève

    Cela fait grave plaisir et Ankama va garder aussi la mienne pour Forgotten blade !! Je sais pas où ils vont la mettre en revanche !
  12. Je l'avais vu sur le forum ami voisin , mais j'en ai déjà trop de jeux ! J'ai pas fait encore une partie à Okko c'est dire ....
  13. Kevin Nivek

    Long way down

    Titre de l'album : Long way down Scenariste de l'album : Jason Reynolds Dessinateur de l'album : Danica Novgorodoff Coloriste : Danica Novgorodoff Editeur de l'album : Bayard Note : Résumé de l'album : Dans le quartier de Will, les règlements de compte entre gangs sont monnaie courante. Le sang rougit souvent l'asphalte. Enfants ou adultes, ça n'a pas de grande importance pour ceux qui tuent. Sauf que cette fois, c'est Shawn qui est mort. Shawn, le seul et unique frère de Will. Et quand quelqu'un meurt dans le quartier de Will, il existe trois règles essentielles. Ne pas pleurer. Ne pas balancer. Se venger. Dans l'ascenseur, en route pour tuer le présumé meurtrier de son frère, Will fait face à d'étranges fantômes. S'il existe un moyen pour faire cesser le cycle incessant des vengeances, Will est peut-être le seul à pouvoir tout changer. Une adaptation graphique sensible et picturale d'un roman social poignant de Jason Reynolds, auteur américain majeur qui raconte avec justesse la réalité de la jeunesse de banlieue aux États-Unis. Critique : Jason Reynolds est un artiste américain complet , romancier et poète , il a gagné de nombreux prix de littérature adolescente dans son pays . Cette Bd est adaptée de son roman en vers Long way down , traduite par Insa Sané un slammeur. On y suit la vie dans les quartiers , l'ultra violence régnant dans une routine effroyable où chaque coup de feu retentissant n'est plus une surprise mais un mauvais moment à passer , étendu sur le sol , priant pour que les balles volent loin de votre situation . Un jour , le frère de Will est abattu . 3 règles sont la panacée : Ne pas pleurer , ne pas balancer (aux forces de l'ordre) , se venger . Ces 3 commandements , Will les connait que trop bien , et il va tenter de les respecter à la lettre . Dans un désir épris de vengeance ,et en route pour tuer le supposé assassin , il va se retrouver dans un ascenseur descendant les étages avec chaque palier correspondant à un chapitre ! Une descente aux enfers jalonnée de fantômes venant lui parler , le raisonner , l'aider à prendre une décision . Mais est-ce réellement vers les limbes qu'il se dirige ? La dessinatrice , Danica Novgorodoff dépeint ce drame en aquarelle avec des couleurs sombres directes . Elle alterne des double-pages , des phases de discussions plus traditionnelles avec bulles et découpage classique , mais aussi des pages oniriques centrées sur les pensées de Will . Le récit n'est pas gai avec des ombrages puissants et fréquents . Elle donne aussi beaucoup d'intensité aux regards des protagonistes lors de joutes verbales saisissantes . Ces 208 pages se lisent rapidement , car on désire connaître la décision finale de Will . Un roman graphique intelligent et bien écrit . Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/long-way-down/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Kevin Nivek

    Long way down

    Jason Reynolds est un artiste américain complet , romancier et poète , il a gagné de nombreux prix de littérature adolescente dans son pays . Cette Bd est adaptée de son roman en vers Long way down , traduite par Insa Sané un slammeur. On y suit la vie dans les quartiers , l'ultra violence régnant dans une routine effroyable où chaque coup de feu retentissant n'est plus une surprise mais un mauvais moment à passer , étendu sur le sol , priant pour que les balles volent loin de votre situation . Un jour , le frère de Will est abattu . 3 règles sont la panacée : Ne pas pleurer , ne pas balancer (aux forces de l'ordre) , se venger . Ces 3 commandements , Will les connait que trop bien , et il va tenter de les respecter à la lettre . Dans un désir épris de vengeance ,et en route pour tuer le supposé assassin , il va se retrouver dans un ascenseur descendant les étages avec chaque palier correspondant à un chapitre ! Une descente aux enfers jalonnée de fantômes venant lui parler , le raisonner , l'aider à prendre une décision . Mais est-ce réellement vers les limbes qu'il se dirige ? La dessinatrice , Danica Novgorodoff dépeint ce drame en aquarelle avec des couleurs sombres directes . Elle alterne des double-pages , des phases de discussions plus traditionnelles avec bulles et découpage classique , mais aussi des pages oniriques centrées sur les pensées de Will . Le récit n'est pas gai avec des ombrages puissants et fréquents . Elle donne aussi beaucoup d'intensité aux regards des protagonistes lors de joutes verbales saisissantes . Ces 208 pages se lisent rapidement , car on désire connaître la décision finale de Will . Un roman graphique intelligent et bien écrit .
  15. Le même avis que toi , une adaptation on ne peut plus fidèle et bien faite . On verra la suite !
  16. Titre de l'album : Carnet de prison Scenariste de l'album : Galien Dessinateur de l'album : Galien Coloriste : Galien Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : Chronique de deux années et demie d'intervention en maison d'arrêt On m'avait prévenu, "soit tu ne tiens pas plus de deux heures, soit tu es fasciné". Entré en prison pour donner des cours de dessin à des détenus, j'y suis resté deux ans ! "Mais qu'est-ce que tu fous ici ?" me demandent d'abord mes élèves. Établir ma place puis la préserver va me demander une énergie considérable et une vigilance de chaque instant jusqu'au moment où, enfin, la confiance s'installe. Et là, les langues se délient... parfois même jusqu'à parler d'évasion ! Je m'étais préparé à découvrir un univers brutal et désolé, j'étais loin du compte. Cette expérience et ces rencontres sont au coeur de mon Carnet de prison. Critique : La lecture de ce Carnet de voya euh , pardon, Carnet de prison (pardonnez ce lapsus induit par l'auteur ) peut laisser dubitative . Le milieu carcéral fascine toujours , à travers les nombreux films d'évasion notamment ou autres documentaires en immersion . Auteur engagé (il travaille entre autres pour Fakir , un journal d'extrême gauche) , Galien tente cette plongée avec un certain recul , mais finit par se laisser dominer par ses idéaux . C'est du moins mon avis . Illustrer les gardiens de prison avec des uniformes de couleur rouge (avec tout ce que cette couleur comporte comme message) ne me semble pas judicieux . Mais cela ne s'arrête pas là , tout au long des 160 pages , on ressent une profonde empathie pour les détenus , empathie véhiculée par Galien lui-même , les posant vraiment en victime de cette machine infernale qu'est la prison . Il dépeint le milieu selon ses propres sensations , et il le fait très bien à travers une description olfactive et auditive des lieux assez précise . Les lourdeurs administratives et l'insalubrité des locaux sont mises en exergue , à travers les difficultés qu'il éprouve à mettre en place son projet d'atelier pictural et ce qu'il découvre une fois sur place (vétusté des lieux, accès à un point d'eau ) . Son dessin en couleurs directes est précis et il alterne phases explicatives avec BD plus traditionnelle : cases et bulles . Tout au long de ses ateliers qui vont durer un peu plus d'un an , il propose diverses rencontres avec des prisonniers et les échanges qu'il aura avec eux sur la vie en prison mais aussi leur perception du monde au moyen entre autres du dessin . On y découvre tout le trafic existant en prison et tous les moyens permettant de rendre la vie "acceptable" , et c'est un grand mot ! il est conseillé par Marion une animatrice intervenant en ce milieu qui le met en garde sur plusieurs principes à respecter avec un en particulier : celui de ne pas connaître la raison de leur incarcération . Cela semble tellement évident une fois lu mais c'est important car , comment donner des cours de dessin à un pédophile ou un violeur , sans aucune pensée négative , et avec autant d'envie qu'à un enfant désirant savoir dessiner ??? C'est bien là toute la difficulté de sa tâche et il va s'en acquitter , à part une fois , je vous laisse le découvrir dans ces pages 😉 . Sur le fond , c'est une description intéressante , très bien dessinée mais souffrant à mon goût d'une critique du milieu un peu facile . L'emprisonnement existe depuis l'antiquité , et aucune alternative viable n'a été découverte ou entreprise par l'Homme . Ce jugement sur son utilité (ou pas) et son existence sans aucune proposition derrière , me laisse assez perspicace . Je ne demande pas à Galien de changer en profondeur la société et créer un nouveau monde selon ses envies et influences ,mais juste d'avoir une vision moins manichéenne . Illustrer des gardiens de prison (voire des forces de l'ordre) désagréables et violents ne me semble pas vraiment judicieux . J'imagine aussi que sur le nombre important de prisonniers rencontrés lors de sa mission , il n'en a gardé que certains (selon ses envies ) pour son Carnet de prison , décidément trop engagé pour moi 😉 . Une voie moins politique aurait été plus ambitieuse , mais aussi peut-être plus difficile ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/carnet-de-prison/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Kevin Nivek

    Carnet de prison

    La lecture de ce Carnet de voya euh , pardon, Carnet de prison (pardonnez ce lapsus induit par l'auteur ) peut laisser dubitative . Le milieu carcéral fascine toujours , à travers les nombreux films d'évasion notamment ou autres documentaires en immersion . Auteur engagé (il travaille entre autres pour Fakir , un journal d'extrême gauche) , Galien tente cette plongée avec un certain recul , mais finit par se laisser dominer par ses idéaux . C'est du moins mon avis . Illustrer les gardiens de prison avec des uniformes de couleur rouge (avec tout ce que cette couleur comporte comme message) ne me semble pas judicieux . Mais cela ne s'arrête pas là , tout au long des 160 pages , on ressent une profonde empathie pour les détenus , empathie véhiculée par Galien lui-même , les posant vraiment en victime de cette machine infernale qu'est la prison . Il dépeint le milieu selon ses propres sensations , et il le fait très bien à travers une description olfactive et auditive des lieux assez précise . Les lourdeurs administratives et l'insalubrité des locaux sont mises en exergue , à travers les difficultés qu'il éprouve à mettre en place son projet d'atelier pictural et ce qu'il découvre une fois sur place (vétusté des lieux, accès à un point d'eau ) . Son dessin en couleurs directes est précis et il alterne phases explicatives avec BD plus traditionnelle : cases et bulles . Tout au long de ses ateliers qui vont durer un peu plus d'un an , il propose diverses rencontres avec des prisonniers et les échanges qu'il aura avec eux sur la vie en prison mais aussi leur perception du monde au moyen entre autres du dessin . On y découvre tout le trafic existant en prison et tous les moyens permettant de rendre la vie "acceptable" , et c'est un grand mot ! il est conseillé par Marion une animatrice intervenant en ce milieu qui le met en garde sur plusieurs principes à respecter avec un en particulier : celui de ne pas connaître la raison de leur incarcération . Cela semble tellement évident une fois lu mais c'est important car , comment donner des cours de dessin à un pédophile ou un violeur , sans aucune pensée négative , et avec autant d'envie qu'à un enfant désirant savoir dessiner ??? C'est bien là toute la difficulté de sa tâche et il va s'en acquitter , à part une fois , je vous laisse le découvrir dans ces pages 😉 . Sur le fond , c'est une description intéressante , très bien dessinée mais souffrant à mon goût d'une critique du milieu un peu facile . L'emprisonnement existe depuis l'antiquité , et aucune alternative viable n'a été découverte ou entreprise par l'Homme . Ce jugement sur son utilité (ou pas) et son existence sans aucune proposition derrière , me laisse assez perspicace . Je ne demande pas à Galien de changer en profondeur la société et créer un nouveau monde selon ses envies et influences ,mais juste d'avoir une vision moins manichéenne . Illustrer des gardiens de prison (voire des forces de l'ordre) désagréables et violents ne me semble pas vraiment judicieux . J'imagine aussi que sur le nombre important de prisonniers rencontrés lors de sa mission , il n'en a gardé que certains (selon ses envies ) pour son Carnet de prison , décidément trop engagé pour moi 😉 . Une voie moins politique aurait été plus ambitieuse , mais aussi peut-être plus difficile !
  18. Kevin Nivek

    Nina Simone

    Titre de l'album : Nina Simone Scenariste de l'album : Sophie Adriansen Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Petit à petit Note : Résumé de l'album : C'est l'histoire d'une émancipation, celle d'une jeune femme noire et pauvre vivant dans une Amérique marquée par la ségrégation raciste. C'est l'histoire d'une longue bataille, celle d'une artiste engagée dans le mouvement de défense des droits civiques. C'est l'histoire d'une longue carrière, celle d'une pianiste et chanteuse aussi talentueuse que studieuse. C'est l'histoire de Nina Simone, artiste unique qui restera un modèle et une source d'inspiration pour les générations à venir. Critique : La collection "DocuBD" des éditions petitàpetit s'enrichit d'une nouvelle venue : Nina Simone . Ce biopic aurait très bien pu sortir le 8 mars avec cette vague de titres portant sur les femmes connues et/ou ayant eu un grand parcours . En effet , j'y ai découvert une artiste engagée , en plus d'une virtuose du piano , alors que je ne connaissais d'elle que sa reprise de Jacques Brel : "Ne me quitte pas" . Entourée d'un collectif de dessinateurs impressionnant (18) , Sophie Andriansen délivre une biographie coupée en chapitres (18) sur des moments importants de sa vie et de sa carrière . Ainsi dans une chronologie respectée , on la découvre très jeune déjà talentueuse au piano , au point d'être aidée par des familles "blanches" dans cette voie , car ses parents éprouvent des difficultés financières . Puis c'est le long chemin tortueux vers le succès car être "noire" de peau ne facilite pas les choses dans cette Amérique encore ségrégationniste . Elle va croiser le pasteur King entre autres et son assassinat va l'amener vers une prise de conscience et surtout l'engager sur une voie politique . Ses chansons commencent à porter des messages sur la communauté afro-américaine . Dans cette carrière en dent de scie (vous le découvrirez en lisant ce livre) , on découvre aussi sa vie intime avec ses différents compagnons , voire maris qui jalonnent son existence , avec diverses fortunes ; ainsi que la naissance de ses enfants . On apprend aussi la raison de ce nom de scène : Nina Simone . La France qui n'a jamais été loin d'elle en est une des causes , elle finira même sa vie dans le sud du pays . Chaque dessinateur donne un échantillon de son talent au cours des 18 "momentums" avec diverses fortunes , mais dans un ensemble très cohérent : un trait clair , réaliste voire semi-réaliste dans certains cas , mais toujours en adéquation avec la courte histoire de vie contée . Ces chapitres sont entrecoupés d'images d'archives et d'explications plus détaillées . Une recette ayant fait ses preuves dans les autres sorties "DocuBD" et qui enrichissent le récit . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nina-simone-244237/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Kevin Nivek

    Nina Simone

    La collection "DocuBD" des éditions petitàpetit s'enrichit d'une nouvelle venue : Nina Simone . Ce biopic aurait très bien pu sortir le 8 mars avec cette vague de titres portant sur les femmes connues et/ou ayant eu un grand parcours . En effet , j'y ai découvert une artiste engagée , en plus d'une virtuose du piano , alors que je ne connaissais d'elle que sa reprise de Jacques Brel : "Ne me quitte pas" . Entourée d'un collectif de dessinateurs impressionnant (18) , Sophie Andriansen délivre une biographie coupée en chapitres (18) sur des moments importants de sa vie et de sa carrière . Ainsi dans une chronologie respectée , on la découvre très jeune déjà talentueuse au piano , au point d'être aidée par des familles "blanches" dans cette voie , car ses parents éprouvent des difficultés financières . Puis c'est le long chemin tortueux vers le succès car être "noire" de peau ne facilite pas les choses dans cette Amérique encore ségrégationniste . Elle va croiser le pasteur King entre autres et son assassinat va l'amener vers une prise de conscience et surtout l'engager sur une voie politique . Ses chansons commencent à porter des messages sur la communauté afro-américaine . Dans cette carrière en dent de scie (vous le découvrirez en lisant ce livre) , on découvre aussi sa vie intime avec ses différents compagnons , voire maris qui jalonnent son existence , avec diverses fortunes ; ainsi que la naissance de ses enfants . On apprend aussi la raison de ce nom de scène : Nina Simone . La France qui n'a jamais été loin d'elle en est une des causes , elle finira même sa vie dans le sud du pays . Chaque dessinateur donne un échantillon de son talent au cours des 18 "momentums" avec diverses fortunes , mais dans un ensemble très cohérent : un trait clair , réaliste voire semi-réaliste dans certains cas , mais toujours en adéquation avec la courte histoire de vie contée . Ces chapitres sont entrecoupés d'images d'archives et d'explications plus détaillées . Une recette ayant fait ses preuves dans les autres sorties "DocuBD" et qui enrichissent le récit .
  20. Kevin Nivek

    Forgotten blade

    L'éditeur indépendant américain TKO Studios continue d'être importé de façon plus ou moins régulière sous nos latitudes. Après que plusieurs titres de cette structure, fondée par Tze Chun il y a maintenant quelques années, nous soient parvenus notamment du côté de Panini Comics, c'est au tour d'Ankama de nous proposer en ce début d'année l'une de leur parutions, dans un grand format cartonné qui devrait faire plaisir aux amateurs du dessin de Toni Fezjula. C'est en effet l'album Forgotten Blade, écrit par Chun lui-même, que l'on vous propose de découvrir avec cette preview d'une vingtaine de pages.
  21. Kevin Nivek

    Forgotten blade

    Je sais pas je t’avoue .
  22. Mmhh , t'as raison ,je me suis un peu emballé je pense avec la note 🙂 J'ai plus aimé que toi , mais ça ne vaut pas cette note , je rectifie .Mais bon ,t'as peut-être l'esprit encore embrumé par la maladie hein 😉
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