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Kevin Nivek

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Tout ce qui a été posté par Kevin Nivek

  1. Kevin Nivek

    Parlottes BD

    rooh , l'auteur (entre autres) de descender ascender !!! Fonce si tu peux 🙂 Mast est un français travaillant pour Marvel visiblement
  2. Kevin Nivek

    Parlottes BD

    Je dois en avoir 3 de retard , pas encore lus 😞 J'ai lu jusqu'au tome où elle est en sirène sur la couv !
  3. Kevin Nivek

    Indians !

    J'aurais mis 4 aussi je pense , ça manque un peu de liant et je me suis vraiment perdu dans les tribus , nombreuses , très nombreuses ! Mais le dessin mérite un 5 grave 🙂
  4. Je viens de finir les deux à la suite et , honte sur moi , je viens de découvrir qu'il y avait deux Michel-Ange ! Le caravage n'est pas celui du plafond de la chapelle Sixtine ! En tout cas c'est un très beau diptyque , mais il y a certains raccourcis, parfois, des dessinateurs aussi grands soient-ils , ont besoin d'un scénariste ! On le ressent dans l'enchainement des événements . Un Jodo n'aurait pas été de trop , mais ça reste deux très beaux livres avec des dessins incroyables , il se fait trop rare Manara ces temps-ci d'ailleurs !
  5. Kevin Nivek

    Indians !

    L'édition en Nb est juste sublime , je me suis régalé à lire et apprécier la qualité des planches . Un peu perdu parfois avec tous les noms de tribus indiennes , j'avoue 🙂
  6. Oui elle est sympa cette fin , on avait bien aimé aussi , Incassable était tellement énorme de toute façon !
  7. Aaaaah , c'est donc toi , sur Vinted 😉 Je les avais mis de côté aussi , je risque de prendre les deux intégrales sur LBC 🙂
  8. Kevin Nivek

    Les vacances de Donald

    Une véritable madeleine de Proust cet album . Il me rappelle les soirées "La dernière séance" , présentées par Eddy Mitchel avec un dessin animé en préambule du film . Les Tex Avery entre autres , et donc , Donald, dans ces courts métrages muets , mais assez explicites et vivants pour véhiculer le flot d'émotions . Le canard , en chef de file des moutons noirs à qui il arrive les pires péripéties . Les bruitages accompagnant une enclume lui tombant sur la tête , suivie d'une bosse soulevant sa casquette . Vous visualisez ces moments ? Ils sont pléthores dans cette excellente édition Glénat , qui fait de l'infidélité passagère à Mickey . On y suit ses mésaventures lorsqu'il quitte la ville pour la campagne . Le dessin parfait de Bertolucci dépeint avec une infinie précision les scènes de vie quotidiennes ,avec l'exemple du ramassage des ordures occasionnant des nuisances sonores matinales ou encore le chien aboyant après un chat dans la rue . Les tourbillons naissant dans les yeux de Donald le poussent à foncer au prétendu calme de la montagne et ses prairies , mais surtout , ses habitants ! On va ainsi découvrir une cohabitation assez explosive . Les gags s'enchainent grâce à un découpage intuitif et on se marre , même à plus de 40 ans 🙂 . Un mot sur les couleurs donnant vie aux cours d'eau , ou à la végétation pleine de vie , c'est pétillant ! Un sans faute de plus pour Glénat et sa collaboration avec Disney . Un album pour les jeunes , les très jeunes ( aucune bulle à lire) , mais aussi les adultes , tellement c'est bien réalisé .
  9. Titre de l'album : Les vacances de Donald Scenariste de l'album : Brrémaud Dessinateur de l'album : Federico Bertolucci Coloriste : Federico Bertolucci Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Folie légère.Donald n'en peut plus de la ville. Entre les sirènes à toutes heures, les travaux et les éboueurs, le tintamarre général a fini de lui taper sur les nerfs. Donald doit absolument s'éloigner de cet incessant remue-ménage s'il veut se reposer. Un peu d'air frais, le parfum des fleurs, le calme d'une région dépeuplée, voilà les seuls ingrédients dont il a besoin pour se requinquer. À peine cette pensée s'est-elle manifestée que voilà déjà Donald en train de rouler à pleine balle en direction de la campagne. Là-bas, il aura la paix ! Mais le sort ne sera pas si clément avec ce gaffeur de canard car pendant ses vacances, Donald fera tout sauf se reposer...Belle et désopilante, cette nouvelle création Disney est une formidable lettre d'amour adressée à Donald. Son malheur fait notre bonheur et, dans cet opus muet, Donald n'arrête pas de râler. Critique : Une véritable madeleine de Proust cet album . Il me rappelle les soirées "La dernière séance" , présentées par Eddy Mitchel avec un dessin animé en préambule du film . Les Tex Avery entre autres , et donc , Donald, dans ces courts métrages muets , mais assez explicites et vivants pour véhiculer le flot d'émotions . Le canard , en chef de file des moutons noirs à qui il arrive les pires péripéties . Les bruitages accompagnant une enclume lui tombant sur la tête , suivie d'une bosse soulevant sa casquette . Vous visualisez ces moments ? Ils sont pléthores dans cette excellente édition Glénat , qui fait de l'infidélité passagère à Mickey . On y suit ses mésaventures lorsqu'il quitte la ville pour la campagne . Le dessin parfait de Bertolucci dépeint avec une infinie précision les scènes de vie quotidiennes ,avec l'exemple du ramassage des ordures occasionnant des nuisances sonores matinales ou encore le chien aboyant après un chat dans la rue . Les tourbillons naissant dans les yeux de Donald le poussent à foncer au prétendu calme de la montagne et ses prairies , mais surtout , ses habitants ! On va ainsi découvrir une cohabitation assez explosive . Les gags s'enchainent grâce à un découpage intuitif et on se marre , même à plus de 40 ans 🙂 . Un mot sur les couleurs donnant vie aux cours d'eau , ou à la végétation pleine de vie , c'est pétillant ! Un sans faute de plus pour Glénat et sa collaboration avec Disney . Un album pour les jeunes , les très jeunes ( aucune bulle à lire) , mais aussi les adultes , tellement c'est bien réalisé . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-vacances-de-donald/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Dis donc , je viens de découvrir que Le patient , la BD de Le Boucher avait été adaptée au cinoche , ou en direct to dvd ! https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=298512.html Je vais tâcher de regarder ça 🙂
  11. Je viens de finir le Indians en version collector NB , magnifique collection de dessinateurs , mais un a particulièrement attiré mon attention : Michel Blanc-Dumont ! J'ai découvert qu'il avait signé une saga d'aventure : Cartland , du monde connait ici ? Il a un trait d'une finesse !!!
  12. Kevin Nivek

    Parlottes BD

    https://www.bdfugue.com/carmen-mc-callum-tome-19-made-in-japan https://www.bdfugue.com/travis-tome-16-operation-gorgone le Travis date d'avril
  13. Je parlais de genre d'intégrales reliées , il me semble en avoir vu .
  14. Ils ont pas réédité ces Picsou de l’époque en couverture rigide ? Genre Atlas ou Hachette ?
  15. Il est des lectures capables de vous transporter littéralement au sein même du récit . 1629 en fait assurément partie . Ne lisez pas ce résumé ou pitch et plongez directement ! La préface de Dorison expliquant ses motivations à utiliser cette histoire , est déjà une plongée vers ces eaux troubles , les eaux noires de l'âme humaine . Ce point de non retour que tout le monde peut franchir à un moment dans sa vie . Je suis entièrement d'accord avec lui à ce sujet , d'ailleurs une très grande partie des horreurs commises par l'humanité ont été réalisées par des personnalités communes in fine . 1629 , où comment l'Homme enjambe la ligne rouge ! Cette préface situant le contexte , nous embarquons à bord du Jakarta et ses 340 âmes , "dans le port d'Amsterdam" . La crasse et la misère côtoient les profits et rentabilités rois et reines de la grande société commerciale hollandaise . Un long voyage sans retour pour un grand nombre des membres d'équipage ,recrutés dans la rue , en prison , peu importe , du moment que ce n'est pas cher et sacrifiable . La puanteur régnant à bord nous est décrite avec précision . Les auteurs ne nous épargnent rien , le trait fin de Montaigne dépeint la vie maritime dans ses moindres recoins . Son découpage est nerveux , il épargne certaines scènes insupportables de punitions mais parvient à cristalliser notre attention avec des cases de transition centrées sur un seul et même personnage éprouvant , subissant cette capacité qu'à l'Homme à s'autodétruire . On tourne les pages avec frénésie et c'est presque un soulagement de les voir arriver à la première escale en Sierra Leone et d'admirer les couleurs turquoises des eaux africaines . Une étincelle dans les ténèbres , qui ne va pas durer . Très vite , rentabilité oblige , on embarque vers le Pacifique et ses courants mortels . A bord , la tension est à son comble , point de retour en arrière . Tout va s'enchaîner dans un maelström de violence et de trahisons en tout genre .C'est avec le souffle coupé que l'on referme l'ouvrage , se demandant jusqu'où, les auteurs , peuvent-ils aller dans le second tome ! Un énorme coup de coeur électrique , stupéfiant , vous remuant les tripes ! Un mot sur l'édition en grand format de Glénat , juste sublime , avec des reflets mordorés , un très bel objet pour une histoire vraie incroyable .
  16. Titre de l'album : 1629 , ou l'effrayante histoire des naufragés du Jakarta . Tome 1 L'apothicaire du diable Scenariste de l'album : Xavier Dorison Dessinateur de l'album : Thimothée Montaigne Coloriste : Thimothée Montaigne Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Inspiré de faits réels, le thriller maritime le plus impitoyable de l’Histoire… 1629, la Compagnie hollandaise des Indes orientales, la plus riche société que l’Histoire ait jamais connue, affrète le Jakarta, fleuron de son immense flotte. Destination : l’Indonésie. Cargaison : assez d’or et de diamants pour corrompre l’empereur de Sumatra. À son bord, plus de 300 personnes issues de la misère ou de la fine fleur des bas-fonds d’Amsterdam. Point commun, aucun d’eux n’aurait jamais mis les pieds à bord de cet enfer flottant s’il n’était désespéré. Attisée par l’or et la violence des officiers, la tentation d’une mutinerie grandit, faisant du Jakarta un véritable baril de poudre. Un homme est prêt à allumer la mèche pour nourrir sa cupidité autant que ses rêves de grandeur : Jéronimus Cornélius. Apothicaire ruiné, recherché par l’Inquisition, il est le numéro deux à bord. Cultivé, intelligent, charismatique, rien ni personne ne semble en mesure d’empêcher son funeste projet de massacre et de prise du pouvoir sur le navire. Personne sauf… une invitée inattendue dans ce voyage effroyable, Lucrétia Hans. Femme de la haute Société, sommée par son mari de le rejoindre en Indonésie, elle doit à sa beauté autant qu’à sa désinvolture de se retrouver aussi proche du commandant du navire que de Jéronimus qui voit en elle un objet de désir et de fascination. Innocente, perdue au milieu de cet enfer sur mer, Lucrétia Hans découvre qu’elle est le dernier rempart contre celui qui est probablement un des pires psychopathes de l’Histoire. Bon voyage… Critique : Il est des lectures capables de vous transporter littéralement au sein même du récit . 1629 en fait assurément partie . Ne lisez pas ce résumé ou pitch et plongez directement ! La préface de Dorison expliquant ses motivations à utiliser cette histoire , est déjà une plongée vers ces eaux troubles , les eaux noires de l'âme humaine . Ce point de non retour que tout le monde peut franchir à un moment dans sa vie . Je suis entièrement d'accord avec lui à ce sujet , d'ailleurs une très grande partie des horreurs commises par l'humanité ont été réalisées par des personnalités communes in fine . 1629 , où comment l'Homme enjambe la ligne rouge ! Cette préface situant le contexte , nous embarquons à bord du Jakarta et ses 340 âmes , "dans le port d'Amsterdam" . La crasse et la misère côtoient les profits et rentabilités rois et reines de la grande société commerciale hollandaise . Un long voyage sans retour pour un grand nombre des membres d'équipage ,recrutés dans la rue , en prison , peu importe , du moment que ce n'est pas cher et sacrifiable . La puanteur régnant à bord nous est décrite avec précision . Les auteurs ne nous épargnent rien , le trait fin de Montaigne dépeint la vie maritime dans ses moindres recoins . Son découpage est nerveux , il épargne certaines scènes insupportables de punitions mais parvient à cristalliser notre attention avec des cases de transition centrées sur un seul et même personnage éprouvant , subissant cette capacité qu'à l'Homme à s'autodétruire . On tourne les pages avec frénésie et c'est presque un soulagement de les voir arriver à la première escale en Sierra Leone et d'admirer les couleurs turquoises des eaux africaines . Une étincelle dans les ténèbres , qui ne va pas durer . Très vite , rentabilité oblige , on embarque vers le Pacifique et ses courants mortels . A bord , la tension est à son comble , point de retour en arrière . Tout va s'enchaîner dans un maelström de violence et de trahisons en tout genre .C'est avec le souffle coupé que l'on referme l'ouvrage , se demandant jusqu'où, les auteurs , peuvent-ils aller dans le second tome ! Un énorme coup de coeur électrique , stupéfiant , vous remuant les tripes ! Un mot sur l'édition en grand format de Glénat , juste sublime , avec des reflets mordorés , un très bel objet pour une histoire vraie incroyable . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/1629-les-naufrages-du-jakarta-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Entièrement d'accord , et Glénat le fait à merveille avec ces Mickey !
  18. Techniquement ce sera un nouveau Picsou 😉, jeune , rien à voir avec celui que tu as connu .
  19. Et je vais recevoir le Donald en muet aussi de chez Glénat qui je pense sera excellent aussi . Je vais attaquer Minnie mouse par Cosey , mais , t'aimes pas trop Cosey je crois toi ?
  20. Kevin Nivek

    Picsou , le dragon de Glasgow

    Pour les 75 ans de l'oncle Picsou , Glénat et sa collection sur Mickey a eu la riche idée de sortir une aventure sur le plus grand milliardaire pingre connu ! Mes souvenirs de lecture des "pavés" à couverture souple des trésors du grand Don Rosa remontent à la surface avec une certaine nostalgie ; car les auteurs ont vraiment voulu lui rendre un hommage avec ce dessin rond et "Rosa" typique de cet âge d'or . D'emblée on est plongé dans cette ambiance , avec un changement de taille : ici , l'oncle Picsou est tout jeune et même , pauvre !! Et oui , il n' a pas toujours été richissime le vieux canard 🙂 ! Nous le découvrons en culotte courte dans les rues de Glasgow à la recherche d'une vie meilleure . Bien aidé par sa soeur et des amis , il va faire la connaissance de Erin , membre d'une troupe de théâtre ; ensemble ils perceront le mystère du fameux dragon de la mine . L'ensemble est très soigné , les dialogues sont réussis , mais je dois reconnaître qu'il a manqué le souffle épique de l'aventure . Ce petit rien qui faisait la réussite des anciennes histoires de la bande à Picsou avec , bien souvent un trésor à la clé . Le butin qu'il dénichera ici ne sera pas du même acabit mais sonnera comme , un début à tout 😉 . Sans en dévoiler d'avantage , je vous laisse découvrir cette aventure pas commune au fort goût de nostalgie , et prêtez bien attention à la dernière case et son fort pouvoir émotif . Un dessin fidèle aux rondeurs de Rosa , tout en douceur , un brin d'humour , de nostalgie et d'émotion ; si comme moi vous avez lu et et aimé les aventures de Picsou , ce dragon de Glasgow est tout à fait approprié . Glénat réalise vraiment un excellent travail sur ces personnages de Disney , tous les albums sont de qualité !
  21. Titre de l'album : Picsou , le dragon de Glasgow Scenariste de l'album : Joris Chamblain Dessinateur de l'album : Fabrizio Petrossi Coloriste : Bruno Tatti Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Plongez dans l'enfance de Balthazar Piscou!Avant de devenir l'acariâtre oncle Balthazar aux poches bien remplies, Picsou a connu le grand amour et une enfance modeste dans les quartiers de Glasgow. Élevé à proximité des mines, il aime s'y faufiler et explorer les tunnels souterrains avec sa bande de copains. Mais le petit canard aime aussi la magie du théâtre, un loisir réservé aux familles aisées. Lorsque le hasard met sur son chemin la belle Erin, nièce de la directrice de l'établissement, Picsou va s'ouvrir à cet univers passionnant. Ensemble, ils s'amusent en sillonnant la ville jusqu'au jour où la mine commence à décliner. Si elle ferme, c'est la faillite assurée pour Glasgow et ses habitants. Que faire? Picsou a bien une idée, mais ça demande une sacrée dose d'imagination. En usant d'un subterfuge théâtral bien huilé, il va se lancer dans une entreprise périlleuse qui pourrait sauver la mine et faire naître un dragon insolite dans ses entrailles! La collection s'agrandit avec les aventures inédites d'un Picsou encore jeune qui finira par partir en Amérique pour y faire fortune. Un album touchant, avec les traits ronds et modernes de Petrossi sur un scénario original de Joris Chamblain. Critique : Pour les 75 ans de l'oncle Picsou , Glénat et sa collection sur Mickey a eu la riche idée de sortir une aventure sur le plus grand milliardaire pingre connu ! Mes souvenirs de lecture des "pavés" à couverture souple des trésors du grand Don Rosa remontent à la surface avec une certaine nostalgie ; car les auteurs ont vraiment voulu lui rendre un hommage avec ce dessin rond et "Rosa" typique de cet âge d'or . D'emblée on est plongé dans cette ambiance , avec un changement de taille : ici , l'oncle Picsou est tout jeune et même , pauvre !! Et oui , il n' a pas toujours été richissime le vieux canard 🙂 ! Nous le découvrons en culotte courte dans les rues de Glasgow à la recherche d'une vie meilleure . Bien aidé par sa soeur et des amis , il va faire la connaissance de Erin , membre d'une troupe de théâtre ; ensemble ils perceront le mystère du fameux dragon de la mine . L'ensemble est très soigné , les dialogues sont réussis , mais je dois reconnaître qu'il a manqué le souffle épique de l'aventure . Ce petit rien qui faisait la réussite des anciennes histoires de la bande à Picsou avec , bien souvent un trésor à la clé . Le butin qu'il dénichera ici ne sera pas du même acabit mais sonnera comme , un début à tout 😉 . Sans en dévoiler d'avantage , je vous laisse découvrir cette aventure pas commune au fort goût de nostalgie , et prêtez bien attention à la dernière case et son fort pouvoir émotif . Un dessin fidèle aux rondeurs de Rosa , tout en douceur , un brin d'humour , de nostalgie et d'émotion ; si comme moi vous avez lu et et aimé les aventures de Picsou , ce dragon de Glasgow est tout à fait approprié . Glénat réalise vraiment un excellent travail sur ces personnages de Disney , tous les albums sont de qualité ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/picsou-le-dragon-de-glasgow/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Le dernier tu veux dire 😉
  23. Je suis parti sans certitudes et avec mes maigres connaissances nippones dans cette lecture . Et je dois bien avouer que j'ai été conquis très rapidement . Le fait que l'auteure soit suédoise et non japonaise donne encore plus d'ampleur à ce que l'on peut appeler un choc de cultures . A travers ces chapitres bien segmentés et traitant de coutumes sociétales , elle parvient à nous immerger totalement . Sans être rébarbatifs , les échanges mis en place entre l'auteure et une ou un spécialiste japonais de la question sont parfaitement illustrés avec des schémas et explications bien détaillés . On sent rapidement à quel point Asa Ekstrom est touchée par cette culture et le soin qu'elle met à s'adapter et respecter les (très) nombreuses règles d'un certain art de vivre à la japonaise . On découvre une vie sociétale très hiérarchisée , emprunte d'un profond respect envers l'autre , et d'un lien indéfectible avec la nature environnante . Il semble compliqué de respecter tous ces codes pour un européen , car il y en a énormément et ils différent grandement des nôtres . Il est difficile de juger la partie graphique tant elle est "simpliste" et ponctuée de croquis et annotations , servant le récit . L'auteure use abondamment des expressions disproportionnées des visages , mais cela reste dans une volonté de s'adapter et respecter les codes du manga japonais . Au final , c'est une aide précieuse pour quiconque envisage un voyage au pays du soleil levant , et de façon tout à fait ludique .
  24. Titre de l'album : A la découverte du Japon ! Asa , une suédoise au pays du soleil levant Scenariste de l'album : Asa Ekstrom Dessinateur de l'album : Asa Ekstrom Coloriste : Editeur de l'album : IMHO Note : Résumé de l'album : Asa est un artiste manga suédois qui est venu de Scandinavie en Suède, impressionné par les anime et les mangas japonais. Elle vit au Japon depuis neuf ans maintenant, mais il y a encore beaucoup de coutumes qu'elle trouve étranges. Dans ce livre, vous apprendrez à manger au Japon, à parler la langue japonaise, à socialiser et à dépenser de l'argent, grâce à un professeur spécialisé dans chacun de ces sujets. Comment le karaben est-il apparu au Japon ? Quelles sont les origines de "chan", "kun", "san" et "sama" ? Pourquoi les Japonais sont-ils si protecteurs de leur argent ? Ce ne sont là que quelques-unes des questions auxquelles nous répondrons en nous plongeant de plus en plus profondément dans la culture unique du Japon. Critique : Je suis parti sans certitudes et avec mes maigres connaissances nippones dans cette lecture . Et je dois bien avouer que j'ai été conquis très rapidement . Le fait que l'auteure soit suédoise et non japonaise donne encore plus d'ampleur à ce que l'on peut appeler un choc de cultures . A travers ces chapitres bien segmentés et traitant de coutumes sociétales , elle parvient à nous immerger totalement . Sans être rébarbatifs , les échanges mis en place entre l'auteure et une ou un spécialiste japonais de la question sont parfaitement illustrés avec des schémas et explications bien détaillés . On sent rapidement à quel point Asa Ekstrom est touchée par cette culture et le soin qu'elle met à s'adapter et respecter les (très) nombreuses règles d'un certain art de vivre à la japonaise . On découvre une vie sociétale très hiérarchisée , emprunte d'un profond respect envers l'autre , et d'un lien indéfectible avec la nature environnante . Il semble compliqué de respecter tous ces codes pour un européen , car il y en a énormément et ils différent grandement des nôtres . Il est difficile de juger la partie graphique tant elle est "simpliste" et ponctuée de croquis et annotations , servant le récit . L'auteure use abondamment des expressions disproportionnées des visages , mais cela reste dans une volonté de s'adapter et respecter les codes du manga japonais . Au final , c'est une aide précieuse pour quiconque envisage un voyage au pays du soleil levant , et de façon tout à fait ludique . Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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