Aller au contenu
  • S’inscrire

Nickad

Members
  • Compteur de contenus

    4 290
  • Inscription

  • Jours gagnés

    91

Tout ce qui a été posté par Nickad

  1. Titre de l'album : Mes cents contes mortels tome 2 Scenariste de l'album : MATONO Anji Dessinateur de l'album : MATONO Anji Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Convoquant les plus grands maîtres du genre, Anji Matono livre une anthologie d'horreur particulièrement efficace. Sans plus attendre, laissez-vous contaminer par les ambiances uniques qui suintent à travers les pages de ce manga... "Tic tac, tic tac'... C'est le bruit de l'horloge et du temps qui passe. Et plus Yûma lit ses contes mortels, plus il prend le risque de s'exposer à un funeste destin. Mais la tentation est trop grande pour ce garçon aux idées suicidaires... Après tout, mourir, n'est-ce pas ce qu'il recherche dans le fond ? Critique : C’est parti pour la deuxième vague des contes, à nouveau 10 courtes histoires horrifiques racontées par un petit garçon. Les histoires sont inégales, je dirai qu’il y en a 3 intéressantes les autres étant plutôt anecdotiques, le problème surtout c’est qu’il n’y a pas vraiment de conclusion, on reste souvent sur notre faim. Du coup, même s’il y a parfois de bonnes idées, ce format très court n’est pas toujours convaincant. En ce qui concerne le petit garçon, on voit dans ces quelques pages de début et fin de chapitres, un peu de son quotidien et on commence à comprendre que sa volonté d’aller au bout des cent contes pour provoquer une catastrophe est motivée par un contexte social difficile. Pour ceux qui aime sentir monter la tension des histoires d’horreur, cette série n’est pas faite pour vous. Pour les autres, pourquoi pas pour mettre de l’ambiance et passer le temps ; et encore on n’est pas vraiment terrifié bien que certains passages soient en peu dégoutants… Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mes-cents-contes-mortels-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Nickad

    Mes cents contes mortels tome 2

    C’est parti pour la deuxième vague des contes, à nouveau 10 courtes histoires horrifiques racontées par un petit garçon. Les histoires sont inégales, je dirai qu’il y en a 3 intéressantes les autres étant plutôt anecdotiques, le problème surtout c’est qu’il n’y a pas vraiment de conclusion, on reste souvent sur notre faim. Du coup, même s’il y a parfois de bonnes idées, ce format très court n’est pas toujours convaincant. En ce qui concerne le petit garçon, on voit dans ces quelques pages de début et fin de chapitres, un peu de son quotidien et on commence à comprendre que sa volonté d’aller au bout des cent contes pour provoquer une catastrophe est motivée par un contexte social difficile. Pour ceux qui aime sentir monter la tension des histoires d’horreur, cette série n’est pas faite pour vous. Pour les autres, pourquoi pas pour mettre de l’ambiance et passer le temps ; et encore on n’est pas vraiment terrifié bien que certains passages soient en peu dégoutants…
  3. Titre de l'album : La numérologie expliquée en manga Scenariste de l'album : MASUMOTO Dessinateur de l'album : MASUMOTO Coloriste : Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : À l’aide de votre date de naissance, analysez et comprenez, par le biais du manga, vos différents modes de pensées au quotidien pour vous aider à vivre en accord avec vous-même. Votre destin n’appartient qu’à vous ! Critique : Loin de moi la prétention de juger le fond du livre, dans ce genre de sujet chacun à son propre avis, soit on y croit soit on n’y croit pas. Je vais donc répondre à deux interrogations plutôt générales : est-ce que ce livre à sa place au rayon manga ? Et est-ce qu’il est compréhensible ? Est-ce que ce livre à sa place dans ma mangathèque ? Etant donné que le titre est la numérologie en manga, on peut se demander s’il a des caractéristiques propres au manga qui pourrait le catégoriser dans ce répertoire. Ma réponse est non, ce n’est pas parce que l’on utilise le mot manga et que l’on fait des personnages vaguement kawaii (les chiffres sont personnifiés) que c’est un manga. Autant un titre comme Sex education 120% qui se veut être instructif utilise des personnages qui apprennent au travers de petits récits est un manga, autant les courtes planches montrant les caractéristiques de chaque chiffre n’offrent pas vraiment de petites histoires. On est plus dans une illustration du propos d’autant plus qu’il y a quand même beaucoup de texte. On aurait tout aussi bien pu le mettre au rayon BD. Ensuite, est-ce que cet ouvrage permet de découvrir et de comprendre la numérologie, est-ce qu’il est facile d’accès ? Oui, l’explication pour calculer ses chiffres de vie est clair et l’on peut facilement trouver les parties qui se rapportent aux chiffres obtenus. On a dans un premier temps, quelques pages sur les caractéristiques de chaque chiffre, ensuite on a des pages pour chaque cas de croisement. Pour la petite explication, chacun possède deux chiffres le CV (chemin de vie) et le B (birthday). Donc si vous avez 1 et 4 vous avez une page spécifique pour le 1 x 4. De ce côté-là, le livre est bien organisé. En conclusion, je dirai que le livre est assez facile d’utilisation pour s’initier à la numérologie. Pour ce qui est de l’efficacité de ce qui est énoncé et des conseils qui y sont donnés, libre à vous d’essayer. Il est indiqué cependant à la fin du livre que la méthode n’est pas infaillible et qu’il peut ne pas y avoir de résultat… NB : le livre n’étant pas répertorié sur BDFugue ni sur Manga-news, je vous renvoie vers la page Fnac Autres infos : Edition Marabout Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.fnac.com/a19149392/Masumoto-La-numerologie-expliquee-en-manga Voir la totalité de enregistrement
  4. Loin de moi la prétention de juger le fond du livre, dans ce genre de sujet chacun à son propre avis, soit on y croit soit on n’y croit pas. Je vais donc répondre à deux interrogations plutôt générales : est-ce que ce livre à sa place au rayon manga ? Et est-ce qu’il est compréhensible ? Est-ce que ce livre à sa place dans ma mangathèque ? Etant donné que le titre est la numérologie en manga, on peut se demander s’il a des caractéristiques propres au manga qui pourrait le catégoriser dans ce répertoire. Ma réponse est non, ce n’est pas parce que l’on utilise le mot manga et que l’on fait des personnages vaguement kawaii (les chiffres sont personnifiés) que c’est un manga. Autant un titre comme Sex education 120% qui se veut être instructif utilise des personnages qui apprennent au travers de petits récits est un manga, autant les courtes planches montrant les caractéristiques de chaque chiffre n’offrent pas vraiment de petites histoires. On est plus dans une illustration du propos d’autant plus qu’il y a quand même beaucoup de texte. On aurait tout aussi bien pu le mettre au rayon BD. Ensuite, est-ce que cet ouvrage permet de découvrir et de comprendre la numérologie, est-ce qu’il est facile d’accès ? Oui, l’explication pour calculer ses chiffres de vie est clair et l’on peut facilement trouver les parties qui se rapportent aux chiffres obtenus. On a dans un premier temps, quelques pages sur les caractéristiques de chaque chiffre, ensuite on a des pages pour chaque cas de croisement. Pour la petite explication, chacun possède deux chiffres le CV (chemin de vie) et le B (birthday). Donc si vous avez 1 et 4 vous avez une page spécifique pour le 1 x 4. De ce côté-là, le livre est bien organisé. En conclusion, je dirai que le livre est assez facile d’utilisation pour s’initier à la numérologie. Pour ce qui est de l’efficacité de ce qui est énoncé et des conseils qui y sont donnés, libre à vous d’essayer. Il est indiqué cependant à la fin du livre que la méthode n’est pas infaillible et qu’il peut ne pas y avoir de résultat… NB : le livre n’étant pas répertorié sur BDFugue ni sur Manga-news, je vous renvoie vers la page Fnac
  5. Titre de l'album : Country diary tome 1 Scenariste de l'album : Aya Isino Dessinateur de l'album : Aya Isino Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Prenez le temps de ralentir pour savourer au calme Country Diary, un manga rural qui nous invite à profiter des petits riens de la vie et à admirer la beauté de la nature. Kurumizawa a quitté son poste de professeur pour s'installer à la campagne, dans le Nord du Japon. Ne connaissant rien à la vie rurale, il doit pourtant apprendre à s'adapter, en commençant par rénover la vieille maison qu'il vient d'acheter. Heureusement, il peut compter sur l'aide d'Usa, un artisan local qui le prend sous son aile. L'ex-citadin pourrait vite prendre goût aux plaisirs simples de son nouveau quotidien... Critique : Dans une petite ville de campagne, Usa décide d’acheter une vieille bicoque afin de la rénover et d’en faire son atelier. Hélas, il est devancé par un citadin, ancien professeur qui ne connait absolument rien ni personne mais qui a décidé de vivre en harmonie avec la nature et de cultiver ses fruits et légumes. Usa décide de l’aider à rénover sa baraque et à lui faire découvrir la ville. Graphiquement parlant, je trouve le dessin un peu léger et un peu approximatif aussi par moment. Côté scénario, l’historie est gentille, avec ce citadin qui découvre la campagne, on obtient une belle image de la vie rurale entre l’entraide des habitants, la simplicité de la vie et le charme des anciennes maisons un peu traditionnelles. Là où on est un peu frustré, c’est la relation entre les personnages ; c’est sans doute parce que l’on est habitué à voir un peu de sentiments (ou plus) dans les yaois que l’on a une certaine attente dès qu’un nouveau titre parait. Ici, on ne sait absolument rien de leurs sentiments, tout ce que l’on voit c’est une amitié et des moments de partage. En réalité Country diary porte bien son nom, c’est une tranche de vie d’une petite campagne simple, agréable et sans prétention. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/country-diary-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Nickad

    Country diary tome 1

    Dans une petite ville de campagne, Usa décide d’acheter une vieille bicoque afin de la rénover et d’en faire son atelier. Hélas, il est devancé par un citadin, ancien professeur qui ne connait absolument rien ni personne mais qui a décidé de vivre en harmonie avec la nature et de cultiver ses fruits et légumes. Usa décide de l’aider à rénover sa baraque et à lui faire découvrir la ville. Graphiquement parlant, je trouve le dessin un peu léger et un peu approximatif aussi par moment. Côté scénario, l’historie est gentille, avec ce citadin qui découvre la campagne, on obtient une belle image de la vie rurale entre l’entraide des habitants, la simplicité de la vie et le charme des anciennes maisons un peu traditionnelles. Là où on est un peu frustré, c’est la relation entre les personnages ; c’est sans doute parce que l’on est habitué à voir un peu de sentiments (ou plus) dans les yaois que l’on a une certaine attente dès qu’un nouveau titre parait. Ici, on ne sait absolument rien de leurs sentiments, tout ce que l’on voit c’est une amitié et des moments de partage. En réalité Country diary porte bien son nom, c’est une tranche de vie d’une petite campagne simple, agréable et sans prétention.
  7. Nickad

    La romance du marionnettiste

    Gilbert est un commandant de l’armée adversaire, ayant perdu la guerre et ayant été capturé, il est condamné à mort. Mais Chris, un homme influent du pays, le réclame pour une expérience, il souhaite transférer son âme dans l’une de ses marionnettes. Car Chris est un inventeur de génie, il a construit de nombreux automates qui ont défait l’armée adversaire. Côté scénario il n’y a pas beaucoup de développements, quasiment toute l’histoire se déroule entre Gilbert et Chris, il y a bien quelques aléas par ci par là mais rien qui ne prenne vraiment de l’importance à part peut-être quand Gilbert retrouve momentanément ses anciens compagnons. Entre eux la relation est la suivante : Gilbert ne veut pas devenir une marionnette et propose de compenser Chris d’une autre façon, il doit se rendre utile et n’a que son physique pour lui. Chris n’a d’intérêt que pour ses créations mais veut que Gilbert soit consentant pour donner son âme afin que le transfert se passe au mieux. Peu à peu la proximité aidant, ils vont s’attacher l’un à l’autre. Une conclusion des plus classiques… C’est un peu dommage que le scénario ne soit pas plus travaillé car on a des personnages principaux forts et un concept de marionnettes intéressant et surtout un très beau graphisme qu’on aurait aimé admirer un peu plus longtemps.
  8. Titre de l'album : La romance du marionnettiste Scenariste de l'album : Hatoba Kogarashi Dessinateur de l'album : Hatoba Kogarashi Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Juste avant d'être exécuté, Gilbert, chevalier saint et commandant des troupes ayant perdu la guerre, est sauvé par Chris, un marionnettiste du pays ennemi. Chris veut en réalité transférer l'âme de Gilbert dans un automate, ce que ce dernier refuse. Seulement, Chris lui donne un ultimatum : "Choisis. Devenir une de mes poupées, ou mourir ?". Gilbert lui propose alors de devenir son esclave sexuel à la place... Son corps est ainsi stimulé chaque nuit, se laissant envahir petit à petit par le plaisir... Critique : Gilbert est un commandant de l’armée adversaire, ayant perdu la guerre et ayant été capturé, il est condamné à mort. Mais Chris, un homme influent du pays, le réclame pour une expérience, il souhaite transférer son âme dans l’une de ses marionnettes. Car Chris est un inventeur de génie, il a construit de nombreux automates qui ont défait l’armée adversaire. Côté scénario il n’y a pas beaucoup de développements, quasiment toute l’histoire se déroule entre Gilbert et Chris, il y a bien quelques aléas par ci par là mais rien qui ne prenne vraiment de l’importance à part peut-être quand Gilbert retrouve momentanément ses anciens compagnons. Entre eux la relation est la suivante : Gilbert ne veut pas devenir une marionnette et propose de compenser Chris d’une autre façon, il doit se rendre utile et n’a que son physique pour lui. Chris n’a d’intérêt que pour ses créations mais veut que Gilbert soit consentant pour donner son âme afin que le transfert se passe au mieux. Peu à peu la proximité aidant, ils vont s’attacher l’un à l’autre. Une conclusion des plus classiques… C’est un peu dommage que le scénario ne soit pas plus travaillé car on a des personnages principaux forts et un concept de marionnettes intéressant et surtout un très beau graphisme qu’on aurait aimé admirer un peu plus longtemps. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-romance-du-marionnettiste?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Titre de l'album : un assistant de rêve tome 1 Scenariste de l'album : White Eared Dessinateur de l'album : White Eared Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - KBooks Note : Résumé de l'album : Jeong Oh pensait avoir trouvé un job d'assistant à temps partiel. Mais il était loin de s'imaginer qu'il allait travailler avec Yibeom, un shaman séduisant et glacial. Lors de leur première mission, il découvre qu'il est maudit : en échange de son pouvoir, il est pris de pulsions sexuelles démesurées. Heureusement pour lui, Jeong Oh est toujours prêt à lui donner un coup de main... Critique : Voilà un résumé officiel plutôt efficace, il n’y a pas vraiment besoin d’aller plus loin concernant l’intrigue en dehors du fait que le binôme va enchainer les affaires et que le « coup de main » de Jeong Oh ne se passe pas toujours dans la réalité car le travail de Yibeom est de s’introduire dans les cauchemars des clients afin de trouver l’élément perturbateur et de l’éliminer. Yibeom fait donc un métier intéressant, il doit faire en sorte de régler le problème du client sans que celui-ci s’en rende compte et c’est d’ailleurs l’un des aspects novateurs du scénario. Le lecteur assiste donc à différentes histoires dans l’histoire, il y a des traumatismes, des envies… qui nous submergent et qui peuvent parfois être tellement importantes et inconscientes qu’elles provoquent des troubles de la santé. L’autre innovation concerne le « tourment », il s’agit du prix à payer par le shaman pour avoir utilisé ses pouvoirs. Dans le cas de Yibeom, ce sont des envies sexuelles (sa mère était boulimique) et c’est cette particularité qui va donner du piquant à ce boys’love. Le graphisme du webtoon n’est pas exceptionnel mais reste correct et les scènes coquines ne sont pas très imaginatives, d’ailleurs, il n’y en n’a pas tellement alors si c’est ce que vous recherchez, passez votre chemin. La série est finie en 77 chapitres, soit 3 tomes. Un assistant de rêve (notez le jeu de mots) est agréable à lire mais ne détonne pas vraiment dans le paysage. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/un-assistant-de-reve-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nickad

    un assistant de rêve tome 1

    Voilà un résumé officiel plutôt efficace, il n’y a pas vraiment besoin d’aller plus loin concernant l’intrigue en dehors du fait que le binôme va enchainer les affaires et que le « coup de main » de Jeong Oh ne se passe pas toujours dans la réalité car le travail de Yibeom est de s’introduire dans les cauchemars des clients afin de trouver l’élément perturbateur et de l’éliminer. Yibeom fait donc un métier intéressant, il doit faire en sorte de régler le problème du client sans que celui-ci s’en rende compte et c’est d’ailleurs l’un des aspects novateurs du scénario. Le lecteur assiste donc à différentes histoires dans l’histoire, il y a des traumatismes, des envies… qui nous submergent et qui peuvent parfois être tellement importantes et inconscientes qu’elles provoquent des troubles de la santé. L’autre innovation concerne le « tourment », il s’agit du prix à payer par le shaman pour avoir utilisé ses pouvoirs. Dans le cas de Yibeom, ce sont des envies sexuelles (sa mère était boulimique) et c’est cette particularité qui va donner du piquant à ce boys’love. Le graphisme du webtoon n’est pas exceptionnel mais reste correct et les scènes coquines ne sont pas très imaginatives, d’ailleurs, il n’y en n’a pas tellement alors si c’est ce que vous recherchez, passez votre chemin. La série est finie en 77 chapitres, soit 3 tomes. Un assistant de rêve (notez le jeu de mots) est agréable à lire mais ne détonne pas vraiment dans le paysage.
  11. Titre de l'album : Father I don't want this marriage tome 1 Scenariste de l'album : HONG Heesu , YURI (Kr) Dessinateur de l'album : ROAL , MIDNIGHT Studio Coloriste : Editeur de l'album : Pika - Wavetoon Note : Résumé de l'album : Vivre dans l'univers d'un roman, qui n'en a jamais rêvé ? Notre héroïne, elle, s'en serait bien passé... Victime d'un accident mortel, elle se retrouve propulsée dans l'histoire du livre qu'elle a lu ! Réincarnée dans la peau de Juvelian, fille de duc odieuse, elle mettra fin à ses jours après avoir été accusée à tort de meurtre... Sauf que ce rôle de méchante condamnée ne lui convient pas ! Notre héroïne décide de réécrire l'histoire et de changer la destinée du personnage qu'elle incarne. Mais prise entre la rancune de son ex-fiancé de prince et le désamour de son duc de père, Juvelian peut-elle seulement espérer échapper à une fin tragique ? Critique : Ce nouveau webtoon commence de façon assez classique qui n’est pas sans rappeler le début de nombreuses romantasy (alliance des mots romance et fantasy) comme The abandoned empress notamment surtout en ce qui concerne la relation père-fille. C’est l’adaptation d’un roman à succès, le webtoon est fini avec 131 chapitres, ce qui devrait faire 9 livres environ. L’héroïne de cette histoire se retrouve un jour transportée dans le monde du roman qu’elle lisait. Et pas de chance, dans la peau de Juvelian, la méchante de l’histoire ! Elle va donc tout faire pour échapper à son funeste destin (c’est drôle, j’ai l’impression d’avoir déjà écrit cette phrase de nombreuses fois…). Bref jusqu’ici, rien de bien original ; elle a une relation compliquée avec son père, elle pense qu’il ne l’aime pas alors qu’en réalité c’est tout le contraire mais ils ont des gros problèmes de communication ! La nouvelle Juvelian va commencer à agir différemment de son personnage et provoquer des changements dans son entourage. Le plus intéressant, c’est la relation qu’elle va développer avec le prince héritier quelque peu déchu. Lui pense que Juvelian est un obstacle pour la liberté du Duc (le père de Juvelian qui est aussi le maitre du prince) et elle, essaye de prendre les événements le plus tranquillement possible ce qui le trouble beaucoup. Il y a également l’ex-fiancé de la belle, un homme par qui le malheur est arrivé dans le roman qui ne supporte pas de ne plus être au centre de l’attention. L’histoire devient de plus en plus sympathique au fur et à mesure de la lecture et acquiert sa propre identité, il y a beaucoup d’humour fondé principalement sur des malentendus. La lecture est agréable, l’histoire est sympathique et surtout le webtoon possède un graphisme de toute beauté avec de nombreux détails. Un pur régal pour les yeux. Alors même si vous avez déjà goûté à des histoires similaires, ne vous privez pas de celui-là surtout qu’il va certainement aller en ce bonifiant ! Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/father-i-don-t-want-this-marriage-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Ce nouveau webtoon commence de façon assez classique qui n’est pas sans rappeler le début de nombreuses romantasy (alliance des mots romance et fantasy) comme The abandoned empress notamment surtout en ce qui concerne la relation père-fille. C’est l’adaptation d’un roman à succès, le webtoon est fini avec 131 chapitres, ce qui devrait faire 9 livres environ. L’héroïne de cette histoire se retrouve un jour transportée dans le monde du roman qu’elle lisait. Et pas de chance, dans la peau de Juvelian, la méchante de l’histoire ! Elle va donc tout faire pour échapper à son funeste destin (c’est drôle, j’ai l’impression d’avoir déjà écrit cette phrase de nombreuses fois…). Bref jusqu’ici, rien de bien original ; elle a une relation compliquée avec son père, elle pense qu’il ne l’aime pas alors qu’en réalité c’est tout le contraire mais ils ont des gros problèmes de communication ! La nouvelle Juvelian va commencer à agir différemment de son personnage et provoquer des changements dans son entourage. Le plus intéressant, c’est la relation qu’elle va développer avec le prince héritier quelque peu déchu. Lui pense que Juvelian est un obstacle pour la liberté du Duc (le père de Juvelian qui est aussi le maitre du prince) et elle, essaye de prendre les événements le plus tranquillement possible ce qui le trouble beaucoup. Il y a également l’ex-fiancé de la belle, un homme par qui le malheur est arrivé dans le roman qui ne supporte pas de ne plus être au centre de l’attention. L’histoire devient de plus en plus sympathique au fur et à mesure de la lecture et acquiert sa propre identité, il y a beaucoup d’humour fondé principalement sur des malentendus. La lecture est agréable, l’histoire est sympathique et surtout le webtoon possède un graphisme de toute beauté avec de nombreux détails. Un pur régal pour les yeux. Alors même si vous avez déjà goûté à des histoires similaires, ne vous privez pas de celui-là surtout qu’il va certainement aller en ce bonifiant ! Extrait
  13. Titre de l'album : Level up disaster - divine power tome 1 Scenariste de l'album : UCHIDA Takuya Dessinateur de l'album : UCHIDA Takuya Coloriste : Editeur de l'album : Crunchyroll Note : Résumé de l'album : Shôri Kobayashi passe sa vie à jouer en ligne pour oublier la réalité. Ce lycéen rêverait d'avoir une influence positive sur le monde, mais le courage lui manque. Un beau matin, pourtant, l'univers subit une étrange mise à jour... Les règles changent, des monstres féroces font irruption dans son quotidien et les losers d'hier deviennent les héros de demain ! Critique : Shôri Kobayashi et ses potes sont des geeks, ils friment beaucoup dans les jeux en ligne mais dans la réalité, ce sont un peu les parias de la classe. Ils restent entre eux en espérant un jour se faire remarquer par la plus belle fille de l’école et rasent les murs quand ils croisent les voyous du lycée voisin. Mais un jour, ils reçoivent une notification de mise à jour de leur jeu, des monstres débarquent dans la réalité ! Après en avoir battu un, leur niveau augmente, Shôri peut à présent défendre la fille qu’il aime et mettre une raclée au voyou. Seulement voilà, ils ne sont pas les seuls à évoluer et à comprendre la manière de le faire. Pour une fois, les héros ne sont pas transportés dans un jeu ou autre monde mais le jeu débarque dans la réalité ! Tout à coup, des fenêtres pop-up de statut avec les niveaux et les compétences arrivent et nos geeks, plus habitués que d’autres, vont enfin pouvoir réaliser leur rêve de devenir des héros. Le concept est plutôt sympathique mais l’histoire est bourrée de clichés ! Les trois garçons sont des caricatures d’adolescents accro aux jeux qui fantasment sur les filles. Et les « méchants » sont assez intelligents pour profiter aussi du système. Au passage, on a le droit à un aspect de la décadence humaine : l’utilisation à mauvais escient de ces nouveaux pouvoirs, tout un sujet dont on ne débattra pas dans cette histoire ! Ce premier tome ne m’a pas vraiment convaincue, attendons la suite. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/level-up-disaster-divine-power-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Shôri Kobayashi et ses potes sont des geeks, ils friment beaucoup dans les jeux en ligne mais dans la réalité, ce sont un peu les parias de la classe. Ils restent entre eux en espérant un jour se faire remarquer par la plus belle fille de l’école et rasent les murs quand ils croisent les voyous du lycée voisin. Mais un jour, ils reçoivent une notification de mise à jour de leur jeu, des monstres débarquent dans la réalité ! Après en avoir battu un, leur niveau augmente, Shôri peut à présent défendre la fille qu’il aime et mettre une raclée au voyou. Seulement voilà, ils ne sont pas les seuls à évoluer et à comprendre la manière de le faire. Pour une fois, les héros ne sont pas transportés dans un jeu ou autre monde mais le jeu débarque dans la réalité ! Tout à coup, des fenêtres pop-up de statut avec les niveaux et les compétences arrivent et nos geeks, plus habitués que d’autres, vont enfin pouvoir réaliser leur rêve de devenir des héros. Le concept est plutôt sympathique mais l’histoire est bourrée de clichés ! Les trois garçons sont des caricatures d’adolescents accro aux jeux qui fantasment sur les filles. Et les « méchants » sont assez intelligents pour profiter aussi du système. Au passage, on a le droit à un aspect de la décadence humaine : l’utilisation à mauvais escient de ces nouveaux pouvoirs, tout un sujet dont on ne débattra pas dans cette histoire ! Ce premier tome ne m’a pas vraiment convaincue, attendons la suite.
  15. Titre de l'album : No longer allowed in another world tome 1 Scenariste de l'album : NODA Hiroshi Dessinateur de l'album : WAKAMATSU Takahiro Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Cette nuit-là, un homme et sa bien-aimée se rendent sur l’aqueduc de la rivière Tamagawa afin de mettre fin à leur vie. Mais un camion surgit de nulle part… C’est à ce moment-là que cet homme, écrivain de métier, qui souhaite mourir va commencer à vivre une aventure fantastique dans un autre monde… Critique : Un nouvel isekai, oui mais pas n’importe lequel ! Ici la personne qui se réincarne ne souhaite pas vivre une nouvelle vie, son objectif c’est de réussir sa mort et surtout de se suicider en compagnie de son âme sœur ! Alors les belles paroles de la prêtresse, les compétences spéciales, Sensei (il n’a pas de nom) s’en moque. Il n’a qu’un seul but, savoir si sa bien-aimée s’est aussi réincarnée, la retrouver et mourir ; et tant pis s’il meurt avant. Pour ceux qui ont un peu de culture, il est assez simple de voir de qui le personnage principal est inspiré, un célèbre écrivain obsédé par le suicide, Osamu Dazai, un auteur qui inspire beaucoup les mangakas puisqu’on le retrouve également dans Bungo Stray Dogs et surtout les adaptations de La déchéance d’un homme. Le manga nous entraine dans un voyage inédit car Sensei n’a pas les réactions habituelles des réincarnés et surtout il accueille la Mort à bras ouverts ce qui déstabilise son entourage. Malgré lui, il va attirer du monde qui va l’accompagner dans son périple car sa présence bouscule l’ordre établi et la routine. On apprécie le parti pris de l’auteur d’introduire un anti-héros, un homme nonchalant qui n’est pas attaché à grand-chose et qui n’attend rien de la vie hormis une belle mort. En dehors de ça, il faudra aller un peu plus loin dans le récit pour vraiment s’en faire une idée, est-ce que finalement on aura une trame principale ou est-ce que ce sera un enchainement de saynètes humoristiques ? La série est toujours en cours avec 10 tomes pour le moment et fait l’objet d’une adaptation en anime. NB : Sensei signifie le professeur, le maitre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/no-longer-allowed-in-another-world-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Un nouvel isekai, oui mais pas n’importe lequel ! Ici la personne qui se réincarne ne souhaite pas vivre une nouvelle vie, son objectif c’est de réussir sa mort et surtout de se suicider en compagnie de son âme sœur ! Alors les belles paroles de la prêtresse, les compétences spéciales, Sensei (il n’a pas de nom) s’en moque. Il n’a qu’un seul but, savoir si sa bien-aimée s’est aussi réincarnée, la retrouver et mourir ; et tant pis s’il meurt avant. Pour ceux qui ont un peu de culture, il est assez simple de voir de qui le personnage principal est inspiré, un célèbre écrivain obsédé par le suicide, Osamu Dazai, un auteur qui inspire beaucoup les mangakas puisqu’on le retrouve également dans Bungo Stray Dogs et surtout les adaptations de La déchéance d’un homme. Le manga nous entraine dans un voyage inédit car Sensei n’a pas les réactions habituelles des réincarnés et surtout il accueille la Mort à bras ouverts ce qui déstabilise son entourage. Malgré lui, il va attirer du monde qui va l’accompagner dans son périple car sa présence bouscule l’ordre établi et la routine. On apprécie le parti pris de l’auteur d’introduire un anti-héros, un homme nonchalant qui n’est pas attaché à grand-chose et qui n’attend rien de la vie hormis une belle mort. En dehors de ça, il faudra aller un peu plus loin dans le récit pour vraiment s’en faire une idée, est-ce que finalement on aura une trame principale ou est-ce que ce sera un enchainement de saynètes humoristiques ? La série est toujours en cours avec 10 tomes pour le moment et fait l’objet d’une adaptation en anime. NB : Sensei signifie le professeur, le maitre.
  17. Nickad

    Joseph Smith et les Mormons

    du coup, on ne sait pas trop pourquoi tu as mis 2/5
  18. Nickad

    Hana l'inaccessible tome 7

    Le voyage d’entreprise arrive à sa fin, les aveux se sont multipliés et surtout, surtout il y a enfin la scène du baiser entre Hana et Tsuyoshi ! Ensuite, Tsuyoshi va devoir faire face à la réalité, cela fait plusieurs années qu’il travaille dans l’entreprise et il n’a encore jamais sorti un projet potable, il lui reste 4 mois pour faire ses preuves, sinon il sera muté dans l’usine de production. Bon, ce sera notre dernière critique pour cette série, on va se concentrer sur les nouveautés et les coups de cœur. Hana l’inaccessible reste un manga gentillet, très fleur bleue et très niais par moment. Mais il n’en reste pas moins sympathique, les histoires d’amour sont agréables, les manigances sont gentilles et finalement, tout ce petit monde s’entend plutôt bien même quand il y a de la rivalité. Le point fort de la série reste son graphisme avec une mention particulière pour les expressions du visage qui font bien passer les sentiments.
  19. Titre de l'album : Hana l'inaccessible tome 7 Scenariste de l'album : MURATA Kôji Dessinateur de l'album : MURATA Kôji Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : La super carte maîtresse du fabricant de pâtisseries traditionnelles, Mitsubachi, se nomme Hana Takamine et a vingt-sept ans ! Elle est amoureuse de Tsuyoshi Yowaki, un employé de l'entreprise, et c'est une demoiselle un peu naïve et gauche sur les bords quand il s'agit d'amour ! Leur amour parcourt le ciel d'été et le voyage d'entreprise touche à sa fin !! Quels mots prononcera Hana ?! De plus, le maladroit Tsuyoshi va devoir surmonter une épreuve !! Une comédie romantique mignonne, pleine de rires et de larmes entre une femme d'affaires et son véritable premier amour !!! Critique : Le voyage d’entreprise arrive à sa fin, les aveux se sont multipliés et surtout, surtout il y a enfin la scène du baiser entre Hana et Tsuyoshi ! Ensuite, Tsuyoshi va devoir faire face à la réalité, cela fait plusieurs années qu’il travaille dans l’entreprise et il n’a encore jamais sorti un projet potable, il lui reste 4 mois pour faire ses preuves, sinon il sera muté dans l’usine de production. Bon, ce sera notre dernière critique pour cette série, on va se concentrer sur les nouveautés et les coups de cœur. Hana l’inaccessible reste un manga gentillet, très fleur bleue et très niais par moment. Mais il n’en reste pas moins sympathique, les histoires d’amour sont agréables, les manigances sont gentilles et finalement, tout ce petit monde s’entend plutôt bien même quand il y a de la rivalité. Le point fort de la série reste son graphisme avec une mention particulière pour les expressions du visage qui font bien passer les sentiments. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hana-l-inaccessible-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    Rosso

    Titre de l'album : Rosso Scenariste de l'album : Gigi Ameno Dessinateur de l'album : Gigi Ameno Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Quand il était petit, la famille de Rosso fut massacrée par un vampire qui le transforma en loup-garou. Pour se venger, il devint enquêteur dans la sixième division de l'unité spéciale de la police, assignée aux affaires impliquant des vampires et des loups-garous. À la demande de ses supérieurs, il se voit contraint de former un nouvel enquêteur, Mikumo. D'abord agacé par Mikumo, Rosso et son nouveau partenaire vont se retrouver dans une situation délicate. Lui qui refuse de boire du sang non-synthétique, il se voit contraint de boire celui de Mikumo pour retrouver la pleine ampleur de ses pouvoirs. Mais cela fait également nôtre en lui un nouveau sentiment inconnu. Critique : De notoriété publique un loup-garou est un homme qui se transforme en loup les soirs de pleine lune et ils ont été plus oui moins crées par els vampires pour devenir leurs serviteurs. Dans ce livre le loup-garou est aussi créé par un vampire mais peut se transformer en différents animaux ou emprunter les caractéristiques de ces derniers, cela peut être une chauve-souris, une araignée, un chien… Ils se nourrissent également de sang comme les vampires. Enfant, Rosso a vu sa famille se faire assassiner et lui est devenu un loup-garou. Il est entré dans les services de police dans une section spéciale destinée à arrêter les loups-garous déviants afin de pouvoir un jour retrouver le vampire qui l’a transformé et accomplir sa vengeance. On lui attribue un assistant, Mikumo, qui va aussi lui permettre de se sustenter en sang et devenir plus fort. Si la revisite du loup-garou n’est pas inintéressante, on a peu de temps pour s’y familiariser que le livre est déjà fini. Il faut le temps de s’imprégner de cet univers, de découvrir les personnages principaux, de résoudre la vérité devant le drame familial de Rosso… en un one-shot, c’est court ! Du coup, certains passages sont rapides, le dénouement surtout. Certes le scénario tient quand même la route mais quelques approfondissements n’auraient pas été superflus. Le graphisme est élégant alors entre deux autres livres, quand vous avez du temps, pourquoi pas… Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rosso?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Nickad

    Rosso

    De notoriété publique un loup-garou est un homme qui se transforme en loup les soirs de pleine lune et ils ont été plus oui moins crées par els vampires pour devenir leurs serviteurs. Dans ce livre le loup-garou est aussi créé par un vampire mais peut se transformer en différents animaux ou emprunter les caractéristiques de ces derniers, cela peut être une chauve-souris, une araignée, un chien… Ils se nourrissent également de sang comme les vampires. Enfant, Rosso a vu sa famille se faire assassiner et lui est devenu un loup-garou. Il est entré dans les services de police dans une section spéciale destinée à arrêter les loups-garous déviants afin de pouvoir un jour retrouver le vampire qui l’a transformé et accomplir sa vengeance. On lui attribue un assistant, Mikumo, qui va aussi lui permettre de se sustenter en sang et devenir plus fort. Si la revisite du loup-garou n’est pas inintéressante, on a peu de temps pour s’y familiariser que le livre est déjà fini. Il faut le temps de s’imprégner de cet univers, de découvrir les personnages principaux, de résoudre la vérité devant le drame familial de Rosso… en un one-shot, c’est court ! Du coup, certains passages sont rapides, le dénouement surtout. Certes le scénario tient quand même la route mais quelques approfondissements n’auraient pas été superflus. Le graphisme est élégant alors entre deux autres livres, quand vous avez du temps, pourquoi pas…
  22. Titre de l'album : Solo camping for two tome 1 Scenariste de l'album : DEBATA Yûdai Dessinateur de l'album : DEBATA Yûdai Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Gen est un campeur solitaire. Ce qu'il préfère par-dessus tout est de se retrouver seul dans la nature. Il en profite jusqu'au jour où débarque la tornade Shizuku, une jeune femme qui pratique à merveille l'art de l'incruste. Sa délicieuse cuisine de plein air parviendra-t-elle à le faire changer d'avis ? Découvrez les meilleures recettes en extérieur aux côtés de ce duo chaud bouillant ! Critique : Gen Kinomura aime camper seul, vraiment seul, il aime retrouver la nature, se rendre au camping via les transports en commun et finir à pied, allumer un feu de bois. Un jour qu’il est vraiment tout seul (même les propriétaires du camping sont partis pour la nuit), débarque une jeune fille un peu fofolle qui n’a pas d’expérience du camping en solitaire et qui va venir bouleverser la tranquillité de Gen. Solo camping est à la fois un guide pour les amoureux du camping avec de nombreux conseils mais aussi une comédie, pas forcément sentimentale (il faudra attendre la suite pour en être sûr), pleine de fraicheur et de bons sentiments. La jeune Shizuku qui n’a trouvé personne de son âge pour l’accompagner dans l’aventure camping va aller demander des conseils à Gen et le convaincre de l’aider jusqu’à ce qu’elle soit autonome. On se doute que le solo camping risque fort de ne pas durer ! Le manga fait partie de la collection Gourmet car Shizuku, à défaut d’être très organisée pour le camping, est un vrai cordon bleu et propose des recettes à faire en extérieur. Il reste néanmoins le problème que ces repas sont souvent à base d’aliments japonais pas forcément évident à reproduire pour les Français à part peut-être le poulet à la bière qui m’a intrigué. Un manga sympathique qui a trouvé un bon équilibre entre conseils, aventure, comédie et cuisine. Une bonne distraction. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/solo-camping-for-two-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    Solo camping for two tome 1

    Gen Kinomura aime camper seul, vraiment seul, il aime retrouver la nature, se rendre au camping via les transports en commun et finir à pied, allumer un feu de bois. Un jour qu’il est vraiment tout seul (même les propriétaires du camping sont partis pour la nuit), débarque une jeune fille un peu fofolle qui n’a pas d’expérience du camping en solitaire et qui va venir bouleverser la tranquillité de Gen. Solo camping est à la fois un guide pour les amoureux du camping avec de nombreux conseils mais aussi une comédie, pas forcément sentimentale (il faudra attendre la suite pour en être sûr), pleine de fraicheur et de bons sentiments. La jeune Shizuku qui n’a trouvé personne de son âge pour l’accompagner dans l’aventure camping va aller demander des conseils à Gen et le convaincre de l’aider jusqu’à ce qu’elle soit autonome. On se doute que le solo camping risque fort de ne pas durer ! Le manga fait partie de la collection Gourmet car Shizuku, à défaut d’être très organisée pour le camping, est un vrai cordon bleu et propose des recettes à faire en extérieur. Il reste néanmoins le problème que ces repas sont souvent à base d’aliments japonais pas forcément évident à reproduire pour les Français à part peut-être le poulet à la bière qui m’a intrigué. Un manga sympathique qui a trouvé un bon équilibre entre conseils, aventure, comédie et cuisine. Une bonne distraction. Extrait
  24. Titre de l'album : Rose Bertin, la couturière fatale tome 1 Scenariste de l'album : ISOMI Jingetsu Dessinateur de l'album : ISOMI Jingetsu Coloriste : Editeur de l'album : Michel Lafon Note : Résumé de l'album : Découvrez le destin de la couturière de Marie-Antoinette 1766, Abbeville. Rose Bertin est de loin la meilleure couturière de la ville. Ses robes fluides et confortables font sensation. On loue ses concepts novateurs et sa dextérité hors normes. Mais la jeune femme aspire à mieux. Elle rêve de gloire, de Paris et de devenir la plus grande couturière de France ! La concurrence sera rude pour imposer son style face à sa rivale Marie-Jeanne Bécu, la modiste la plus influente de la capitale. Critique : France, XVIIIe siècle, Marie-Jeanne Bertin est coiffeuse dans une ville de province, elle est couturière aussi à ses heures perdues. Elle jouit déjà d’une solide réputation mais elle est aussi consciente que ce n’est pas dans cette ville qu’elle pourra s’accomplir alors elle décide de partir pour Paris. Elle découvre alors la condition des couturières, des petites mains à la renommée, et surtout, elle découvre les tendances de la mode, voyant bien que là d’où elle vient, la mode a déjà un an de retard. Marie est bien décidée à faire ce qu’il faut pour percer et un jour ouvrir sa boutique. La première chose à savoir sur ce manga, c’est qu’il est historique, Rose Bertin a réellement existé ainsi que les autres personnages importants du récit. L’auteur a pris le temps également de se documenter sur l’époque, la mode, les coutumes et la vie parisienne. Un peu comme dans Céline, une vie parisienne (avec un siècle de décalage), le récit nous permet de découvrir d’autres facettes de Paris ainsi que plein de petits métiers. A chaque fin de chapitre, il y a « les petites anecdotes » de l’auteur où il revient sur certains aspects de l’histoire ainsi que sur la création du manga. Mais le manga est aussi l’aventure de Marie-Jeanne, qui prendra le nom de Rose plus tard, son talent, sa ténacité et son parcours. Un bon premier tome intéressant et distrayant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rose-bertin-la-couturiere-fatale-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. France, XVIIIe siècle, Marie-Jeanne Bertin est coiffeuse dans une ville de province, elle est couturière aussi à ses heures perdues. Elle jouit déjà d’une solide réputation mais elle est aussi consciente que ce n’est pas dans cette ville qu’elle pourra s’accomplir alors elle décide de partir pour Paris. Elle découvre alors la condition des couturières, des petites mains à la renommée, et surtout, elle découvre les tendances de la mode, voyant bien que là d’où elle vient, la mode a déjà un an de retard. Marie est bien décidée à faire ce qu’il faut pour percer et un jour ouvrir sa boutique. La première chose à savoir sur ce manga, c’est qu’il est historique, Rose Bertin a réellement existé ainsi que les autres personnages importants du récit. L’auteur a pris le temps également de se documenter sur l’époque, la mode, les coutumes et la vie parisienne. Un peu comme dans Céline, une vie parisienne (avec un siècle de décalage), le récit nous permet de découvrir d’autres facettes de Paris ainsi que plein de petits métiers. A chaque fin de chapitre, il y a « les petites anecdotes » de l’auteur où il revient sur certains aspects de l’histoire ainsi que sur la création du manga. Mais le manga est aussi l’aventure de Marie-Jeanne, qui prendra le nom de Rose plus tard, son talent, sa ténacité et son parcours. Un bon premier tome intéressant et distrayant.
×
×
  • Créer...