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Tout ce qui a été posté par Nickad

  1. Tokiko et son père déménage de Tokyo pour Sunanomori, un petit village en bord de mer et aussi le village de naissance de sa mère. Cette dernière ne fait pas partie du voyage et semble même être partie tout court. Tokiko serait déjà venue quand elle avait 4 ans, le bruit des vagues et l’air marin font remonter des souvenirs : un accident lointain où elle a failli se noyer et une image floue de quelqu’un qui l’aurait sauvée et qu’elle cherche à retrouver. Ce séjour lui apportera peut-être les réponses. L’histoire navigue entre réalité et conte : il y a la nouvelle vie de Tokiko, les nouveaux élèves de l’école, son intégration dans cette classe où tout le monde se connait depuis toujours et puis il y a l’omniprésence des sirènes, ceux qui les cherchent et ceux qui n’y croient pas. La façon que l’auteure a de les faire apparaître dans les conversations ou les souvenirs, rien de concret, plutôt une image furtive que Tokiko poursuit. Le graphisme a quelque chose d’enfantin, une simplicité qui se rapproche du livre d’image et un jeu dans les noirs et blancs qui renforce le côté imaginaire, rêveur de l’histoire. C’est une certaine impression de sérénité, de calme qui s’en dégage, une sorte de mélancolie comme lorsqu’on regarde la mer. Et pour Yoko Komori qui voulait écrire une histoire sur les souvenirs liés au bruit de la mer, le défi est réussi et l’ambiance est bien présente, un bon 1er tome. Série finie en 2 tomes.
  2. Titre de l'album : Le secret des écailles bleues tome 1 Scenariste de l'album : KOMORI Yoko Dessinateur de l'album : KOMORI Yoko Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : À l'approche de la rentrée scolaire, Tokiko et son père emménagent dans une petite ville côtière. En écoutant le bruit des vagues, la jeune fille sent remonter en elle le souvenir confus du jour où une sirène l'a sauvée de la noyade... Critique : Tokiko et son père déménage de Tokyo pour Sunanomori, un petit village en bord de mer et aussi le village de naissance de sa mère. Cette dernière ne fait pas partie du voyage et semble même être partie tout court. Tokiko serait déjà venue quand elle avait 4 ans, le bruit des vagues et l’air marin font remonter des souvenirs : un accident lointain où elle a failli se noyer et une image floue de quelqu’un qui l’aurait sauvée et qu’elle cherche à retrouver. Ce séjour lui apportera peut-être les réponses. L’histoire navigue entre réalité et conte : il y a la nouvelle vie de Tokiko, les nouveaux élèves de l’école, son intégration dans cette classe où tout le monde se connait depuis toujours et puis il y a l’omniprésence des sirènes, ceux qui les cherchent et ceux qui n’y croient pas. La façon que l’auteure a de les faire apparaître dans les conversations ou les souvenirs, rien de concret, plutôt une image furtive que Tokiko poursuit. Le graphisme a quelque chose d’enfantin, une simplicité qui se rapproche du livre d’image et un jeu dans les noirs et blancs qui renforce le côté imaginaire, rêveur de l’histoire. C’est une certaine impression de sérénité, de calme qui s’en dégage, une sorte de mélancolie comme lorsqu’on regarde la mer. Et pour Yoko Komori qui voulait écrire une histoire sur les souvenirs liés au bruit de la mer, le défi est réussi et l’ambiance est bien présente, un bon 1er tome. Série finie en 2 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-secret-des-ecailles-bleues-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    En attendant lundi tome 2 (fin)

    Mizutani et Tsukino continuent leurs rendez-vous secrets du lundi soir. Hiki, la peste / voyou de la classe semble en avoir toujours après Tsukino, Mizutani décide d’aller lui parler et dévoile qu’ils se connaissent mieux que tout le monde le croit et qu’ils se voient en cachette. Hiki se pointe un lundi soir, Tsukino le vit mal et c’est tout l’équilibre de leur relation qui est fragilisé. En attendant lundi est un peu un ovni dans l’univers du manga, l’auteur utilise des enfants pour faire passer ses messages mais Mizutani a bien un langage adulte, réfléchi. Elle porte sur le monde un regard blasé, empreint de poésie, entre spleen et mélancolie. Le propos est profond, les interactions entre les personnages permettent de s’appesantir sur la nature de l’homme et pose des questions philosophiques, qui sommes-nous ? où est ma place dans la société ? et même comment vivre sa propre vie, être maitre de son destin ? Le manga n’est pas forcément facile d’accès, il faut vraiment prendre le temps de le parcourir, de s’y arrêter. Il a une ambiance très particulière soulignée par un graphisme qui joue sur les rendus en noir et blanc les associant ou les opposant. Un manga qui ne laisse pas indifférent mais qu’on ne peut ranger dans aucune case. A découvrir.
  4. Titre de l'album : En attendant lundi tome 2 (fin) Scenariste de l'album : ABE Tomomi Dessinateur de l'album : ABE Tomomi Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : L'arrivée de l'automne et du nouveau trimestre sont synonymes de retour à la routine... Mais pour une fois, ce quotidien, Mizutani arrive à l'envisager avec bonheur. Même s'il y a toujours les cours et autres sempiternelles contraintes, elle sait qu'elle pourra également retrouver Tsukino lors de leurs rendez-vous nocturnes du lundi. Combien de temps pourront-ils continuer leur manège avant d'être découverts ? Critique : Mizutani et Tsukino continuent leurs rendez-vous secrets du lundi soir. Hiki, la peste / voyou de la classe semble en avoir toujours après Tsukino, Mizutani décide d’aller lui parler et dévoile qu’ils se connaissent mieux que tout le monde le croit et qu’ils se voient en cachette. Hiki se pointe un lundi soir, Tsukino le vit mal et c’est tout l’équilibre de leur relation qui est fragilisé. En attendant lundi est un peu un ovni dans l’univers du manga, l’auteur utilise des enfants pour faire passer ses messages mais Mizutani a bien un langage adulte, réfléchi. Elle porte sur le monde un regard blasé, empreint de poésie, entre spleen et mélancolie. Le propos est profond, les interactions entre les personnages permettent de s’appesantir sur la nature de l’homme et pose des questions philosophiques, qui sommes-nous ? où est ma place dans la société ? et même comment vivre sa propre vie, être maitre de son destin ? Le manga n’est pas forcément facile d’accès, il faut vraiment prendre le temps de le parcourir, de s’y arrêter. Il a une ambiance très particulière soulignée par un graphisme qui joue sur les rendus en noir et blanc les associant ou les opposant. Un manga qui ne laisse pas indifférent mais qu’on ne peut ranger dans aucune case. A découvrir. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/en-attendant-lundi-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nickad

    Hellbound - l'enfer tome 2 (fin)

    4 ans après le châtiment public de Park Jeong Ja la secte Neo Veritas a pris de l’ampleur et s’est associée avec les pointes de flèches. Il est désormais difficile d’aller contre leurs opinions en public ou même de vivre sa vie comme on l’entend de peur de passer pour un hérétique et d’être passé à tabac. Quant à ceux qui ont reçu une damnation, s’ils ne se dénoncent pas pour que leur châtiment soit filmé, leur famille est prise pour cible. Heureusement, un groupe essaye de les aider. Hellbound est un manga résolument destiné à un public adulte, d’abord parce qu’il y a de la violence mais surtout par son propos : une réflexion sur le bien et le mal, les péchés et la dérive du fanatisme religieux. C’est percutant, effrayant même, bien sûr il y a le côté damnation et la façon dont le châtiment est exécuté mais c’est surtout l’attitude des humains qui est effroyable avec une montée d’intolérance et de haine. Certes, il faut prendre un peu de temps dans la lecture pour bien appréhender le propos mais c’est un très bon scénario servi par un graphisme réaliste notamment sur le rendu des traits de personnages qui situe bien l’action en Corée. Je n’ai pas vu la série mais le manga m’en a donné l’envie. A lire.
  6. Titre de l'album : Hellbound - l'enfer tome 2 (fin) Scenariste de l'album : SANG-HO Yeon Dessinateur de l'album : KYU-SOK Choi Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Des hommes censés être honnêtes reçoivent un message mystérieux leur annonçant qu'il leur reste peu de temps à vivre avant d'être conduits en Enfer. À l'heure dite, des créatures apparaissent, ne laissant que des corps calcinés derrière eux ! Qui tire les ficelles de ce théâtre macabre ? Critique : 4 ans après le châtiment public de Park Jeong Ja la secte Neo Veritas a pris de l’ampleur et s’est associée avec les pointes de flèches. Il est désormais difficile d’aller contre leurs opinions en public ou même de vivre sa vie comme on l’entend de peur de passer pour un hérétique et d’être passé à tabac. Quant à ceux qui ont reçu une damnation, s’ils ne se dénoncent pas pour que leur châtiment soit filmé, leur famille est prise pour cible. Heureusement, un groupe essaye de les aider. Hellbound est un manga résolument destiné à un public adulte, d’abord parce qu’il y a de la violence mais surtout par son propos : une réflexion sur le bien et le mal, les péchés et la dérive du fanatisme religieux. C’est percutant, effrayant même, bien sûr il y a le côté damnation et la façon dont le châtiment est exécuté mais c’est surtout l’attitude des humains qui est effroyable avec une montée d’intolérance et de haine. Certes, il faut prendre un peu de temps dans la lecture pour bien appréhender le propos mais c’est un très bon scénario servi par un graphisme réaliste notamment sur le rendu des traits de personnages qui situe bien l’action en Corée. Je n’ai pas vu la série mais le manga m’en a donné l’envie. A lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-hellbound-l-enfer-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    Prochaines sorties...

    oui je sais c'est l'image, mais quand on clique sur le liseré, elle apparaît, c'est pas grave de toute façon la critique arrive semaine prochaine
  8. Nickad

    Prochaines sorties...

    Panini Manga vous présente le remake du chef-d’œuvre BEM, l’homme fantôme, une œuvre controversée, mettant en scène la cruauté de l’homme à travers l’histoire de trois Yokaï : Bem, Bela et Belo. L’auteur, Mosae Nohara, signe ici la troisième et plus récente adaptation en manga d’un anime sorti pour la première fois au Japon il y a plus de cinquante ans. Lors de sa première diffusion en 1968, la série TV Yokai Ningen Bem enregistre une audience exceptionnelle. La ville portuaire de Libra-city est séparée en deux zones : la zone dite upper qui accueille les populations aisées, et l’outside où vivent les pauvres. Les habitants d’upper se tiennent à l’écart de l’outside, ignorant tout de ce qu’il s’y passe. Libra-city est entre les mains d’une organisation criminelle appelée l’Assemblée invisible qui créé des « hommes-fantômes », des humains améliorés comme les héros de ce manga : Bem, Bela et Belo. Ces trois personnages principaux, contrairement aux autres yokaï et monstres qui pullulent dans la ville, œuvrent pour le bien en combattant leurs semblables… EN LIBRAIRIE LE 9 FÉVRIER 2022 LES ATOUTS DE LA SÉRIE - Série en 3 tomes - Une excellente porte d’entrée à l’univers des Yôkaï - Une œuvre mélangeant avec brio action, surnaturel et horreur - Une licence culte au Japon depuis sa création en 1968 ! - Un manga publié à l’occasion du 50ème anniversaire de la licence - Un manga basé sur le nouvel anime de la série Youkai Ningen Bem
  9. Titre de l'album : Chacun ses gouts tome 4 Scenariste de l'album : MACHITA Dessinateur de l'album : MACHITA Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Haru craque pour un bijou qu'elle aperçoit. Ao est content de découvrir une nouvelle facette de Haru et l'invite à faire du shopping, mais Haru refuse catégoriquement sous prétexte que si une personne comme elle se fait belle, c'est répugnant. Ao ne veut plus que Haru se dévalorise et il va lui faire une proposition... Critique : Ao et Haru continue leur colocation et leur découverte de l’autre : le fait que Haru se dévalorise parce qu’elle est une otaku et qui dit « otaku » dit personne qui n’est pas à la mode, qui est « répugnante », le petit côté boudeur de Ao quand Haru lui fait défaut…. On découvre aussi leur entourage et plus particulièrement celui de Ao avec la rencontre avec son amie d’enfance et une collègue de travail sous son charme. Ce qu’il y a de bien dans ce manga, c’est le côté positif. Chaque personnage, ou même plus généralement humain, a des blessures du passé, plus ou moins importantes, chacun a des points positifs et négatifs. La combinaison de nos deux protagonistes permet à chaque fois de discuter des situations et d’en ressortir le meilleur, cela finit toujours bien en gardant l’aspect le plus positif. Et même si Haru et Ao n’ont pas des personnalités que l’on croise tous les jours, au point de pouvoir s’y identifier, les situations évoquées sont celles du quotidien et peuvent nous permettre d’en tirer une leçon. Chacun ses gouts est un manga bienveillant, avec une grande bouffée d’optimisme, qui nous présente des tranches de vie simples et nous apprend à profiter du quotidien. Carpe diem comme on dit. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chacun-ses-gouts-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nickad

    Chacun ses gouts tome 4

    Ao et Haru continue leur colocation et leur découverte de l’autre : le fait que Haru se dévalorise parce qu’elle est une otaku et qui dit « otaku » dit personne qui n’est pas à la mode, qui est « répugnante », le petit côté boudeur de Ao quand Haru lui fait défaut…. On découvre aussi leur entourage et plus particulièrement celui de Ao avec la rencontre avec son amie d’enfance et une collègue de travail sous son charme. Ce qu’il y a de bien dans ce manga, c’est le côté positif. Chaque personnage, ou même plus généralement humain, a des blessures du passé, plus ou moins importantes, chacun a des points positifs et négatifs. La combinaison de nos deux protagonistes permet à chaque fois de discuter des situations et d’en ressortir le meilleur, cela finit toujours bien en gardant l’aspect le plus positif. Et même si Haru et Ao n’ont pas des personnalités que l’on croise tous les jours, au point de pouvoir s’y identifier, les situations évoquées sont celles du quotidien et peuvent nous permettre d’en tirer une leçon. Chacun ses gouts est un manga bienveillant, avec une grande bouffée d’optimisme, qui nous présente des tranches de vie simples et nous apprend à profiter du quotidien. Carpe diem comme on dit.
  11. ah Yuyu Hakusho !! que de souvenirs, à l'époque c'était une de mes séries préférées, j'y pense parfois... comme quoi quand on se rappelle d'une série, c'est bon signe ! j'avais même dessiné les persos et ils étaient accrochés sur mon mur... Après Yoshihiro Togashi a écrit Hunter x hunter et il est devenu encore plus célèbre. Pour la petite histoire, il est marié avec l'auteure de sailor moon
  12. Titre de l'album : Nina du Royaume aux étoiles tome 1 Scenariste de l'album : RIKACHI Dessinateur de l'album : RIKACHI Coloriste : Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Nina, jeune orpheline aux yeux d'un bleu profond, est enlevée et emmenée au palais royal pour remplacer la princesse Alisha, disparue dans un accident. Destinée à épouser le prince héritier du royaume de Galgada, elle a trois mois pour apprendre à se comporter comme une véritable princesse, tout en trompant l'ensemble des nobles de la Cour. Critique : La princesse du royaume est décédée dans un accident, pour ne pas perturber l’ordre dans un pays déjà en proie à des manigances politiques autour du pouvoir, une orpheline est choisie par le 2eme prince pour remplacer sa défunte sœur : la jeune Nina devient alors Alisha et doit donner le change en attendant de se marier au prince du royaume voisin. Le synopsis n’est pas forcément innovant, des sosies de prince ou princesse on en a vue dans d’autres mangas mais souvent c’était un personnage destiné à gouverner, ce qui n’est pas le cas ici. Alisha n’est pas à la tête du royaume et ne doit pas le devenir, elle est un « outil » ; tout d’abord pour le pays car elle doit se marier avec le prince d’un autre pays et nouer ainsi une alliance et puis pour Azur, le 2eme prince dans un dessein que l’on ignore encore. Et puis Nina est une jeune fille qui n’a plus rien et qui n’a plus rien à perdre, enfin pour le moment, car elle va finir par s’attacher à certaines personnes. Le shojo est bien fait et comme tout shojo un peu historique, le graphisme s’attache aussi à bien représenter les décors, costumes et autres détails. La lecture est fluide, sans temps mort et le personnage de Nina intéressant, loin d’être une pauvre ingénue, elle ne se laisse pas faire et se permet parfois une attitude des plus familières. La série fait partie de la nouvelle collection Kazoku (« famille ») de l’éditeur Michel Lafon qui a été lancée en septembre 2021 avec le titre La peste. Elle compte 6 tomes en cours. Extrait Autres infos : Edition Michel Lafon - collection Kazoku Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nina-du-royaume-aux-etoiles-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. La princesse du royaume est décédée dans un accident, pour ne pas perturber l’ordre dans un pays déjà en proie à des manigances politiques autour du pouvoir, une orpheline est choisie par le 2eme prince pour remplacer sa défunte sœur : la jeune Nina devient alors Alisha et doit donner le change en attendant de se marier au prince du royaume voisin. Le synopsis n’est pas forcément innovant, des sosies de prince ou princesse on en a vue dans d’autres mangas mais souvent c’était un personnage destiné à gouverner, ce qui n’est pas le cas ici. Alisha n’est pas à la tête du royaume et ne doit pas le devenir, elle est un « outil » ; tout d’abord pour le pays car elle doit se marier avec le prince d’un autre pays et nouer ainsi une alliance et puis pour Azur, le 2eme prince dans un dessein que l’on ignore encore. Et puis Nina est une jeune fille qui n’a plus rien et qui n’a plus rien à perdre, enfin pour le moment, car elle va finir par s’attacher à certaines personnes. Le shojo est bien fait et comme tout shojo un peu historique, le graphisme s’attache aussi à bien représenter les décors, costumes et autres détails. La lecture est fluide, sans temps mort et le personnage de Nina intéressant, loin d’être une pauvre ingénue, elle ne se laisse pas faire et se permet parfois une attitude des plus familières. La série fait partie de la nouvelle collection Kazoku (« famille ») de l’éditeur Michel Lafon qui a été lancée en septembre 2021 avec le titre La peste. Elle compte 6 tomes en cours. Extrait
  14. La diversité du manga a toujours existé mais... au Japon, là on a une multitude de nouveaux éditeurs (quand j'ai commencé, il n'y avait quasiment que Tonkam) qui veulent tous se démarquer alors oui, il y a plus de choix, trop peut-être, c'est pour ça qu'il faut faire du tri !!
  15. j'ai pas encore lu le dernier bien que Junji Ito n'est fait que l'adaptation graphique du roman de Dazai, on sent aussi qu'il y a mis ses phobies (notamment sa peur des belles femmes). Le livre est le dernier que Dazai ait écrit avant de se suicider, il y aurait une grande part autobiographique.
  16. Nickad

    Butterfly beast II tome 1

    sauf que dans l'habitant de l'infini il y a du fantastique si mes souvenirs sont bons, graphiquement on ne doit pas être très loin
  17. Titre de l'album : My elder sister tome 3 Scenariste de l'album : IIDA Pochi Dessinateur de l'album : IIDA Pochi Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Démons comme dieux, sont au-delà du bien et du mal. Malgré son inquiétude, Yuu continue de mener sa vie de famille heureuse aux côtés de Chiyo. Cependant, une menace, difficile à définir, plane... Que peut bien manigancer la dénommée Haru ? Critique : Yuu et Chiyo continuent leur cohabitation, leur quotidien d’une grande tendresse empreint de douceur. C’est au travers de petits détails que chacun apprend sur l’autre mais aussi prend conscience qu’il ne sait pas grand-chose en réalité. Cette vie semble leur convenir mais il pourrait bien que d’autres facteurs extérieurs viennent perturber ce quotidien. Encore une fois, la majorité du tome reste centré sur nos deux personnages qui semblent n’avoir besoin de personne d’autre. Une ambiance intimiste entre douceur et séduction car l’auteure sait mettre en valeur son héroïne avec une pointe d’érotisme sans jamais tomber dans le vulgaire. Le graphisme est à la hauteur, il est agréable et dégage une certaine chaleur. Ce n’est que vers la fin du tome que des changements arrivent, changements annoncés dès le début de la série par le narrateur (qui n’est autre que Yuu plus âgé). N’oublions pas que Chiyo est un démon et qu’un pacte a été passé. Un tome qui prend son temps, un peu court peut-être (132 pages seulement) mais toujours très agréable, surtout visuellement. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/my-elder-sister-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Nickad

    My elder sister tome 3

    Yuu et Chiyo continuent leur cohabitation, leur quotidien d’une grande tendresse empreint de douceur. C’est au travers de petits détails que chacun apprend sur l’autre mais aussi prend conscience qu’il ne sait pas grand-chose en réalité. Cette vie semble leur convenir mais il pourrait bien que d’autres facteurs extérieurs viennent perturber ce quotidien. Encore une fois, la majorité du tome reste centré sur nos deux personnages qui semblent n’avoir besoin de personne d’autre. Une ambiance intimiste entre douceur et séduction car l’auteure sait mettre en valeur son héroïne avec une pointe d’érotisme sans jamais tomber dans le vulgaire. Le graphisme est à la hauteur, il est agréable et dégage une certaine chaleur. Ce n’est que vers la fin du tome que des changements arrivent, changements annoncés dès le début de la série par le narrateur (qui n’est autre que Yuu plus âgé). N’oublions pas que Chiyo est un démon et qu’un pacte a été passé. Un tome qui prend son temps, un peu court peut-être (132 pages seulement) mais toujours très agréable, surtout visuellement.
  19. Titre de l'album : Butterfly beast II tome 1 Scenariste de l'album : NAGATE Yuka Dessinateur de l'album : NAGATE Yuka Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : 1636, début de l'ère d'Edo. Ochô a enfin retrouvé Kazuma, son ancien compagnon d'armes, qu'elle s'était juré de traquer. Cependant, ce dernier réussit à lui échapper, la kunoichi ne trouvant la force de l'arrêter. Malgré la paix ambiante, une guerre se prépare en secret dont l'objectif est de renverser le gouvernement en place. Kochô parviendra-t-elle à mettre finaux sombres desseins de son ancien amant ? Passion, crimes et châtiments sont au rendez-vous dans ce drame historique du Japon féodal ! Critique : Voici donc la suite des aventures de Ochô la kunoichi reconvertie en chasseuse (pour en savoir plus, allez voir la critique de la 1ere saison). Aventures n’est pas vraiment le terme approprié car Ochô n’a pas eu tellement le choix sur son nouveau mode de vie, elle doit éliminer les anciens shinobis qui ont mal tourné, et elle en souffre à chaque fois. Au travers des différentes histoires, on apprend un peu plus à connaître le quartier de Yoshiwara, le « quartier des plaisirs » situé au cœur de Tokyo et qui avait ses propres règles. Et c’est surtout la condition des courtisanes qui est dépeinte, leurs obligations, leurs rangs et leurs sentiments. Car aucune n’était vraiment libre, même celles de haut rang et à moins qu’un riche seigneur rachète leur dette, l’avenir était plutôt limité. Quant aux histoires d’amour, il valait mieux y renoncer. Ce tome est donc axé sur le quotidien de l’équipe de chasseur, l’histoire principale autour du passé d’Ochô n’est pas abordé dans ce tome mais on se doute qu’elle sera dans la suite. En plus d’un graphisme soigné avec une grande précision sur les personnages et décors, le scenario est des plus prenant entre aspect historique et action. Si vous aimez l’époque des samouraïs et ninjas, ce livre est fait pour vous. (en plus l'édition est de belle qualité) Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/butterfly-beast-ii-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    Butterfly beast II tome 1

    Voici donc la suite des aventures de Ochô la kunoichi reconvertie en chasseuse (pour en savoir plus, allez voir la critique de la 1ere saison). Aventures n’est pas vraiment le terme approprié car Ochô n’a pas eu tellement le choix sur son nouveau mode de vie, elle doit éliminer les anciens shinobis qui ont mal tourné, et elle en souffre à chaque fois. Au travers des différentes histoires, on apprend un peu plus à connaître le quartier de Yoshiwara, le « quartier des plaisirs » situé au cœur de Tokyo et qui avait ses propres règles. Et c’est surtout la condition des courtisanes qui est dépeinte, leurs obligations, leurs rangs et leurs sentiments. Car aucune n’était vraiment libre, même celles de haut rang et à moins qu’un riche seigneur rachète leur dette, l’avenir était plutôt limité. Quant aux histoires d’amour, il valait mieux y renoncer. Ce tome est donc axé sur le quotidien de l’équipe de chasseur, l’histoire principale autour du passé d’Ochô n’est pas abordé dans ce tome mais on se doute qu’elle sera dans la suite. En plus d’un graphisme soigné avec une grande précision sur les personnages et décors, le scenario est des plus prenant entre aspect historique et action. Si vous aimez l’époque des samouraïs et ninjas, ce livre est fait pour vous. (en plus l'édition est de belle qualité)
  21. Titre de l'album : Entre les lignes tome 3 Scenariste de l'album : YAMASHITA Tomoko Dessinateur de l'album : YAMASHITA Tomoko Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : L'heure de la rentrée au lycée a sonné pour Asa. Makio est absente lors de la cérémonie d'entrée de sa nièce. Makio ne sera pas une seconde maman pour Asa même si elle l'accompagne dans la vie. Et Asa ne peut s'empêcher de se sentir différentes de ses nouveaux camarades accompagnés par leurs parents. Le journal que sa tante lui a conseillé de tenir l'attend mais elle ne sait pas toujours quoi écrire dans ce tourbillon de sentiments et d'émotions contradictoires qui l'assaillent... Critique : Premier jour de lycée pour Asa, elle y retrouve son amie Emiri, mais lors d’une discussion entre nouveaux camarades de classe, elle leur annonce que ces parents sont morts dans un accident et qu’elle vit avec sa tante romancière. Elle se demande après coup si ce n’était pas une erreur. Elle se rend compte très vite que les réponses sa tante Makio et celles de sa mère ne sont pas les mêmes, elle se sent perdus ne sachant qui écouter. De son côté, quand Emiri vient rendre visite à Asa, Makio réalise que son petit chez elle n’est plus qu’à elle, elle se sent envahie. Le manga est toujours aussi juste quand il s’agit de décrire les sentiments, aucune de ses deux protagonistes n’étant très expressives, même plutôt renfermée, c’est au cours de leurs réflexions qu’on comprend leurs émotions. Chacune doit apprendre à vivre avec une personne qu’elle n’a pas choisi tout en voyant leur quotidien être complètement chamboulé. Petit à petit Asa met des mots sur son chagrin, sa colère, elle chemine lentement dans le processus du deuil. Si le dessin n’est pas toujours très net, surtout sur les visages, le teste est intelligent et sensible. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/entre-les-lignes-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    Entre les lignes tome 3

    Premier jour de lycée pour Asa, elle y retrouve son amie Emiri, mais lors d’une discussion entre nouveaux camarades de classe, elle leur annonce que ces parents sont morts dans un accident et qu’elle vit avec sa tante romancière. Elle se demande après coup si ce n’était pas une erreur. Elle se rend compte très vite que les réponses sa tante Makio et celles de sa mère ne sont pas les mêmes, elle se sent perdus ne sachant qui écouter. De son côté, quand Emiri vient rendre visite à Asa, Makio réalise que son petit chez elle n’est plus qu’à elle, elle se sent envahie. Le manga est toujours aussi juste quand il s’agit de décrire les sentiments, aucune de ses deux protagonistes n’étant très expressives, même plutôt renfermée, c’est au cours de leurs réflexions qu’on comprend leurs émotions. Chacune doit apprendre à vivre avec une personne qu’elle n’a pas choisi tout en voyant leur quotidien être complètement chamboulé. Petit à petit Asa met des mots sur son chagrin, sa colère, elle chemine lentement dans le processus du deuil. Si le dessin n’est pas toujours très net, surtout sur les visages, le teste est intelligent et sensible.
  23. Titre de l'album : Tower of God tome 4 Scenariste de l'album : SIU Dessinateur de l'album : SIU Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Pour celles et ceux qui réussissent à atteindre son sommet, il n’est aucun désir que la Tour de Dieu ne puisse exaucer. Seulement, combien y parviennent ? Pour le protéger, Bam a été contraint de parier le Mars Noir avec Anak. Khun, Rak et lui n’ont plus d’autres choix que de gagner le jeu de la couronne... Leur entrée en scène s’est bien passée puisqu’ils se sont emparés du précieux couvre-chef. Toutefois, Khun l’a immédiatement rejeté entre leurs ennemis en se moquant d’eux, excitant leur colère ! Qu’a-t-il en tête ? Critique : Ce tome voit la fin du jeu de la couronne qui prend bien la moitié du livre, ce n’est pas la plus intéressante des épreuves mais encore une fois, cela permet d’introduire les personnages (et leurs capacités) qui auront de l’importance plus tard. La fin de ce jeu voit l’arrivée de Rachel avec un retour en arrière sur son passé commun avec Bam, son apparition va-t-elle changer la situation ? Comment Bam va-t-il réagir ? Une première moitié un peu moins intéressante, quelques longueurs sur ce jeu de la couronne mais une seconde qui réserve son lot de surprises. Un manga toujours agréable à lire, un graphisme parfois un peu simple, rappelons qu’il s’agit de la 1ere œuvre de l’auteur. On commence à voir quels sont les personnages qui se démarquent et qui vont poursuivre l’aventure; Khun notamment est clairement le personnage central de ce tome; par contre il reste beaucoup d’énigmes concernant la Tour. Un manga que je lis avec plaisir (relire dans mon cas, l’ayant découvert dans sa version webtoon). Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tower-of-god-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Nickad

    Tower of God tome 4

    Ce tome voit la fin du jeu de la couronne qui prend bien la moitié du livre, ce n’est pas la plus intéressante des épreuves mais encore une fois, cela permet d’introduire les personnages (et leurs capacités) qui auront de l’importance plus tard. La fin de ce jeu voit l’arrivée de Rachel avec un retour en arrière sur son passé commun avec Bam, son apparition va-t-elle changer la situation ? Comment Bam va-t-il réagir ? Une première moitié un peu moins intéressante, quelques longueurs sur ce jeu de la couronne mais une seconde qui réserve son lot de surprises. Un manga toujours agréable à lire, un graphisme parfois un peu simple, rappelons qu’il s’agit de la 1ere œuvre de l’auteur. On commence à voir quels sont les personnages qui se démarquent et qui vont poursuivre l’aventure; Khun notamment est clairement le personnage central de ce tome; par contre il reste beaucoup d’énigmes concernant la Tour. Un manga que je lis avec plaisir (relire dans mon cas, l’ayant découvert dans sa version webtoon).
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