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  1. Nickad

    Isabella Bird tome 8

    Il s'agit bien de la vraie Isabella Lucy Bird, voyageuse exploratrice photographe et écrivaine anglaise née en 1831 et morte en 1904
  2. Nickad

    Isabella Bird tome 8

    Le manga raconte le voyage de l’exploratrice Isabella Bird au XIXe siècle au Japon, peu de temps après son ouverture au monde. L’auteur est parti de la correspondance d’Isabella à ses amis et famille et a comblé les « trous » avec les connaissances sur le Japon de l’époque. Le personnage suit donc le vrai trajet de la voyageuse, le récit a beaucoup de détails sur la vie des habitants et leurs coutumes, en essayant d’être le plus juste possible, sans tricher sur la réalité : on y découvre donc les mœurs de l’époque mais aussi la méfiance vis-à-vis des étrangers, les situations parfois désastreuses des villages (pauvreté ou maladie) mais également toutes la richesse du pays par ses coutumes, ses plats, ses objets… Dans ce 8eme tome, Isabella et son guide Ito sont à Akita, on leur propose d’assister à un mariage, sauf que le cas de ces fiancés est loin d’être banal, le mariage a été autorisé à contrecœur pour préserver l’honneur de la famille de la mariée. Cela dit, à part l’absence du père, le mariage se déroule selon les coutumes de l’époque. Comme toujours, Ie manga est riche en informations, on y découvre toujours tout un tas d’usages et on est vraiment dépaysés. Isabella observe le monde qui l’entoure avec curiosité mais sans jamais juger, elle essaye de comprendre au mieux. On prend toujours plaisir à l’accompagner dans son périple car il y a un juste équilibre entre la partie aventure de son voyage et la partie culturelle, le récit n’est jamais pompeux, jamais ennuyant. Le graphisme est soigné, les paysages travaillés et pleins de détails, les villes, les costumes respectent bien la période évoquée. Un vrai plaisir.
  3. Titre de l'album : Isabella Bird tome 8 Scenariste de l'album : SASSA Taiga Dessinateur de l'album : SASSA Taiga Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : À Akita, Isabella croise à nouveau la route du Dr Kobayashi, que James Hepburn a chargé d'une mission : veiller sur la santé fragile de l'exploratrice ! Elle apprend que sir Harry Parkes a également négocié avec les autorités pour lui apporter l'aide de la police. Il ne reste qu'un seul obstacle à la découverte d'Ezo : Charles Maries, l'ancien employeur d'Ito, est toujours décidé à récupérer son boy. Mais les deux voyageurs ont réglé leurs différends et sont prêts à tout pour le convaincre d'abandonner... De quoi partir sur de bonnes bases pour finir la traversée de la plus grande île du Japon ! Critique : Le manga raconte le voyage de l’exploratrice Isabella Bird au XIXe siècle au Japon, peu de temps après son ouverture au monde. L’auteur est parti de la correspondance d’Isabella à ses amis et famille et a comblé les « trous » avec les connaissances sur le Japon de l’époque. Le personnage suit donc le vrai trajet de la voyageuse, le récit a beaucoup de détails sur la vie des habitants et leurs coutumes, en essayant d’être le plus juste possible, sans tricher sur la réalité : on y découvre donc les mœurs de l’époque mais aussi la méfiance vis-à-vis des étrangers, les situations parfois désastreuses des villages (pauvreté ou maladie) mais également toutes la richesse du pays par ses coutumes, ses plats, ses objets… Dans ce 8eme tome, Isabella et son guide Ito sont à Akita, on leur propose d’assister à un mariage, sauf que le cas de ces fiancés est loin d’être banal, le mariage a été autorisé à contrecœur pour préserver l’honneur de la famille de la mariée. Cela dit, à part l’absence du père, le mariage se déroule selon les coutumes de l’époque. Comme toujours, Ie manga est riche en informations, on y découvre toujours tout un tas d’usages et on est vraiment dépaysés. Isabella observe le monde qui l’entoure avec curiosité mais sans jamais juger, elle essaye de comprendre au mieux. On prend toujours plaisir à l’accompagner dans son périple car il y a un juste équilibre entre la partie aventure de son voyage et la partie culturelle, le récit n’est jamais pompeux, jamais ennuyant. Le graphisme est soigné, les paysages travaillés et pleins de détails, les villes, les costumes respectent bien la période évoquée. Un vrai plaisir. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/isabella-bird-femme-exploratrice-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Nickad

    Solo leveling tome 3

    Mais non, tu en es loin 😁 les 4 premiers tomes en France correspondent à 50 chapitres, il y aura 14 tomes a priori
  5. Nickad

    Solo leveling tome 3

    Solo leveling c'est fini ! le webtoon vient de tirer sa révérence au 179e chapitre ! Si vous avez un peu suivi les dernières discussions, il y a 2 saisons en tout J'avais peur que l'auteur surfe sur la vague du succès pour le faire durer mais non, et la c'est une fin plutôt intelligente Donc au final, même s'il y a quelques longueurs parfois, c'est un très bon manga avec des très belles illustrations et la saison 2 prend une autre dimension qui l'éloigne un peu du shonen type. Je ne regrette pas ma lecture.
  6. Nickad

    Sôten no Ken tome 2

    Kenshiro est de retour à Shanghai et compte bien assouvir sa vengeance. Il doit arriver à se rapprocher des chefs de l’union du pavot s’en se faire remarquer d’autant plus que ces derniers bénéficient de la protection de la police de la concession française. En même temps, il foit obtenir des informations et ne peut compter que sur Yé et son fils pour le moment. Sôten no Ken mêle habilement le côté historique (l’occupation de Shanghai, l’existence des concessions, l’influence des mafias…) et les arts martiaux. Le 2eme n’étant qu’un outil utilisé dans les affrontements qui ont lieu, le Hokuto n’est donc pas au centre du récit mais sert le héros, il y a quand même quelques apartés de temps en temps autour de ses origines. On n’est pas dans un manga de combat, ni de sport mais bien dans une sorte de thriller où l’on voit les sombres dessous du pouvoir : les manipulations de l’ombre, la mafia impitoyable plongée dans la violence et le meurtre, les conflits d’intérêt et les victimes collatérales. Le graphisme est très travaillé et permet une bonne immersion dans l’ambiance du livre. Le scenario est bien ficelé, sans temps mort et offre de nombreux développements possibles. Mais attention, il est à réserver aux adultes car il y a des scènes vraiment violentes.
  7. Titre de l'album : Sôten no Ken tome 2 Scenariste de l'album : BURONSON Dessinateur de l'album : HARA Tetsuo Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Dans les années 1930, Kenshirô Kasumi, « Roi des Enfers » (Yan-Wang, deux générations avant celle de Hokuto no Ken), 62e grand maître de la technique de combat Hokuto Shinken (« poing divin de la grande ourse ») se trouve pris dans des conflits autour de la Mandchourie Critique : Kenshiro est de retour à Shanghai et compte bien assouvir sa vengeance. Il doit arriver à se rapprocher des chefs de l’union du pavot s’en se faire remarquer d’autant plus que ces derniers bénéficient de la protection de la police de la concession française. En même temps, il foit obtenir des informations et ne peut compter que sur Yé et son fils pour le moment. Sôten no Ken mêle habilement le côté historique (l’occupation de Shanghai, l’existence des concessions, l’influence des mafias…) et les arts martiaux. Le 2eme n’étant qu’un outil utilisé dans les affrontements qui ont lieu, le Hokuto n’est donc pas au centre du récit mais sert le héros, il y a quand même quelques apartés de temps en temps autour de ses origines. On n’est pas dans un manga de combat, ni de sport mais bien dans une sorte de thriller où l’on voit les sombres dessous du pouvoir : les manipulations de l’ombre, la mafia impitoyable plongée dans la violence et le meurtre, les conflits d’intérêt et les victimes collatérales. Le graphisme est très travaillé et permet une bonne immersion dans l’ambiance du livre. Le scenario est bien ficelé, sans temps mort et offre de nombreux développements possibles. Mais attention, il est à réserver aux adultes car il y a des scènes vraiment violentes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/soten-no-ken-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Nickad

    Teenage Renaissance tome 2

    On ne va pas vous mentir, il n’y a pas vraiment d’histoire dans ce manga, une vague trame de vie de lycéens qui sert de lien conducteur mais pas vraiment d’histoire avec un objectif à atteindre, ni de chute à attendre. C’est à la fois un manga WTF, il est d’ailleurs rangé dans cette collection, et en même temps un manga culturel. L’auteur se sert de personnages issus du monde artistique (à l’origine, David est une sculpture, Venus et Mona des peintures, Goliath vient de la mythologie…) et il les fait évoluer dans un contexte contemporain avec une vie normale. Il met en scène des situations banales ou loufoques pour permettre de faire découvrir différentes œuvres d’art. Il y a sa version revisitée puis des pages présentant l’œuvre originelle, l’artiste, le mouvement artistique et même des recettes de plats italiens avec leurs origines. C’est à la fois intéressant (pour ceux qui sont un minimum orientés culture) et totalement inutile. Par contre, il faut reconnaître l’originalité du concept et la réussite graphique. Difficile de dire quel type de public pourrait être intéressé, je crois que le mieux c’est de tenter et de vous faire votre propre opinion.
  9. Titre de l'album : Teenage Renaissance tome 2 Scenariste de l'album : KUROKI Yûshin Dessinateur de l'album : KUROKI Yûshin Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Avec Teenage Renaissance, Yûshin Kuroki détourne les codes des comédies romantiques pour notre plus grand plaisir. Il rend hommage, du même coup, à l'art de la Renaissance... sous toutes ses formes ?! La jeune Léda ressent une attirance malvenue pour son frère David... Jalouse, elle décide alors de prendre Vénus en filature. Voilà qui annonce un été pour le moins mouvementé ! Mais ce n'est que le début de la saison estivale. Entre peur de rater les examens et libido débordante, le pauvre David arrivera-t-il à rester de marbre ? Critique : On ne va pas vous mentir, il n’y a pas vraiment d’histoire dans ce manga, une vague trame de vie de lycéens qui sert de lien conducteur mais pas vraiment d’histoire avec un objectif à atteindre, ni de chute à attendre. C’est à la fois un manga WTF, il est d’ailleurs rangé dans cette collection, et en même temps un manga culturel. L’auteur se sert de personnages issus du monde artistique (à l’origine, David est une sculpture, Venus et Mona des peintures, Goliath vient de la mythologie…) et il les fait évoluer dans un contexte contemporain avec une vie normale. Il met en scène des situations banales ou loufoques pour permettre de faire découvrir différentes œuvres d’art. Il y a sa version revisitée puis des pages présentant l’œuvre originelle, l’artiste, le mouvement artistique et même des recettes de plats italiens avec leurs origines. C’est à la fois intéressant (pour ceux qui sont un minimum orientés culture) et totalement inutile. Par contre, il faut reconnaître l’originalité du concept et la réussite graphique. Difficile de dire quel type de public pourrait être intéressé, je crois que le mieux c’est de tenter et de vous faire votre propre opinion. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-renaissance-de-david-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nickad

    Alice in borderland retry tome 1

    Alice in Borderland retry est la courte suite du manga Alice in Borderland, 18 tomes sortis entre 2013 et 2017. L’un des premiers manga « jeu de survie » arrivé en France et qui n’a pas eu le succès qu’il méritait, tout simplement parce que le genre n’était peut-être pas en vogue à l’époque ou parce qu’il a été éclipsé par King’s game qui a été publié en même temps. Alice était l’un des personnages de la première série, adolescent à l’époque, il faisait partie des quelques survivants du jeu. Borderland est un endroit situé entre la vie et la mort où les « joueurs » sont mis à l’épreuve. Devenu adulte, Alice est sur le point d’être père, suite à un accident, il se retrouve à nouveau à Borderland avec 6 autres joueurs et doit passer une épreuve : le concept est simple, ils doivent entrer dans une capsule pour survivre, chacun peut accorder ce droit à un autre joueur (impossible de se l’octroyer) et chacun a aussi une carte « death » pour contrer un autre joueur. A chaque tour, il y a une capsule en moins. Ceux qui restent meurent. L’intérêt du manga n’est pas le jeu, c’est le questionnement, comment décider de celui qui doit vivre et celui qui doit mourir. Et pour appuyer encore son propos, l’auteur choisit différents personnages : un père qui a élevé seul sa fille, qui est également présente, un médecin et une infirmière urgentiste, un voyou qui n’a pas de scrupule à tué pour voler. Est-ce que toutes les vies ont la même valeur ? Je ne peux pas comparer avec la série originelle car j’étais passée à côté et je ne l’ai acheté que récemment (mais pas encore lue), mais elle est considérée comme une série incontournable. Alice in Borderland retry nous pousse dans des réflexions psychologiques sur la valeur de la vie et de nos actes car finalement, personne n’est tout blanc ou tout noir, chacun a des défauts et commis des erreurs. Sur fond de survival, c’est finalement un thriller psychologique haletant qui nous ai proposé, un manga intéressant fini en 2 tomes. PS : il n'est pas nécessaire d'avoir lu la 1ère série pour comprendre même s'il y a quelques images flashback dans le manga.
  11. Titre de l'album : Alice in borderland retry tome 1 Scenariste de l'album : ASÔ Haro Dessinateur de l'album : ASÔ Haro Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Alice a maintenant 26 ans, il est marié et attend son premier enfant avec Yuzuha. Alors qu'il se rend dans un temple, il est de retour à Borderland. Il doit, à nouveau, participer à des jeux pour sauver sa peau. Dès la première épreuve, Alice se retrouve avec cinq personnes étranges et un mystérieux cadavre ! Critique : Alice in Borderland retry est la courte suite du manga Alice in Borderland, 18 tomes sortis entre 2013 et 2017. L’un des premiers manga « jeu de survie » arrivé en France et qui n’a pas eu le succès qu’il méritait, tout simplement parce que le genre n’était peut-être pas en vogue à l’époque ou parce qu’il a été éclipsé par King’s game qui a été publié en même temps. Alice était l’un des personnages de la première série, adolescent à l’époque, il faisait partie des quelques survivants du jeu. Borderland est un endroit situé entre la vie et la mort où les « joueurs » sont mis à l’épreuve. Devenu adulte, Alice est sur le point d’être père, suite à un accident, il se retrouve à nouveau à Borderland avec 6 autres joueurs et doit passer une épreuve : le concept est simple, ils doivent entrer dans une capsule pour survivre, chacun peut accorder ce droit à un autre joueur (impossible de se l’octroyer) et chacun a aussi une carte « death » pour contrer un autre joueur. A chaque tour, il y a une capsule en moins. Ceux qui restent meurent. L’intérêt du manga n’est pas le jeu, c’est le questionnement, comment décider de celui qui doit vivre et celui qui doit mourir. Et pour appuyer encore son propos, l’auteur choisit différents personnages : un père qui a élevé seul sa fille, qui est également présente, un médecin et une infirmière urgentiste, un voyou qui n’a pas de scrupule à tué pour voler. Est-ce que toutes les vies ont la même valeur ? Je ne peux pas comparer avec la série originelle car j’étais passée à côté et je ne l’ai acheté que récemment (mais pas encore lue), mais elle est considérée comme une série incontournable. Alice in Borderland retry nous pousse dans des réflexions psychologiques sur la valeur de la vie et de nos actes car finalement, personne n’est tout blanc ou tout noir, chacun a des défauts et commis des erreurs. Sur fond de survival, c’est finalement un thriller psychologique haletant qui nous ai proposé, un manga intéressant fini en 2 tomes. PS : il n'est pas nécessaire d'avoir lu la 1ère série pour comprendre même s'il y a quelques images flashback dans le manga. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/alice-on-borderland-retry-tome-1ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Maintenant que M Kanda et le chat Fukumaru vivent ensembles, ils vont devoir s’habituer l’un à l’autre et apprendre à se connaître. Comme dans le 1er tome, on a la vision et les pensées des 2 côtés. Ce sont plein de petites scènes du quotidien, une suite des comportements des chats avec leur interprétation. Mais encore une fois, ce qu’il y a en plus dans ce manga par rapport aux autres mangas de chat, c’est la chaleur qui s’en dégage. L’auteur ne fait pas qu’accumuler les anecdotes autour des chats et leurs comportements drôles et mignons (et il y a de quoi faire !!) mais il sait mettre des images sur les sentiments. Ceux de ce chat adulte tout moche qui a enfin trouvé une famille et ceux de cet homme qui retrouve de la joie dans son quotidien après le décès de son épouse. On ressent l’attachement l’un pour l’autre et on comprend tout ce qu’un animal peut apporter dans la vie. Même si ce tome est peut-être un peu moins émouvant que le 1er, il reste très bien fait, très bien dessiné et touchant. C’est un petit moment de tendresse et de bonheur dont on aurait tort de se priver.
  13. Titre de l'album : Le chat qui rendait l'homme heureux - et inversement - tome 2 Scenariste de l'album : SAKURAI Umi Dessinateur de l'album : SAKURAI Umi Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Fuyuki Kanda est un homme seul et triste. Un jour, il décide d'entrer dans une animalerie où il remarque Fukumaru, un chat pas très beau, gros et plus très jeune. Ce dernier semble triste et désespéré car personne ne veut de lui. Pourtant, de manière inattendue, l'homme va l'adopter ! Ainsi commence l'histoire d'un quotidien plein de tendresse, entre un homme et un chat en mal d'amour. Critique : Maintenant que M Kanda et le chat Fukumaru vivent ensembles, ils vont devoir s’habituer l’un à l’autre et apprendre à se connaître. Comme dans le 1er tome, on a la vision et les pensées des 2 côtés. Ce sont plein de petites scènes du quotidien, une suite des comportements des chats avec leur interprétation. Mais encore une fois, ce qu’il y a en plus dans ce manga par rapport aux autres mangas de chat, c’est la chaleur qui s’en dégage. L’auteur ne fait pas qu’accumuler les anecdotes autour des chats et leurs comportements drôles et mignons (et il y a de quoi faire !!) mais il sait mettre des images sur les sentiments. Ceux de ce chat adulte tout moche qui a enfin trouvé une famille et ceux de cet homme qui retrouve de la joie dans son quotidien après le décès de son épouse. On ressent l’attachement l’un pour l’autre et on comprend tout ce qu’un animal peut apporter dans la vie. Même si ce tome est peut-être un peu moins émouvant que le 1er, il reste très bien fait, très bien dessiné et touchant. C’est un petit moment de tendresse et de bonheur dont on aurait tort de se priver. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-chat-qui-rendait-l-homme-heureux-et-inversement-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Nickad

    Ao-chan can't study tome 1

    Ao Horie est lycéenne et tient à intégrer l’université de son choix. Elle est plutôt populaire, et quand le beau gosse du lycée lui fait des avances, elle ne sait pas du tout comment réagir d’autant plus qu’elle a un gros problème : toutes ses références viennent des romans de son père, spécialisé dans les romans érotiques. Elle a tendance à tout interpréter de travers et se faire des films facilement. Ce qui est intéressant, c’est la façon d’aborder les idées que les jeunes ont sur la sexualité : de faire la part des choses entre ce qu’ils lisent et la réalité. Mais ce n’est pas non plus un guide sur la sexualité, ce sont des petits moments de vie où Ao se fait des fausses idées et il faut avouer que ces moments de fantasmes sont vraiment innovants (par rapport à d’autres mangas pour le même âge). Le manga n’est pas déplaisant mais il ne m’a pas emballé plus que ça, honnêtement, je m‘attendais à un manga plus drôle. Je crois tout simplement que je suis passée à côté.
  15. Titre de l'album : Ao-chan can't study tome 1 Scenariste de l'album : KAWAHARA Ren Dessinateur de l'album : KAWAHARA Ren Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Ao Horie est studieuse et déterminée. Pour atteindre son objectif et intégrer l'université de ses rêves, elle est prête à renoncer aux plaisirs futiles de la jeunesse. De toute façon, les garçons ne pensent qu'au sexe ! C'est du moins l'image qu'elle s'en fait grâce à l'éducation de son père, le plus grand romancier «pour adultes» du pays, qui ne vit qu'à travers ses écrits... Comment se concentrer malgré l'influence paternelle ? Et surtout, comment réagir aux avances de l'idole de la classe lorsqu'on n'a que des histoires érotiques pour seules références ? Critique : Ao Horie est lycéenne et tient à intégrer l’université de son choix. Elle est plutôt populaire, et quand le beau gosse du lycée lui fait des avances, elle ne sait pas du tout comment réagir d’autant plus qu’elle a un gros problème : toutes ses références viennent des romans de son père, spécialisé dans les romans érotiques. Elle a tendance à tout interpréter de travers et se faire des films facilement. Ce qui est intéressant, c’est la façon d’aborder les idées que les jeunes ont sur la sexualité : de faire la part des choses entre ce qu’ils lisent et la réalité. Mais ce n’est pas non plus un guide sur la sexualité, ce sont des petits moments de vie où Ao se fait des fausses idées et il faut avouer que ces moments de fantasmes sont vraiment innovants (par rapport à d’autres mangas pour le même âge). Le manga n’est pas déplaisant mais il ne m’a pas emballé plus que ça, honnêtement, je m‘attendais à un manga plus drôle. Je crois tout simplement que je suis passée à côté. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ao-chan-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Nickad

    Sentinel

    Un homme se retrouve avec son fils, encore bébé, sur une ile inconnue après avoir fait naufrage et perdu sa femme. Les indigènes semblent hostiles et le pourchassent, il doit à tout prix trouver une embarcation pour quitter l’ile et pour cela ne peut compter que sur l’aide d’une femme mystérieuse qui ne comprend pas sa langue. Tout se passe très vite dans cette histoire, le naufrage, l’arrivée sur l’ile et l’issue de l’histoire. Tout est dans l’action, celle du présent où il faut se cacher et lutter, celle du passé menée tambour battant. Il y a un narrateur, non défini, qui raconte son histoire. Il y a des similitudes entre passé et présent. Et puis il y a l’inconnu, omniprésent, d’abord parce qu’on ne connait pas grand-chose de l’ile, à part son nom « Sentinel », qu’une grande partie de l’action se passe la nuit, et puis parce qu’il y a peu de paroles et que la moitié est en langage local. Le lecteur est mis au même niveau que l’homme, il subit l’action, on ne lui laisse pas le temps de s’appesantir et de comprendre et il prend la fin de plein fouet et tout s’éclaire enfin. Sentinel est une bd d’action efficace servie par des dessins tout autant efficaces. Elle n’est peut-être pas la plus originale dans le scenario mais elle a une narration légèrement déroutante, le genre de livre où la fin change tout. Toutefois, il y a des césures de mots inappropriées et des lettres en plus qui se baladent, je ne sais pas si c’est fait exprès mais cela laisse un petit goût de manque de finition pour le lectorat français.
  17. Nickad

    Sentinel

    Titre de l'album : Sentinel Scenariste de l'album : SARDINA Toni Dessinateur de l'album : D'ANGELO Simone Coloriste : D'ANGELO Simone Editeur de l'album : Shockdom Note : Résumé de l'album : Après un naufrage, un homme et son fils se retrouvent sur une île peuplée par des individus dangereux et inquiétants, décidés à les traquer comme des animaux. La fuite est impossible. Ils ne peuvent que confier leur destin à une femme autochtone qui veut les aider. Critique : Un homme se retrouve avec son fils, encore bébé, sur une ile inconnue après avoir fait naufrage et perdu sa femme. Les indigènes semblent hostiles et le pourchassent, il doit à tout prix trouver une embarcation pour quitter l’ile et pour cela ne peut compter que sur l’aide d’une femme mystérieuse qui ne comprend pas sa langue. Tout se passe très vite dans cette histoire, le naufrage, l’arrivée sur l’ile et l’issue de l’histoire. Tout est dans l’action, celle du présent où il faut se cacher et lutter, celle du passé menée tambour battant. Il y a un narrateur, non défini, qui raconte son histoire. Il y a des similitudes entre passé et présent. Et puis il y a l’inconnu, omniprésent, d’abord parce qu’on ne connait pas grand-chose de l’ile, à part son nom « Sentinel », qu’une grande partie de l’action se passe la nuit, et puis parce qu’il y a peu de paroles et que la moitié est en langage local. Le lecteur est mis au même niveau que l’homme, il subit l’action, on ne lui laisse pas le temps de s’appesantir et de comprendre et il prend la fin de plein fouet et tout s’éclaire enfin. Sentinel est une bd d’action efficace servie par des dessins tout autant efficaces. Elle n’est peut-être pas la plus originale dans le scenario mais elle a une narration légèrement déroutante, le genre de livre où la fin change tout. Toutefois, il y a des césures de mots inappropriées et des lettres en plus qui se baladent, je ne sais pas si c’est fait exprès mais cela laisse un petit goût de manque de finition pour le lectorat français. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sentinel?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Nickad

    Vos dernières lectures

    l'histoire et la graphisme je dirais, j'ai essayé 2 fois de le lire et j'ai fini par le revendre... oui il faut que je lise 47 cordes, j'ai tananarive aussi à lire entre autres (et il y a beaucoup d'autres...) il faut que je finisse mes sp aussi et j'ai reçu la réédition de Lone Wolf & cub, un pavé de 680 pages !!
  19. Nickad

    Vos dernières lectures

    J'ai lu Carbone & Silicium, j'ai bien aimé, en tout cas, je suis allée au bout, pas comme shangri-la
  20. Nickad

    Jeu Concours Manga de Noël

    jusqu’à

    Et voilà, toutes les informations sont en ligne : images à identifier, indices, lots et formulaire de réponse A vous de jouer !!
  21. Nickad

    Les calendriers de l'avent

    Argh ! je fais partie des 9 qui ont eu 48 points et j'ai rien gagné 😭
  22. Nickad

    24 décembre 1992 décès de PEYO

    Pierre Culliford est né en 1928 en Belgique. Il débute dans la bande dessinée d’après-guerre puis entre au journal de Spirou en 1951 grâce à Franquin, il développe son personnage de Johan (apparut en 1946), rejoint bientôt par Pirlouit. C’est en 1958 qu’apparaissent pour la 1ere fois les schtroumpfs qui vont voler la vedette à Johan et Pirlouit. En 1960, il fonde un studio pour accueillir ses assistants car il est surchargé de travail et crée les séries Benoit Brisefer et Jacky et Célestin. Avec le succès de ses séries et le développement des schtroumpfs sous de multiples formats et produits dérivés, Peyo ne peut plus dessiner autant qu’avant d’autant qu’il a des problèmes de santé. En 1988, avec son fils il quitte Dupuis et crée sa maison d’édition Cartoon creation, ce sera un échec. Il rejoint ensuite Le lombard et sort de nouvelles aventures, il ne s’occupe plus que du côté artistique, sa famille gérant les affaires. Épuisé et malade, il meurt le 24 décembre d’une crise cardiaque. Son surnom Peyo vient de son petit cousin qui n’arrivait pas à prononcer les « r ». Au départ, les schtroumpfs ne devaient exister que dans une seule histoire et c’est le courrier des lecteurs qui incite le rédacteur en chef Yvan Delporte à poursuivre leurs aventures. Francis (auteur de la Ford T), François Walthéry (auteur de Natacha), Derib (Yakari, Buddy Longway, Jo…) entre autres ont été les assistants de Peyo. Le schtroumpf financier est le dernier album dessiné par Peyo
  23. Nickad

    Les calendriers de l'avent

    Pratique Google Books j'en ai trouvé plusieurs comme ça
  24. Nickad

    23 décembre 2013 décès de José ORTIZ

    Né en 1932, José Ortiz est l’un des grands dessinateurs de la bande dessinée espagnole, il travailla dans les magazines Eerie et Vampirella. Puis il créa avec Segura les séries Hombre, Burton & Cyb et Morgan. Il est surtout reconnu pour son trait et son encrage qui en inspira plus d’un. Si vous voulez voir d’autres planches de l’auteur avec la progression de son trait, je vous recommande d’aller voir cet article José Ortiz : un maître espagnol nous a quittés… | BDZoom.com
  25. Nickad

    Solo leveling tome 3

    c'est vrai qu'il y a parfois des longueurs mais sur l'ensemble, ça vaut le coup je referai un post suivant le développement, car je ne m'attendais pas à ce qui se passe là où j'en suis
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