Aller au contenu
  • S’inscrire

The_PoP

Les gardiens du post
  • Compteur de contenus

    5 842
  • Inscription

  • Jours gagnés

    195

Tout ce qui a été posté par The_PoP

  1. Cette chronique a été faite à partir de l'édition en N&B. J'ai pour habitude d'user souvent du poncif selon lequel peu d'auteurs BD arrivent à conjuguer magnifiquement scénario & dessin. Mais je garde toujours en tête que Sean Murphy fait partie de ceux là et son run sur Batman dans le premier White Knight était aussi remarquable au dessin qu'original et sympa au scénario. C'est donc peu dire que j'attendais avec impatience ce second run. Le trait de Sean Murphy fait toujours mouche chez moi, et ce second tome est dans la lignée directe du premier, excellent. Raison pour laquelle j'ai privilégié la version en noir et blanc comme pour le premier tome. Je trouve en plus que cela convient merveilleusement bien au sombre et sérieux univers de Batman. Les amateurs du dessin de Sean Murphy seront comblés comme d'habitude, les autres le découvriront avec intérêt je pense. L'histoire nous prend par contre à contre pied, en effet là où le premier tome nous scotchait par une inversion des rôles saisissante doublée d'une remise en cause des acquis des fans de Batman, ce Curse of the White Knight se révèle presque plus classique, avec un scénario se rapprochant parfois de ce que Nolan a pu faire au cinéma dans sa trilogie. Au menu donc un super méchant en tête d'affiche pourtant pas forcément star habituellement de l'univers Batman, un Joker toujours trouble et maniant quelques ficelles, une Harley Queen Omniprésente dans un rôle à contre emploi également, une Catwoman absente des débats et des grosses prises de risques sur le destin de personnages emblématiques de Batman. Les fans absolu crieront peut être au scandale. Moi non. En vrai j'ai retrouvé cette sensation propre aux lectures de Game of Throne ou le lecteur se rend compte que l'auteur ne s'est donné aucune limite quand au destin de certains personnages que l'on adore pourtant. Ce qui rend la lecture d'autant plus stressante et passionnante. Alors oui, l'effet whaou est moindre sur ce tome-ci, et le méchant mis en avant n'est probablement pas à la hauteur d'un Batman pourtant dans les cordes, l'intrigue est moins originale que dans le premier tome et Sean Murphy utilise probablement un peu trop parfois des ficelles scénaristiques un peu grosses. Ceci dit je l'ai tout de même dévoré en une seule fois, avec ce côté addictif ou l'on a un peu plus envie de tourner la prochaine page. Et à la fin je crois que ça compte aussi. Si Curse of the White Knight est comme son illustre ainé pas exempt de défauts, il n'en reste pas moins remarquable par ses nombreuses qualités.
  2. Titre de l'album : Batman - Curse of the White Knight - Edition N&B Scenariste de l'album : Sean Murphy Dessinateur de l'album : Sean Murphy Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Le fléau Jack Napier est de nouveau derrière les barreaux, mais la sérénité est loin d'être de retour à Gotham, et encore moins au Manoir Wayne, où Bruce peine à retrouver équilibre et sérénité. Son pire ennemi n'a pas seulement ébranlé ses convictions et sa raison d'être, il a également durablement saccagé l'image de Batman et sa légitimité aux yeux des habitants de sa ville. La disparition d'Alfred n'est pas sans séquelle non plus, bien qu'elle laisse derrière lui un héritage inattendu : le journal d'Edmond Wayne daté de 1685, premier de sa lignée à s'être installé à Gotham et adversaire d'un certain Lafayette Arkham, dont les ossements ont été récemment découvert dans la cellule du Joker. Critique : Cette chronique a été faite à partir de l'édition en N&B. J'ai pour habitude d'user souvent du poncif selon lequel peu d'auteurs BD arrivent à conjuguer magnifiquement scénario & dessin. Mais je garde toujours en tête que Sean Murphy fait partie de ceux là et son run sur Batman dans le premier White Knight était aussi remarquable au dessin qu'original et sympa au scénario. C'est donc peu dire que j'attendais avec impatience ce second run. Le trait de Sean Murphy fait toujours mouche chez moi, et ce second tome est dans la lignée directe du premier, excellent. Raison pour laquelle j'ai privilégié la version en noir et blanc comme pour le premier tome. Je trouve en plus que cela convient merveilleusement bien au sombre et sérieux univers de Batman. Les amateurs du dessin de Sean Murphy seront comblés comme d'habitude, les autres le découvriront avec intérêt je pense. L'histoire nous prend par contre à contre pied, en effet là où le premier tome nous scotchait par une inversion des rôles saisissante doublée d'une remise en cause des acquis des fans de Batman, ce Curse of the White Knight se révèle presque plus classique, avec un scénario se rapprochant parfois de ce que Nolan a pu faire au cinéma dans sa trilogie. Au menu donc un super méchant en tête d'affiche pourtant pas forcément star habituellement de l'univers Batman, un Joker toujours trouble et maniant quelques ficelles, une Harley Queen Omniprésente dans un rôle à contre emploi également, une Catwoman absente des débats et des grosses prises de risques sur le destin de personnages emblématiques de Batman. Les fans absolu crieront peut être au scandale. Moi non. En vrai j'ai retrouvé cette sensation propre aux lectures de Game of Throne ou le lecteur se rend compte que l'auteur ne s'est donné aucune limite quand au destin de certains personnages que l'on adore pourtant. Ce qui rend la lecture d'autant plus stressante et passionnante. Alors oui, l'effet whaou est moindre sur ce tome-ci, et le méchant mis en avant n'est probablement pas à la hauteur d'un Batman pourtant dans les cordes, l'intrigue est moins originale que dans le premier tome et Sean Murphy utilise probablement un peu trop parfois des ficelles scénaristiques un peu grosses. Ceci dit je l'ai tout de même dévoré en une seule fois, avec ce côté addictif ou l'on a un peu plus envie de tourner la prochaine page. Et à la fin je crois que ça compte aussi. Si Curse of the White Knight est comme son illustre ainé pas exempt de défauts, il n'en reste pas moins remarquable par ses nombreuses qualités. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-curse-of-the-white-knight-ed-nb?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Je l’ai reçu depuis. clair que mon pdf était plus moche que le rendu final que je trouve assez propre. mais clairement d’accord avec toi @VladNirky, le scénario n’est pas très ambitieux non plus. conquêtes ce n’est pas de la grande SF... c’est de la SF/action de divertissement très accessible
  4. Je pense que l'intérieur peut vraiment vous plaire.
  5. Pour un premier tome là c'est très très cohérent pour le moment, presque trop sage. Du coup j'imagine pas le scénario partir trop en cacahuète...
  6. The_PoP

    Don Vega

    Alary a vraiment le don de nous faire souffler le chaud et le froid avec ses dessins... Mais je crois que je me la ferai offrir pour Noël celle là tiens. D'ailleurs, Marini a rendu hommage à cette BD et à Zorro. Je crois que j'aimerai beaucoup lui voir faire un Zorro.
  7. Titre de l'album : Invisible Kingdom - Tome 1 - Le Sentier Scenariste de l'album : G. Willow Wilson Dessinateur de l'album : Christian Ward Coloriste : Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : L'épopée de deux jeunes femmes dans une galaxie lointaine. Vess est une jeune initiée de la Renonciation, dévorée par une passion brûlante et une foi inébranlable. Pilote de fret aguerrie au service de la méga-corporation Lux, Grix est son antithèse. Elle trace sa route de planète en planète, épaulée par un équipage téméraire. Tout chavire quand Vess et Grix tombent sur une information explosive... Cette découverte fait chanceler les fondations de leur univers. Réunies par le hasard, elles doivent faire un choix : suivre le sentier auquel elles étaient destinées, ou s'en forger un tout nouveau. Critique : Bon forcément quand un comics de science fiction nous arrive avec l'étiquette du prix Eisner de la meilleure nouvelle série 2020, on l'attend un peu au tournant. Surtout quand en plus le travail du dessinateur, Christian Ward est en plus couvert d'éloges sur cet ouvrage. Les deux auteurs étaient jusqu'ici connus en France par les amateurs pour leurs contributions à l'univers Marvel. Force est de constater que cette série mérite notre intérêt. Moins créative à priori que Saga, elle n'en propose pas moins un univers original, cohérent, et des personnages Ô combien consistants. Ce premier tome nous lance dans une aventure presque dès l'entame et ne nous lâche pas avant la dernière page. J'ai encore un peu de mal à imaginer les répercussions des révélations faites sur cet opus et comment cela va s'articuler autour de l'univers créé, mais il faut bien constater un point : la critique acerbe de notre société actuelle fait mouche. Et plutôt deux fois qu'une, alors on pardonnera facilement à ce premier tome de peut être manquer un peu d'ampleur au niveau du scénario, privilégiant le rythme et l'action. La partie graphique est pour moi plus contrastée, parce que de prime abord, je n'ai pas aimé le dessin. Puis pages après pages, je me suis habitué, et sans finir subjugué, il faut reconnaitre qu'il y a la la patte d'un artiste. Cela vous plaira ou non, mais vous ne l'avez pas déjà vu 100 fois, et c'est suffisamment intéressant pour être souligné, notamment venant d'un ancien de chez Marvel. Chapeau donc, d'autant que je ne doute pas que si moi j'ai eu parfois du mal à rentrer dans cet univers graphique, certains vont littéralement adorer. Attendons donc le prochain tome au tournant mais ne vous privez pas de découvrir ce comics proposé par Hi Comics, dont je salue une nouvelle fois le flair et le travail d'édition. Autres infos : Eisner Award 2020 Nouvelle Série - Eisner Award 2020 Meilleur artiste numérique Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/invisible-kingdom-tome-1-le-sentier?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Bon forcément quand un comics de science fiction nous arrive avec l'étiquette du prix Eisner de la meilleure nouvelle série 2020, on l'attend un peu au tournant. Surtout quand en plus le travail du dessinateur, Christian Ward est en plus couvert d'éloges sur cet ouvrage. Les deux auteurs étaient jusqu'ici connus en France par les amateurs pour leurs contributions à l'univers Marvel. Force est de constater que cette série mérite notre intérêt. Moins créative à priori que Saga, elle n'en propose pas moins un univers original, cohérent, et des personnages Ô combien consistants. Ce premier tome nous lance dans une aventure presque dès l'entame et ne nous lâche pas avant la dernière page. J'ai encore un peu de mal à imaginer les répercussions des révélations faites sur cet opus et comment cela va s'articuler autour de l'univers créé, mais il faut bien constater un point : la critique acerbe de notre société actuelle fait mouche. Et plutôt deux fois qu'une, alors on pardonnera facilement à ce premier tome de peut être manquer un peu d'ampleur au niveau du scénario, privilégiant le rythme et l'action. La partie graphique est pour moi plus contrastée, parce que de prime abord, je n'ai pas aimé le dessin. Puis pages après pages, je me suis habitué, et sans finir subjugué, il faut reconnaitre qu'il y a la la patte d'un artiste. Cela vous plaira ou non, mais vous ne l'avez pas déjà vu 100 fois, et c'est suffisamment intéressant pour être souligné, notamment venant d'un ancien de chez Marvel. Chapeau donc, d'autant que je ne doute pas que si moi j'ai eu parfois du mal à rentrer dans cet univers graphique, certains vont littéralement adorer. Attendons donc le prochain tome au tournant mais ne vous privez pas de découvrir ce comics proposé par Hi Comics, dont je salue une nouvelle fois le flair et le travail d'édition.
  9. The_PoP

    Don Vega

    Ouais mais là c’est Zorro. T’as le droit. D’ailleurs moi aussi ça me titille. sévèrement. meme si j’avoue que j’ai été un peu décontenancé en feuilletant les pages rapidos. mais je vais y venir. ah zorro c’était magnifique. Quelle qualité dans cette série tv...
  10. @VladNirky : bizarrement j'ai pensé à toi. Et j'ai comparé aussi à Crusaders. Ben y a pas photo.
  11. pas de russes dans les 5 premiers de mémoire. Les nordiques, les europeens du sud, les canadiens, les US, et les japonais...
  12. @Kevin Nivek : oui j'ai voulu la faire rapidement pour coller à la sortie... Je ne déborde pas d'enthousiasme, mais c'est globalement bon. Surtout si vous avez aimé les tomes précédents. C'est au même niveau. @poseidon2 : ben, là il y en a quelques uns 🙂 C'est les russes façon Soviets SF hein... Il a du arriver quelque chose à Poutine... 😄
  13. Titre de l'album : Conquêtes - Tome 6 - Adonaï Scenariste de l'album : Jean-Luc Istin & Nicolas Jarry Dessinateur de l'album : Betrand Benoit Coloriste : Olivier Héban Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Les Américains ont eu leur Vietnam ! Les Russes auront Adonaï ! Là, au milieu d'une jungle dense, poisseuse et humide, l'ennemi invisible les cerne. La flotte russe a atteint Adonaï et découvre qu'une jungle s'étend sur toute la surface de la planète. Après avoir établi une tête de pont, les commissaires lancent une offensive contre les Caméléons, des humanoïdes presque invisibles qui ont mené des raids meurtriers contre les humains. Après des mois de campagne, l'armée s'est enlisée dans une guerre d'usure et les morts se comptent en milliers. Alors, lorsque le sous-lieutenant Orlov et son escouade se retrouvent coupés de leur ligne avec pour seul équipement ce qu'ils portent sur le dos, pour eux, pas d'autre alternative que d'avancer ou de crever... Critique : Cette chronique a été rédigée à partir du pdf de lecture, aussi il peut y avoir des différences d'appréciation par rapport à la version finale papier. Après le bon accueil en librairies des 5 premiers tomes en one shot de Conquêtes, Soleil a décidé de relancer une seconde vague. Ca tome bien, on n'avait pas vu les Russes encore, et ne pas les voir dans cette aventure spatiale me semblait assez hallucinant. Nous revoici donc sur une nouvelle planète, évidemment étrange, avec des Russes aux prises avec des E.T pas toujours hyper coopératifs. Comme d'habitude, retournements de situation, embrouilles, complots et action sont au menu. Avec au passage quelques allusions à "l'avant" et aux circonstances ayant poussé l'humanité à émigrer. Alléchant sur le papier, c'est pour le moment beaucoup trop maigre pour donner plus de dimension au fil conducteur reliant ces 6 one shots. Retour donc sur l'aventure d'une escouade façon 12 salopards dans une jungle hostile. Les références aux films du genre sont évidentes mais maîtrisées. Le rythme est bien. Et le dénouement très bien pensé. Graphiquement, Bertrand Benoit avait déjà plutôt bien dessiné le tome 2, alors autant vous dire qu'on reste en terrain connu. L'ensemble est agréable avec de jolis couleurs et des visages bien détaillés et les scènes d'actions sont assez lisibles. Alors non Conquêtes n'est pas vraiment de la grande science fiction d'envergure, mais plutôt une bonne série de one shots blindés de références cinématographiques pas forcément toutes de science fiction, et au final bien agréable à lire. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/conquetes-tome-6-adonai?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. The_PoP

    Conquêtes - Tome 6 - Adonaï

    Cette chronique a été rédigée à partir du pdf de lecture, aussi il peut y avoir des différences d'appréciation par rapport à la version finale papier. Après le bon accueil en librairies des 5 premiers tomes en one shot de Conquêtes, Soleil a décidé de relancer une seconde vague. Ca tome bien, on n'avait pas vu les Russes encore, et ne pas les voir dans cette aventure spatiale me semblait assez hallucinant. Nous revoici donc sur une nouvelle planète, évidemment étrange, avec des Russes aux prises avec des E.T pas toujours hyper coopératifs. Comme d'habitude, retournements de situation, embrouilles, complots et action sont au menu. Avec au passage quelques allusions à "l'avant" et aux circonstances ayant poussé l'humanité à émigrer. Alléchant sur le papier, c'est pour le moment beaucoup trop maigre pour donner plus de dimension au fil conducteur reliant ces 6 one shots. Retour donc sur l'aventure d'une escouade façon 12 salopards dans une jungle hostile. Les références aux films du genre sont évidentes mais maîtrisées. Le rythme est bien. Et le dénouement très bien pensé. Graphiquement, Bertrand Benoit avait déjà plutôt bien dessiné le tome 2, alors autant vous dire qu'on reste en terrain connu. L'ensemble est agréable avec de jolis couleurs et des visages bien détaillés et les scènes d'actions sont assez lisibles. Alors non Conquêtes n'est pas vraiment de la grande science fiction d'envergure, mais plutôt une bonne série de one shots blindés de références cinématographiques pas forcément toutes de science fiction, et au final bien agréable à lire.
  15. Titre de l'album : Olympus Mons - Tome 7 - Mission Farout Scenariste de l'album : Christophe Bec Dessinateur de l'album : Stefano Raffaele Coloriste : Natalya Marques Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : « Farout », mot anglais à connotation argotique signifiant « lointain ». Farout, planète naine 100 fois plus éloignée du Soleil que la Terre. Il s'agit du second corps le plus lointain jamais observé dans notre système solaire. Durant leur retour sur Terre, l'androïde alien Einstein a révélé à la cosmonaute russe Elena Chevtchenko l'existence d'une lointaine planète naine, aux confins du système solaire, une planète de glace. La civilisation qui l'a créée y a installé ce qui pourrait bien être le remède à tous les maux de l'Humanité. Elena va se porter volontaire pour cette nouvelle expédition. Critique : Cette chronique a été rédigée à partir du pdf de lecture, aussi il peut y avoir des différences d'appréciation par rapport à la version finale papier. Bon, je vous avoue que c'est rare que je prenne mon pied en SF. C'est rare aussi que les grandes productions Soleil me fassent vibrer, et c'est encore plus rare que je raccroche à une série en cours au bout de 6 tomes. Surtout sur un départ de second cycle après une presque "fin" acceptable dans le tome 6. Mais c'est bien là la magie de Bec, que d'arriver encore à nous intéresser, malgré cet air de déjà vu dans ses intrigues, malgré ses personnages pas trop développés, et malgré sa tendance à rallonger un poil ce qui pourrait être plus court. Oui ces défauts sont bien présents dans Olympus Mons sur certains tomes, mais force est de constater que ce tome 7 est comme souvent avec Bec, un vrai bon tome de démarrage. Sauf qu'on a derrière nous les 6 tomes précédents, terminés en nous laissant des questions, et questions auquel M. Bec semble bien décidé à donner des réponses. Alors si vous êtes amateurs de SF et que vous avez lâché cette série il y a quelques temps déjà, lassés, à vous de voir si vous souhaitez lui laisser une seconde chance, car il y a peu de doutes sur le fait que cela va encore durer un peu. Mais en BD d'exploration spatiale, d'aventure humaine teintée de SF technologique, je trouve que c'est très bon. A noter que sur ma version pdf, les très belles planches succédaient parfois à des planches plus petites et qui m'ont semblées moins soignées. Le genre SF est pour moi un peu coutumier du fait alors ce n'est pas très dérangeant, d'autant que les planches plus larges et les grands plans spatiaux sont bien réussis, mais cela participe malgré tout à nous empêcher trop d'empathie pour nos personnages. Avis aux amateurs donc. La suite nous dire si cette série va rebondir durablement ou replonger dans ses travers. Autres infos : Et pourquoi pas y replonger ? Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/olympus-mons-tome-7-mission-farout?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Cette chronique a été rédigée à partir du pdf de lecture, aussi il peut y avoir des différences d'appréciation par rapport à la version finale papier. Bon, je vous avoue que c'est rare que je prenne mon pied en SF. C'est rare aussi que les grandes productions Soleil me fassent vibrer, et c'est encore plus rare que je raccroche à une série en cours au bout de 6 tomes. Surtout sur un départ de second cycle après une presque "fin" acceptable dans le tome 6. Mais c'est bien là la magie de Bec, que d'arriver encore à nous intéresser, malgré cet air de déjà vu dans ses intrigues, malgré ses personnages pas trop développés, et malgré sa tendance à rallonger un poil ce qui pourrait être plus court. Oui ces défauts sont bien présents dans Olympus Mons sur certains tomes, mais force est de constater que ce tome 7 est comme souvent avec Bec, un vrai bon tome de démarrage. Sauf qu'on a derrière nous les 6 tomes précédents, terminés en nous laissant des questions, et questions auquel M. Bec semble bien décidé à donner des réponses. Alors si vous êtes amateurs de SF et que vous avez lâché cette série il y a quelques temps déjà, lassés, à vous de voir si vous souhaitez lui laisser une seconde chance, car il y a peu de doutes sur le fait que cela va encore durer un peu. Mais en BD d'exploration spatiale, d'aventure humaine teintée de SF technologique, je trouve que c'est très bon. A noter que sur ma version pdf, les très belles planches succédaient parfois à des planches plus petites et qui m'ont semblées moins soignées. Le genre SF est pour moi un peu coutumier du fait alors ce n'est pas très dérangeant, d'autant que les planches plus larges et les grands plans spatiaux sont bien réussis, mais cela participe malgré tout à nous empêcher trop d'empathie pour nos personnages. Avis aux amateurs donc. La suite nous dire si cette série va rebondir durablement ou replonger dans ses travers.
  17. The_PoP

    Derniers Achats

    son conan était horrible à M. Alary, incompréhensible. Par contre il a aussi fait Mon Traitre et Retour à killibegs
  18. The_PoP

    Middlewest t1

    Je viens de finir les Y perso. C'est quand même vraiment bien. Mais je vous avoue que vu ce que vous en aviez dit je m'attendais a encore plus. Après réflexion, cette BD n'en est que plus intéressante. Moins intéressante par l'histoire qu'elle narre que par la façon dont elle le fait et les réflexions qu'elle met en oeuvre. Une belle lecture en somme.
  19. The_PoP

    Derniers Achats

    La vache je viens de voir qu’un Don Vega était prévu très bientôt par M. Alary 🙂
  20. The_PoP

    Derniers Achats

    L’exilé me tentait carrément. aristophzbia j’ai raté la sortie du 2. Il était bon ?
  21. The_PoP

    Derniers Achats

    @Kevin Nivek tu veux faire la chronique de conquête. Je l’ai reçu seulement en pdf pour le moment
  22. The_PoP

    Middlewest t1

    Heu Pos’ t’as dépassé ton quota de bonnes notes...
  23. The_PoP

    New York Cannibals

    Ah ah Si c’est bien de Durango que tu parles Jevin tu devrais te régaler. Les premiers tomes sont vraiment bons. Par contre de mémoire chaque tome est une histoire complete
  24. The_PoP

    New York Cannibals

    dis pas ça @poseidon2 🙂 C’est surtout que Bouncer c’est Jodo au scénario...
  25. The_PoP

    New York Cannibals

    Pour moi pour qui ça n’a jamais été si clair que ça : qu’est ce que tu définis comme « ligne claire » ?
×
×
  • Créer...