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The_PoP

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Tout ce qui a été posté par The_PoP

  1. The_PoP

    Horseback-1861

    Bon. Je confirme la note d’Alx pour moi. c’était bien mais assez loin des ténors du genre tout de même. Pas mal d’idées restent inexploitées et l’intrigue est quand même super légère je trouve. Surtout par rapport au background.
  2. The_PoP

    Derniers Achats

    Moi je revends tout chez Gibert... j’en tire grosso modo 4-5 € par bd. Mais je peux y aller à pied et ils en reprennent beaucoup beaucoup
  3. The_PoP

    Derniers Achats

    bon ben je l'ai pris, ainsi que la geste des princes démon, et je l'avoue les 2 derniers Y qui me manquaient...
  4. ça m'a aussi donné envie de lire le livre, mais j'ai fait confiance à Pos', je vais acheter la BD et je me prendrais le livre après si jamais c'est bien 🙂 pour avoir la fin de l'histoire sans trainer 🙂
  5. The_PoP

    Derniers Achats

    Le Batman c’est la suite du white knight ? Toujours avec Sean Murphy ?
  6. J’ai bien aimé ce tome 10 perso. Je pense qu’il se classe après les 4 premiers que vous citez qui sont vraiment un cran au dessus du reste pour moi. du coup je n’ai pas fait mon classement car cela fait quelques temps que je les ai lus mais ce sont bien ces 4 là que je met en premier, avec peut être une préférence pour Au delà de la rivière noire. reste que ce tome 10 est un bon cru pour moi. Qui relance un peu mon intérêt car j’hésitais a en rester là sur cette série avant ce tome. Le prochain sera décisif pour moi.
  7. Bon ben... merci Pos’ ...
  8. The_PoP

    Alpha - Tome 15 - Roadies

    On l'avait quitté en bien fâcheuse posture, et pourtant voici Alpha relancé dans un nouveau cycle. Et ce n'est pas pour me déplaire, les relations entre les différents personnages étant assez sympatiques dans cet opus, le dépaysement étant assuré, et la partie action un poil moins présente. Ceci étant dit, la patte de Alain Queireix au dessin est toujours aussi sûre, et sans trop d'artifices ou de fioritures, il nous livre une bonne cuvée façon BD d'espionnage de son héros au long cours. Ce tome d'Alpha se lit vite, et avec intérêt, même pour les non passionnés de la série. Côté complots, on redémarre tranquillement avec une petite affaire pas si simple, mais qui va permettre à Alpha de solder une partie de ses comptes avec sa direction, et c'est tant mieux vu le second tome qui s'annonce.
  9. Titre de l'album : Alpha - Tome 15 - Roadies Scenariste de l'album : Emmanuel Herzet Dessinateur de l'album : Alain Queireix Coloriste : Didier Ray Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Alors qu'Alpha est enfermé dans une prison haute sécurité, la CIA fait le vide total sur son passage à l'agence. Tout ce qui concerne l'agent Tyler doit disparaître. C'était sans compter sur les ressources de notre héros et surtout sur quelques noms, dates et numéros de dossiers bien utiles, gravés dans sa mémoire. En échange de la promesse de garder secrètes ces informations, Alpha contraint Irène Keller, nouveau cadre de l'agence, de le réintégrer. Keller accepte, mais à ses conditions. Hors de question de reprendre du service à l'agence. Alpha se retrouve muté à Mayotte, dans une antenne miteuse du service diplomatique. Alors qu'il dépérit d'ennui à jouer les employés modèles, la petite île devient le terrain d'une guerre feutrée entre différents services étrangers. Visiblement la région n'est pas qu'une destination de rêve pour touristes avides de soleil et de sable fin... Critique : On l'avait quitté en bien fâcheuse posture, et pourtant voici Alpha relancé dans un nouveau cycle. Et ce n'est pas pour me déplaire, les relations entre les différents personnages étant assez sympatiques dans cet opus, le dépaysement étant assuré, et la partie action un poil moins présente. Ceci étant dit, la patte de Alain Queireix au dessin est toujours aussi sûre, et sans trop d'artifices ou de fioritures, il nous livre une bonne cuvée façon BD d'espionnage de son héros au long cours. Ce tome d'Alpha se lit vite, et avec intérêt, même pour les non passionnés de la série. Côté complots, on redémarre tranquillement avec une petite affaire pas si simple, mais qui va permettre à Alpha de solder une partie de ses comptes avec sa direction, et c'est tant mieux vu le second tome qui s'annonce. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Et voilà une bonne surprise ! Elevé aux Buck Danny dans ma tendre enfance, puis émerveillé devant Le grand Duc plus tard, je m'étais un peu éloigné des BD traitant de l'aviation militaire. C'est donc avec un peu d'appréhension que j'ai remis le pied à l'étrier avec ce Tome 2 de Centaures. Alors disons le tout de suite clairement, oui les appareils volants militaires sont mis à l'honneur dans cette série, mais ce n'est clairement pas le seul intérêt de ce thriller explosif bourré de complots sur fond de guerre mêlant la France et une république d'Afrique en pleine guerre civile. et quelque part tant mieux. Tant mieux car cela donne l'occasion à Eric Loutte (aidé d'André Le Bras et de Gilles Laplagne) de nous prouver que s'il a un sens du détail essentiel pour les dessins d'avions et autres appareils et situations de combat, il est aussi à l'aise avec ses personnages et décors. Tant mieux car cela donne l'occasion à Emmanuel Herzet connu pour sa série Alpha mais surtout pour son travail sur l'inoubliable Chant du Cygne de nous redémontrer l'étendue de son talent pour les techno thriller façon Tom Clancy en BD. Au final on se retrouve avec une aventure qui passe bien, une lecture facile mais intéressante pour tous ceux qui s'intéressent de près ou de loin à l'armée française actuelle et à la géopolitique mondiale.
  11. Titre de l'album : Centaures - Tome 2 - Cri de guerre Scenariste de l'album : Emmanuel Herzet Dessinateur de l'album : Eric Loutte & André Le Bras & Gilles Laplagne Coloriste : Nicolas Caniaux & Rémi Le Capon Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Les îles Amandine, ancien DOM-TOM situé au sud de la Réunion, connaissent une grave crise politique qui dégénère bientôt en guerre civile. Deux pilotes français sont contraints d'atterrir en territoire hostile. Le porte-avions Charles de Gaulle est immédiatement dépêché sur zone. À son bord se trouve le pilote Gil "Gecko" Morgan, tête brûlée et meilleur ami de TNT. Il est impatient d'en découdre. Il ne sera pas déçu... Critique : Et voilà une bonne surprise ! Elevé aux Buck Danny dans ma tendre enfance, puis émerveillé devant Le grand Duc plus tard, je m'étais un peu éloigné des BD traitant de l'aviation militaire. C'est donc avec un peu d'appréhension que j'ai remis le pied à l'étrier avec ce Tome 2 de Centaures. Alors disons le tout de suite clairement, oui les appareils volants militaires sont mis à l'honneur dans cette série, mais ce n'est clairement pas le seul intérêt de ce thriller explosif bourré de complots sur fond de guerre mêlant la France et une république d'Afrique en pleine guerre civile. et quelque part tant mieux. Tant mieux car cela donne l'occasion à Eric Loutte (aidé d'André Le Bras et de Gilles Laplagne) de nous prouver que s'il a un sens du détail essentiel pour les dessins d'avions et autres appareils et situations de combat, il est aussi à l'aise avec ses personnages et décors. Tant mieux car cela donne l'occasion à Emmanuel Herzet connu pour sa série Alpha mais surtout pour son travail sur l'inoubliable Chant du Cygne de nous redémontrer l'étendue de son talent pour les techno thriller façon Tom Clancy en BD. Au final on se retrouve avec une aventure qui passe bien, une lecture facile mais intéressante pour tous ceux qui s'intéressent de près ou de loin à l'armée française actuelle et à la géopolitique mondiale. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/centaures-tome-2-cri-de-guerre?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. The_PoP

    Sur la route de Whiskyville

    Sur la route de Whiskyville est un joyeux foutoir, une ode aux différences, un appel de la liberté joyeux et insouciant qui nous fera passer en revue une ribambelle de personnages improbables, hauts en couleurs. Leurs aventures, parfois tragiques, mais plus souvent comiques ne vous tireront probablement pas de grands éclats de rires, mais plutôt une grande tendresse envers ces doux rêveurs marginaux. Ce road movie en BD aurait pu être directement tiré d'un film des frères Coen ou de l'imagination débordante d'un Tim Burton période "Big Fish". Et c'est plutôt un compliment tant le dessin tout en rondeur de Joe Flood servi par sa coloration lumineuse et joyeuse colle bien au propos. Je pense toutefois qu'on a perdu quelques subtilités de la version originale dans la traduction réalisée par Matz. Si celle ci est indéniablement bien faite, je pense que l'on a du perdre en route une bonne part de l'argot américain qui pouvait faire le sel de cette aventure dans l'Amérique des déclassés pendant la grande dépression. Sur la route de Whiskyville reste une lecture rafraichissante, décalée, pleine de bonne humeur et d'appel à la tolérance que vous lirez d'une traite et qui vous laissera parfois un peu rêveur.
  13. Titre de l'album : Sur la route de Whiskyville Scenariste de l'album : Macon Blair Dessinateur de l'album : Joe Flood Coloriste : Joe Flood Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Qui pourrait résister à l'appel d'un tel gueuleton quand on a l'estomac dans les talons ? Certainement pas Jed et Thanny, deux truculents vagabonds qui traînent leurs guêtres dans l'Amérique de la Grande Dépression à la recherche d'un eldorado aussi mythique qu'éthylique : Whiskyville. Mais tant pis pour la bâfre : accusés de la mort de sa femme par un crétin de flic irlandais qui en veut à leurs scalps, nos deux gaillards devront mettre les voiles vers des horizons plus cléments, semant le chaos et la sidération dans leur sillage. Une aventure déjantée à la poursuite du bonheur et de la liberté, menée tambour battant au son des banjos et des guimbardes. Critique : Sur la route de Whiskyville est un joyeux foutoir, une ode aux différences, un appel de la liberté joyeux et insouciant qui nous fera passer en revue une ribambelle de personnages improbables, hauts en couleurs. Leurs aventures, parfois tragiques, mais plus souvent comiques ne vous tireront probablement pas de grands éclats de rires, mais plutôt une grande tendresse envers ces doux rêveurs marginaux. Ce road movie en BD aurait pu être directement tiré d'un film des frères Coen ou de l'imagination débordante d'un Tim Burton période "Big Fish". Et c'est plutôt un compliment tant le dessin tout en rondeur de Joe Flood servi par sa coloration lumineuse et joyeuse colle bien au propos. Je pense toutefois qu'on a perdu quelques subtilités de la version originale dans la traduction réalisée par Matz. Si celle ci est indéniablement bien faite, je pense que l'on a du perdre en route une bonne part de l'argot américain qui pouvait faire le sel de cette aventure dans l'Amérique des déclassés pendant la grande dépression. Sur la route de Whiskyville reste une lecture rafraichissante, décalée, pleine de bonne humeur et d'appel à la tolérance que vous lirez d'une traite et qui vous laissera parfois un peu rêveur. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sur-la-route-de-whiskyville?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Zut mardi soir c’est soir de jeu de rôle... 🙂 mais je pourrais peut être vers 22h...
  15. Pour les coteries du multi viens sur Overwatch avec nous 🙂 on manque de vieux briscards 🙂
  16. The_PoP

    Spirou chez les soviets

    Lu et bien apprécié. Très sympa.
  17. Ben le premier est très frais car le concept d’enlever la gravité a beaucoup beaucoup de conséquences inattendues. Le second est moins dans cet esprit mais bien quand même. apres je l’ai prêté à un pote qui a un peu moins aimé que moi le premier tome qu’il a trouvé sympa mais sans plus...
  18. ET voici le second tome du crossover Rick & Morty X Dungeons & Dragons. SI je ne suis toujours pas devenu fan de l'humour noir et sans limites de Rick & Morty, j'avoue que j'ai pris beaucoup de plaisir, certes régressif, à lire ce crossover en bon amateur de D&D que je suis. Pas grand chose à dire sur l'aspect graphique, tant le style est désormais connu et reconnu, toujours soutenu par une coloration vive. Côté scénario, pas grand chose d'original mais une histoire qui tient suffisamment la route pour laisser tranquillement la place aux vannes et aux idioties des personnages. Et si je n'ai pas ri aux éclats, j'ai souvent souri ou soupiré ce qui est déjà pas mal vu la difficulté que représente généralement l'humour en BD.
  19. Titre de l'album : Rick & Morty - Dungeons & Dragons - Tome 2 Scenariste de l'album : Jim Zub Dessinateur de l'album : Troy Little Coloriste : Leonardo Ito Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Le combo magique est de retour ! Il était un tome 1... où Rick et Morty et toute la famille Smith s'en allèrent vivre des aventures épiques et délirantes dans des dimensions régies par les lois de Dungeons & Dragons. Mais Rick Sanchez a beau être le scientifique le plus doué du multivers, peut-il impunément manipuler le cultissime jeu de rôles ? Cette fois-ci, c'est tout l'univers D&D qui débarque sur Terre, bien décidé à mener une quête sans pitié pour détruire le génie dépravé, et personne n'y échappera. Pour survivre, la famille la plus dysfonctionnelle de sa dimension va devoir lancer les dés (et les vannes) comme jamais ! La dream team Jim Zub et Troy Little (triplement nommé aux Eisner Awards) est de nouveau dans la place avec ce deuxième tome épique qui capture à la perfection l'essence des deux monstres de la pop culture que sont Rick & Morty et Dungeons & Dragons. Critique : ET voici le second tome du crossover Rick & Morty X Dungeons & Dragons. SI je ne suis toujours pas devenu fan de l'humour noir et sans limites de Rick & Morty, j'avoue que j'ai pris beaucoup de plaisir, certes régressif, à lire ce crossover en bon amateur de D&D que je suis. Pas grand chose à dire sur l'aspect graphique, tant le style est désormais connu et reconnu, toujours soutenu par une coloration vive. Côté scénario, pas grand chose d'original mais une histoire qui tient suffisamment la route pour laisser tranquillement la place aux vannes et aux idioties des personnages. Et si je n'ai pas ri aux éclats, j'ai souvent souri ou soupiré ce qui est déjà pas mal vu la difficulté que représente généralement l'humour en BD. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rick-morty-vs-dungeons-dragons-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Et voilà, peu de temps après la sortie du tome 1 qui avait constitué une super surprise de ce début d'année, Hi Comics nous délivre déjà le second tome. Evidemment après un tome 1 aussi rythmé que plein de surprises, ce tome 2 était attendu au tournant. Pas de suspens, ce tome 2 n'est pas une déception. Il prend d'ailleurs pas mal le lecteur à contre pieds en emmenant nos héros et l'intrigue dans une direction surprenante. Et quelque part c'est tant mieux. Si ce tome 2 reste un peu court en terme de révélations, l'action elle va à 2000 à l'heure. Graphiquement l'ensemble est toujours aussi propre et soigné, et les scène d'actions particulièrement lisibles. Bon on est toujours dans le style récent des comics mais cela reste toujours très lisible. Bref, Skyward confirme être une série de SF à suivre pour ceux qui aiment un peu de fraîcheur.
  21. Titre de l'album : Skyward - Tome 2 - La ou naissent les libellules Scenariste de l'album : Joe Henderson Dessinateur de l'album : Lee Garbett Coloriste : Antonio Fabela Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Dans ce deuxième tome, Joe Henderson, scénariste et showrunner (Lucifer) et Lee Garbett (Lucifer, Loki: Agent of Asgard) continuent de donner vie à Willa, toujours plus combattive, charismatique et attachante, dans un monde où la gravitation n'est plus mais où les faux-semblants demeurent. Nommée à l'Eisner Award de la meilleure nouvelle série en 2019, Skyward est désormais en route pour le grand écran. Critique : Et voilà, peu de temps après la sortie du tome 1 qui avait constitué une super surprise de ce début d'année, Hi Comics nous délivre déjà le second tome. Evidemment après un tome 1 aussi rythmé que plein de surprises, ce tome 2 était attendu au tournant. Pas de suspens, ce tome 2 n'est pas une déception. Il prend d'ailleurs pas mal le lecteur à contre pieds en emmenant nos héros et l'intrigue dans une direction surprenante. Et quelque part c'est tant mieux. Si ce tome 2 reste un peu court en terme de révélations, l'action elle va à 2000 à l'heure. Graphiquement l'ensemble est toujours aussi propre et soigné, et les scène d'actions particulièrement lisibles. Bon on est toujours dans le style récent des comics mais cela reste toujours très lisible. Bref, Skyward confirme être une série de SF à suivre pour ceux qui aiment un peu de fraîcheur. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/skyward-tome-2-la-ou-naissent-les-libellules?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. The_PoP

    New York Cannibals

    non perso je ne l'avais pas lu. ça s'apprécie aussi bien en one shot. Le premier s'appelle Little Tulip
  23. attends, t'as pas vu la suite des chroniques à venir. Ce Karmela Krimm est juste bon en fait, simple mais bon
  24. Ah quel plaisir de lire une BD aussi bien écrite, dont les dialogues et situations font mouche et tapent juste et fort. J'ai refermé cet album en me disant que je venais de lire une BD dont la qualité d'écriture sortait largement du commun. Et pourtant la base ne m'avait pas emballé, nouvelle héroïne ancienne flic devenue détective privée qui enquête sur le milieu marseillais, comment dire, on a fait mieux niveau originalité. Mais forcément quand M. Trondheim est au scénario et que la qualité graphique semble bien présente, on est obligé de laisser le bénéfice du doute. Et heureusement. Ce Karmela Krimm est une belle surprise qui m'a replongé avec délice dans mes années de boulot à Marseille. Sans tomber dans les stéréotypes j'ai trouvé, sans trop de jugements, avec un vrai humanisme et un optimisme qui me plait toujours autant. On se retrouve finalement avec un Polar enlevé dont les joutes verbales entre Karmela et Tadj régalent à chaque fois. Fort heureusement le dessin n'est pas en reste et colle à merveille au propos de ce Polar pas si noir mais pas si tendre non plus qui porte pourtant un regard plein d'espoir sur cette cité phocéenne si particulière pour ceux qui la connaissent ou l'ont connue. J'ai hâte de voir ce que ce duo d'auteur va nous réserver pour la suite qui est déjà prévue, mais je ne peux pour ma part que vous recommander d'y jeter un coup d'oeil, sans être révolutionnaire, ce Karmela Krimm est parfaitement réalisé. Bravo.
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