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The_PoP

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Tout ce qui a été posté par The_PoP

  1. Titre de l'album : Karmela Krimm - Tome 1 - Ramdam Blues Scenariste de l'album : Lewis Trondheim Dessinateur de l'album : Franck Biancarelli Coloriste : Walter Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Karmela Krimm était la jeune inspectrice la plus prometteuse de la police de Marseille. Mais elle a un jour accepté de porter le chapeau pour une opération qui a mal tourné. Karmela a perdu sa place et s'est reconvertie comme détective privée. Elle a aussi perdu ses idéaux. Mais dans les eaux troubles où elle navigue désormais, les idéaux sont un luxe dangereux. Critique : Ah quel plaisir de lire une BD aussi bien écrite, dont les dialogues et situations font mouche et tapent juste et fort. J'ai refermé cet album en me disant que je venais de lire une BD dont la qualité d'écriture sortait largement du commun. Et pourtant la base ne m'avait pas emballé, nouvelle héroïne ancienne flic devenue détective privée qui enquête sur le milieu marseillais, comment dire, on a fait mieux niveau originalité. Mais forcément quand M. Trondheim est au scénario et que la qualité graphique semble bien présente, on est obligé de laisser le bénéfice du doute. Et heureusement. Ce Karmela Krimm est une belle surprise qui m'a replongé avec délice dans mes années de boulot à Marseille. Sans tomber dans les stéréotypes j'ai trouvé, sans trop de jugements, avec un vrai humanisme et un optimisme qui me plait toujours autant. On se retrouve finalement avec un Polar enlevé dont les joutes verbales entre Karmela et Tadj régalent à chaque fois. Fort heureusement le dessin n'est pas en reste et colle à merveille au propos de ce Polar pas si noir mais pas si tendre non plus qui porte pourtant un regard plein d'espoir sur cette cité phocéenne si particulière pour ceux qui la connaissent ou l'ont connue. J'ai hâte de voir ce que ce duo d'auteur va nous réserver pour la suite qui est déjà prévue, mais je ne peux pour ma part que vous recommander d'y jeter un coup d'oeil, sans être révolutionnaire, ce Karmela Krimm est parfaitement réalisé. Bravo. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/karmela-krimm-tome-1-ramdam-blues?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. The_PoP

    New York Cannibals

    On ne va pas se mentir, vu tout le bien qui en a déjà été dit, vu les signatures des auteurs sur cet album, vu qu'il s'agit de la Collection Signé et vu qu'il s'agit de la suite du déjà très apprécié Little Tulip, il n'y avait que peu de suspens sur la réussite de cet album. Et je ne vais pas déroger à la règle, même pour le plaisir de contrarier France Inter. Cet album est excellent. Je vous rassure tout de suite, nul besoin d'avoir Lu Little Tulip (du même duo d'auteur et dans la même collection) pour profiter pleinement de ce one shot dense, étouffant et qu'on ne lâche pas avant la dernière des 144 pages que compte ce polar un brin mystique à la galerie de personnages plus ébouriffants les uns que les autres. Ce New York Cannibals a parfois des allures des premiers Jeremiah tant l'on se retrouve avec des personnages hors normes plus vrais que nature. Le trait de François Boucq est toujours aussi facilement identifiable, tant il est difficile de ne pas aimer tant le soucis du détail, des personnages et des ambiances qui transpire de chaques pages. Alors oui, ce n'est pas le dessin de la Bande Dessinée que je préfère, question de goûts et de représentations, mais je lui reconnais évidemment et sans discussion le statut de très grand. Ces crayonnés sont superbes et heureusement bien mis en valeur en fin d'album dans le carnet de croquis. L'histoire est âpre, violente, nous plongeant en apnée dans les bas fonds de ce New York des années 90 jusqu'au dénouement brutal sur fond de mysticisme qui vous laissera le souffle court. Personnellement je n'ai pas mis de 5ème étoile car le polar noir est loin d'être mon genre de BD favorite et que par goût personnel, le dessin de Boucq n'est pas celui qui me parle le plus. Mais j'avais déjà eu ce constat sur sa série du Bouncer, sans que cela ne m'empêche de les avoir en bonne place à la maison. C'est d'ailleurs sans nul doute la, la marque de fabrique des très grands, même quand ce n'est pas le genre de BD que vous auriez envie de lire, une fois démarré, vous ne la lâcherez pas. Et vous vous en rappellerez. Essayez donc de plonger aux trousses d'Anna la Hyène pour voir...
  3. Titre de l'album : New York Cannibals Scenariste de l'album : Jérôme Charyn Dessinateur de l'album : François Boucq Coloriste : François Boucq, Alexandre Boucq, Denis Béchu Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : New York, 1990. Pavel tient toujours son salon de tatouage. Sa protégée, Azami, est devenue policière et culturiste. Lors d'une intervention, elle découvre un bébé abandonné dans une poubelle. Incapable d'enfanter à cause des traitements qu'elle a infligés à son corps, elle décide d'adopter l'enfant. Pour le protéger, elle va remonter la piste d'un trafic de bébés, et découvrir qu'il semble lié à un mystérieux gang de femmes qui dévorent leurs ennemis. Étrangement, les fantômes du goulag dans lequel Pavel a grandi semblent être à l'origine de ces atrocités. Comme si l'univers, les codes et la violence du goulag avaient pris pour nouveau territoire les rues de New York. Critique : On ne va pas se mentir, vu tout le bien qui en a déjà été dit, vu les signatures des auteurs sur cet album, vu qu'il s'agit de la Collection Signé et vu qu'il s'agit de la suite du déjà très apprécié Little Tulip, il n'y avait que peu de suspens sur la réussite de cet album. Et je ne vais pas déroger à la règle, même pour le plaisir de contrarier France Inter. Cet album est excellent. Je vous rassure tout de suite, nul besoin d'avoir Lu Little Tulip (du même duo d'auteur et dans la même collection) pour profiter pleinement de ce one shot dense, étouffant et qu'on ne lâche pas avant la dernière des 144 pages que compte ce polar un brin mystique à la galerie de personnages plus ébouriffants les uns que les autres. Ce New York Cannibals a parfois des allures des premiers Jeremiah tant l'on se retrouve avec des personnages hors normes plus vrais que nature. Le trait de François Boucq est toujours aussi facilement identifiable, tant il est difficile de ne pas aimer tant le soucis du détail, des personnages et des ambiances qui transpire de chaques pages. Alors oui, ce n'est pas le dessin de la Bande Dessinée que je préfère, question de goûts et de représentations, mais je lui reconnais évidemment et sans discussion le statut de très grand. Ces crayonnés sont superbes et heureusement bien mis en valeur en fin d'album dans le carnet de croquis. L'histoire est âpre, violente, nous plongeant en apnée dans les bas fonds de ce New York des années 90 jusqu'au dénouement brutal sur fond de mysticisme qui vous laissera le souffle court. Personnellement je n'ai pas mis de 5ème étoile car le polar noir est loin d'être mon genre de BD favorite et que par goût personnel, le dessin de Boucq n'est pas celui qui me parle le plus. Mais j'avais déjà eu ce constat sur sa série du Bouncer, sans que cela ne m'empêche de les avoir en bonne place à la maison. C'est d'ailleurs sans nul doute la, la marque de fabrique des très grands, même quand ce n'est pas le genre de BD que vous auriez envie de lire, une fois démarré, vous ne la lâcherez pas. Et vous vous en rappellerez. Essayez donc de plonger aux trousses d'Anna la Hyène pour voir... Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/new-york-canibals-186642?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. J'avoue que les personnages qui peuvent se confondre, ça c'est un truc que je trouve très très pénible dans les BD...
  5. The_PoP

    Kingdom T45-46

    Un jour tu vas me faire craquer Pos’ que cette série...
  6. The_PoP

    Rani - Tome 8 - Marquise

    Après 7 tomes de bonne qualité, nous faisant parcourir le monde des grands empires coloniaux et plus précisément l'Inde, voici enfin l'épilogue de cette saga d'aventure portée par une héroïne féministe soumise à de multiples épreuves. Jean Van Hamme et Alcante au scénario nous délivrent donc une conclusion qui si elle ne brille pas par son originalité, a le mérite d'être dans la lignée complète de la série et d'une grande logique. Ce dénouement, s'il est parfois prévisible n'en demeurera pas moins apprécié des fans de la première heure. Rani confirme bien être une saga historique en 8 tomes intéressante pour qui apprécie se plonger dans cette Inde coloniale. Le trait de Francis Valles aussi connu pour son travail sur les maitres de l'orge est certes très classique mais néanmoins très adapté à l'histoire, on sent également qu'au bout de 8 tomes, il maitrise complètement son sujet dans la plus belle tradition de la BD Franco Belge. A noter le joli carnet de croquis final qui aurait cependant gagné à être étoffé vu leur qualité.
  7. Titre de l'album : Rani - Tome 8 - Marquise Scenariste de l'album : Jean Van Hamme & Alcante Dessinateur de l'album : Francis Valles Coloriste : Christian Favrelle Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : La guerre entre la France et l'Angleterre est désormais totale. Elle a atteint les rivages de leurs lointaines colonies indiennes. Le Radjah doit choisir son camp. Et l'ignoble Valcourt complote toujours dans l'ombre. Pour Jolanne, l'heure de l'ultime confrontation est enfin venue. Critique : Après 7 tomes de bonne qualité, nous faisant parcourir le monde des grands empires coloniaux et plus précisément l'Inde, voici enfin l'épilogue de cette saga d'aventure portée par une héroïne féministe soumise à de multiples épreuves. Jean Van Hamme et Alcante au scénario nous délivrent donc une conclusion qui si elle ne brille pas par son originalité, a le mérite d'être dans la lignée complète de la série et d'une grande logique. Ce dénouement, s'il est parfois prévisible n'en demeurera pas moins apprécié des fans de la première heure. Rani confirme bien être une saga historique en 8 tomes intéressante pour qui apprécie se plonger dans cette Inde coloniale. Le trait de Francis Valles aussi connu pour son travail sur les maitres de l'orge est certes très classique mais néanmoins très adapté à l'histoire, on sent également qu'au bout de 8 tomes, il maitrise complètement son sujet dans la plus belle tradition de la BD Franco Belge. A noter le joli carnet de croquis final qui aurait cependant gagné à être étoffé vu leur qualité. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rani-tome-8-marquise?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. The_PoP

    Wilderness

    Adaptation du roman éponyme de Lance Weller, cette chronique a été réalisée à partir du pdf. Il peut donc y avoir de grosses différences de ressentis graphiques entre la lecture du pdf et celle de l'ouvrage. Je tiens à souligner l'excellent travail éditorial de la maison Soleil avec cette prise de risque. On est effectivement ici sur un western peu classique, crépusculaire, à la façon des deux réalisés par Tiburce Oger récemment, mais réalisé ici par un duo peu connu des amateurs de BD. Si Ozanam est le scénariste de la série pour ado Klaw, il a surtout déjà une multitude de one shot et d'adaptation de romans en BD à son actif. Bandini au dessin est lui moins connu puisqu'il s'agit de sa 7ème oeuvre. Les habitués du forum savent qu'en terme de Western je ne suis pas très raisonnable, mais je ne peux que conseiller ce Wilderness aux amateurs du genre, tant son approche est originale. On y retrace bien la vie d'un vieux soldat, et à travers ses souvenirs on parcourt la violence et la dureté de cette Amérique des années 1800. Un scénario sans concession parfois servi par des planches que j'ai trouvé sublimes, et un rythme de narration peu linéaire mais cohérent vous plonge dans cette ambiance sombre et étrange où l'âme humaine se retrouve parfois mise à nu.
  9. The_PoP

    Wilderness

    Titre de l'album : Wilderness Scenariste de l'album : Ozanam Dessinateur de l'album : Bandini Coloriste : Bandini Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : 1899. Abel Truman, vétéran sudiste de la guerre civile américaine, vit entre l'océan, la montagne et les forêts pluviales. Dans un dernier soubresaut avant de mourir, il décide de reprendre la route avec son chien. Un ultime voyage vers le souvenir des rares jours heureux qui s'assombrit quand Abel rencontre deux agresseurs qui le laissent pour mort. Dans les décors du nord de la côte ouest des Etats-Unis, la violence, qu'Abel avait enfouie au plus profond de lui depuis la fin de la guerre de Sécession, remonte et vient frapper de nouveau. Critique : Adaptation du roman éponyme de Lance Weller, cette chronique a été réalisée à partir du pdf. Il peut donc y avoir de grosses différences de ressentis graphiques entre la lecture du pdf et celle de l'ouvrage. Je tiens à souligner l'excellent travail éditorial de la maison Soleil avec cette prise de risque. On est effectivement ici sur un western peu classique, crépusculaire, à la façon des deux réalisés par Tiburce Oger récemment, mais réalisé ici par un duo peu connu des amateurs de BD. Si Ozanam est le scénariste de la série pour ado Klaw, il a surtout déjà une multitude de one shot et d'adaptation de romans en BD à son actif. Bandini au dessin est lui moins connu puisqu'il s'agit de sa 7ème oeuvre. Les habitués du forum savent qu'en terme de Western je ne suis pas très raisonnable, mais je ne peux que conseiller ce Wilderness aux amateurs du genre, tant son approche est originale. On y retrace bien la vie d'un vieux soldat, et à travers ses souvenirs on parcourt la violence et la dureté de cette Amérique des années 1800. Un scénario sans concession parfois servi par des planches que j'ai trouvé sublimes, et un rythme de narration peu linéaire mais cohérent vous plonge dans cette ambiance sombre et étrange où l'âme humaine se retrouve parfois mise à nu. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/wilderness?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Attention, cette chronique a été faite à partir d'un pdf et non de l'original papier. Il peut donc y avoir des différences entre nos ressentis au niveau du graphisme notamment. Et voici un nouveau tome de Samuraï, qui se dirige doucement vers une construction d'histoire à la Thorgal. Dans ce nouveau dyptique à venir, Takeo poursuit inlassablement sa bien aimée pour tenter de la retrouver et se retrouve comme d'habitude mêlé malgré lui aux histoires locales. Une occasion en or pour nous de nous plonger dans ce Japon Féodal un peu fantastique qu'aime tant Jean François Di Giorgio. L'histoire en elle même est une histoire de vengeance un peu sombre et de conflits entre communauté mais ce tome nous laisse beaucoup de mystères planer. Côté dessin, on retrouve Christina Mormile avec son trait beaucoup plus rond et moins atypique que celui du dessinateur historique de la série Frédéric Genêt, parti depuis sur d'autres séries. La colorisation met en avant les ambiances et est très propre. Cette série s'oriente de plus en plus vers les production Soleil un peu plus standardisées. Ce samuraï ravira une fois de plus les amateurs de la série, même s'ils regretteront peut être la complexité des premiers cycles et du dessin dans l'histoire présentée sur ce tome 14. Cette série n'en reste pas moins un divertissement très agréable qui nous plonge avec délice dans ce Japon un peu fantastique.
  11. Titre de l'album : Samuraï - Tome 14 - L'épaule du maître Scenariste de l'album : Jean François Di Giorgio Dessinateur de l'album : Christina Mormile Coloriste : Lorenzo Pieri Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Préfecture de Yume. En route pour retrouver sa fiancée Sayuri, Takeo aide un vieil homme agressé par des inconnus. Pour le remercier, le vieil homme l'invite dans son village. Ce qui ne semblait être qu'une simple halte tourne rapidement au cauchemar, quand Takeo découvre que sur le village d'apparence paisible, pèse une étrange menace... Mais il n'est pas un samurai à se laisser intimider sans réagir. Critique : Attention, cette chronique a été faite à partir d'un pdf et non de l'original papier. Il peut donc y avoir des différences entre nos ressentis au niveau du graphisme notamment. Et voici un nouveau tome de Samuraï, qui se dirige doucement vers une construction d'histoire à la Thorgal. Dans ce nouveau dyptique à venir, Takeo poursuit inlassablement sa bien aimée pour tenter de la retrouver et se retrouve comme d'habitude mêlé malgré lui aux histoires locales. Une occasion en or pour nous de nous plonger dans ce Japon Féodal un peu fantastique qu'aime tant Jean François Di Giorgio. L'histoire en elle même est une histoire de vengeance un peu sombre et de conflits entre communauté mais ce tome nous laisse beaucoup de mystères planer. Côté dessin, on retrouve Christina Mormile avec son trait beaucoup plus rond et moins atypique que celui du dessinateur historique de la série Frédéric Genêt, parti depuis sur d'autres séries. La colorisation met en avant les ambiances et est très propre. Cette série s'oriente de plus en plus vers les production Soleil un peu plus standardisées. Ce samuraï ravira une fois de plus les amateurs de la série, même s'ils regretteront peut être la complexité des premiers cycles et du dessin dans l'histoire présentée sur ce tome 14. Cette série n'en reste pas moins un divertissement très agréable qui nous plonge avec délice dans ce Japon un peu fantastique. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/samurai-tome-14-l-epaule-du-maitre?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Attention, cette chronique a été faite à partir d'un pdf et non de l'original papier. Il peut donc y avoir des différences entre nos ressentis au niveau du graphisme notamment. Shaolin m'a intrigué, notamment parce que j'apprécie beaucoup le travail du dessinateur Looky, connu pour sa série de SF Hercule mais aussi pour ses collaborations sur des tomes de La Geste des Chevaliers Dragons ou sa reprise de Nocturnes rouges. A cela il faut noter que M. Di Giorgio, scénariste de Samuraï est également aux manettes et que la série s'annonce en 3 tomes seulement. Et tous ces éléments réunis me plaisent. Ce premier tome se révèle très riche, dans un univers très envoutant, et l'on sent bien la myriade de petits secrets qui vont se dévoiler petit à petit. J'espère simplement que notre scénariste saura répondre à la plupart des questions qu'il a soulevé car 3 tomes cela peut paraitre court, surtout quand le premier tome d'introduction amène simplement le héros au début de l'épreuve. Graphiquement c'est très vivant, joliment coloré me semble-t-il et les scènes d'actions sont bien découpées. Visages et protagonistes sont bien travaillés, j'ai beaucoup aimé. Je vous recommande donc ce Shaolin comme une lecture agréable et un premier tome intéressant d'une série à venir qui s'annonce assez courte mais intense. Ma note aurait pu être plus élevée, mais sur un premier tome je préfère rester prudent.
  13. Titre de l'album : Shaolin - L'enfant du destin - Tome 1/3 Scenariste de l'album : Jean François Di Giorgio Dessinateur de l'album : Looky Coloriste : Olivier May Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Nuage Blanc n'est pas un apprenti Shaolin comme les autres : il a le pouvoir de conjurer les malédictions. A l'aide de son don, il a le devoir de veiller sur bon nombre d'objets enfermés au Monastère. Parmi eux la Chambre d'Ambre, qui porte en elle une grande malédiction qui pourrait conduire le pays au désastre. Lorsque celle-ci est volée par des ninjas, une course contre la montre s'engage pour la retrouver. Critique : Attention, cette chronique a été faite à partir d'un pdf et non de l'original papier. Il peut donc y avoir des différences entre nos ressentis au niveau du graphisme notamment. Shaolin m'a intrigué, notamment parce que j'apprécie beaucoup le travail du dessinateur Looky, connu pour sa série de SF Hercule mais aussi pour ses collaborations sur des tomes de La Geste des Chevaliers Dragons ou sa reprise de Nocturnes rouges. A cela il faut noter que M. Di Giorgio, scénariste de Samuraï est également aux manettes et que la série s'annonce en 3 tomes seulement. Et tous ces éléments réunis me plaisent. Ce premier tome se révèle très riche, dans un univers très envoutant, et l'on sent bien la myriade de petits secrets qui vont se dévoiler petit à petit. J'espère simplement que notre scénariste saura répondre à la plupart des questions qu'il a soulevé car 3 tomes cela peut paraitre court, surtout quand le premier tome d'introduction amène simplement le héros au début de l'épreuve. Graphiquement c'est très vivant, joliment coloré me semble-t-il et les scènes d'actions sont bien découpées. Visages et protagonistes sont bien travaillés, j'ai beaucoup aimé. Je vous recommande donc ce Shaolin comme une lecture agréable et un premier tome intéressant d'une série à venir qui s'annonce assez courte mais intense. Ma note aurait pu être plus élevée, mais sur un premier tome je préfère rester prudent. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/shaolin-tome-1 Voir la totalité de enregistrement
  14. The_PoP

    Frederic Claverie

    sublime. merci Frédéric ! excepté peut être la dernière 🙂
  15. The_PoP

    Malgre tout

    Ça fait très très envie
  16. Ceci dit au delà de la rivière noire est une vraie réussite.
  17. The_PoP

    Joker - Killer smile

    Normal que ça m’ai directement fait pensé à harleen ?
  18. The_PoP

    Mangez-le si vous voulez

    Ça m’a fait penser direct au rapport brodeck...
  19. Fin octobre il me semble. pas encore ouvert le « pdf »
  20. The_PoP

    Joker - Fini de rire

    Bizarrement a sa place j’aurais un sourire quand meme. En coin 🙂
  21. The_PoP

    Joker - Fini de rire

    C'est rigolo moi c'est l'inverse. Batman m'intéresse même s'il n'est pas exempt de défauts de construction de personnage, là où je trouve le Joker souvent limité.
  22. The_PoP

    Ascender tome 2 - La mer morte

    On t'a pas parlé des bouteilles d'alcool ?
  23. The_PoP

    Ascender tome 2 - La mer morte

    Bah si j’aime bien pour le moment. Ce qui fait du coup encore plus de bd à lire.
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