The_PoP

Je t'en veux pas Pos', même si t'avais dit qu'il était nullissime, je l'aurais quand même pris. Jazz Maynard quoi, vu le niveau des 6 premiers tomes... Pfff par contre tu me rends diablement impatient et ça c'est pas sérieux.

Gagner la guerre - Tome 2 - Le royaume de Ressine Série : Gagner la guerre D'après l'oeuvre de : Jean-Philippe JAWORSKI Scénario : Frédéric Genêt Dessin : Frédéric Genêt Couleurs : Frédéric Genêt Genre : Fantasy médievale réaliste Edition : Le Lombard L'acheter sur BDFugue Résumé :Benvenuto Gesufal est un tueur à gages très compétent. Il réserve dorénavant ses services au seigneur Ducatore, l'homme politique le plus retors de tout l'empire de Ciudalia. Et ce dernier a confié à Benvenuto la plus périlleuse des missions : un assassinat à accomplir en plein coeur d'une bataille navale. Mon avis : Pour les retardataires, voici le lien vers la chronique du tome 1 de gagner la guerre sur www.1001bd.com Gagner la guerre est l'adaptation en BD par Frédéric GENET (série Samouraï) du livre du même nom écrit par Jean-Philippe JAWORSKI. Et c'est très bien fait, on sent que ce duo fonctionne très bien. Le tome 1 était l'une des bonnes surprises de l'année dernière, et ce tome 2 vient confirmer cette impression. Benvenuto est un chenapan de premier plan, qui fera en ce moment parfaitement écho au coquin des Indes Fourbes. Ses aventures sont toujours autant rythmées, bien vues, et avec des intrigues bien fourbes. Et c'est très bien mis en image par Frédéric GENET. La galerie de personnages est toujours aussi riche, et c'est très vivant et réaliste. Mention spéciale au personnage de Leonid Ducatore, qui sans être vraiment présent impressionne toujours autant par sa rouerie. Cet univers est frais et fais plaisir à découvrir par ses subtiles originalités pour tout fan de Fantasy médiévale qui se respecte. Vivement la suite ! Moi je suis retourné lire le tome 1 du coup. Et c'est toujours aussi bon. A noter que le travail de Frédéric Genêt est toujours aussi impeccable. Par contre pour la couv', je n'arrive toujours pas à me décider à savoir si elle est réussie ou ratée. Je la trouve belle mais il y a un truc qui me gène sur le visage de Benvenuto. Ma Note : The_PoP, enthousiaste

@Pos', c'est sûr qu'on va avoir du mal à te répondre : fonce prendre les Conan si c'est ça qui te manque

Ah ben c'est balot ça Pos'. Parce qu'en vrai cette série je trouve que ça parle de tout sauf de Conan finalement

Mon libraire a failli me le coller de force dans les mains. Mais bon ... 5 cycles de 6 albums... J'ai hésité.

Chaplin en Amérique Tome 1 Série : Chaplin en Amérique Scénario : Laurent SEKSIK Dessin : David FRANCOIS Genre : Biopic Edition : Rue de Sèvres L'acheter sur BDFugue Résumé :Comment un garçon, né dans un quartier pauvre de Londres, de deux parents artistes ratés, père alcoolique, mère folle, a pu devenir, à 25 ans, le plus grand cinéaste de son temps, en mettant Hollywood ses pieds ; l'inventeur du cinéma moderne, un créateur visionnaire et un acteur d'exception, légende vivante, porte-parole des misérables, des moins que rien, des vagabonds, et producteur immensément riche, artiste engagé dans tous les combats de son temps, dictatorial avec les siens, et que son amour des femmes rend un colosse aux pieds d'argile dans l'Amérique puritaine. C'est cette conquête de l'Amérique que retracera ce premier volume. D'une vie de misère à la Oliver Twist à la gloire absolue d'un géant, adulé de New York à San Francisco que vient déjà menacer la passion de la chair et l'engagement politique. Cette première aventure débute en 1910 quand il quitte l'Angleterre pour les Etats-Unis et se termine vers 1920, en pleine notoriété puisqu'il est déjà une des personnalités les plus connues au monde. Mon avis : Bel ouvrage et beau projet que ce premier tome de ce triptyque consacré à Chaplin. Cette exofiction est super intéressante pour moi, car finalement si je connais le monstre sacré Chaplin au cinéma à travers quelques uns de ses classiques, j'ignore tout de l'homme et de l'artiste. Et le moins qu'on puisse dire est qu'il ne vous laissera pas indifférent. C'est un sacré caractère que nous brosse Laurent SEKSIK, parfois presque sympathique, souvent antipathique, egocentrique, et animé d'une foi inébranlable en lui même et d'une rage de réussir hors du commun. Le tout ests ervi par une narration habile, alternant flashbacks, hommages, et rebondissements maîtrisés. Côté graphisme, David François nous livre un travail vraiment remarquable. Personnellement je n'ai pas trop aimé, mais il faut reconnaitre un vrai style, une patte graphique assez unique, et un vraie appropriation du thème, de l'époque et des personnages. Si bien qu'à la fin de la bd, les graphismes ne me gênaient plus du tout. Très intéressant donc, même si ce n'est pas ma tasse de thé. J'aurais toutefois aimé que certains personnages soient plus facilement reconnaissables. Et puis je ne peux conclure cette chronique sans parler de cette brillante idée que de nous faire des hommages/rappels réguliers tout au long du déroulement de sa vie aux oeuvres cinématographiques marquantes de Chaplin... Très agréable, et superbement incrusté dans l'agencement des cases et la mise en page. Ma Note : The_PoP, qui pense que ce Chaplin saura facilement trouver son public

Comme Alx, je pense aussi beaucoup, beaucoup de bien de cette série sur Conan. Gros gros travail des éditeurs dessus et cela se voit. Tant mieux ! Concernant cet album, mon libraire me l'a tendu du bout des doigts en me disant que vraiment vraiment il n'avait pas réussi avec ce Conan au look Mireille Mathieu. Bon du coup je n'en attendais plus rien. Et j'ai été très agréablement surpris. C'est vraiment chouette. Dommage que le dessinateur se soit raté sur le look de Conan, même si c'est finalement très secondaire. Je crois que je prends plus de plaisir à redécouvrir Conan à travers cette série que je n'en avais en lisant l'oeuvre de Howard... Le format s'y prête si bien.

[u][b]Vasco - Ombres et lumières sur Venise[/b][/u] [center][url="https://www.bdfugue.com/vasco-ombres-et-lumieres-sur-venise"]<img src="https://www.bdfugue.com/media/catalog/product/cache/1/image/400x/17f82f742ffe127f42dca9de82fb58b1/9/7/9782803672684_1_75.jpg" HEIGHT=320 WIDTH=240/>[/url][/center] [b]Série :[/b] Vasco [b]D'après l'univers de :[/b] Gilles CHAILLET [b]Scénario :[/b] Luc REVILLON & Gilles CHAILLET [b]Dessin :[/b] Gilles CHAILLET [b]Couleurs :[/b] Chantal CHAILLET [b]Genre :[/b] Aventures historiques [b]Edition : [/b] Le Lombard [url="https://www.bdfugue.com/vasco-ombres-et-lumieres-sur-venise"]L'acheter sur BDFugue[/url] Résumé :[i]Ténèbres sur Venise est un des albums les plus mémorables de Vasco. À l'occasion de la sortie du dernier tome de la série, l'album est réédité en noir et blanc, et accompagné d'un passionnant dossier historique sur Venise au Moyen-Âge.[/i] Mon avis : Allez hop pour ceux qui ont raté la clôture de la série mythique vasco cela se passe ici : [url="http://www.1001bd.com/forums_BD/topic/20770-vasco-tome-30-lor-des-glaces/#entry184714"]Lien vers la chronique du tome 30 de Vasco - L'or des glaces[/url] Du coup à l'occasion de cette fin de série, l'éditeur nous offre la relecture d'un des albums mythiques de Vasco, le tome 6 : ténèbres sur Venise. Le tout est accompagné d'un super riche dossier illustré, documenté, et superbe sur la création de l'album, le contexte historique dans lequel il se situe, et la découverte du travail des auteurs. Sincèrement c'est une super idée. Surtout que le noir & blanc choisi pour la réédition de la bd à l'intérieur de cet ouvrage met vraiment en avant la richesse du trait de Gilles CHAILLET. A mettre dans les mains de vos enfants, ou à redécouvrir si comme moi vous avez découvert Vasco dans votre jeunesse dans une médiathèque. [b]Ma Note :[/b][img]http://www.1001bd.com/tmp/pic/note/4.0.png[/img] The_PoP, qui salue une belle initiative éditoriale pour un prix pas trop raide.

J'ai du mal encore à me dire que je ne vais pas le garder en mémoire. On verra Ah oui, quand même j'ai aimé que le personnage tourne aussi ouvertement vers le salopard bien pourri à un moment. Enfin j'ai détesté, mais j'ai trouvé ça intelligent.

Bah phil', c'est assez rare pour le souligner, je suis exactement sur la même longueur d'onde que toi (sauf sur la partie sur Blacksad évidemment ). J'aurais mis la même note, même si l'hésitation avec le 5 étoiles est réelle. C'est vraiment bien, magnifique, original, rigolo, et prenant. Tout en étant même un poil instructif. La narration est un modèle et même si en terme de truculence De cape et de Crocs reste son chef d'oeuvre, Ayrolles assure ici une ambiance extraordinaire par la gouaille naturelle dont il affuble son personnage. Ceci étant, il a manqué pour moi un brin de profondeur comme pour Phil', même si c'est le genre qui veut cela. Je pense que c'est simplement le temps qui me fera dire si l'on rentre dans le 5 étoiles ou non pour ces Indes Fourbes. Parce que, objectivement j'ai déjà mis des 5 étoiles à des ouvrages moins réussis, souvent pour leur profondeur ou les émotions qu'ils parvenaient à provoquer chez moi. Les Indes Fourbes reste un très très grand ouvrage de cette rentrée, pour ne pas dire de cette année, pour ne pas dire une grande BD tout court. Et finalement si on ne lui attribue pas ces 5 étoiles, c'est peut être aussi car l'on commence à être exigeant avec messieurs Ayrolles et Guarnido au vu de l'excellence dont ils ont fait preuve jusqu'à présent. Et c'est tant mieux au vu des résultats.

[u][b]Vasco - Tome 30 - L'or des glaces[/b][/u] [center][url="https://www.bdfugue.com/vasco-tome-30-l-or-des-glaces"]<img src="https://www.bdfugue.com/media/catalog/product/cache/1/image/400x/17f82f742ffe127f42dca9de82fb58b1/9/7/9782803674428_1_75.jpg" HEIGHT=320 WIDTH=240/>[/url][/center] [b]Série :[/b] Vasco [b]D'après l'univers de :[/b] Gilles CHAILLET [b]Scénario :[/b] Luc REVILLON & Chantal CHAILLET [b]Dessin :[/b] Dominique ROUSSEAU [b]Couleurs :[/b] Chantal CHAILLET [b]Genre :[/b] Aventures historiques [b]Edition : [/b] Le Lombard [url="https://www.bdfugue.com/vasco-tome-30-l-or-des-glaces"]L'acheter sur BDFugue[/url] Résumé :[i]Pour sa dernière aventure, Vasco est envoyé en mission sur les terres de Russie. Ce sera l'occasion de l'ultime confrontation avec son redoutable frère, Lorenzo, et avec l'amour de sa vie, la princesse byzantine Sophie.[/i] Mon avis : Pourfendeur de nostalgie, passe donc ton chemin. Lire et chroniquer cet ultime volet des aventures de Vasco est spécial pour moi, car j'ai découvert la bande dessinée notamment avec Vasco. Je crois que peu de médiathèques en France sont dépourvues de ses albums, tant cette lecture était instructive et ludique pour les jeunes. Je n'ai pas échappé à la règle, et même si le réalisme toujours choisi pour cette série a quelque peu freiné les ardeurs du jeune lecteur que j'étais, force est de constater, que Vasco figure au côté d'Alix, dans les lectures qui ont parsemé mon parcours de lecteur. On sent tout l'héritage du journal Tintin et de sa devise d'instruire en amusant dans cette BD de la vieille école Franco Belge. C'est donc avec un mélange de plaisir et de crainte que j'ai abordé cette lecture, tant celle-ci me semblait liée à mes plus jeunes années et ma découverte de la BD. Hors il faut bien le reconnaître, si le style de narration et la représentation de l'action a un peu vieilli, la capacité des auteurs à nous embarquer dans une autre époque de manière sérieuse mais ludique est restée intacte. Quelque part, il y donc une belle dose de fraîcheur dans cette nostalgie là, et c'est avec plaisir que j'ai retrouvé ce Vasco plus âgé, voir vieillissant pour mettre un terme à ses aventures. La colorisation, assurée par l'épouse de feu M. CHAILLET comme sur beaucoup des albums de Vasco nous permet de garder une belle continuité, et c'est renforcé par le trait de Dominique Rousseau, très proche de ce qu'avait créé Gilles CHAILLET à l'origine. Ceci étant dit, il faut reconnaître aussi que le sérieux voulu dans cette série entrave un petit peu l'action et le rôle joué par Vasco, parfois plus spectateur qu'acteur de ces bouleversements historiques. Mais qu'importe, puisqu'ici le voyage est autre et sa fin est réussie. [b]Ma Note :[/b][img]http://www.1001bd.com/tmp/pic/note/3.0.png[/img] The_PoP, qui a goulûment avalé sa petite madeleine.

Avant je ne sais pas mais cette année, hormis celle de Jacob Kayne qui reste spéciale (qu'on aime ou pas), on a quand même eu Green Class où la couv' était franchement superbe. Et là, entre gagner la guerre, alpha, Tango et les derniers Vasco c'est quand même soigné et sympa. Sans compter que pour leur collection "signé", elles sont toujours très propres. D'un autre côté tant mieux pour eux. Une couv' ratée sur une belle BD c'est la définition même du gâchis.

[u][b]Purple Heart - Tome 1 - Le sauveur[/b][/u] [center][url="https://www.bdfugue.com/purple-heart-tome-1-le-sauveur"]<img src="https://www.bdfugue.com/media/catalog/product/cache/1/image/400x/17f82f742ffe127f42dca9de82fb58b1/9/7/9782803675593_1_75.jpg" HEIGHT=320 WIDTH=240/>[/url][/center] [b]Série :[/b] Purple Heart [b]Scénario :[/b] Eric Warnauts & Guy RAIVES [b]Dessin :[/b] Eric Warnauts & Guy RAIVES [b]Couleurs :[/b] Eric Warnauts & Guy RAIVES [b]Genre :[/b] Polar années 50 - New York Confidential [b]Edition : [/b] Le Lombard [url="https://www.bdfugue.com/purple-heart-tome-1-le-sauveur"]L'acheter sur BDFugue[/url] Résumé :[i]New York, années 50. Josuah Harrison, ancien de la 101e aéroportée et décoré de la prestigieuse Purple Heart, travaille comme enquêteur pour un cabinet d'avocats. En fait, il bosse principalement pour James Layton, l'ancien commandant de sa compagnie. Josuah est chargé de découvrir qui fait chanter un magnat de l'immobilier. Ronald Husler, séduisant self-made man quadragénaire, est en effet victime d'un chantage lié au passé trouble de son épouse.[/i] Mon avis : Les années 50 version polar à New York, si l'idée n'est pas nouvelle, elle a toujours autant de charme sur moi. Cela fait partie comme on dit de ma culture cinéma et littérature j'imagine. Cependant j'avoue avoir ici été un peu déboussolé par la narration parfois un peu décousue. Les auteurs font le pari de nous aider avec de longs passage de textes illustrés au milieu de pages formatée plus dans un style bande dessinée classique sans que cela ne choque le moins du monde. Là où je suis perplexe, c'est que ses passages plus chargés en textes devraient nous permettre d'obtenir une narration plus fluide et compréhensible, hors alors même que l'histoire n'est pas d'une complexité hors norme, plusieurs raccourcis sont pris un peu abruptement pour moi, cassant le rythme. Au final, pour cette BD qu'on imagine facilement lire avec une musique dans la tête, et bien j'ai eu justement du mal à en trouver le rythme. Dommage, car il y a forcément encore à dire et à écrire sur le sujet, et les personnages secondaires et intrigues sont bien pensés mais le tout souffre comme le personnage principal, d'un certain manque de caractère. Il faut noter que le traitement graphique de l'album est je trouve assez différent en terme de style de la couverture pourtant elle aussi bien pensée. J'ai été moins emballé par le contenu, mais il s'agit peut être d'une colorisation un peu trop abrupte, la double page derrière la couverture étant très réussie ainsi que le carnet de croquis crayonnés de fin d'album. Espérons que cette BD saura trouver son public pour nous permettre un second tome peut être plus poussé dans la direction qu'auront voulu suivre les auteurs pour lui donner le petit supplément d'âme qui lui manque. [b]Ma Note :[/b][img]http://www.1001bd.com/tmp/pic/note/3.0.png[/img] The_PoP, qui se fera un avis plus tranché au second tome.

Ah ah fais toi ton avis, je pense que graphiquement ça devrait te plaire. A près côté histoire, comme tu n'as pas autant apprécié le premier Zaroff ou Texas Jack que moi, je reste prudent.

C'est ici pour les coming out ? Je crois que j'aime pas vraiment le travail d'Andreas. [size="1"]et je ne connais presque rien de Lovecraft[/size] Oui je sais, vous êtes sous le choc. Vous l'avez pas vu venir. Dur. Soyez forts. Pardonnez moi.

Ah oui pour le coup je ne fustige les mecs du cinéma que pour avoir choisi d'adapter ces trucs problématiques alors qu'il y a plein d'autres trucs à raconter sans passer par les mecs avec des pouvoirs trop déconnant. En fait c'est un peu le syndrome manga. Vouloir en faire toujours plus question puissance, pose un problème scénaristique au bout d'un moment.

Prions pour que tu aies raison Phil'... Par contre Alex aussi a raison : X-Men Dark Phoenix n'a aucun intérêt même si j'ai aussi réussi à le finir. Bon j'ai pas été bluffé par l'actrice principale non plus mais ça ne m'a pas plus gêné que ça. Je dois m'être habitué aux gros films avec un héros insipide. Par contre clairement je sais ce qui m'a fait decrocher de tous les films de super heros. Et pourquoi Batman reste mon préféré. Les scénaristes n'arrivent pas à gérer efficacement les supers pouvoirs, dès que ceux-ci sont un peu développés. Raison pour laquelle les premiers X-Men sont les meilleurs de la série. Et les premiers films Avengers également. je m'explique. Dark Phoenix comme Captain Marvel ou Superman ont tellement de pouvoirs qu'en fait, il ne devrait même pas y avoir de combats. D'autres super héros également. Pouvoirs sans limites = scénarios merdiques = combats merdiques Prenons Diablo par exemple et son pouvoir de téléportation. J'vois pas bien ce qui l'empêcherai de prendre chaque adversaire un par un pour les emmener en Patagonie. Ou dans le cercle polaire. Ou en prison pour mutants. Ou sous l'eau. Bref. Vous voyez l'idée. Dans le premier Iron Man par exemple, bon il se fait son armure, elle est bien développé mais pas infaillible, il en combat une autre, il gagne, good. Mais dans ceux d'après, il a deux milles armures, dix fois plus de pouvoirs, ça perd tout son sens... Trop de pouvoirs = ingérable. Dans les premiers X-men bah, ça pouvait se mettre sur la tronche tranquillement entre des mecs avec quelques pouvoirs plus ou moins utiles. Là ça n'a plus de sens. C'est ma théorie.

[u][b]Les Sans-Visages[/b][/u] [center][url="https://www.bdfugue.com/les-sans-visages"]<img src="https://www.bdfugue.com/media/catalog/product/cache/1/image/400x/17f82f742ffe127f42dca9de82fb58b1/9/7/9782803670130_1_75.jpg" HEIGHT=320 WIDTH=240/>[/url][/center] [b]Collection :[/b] Signé [b]Scénario :[/b] Pierre DUBOIS [b]Dessin :[/b] KAS [b]Couleurs :[/b] Graza & KAS [b]Genre :[/b] Les sept samouraï de la guerre de 30 ans [b]Edition : [/b] Le Lombard [url="https://www.bdfugue.com/les-sans-visages"]L'acheter sur BDFugue[/url] Résumé :[i]Allemagne, 17e siècle. La Guerre de Trente Ans a ravagé le pays. Les Sans-Visages sont une compagnie de mercenaires composée de vétérans aguerris mais fatigués par la violence. Un jour, contraints de fuir une armée ennemie en surnombre, ils découvrent un passage caché vers une vallée totalement isolée et préservée des batailles. Accueillis par les habitants, les guerriers décident de s'y installer et de déposer leurs armes. Mais la guerre les suit comme une ombre et il leur faudra payer le prix fort pour protéger ce dernier havre de paix.[/i] Mon avis : Les curieux parmi vous auront vu que je fais référence aux Sept Samouraï de Kurosawa pour décrire le genre de cette BD. Les amateurs éclairés, auront vu qu'il s'agit de Monsieur DUBOIS au scénario et que ce Monsieur nous particulièrement gâté ces derniers temps avec Sykes et son excellente suite Texas Jack. Et les pointilleux auront vu qu'il s'agit non pas d'une série mais d'un nouveau one-shot de la collection Signé éditée chez Le Lombard. Enfin, ceux qui auront la chance de l'avoir en main pourront se délecter de la couverture peinte par M. KAS (adoubé par M. Rosinski s'il vous plait) et qui se trouve donner une belle idée du niveau d'excellence graphique atteint. Du coup, vous comprendrez aisément que je n'ai pu qu'aimer cette BD. Alors certes le style graphique en détournera certains, c'est chargé de détails, le soin porté aux personnages secondaires est identique à celui porté aux personnages principaux, et la galerie de caractères et de physionomies est admirables. Le soucis étant que les arrières plans sont presque encore plus fournis. C'est beau. Très beau. Et c'est porté par une histoire qui, sans être transcendante, la faute à un petit air de déjà vu, est pourtant merveilleusement mise en scène. On est vraiment très proche du mythe des 7 samouraï, ou des 7 mercenaires suivant vos références mais le tout transposé dans une époque de la guerre de 30 ans, cruelle et vide de sens, à travers une galerie de personnages bien travaillés. Je n'ai pas grand chose à redire sur cet ouvrage, la construction du récit amenant logiquement mais surement à l'apothéose finale. Classique certes, mais tellement appréciable quand c'est bien fait comme ici. Mon seul regret est que pour presque chaque ouvrage de la collection Signé, j'aurais aimé plus que de simples one shot. C'est gage de qualité j'imagine, et ne soyons pas trop chagrins, félicitons simplement l'éditeur Le Lombard pour l'exigence dont il fait preuve sur cette collection. J'imagine que pour arriver à des productions aussi intéressante, les auteurs sont réellement écoutés et aidés. [b]Ma Note :[/b][img]http://www.1001bd.com/tmp/pic/note/5.0.png[/img] The_PoP, qui après s'être laissé porter par l'histoire de M. DUBOIS va s'offrir dans quelques jours une belle relecture pour mieux apprécier le travail de M. KAS

Le chien ? Pas sûr même s'il semble sacrément roublard

bah, ramené au nombre de pages, on s'en sort presque bien Faut positiver... Mais oui, je sais, ça c'est un argument de grande surface...

Miam, ça fait envie effectivement. Et par rapport à l'autre Zaroff ça donne quoi ?

ben on n'a pas du la faire celle là Ou alors je ne l'ai pas trouvée.

[u][b]Les archives de l'Okrane - Andraelle[/b][/u] [center][url="https://www.bdfugue.com/les-archives-de-l-okrane-tome-1-andraelle"]<img src="https://www.bdfugue.com/media/catalog/product/cache/1/image/400x/17f82f742ffe127f42dca9de82fb58b1/9/7/9782302077447_1_75.jpg" HEIGHT=320 WIDTH=240/>[/url][/center] [b]Série :[/b] Série dérivée de Slhoka [b]Scénario :[/b] Ulrig GODDERIDGE [b]Dessin :[/b] CEYLES [b]Couleurs :[/b] VINCENT [b]Genre :[/b] Science Fiction [b]Edition : [/b] Soleil [url="https://www.bdfugue.com/les-archives-de-l-okrane-tome-1-andraelle"]L'acheter sur BDFugue[/url] Résumé :[i]La famille du Princip de la baronnie de Klym organise une soirée dans sa résidence secondaire, dans la forêt. Elle tourne au cauchemar lorsqu'un commando de la Ligue Noire attaque. C'est un carnage parmi les invités et la fille du Princip est kidnappée. Svendaï, alors jeune recrue de la Sahadryïna infiltrée dans le commando, comprend vite que la fillette doit être éliminée. Elle décide de sa propre initiative de sauver Andraëlle du massacre et de la mettre en lieu sûr. La traque commence...[/i] Mon avis : Et voilà un one shot sur un des personnages croisé dans la série principale Slhoka : Svendaï Urvicham, l'espionne dite "fesses en feu". On assiste ici à sa première mission. le moins que l'on puisse dire c'est que l'histoire va vite, très vite. Ce n'est pas totalement hermétique pour ceux qui comme moi n'ont lu de Slhoka que les 3 premiers tomes, mais soyons honnêtes, je pense que cette BD s'adresse avant tout aux fans assidus de Slhoka. Le dessinateur et le scénariste sont ici les mêmes que ceux oeuvrant sur la série mère. Pour rappel, celle ci avait connu une interruption de 6 ans entre les tomes 3 et 4, avec notamment un changement de dessinateur à la clé. Le dessin de CEYLES est je trouve à contre emploi ici. Car l'histoire racontée est relativement dure, sans place à l'humour (étonnant d'ailleurs au vu du souvenir que j'avais gardé des premiers tomes de la série mère) tandis que le dessin présenté est très orienté jeunesse. Du coup cela fait un cocktail un peu étrange pour moi. J'imagine que par contre pour les amateurs de la série mère (déjà à 11 tomes), ce contraste sera moins saisissant, et les éléments apportés à l'histoire justifieront amplement de jeter un oeil averti sur ce one shot. [b]Ma Note :[/b][img]http://www.1001bd.com/tmp/pic/note/2.0.png[/img] The_PoP, qui va essayer de rouvrir quelques tomes de Slhoka. (à votre santé !)

Olympus Mons - Tome 6 - Einstein Série : Olympus Mons Scénario : Christophe BEC Dessin : Stefano Raffaele Couleurs : Digikore Studio Couverture : Pierre LOYVET Genre : Science Fiction Edition : Soleil L'acheter sur BDFugue Résumé :Sur Mars, Elena Chevtchenko échappe à une attaque de drones avec l'aide d'Einstein, un androïde abritant une intelligence artificielle. Si elle parvient à pénétrer dans le vaisseau crashé sur Olympus Mons, elle sera peut-être en mesure d'arrêter le processus d'autodestruction de l'anomalie, qui a sombré au fond de la mer de Barents et qui menace de détruire la Terre. Tentative peut-être inutile et désespérée, car les armées de différentes nations, à cran, risquent de déclencher la troisième guerre mondiale. Mon avis : Pour les retardataires : vous trouverez le lien vers la chronique des tomes précédents d'Olympus Mons qu'on avait fait sur www.1001bd.com à l'époque de leurs sorties : - Tome 1 Ici - Tome 2 Ici - Tome 3 Ici - Tome 5 Ici Et voici l'ultime tome de cette série Olympus Mons. Inutile de vous dire que l'on attendait M. Bec au tournant, même si le tome 5 avait bien préparé les explications. Pour ceux qui se sont accrochés à cette série en 6 tomes, pas vraiment de surprises dans cette conclusion, si ce n'est peut être dans les deux dernières pages, celles-ci étant sujettes à mon sens à plusieurs interprétations. L'histoire dans ce tome 6 avance vite jusqu'à son dénouement de façon plutôt linéaire. Néanmoins, je trouve cette fin un peu facile, beaucoup de questions restant en suspens, et surtout beaucoup beaucoup de paramètres s'ajustant bien comme il faut à la fin. Cela finit par donner une petite impression de : tout ça pour ça ? Ceci dit, j'ai tendance à être un peu dur avec le travail de M. Bec ces derniers temps, pour être objectif, je pense que cette fin ravira les fans de la série, sans les décevoir, car finalement elle est dans la continuité. Stefano Raffaele nous livre des planches toujours dans une tendance réaliste, globalement assez homogène même si le traitement de certains personnages est parfois minimaliste, et cela convient tout à fait au genre. A noter que la couverture, encore une fois superbe est le fruit du travail d'un autre dessinateur : Pierre LOYVET. Côté colorisation, c'est toujours le studio Digikore qui s'en occupe pour un résultat très cohérent. L'équipe est ainsi la même depuis le premier tome et c'est plutôt une bonne chose à saluer. Vous l'avez compris, cette série ne me restera pas en mémoire, il n'en demeure pas moins qu'elle offre une plutôt bonne histoire de science fiction cohérente et de bonne facture en 6 tomes aux amateurs. Ma Note : The_PoP, qui n'est pas Einstein

[u][b]Les deux vies de Pénélope[/b][/u] [center][url="https://www.bdfugue.com/les-deux-vies-de-penelope"]<img src="https://www.bdfugue.com/media/catalog/product/cache/1/image/400x/17f82f742ffe127f42dca9de82fb58b1/9/7/9782803672257_1_75.jpg" HEIGHT=320 WIDTH=240/>[/url][/center] [b]Scénario :[/b] Judith Vanistendael [b]Dessin :[/b] Judith Vanistendael [b]Couleurs :[/b] Judith Vanistendael [b]Genre :[/b] Roman graphique [b]Edition : [/b] Le Lombard [url="https://www.bdfugue.com/les-deux-vies-de-penelope"]L'acheter sur BDFugue[/url] Résumé :[i]« Je m'appelle Pénélope. Mais je n'attends pas. Je ne tisse pas. Je sauve des vies. » Chirurgienne pour une organisation humanitaire, Pénélope passe la plupart de son temps en mission dans des pays en guerre. Quand elle revient chez elle, elle retrouve un mari aimant, une fille adorable et un foyer rassurant. Et pourtant ces retours à la maison lui sont de plus en plus pesants. Comment s'intéresser à la vie de tous les jours quand on pense sans cesse aux morts qu'on a laissés derrière soi ? Chez elle, Pénélope se sent inadaptée, pas à sa place.[/i] Mon avis : Voilà un bon livre sur un sujet difficile. Au lieu d'attaquer le sujet de l'humanitaire sur le front sensationnaliste, l'auteur nous livre ici une partition intimiste sur le délicat retour de ces gens qui sacrifient beaucoup aux autres dans leurs propres vies. C'est donc le portrait d'une mère avec sa culpabilité, mais aussi d'une famille formidable. Sujet complexe donc, mais traité avec beaucoup de tendresse, peu ou pas de jugements, et surtout plein d'humanité dans cette succession de petites scènes de vie. Graphiquement ce fut plus difficile pour moi, notamment car l'entrée en matière est assez rude, pas toujours très lisible intentionnellement. Puis le style se fluidifie, les personnages deviennent plus identifiables, les émotions plus prégnantes. On se surprend à la fin du roman à apprécier certaines planches pleine de finesse, à la colorisation très travaillée, et au trait facilement identifiable. bref, je vous en recommande la lecture, c'est intelligent, et même si cela aborde un sujet qui ne me concerne que peu, j'me suis senti un peu touché, et surtout intéressé par ce récit intimiste. Mention spéciale d'ailleurs au personnage du Père, très réussi également en contrepoint : une véritable Pénélope. [b]Ma Note :[/b][img]http://www.1001bd.com/tmp/pic/note/4.0.png[/img] The_PoP, qui referme ce tome ému.