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The_PoP

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Tout ce qui a été posté par The_PoP

  1. The_PoP

    Le combat d'Henry Fleming

    J’ai honte. Une pile de la honte vient de se former pour la première fois chez moi… je vais m’y coller promis
  2. Red Gun est une nouvelle série de Western parue chez Soleil, avec un format assez sympathique nous proposant une histoire complète à chaque fois, mais où l'on reconstitue petit à petit le passé du héros, ainsi que la construction du transcontinental. Ce tome 1 est plus qu'un Western, puisqu'on se retrouve devant une véritable enquête criminelle sur un chantier de la transcontinental avec un mystérieux tueur en série. Le héros est assez charismatique et les Colts parlent régulièrement, le ton est plus qu'adulte avec une vraie angoisse qui monte au fil de la fin du tome. C'est plutôt réussi même si le dessin est je trouve un cran en dessous des standards du Western, avec un trait un peu trop informatisé à mon goût et des couleurs manquant peut être de nuance par rapport au genre. Red Gun reste une nouvelle série plutôt prometteuse, mélangeant agréablement les genre et plongeant dans le chantier de la transcontinental et l'héritage de la guerre de sécession américaine.
  3. Titre de l'album : Red Gun - Tome 1 - La voie du sang Scenariste de l'album : Jean-Charles Gaudin Dessinateur de l'album : Giulia Francesca Massaglia Coloriste : Facio Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : 1866, sur le chantier du Transcontinental, plus grand tracé ferroviaire des États-Unis, est à nouveau découvert le corps d'une prostituée. Décision est prise de faire appel à Terence Nichols, surnommé Red Gun, pour la couleur de son colt, persuadé que ces meurtres sont liés à la guerre de Sécession. Il va mener l'enquête et se confronter aux fantômes de son passé. Critique : Red Gun est une nouvelle série de Western parue chez Soleil, avec un format assez sympathique nous proposant une histoire complète à chaque fois, mais où l'on reconstitue petit à petit le passé du héros, ainsi que la construction du transcontinental. Ce tome 1 est plus qu'un Western, puisqu'on se retrouve devant une véritable enquête criminelle sur un chantier de la transcontinental avec un mystérieux tueur en série. Le héros est assez charismatique et les Colts parlent régulièrement, le ton est plus qu'adulte avec une vraie angoisse qui monte au fil de la fin du tome. C'est plutôt réussi même si le dessin est je trouve un cran en dessous des standards du Western, avec un trait un peu trop informatisé à mon goût et des couleurs manquant peut être de nuance par rapport au genre. Red Gun reste une nouvelle série plutôt prometteuse, mélangeant agréablement les genre et plongeant dans le chantier de la transcontinental et l'héritage de la guerre de sécession américaine. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/red-gun-tome-1-la-voie-du-sang?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. The_PoP

    Last Film Watched

    J'ai lu le premier Dune mais sur le tard, il me semble avoir fini le second et décroché par la même occasion. Ce qui est très chouette dans ce film c'est qu'il a vraiment plusieurs niveaux de lecture. Plus fins que sur Starship trooper mais quand même. Bon, je pinaille. Point ultra positif, j'ai adoré les personnages de chani et de sa mère, du baron, et même de paul.
  5. The_PoP

    Last Film Watched

    Nan c'est très bien. Léger soucis de rythme pour moi, avec une conclusion un peu parachutée, quelques enjeux mal expliqués, alors qu'on a quelques fioritures ou plans longs. Dommage, mais ne boudons pas notre plaisir, c'est de la vraie bonne sf, c'est beau, la bande son/bruitages & co sont bien, les persos sont presque tous bien pensés et cohérents et les acteurs sont bons. Pas exempt de défauts, mais c'est que je deviens pénible probablement, la réalité est juste que c'est l'ensemble des 2 dunes forment l'un des meilleurs films de SF que j'ai vu au cinéma, peut être depuis Interstellar en fait. Le remake de Blade Runner ne m'ayant pas vraiment intéressé.
  6. The_PoP

    Vivre à en mourir

    Avec les cérémonies au panthéon de la semaine dernière, Le Lombard remet en avant "Vivre à en mourir", leur BD historique traitant du destin de Marcel Rayman, l'un des membres juifs de la résistance communiste étrangère à l'occupation à Paris pendant la seconde guerre mondiale. Son destin tragique sera partie intégrante de la fameuse affiche rouge dont on a tant parlé. Cette bd est illustrée dans le style de la ligne claire par Jeanne Puchol, qui retranscris assez bien le sérieux du propos. L'histoire elle, désormais très connue est toujours aussi bouleversante. Pour les amoureux de la France, comme de ceux de l'Histoire, ces destins tragiques mêlés à cette période trouble sont fascinants. Cette bd est un excellent moyen pour ceux étant passé à côté de cette petite histoire dans la grande de rattraper leur retard. Avec sérieux et émotion on se plonge dans leurs vécus d'après notamment le témoignage qu'a pu en livrer l'un des rescapés à la fin de la guerre. Impressionnant, et édifiant, à lire tout simplement.
  7. Titre de l'album : Vivre à en mourir Scenariste de l'album : Laurent Galandon Dessinateur de l'album : Jeanne Puchol Coloriste : Laurence Croix Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Vivre à en mourir conte le destin de Marcel Rayman, ce jeune juif polonais pacifiste, qui, face à l'abomination nazie, prendra les armes auprès de Missak Manoukian et d'autres résistants. Pendant deux éprouvantes années, durant lesquelles il verra sa famille déportée, Marcel Rayman fait l'apprentissage de la clandestinité, de la « guérilla urbaine », de la mort, de la peur… et de la trahison. Son visage apparaîtra sur l'infamante Affiche Rouge, propagande de l'occupant destinée à discréditer les actions de la résistance parisienne. Critique : Avec les cérémonies au panthéon de la semaine dernière, Le Lombard remet en avant "Vivre à en mourir", leur BD historique traitant du destin de Marcel Rayman, l'un des membres juifs de la résistance communiste étrangère à l'occupation à Paris pendant la seconde guerre mondiale. Son destin tragique sera partie intégrante de la fameuse affiche rouge dont on a tant parlé. Cette bd est illustrée dans le style de la ligne claire par Jeanne Puchol, qui retranscris assez bien le sérieux du propos. L'histoire elle, désormais très connue est toujours aussi bouleversante. Pour les amoureux de la France, comme de ceux de l'Histoire, ces destins tragiques mêlés à cette période trouble sont fascinants. Cette bd est un excellent moyen pour ceux étant passé à côté de cette petite histoire dans la grande de rattraper leur retard. Avec sérieux et émotion on se plonge dans leurs vécus d'après notamment le témoignage qu'a pu en livrer l'un des rescapés à la fin de la guerre. Impressionnant, et édifiant, à lire tout simplement. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/vivre-a-en-mourir-vivre-a-en-mourir?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Dernier tome du premier cycle de Lonesome, la série réalisée par Yves Swolfs qui mêle quelques maigres éléments de fantastique à un scénario de Western plus classique. Comme il l'avait fait sur Légende, on sent la fascination de l'auteur pour les rites satanistes, sans que pour autant on n'ait l'impression que cela ajoute beaucoup à notre histoire principale finalement assez classique. L'un des points forts de Lonesome est de nous présenter sur presque chaque tomes des paysages et lieux bien distincts car si le tome 3 se passait pas mal en ville, ici ce sont les grandes étendues du nord américain, flirtant avec la frontière canadienne que nos héros vont parcourir. L'autre attrait est évidemment le trait de Yves Swolfs, très ancré dans les représentations de la mythologie du Western spaghetti avec son héros Eastwoodien finalement assez interchangeable entre toutes ces séries depuis Durango en passant par Légende. Soit, les gueules des personnages nous sembleront toutes déjà vues pour ses fidèles lecteurs, mais qu'importe puisque décors et mises en scènes cinématographiques font toujours de ces lectures un beau moment de bd. Si vous arrivez à passer au dessus de cette impression de déjà lu, ou si vous découvrez avec cette série l'univers de Swolfs, alors vous allez passer un bon moment de lecture. Les plus vieux lecteurs se demanderont toutefois pourquoi quitte à marcher autant dans ses traces, ne pas avoir poursuivi simplement Durango...
  9. Titre de l'album : Lonesome - Tome 4 - Le territoire du sorcier Scenariste de l'album : Yves Swolfs Dessinateur de l'album : Yves Swolfs Coloriste : Jackie de Gennaro Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Elijah était venu à New York pour régler ses comptes, il en est reparti avec une famille exhumée des sables du temps et de la mémoire. Mais ni lui ni sa soeur, Miss Lyle, agente des Pinkerton, n'ont pu confronter le responsable de toutes leurs infortunes : leur père, le sénateur Dawson. Et ce dernier a trouvé refuge au beau milieu des bois sur les terres de Cromley, un cultiste redouté. Pour avoir enfin droit à leur réunion de famille, il leur faudra défier le diable en personne ! Critique : Dernier tome du premier cycle de Lonesome, la série réalisée par Yves Swolfs qui mêle quelques maigres éléments de fantastique à un scénario de Western plus classique. Comme il l'avait fait sur Légende, on sent la fascination de l'auteur pour les rites satanistes, sans que pour autant on n'ait l'impression que cela ajoute beaucoup à notre histoire principale finalement assez classique. L'un des points forts de Lonesome est de nous présenter sur presque chaque tomes des paysages et lieux bien distincts car si le tome 3 se passait pas mal en ville, ici ce sont les grandes étendues du nord américain, flirtant avec la frontière canadienne que nos héros vont parcourir. L'autre attrait est évidemment le trait de Yves Swolfs, très ancré dans les représentations de la mythologie du Western spaghetti avec son héros Eastwoodien finalement assez interchangeable entre toutes ces séries depuis Durango en passant par Légende. Soit, les gueules des personnages nous sembleront toutes déjà vues pour ses fidèles lecteurs, mais qu'importe puisque décors et mises en scènes cinématographiques font toujours de ces lectures un beau moment de bd. Si vous arrivez à passer au dessus de cette impression de déjà lu, ou si vous découvrez avec cette série l'univers de Swolfs, alors vous allez passer un bon moment de lecture. Les plus vieux lecteurs se demanderont toutefois pourquoi quitte à marcher autant dans ses traces, ne pas avoir poursuivi simplement Durango... Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lonesome-tome-4-le-territoire-du-sorcier-9782808210256?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. The_PoP

    Parlottes BD

    bah c'est mieux 🙂 superbe premier tome, un coup de coeur de l'année passée...
  11. The_PoP

    Le combat d'Henry Fleming

    Il est sur ma pile. Je le lis puis je viens arbitrer … enfin foutre la merde plutôt 🙂
  12. The_PoP

    café des sports

    Y a l’un des frangins qui a eu une balle de match quand même
  13. The_PoP

    Prochaines sorties...

    j'avoue que sur le white knight, je me suis un peu dilué en terme d'enthousiasme.... Par contre le zorro... j'avoue venant d'un autre auteur, le côté contemporain m'aurait fait flipper, parce que bon zorro, c'est les combats de cape et d'épées quoi. Mais Murphy peut tout oser pour moi depuis Punk Rock Jesus et Tokyo Ghost je crois.
  14. Je vous l'ai dit après le tome 1 de cette série de tortues ninja "reborn", j'ai une tendresse pour ce reboot qui n'en est pas un. D'abord l'univers plus que foisonnant des tortues Ninja, devenu complètement fouilli voir même bordélique à la fin du précédent run d'Eastman est redevenu plus lisible. Les enjeux y sont clairs, les personnages secondaires bien que toujours nombreux sont désormais connus. Bref, il y a juste ce qu'il faut pour une histoire claire et sympa avec les tortues. Sophie Campbell gère ça admirablement bien. Côté dessin, on est dans quelque chose de très classique finalement pour l'univers des tortues, c'est coloré, dynamique, pas si loin que ça du style du dessin animé mais avec plus de caractère je trouve.
  15. Titre de l'album : Les Tortues Ninja - TMNT Reborn - tome 2 - La vie après la mort Scenariste de l'album : Sophie Campbell Dessinateur de l'album : Nelson Daniel & Jodi Nishijima Coloriste : Ronda Pattison Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Un tout nouveau monde voit le jour, un monde où cohabitent plus de mutants que jamais. La vie n'en est pas plus facile et bien des complications retournent la ville de New York !Les conséquences de la bombe mutagène lancée par Old Hob continuent d'affecter New York de façon de plus en plus inquiétante. Alors que le gouvernement s'efforce de faire face à une crise humanitaire, des mutants commencent à disparaître. Les Tortues se mettent à la recherche d'indices qui les mènent jusqu'à la mer. C'est là qu'elles découvrent qu'une chose terrifiante sévit désormais dans les profondeurs !Pendant ce temps, une dispute entre Baxter et April éclate et pourrait entraîner des conséquences désastreuses dans le quartier mutant, où l'existence est à jamais bouleversée... Avec la géniale Sophie Campbell (Wet Moon, Shadoweyes, Jem and the Holograms...) au scénario, l'univers des Tortues Ninja, qui compte plus de mutants que jamais, se trouve révolutionné ! Les dessinateurs Nelson Daniel et Jodi Nishijima mettent la main à la pâte pour reconstruire un monde connu, pourtant jamais-vu. Critique : Je vous l'ai dit après le tome 1 de cette série de tortues ninja "reborn", j'ai une tendresse pour ce reboot qui n'en est pas un. D'abord l'univers plus que foisonnant des tortues Ninja, devenu complètement fouilli voir même bordélique à la fin du précédent run d'Eastman est redevenu plus lisible. Les enjeux y sont clairs, les personnages secondaires bien que toujours nombreux sont désormais connus. Bref, il y a juste ce qu'il faut pour une histoire claire et sympa avec les tortues. Sophie Campbell gère ça admirablement bien. Côté dessin, on est dans quelque chose de très classique finalement pour l'univers des tortues, c'est coloré, dynamique, pas si loin que ça du style du dessin animé mais avec plus de caractère je trouve. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-tortues-ninja-tmnt-reborn-tome-2-la-vie-apres-la-mort?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Les guerres d'arran c'est le règlement de compte que tout le monde attendait dans les terres d'Arran depuis la fin du cycle sur Lah'saa. Autant vous dire que les fans ne passent pas à côté. Pour ma part, j'y prends beaucoup de plaisir, même s'il faut reconnaître qu'on aimerait que nos héros ne soient peut être pas tous du même côté. Cela aurait gagné en profondeur, en enjeux et en émotions je pense, car là, ça finit un peu par faire un gros jeux de massacre entre des héros toujours en pseudo mauvaise posture, mais finalement tellement forts qu'ils massacrent leurs adversaires humains anonymes... On aurait pu aller vers une histoire plus mature, ou adulte. Même si ça aurait probablement choqué les fans 🙂 Bon la galerie de personnages et les retrouvailles avec tous les persos de la saga ça reste une belle madeleine de Proust. Cette fois-ci on retrouve donc Myth, Kronan, Ora et Athé'non entre autres. Côté narration rien de neuf donc puisque Nicolas Jarry use des mêmes recettes que Jean Luc Istin à savoir quelques scènes d'actions et de dialogues entre de grandes phases de narration en voix off à travers les pensées du narrateur choisi pour cet épisode. Je trouve qu'on y perd un peu, mais vu la densité de l'univers et l'ambition du scénario, c'est ici je crois un peu un passage obligé. Attention toutefois, cet opus est quand même bien verbeux. Les dessins de Yerofieieva sont dans l'esprit de la série, mais ils ne sont pas les plus détaillés ou les plus fins que l'on y a vu. La colorisation de J. Nanjan ne parvient pas à ramener plus de finesse à l'ensemble, qui se lit malgré ce que j'en dis très bien. Les scènes d'actions sont claires, et les personnages bien réussis. On sent toutefois que le dénouement approche. Les forces convergent 🙂
  17. Titre de l'album : Guerres d'Arran - Tome 3 - La bataille de Torunn Scenariste de l'album : Nicolas Jarry Dessinateur de l'album : Alina Yerofieieva Coloriste : J. Nanjan Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Face à l'immense horde assanide, Kronan hésite entre l'honneur ou la raison, le combat ou la fuite. Tandis que les elfes Bleus de Port-Vogue, jusqu'alors préservés, se retrouvent assiégés par une immense flotte de navires yrlanais, à l'Ouest, une nouvelle légion d'hommes et de Golems assiègent les Elfes de la forêt de Torunn, repoussant toujours plus loin les Sylvains menés par la reine Ora... Critique : Les guerres d'arran c'est le règlement de compte que tout le monde attendait dans les terres d'Arran depuis la fin du cycle sur Lah'saa. Autant vous dire que les fans ne passent pas à côté. Pour ma part, j'y prends beaucoup de plaisir, même s'il faut reconnaître qu'on aimerait que nos héros ne soient peut être pas tous du même côté. Cela aurait gagné en profondeur, en enjeux et en émotions je pense, car là, ça finit un peu par faire un gros jeux de massacre entre des héros toujours en pseudo mauvaise posture, mais finalement tellement forts qu'ils massacrent leurs adversaires humains anonymes... On aurait pu aller vers une histoire plus mature, ou adulte. Même si ça aurait probablement choqué les fans 🙂 Bon la galerie de personnages et les retrouvailles avec tous les persos de la saga ça reste une belle madeleine de Proust. Cette fois-ci on retrouve donc Myth, Kronan, Ora et Athé'non entre autres. Côté narration rien de neuf donc puisque Nicolas Jarry use des mêmes recettes que Jean Luc Istin à savoir quelques scènes d'actions et de dialogues entre de grandes phases de narration en voix off à travers les pensées du narrateur choisi pour cet épisode. Je trouve qu'on y perd un peu, mais vu la densité de l'univers et l'ambition du scénario, c'est ici je crois un peu un passage obligé. Attention toutefois, cet opus est quand même bien verbeux. Les dessins de Yerofieieva sont dans l'esprit de la série, mais ils ne sont pas les plus détaillés ou les plus fins que l'on y a vu. La colorisation de J. Nanjan ne parvient pas à ramener plus de finesse à l'ensemble, qui se lit malgré ce que j'en dis très bien. Les scènes d'actions sont claires, et les personnages bien réussis. On sent toutefois que le dénouement approche. Les forces convergent 🙂 Autres infos : Storyboard de Kyko Duarte Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. pffffiooooou, vous non plus vous ne savez plus d'où sort cette série ? Du comics en noir, gris et blanc chez soleil pourtant ce n'est pas si commun ? Et bien je vais vous rafraichir la mémoire, c'est une série dont les 3 premiers tomes sont sortis entre 2014 et 2016, qui vient de nous offrir enfin la suite. Espérons que cela redémarre pour de bon car l'univers, s'il n'est pas hyper original et plutôt chouette, avec une petite dose de mysticisme qui le démarque assez nettement des classiques du genre façon Walking Dead. Bon ici, les zombies sont des loups garous quasi immortels, et seule l'Amérique est infestée. Bon. A cela on rajoute comme je l'ai déjà dit une poignée de mysticisme qui va permettre à nos personnages de partir en quête et de se retrouver à la fin de ce tome. On sent qu'un dénouement pourrait approcher. Par contre je trouve une nouvelle fois que Jean-Luc Istin abuse un petit peu trop de la voix off pour sa narration, ce qui nous détache un petit peu des émotions. Etre dans les pensées des personnages c'est bien et souvent intéressant dans un livre pour améliorer notre proximité au personnage, par contre en bd, je trouve que cela nous coupe parfois des émotions de la situation en temps réelle. Ceci dit j'ai le même ressenti sur certains de ses tomes des terres d'arran, et visiblement cela ne gêne pas grand monde, mon commentaire est donc évidemment à prendre avec des pincettes, c'est une question de goût. Les dessins ont été repris à partir du tome 3 par Radivojevic et ils sont plutôt bons dans le genre. c'est réalisé tout en teintes de gris, noir et blanc, à part la couverture en couleur. Rien d'époustouflant ceci dit, surtout que le manque de couleur rend peut être l'ensemble un peu terne mais décors, visages et ambiances sont bien travaillés, et les personnages sont plutôt facilement identifiables avec des scènes d'actions lisibles.
  19. Titre de l'album : World War Wolves - Tome 4 - Maudits soient-ils ! Scenariste de l'album : Jean-Luc Istin Dessinateur de l'album : Radivojevic Coloriste : Radivojevic Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Au milieu de ce chaos, John Marshall et sa famille au bord de la crise de nerf doivent fuir Las Cruces assiégée par les loups. Malcom Spodling et son groupe récemment évadés de Riker's Island font une bien mauvaise rencontre. Leur point commun, le combat pour leur survie mais pas que... une vision, une intuition, un lieu... une ville en Arizona où vit un peuple indien, où tous convergent. Critique : pffffiooooou, vous non plus vous ne savez plus d'où sort cette série ? Du comics en noir, gris et blanc chez soleil pourtant ce n'est pas si commun ? Et bien je vais vous rafraichir la mémoire, c'est une série dont les 3 premiers tomes sont sortis entre 2014 et 2016, qui vient de nous offrir enfin la suite. Espérons que cela redémarre pour de bon car l'univers, s'il n'est pas hyper original et plutôt chouette, avec une petite dose de mysticisme qui le démarque assez nettement des classiques du genre façon Walking Dead. Bon ici, les zombies sont des loups garous quasi immortels, et seule l'Amérique est infestée. Bon. A cela on rajoute comme je l'ai déjà dit une poignée de mysticisme qui va permettre à nos personnages de partir en quête et de se retrouver à la fin de ce tome. On sent qu'un dénouement pourrait approcher. Par contre je trouve une nouvelle fois que Jean-Luc Istin abuse un petit peu trop de la voix off pour sa narration, ce qui nous détache un petit peu des émotions. Etre dans les pensées des personnages c'est bien et souvent intéressant dans un livre pour améliorer notre proximité au personnage, par contre en bd, je trouve que cela nous coupe parfois des émotions de la situation en temps réelle. Ceci dit j'ai le même ressenti sur certains de ses tomes des terres d'arran, et visiblement cela ne gêne pas grand monde, mon commentaire est donc évidemment à prendre avec des pincettes, c'est une question de goût. Les dessins ont été repris à partir du tome 3 par Radivojevic et ils sont plutôt bons dans le genre. c'est réalisé tout en teintes de gris, noir et blanc, à part la couverture en couleur. Rien d'époustouflant ceci dit, surtout que le manque de couleur rend peut être l'ensemble un peu terne mais décors, visages et ambiances sont bien travaillés, et les personnages sont plutôt facilement identifiables avec des scènes d'actions lisibles. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/world-war-wolves-tome-4-maudits-soient-ils?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. il y a de très très belles choses, surtout en paysages je trouve, dans ce roman graphique
  21. Ce tome 1 de la quête est une oeuvre assez sympa destinée à la jeunesse. L'histoire est plutôt bien vue, et va nous proposer à travers son côté décalé des petits sujets de réflexion. On comprend vite que la quête est en fait la quête de soi, et que le prétexte à l'imaginaire dans cette aventure va plus nous amener vers don quichotte que vers les chevaliers de la table ronde. Les dessins eux sont malheureusement dans un style que l'on a beaucoup vu ses dernières années, et je ne suis pas sur que cela soit le plus adapté au public jeunesse visé. Mais c'est peut être simplement moi qui ai fait un peu la fine bouche. Pourtant ils sont bien réussis dans leur genre et largement au niveau de romans graphiques qui ont cartonné ces dernières années, mais comme souvent dans ce style pour ma part, ils ne m'ont pas vraiment permis d'entrer en empathie avec les personnages. Ceci étant dit, la lecture de ce tome 1 reste très agréable, et assez intelligente.
  22. Titre de l'album : La quête - Tome 1 - La dame du lac perdu Scenariste de l'album : Frédéric Maupomé Dessinateur de l'album : Wauter Mannaert Coloriste : Wauter Mannaert Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Depuis mille ans, le roi Pellinor et ses descendants traquent la Bête... et échouent lamentablement. Du coup, c'est au tour de Pelli de se lancer dans la quête familiale. Ça tombe bien, parce qu'il est présentement sans véritable emploi - et puis ça fait super plaisir à son grand-père qu'il reprenne le flambeau. Après, on ne va pas se mentir... Pelli n'a pas les capacités physiques dignes des chevaliers de légende et son acolyte, la Dame du lac, a perdu sa magie. Dans un monde qui change, où le merveilleux laisse la place à la banalité, leur quête s'annonce un vrai défi. Mais après tout, l'important, dans une quête, n'est-ce pas le chemin plutôt que la destination...? Critique : Ce tome 1 de la quête est une oeuvre assez sympa destinée à la jeunesse. L'histoire est plutôt bien vue, et va nous proposer à travers son côté décalé des petits sujets de réflexion. On comprend vite que la quête est en fait la quête de soi, et que le prétexte à l'imaginaire dans cette aventure va plus nous amener vers don quichotte que vers les chevaliers de la table ronde. Les dessins eux sont malheureusement dans un style que l'on a beaucoup vu ses dernières années, et je ne suis pas sur que cela soit le plus adapté au public jeunesse visé. Mais c'est peut être simplement moi qui ai fait un peu la fine bouche. Pourtant ils sont bien réussis dans leur genre et largement au niveau de romans graphiques qui ont cartonné ces dernières années, mais comme souvent dans ce style pour ma part, ils ne m'ont pas vraiment permis d'entrer en empathie avec les personnages. Ceci étant dit, la lecture de ce tome 1 reste très agréable, et assez intelligente. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-quete-tome-1-la-dame-du-lac-perdu?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Ce Oken me faisait diablement envie, mais force est de reconnaître, que pour moi qui ne suis pas tant attiré par l'art que cela, l'ensemble m'a finalement paru un peu trop abstrait. J'ai aimé découvrir ce contexte taiwanais de l'après guerre avec sa complexité historique et son côté méconnu pour nous européens. Il se dégage de belles choses de ces planches, et de ces rêveries. Malheureusement je pense ne pas avoir l'âme assez portée vers les belles rêveries poétiques pour tout en apprécier. Je ne peux que conseille Oken aux amoureux de la poésie, de l'asie et de l'art en général. Pour les autres, cela risque d'être plus abscons.
  24. Titre de l'album : Oken - Combats et rêveries d'un poète taïwanais Scenariste de l'album : Shih-Hung Wu Dessinateur de l'album : Shih-Hung Wu Coloriste : Shih-Hung Wu Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : La jeunesse d'Oken a bien failli s'achever dans les flammes de l'Histoire. Contraints de fuir Taiwan pour fuir les bombes américaines, le jeune garçon et sa famille trouvent refuge dans les montagnes. Mais contre la mélancolie, Oken possède une arme à nulle autre pareille : la poésie. Celle-là même qui lui permet de percer la beauté du monde, et de comprendre que la vie est telle une araignée d'eau : fragile, mais tellement élégante et fascinante. Critique : Ce Oken me faisait diablement envie, mais force est de reconnaître, que pour moi qui ne suis pas tant attiré par l'art que cela, l'ensemble m'a finalement paru un peu trop abstrait. J'ai aimé découvrir ce contexte taiwanais de l'après guerre avec sa complexité historique et son côté méconnu pour nous européens. Il se dégage de belles choses de ces planches, et de ces rêveries. Malheureusement je pense ne pas avoir l'âme assez portée vers les belles rêveries poétiques pour tout en apprécier. Je ne peux que conseille Oken aux amoureux de la poésie, de l'asie et de l'art en général. Pour les autres, cela risque d'être plus abscons. Autres infos : D'après Yang Mu Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/oken-combats-et-reveries-d-un-poete-taiwanais?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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