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The_PoP

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Tout ce qui a été posté par The_PoP

  1. Tu ne trouves pas qu’il clôture son histoire sans expliquer pas mal de choses ? les clones super balezes ? le gain qu’espérait tirer la main jaune de son espèce de plan de merde ? et que globalement les persos secondaires ne servent à rien et que leurs allées et venues sont un peu aléatoires ? nan d’un point de vue logique j’ai eu vraiment du mal. Mais peut être que j’ai un peu décroché pendant la lecture... ceci di te’ accord avec toi sur le reste : l’ambiance, l’époque et la nostalgie marchent bien.
  2. j'me sens roulé moi aussi. Pas dit que je ne garderai pas l'autre en one shot. Si celui là n'est pas bon => rideaux
  3. The_PoP

    East of West T9

    ça t'apprendra à ne pas commander sur bdfugue tiens... 😄
  4. The_PoP

    Derniers Achats

    sanctuaire ça vaut vraiment le coup donc ? combien de tomes ? série finie proprement ?
  5. Bah peut être que je suis un peu excessif hein, mais vraiment après avoir refermé la bd j'ai repensé à "l'aventure" présentée et je me suis dit que c'était vraiment un scénario de mauvais nanard des années 80. En tous cas je crains que ce ne soit pas cet episode qui vous fasse oublier les premiers Bob Morane @Kevin Nivek : je vois pas trop comment il pourrait, dans Conan il a déjà la trame de l'histoire... 😄 Ceci dit s'il le rate, j'arrête.
  6. The_PoP

    Quelqu'un à qui parler

    Après mon coup de coeur documentaire de l'année, voici l'un de mes coups de coeur en roman graphique "feel good" de l'année. Il faut dire que l'idée de départ m'a tout de suite emballé. Et fait percuter. Mais c'est beau, c'est intelligent, humain et bien réalisé. Que demander de plus ? Une réflexion ? Elle vous est fournie avec en prime j'imagine quelques séquences nostalgie, de la projection facile, et des émotions fortes inévitables dans le destin de Samuel nous parlera nécessairement à un moment ou à un autre. Je me suis régalé, et c'est une très belle adaptation même si je n'en connaissais pas le livre de base de Cyril Massarotto.
  7. Titre de l'album : Quelqu'un à qui parler Scenariste de l'album : Gregory Panaccione Dessinateur de l'album : Gregory Panaccione Coloriste : Gregory Panaccione Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Samuel broie du noir. Et il y a de quoi ! Il est célibataire, vit dans un petit appartement sous un toit de Paris et se morfond dans un travail qui ne le passionne pas... Seul chez lui le soir de son anniversaire, Samuel s'amuse à appeler le seul numéro qu'il connait par coeur, celui de sa maison d'enfance. À sa grande surprise, quelqu'un décroche : lui-même. Le petit Samuel, 10 ans, qui rêve d'être footballeur, de voyager et d'écrire des romans pour impressionner les filles... Comment garder la tête haute quand on doit avouer à l'enfant qu'on était qu'on n'a réalisé aucun de ses rêves ? Il est temps pour Samuel de reprendre sa vie en main... Critique : Après mon coup de coeur documentaire de l'année, voici l'un de mes coups de coeur en roman graphique "feel good" de l'année. Il faut dire que l'idée de départ m'a tout de suite emballé. Et fait percuter. Mais c'est beau, c'est intelligent, humain et bien réalisé. Que demander de plus ? Une réflexion ? Elle vous est fournie avec en prime j'imagine quelques séquences nostalgie, de la projection facile, et des émotions fortes inévitables dans le destin de Samuel nous parlera nécessairement à un moment ou à un autre. Je me suis régalé, et c'est une très belle adaptation même si je n'en connaissais pas le livre de base de Cyril Massarotto. Autres infos : D'après le roman de Cyril Massarotto Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/quelqu-un-a-qui-parler?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. The_PoP

    Renault - Les mains noires

    Je tiens d'emblée à préciser que je ne suis amateur ni d'automobile, ni de documentaires en BD. Et pourtant ce n'est pas une erreur et j'ai bien mis 5 à cette BD. Que je ne peux que vous conseiller. Je l'ai ouverte sans grandes conviction hier soir, un peu claqué. Et je l'ai refermée après un très beau et long temps de lecture. Car oui, les 80 pages sont intenses, pleines de dialogues, et demande une attention certaine pour être appréciées, d'autant que certains découpages de cases peu orthodoxe mais diablement efficaces ne manqueront pas de perturber vos habitudes de lecture. J'ai lu ce Renault comme j'ai lu Il était une fois en France. Et pour moi on est sur la même intensité. Le personnage présenté l'est sans concession, même si l'on ressent beaucoup de tendresse pour leur sujet de la part des auteurs. Louis Renault fut un géant de ce début du siècle, un homme dont le destin a pesé durablement sur la France et sur le monde. Et pourtant jusqu'à hier j'ignorais tout de lui. Le boulot d'historien des deux auteurs est assez fabuleux, et si parfois la fiction ou le romanesque s'invitent dans le traitement de leur sujet, cela sonne globalement juste. Alors quand une BD vous propose de vous instruire sur la grande Histoire de France en vous passionnant autant, chapeau bas.
  9. Titre de l'album : Renault - Les mains noires Scenariste de l'album : Antoine Lapasset Dessinateur de l'album : Benjamin Benéteau Coloriste : Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Depuis le petit atelier au fond du jardin où il bricolait ses premiers moteurs, jusqu'à la création d'un empire si puissant qu'on disait de lui que toute la France s'enrhumait quand son usine toussait, Louis Renault a traversé son époque comme un bolide. Revenir sur la vie de Renault, c'est s'intéresser à la première moitié du XIXe siècle. Cinquante années d'une transformation fulgurante du monde, propulsée par un progrès qui ne veut croire en aucune limite. Mais aussi cinquante années tourmentées de conflits idéologiques majeurs, jalonnées de deux guerres mondiales. Si la première va mener Renault au sommet, la seconde précipitera sa chute. Inventeur, visionnaire, pilote, businessman... On connait sa signature, reste à découvrir l'homme. Critique : Je tiens d'emblée à préciser que je ne suis amateur ni d'automobile, ni de documentaires en BD. Et pourtant ce n'est pas une erreur et j'ai bien mis 5 à cette BD. Que je ne peux que vous conseiller. Je l'ai ouverte sans grandes conviction hier soir, un peu claqué. Et je l'ai refermée après un très beau et long temps de lecture. Car oui, les 80 pages sont intenses, pleines de dialogues, et demande une attention certaine pour être appréciées, d'autant que certains découpages de cases peu orthodoxe mais diablement efficaces ne manqueront pas de perturber vos habitudes de lecture. J'ai lu ce Renault comme j'ai lu Il était une fois en France. Et pour moi on est sur la même intensité. Le personnage présenté l'est sans concession, même si l'on ressent beaucoup de tendresse pour leur sujet de la part des auteurs. Louis Renault fut un géant de ce début du siècle, un homme dont le destin a pesé durablement sur la France et sur le monde. Et pourtant jusqu'à hier j'ignorais tout de lui. Le boulot d'historien des deux auteurs est assez fabuleux, et si parfois la fiction ou le romanesque s'invitent dans le traitement de leur sujet, cela sonne globalement juste. Alors quand une BD vous propose de vous instruire sur la grande Histoire de France en vous passionnant autant, chapeau bas. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/renault-les-mains-noires?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. C'est avec joie que j'ai découvert que Soleil lançait un reboot de Bob Morane cette année, faisant ainsi involontairement écho au décès récent d'Henry Vernes, le créateur du personnage. Les noms aux manettes étant prestigieux dans le petit monde de la BD, cela s'annonçait plutôt bien. Pourtant j'ai été super déçu. D'abord par le boulot des scénaristes. Sincèrement c'est tellement bourré de raccourcis, d'incohérences, d'absences d'explications, de personnages secondaires foutraques et inutiles que venant de cadors comme Bec et Corbeyran, on frise la faute professionnelle ou l'absence de respect de l'intelligence du lecteur. Je n'irais pas plus loin dans cette charge inhabituellement virulente contre des auteurs car je ne souhaite pas spolier, mais la BD n'étant toujours pas le cinéma actuel, non on ne peut pas se permettre les mêmes inepties scénaristiques. Si c'est pour faire ça, faites le au cinoche ! Une fois ce coup de gueule passé, je reconnaitrais bien volontiers que j'ai pris du plaisir à lire cet opus, une fois le cerveau éteint, et bien aidé par le trait dePaolo Grella et les couleurs de Sébastien Gérard. Et surtout, surtout une vraie tendresse pour les aventures de Bob Morane et la redécouverte d'une époque trop peu lue pour moi de l'histoire française. Mais bordel pourquoi être allé chercher Bec et Corbeyran pour pondre un scénar de série Z moyennasse qui ne tient pas debout 3 secondes ?
  11. Titre de l'album : Bob Morane - Tome 1 - Les 100 démons de l'ombre jaune - Scenariste de l'album : Christophe Bec & Corbeyran Dessinateur de l'album : Paolo Grella Coloriste : Sébastien Gérard Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : 1952. En pleine guérilla entre le Viet-Minh et les forces françaises, Bob Morane et Bill Ballantine sont parachutés en compagnie de soldats d'élite au nord de l'Indochine. Leur mission est d'aider les troupes françaises à combattre les sympathisants d'Ho Chi Minh, ces derniers s'acharnant à vouloir mettre les français à la porte de leur pays pour en reprendre le contrôle. Critique : C'est avec joie que j'ai découvert que Soleil lançait un reboot de Bob Morane cette année, faisant ainsi involontairement écho au décès récent d'Henry Vernes, le créateur du personnage. Les noms aux manettes étant prestigieux dans le petit monde de la BD, cela s'annonçait plutôt bien. Pourtant j'ai été super déçu. D'abord par le boulot des scénaristes. Sincèrement c'est tellement bourré de raccourcis, d'incohérences, d'absences d'explications, de personnages secondaires foutraques et inutiles que venant de cadors comme Bec et Corbeyran, on frise la faute professionnelle ou l'absence de respect de l'intelligence du lecteur. Je n'irais pas plus loin dans cette charge inhabituellement virulente contre des auteurs car je ne souhaite pas spolier, mais la BD n'étant toujours pas le cinéma actuel, non on ne peut pas se permettre les mêmes inepties scénaristiques. Si c'est pour faire ça, faites le au cinoche ! Une fois ce coup de gueule passé, je reconnaitrais bien volontiers que j'ai pris du plaisir à lire cet opus, une fois le cerveau éteint, et bien aidé par le trait dePaolo Grella et les couleurs de Sébastien Gérard. Et surtout, surtout une vraie tendresse pour les aventures de Bob Morane et la redécouverte d'une époque trop peu lue pour moi de l'histoire française. Mais bordel pourquoi être allé chercher Bec et Corbeyran pour pondre un scénar de série Z moyennasse qui ne tient pas debout 3 secondes ? Autres infos : Sous le choc. Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bob-morane-tome-1-les-100-demons-de-l-ombre-jaune?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. The_PoP

    Derniers Achats

    Ah le bob Morane est prévu en critique chez moi d’ici la fin de semaine... y a tellement de trucs qui vont faire très très très envie en septembre là... undertaker barbe rouge x2 princes demons blacksad et j’en oublie sûrement...
  13. The_PoP

    East of West T9

    Elle sort bientôt la dernière intégrale ?
  14. The_PoP

    Vos dernières lectures

    @Kevin Nivek: ben Siegfried c’est sublime. Ça se discute même pas. Mais scénaristiquement ça ne remplit pas vraiment les 3 tomes quoi...
  15. The_PoP

    Vos dernières lectures

    Tu peux la faire aussi si tu veux hein, j'ai une liste de chronique à faire un peu cossue là ... @kvin : UW1 est génial. Tu vas te régaler. La fin est juste parfaite. Siegfried est beau, court et intense. Un poil vide pour moi donc un cran en dessous du Troisième Testament.
  16. Titre de l'album : Orcs & Gobelins - Tome 14 - Shaaka Scenariste de l'album : Sylvain Cordurié Dessinateur de l'album : Jean-Charles Poupard Coloriste : J. Nanjan Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Longtemps, Shaaka a oeuvré pour le Margrave Egilon. Mais lassée de risquer sa peau, elle a quitté son employeur. Jusqu'au jour où Egilon vient la trouver. Pour s'emparer d'un gisement d'or en Ourann, il a fait empoisonner des points d'eau et a causé la mort de nombreux orcs, s'attirant les foudres d'un orc légendaire. Pour sauver sa fille, il veut que Shaaka lui fasse quitter l'île d'Enghien. Critique : Chronique réalisée à partir d'un pdf. Les habitués de 1001bd savent que si je nourris beaucoup de doutes régulièrement sur les séries des Terres d'Arran, j'ai cependant un petit faible pour Orcs & Gobelins. Effectivement je la trouve globalement plus fraiche, plus créative, et j'ai moins une impression de vu et revu qu'avec les séries Elfes ou Mages par exemple. Ce tome 14 ne marquera pas durablement les lecteurs mais comme le reste, il se lit avec beaucoup de plaisir. Graphiquement c'est toujours superbe, et le scénario est cohérent et bien mené, avec un rythme soutenu, et un dernier twist bien vu. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/orcs-et-gobelins-tome-14-shaaka?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Chronique réalisée à partir d'un pdf. Les habitués de 1001bd savent que si je nourris beaucoup de doutes régulièrement sur les séries des Terres d'Arran, j'ai cependant un petit faible pour Orcs & Gobelins. Effectivement je la trouve globalement plus fraiche, plus créative, et j'ai moins une impression de vu et revu qu'avec les séries Elfes ou Mages par exemple. Ce tome 14 ne marquera pas durablement les lecteurs mais comme le reste, il se lit avec beaucoup de plaisir. Graphiquement c'est toujours superbe, et le scénario est cohérent et bien mené, avec un rythme soutenu, et un dernier twist bien vu.
  18. The_PoP

    Prochaines sorties...

    Ethan Hawke il avait déjà signé un roman graphique western sur Geronimo qui n'était pas mal (graphiquement sublime) mais quand même un peu léger en narration... à voir...
  19. @Kevin : Undertaker devrait être très largement sur le dessus de ta pile. Pas lu beaucoup de séries de meilleure qualité que celle là tiens. @poseidon2: bon je l'aurais pris même avec une mauvaise note il faut bien le reconnaitre, mais là tu donnes carrément envie. Pour la question de meilleure série western depuis Blueberry c'est difficile à juger parce que cela suppose qu'il n'y a rien eu de mieux que Blueberry depuis. Alors attention hein, j'adore Blueb's. Mais si les premiers tomes sont très très bons, cela fait longtemps que la série n'est plus à ce niveau là. Une fois cela posé, je dois également reconnaitre qu'en Western ma sainte trilogie reste Blueberry, Durango, Comanche. Alors je pense qu'on peut quand même en conclure que "c'est pas faux" vui que les quelques Western un cran au dessus de Bluebs ces dernières années sont pour moi des one shot : Sykes, Western, Buffalo Runner par exemple. Ceci dit les blueb's ont quand même pris un sérieux coup de vieux niveau dynamisme de narration. Les histoires elles sont toujours aussi bien foutues par contre. Et les dessins, bon y a vraiment rien de rien à redire. Pour l'autre partie de la question donc, qui met Undertaker au niveau de Blueberry, je ne peux qu'être d'accord. C'est beaucoup moins manichéens, les histoires sont plus intelligentes, le dyptique du boucher étant somptueux, et graphiquement je le met sur le même niveau. Ceci étant dit il faudra aussi regarder sur la durée, car les Blueberry ont été excellents ou très bons au moins jusqu'au 23.
  20. Titre de l'album : Red Sun - Tome 2 - Ma soeur Scenariste de l'album : Stéphane Louis Dessinateur de l'album : Alessandra De Bernardis Coloriste : Alessandra De Bernardis Editeur de l'album : Kamiti Note : Résumé de l'album : Suite et fin du diptyque RED SUN. En l'an 2627, ce qu'il reste de l'humanité - en voie d'extinction - est réduit en esclavage sur le système solaire Red Sun. La rébellion, dirigée par Cass, a gagné plusieurs batailles contre la coalition Alien. Mais ces derniers possèdent l'arme ultime, l'antégénésis. Le dénouement final approche... Critique : Après un premier tome de mise en place intéressant et qui nous présentait un univers riche et au paradigme de départ assez passionnant, ce tome 2 avait la lourde tâche de devoir clôturer ce diptyque. Et forcément c'est compliqué car développer autant d'ambitions sur simplement 2 tomes en SF demande une immense maitrise narrative. On a donc un tome 2 qui va du coup très très très vite. Et un dénouement qui se déroule à la vitesse du Faucon Millenium. Personnellement c'est un regret pour moi, car cette conclusion m'a laissé sur ma fin en me demandant ce qu'aurait donné cette histoire originale et bien pensée sur 3 tomes. Graphiquement c'est toujours réussi, surtout pour une production d'un éditeur indépendant comme Kamiti. La couverture elle est juste sublime. Au final voici une petite série en 2 tomes de science fiction rafraichissante et qui sort un peu des sentiers battus. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/red-sun-tome-2-ma-soeur?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. The_PoP

    Red Sun - Tome 2 - Ma soeur

    Après un premier tome de mise en place intéressant et qui nous présentait un univers riche et au paradigme de départ assez passionnant, ce tome 2 avait la lourde tâche de devoir clôturer ce diptyque. Et forcément c'est compliqué car développer autant d'ambitions sur simplement 2 tomes en SF demande une immense maitrise narrative. On a donc un tome 2 qui va du coup très très très vite. Et un dénouement qui se déroule à la vitesse du Faucon Millenium. Personnellement c'est un regret pour moi, car cette conclusion m'a laissé sur ma fin en me demandant ce qu'aurait donné cette histoire originale et bien pensée sur 3 tomes. Graphiquement c'est toujours réussi, surtout pour une production d'un éditeur indépendant comme Kamiti. La couverture elle est juste sublime. Au final voici une petite série en 2 tomes de science fiction rafraichissante et qui sort un peu des sentiers battus.
  22. Titre de l'album : Urbex - Tome 1 - Villa Pandora Scenariste de l'album : Vincent Dugommier Dessinateur de l'album : Clarke Coloriste : Mikl Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Si les murs des vieux bâtiments pouvaient parler, que raconteraient-ils...? Depuis qu'Alex et Julie ont franchi la porte de la Villa Pandora, ils ont la réponse ! À présent, à chacune de leurs explorations urbaines, les deux adolescents sont assaillis par des visions de vies d'inconnus. Autant de fragments qu'ils vont devoir recoller, au risque de voir leur identité vaciller à mesure qu'ils tentent de comprendre les étranges pouvoirs dont les a investis la mystérieuse bâtisse. Critique : Le Lombard gâte décidément son public jeunes ados / parents contents de bouquiner. Après sa nouvelle séries des Omniscients on retrouve toujours Vincent Dugommier au scénario, cette fois-ci secondé par la créativité du dessinateur Clarke à qui le fantastique (Réalités obliques, Akkad dans un autre style) réussit décidément très bien. Cet Urbex ne rencontre pour moi que deux problèmes : - le public visé : le propos me parait tout de même délicat pour les ados trop jeunes, et du coup peut être pâs assez poussé pour les adultes un peu plus exigeants en terme de complexité. Mais je vais tout de suite nuancer ce point car il ne s'agit que d'un premier tome, et l'on sent bien que l'histoire peut largement gagner en richesse. A voir donc au tome 2... - Son nom : on s'attend ici à une vraie BD sur l'Urbex, hors on rentre très très vite dans le fantastique. L'urbex devenant alors un "motif" à l'exploration fantastique. Ce n'est pas forcément grave, si l'on ne s'attend pas à une pure BD sur l'Urbex. Moi je n'y connaissais rien et cela ne m'a donc posé aucun soucis comme vous pouvez l'imaginer. Au final on a une BD qui se lit très bien, qui est agréable et compréhensible, et que les adultes pourront piquer à leurs ados avec plaisir. Espérons que les auteurs développerons ce mystère dans les prochains tomes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/urbex-tome-1-villa-pandora?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. The_PoP

    Urbex - Tome 1 - Villa Pandora

    Le Lombard gâte décidément son public jeunes ados / parents contents de bouquiner. Après sa nouvelle séries des Omniscients on retrouve toujours Vincent Dugommier au scénario, cette fois-ci secondé par la créativité du dessinateur Clarke à qui le fantastique (Réalités obliques, Akkad dans un autre style) réussit décidément très bien. Cet Urbex ne rencontre pour moi que deux problèmes : - le public visé : le propos me parait tout de même délicat pour les ados trop jeunes, et du coup peut être pâs assez poussé pour les adultes un peu plus exigeants en terme de complexité. Mais je vais tout de suite nuancer ce point car il ne s'agit que d'un premier tome, et l'on sent bien que l'histoire peut largement gagner en richesse. A voir donc au tome 2... - Son nom : on s'attend ici à une vraie BD sur l'Urbex, hors on rentre très très vite dans le fantastique. L'urbex devenant alors un "motif" à l'exploration fantastique. Ce n'est pas forcément grave, si l'on ne s'attend pas à une pure BD sur l'Urbex. Moi je n'y connaissais rien et cela ne m'a donc posé aucun soucis comme vous pouvez l'imaginer. Au final on a une BD qui se lit très bien, qui est agréable et compréhensible, et que les adultes pourront piquer à leurs ados avec plaisir. Espérons que les auteurs développerons ce mystère dans les prochains tomes.
  24. T’as dit « joli » c’est normal que t’aies oublié les Léo 🙂🤣
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