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  1. The_PoP

    La vengeance de Zaroff

    Le premier opus des crimes de Zaroff dans la collection Signé m'avait fait très forte impression à l'époque. Dessin soigné, histoire menée tambour battante, personnage hors du commun, cette chasse à l'homme m'avait alors beaucoup plu. Alors imaginez quand j'ai appris qu'il y aurait une suite sous forme d'un nouveau one-shot dans la même collection et avec les mêmes auteurs aux manettes. On retrouve donc notre Comte sanguinaire tranquillement et discrêtement installé aux Etats Unis où il passe le temps jusqu'à ce que la guerre nécessite ses services. Le monde est en pleine seconde guerre mondiale, et autant dire que le Nazi va être une proie plus qu'intéressante pour notre comte. Les dessins sont toujours superbes et si l'histoire se révèle moins impactante je trouve que le premier tome, on la dévore avec grand plaisir. Les amateurs du premier tome y trouveront largement leur compte. Attention cependant aux âmes fragiles, c'est toujours aussi malsain et immoral. Côté dessin, François Miville-Deschênes reprend son travail du premier opus avec presque le même brio. Je dis presque car les personnages et les décors m'avaient semblé plus flamboyants dans le premier tome, mais c'est peut être lié également au côté froid de cette aventure un brin glacée. Ceci dit je fais la fine bouche car comme souvent dans la collection signé, le travail graphique reste de très haut de gamme. C'est vraiment bien.
  2. Décidément le printemps est la saison des Schtroumpfs ! On n'en doutait pas mais ce tome 6 de la série spin off sur le village des filles Schtroumpfs vient nous le rappeler de belle manière avec cette aventure qui continue, de tome en tome, faisant voyager nos trois héroïnes Schtroumpfs un peu plus loin dans l'imaginaire. On retrouvera avec plaisir l'humour des Schtroumpfs et leur bonne humeur et légèreté bienveillante. Le dessin est dans la droite ligne de l'héritage de la série mère, et cet opus est un bon moyen de retomber dans sa jeunesse pendant le temps de sa lecture.
  3. Titre de l'album : Les schtroumpfs et le village des filles - Tome 6 - L'île vagabonde Scenariste de l'album : Luc Parthoens & Thierry Culliford Dessinateur de l'album : Laurent Cagniat Coloriste : Paolo Maddaleni Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Toujours à la recherche du Pays des Pierres Schtroumpfantes, Menthe, Tempête et Bouton d'Or vont devoir prendre la mer en compagnie de leur nouvel ami Bernardo. Mais tout cela est plus facile à dire qu'à schtroumpfer : les habitants de l'étrange contrée où elles sont arrivées ont beau différer des humains... il n'en faut pas moins payer sa traversée ! Alors, pour le salut de Saule, nos héroïnes vont devoir embarquer clandestinement vers la suite de leur grande aventure. Critique : Décidément le printemps est la saison des Schtroumpfs ! On n'en doutait pas mais ce tome 6 de la série spin off sur le village des filles Schtroumpfs vient nous le rappeler de belle manière avec cette aventure qui continue, de tome en tome, faisant voyager nos trois héroïnes Schtroumpfs un peu plus loin dans l'imaginaire. On retrouvera avec plaisir l'humour des Schtroumpfs et leur bonne humeur et légèreté bienveillante. Le dessin est dans la droite ligne de l'héritage de la série mère, et cet opus est un bon moyen de retomber dans sa jeunesse pendant le temps de sa lecture. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-schtroumpfs-et-le-village-des-filles-tome-6-l-ile-vagabonde?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. alx23

    Naufrageurs

    Titre de l'album : Naufrageurs Scenariste de l'album : Rodolphe Dessinateur de l'album : Laurent Gnoni Coloriste : Laurent Gnoni Editeur de l'album : Daniel Maghen Note : Résumé de l'album : Greenway, Angleterre, 14 octobre 1704. Les habitants scrutent la mer, un navire a été aperçu, luttant contre la tempête. Jim atteint l’âge d’être initié contre son gré aux activités nocturnes des adultes de son village : pour améliorer leur quotidien misérable, ils allument des feux qui amènent les navires à se fracasser sur la falaise accidentée. Le Meredith les a vus, et il approche. Pour Greenway, c’est le navire de trop ! À son bord, un mystérieux passager, attendu par un Lord et porteur d’un fabuleux trésor. Le chevalier de Saint-Martin et son équipage sont portés disparus, des soldats partent à leur recherche, mais les villageois sont malins : ils ont tout caché, ou presque. Le pacte qui les lie les oblige à sacrifier l’un d’entre eux pour préserver leur secret. Des pirates de Weymouth, et leur chef « Le Capitaine », découvrent leur secret et arrivent au village pour faire main basse sur le trésor. Tout aussi impitoyables, au prix de quelques meurtres, ils mettent la main sur la cachette du butin et sur l’épave du Meredith au fond des eaux. Mais, à leur tour, ils sont victimes de la folie meurtrière du chef des naufrageurs… Jim assiste à tous ces meurtres en cascade, écœuré. Il se réfugie dans les bois, avec pour compagnie son chien, le singe rescapé du naufrage et Jenny, la fille du chef du village, une jeune aveugle. Ni les pirates ni les naufrageurs ne mettront la main sur le trésor du chevalier. Il reviendra peut-être à celui qui ne le cherchait pas… Critique : Le scénariste Rodolphe est très prolifique avec deux albums qui sortent le même jour aux éditions Daniel Maghens. Les naufrageurs nous permettent de comprendre comment les habitants d'un petit village provoquent les naufrages de navires durant les tempêtes en allumant des feux sur la plage. Ainsi, les naufrageurs ou habitants des cotes peuvent récupérer les marchandises dans les cales des épaves ou mêmes les objets ou cadavres rejetés sur la plage avec les courants. Parmi tous ces naufrageurs et autres personnages douteuses croisés dans cet album, seul un jeune du village sortira du lot. Rodolphe s'inspire de cette méthode très répandue pour permettre de piller les navires attirés sur des récifs. L’auteur construit son histoire avec une surenchère de crimes quand les naufrageurs rencontrent des pirates. La plupart des protagonistes sont sans scrupules et ne rechignent pas à voler ou tuer pour obtenir des richesses. Les dessins de Laurent Gnoni sont dans un styles semi-réalistes pour ce récit de piraterie sur terre. Les naufrageurs est assez froid comme récit même si finalement on doit être proche de la réalité. Le plus jeune initié aux méthodes des naufrageurs apporte une lueur d’espoir dans cette histoire. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/naufrageurs/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. alx23

    Naufrageurs

    Le scénariste Rodolphe est très prolifique avec deux albums qui sortent le même jour aux éditions Daniel Maghens. Les naufrageurs nous permettent de comprendre comment les habitants d'un petit village provoquent les naufrages de navires durant les tempêtes en allumant des feux sur la plage. Ainsi, les naufrageurs ou habitants des cotes peuvent récupérer les marchandises dans les cales des épaves ou mêmes les objets ou cadavres rejetés sur la plage avec les courants. Parmi tous ces naufrageurs et autres personnages douteuses croisés dans cet album, seul un jeune du village sortira du lot. Rodolphe s'inspire de cette méthode très répandue pour permettre de piller les navires attirés sur des récifs. L’auteur construit son histoire avec une surenchère de crimes quand les naufrageurs rencontrent des pirates. La plupart des protagonistes sont sans scrupules et ne rechignent pas à voler ou tuer pour obtenir des richesses. Les dessins de Laurent Gnoni sont dans un styles semi-réalistes pour ce récit de piraterie sur terre. Les naufrageurs est assez froid comme récit même si finalement on doit être proche de la réalité. Le plus jeune initié aux méthodes des naufrageurs apporte une lueur d’espoir dans cette histoire.
  6. Quand on parle de Rob Roy on pense toujours au parent pauvre de Braveheart et Highlander. Bien moins connu, le film éponyme n'en mérite pas moins l'attention. C'est ici les débuts de la légende de rob roy qui nous sont contés, du point de vue plus historique que cinématographique. Ce qui est intéressant d'ailleurs c'est justement la mise en place du contexte politique de l'époque qui il faut le reconnaitre nous est normalement bien méconnu. Oui Rob Roy se passe bien après Braveheart. A ce jour je ne sais pas vous dire si ce Rob Roy aura une suite, quoiqu'il en soit je vous préviens tout de suite, c'est ici ses débuts qui nous sont racontés, de son enfance à sa bascule vers une forme de rébellion. Le dessin de Karl Tollet est plutôt réussi, même si certains personnages se confondent parfois un peu. Kamiti est un éditeur indépendant qui nous démontre une nouvelle fois sa qualité en nous proposant ce récit d'aventure historique cohérent et qui nous donne envie d'en lire la suite. Bravo.
  7. Titre de l'album : Rob Roy - Tome 1 - Le vaurien des highlands Scenariste de l'album : Gihef Dessinateur de l'album : Karl Tollet Coloriste : Logicfun Editeur de l'album : Kamiti Note : Résumé de l'album : Figure emblématique du folklore Écossais, Robert « Roy » MacGregor fut l'ultime pilier du pan le plus sombre de l'histoire de son clan. Le Vaurien des Highlands est un triptyque retraçant l'épopée de ce héros controversé, qui a traversé guerres et disgrâces pour réhabiliter le nom de son clan, proscrit du Royaume durant deux siècles. Batailles épiques entre clans, drame et trahisons sont les principaux ingrédients de ce récit d'aventure aux allures de western dans les Highlands Écossais. Critique : Quand on parle de Rob Roy on pense toujours au parent pauvre de Braveheart et Highlander. Bien moins connu, le film éponyme n'en mérite pas moins l'attention. C'est ici les débuts de la légende de rob roy qui nous sont contés, du point de vue plus historique que cinématographique. Ce qui est intéressant d'ailleurs c'est justement la mise en place du contexte politique de l'époque qui il faut le reconnaitre nous est normalement bien méconnu. Oui Rob Roy se passe bien après Braveheart. A ce jour je ne sais pas vous dire si ce Rob Roy aura une suite, quoiqu'il en soit je vous préviens tout de suite, c'est ici ses débuts qui nous sont racontés, de son enfance à sa bascule vers une forme de rébellion. Le dessin de Karl Tollet est plutôt réussi, même si certains personnages se confondent parfois un peu. Kamiti est un éditeur indépendant qui nous démontre une nouvelle fois sa qualité en nous proposant ce récit d'aventure historique cohérent et qui nous donne envie d'en lire la suite. Bravo. Autres infos : Couleurs de la couverture Ivan Gil Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rob-roy-le-vaurien-des-highlands?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Titre de l'album : Odah et Dako - Tome 1 - Les maîtres du flow Scenariste de l'album : Benj Dessinateur de l'album : Valeria Orlando Coloriste : Nicole Feliziani Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Odah et Dako vivent sur leur île suspendue, vaste continent peuplé de créatures en tout genre. Ils ne rêvent que de maîtriser leur flow, pouvoir capable de transformer les mots en éléments magiques, et gagner le grand tournoi qui se déroulera dans la capitale. Mais arrivés dans la grande cité, rien ne se passe pas comme prévu : trois sorcières maléfiques jettent un sort aux deux héros... Critique : Bon soyons francs, j'avais préparé la sulfateuse pour ma chronique quand j'ai reçu cette BD, inspirée par une chaîne Youtube. Faut reconnaitre que les dernières ne m'ont pas laissé une forte impression et quand on connait les difficultés des auteurs de bd à se faire publier, ça fait un peu ronchonner. Et puis, et puis, je me suis laissé emporter. C'est de l'aventure et de l'humour, l'univers est barré et agréable, les dialogues ne sont pas si mal. Je craignais le pire et j'ai finalement passé un moment sympa. Pas plus par contre, et il ne faut clairement pas comparer aux joutes verbales de De cape et de crocs. Le dessin quand à lui est honnête et sert bien le genre aventure/humour avec sa colorisation un peu flashy qui colle assez bien à l'ambiance. Je ne connais pas la chaîne youtube mais si moi j'ai pu passer un moment de lecture agréable, je pense que les fans y trouveront leur compte. Autres infos : BD tirée de la chaîne youtube Odah & Dako Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/odah-et-dako-tome-1-les-maitres-du-flow?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Bon soyons francs, j'avais préparé la sulfateuse pour ma chronique quand j'ai reçu cette BD, inspirée par une chaîne Youtube. Faut reconnaitre que les dernières ne m'ont pas laissé une forte impression et quand on connait les difficultés des auteurs de bd à se faire publier, ça fait un peu ronchonner. Et puis, et puis, je me suis laissé emporter. C'est de l'aventure et de l'humour, l'univers est barré et agréable, les dialogues ne sont pas si mal. Je craignais le pire et j'ai finalement passé un moment sympa. Pas plus par contre, et il ne faut clairement pas comparer aux joutes verbales de De cape et de crocs. Le dessin quand à lui est honnête et sert bien le genre aventure/humour avec sa colorisation un peu flashy qui colle assez bien à l'ambiance. Je ne connais pas la chaîne youtube mais si moi j'ai pu passer un moment de lecture agréable, je pense que les fans y trouveront leur compte.
  10. Titre de l'album : À la recherche de l'homme sauvage Scenariste de l'album : Frédéric Bihel Dessinateur de l'album : Frédéric Bihel Coloriste : Frédéric Bihel Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Depuis sa plus tendre enfance, Augustin est passionné par l'archéologie et la grande aventure. Devenu adulte, c'est tout naturellement qu'il se consacre à la recherche au sein d'un laboratoire de paléontologie à Paris. Pour lui, les fossiles qu'il étudie ne sont pas que des bouts d'os changés en pierre ! Quelque part, il le sait, un homme sauvage a survécu qui vit et respire le même air que lui... Critique : Avec à la recherche de l'homme sauvage, Frédéric Bihel nous propose une aventure dans les montagnes du Tchatril, en Asie centrale pour prouver l'existence d'un potentiel monstre. Dès le premier chapitre, Bihel ne cache pas ses inspirations de lecture comme Tintin au Tibet de Hergé ou d'autres romanciers comme Jules Verne. Les trois premiers chapitres présentent les personnages principaux de cette aventure avec Augustin le jeune adulte à la recherche d'une chimère, qui hante ses rêves depuis sa jeunesse. Le capitaine, un adulte venant faire le taxi loin de son pays natal et un enfant possédant des pouvoirs de guérison suite à un accident. Bihel introduit les personnages qui deviennent les narrateurs de l'histoire le temps d'un chapitre. On part dans l'inconnu et les montages sauvages en compagnie du trio. Je connaissais le travail remarquable de l'auteur depuis l'album Malaurie, l'appel de Thulé. Le trait de l'auteur s'adapte aussi bien aux décors citadins que les montagnes enseignées et les paysage de nature. On se laisse prendre dans l’histoire de cette fantastique aventure avec une part de mystère pour suivre les rêves du héros qui abandonne tout. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/a-la-recherche-de-l-homme-sauvage/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. alx23

    À la recherche de l'homme sauvage

    Avec à la recherche de l'homme sauvage, Frédéric Bihel nous propose une aventure dans les montagnes du Tchatril, en Asie centrale pour prouver l'existence d'un potentiel monstre. Dès le premier chapitre, Bihel ne cache pas ses inspirations de lecture comme Tintin au Tibet de Hergé ou d'autres romanciers comme Jules Verne. Les trois premiers chapitres présentent les personnages principaux de cette aventure avec Augustin le jeune adulte à la recherche d'une chimère, qui hante ses rêves depuis sa jeunesse. Le capitaine, un adulte venant faire le taxi loin de son pays natal et un enfant possédant des pouvoirs de guérison suite à un accident. Bihel introduit les personnages qui deviennent les narrateurs de l'histoire le temps d'un chapitre. On part dans l'inconnu et les montages sauvages en compagnie du trio. Je connaissais le travail remarquable de l'auteur depuis l'album Malaurie, l'appel de Thulé. Le trait de l'auteur s'adapte aussi bien aux décors citadins que les montagnes enseignées et les paysage de nature. On se laisse prendre dans l’histoire de cette fantastique aventure avec une part de mystère pour suivre les rêves du héros qui abandonne tout.
  12. Bon, je comprend facilement la logique chez le Lombard derrière cette nouvelle série jeunesse : Les héricornes. Kid Toussaint ? Des licornes ? Des princesses qui vont devoir se battre et devenir des héroïnes ? De la magie ? Banco ! Sauf que comme toute bonne potion, mettre tous les ingrédients dans le chaudron ne garantit pas la magie du résultat. Ici ce tome 1 n'a pas su m'enchanter, et si je suis certain que cela plaira à nos jeunes filles, il m'a manqué des personnages et des dialogues un peu plus subtils je pense. Le format court et la relativement faible pagination n'aide pas bien sûr, même si je ne suis pas trop inquiet sur le fait qu'avec son savoir faire, Kid Toussaint saura nous en donner bien plus lors du second tome. Veronica Alvarez nous livre une partie graphique qui est agréable et fluide, loin des facilités que l'on trouve parfois dans les bd jeunesse. Ces héricornes sont une nouvelle série jeunesse qui ne manquera certainement pas son public cible, mais qui aura du mal à conquérir les autres. Si elle est de belle qualité et agréable à lire, elle n'atteint pour autant pas la maestria de certaines des dernières productions jeunesses, notamment chez le lombard, entre Elles et La forêt du temps par exemple.
  13. Titre de l'album : Les héricornes - Tome 1 - L'appel de la déesse Scenariste de l'album : Kid Toussaint Dessinateur de l'album : Véronica Alvarez Coloriste : Véronica Alvarez Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Tous les cent ans, l'héritière du royaume de Lémuria doit se rendre au temple de la Déesse pour lui demander sa protection, et formuler un voeu personnel. Le chemin sera long mais la princesse Céleste peut compter sur les armes de Lémuria et sur sa licorne. Ce qu'elle ignore encore, en revanche, c'est que son glorieux destin n'a rien d'unique. Elle le partagera avec quatre autres « Héricornes », les héritières aux licornes. Le nombre fera-t-il la force ou engendrera-t-il la division...? Critique : Bon, je comprend facilement la logique chez le Lombard derrière cette nouvelle série jeunesse : Les héricornes. Kid Toussaint ? Des licornes ? Des princesses qui vont devoir se battre et devenir des héroïnes ? De la magie ? Banco ! Sauf que comme toute bonne potion, mettre tous les ingrédients dans le chaudron ne garantit pas la magie du résultat. Ici ce tome 1 n'a pas su m'enchanter, et si je suis certain que cela plaira à nos jeunes filles, il m'a manqué des personnages et des dialogues un peu plus subtils je pense. Le format court et la relativement faible pagination n'aide pas bien sûr, même si je ne suis pas trop inquiet sur le fait qu'avec son savoir faire, Kid Toussaint saura nous en donner bien plus lors du second tome. Veronica Alvarez nous livre une partie graphique qui est agréable et fluide, loin des facilités que l'on trouve parfois dans les bd jeunesse. Ces héricornes sont une nouvelle série jeunesse qui ne manquera certainement pas son public cible, mais qui aura du mal à conquérir les autres. Si elle est de belle qualité et agréable à lire, elle n'atteint pour autant pas la maestria de certaines des dernières productions jeunesses, notamment chez le lombard, entre Elles et La forêt du temps par exemple. Autres infos : BD Jeunesse - Petit format Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-hericornes-tome-1-l-appel-de-la-deesse?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Titre de l'album : Cosaques - Tome 2 - Dans la gueule du loup Scenariste de l'album : Vincent Brugeas Dessinateur de l'album : Ronan Toulhoat & Yoann Guillo Coloriste : Yoann Guillo Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Avec ses nouveaux frères d'armes, les Cosaques, Karlis a vaincu les hussards ailés. Nul n'ignore le rôle décisif que le jeune déserteur a joué dans cette bataille. Cela fait de lui un héros autant qu'une cible de choix. Peu lui chaut. Une vie sans dieu ni maître est à ce prix. Mais il est des puissances auxquelles tous répondent, Cosaques ou non : les sentiments, la frustration et la jalousie. Karlis va comprendre que les champs de bataille sont infinis, et tous appellent le sang. Critique : Oh la belle surprise ! J'avais beaucoup aimé le premier tome de cosaques, mais son rythme un peu effréné laissait à croire à la simple bd d'aventure de cape et d'épées. Sympathique certes, mais peut être pas assez marquante. Hors ce tome 2 prends enfin le temps, il pose les choses, sans pour autant délaisser l'aventure, il nous questionne, et nous laisse entrevoir un héros plus pacifiste et philosophe que guerrier. C'est un revirement que j'ai beaucoup apprécié, développant plus d'empathie pour ces personnages qui se révèlent alors bien plus humains avec leurs failles et leurs faiblesses. Encore plus remarquable je trouve que la collaboration sur le dessin entre Ronan Toulhoat et Yoann Guillo tient toutes ses promesses, nous livrant un dessin qui garde une forte empreinte stylistique, mais plus subtil, nuancé et moins caricatural que ce que pouvait nous proposer Ronan Toulhoat jusqu'ici. Le meilleur des deux réunis, je dis bravo. Les couleurs rendent justice au travail et j'ai hâte de repartir dans les steppes avec cette équipe là. Je ne peux que vous conseiller cosaques, une série bien plus fine qu'il n'y parait, et qui n'a pas reçu je trouve l'accueil qu'elle méritait jusqu'à présent. Bravo aux auteurs. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/cosaques-tome-2-les-loups-des-steppes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Oh la belle surprise ! J'avais beaucoup aimé le premier tome de cosaques, mais son rythme un peu effréné laissait à croire à la simple bd d'aventure de cape et d'épées. Sympathique certes, mais peut être pas assez marquante. Hors ce tome 2 prends enfin le temps, il pose les choses, sans pour autant délaisser l'aventure, il nous questionne, et nous laisse entrevoir un héros plus pacifiste et philosophe que guerrier. C'est un revirement que j'ai beaucoup apprécié, développant plus d'empathie pour ces personnages qui se révèlent alors bien plus humains avec leurs failles et leurs faiblesses. Encore plus remarquable je trouve que la collaboration sur le dessin entre Ronan Toulhoat et Yoann Guillo tient toutes ses promesses, nous livrant un dessin qui garde une forte empreinte stylistique, mais plus subtil, nuancé et moins caricatural que ce que pouvait nous proposer Ronan Toulhoat jusqu'ici. Le meilleur des deux réunis, je dis bravo. Les couleurs rendent justice au travail et j'ai hâte de repartir dans les steppes avec cette équipe là. Je ne peux que vous conseiller cosaques, une série bien plus fine qu'il n'y parait, et qui n'a pas reçu je trouve l'accueil qu'elle méritait jusqu'à présent. Bravo aux auteurs.
  16. The_PoP

    Lozère apocalypse

    Pffff, rarement une bd m'aura donné autant de fil à retordre. Le Lombard nous avait prévenu, c'est un OVNI. Bon moi j'aime beaucoup la Lozère alors par principe j'attaque ma bd sereinement. 10 pages plus tard je la repose. Pas possible, ça part dans tous les sens, le dessin semble gentillet mais le ssituations sont plus wtf les unes que les autres, ça donne une impression de foutoir mais avec un humour qui me prend pas tellement. Un peu too much pour moi, je passe mon tour. Et puis je me dis que quand même c'est dommage, et puis que ça n'a beau ressembler à rien, cela ressemble pourtant diablement à Mutafukaz qui m'avait laissé aussi au début très très dubitatif. Seconde chance, deuxième essai donc, je m'accroche. Et petit à petit la mayonnaise prend, elle prend bien même puisque je la finis d'une traite. Alors attention tous les défauts du début ne sont pas gomés, il y a bien dans cet opus 4 nouvelles idées et inventions scénaristiques dingues par pages (ou presque), faut vraiment s'accrocher à son slip tout le long. L'auteur est complètement barré, mais étrangement le tout finit par être cohérent. Il se passe 10000 choses, tout n'est pas encore clair clair, mais en fait on se surprend à penser que le tome 2 répondra globalement à pas mal de choses. Mais qu'on se le dise, entre une violence très assumée, un propos dur, des dessins cartoonesques, et un scénario complètement dingue, faut pas ouvrir Apocalypse Lozère en pensant aller aux champignons et pêcher la truite à Villefort. C'est d'ailleurs mon principal bémol à cet opus, que ça se passe en Lozère ou dans un autre coin de campagne du monde ne change pas grand chose à l'histoire et aux dessins. Le tout forme un Mutafukaz à la française, peut être un poil moins prenant et marrant, mais tout aussi inventif et finalement crédible. Bravo, ça semblait pas gagné, et il faudra s'accrocher pour les téméraires qui franchiront le pas. Je ne note pas, parce que clairement Lozère Apocalypse ne peut pas faire l'objet d'une note.
  17. Titre de l'album : Lozère apocalypse Scenariste de l'album : Stan Silas Dessinateur de l'album : Stan Silas Coloriste : Stan Silas Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Les « alevins » sont surexcités : pour leur douze ans, l'institution qui les a placés en famille d'accueil leur paye un vol vers de super vacances ! Malheureusement, leur avion s'écrase au-dessus de la Lozère et les secours n'arrivent pas. Lorsqu'un groupe d'adolescents mutés en poulets attaque violemment les survivants, ces derniers n'ont d'autre choix que de suivre un renard bipède et loquace. Et ils ne sont vraiment - mais alors vraiment - pas au bout de leurs surprises ! Critique : Pffff, rarement une bd m'aura donné autant de fil à retordre. Le Lombard nous avait prévenu, c'est un OVNI. Bon moi j'aime beaucoup la Lozère alors par principe j'attaque ma bd sereinement. 10 pages plus tard je la repose. Pas possible, ça part dans tous les sens, le dessin semble gentillet mais le ssituations sont plus wtf les unes que les autres, ça donne une impression de foutoir mais avec un humour qui me prend pas tellement. Un peu too much pour moi, je passe mon tour. Et puis je me dis que quand même c'est dommage, et puis que ça n'a beau ressembler à rien, cela ressemble pourtant diablement à Mutafukaz qui m'avait laissé aussi au début très très dubitatif. Seconde chance, deuxième essai donc, je m'accroche. Et petit à petit la mayonnaise prend, elle prend bien même puisque je la finis d'une traite. Alors attention tous les défauts du début ne sont pas gomés, il y a bien dans cet opus 4 nouvelles idées et inventions scénaristiques dingues par pages (ou presque), faut vraiment s'accrocher à son slip tout le long. L'auteur est complètement barré, mais étrangement le tout finit par être cohérent. Il se passe 10000 choses, tout n'est pas encore clair clair, mais en fait on se surprend à penser que le tome 2 répondra globalement à pas mal de choses. Mais qu'on se le dise, entre une violence très assumée, un propos dur, des dessins cartoonesques, et un scénario complètement dingue, faut pas ouvrir Apocalypse Lozère en pensant aller aux champignons et pêcher la truite à Villefort. C'est d'ailleurs mon principal bémol à cet opus, que ça se passe en Lozère ou dans un autre coin de campagne du monde ne change pas grand chose à l'histoire et aux dessins. Le tout forme un Mutafukaz à la française, peut être un poil moins prenant et marrant, mais tout aussi inventif et finalement crédible. Bravo, ça semblait pas gagné, et il faudra s'accrocher pour les téméraires qui franchiront le pas. Je ne note pas, parce que clairement Lozère Apocalypse ne peut pas faire l'objet d'une note. Autres infos : Histoire complète prévue en deux tomes Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lozere-apocalypse-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. alx23

    Les sept lames

    Alors que les trois mousquetaires est au cinéma, les éditions Black river nous proposent les sept lames un one shot autour D’Artagnan. Le scénariste Evan Daugherty a travaillé dans le monde du cinéma avant de se lancer dans le monde des comics avec les sept lames. Comme pour la League des gentleman extraordinaires, ce comics regroupe différents protagonistes de la littérature française et étrangères pour utiliser les compétences de chaque héros afin de combattre une plus grande menace surnaturelle. Parmi les sept épéistes, on retrouve D’Artagnan, Don Juan, Cyrano de Bergerac et quatre autres moins connus. La partie graphique de Federico Dallocchio et Ricardo Latina est remarquable, les deux auteurs font des merveilles dans un style réaliste. L’album se termine avec des illustrations, recherche graphique des personnages et illustrations alternatives. Les sept lames est un one shot facile à lire avec beaucoup d’action pour un bon divertissement sans prise de tête et la partie fantastique fonctionne bien sur ce genre. Avec plusieurs héros dans un même groupe, il est toujours difficile de donner de l’importance à toutes les personnes surtout sur cinq chapitres.
  19. alx23

    Les sept lames

    Titre de l'album : Les sept lames Scenariste de l'album : Evan Daugherty Dessinateur de l'album : Federico Dallocchio & Ricardo Latina Coloriste : Valentina Bianconi Editeur de l'album : Black River Note : Résumé de l'album : D'Artagnan est entraîné dans un conflit avec le cardinal de Richelieu, dont la quête impitoyable du pouvoir l'a conduit vers le surnaturel. Pour sauver le monde, d'Artagnan devra s'allier à sept héros de cape et d'épée emblématiques tels que Don Juan ou Cyrano de Bergerac. Les SEPT LAMES devront surmonter une foule de différences et travailler ensemble pour déjouer les plans diaboliques de Richelieu. Critique : Alors que les trois mousquetaires est au cinéma, les éditions Black river nous proposent les sept lames un one shot autour D’Artagnan. Le scénariste Evan Daugherty a travaillé dans le monde du cinéma avant de se lancer dans le monde des comics avec les sept lames. Comme pour la League des gentleman extraordinaires, ce comics regroupe différents protagonistes de la littérature française et étrangères pour utiliser les compétences de chaque héros afin de combattre une plus grande menace surnaturelle. Parmi les sept épéistes, on retrouve D’Artagnan, Don Juan, Cyrano de Bergerac et quatre autres moins connus. La partie graphique de Federico Dallocchio et Ricardo Latina est remarquable, les deux auteurs font des merveilles dans un style réaliste. L’album se termine avec des illustrations, recherche graphique des personnages et illustrations alternatives. Les sept lames est un one shot facile à lire avec beaucoup d’action pour un bon divertissement sans prise de tête et la partie fantastique fonctionne bien sur ce genre. Avec plusieurs héros dans un même groupe, il est toujours difficile de donner de l’importance à toutes les personnes surtout sur cinq chapitres. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-sept-lames?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Kevin Nivek

    Ma vague

    Titre de l'album : Ma vague Scenariste de l'album : David Boriau Dessinateur de l'album : Soann Coloriste : Soann Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Nellie, 13 ans, vit au bord de la mer. Elle est proche de son père avec qui elle partage une passion pour la plongée et les fouilles archéologiques. Adolescente rebelle, elle souffre d'une grande sensibilité émotionnelle, et a assez peu d'amis de son âge. Lors d'une sortie en mer, alors qu'une tempête fait rage, Nellie fait la rencontre d'un être surnaturel. Se noue une relation magique, parfois incontrôlable... Critique : David Boriau , auteur de nombreuses séries ado à succès comme Obscurcia ou Holowatch , s'associe à une nouvelle tête des éditions Jungle : Anne-Sophie Doucet , nom d'artiste : Soann . Le trait assez numérique et épuré convient parfaitement pour le public jeune auquel s'adresse cette histoire . Le travail des couleurs est saisissant dans les cases "marines" , il en va de même pour la lumière très présente tout au long du récit . C'est donc une copie très propre au sujet du dessin que nous livre cette jeune artiste autodidacte , très engagée sur des projets graphiques de la ville de Nantes . On comprend aisément qu'une histoire "maritime" emprunt d'un soupçon de fantastique l'ait convaincue de se lancer dans le 9ème art . David Boriau , scénariste chevronné nous propose une chasse au trésor archéologique et dépeint une relation père-fille assez ancrée dans la vie actuelle . En effet les parents sont séparés , et entre les sources d'amusement avec son père , et un certain rappel à l'ordre de sa mère , elle même garde-côte , notre jeune héroïne a bien du mal à trouver ses repères . Tout en posant un regard neuf sur notre société avec un déplacement des rôles d'autorité , ainsi qu'une adolescente aux cheveux courts très androgyne , les auteurs mettent l'accent sur une chose qui ne change pas : la nécessité de dialoguer avec ses parents . En effet , cette quête au "trésor" servira surtout à renouer des liens et se faire confiance ; et la présence de cet être surnaturel , ce fantôme des mers tient certainement lieu d'ami imaginaire que les enfants se créent lorsqu'ils rencontrent des difficultés . Quête identitaire , apprentissage de la vie , n'est ce pas là le chemin qu'empruntent nos enfants ? Une bien belle histoire familiale et d'amitié , qui n'a rien à voir avec la petite sirène 🙂 . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ma-vague/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Kevin Nivek

    Ma vague

    David Boriau , auteur de nombreuses séries ado à succès comme Obscurcia ou Holowatch , s'associe à une nouvelle tête des éditions Jungle : Anne-Sophie Doucet , nom d'artiste : Soann . Le trait assez numérique et épuré convient parfaitement pour le public jeune auquel s'adresse cette histoire . Le travail des couleurs est saisissant dans les cases "marines" , il en va de même pour la lumière très présente tout au long du récit . C'est donc une copie très propre au sujet du dessin que nous livre cette jeune artiste autodidacte , très engagée sur des projets graphiques de la ville de Nantes . On comprend aisément qu'une histoire "maritime" emprunt d'un soupçon de fantastique l'ait convaincue de se lancer dans le 9ème art . David Boriau , scénariste chevronné nous propose une chasse au trésor archéologique et dépeint une relation père-fille assez ancrée dans la vie actuelle . En effet les parents sont séparés , et entre les sources d'amusement avec son père , et un certain rappel à l'ordre de sa mère , elle même garde-côte , notre jeune héroïne a bien du mal à trouver ses repères . Tout en posant un regard neuf sur notre société avec un déplacement des rôles d'autorité , ainsi qu'une adolescente aux cheveux courts très androgyne , les auteurs mettent l'accent sur une chose qui ne change pas : la nécessité de dialoguer avec ses parents . En effet , cette quête au "trésor" servira surtout à renouer des liens et se faire confiance ; et la présence de cet être surnaturel , ce fantôme des mers tient certainement lieu d'ami imaginaire que les enfants se créent lorsqu'ils rencontrent des difficultés . Quête identitaire , apprentissage de la vie , n'est ce pas là le chemin qu'empruntent nos enfants ? Une bien belle histoire familiale et d'amitié , qui n'a rien à voir avec la petite sirène 🙂 .
  22. Titre de l'album : Turo - Intégrale - Tomes 1 à 4 Scenariste de l'album : Mateo Guerrero Dessinateur de l'album : Mateo Guerrero Coloriste : Javi Montes Editeur de l'album : Mahô Note : Résumé de l'album : Aussi insouciant qu'à l'accoutumée et comptant sur sa force exceptionnelle pour le protéger du danger, le jeune Turo était parti chasser en forêt afin de nourrir les siens. Prudent, il savait qu'il ne faut guère traîner sur les terres du Grand Dragon par crainte des fantômes. En revanche, comment pouvait-il savoir que ces derniers étaient à la poursuite de mercenaires ayant remué les débris du passé d'un peu trop près et qu'ils lui tomberaient dessus en plein jour...? Bien malgré lui, le voilà embarqué dans le genre d'histoire dont on fait les légendes. Cette intégrale reprend les quatre albums de la série. Critique : J'ai découvert le travail de Mateo Guerrero sur Jakob Kayne et j'avais adoré. Par contre je ne sais pas trop comment mais j'étais passé à côté de Turo lors de sa sortie. Les éditions du Lombard ayant eu la gentillesse de me laisser la possibilité de réparer ce tort, je vous avoue que je me suis jeté sur cette intégrale. Et je me suis régalé. Certes le public cible est probablement un poil plus jeunesse que la fantasy que j'apprécie habituellement, mais ce Turo est décidément plein de qualités. D'abord l'intégrale qui présente les 4 albums sortis, qui proposent une fin, certes ouverte, mais une fin de cycle tout de même. Une intégrale de 4 tomes c'est pile poil le format agréable à lire et suffisamment durable pour contenter le collectionneur aguerri. L'histoire est bien foutue, sur deux époques, avec suffisamment de mystères et de personnages secondaires pour nous intéresser même si elle semble pécher parfois par certaines naïvetés narratives, défauts de jeunesse que l'on pardonne facilement vu le charme de l'ensemble. Cette super aventure d'héroïque Fantasy est en plus servie par le dessin plein de charme de Mateo Guerrero. Certes depuis on peut voir qu'il s'est aguerri, mais le tout relève déjà d'un sacré niveau et nous rend les personnages attachants et le monde comme les créatures qui le peuplent intéressantes. En bref vous l'aurez compris, j'ai savouré ce petit plaisir coupable d'héroïque fantasy qui si elle ne brille pas par son originalité ou son scénario, a pourtant l'immense mérite de réussir son dosage entre action, aventure, et humour pour nous proposer 4 tomes qu'on referme en regrettant qu'un second cycle n'ai pas vu le jour. Merci Le Lombard, merci Mateo. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/integrale-turo?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. The_PoP

    Turo - Intégrale - Tomes 1 à 4

    J'ai découvert le travail de Mateo Guerrero sur Jakob Kayne et j'avais adoré. Par contre je ne sais pas trop comment mais j'étais passé à côté de Turo lors de sa sortie. Les éditions du Lombard ayant eu la gentillesse de me laisser la possibilité de réparer ce tort, je vous avoue que je me suis jeté sur cette intégrale. Et je me suis régalé. Certes le public cible est probablement un poil plus jeunesse que la fantasy que j'apprécie habituellement, mais ce Turo est décidément plein de qualités. D'abord l'intégrale qui présente les 4 albums sortis, qui proposent une fin, certes ouverte, mais une fin de cycle tout de même. Une intégrale de 4 tomes c'est pile poil le format agréable à lire et suffisamment durable pour contenter le collectionneur aguerri. L'histoire est bien foutue, sur deux époques, avec suffisamment de mystères et de personnages secondaires pour nous intéresser même si elle semble pécher parfois par certaines naïvetés narratives, défauts de jeunesse que l'on pardonne facilement vu le charme de l'ensemble. Cette super aventure d'héroïque Fantasy est en plus servie par le dessin plein de charme de Mateo Guerrero. Certes depuis on peut voir qu'il s'est aguerri, mais le tout relève déjà d'un sacré niveau et nous rend les personnages attachants et le monde comme les créatures qui le peuplent intéressantes. En bref vous l'aurez compris, j'ai savouré ce petit plaisir coupable d'héroïque fantasy qui si elle ne brille pas par son originalité ou son scénario, a pourtant l'immense mérite de réussir son dosage entre action, aventure, et humour pour nous proposer 4 tomes qu'on referme en regrettant qu'un second cycle n'ai pas vu le jour. Merci Le Lombard, merci Mateo.
  24. Titre de l'album : Une aventure des spectaculaires - Tome 6 - Les spectaculaires font leur cirque chez Jules Vernes Scenariste de l'album : Régis Hautière Dessinateur de l'album : Arnaud Poitevin Coloriste : Christophe Bouchard Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Les Spectaculaires sont en pleine remise en question : les finances du cabaret des ombres sont au plus mal, et leurs aventures de justiciers masqués ont fait passer leur carrière artistique au second plan. Pour leur prochain spectacle, ils n'ont donc pas le droit à l'erreur ! Alors en pleine recherche d'une ville de province pour pouvoir le tester avant de le jouer face au terrible public parisien, ils sont interrompus par un professeur Pipolet tout à fait bouleversé : son ami Jules Verne lui a écrit et lui demande le rejoindre au plus vite à Amiens. Seul problème : l'écrivain est déjà décédé il y a plus de six ans... Pour les Spectaculaires, plus aucun doute sur la ville qui accueillera les préparatifs de leur spectacle... et leurs prochaines aventures ! Critique : Oh qu'elle commence à être sympathique cette série. Toujours très orientée jeunesse, elle coche cependant la nécessaire case : lecture super sympa aussi pour papa ou maman. Toujours située dans cette époque qu'on peine tant à situer dans notre histoire moderne, avec ses héros, souvent ridicules mais jamais vaincus, on se régale des jeux de mots, humour de situation et personnages ubuesques et autres trognes connues dans les décors. Le scénario se tient bien comme toujours et nous donne du fil à retordre jusqu'à la fin, multipliant quelques savoureuses fausses pistes. Alors je ne vais pas crier au génie, mais c'est quand même bien réussi tout cela, et je ne suis guère surpris d'arriver à ce sixième tome avec toujours autant de fraicheur. Le dessin d'Arnaud Poitevin est remarquable depuis le début de cette série, ne cédant pas à la facilité de réaliser une série jeunesse, à l'image de son compère Régis Hautière au scénario qui nous livre des histoires claires mais pas simplistes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/une-aventure-des-spectaculaires-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Oh qu'elle commence à être sympathique cette série. Toujours très orientée jeunesse, elle coche cependant la nécessaire case : lecture super sympa aussi pour papa ou maman. Toujours située dans cette époque qu'on peine tant à situer dans notre histoire moderne, avec ses héros, souvent ridicules mais jamais vaincus, on se régale des jeux de mots, humour de situation et personnages ubuesques et autres trognes connues dans les décors. Le scénario se tient bien comme toujours et nous donne du fil à retordre jusqu'à la fin, multipliant quelques savoureuses fausses pistes. Alors je ne vais pas crier au génie, mais c'est quand même bien réussi tout cela, et je ne suis guère surpris d'arriver à ce sixième tome avec toujours autant de fraicheur. Le dessin d'Arnaud Poitevin est remarquable depuis le début de cette série, ne cédant pas à la facilité de réaliser une série jeunesse, à l'image de son compère Régis Hautière au scénario qui nous livre des histoires claires mais pas simplistes.
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