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  1. poseidon2

    Gueule de cuir

    Titre de l'album : Gueule de cuir Scenariste de l'album : Pierre Pevel Dessinateur de l'album : Stephane Crety Coloriste : Stephane Crety Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : Gueule-de-cuir, c'est une histoire de cape et d'épée sombre et fantastique, c'est aussi un justicier de la nuit, oeuvrant sous Louis XIII, bien avant un certain "Chevalier Noir" ! 1633. Dans la France de Louis XIII et de Richelieu, magie noire et alchimie sont à l'oeuvre. Tandis que de mystérieuses factions s'affrontent en secret autour du Zodiaque du Diable, un redoutable nécromant étend son règne sur les bas-fonds de Paris et rêve de vengeance. Contre lui, un seul homme peut encore se dresser. Un duelliste que le destin a maudit et qui n'aura d'autre choix que d'accepter le masque et la destinée de Gueule-de-cuir. Critique : Premier tome d'une trilogie qui s'annonce pleine de promesse pour tant que l'on aime l'ésotérisme. J'ai vraiment bien aimé ce premier tome. Le choix de l'époque est particulièrement bien trouvé et le côté mystique bien amené. On sent la pâte de l'écrivain avec un univers bien réfléchit et qui semble dense à souhait. Cette histoire d'horloge du diable et dès ses différentes factions qui s'affrontent, n'en déplaise au roi et au Cardinal, est bien pensé et globalement innovant. Le dessin est très adulte et reprend l'ambiance lourde d'une époque où l'épée régnait en maitre. Le scenario enchaine avec brillo les scènes d'actions, les scènes d'explication et les rebondissements. Vivement la suite ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gueule-de-cuir?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Kevin Nivek

    Pensées profondes

    On a probablement tous en nous une part de Louise ici présente ! Cette héroïne des temps modernes , avec ses névroses nous fait passer un magnifique moment de lecture dans un florilège d'émotions . D'emblée le ton est donné avec cette première page scindée en deux , pour le ying et le yang de cette jeune femme en perpétuelles réflexions qui se met à nu (dans tous les sens du terme) sous nos yeux . Puis les petites histoires s'enchainent avec une première "fausse rupture" qui risque fort de marquer les lecteurs(trices) , on rit à gorge déployée , pour ne pas dire "gorge profonde" 😉 .Impossible de ne pas avoir d'empathie pour Louise , peu importe le genre du lecteur , elle est touchante par ses péripéties et tentatives d'y échapper , à tel point qu'il est impossible de refermer le livre sans l'avoir fini . Car ces histoires toutes différentes gardent un lien commun : la vie de Louise et son mode de pensée . Anne-Laure Reboul réalise une immersion profonde dans la psyché féminine avec maestria . On pense au film Ce que veulent les femmes , avec Mel Gibson , sauf qu'ici , c'est Louise qui nous expose ses plus intimes pensées au moment T avec une spontanéité déroutante . On rit , on grimace , on vit littéralement avec elle ces aventures somme toute banales , mais tellement bien racontées . Régis Penet se fait plaisir avec des cases épurées mais une expressivité des visages détonante . Louise n'a pas de bouche la plupart du temps , comme pour mieux signifier le combat intérieur qu'elle vit avec ses interrogations , mais le dessinateur réalise un jeu de regards saisissant . C'est un livre qui je l'espère fera parler de lui , et je souhaite bon vent à ces deux auteurs de grand talent . D'autres aventures de Louise s'il vous plaît , on en redemande !!!
  3. Titre de l'album : Pensées profondes Scenariste de l'album : Anne-Laure Reboul Dessinateur de l'album : Régis Penet Coloriste : Editeur de l'album : Oxymore Note : Résumé de l'album : DANS CET ALBUM D'HISTOIRES COURTES AU TON SOUVENT CYNIQUE, DÉCOUVREZ LE QUOTIDIEN TORTUEUX DE LOUISE OÙ LES ÉCHECS RETENTISSANTS SONT ROIS. Jeune femme résolue et ambitieuse, Louise met tout en oeuvre pour vivre un amour plus exaltant, s'entourer de relations plus gratifiantes, gravir l'échelle sociale... Malheureusement, elle se confronte à un ennemi sans pitié, qui l'entrave dans toutes ses démarches : son surmoi tyrannique, qui se nourrit des multiples injonctions de l'époque et de sa propre morale. Tout devient l'objet de plans machiavéliques, par souci de trop bien faire, de trop bien paraître. Les plus minuscules obstacles deviennent des montagnes et la ligne droite évidente se transforme en billard à cinq bandes... Critique : On a probablement tous en nous une part de Louise ici présente ! Cette héroïne des temps modernes , avec ses névroses nous fait passer un magnifique moment de lecture dans un florilège d'émotions . D'emblée le ton est donné avec cette première page scindée en deux , pour le ying et le yang de cette jeune femme en perpétuelles réflexions qui se met à nu (dans tous les sens du terme) sous nos yeux . Puis les petites histoires s'enchainent avec une première "fausse rupture" qui risque fort de marquer les lecteurs(trices) , on rit à gorge déployée , pour ne pas dire "gorge profonde" 😉 .Impossible de ne pas avoir d'empathie pour Louise , peu importe le genre du lecteur , elle est touchante par ses péripéties et tentatives d'y échapper , à tel point qu'il est impossible de refermer le livre sans l'avoir fini . Car ces histoires toutes différentes gardent un lien commun : la vie de Louise et son mode de pensée . Anne-Laure Reboul réalise une immersion profonde dans la psyché féminine avec maestria . On pense au film Ce que veulent les femmes , avec Mel Gibson , sauf qu'ici , c'est Louise qui nous expose ses plus intimes pensées au moment T avec une spontanéité déroutante . On rit , on grimace , on vit littéralement avec elle ces aventures somme toute banales , mais tellement bien racontées . Régis Penet se fait plaisir avec des cases épurées mais une expressivité des visages détonante . Louise n'a pas de bouche la plupart du temps , comme pour mieux signifier le combat intérieur qu'elle vit avec ses interrogations , mais le dessinateur réalise un jeu de regards saisissant . C'est un livre qui je l'espère fera parler de lui , et je souhaite bon vent à ces deux auteurs de grand talent . D'autres aventures de Louise s'il vous plaît , on en redemande !!! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pensees-profondes/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. alx23

    L'enfer c'est les hôtes

    Décidément le scénariste Karibou a le don de me faire rire avec des albums toujours bien inspiré et des thématiques se prêtant très bien à la dérision. Après Trois zéro une parodie de la Guerre de Troie ou Constantin de Chamberly une parodie sur un barbare philosophe, l'auteur s'attaque à Lucifer et Caïn le premier damné arrivant en enfer. L'album peut se lire comme une histoire complète avec le parcours de Caïn qui visite les enfers en compagnie de Lucifer, avec une chute humoristique à chaque page et s'enchaine sur la suivante. L'enfer est encore en travaux et personne n'est prêt à accueillir le premier damné. Lucifer doit se charger de lui et commence à lui faire la visite des lieux. Les dialogues sont drôles entre les deux personnages avec une amitié naissante. Caïn a tendance à ridiculiser Lucifer ou à tout remettre en question. Les dessins de Lionel Richerand sont de qualité et très bien détaillés surtout pour ce genre de bande dessinée souvent très minimaliste en décor. Si vous aimez les titres de Karibou, vous ne devriez pas être déçu par L'enfer c'est les hôtes avec encore beaucoup d'amusement en perspective.
  5. Titre de l'album : L'enfer c'est les hôtes Scenariste de l'album : Karibou Dessinateur de l'album : Lionel Richerand Coloriste : Lionel Richerand Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : En attendant que les pécheurs se pressent en masse aux portes de l'Enfer, l'archange déchu fait visiter son nouveau domaine en construction à Caïn et lui présente les différents démons qui animeront cet espace. Durant leur périple, entre discussions absurdes, rencontres étranges et partages de traumas (notamment la relation au père), les deux protagonistes développeront une amitié atypique. Critique : Décidément le scénariste Karibou a le don de me faire rire avec des albums toujours bien inspiré et des thématiques se prêtant très bien à la dérision. Après Trois zéro une parodie de la Guerre de Troie ou Constantin de Chamberly une parodie sur un barbare philosophe, l'auteur s'attaque à Lucifer et Caïn le premier damné arrivant en enfer. L'album peut se lire comme une histoire complète avec le parcours de Caïn qui visite les enfers en compagnie de Lucifer, avec une chute humoristique à chaque page et s'enchaine sur la suivante. L'enfer est encore en travaux et personne n'est prêt à accueillir le premier damné. Lucifer doit se charger de lui et commence à lui faire la visite des lieux. Les dialogues sont drôles entre les deux personnages avec une amitié naissante. Caïn a tendance à ridiculiser Lucifer ou à tout remettre en question. Les dessins de Lionel Richerand sont de qualité et très bien détaillés surtout pour ce genre de bande dessinée souvent très minimaliste en décor. Si vous aimez les titres de Karibou, vous ne devriez pas être déçu par L'enfer c'est les hôtes avec encore beaucoup d'amusement en perspective. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-enfer-c-est-les-hotes/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Kevin Nivek

    Murdervale - tome 3

    Après deux tomes sortis simultanément en novembre dernier , Vicente Cifuentes conclut sa trilogie horrifique avec cet ultime opus . Il nous laissait avec un Victor retrouvé et semblant envisager un avenir radieux en famille , mais l'ombre rôde et le mal ne dort jamais à Murdervale . La ville maudite se rappelle à lui dans des cauchemars criants de vérité , les traumas psychologiques de Victor sont ancrés en lui et l'éprouvent . Remonter à l'origine du mal semble être la clé , il ira avec son épouse et l'ami romancier en proie lui aussi à des visions inquiétantes . Les lecteurs vont enfin savoir qui ère dans la ville maudite et corrompt les âmes . Ayant endossé toutes les casquettes lors de la réalisation de cette aventure , Vicente Cifuentes nous offre une couverture de toute beauté et une palette graphique au réalisme saisissant . L'atmosphère gothique dans les phases oniriques est intéressante à travers les détails et les couleurs chamarrées . Son talent en tant que dessinateur n'est plus à prouver , en atteste aussi son travail sur l'excellent Whodunnit paru chez le même éditeur . Mais il doit encore progresser dans le métier de scénariste ET soigner ses dialogues . Le récit souffre du manque de liant entre les scènes et certaines répliques semblent trop légères ou sorties du contexte . L'histoire est prenante malgré quelques poncifs "déjà vus" , mais elle aurait gagné en épaisseur avec une écriture plus aboutie et un peu moins de raccourcis faciles . Cela reste une trilogie d'épouvante de qualité qui saura plaire aux amateurs de frissons .
  7. Titre de l'album : Murdervale - tome 3 Scenariste de l'album : Vicente Cifuentes Dessinateur de l'album : Vicente Cifuentes Coloriste : Vicente Cifuentes Editeur de l'album : Graph Zeppelin Note : Résumé de l'album : Troisième et dernier volume de la série Murdervale. Victor, hanté par son séjour à Murdervale, où on a essayé de lui prendre ce qui lui est le plus cher va tenter, aidé de sa famille, d'aller au-delà de la douleur et des horreurs... S'il veut que les cauchemars cessent, il devra retourner affronter les démons... il devra retourner à Murdervale, là où tout a commencé. Mais le Mal accordera-t-il à Victor ne serait qu'un peu de repos ? Le cauchemar finira-t-il un jour ? Critique : Après deux tomes sortis simultanément en novembre dernier , Vicente Cifuentes conclut sa trilogie horrifique avec cet ultime opus . Il nous laissait avec un Victor retrouvé et semblant envisager un avenir radieux en famille , mais l'ombre rôde et le mal ne dort jamais à Murdervale . La ville maudite se rappelle à lui dans des cauchemars criants de vérité , les traumas psychologiques de Victor sont ancrés en lui et l'éprouvent . Remonter à l'origine du mal semble être la clé , il ira avec son épouse et l'ami romancier en proie lui aussi à des visions inquiétantes . Les lecteurs vont enfin savoir qui ère dans la ville maudite et corrompt les âmes . Ayant endossé toutes les casquettes lors de la réalisation de cette aventure , Vicente Cifuentes nous offre une couverture de toute beauté et une palette graphique au réalisme saisissant . L'atmosphère gothique dans les phases oniriques est intéressante à travers les détails et les couleurs chamarrées . Son talent en tant que dessinateur n'est plus à prouver , en atteste aussi son travail sur l'excellent Whodunnit paru chez le même éditeur . Mais il doit encore progresser dans le métier de scénariste ET soigner ses dialogues . Le récit souffre du manque de liant entre les scènes et certaines répliques semblent trop légères ou sorties du contexte . L'histoire est prenante malgré quelques poncifs "déjà vus" , mais elle aurait gagné en épaisseur avec une écriture plus aboutie et un peu moins de raccourcis faciles . Cela reste une trilogie d'épouvante de qualité qui saura plaire aux amateurs de frissons . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/murdervale-tome-3-l-ultime-sacrifice/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. alx23

    Deep it

    Après Deep me, un album assez expérimental, Marc-Antoine Mathieu apporte la suite de ce diptyque commencé avec Deep it, avec un album plus accès sur la philosophie cette fois. D'abord avant tout, on remarque le soin apporté à l'édition l’album avec cette couverture toute blanche comme le titre, le nom de l'auteur de la maison d'édition, en opposition à l'album précédent tout en noir Deep me. Pour l'histoire, nous sommes avec Adam, une intelligence artificielle à l'intérieur d'une capsule dans un voyage qui semble infini. Adam est la dernière IA qui analyse l'humanité, la planète Terre, la nature et toutes les choses qui caractérisent tant l'humain. Les phases de veille s'alternent avec les phases où Adam s'interroge et philosophe. La partie graphique est plus travaillé ou apporte davantage de personne en vision à l'aide de petits points pour former des visages, des éléments ou des lieux. Les planches toute blanche ou toute noire apportent une ambiance à cet album. Marc-Antoine Mathieu est connu pour créer des albums étranges, originaux, expérimentaux dans le monde de la dessinée et c'est toujours avec plaisir que l'on découvre sa dernière création.
  9. alx23

    Deep it

    Titre de l'album : Deep it Scenariste de l'album : Marc-Antoine Mathieu Dessinateur de l'album : Marc-Antoine Mathieu Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Après le grand Deuil, absolument tout ce qui répondait à la définition du « vivant » a disparu de la Terre... Adam, unique IA dotée d'une conscience, gardien de la totalité de la data générée par l'humanité, traverse l'infinité du temps au fond des océans avec pour seule compagnie un programme conversationnel. Là, il attend avec philosophie l'émergence des conditions propices au miracle de la vie... Critique : Après Deep me, un album assez expérimental, Marc-Antoine Mathieu apporte la suite de ce diptyque commencé avec Deep it, avec un album plus accès sur la philosophie cette fois. D'abord avant tout, on remarque le soin apporté à l'édition l’album avec cette couverture toute blanche comme le titre, le nom de l'auteur de la maison d'édition, en opposition à l'album précédent tout en noir Deep me. Pour l'histoire, nous sommes avec Adam, une intelligence artificielle à l'intérieur d'une capsule dans un voyage qui semble infini. Adam est la dernière IA qui analyse l'humanité, la planète Terre, la nature et toutes les choses qui caractérisent tant l'humain. Les phases de veille s'alternent avec les phases où Adam s'interroge et philosophe. La partie graphique est plus travaillé ou apporte davantage de personne en vision à l'aide de petits points pour former des visages, des éléments ou des lieux. Les planches toute blanche ou toute noire apportent une ambiance à cet album. Marc-Antoine Mathieu est connu pour créer des albums étranges, originaux, expérimentaux dans le monde de la dessinée et c'est toujours avec plaisir que l'on découvre sa dernière création. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/deep-it/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Voilà une série dont j'avais raté le premier tome. C'est bien dommage car avec ce tome 2 je découvre une série pour enfants, jeunes ados intelligente et bien pensée. Certes les ficelles scénaristiques sont connues, et ce Castelwitch vous fera penser nécessairement à pas mal de références, mais les mélanges d'idées et de genre mis en oeuvre fonctionnent bien. Les personnages des enfants sont bien pensés, l'univers est riche, et l'intrigue se déroule sans accrocs ni temps mort. Les dialogues sont réussis, et même en adulte j'ai accroché assez vite, alors même que je ne connaissais pas l'univers ou le tome 1. Si je vous dis qu'en plus le prochain tome terminere cette petite série en 3 tomes, il n'y a pas bien de raison de se priver si vous avez des enfants dans votre entourage un peu rêveurs. Le dessin de François Gomes rend le tout sympathique, même si ce n'est peut être pas à la hauteur de la forêt du temps, on reste quand même sur du très bien, et qui plaira aux jeunes mais aussi aux moins jeunes. La colorisation vive dynamise le tout. Voici une série jeunesse qui a le mérite de très bien fonctionner.
  11. Titre de l'album : Castelwitch - Tome 2 - Le grand Effaroucheur Scenariste de l'album : Nicolas Jarry Dessinateur de l'album : Francois Gomes Coloriste : Sandrine Cordurié Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Irina est nouvelle et depuis le décès de ses parents, elle vit avec sa tante. Irina a un secret : son compagnon est passé du côté sombre de l'imagination, c'est un Maléfic qu'elle parvient difficilement à contrôler. Désespérée, elle demande de l'aide, seul Malo accepte. L'unité du groupe d'adolescents s'en trouve alors menacée tandis que la guerre entre Maléfics et Imaginaires ravage la cité. Critique : Voilà une série dont j'avais raté le premier tome. C'est bien dommage car avec ce tome 2 je découvre une série pour enfants, jeunes ados intelligente et bien pensée. Certes les ficelles scénaristiques sont connues, et ce Castelwitch vous fera penser nécessairement à pas mal de références, mais les mélanges d'idées et de genre mis en oeuvre fonctionnent bien. Les personnages des enfants sont bien pensés, l'univers est riche, et l'intrigue se déroule sans accrocs ni temps mort. Les dialogues sont réussis, et même en adulte j'ai accroché assez vite, alors même que je ne connaissais pas l'univers ou le tome 1. Si je vous dis qu'en plus le prochain tome terminere cette petite série en 3 tomes, il n'y a pas bien de raison de se priver si vous avez des enfants dans votre entourage un peu rêveurs. Le dessin de François Gomes rend le tout sympathique, même si ce n'est peut être pas à la hauteur de la forêt du temps, on reste quand même sur du très bien, et qui plaira aux jeunes mais aussi aux moins jeunes. La colorisation vive dynamise le tout. Voici une série jeunesse qui a le mérite de très bien fonctionner. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/castlewitch-tome-2-le-grand-effaroucheur?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Titre de l'album : H@cktivists - Tome 2 - Enfants de l'enfer Scenariste de l'album : LF Bollée Dessinateur de l'album : Geanes Holland Coloriste : Thiago Rocha Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : À la suite des événements de Miami (voir T1), la cellule FREEquency composée de nos hackers professionnels se déplace sur deux nouveaux fronts : Osaka, où la jeune HANA a été manifestement enlevée par des yakuzas - et surtout Novgorod, en Russie. Là-bas, c'est une vérité incroyable qui va se révéler, avec une intelligence artificielle qui est à l'oeuvre et qui modifie la réalité... Critique : Et hop, un peu plus d'un an après un tome 1 sympa mais globalement peu marquant, nous retrouvons nos activistes hackeurs pour la poursuite de leur affaire. Sans trop en dire, le scénario va s'étoffer et prendre de l'ampleur pour aboutir sur de la SF qui ne sera pas sans rappeler les premiers Travis aux amateurs. Les thèmes chers à la science-fiction auront la part belle dans ce second tome, avec un scénrio qui finit comme cela arrive parfois par devenir un peu confus. Et qui n'apporte finalement pas tant d'explication. Bon. Soit. le tout reste quand même super sympa à lire, et on dévore les pages ce qui n'était pas le cas du 1 dans mes souvenirs. Le dessin de Geanes Holland est plutôt très chouette, surtout pour le genre du thriller ou de la sf ou les graphismes sont parfois les parents pauvre la faute à un "sérieux" trop contraignant. La mise en couleur est réussie, et les planches sont assez dynamiques. Le tout va à 100 à l'heure, mais je lirais la suite avec plaisir finalement. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hacktivists-tome-2-enfants-de-l-enfer?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Et hop, un peu plus d'un an après un tome 1 sympa mais globalement peu marquant, nous retrouvons nos activistes hackeurs pour la poursuite de leur affaire. Sans trop en dire, le scénario va s'étoffer et prendre de l'ampleur pour aboutir sur de la SF qui ne sera pas sans rappeler les premiers Travis aux amateurs. Les thèmes chers à la science-fiction auront la part belle dans ce second tome, avec un scénrio qui finit comme cela arrive parfois par devenir un peu confus. Et qui n'apporte finalement pas tant d'explication. Bon. Soit. le tout reste quand même super sympa à lire, et on dévore les pages ce qui n'était pas le cas du 1 dans mes souvenirs. Le dessin de Geanes Holland est plutôt très chouette, surtout pour le genre du thriller ou de la sf ou les graphismes sont parfois les parents pauvre la faute à un "sérieux" trop contraignant. La mise en couleur est réussie, et les planches sont assez dynamiques. Le tout va à 100 à l'heure, mais je lirais la suite avec plaisir finalement.
  14. Kevin Nivek

    Le pilleur de cimetières

    Non , Robert Louis Stevenson n'a pas écrit uniquement L'île au trésor et Docteur Jekyll et mister Hyde , il a aussi à son actif des nouvelles , telles cette "comédie" horrifique : Le pilleur de cimetières . En tant qu'auteur complet , Sebastià Cabot s'est lancé dans cette adaptation avec beaucoup d'entrain . A vrai dire , je ne sais dans quelle case ranger cette histoire : drame , comédie , épouvante , historique ... Tout semble mêlé pour nous offrir une réelle descente aux enfers du timide apprenti médecin Fettes . Il va se retrouver pris dans un engrenage infernal morbide malgré lui et le lecteur va observer pages après pages son inéluctable destinée . On lit avec malice cette aventure car les visages "aux gros nez" , expressifs au possible , amènent une note d'humour sur fond de tragédie . L'auteur est économe en détails d'arrières plans pour mieux mettre en avant les protagonistes et leurs dialogues savoureux . L'empathie fonctionne à merveille . Ceci dit j'ai quand même l'impression que cette adaptation arrive un peu tard . Une histoire de profanation de tombes dans les cimetières a été à maintes reprises utilisée auparavant ; on pense à Frankenstein entre autres . Les turpitudes du héros Fettes sont un peu trop lisibles . Cela reste une lecture sympathique et on attend cet artiste espagnol et son trait "cartoon" dans d'autres registres , car il sait donner une atmosphère à ses oeuvres . Auteur à suivre donc !
  15. Titre de l'album : Le pilleur de cimetières Scenariste de l'album : Sebastià Cabot Dessinateur de l'album : Sebastià Cabot Coloriste : Sebastià Cabot Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Edimbourg, XIXe siècle. Fettes, timide et maladroit étudiant en médecine, se voit proposer le poste d'assistant du grand Mc Farlane. Voulant à tout prix épater Jane, étudiante elle aussi, il accepte la proposition et découvre alors bien malgré lui que les corps utilisés à l'école sont fournis par des criminels qui tuent dans le seul but de les revendre au professeur. Désormais impliqué dans ce complot macabre, il devra choisir entre la fidélité, la moralité... et la survie. Critique : Non , Robert Louis Stevenson n'a pas écrit uniquement L'île au trésor et Docteur Jekyll et mister Hyde , il a aussi à son actif des nouvelles , telles cette "comédie" horrifique : Le pilleur de cimetières . En tant qu'auteur complet , Sebastià Cabot s'est lancé dans cette adaptation avec beaucoup d'entrain . A vrai dire , je ne sais dans quelle case ranger cette histoire : drame , comédie , épouvante , historique ... Tout semble mêlé pour nous offrir une réelle descente aux enfers du timide apprenti médecin Fettes . Il va se retrouver pris dans un engrenage infernal morbide malgré lui et le lecteur va observer pages après pages son inéluctable destinée . On lit avec malice cette aventure car les visages "aux gros nez" , expressifs au possible , amènent une note d'humour sur fond de tragédie . L'auteur est économe en détails d'arrières plans pour mieux mettre en avant les protagonistes et leurs dialogues savoureux . L'empathie fonctionne à merveille . Ceci dit j'ai quand même l'impression que cette adaptation arrive un peu tard . Une histoire de profanation de tombes dans les cimetières a été à maintes reprises utilisée auparavant ; on pense à Frankenstein entre autres . Les turpitudes du héros Fettes sont un peu trop lisibles . Cela reste une lecture sympathique et on attend cet artiste espagnol et son trait "cartoon" dans d'autres registres , car il sait donner une atmosphère à ses oeuvres . Auteur à suivre donc ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-pilleur-de-cimetieres/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Kevin Nivek

    Morpheus

    Yann Bécu adapte son roman à succès Les bras de Morphée dans cette nouvelle parution de grande qualité aux Humanos . Le postulat de départ est des plus innovant et intrigant , surtout à une époque où le temps de sommeil de l'humanité ne fait que régresser . En effet , il imagine un monde ayant subi les outrages du virus nommé Morpheus en hommage à la déesse Morphée ,divinité des rêves . Plus question d'insomnies , bien au contraire , les hommes dorment 20h par jour ! Le romancier nous expose une nouvelle société régie par ce nouveau monde de fonctionnement. Les frontières sont tombées et les villes retranchées derrière de hauts murs , chacun tente de vivre en utilisant du mieux possible son compte d'heures "éveillé" ! Juliette , la protagoniste principale désire sauver sa fille de ce fléau et entreprend avec un professeur une quête à travers une Europe dévastée pour trouver un antidote . De nombreux secrets pèsent sur les épaules des personnages , il est impossible de refermer le livre sans l'avoir terminé 😉 . A l'image de la couverture , riche en mouvement , attendez-vous à être transportés et saisis par le suspens et la tension omniprésents . Le dessinateur italien Francesco Trifogli , continue son association avec les Humanoïdes associés (Feu de Thésée , Sang des immortels) et nous délivre un dessin certes académique , mais d'un réalisme saisissant . Le découpage est cinématographique , on est littéralement immergé dans cette aventure . Un très bon one-shot qui pourrait avoir une suite , étant donnée la fin et cet univers si riche , à suivre je l'espère 🙂
  17. Kevin Nivek

    Morpheus

    Titre de l'album : Morpheus Scenariste de l'album : Yann Bécu Dessinateur de l'album : Francesco Trifogli Coloriste : Axel Gonzalbo Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Depuis l'apparition du virus Morpheus, l'humanité est condamnée au sommeil vingt heures par jour. Pour tenter de survivre à ce chaos, les principales capitales ont déclaré leur indépendance dans une Europe au bord de l'implosion. A Prague, la mercenaire Juliette tente d'offrir une vie décente à sa fille en multipliant les missions périlleuses et en prenant des drogues pour rester éveillée. Sa rencontre avec le professeur Ivanov lui redonne l'espoir d'éradiquer le virus et de sauver sa fille. Commence alors pour eux une course frénétique à travers le no-man's land européen, avec plusieurs groupes armés à leurs trousses... Critique : Yann Bécu adapte son roman à succès Les bras de Morphée dans cette nouvelle parution de grande qualité aux Humanos . Le postulat de départ est des plus innovant et intrigant , surtout à une époque où le temps de sommeil de l'humanité ne fait que régresser . En effet , il imagine un monde ayant subi les outrages du virus nommé Morpheus en hommage à la déesse Morphée ,divinité des rêves . Plus question d'insomnies , bien au contraire , les hommes dorment 20h par jour ! Le romancier nous expose une nouvelle société régie par ce nouveau monde de fonctionnement. Les frontières sont tombées et les villes retranchées derrière de hauts murs , chacun tente de vivre en utilisant du mieux possible son compte d'heures "éveillé" ! Juliette , la protagoniste principale désire sauver sa fille de ce fléau et entreprend avec un professeur une quête à travers une Europe dévastée pour trouver un antidote . De nombreux secrets pèsent sur les épaules des personnages , il est impossible de refermer le livre sans l'avoir terminé 😉 . A l'image de la couverture , riche en mouvement , attendez-vous à être transportés et saisis par le suspens et la tension omniprésents . Le dessinateur italien Francesco Trifogli , continue son association avec les Humanoïdes associés (Feu de Thésée , Sang des immortels) et nous délivre un dessin certes académique , mais d'un réalisme saisissant . Le découpage est cinématographique , on est littéralement immergé dans cette aventure . Un très bon one-shot qui pourrait avoir une suite , étant donnée la fin et cet univers si riche , à suivre je l'espère 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/morpheus/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Ce Sherlock Holmes vient conclure le diptyque sur l'enquête des mystères de Londres. On y retrouve la même équipe que pour le tome 1 sorti en avril de l'année dernière. Si sur le premier tome je regrettais parfois le manque de détail dans le dessin de Michel Suro, je crains que sur ce second tome cette impression se soit renforcée, au point que j'ai eu du mal à prendre plaisir à parcourir ses planches. C'est évidemment subjectif mais je trouve que l'ensemble manque un peu de profondeur et de richesse, et que les personnages sont un peu secs à mon goût. Reste que soyons honnêtes, pour un polar, ce style sérieux et un peu froid ne nuit pas vraiment à la lecture de la fin de cette intrigue. Et c'est bien le second reproche que je ferais à ce tome, on lit généralement un Sherlock Holmes pour y voir du génie, le sens du détail et de l'enquête du meilleur détective au monde (non ce n'est pas Batman, je vous vois venir), et de ce côté là, et bien l'enquête n'impressionne pas beaucoup. Pire j'ai eu le sentiment que certaines déductions du détective sont contredites en fin d'affaire sans pour autant qu'il y ai eu d'explications. L'humour, est parfois aussi mal dosé, avec un comique de répétition qui finit par devenir un peu lourd sur le couple Watson Rose. J'ai été un peu déçu par la conclusion de ce diptyque sur Sherlock. Reste que retrouver la Tamise et l'europe de la fin du XIX est très agréable et que les références historiques sont nombreuses.
  19. Titre de l'album : Sherlock Holmes et les mystères de Londres tome 2 - Le Retour de Spring-Heeled Jack Scenariste de l'album : Jean-Pierre Pécau Dessinateur de l'album : Michel Suro Coloriste : Scarlett Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Londres a peur, la Tamise continue à charrier les cadavres de jeunes filles affublées d'un horrible masque. Les autorités sont sur les charbons ardents. Dans les quartiers du EastEnd, les classes populaires commencent à s'agiter en accusant sans preuve les étrangers de commettre ces forfaits. Pour Holmes il faut faire vite avant que Londres s'embrase. Fénéon demande l'aide de ses amis anarchistes. Critique : Ce Sherlock Holmes vient conclure le diptyque sur l'enquête des mystères de Londres. On y retrouve la même équipe que pour le tome 1 sorti en avril de l'année dernière. Si sur le premier tome je regrettais parfois le manque de détail dans le dessin de Michel Suro, je crains que sur ce second tome cette impression se soit renforcée, au point que j'ai eu du mal à prendre plaisir à parcourir ses planches. C'est évidemment subjectif mais je trouve que l'ensemble manque un peu de profondeur et de richesse, et que les personnages sont un peu secs à mon goût. Reste que soyons honnêtes, pour un polar, ce style sérieux et un peu froid ne nuit pas vraiment à la lecture de la fin de cette intrigue. Et c'est bien le second reproche que je ferais à ce tome, on lit généralement un Sherlock Holmes pour y voir du génie, le sens du détail et de l'enquête du meilleur détective au monde (non ce n'est pas Batman, je vous vois venir), et de ce côté là, et bien l'enquête n'impressionne pas beaucoup. Pire j'ai eu le sentiment que certaines déductions du détective sont contredites en fin d'affaire sans pour autant qu'il y ai eu d'explications. L'humour, est parfois aussi mal dosé, avec un comique de répétition qui finit par devenir un peu lourd sur le couple Watson Rose. J'ai été un peu déçu par la conclusion de ce diptyque sur Sherlock. Reste que retrouver la Tamise et l'europe de la fin du XIX est très agréable et que les références historiques sont nombreuses. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sherlock-holmes-et-les-mysteres-de-londres-tome-2-le-retour-de-spring-heeled-jack?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Voici la conclusion de cette mini série en 4 tomes, parallèle à la série des maitres inquisiteurs en 6 tomes et se déroulant dans l'univers imaginé par le prolifique J-L Istin. Soyons honnête cette série lorgnait sur le succès de l'univers des terres d'arran, et malheureusement elle n'a pas forcément rencontré le même lot de fans. Il faut dire que Soleil avec son rythme de parution dantesque sur ces deux univers a peut être cannibalisé ses propres clients. Ce tome 4 vient donc nous brosser un nouveau portrait d'un jeune assassin en devenir. Malheureusement l'histoire peine à décoller de cette sensation de déjà lu qui une fois qu'elle vous a attrapé ne vous lâche guère. Le personnage est intéressant, mais le destin du héros ne parvient pas à nous captiver plus que cela et l'ensemble a du mal à s'inscrire dans des enjeux plus grandioses de l'univers créé. La trame globale est un peu en dessous de ce que nous avaient offerts les premiers tomes. Le dessin de Victor Drujiniu est plutôt bon, même si peut être un petit peu froid encore, on est sur ce qui se fait de très bien sur cette série, au niveau du grand frère des terres d'arran. Les affamés de fantasy médiévale, ou ceux qui ne veulent pas se lancer dans la série fleuve des terres d'arran s'y retrouveront avec plaisir avec ces aventures dans le monde d'Oscitan.
  21. Titre de l'album : Les maitres assassins - Tome 4 - Malgérian Scenariste de l'album : Sylvain Cordurié Dessinateur de l'album : Victor Drujiniu Coloriste : Erwan Seure Le Bihan & Victor Drujiniu Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Un seigneur des Soupirs a autrefois loué les services des Maîtres Assassins contre le prix de leur choix. Et ce prix, c'était son fils cadet, Armant de Lanslet. Quand la guilde réclame son dû, Armant est associé à trois jeunes gens. Il suit l'entraînement qui fera d'eux des tueurs et prend la tête du groupe pour leur première mission. Désormais, il n'est plus Armant de Lanslet. Il est Malgerian. Critique : Voici la conclusion de cette mini série en 4 tomes, parallèle à la série des maitres inquisiteurs en 6 tomes et se déroulant dans l'univers imaginé par le prolifique J-L Istin. Soyons honnête cette série lorgnait sur le succès de l'univers des terres d'arran, et malheureusement elle n'a pas forcément rencontré le même lot de fans. Il faut dire que Soleil avec son rythme de parution dantesque sur ces deux univers a peut être cannibalisé ses propres clients. Ce tome 4 vient donc nous brosser un nouveau portrait d'un jeune assassin en devenir. Malheureusement l'histoire peine à décoller de cette sensation de déjà lu qui une fois qu'elle vous a attrapé ne vous lâche guère. Le personnage est intéressant, mais le destin du héros ne parvient pas à nous captiver plus que cela et l'ensemble a du mal à s'inscrire dans des enjeux plus grandioses de l'univers créé. La trame globale est un peu en dessous de ce que nous avaient offerts les premiers tomes. Le dessin de Victor Drujiniu est plutôt bon, même si peut être un petit peu froid encore, on est sur ce qui se fait de très bien sur cette série, au niveau du grand frère des terres d'arran. Les affamés de fantasy médiévale, ou ceux qui ne veulent pas se lancer dans la série fleuve des terres d'arran s'y retrouveront avec plaisir avec ces aventures dans le monde d'Oscitan. Autres infos : D'après l'univers imaginé par J-L Istin Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-maitres-assassins-tome-4-malgerian?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. L'espion de d'Orient est un roman graphique qui relate la biographie de Johann-Ludwig Burckhardt un jeune Suisse vivant en Angleterre durant le blocus de Napoléon envers cette nation. Ce dernier décide de rejoindre l'Afrique afin d'explorer des zones inconnues des européens de cette époque. Le scénariste Danièle Masse nous fait participer à cette aventure dangereuse où le héros doit par tous les moyens possibles rejoindre le Caire et descendre à la découverte de lieux mythiques. Son périple l'amènera à retrouver la route de Pétra, la cité perdue mais aussi les sources du Niger, les temples d'Abu Simbel. Le héros devient agent anglais et explorateur pour arriver à ses fins. L’histoire se déroule durant une période chargée en événements historiques avec la conquête de Napoléon, mais aussi les conflits entre les pays du moyen orient, ou encore la maladie obligeant Burckhardt à stopper sa progression. La partie graphique est de qualité pour retranscrire les paysages désertiques, les lieux historiques ou les villes orientales de l'époque. Les romans graphiques sur les explorateurs du 19ème siècle sont toujours très impressionnants et fascinent avec des hommes repoussant les limites en quête de découverte avec des aventures improbables.
  23. Titre de l'album : L' espion d'Orient - Johann Ludwig Burckhardt et Petra, la cité perdue Scenariste de l'album : Danièle Masse Dessinateur de l'album : Alexis Vitrebert Coloriste : Alexis Vitrebert Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Au 19ème siècle, un jeune suisse devient agent britannique en Orient. Erudit de la langue et de la civilisation arabo-musulmanes, tantôt marchand indien musulman tantôt bédouin misérable, explorateur et espion, son obsession de l'inaccessible et du mythe l'amènera, au péril de sa vie, à la redécouverte de l'antique Petra, ainsi que des temples d'Abu Simbel, enfouis dans les sables égyptiens. Critique : L'espion de d'Orient est un roman graphique qui relate la biographie de Johann-Ludwig Burckhardt un jeune Suisse vivant en Angleterre durant le blocus de Napoléon envers cette nation. Ce dernier décide de rejoindre l'Afrique afin d'explorer des zones inconnues des européens de cette époque. Le scénariste Danièle Masse nous fait participer à cette aventure dangereuse où le héros doit par tous les moyens possibles rejoindre le Caire et descendre à la découverte de lieux mythiques. Son périple l'amènera à retrouver la route de Pétra, la cité perdue mais aussi les sources du Niger, les temples d'Abu Simbel. Le héros devient agent anglais et explorateur pour arriver à ses fins. L’histoire se déroule durant une période chargée en événements historiques avec la conquête de Napoléon, mais aussi les conflits entre les pays du moyen orient, ou encore la maladie obligeant Burckhardt à stopper sa progression. La partie graphique est de qualité pour retranscrire les paysages désertiques, les lieux historiques ou les villes orientales de l'époque. Les romans graphiques sur les explorateurs du 19ème siècle sont toujours très impressionnants et fascinent avec des hommes repoussant les limites en quête de découverte avec des aventures improbables. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-espion-d-orient-johann-ludwig-burckhardt-et-petra-la-cite-perdue?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Titre de l'album : Je suis leur silence Scenariste de l'album : Jordi Lafebre Dessinateur de l'album : Jordi Lafebre Coloriste : Jordi Lafebre Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Barcelone, de nos jours. Eva Rojas, une jeune et brillante psychiatre, rechigne à répondre aux questions du Dr Llull. Pourtant, elle n'a d'autre choix que de collaborer pour espérer récupérer sa licence et exercer à nouveau son métier. Il y a quelques jours, Eva a été appelée en renfort par l'une de ses patientes, Pénélope, pour l'accompagner, en tant que personne de confiance, durant la lecture du testament de sa grand-mère. Si cette dernière est toujours vivante, cette réunion familiale n'en demeurera pas moins éprouvante. À son arrivée à Can Monturós, l'excentrique psy perçoit rapidement les lourds secrets qui pèsent sur le domaine viticole. Et pour cause : percer les gens à jour, c'est son fonds de commerce. Les Monturós, qui ont fait fortune grâce à leurs vignes pendant la période franquiste, semblent dissimuler quelques secrets inavouables... Alors qu'elle séjourne au domaine, un membre de la famille est assassiné. Et les regards inquisiteurs ont tôt fait de se tourner vers Eva, qui mènera l'enquête pour tenter de prouver son innocence. Après le poétique Malgré tout, Jordi Lafebre nous livre, à coups de récits enchâssés et de personnalités hautes en couleurs, un roman graphique lumineux, au rythme résolument moderne et au ton empreint d'humour. Un récit entre la comédie et le polar catalan. Critique : Comment ai-je pu rater la sortie (bon ok en octobre) du dernier Jordi Lefebvre ? Surtout moi qui ai adoré Malgré nous et qui adore son coup de crayon, quelle honte. Mais je me rattrape et j'ai bien fait. Cette enquête est jouissive. L'histoire est menée de main de maitre, comme une pièce de théâtre. Nous deux personnages "principaux" nous servent de caution humoristique mais aussi de narrateurs et rythmes à merveille une enquête policières pas comme les autres. Une aventure qui est portée par un personnage principal très haut en couleur. Un petit bout de jeune femme toute mignonne et pleine de caractère qui nous fait autant rire qu'elle mène son enquête avec entrain et volonté. Une superbe lecture qu'il ne faut absolument pas rater ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/je-suis-leur-silence?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. poseidon2

    Je suis leur silence

    Comment ai-je pu rater la sortie (bon ok en octobre) du dernier Jordi Lefebvre ? Surtout moi qui ai adoré Malgré nous et qui adore son coup de crayon, quelle honte. Mais je me rattrape et j'ai bien fait. Cette enquête est jouissive. L'histoire est menée de main de maitre, comme une pièce de théâtre. Nous deux personnages "principaux" nous servent de caution humoristique mais aussi de narrateurs et rythmes à merveille une enquête policières pas comme les autres. Une aventure qui est portée par un personnage principal très haut en couleur. Un petit bout de jeune femme toute mignonne et pleine de caractère qui nous fait autant rire qu'elle mène son enquête avec entrain et volonté. Une superbe lecture qu'il ne faut absolument pas rater !
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