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  1. Titre de l'album : Atom agency t2 : petit hanneton Scenariste de l'album : Yann Dessinateur de l'album : Olivier Schwartz Coloriste : Olivier Schwartz Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Depuis la fin de la guerre, personne n'a revu Annette, la belle ambulancière : une héroïque "Rochambelle", cette unité féminine intégrée à la 2e division blindée du général Leclerc. Cinq ans plus tard, c'est l'ébullition au 36 Quai des Orfèvres : le commissaire Vercorian est sur le point de coffrer l'ennemi public n°1. Alors quand un ancien compagnon de la 2e DB vient lui demander son aide pour retrouver Annette, il se débarrasse de l'affaire en vantant les mérites de son fils, le détective privé de l'Atom Agency. Critique : Deuxième tome de Atom Agency et deuxième suces pour cette série de one shot. Apres un premier tome jouant sur la nostalgie graphique et thématique des amateurs de BDs des années 70-80, Yann lance ses héros dans une histoire plus ambitieuse. Une histoire qui parle de la guerre, de l’après-guerre, mais qui parle aussi de façon savoureuse de la communauté Arménienne de Paris. Je dis "savoureuse" car ce lien familial est un filagramme intéressant à suivre, en marge de notre enquête. En effet le rapport entre Atom et sa famille Arménienne et ses "obligations" n'est pas sans rappeler des situations très actuelles. Si le personnage d'Atom gagne en épaisseur dans ce tome ci, on apprécie encore plus le rôle du père, ancien résistant au passé pas si claire que cela. Une bonne enquête, un dessin très sympa pour un super moment sans obligation de poursuite. Du tout bon quoi. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/atom-agency-tome-2-petit-hanneton?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Florent Maudoux l’auteur de la célèbre série Freaks’ squeele s’associe avec Rebecca Morse qui a déjà travaillé sur plusieurs bandes dessinées en tant que scénariste ou dessinatrice. Les deux auteurs proposent un nouveau spin-off avec Kim Traüma. Le titre fait référence à la tatoueuse Kim qui gère l’infirmerie de la F.E.A.H, de l’école de super-héros qui est le Traüma center. On devrait pouvoir lire un album par an suivant le planning sans aucun ordre de lecture spécifique. Ce premier tome est constitué de trois histoires. Patiente zéro est le titre de la première bande dessinée réalisée intégralement par Florent Maudoux. Ensuite Silicone Carnée est écrit par Maudaux sur des dessins de Rebecca Morse. Les deux styles sont proches mais ceux de Morse sont plus détaillés et moins lissent. La dernière histoire est une nouvelle d’Isabelle Bauthian. Comme souvent dans les titres des éditions Anakama et surtout du label 619, on retrouve une nouvelle avec quelques illustrations. Les lecteurs seront heureux de croiser quelques personnages emblématiques de la série mère mais aussi des spin-offs comme Castor et Pollux ou d’autres références à Breaking bad ou Mutafukaz. Les récits abordent des sujets intéressants derrière tout le décor des super-héros, que je vous laisse découvrir. L’univers de Freaks’ squeele continue de se développer avec un troisième spin-off qui démontre l'engouement des lecteurs pour cette série.
  3. Titre de l'album : Freaks' squeele Kim Trauma tome 1 - Silicon carne Scenariste de l'album : Florent Maudoux & Rebecca Morse Dessinateur de l'album : Florent Maudoux & Rebecca Morse Coloriste : Florent Maudoux & Rebecca Morse Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : Les super-héros peuvent eux aussi attraper un rhume ou avoir un coup de mou au moral, malheureusement les symptômes de leurs maladies sont aussi épiques que dangereux. Il existe un endroit spécialement dédié aux cas les plus désespérés : le Traüma Center. Telle un docteur House au féminin, Kim mène son équipe à la baguette pour enquêter, comprendre et dispenser des thérapies de choc adaptées aux étudiants de la légendaire FEAH, l'université des super-vilains. Critique : Florent Maudoux l’auteur de la célèbre série Freaks’ squeele s’associe avec Rebecca Morse qui a déjà travaillé sur plusieurs bandes dessinées en tant que scénariste ou dessinatrice. Les deux auteurs proposent un nouveau spin-off avec Kim Traüma. Le titre fait référence à la tatoueuse Kim qui gère l’infirmerie de la F.E.A.H, de l’école de super-héros qui est le Traüma center. On devrait pouvoir lire un album par an suivant le planning sans aucun ordre de lecture spécifique. Ce premier tome est constitué de trois histoires. Patiente zéro est le titre de la première bande dessinée réalisée intégralement par Florent Maudoux. Ensuite Silicone Carnée est écrit par Maudaux sur des dessins de Rebecca Morse. Les deux styles sont proches mais ceux de Morse sont plus détaillés et moins lissent. La dernière histoire est une nouvelle d’Isabelle Bauthian. Comme souvent dans les titres des éditions Anakama et surtout du label 619, on retrouve une nouvelle avec quelques illustrations. Les lecteurs seront heureux de croiser quelques personnages emblématiques de la série mère mais aussi des spin-offs comme Castor et Pollux ou d’autres références à Breaking bad ou Mutafukaz. Les récits abordent des sujets intéressants derrière tout le décor des super-héros, que je vous laisse découvrir. L’univers de Freaks’ squeele continue de se développer avec un troisième spin-off qui démontre l'engouement des lecteurs pour cette série. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/freaks-squeele-kim-trauma-tome-1-silicon-carne?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. poseidon2

    Droit au but t17

    Bon on ne va pas y aller par 4 chemins : je trouve que depuis que Nino à intégrer le groupe professionnel, les "Droits au but" sont un peu moins sympa. Preuve en ait le fait que mes enfants ont lu CA super vite en disant : "ouais c'est pas mal". Et je ne peux pas dire la même chose. SI ici on change un peu avec l'arrivée d'une nouvelle recrue, Nino à finit sa progression et l'équipe de Marseille étant une vraie équipe de foot, on n’a pas vraiment de progression sportive addictive comme sur un captain tsubasa. On a juste la vie de Nino et les matchs qui s’enchaînent. Plus vraiment de challenge pour notre Nino. Il faudrait rapidement introduire la ligue Europa ou la ligue des champions pour retrouver un intérêt sportif à la série. Des matchs de poules perdus, une décision du coach, une qualification à l'arrache... en gros un peu de panache.... Car là on s'ennuie ferme....
  5. Titre de l'album : Droit au but t17 Scenariste de l'album : Thierry Agnello Dessinateur de l'album : Charles Davoine Coloriste : Charles Davoine Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Alors que Nino se remet progressivement de sa blessure, il découvre que le club a recruté Rayan, un jeune joueur prometteur du même âge que lui, jouant au même poste et disposant des mêmes atouts. Débordant d'énergie et d'initiative, ce dernier s'acquiert rapidement le respect et l'admiration de ses coéquipiers de l'OM. Ses prouesses sont d'autant plus surprenantes que le jeune garçon a tout appris sur le tas, dans sa région d'origine, le nord de la France, sans passer par un centre de formation. D'abord inquiet de la concurrence que pourrait lui faire la nouvelle recrue, Nino se rapproche de Rayan à l'occasion d'un match particulièrement difficile pour ce dernier. Et pour ce faire, quoi de mieux que de lui faire apprécier la ville de Marseille et ses habitants ? Désormais complices, les deux jeunes joueurs font merveille lors des entraînements et surtout à l'occasion d'un match contre l'OL au Vélodrome. Une rencontre décisive dont l'issue proclame une fois de plus que l'union fait la force ! Critique : Bon on ne va pas y aller par 4 chemins : je trouve que depuis que Nino à intégrer le groupe professionnel, les "Droits au but" sont un peu moins sympa. Preuve en ait le fait que mes enfants ont lu CA super vite en disant : "ouais c'est pas mal". Et je ne peux pas dire la même chose. SI ici on change un peu avec l'arrivée d'une nouvelle recrue, Nino à finit sa progression et l'équipe de Marseille étant une vraie équipe de foot, on n’a pas vraiment de progression sportive addictive comme sur un captain tsubasa. On a juste la vie de Nino et les matchs qui s’enchaînent. Plus vraiment de challenge pour notre Nino. Il faudrait rapidement introduire la ligue Europa ou la ligue des champions pour retrouver un intérêt sportif à la série. Des matchs de poules perdus, une décision du coach, une qualification à l'arrache... en gros un peu de panache.... Car là on s'ennuie ferme.... Autres infos : Edition Hugo BD Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/droit-au-but-tome-17?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. poseidon2

    Fausse garde

    Suite au succès des derniers albums de Merwan (La mécanique céleste, jeu d'ombre, la bel Age, l'or et le sang), la maison Glenat a décidé de ressortir une intégrale d'un de ces premiers titres, parus dans la collection vent d’Ouest en 2004. Et c'est une... idée. Bonne ou mauvaise je ne saurais trop dire au final. Car d'un côté c'est une bonne idée car l'histoire est vraiment sympa avec ce garçon perdu qui pense se trouver au travers du Pankat pour lequel il a toujours vécu mais qui se retrouve très vite pris part dans un engrenage qui ne maîtrise pas du tout. D'un autre coté les gens comme moi qui sont fan du dessin de Merwan vont être déçu. Déçu car ces albums sont les premiers de Merwan et que graphiquement on est un vrai cran en dessous de la mécanique céleste par exemple. Un album intéressant qui mérite d’être lu mais qui ne tiens quand même pas la comparaison avec celui de l'année dernière...
  7. poseidon2

    Fausse garde

    Titre de l'album : Fausse garde Scenariste de l'album : Merwan Dessinateur de l'album : Merwan Coloriste : Merwan Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Un album aussi percutant qu'un KO debout ! Le jeune Mané est plein d'envie, plein de force. Deux qualités premières si l'on souhaite s'adonner au Pankat, un art martial dur développé en véritable philosophie de vie par ceux qui le pratiquent. Errant dans Irap, siège des plus grandes écoles de Pankat, Mané va vite faire ses preuves et profiter des conseils d'Eïam, l'un des plus grands maîtres qui soit. Mais saura t'il résister aux sirènes criminelles de Féssat, ancien condisciple d'Eïam, qui tente de porter les pas malléables du jeune homme vers l'illégalité ? Cruel dilemme pour Mané... Car les règles de la vie ne sont pas toujours aussi simples que celles d'un combat de Pankat... Avec son dessin terriblement soigné et dynamique et son art du scénario psychologique et bourré d'action, Merwan signait avec Fausse Garde (anciennement titré Pankat) un premier album solo à la fois frais et d'une grande maturité. Un album au ton unique, mêlant les influences du manga et de la bande dessinée franco-belge, à retrouver dans une édition dôtée d'une nouvelle couverture et de bonus graphiques inédits. Critique : Suite au succès des derniers albums de Merwan (La mécanique céleste, jeu d'ombre, la bel Age, l'or et le sang), la maison Glenat a décidé de ressortir une intégrale d'un de ces premiers titres, parus dans la collection vent d’Ouest en 2004. Et c'est une... idée. Bonne ou mauvaise je ne saurais trop dire au final. Car d'un côté c'est une bonne idée car l'histoire est vraiment sympa avec ce garçon perdu qui pense se trouver au travers du Pankat pour lequel il a toujours vécu mais qui se retrouve très vite pris part dans un engrenage qui ne maîtrise pas du tout. D'un autre coté les gens comme moi qui sont fan du dessin de Merwan vont être déçu. Déçu car ces albums sont les premiers de Merwan et que graphiquement on est un vrai cran en dessous de la mécanique céleste par exemple. Un album intéressant qui mérite d’être lu mais qui ne tiens quand même pas la comparaison avec celui de l'année dernière... Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/fausse-garde-ne?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. poseidon2

    TERRE T1

    Jeu de mot facile mais interessant, TERRE est bien la suite de TER. Mais la suite suffisamment directe pour que lire ce "tome 1" sans avoir lu les 3 autres soit vraiment compliqué tellement il manquera des références. Et une suite particulièrement réussie. Rodolphe réussi à donner un deuxième souffle à sa série via la découverte de cette planête. A l'instar des séries de SF comme Aldebaran, cela lui permet de nous livrer une belle et intriguante exploration de la planête. Exploration pleine de faune et de flore étrange laissant libre court au talent de Christian Dubois qui nous en met encore plein les yeux sur ce tome. Cela lui permet aussi de distiller l'histoire de l'humanité depuis le départ de Jupiter... et de nous mettre le doute sur l'endroit exacte ou sont tombés les survivants du Jupiter. Un récit qui part vers de la SF compliquée à base de décalage spatio temporel... qui n'est pas sans me déplaire. Un super premier tome pour les fans de la première série. Attention quand meme à ne pas commencer par là, de peur de ne pas comprendre l'historique entre les personnages. Historique qui devrait ressortir rapidement dans le prochain tome car étonnament absent sur celui ci.
  9. poseidon2

    TERRE T1

    Titre de l'album : TERRE T1 Scenariste de l'album : Rodolphe Dessinateur de l'album : Christian Dubois Coloriste : Christian Dubois Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Un récit de science-fiction haletant, dépaysant et poétique. Le nouveau cycle des aventures de Mandor, à la recherche de ses origines. En approche de la Terre, à bord d’une navette du vaisseau Jupiter, Mandor et ses compagnons explorent les environs et découvrent des éléments troublants : aucun signe d’activité humaine, une dent d’une taille gigantesque, et une faune monstrueuse qui manque de détruire le vaisseau... Les visiteurs devront choisir avec précaution le lieu de leur installation. Conscients que les ressources technologiques viendront bientôt à leur manquer, la petite communauté va devoir apprendre à vivre sans leurs outils évolués, pour réinventer une civilisation. Que s’est-il passé sur Terre depuis le départ du Jupiter ? Critique : Jeu de mot facile mais interessant, TERRE est bien la suite de TER. Mais la suite suffisamment directe pour que lire ce "tome 1" sans avoir lu les 3 autres soit vraiment compliqué tellement il manquera des références. Et une suite particulièrement réussie. Rodolphe réussi à donner un deuxième souffle à sa série via la découverte de cette planête. A l'instar des séries de SF comme Aldebaran, cela lui permet de nous livrer une belle et intriguante exploration de la planête. Exploration pleine de faune et de flore étrange laissant libre court au talent de Christian Dubois qui nous en met encore plein les yeux sur ce tome. Cela lui permet aussi de distiller l'histoire de l'humanité depuis le départ de Jupiter... et de nous mettre le doute sur l'endroit exacte ou sont tombés les survivants du Jupiter. Un récit qui part vers de la SF compliquée à base de décalage spatio temporel... qui n'est pas sans me déplaire. Un super premier tome pour les fans de la première série. Attention quand meme à ne pas commencer par là, de peur de ne pas comprendre l'historique entre les personnages. Historique qui devrait ressortir rapidement dans le prochain tome car étonnament absent sur celui ci. Autres infos : Edition Daniel Maghen Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/terre-tome-1-le-vieux-monde?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. poseidon2

    Harmony t6 : Metamorphose

    Habituellement, je lis les BDs jeunesses surtout pour savoir si elles vont plaire à mes enfants ou surtout si elles sont adaptées à eux. En fait pour presque toutes les séries Jeunesse... sauf quelques-unes dont Harmony. C’est une des rares BDs jeunesses dont je guette même la sortie ! Car cette série est excellente et le traitement choisit la rend en plus super intéressante... et permet de ne pas relire forcement le tome précédent. En effet ce choix de présenter, à chaque tome, le point de vue d'un des protagonistes sur une période de temps, puis de présenter, dans le tome d’après, le point de vue de l'autre côté, c'est super sympa. Ça permet de bien prendre le temps, de chaque côté, de construire une histoire cohérente. Cela permet aussi de se replonger très vite dans l'album car on parle d'une situation déjà entrevue. Et ce tome 6 ne fait pas exception. On se demandait, après le tome 5, comment Payne s'était transformé et comment Harmony était arrivé là. On à la réponse dans ce tome 6 et même un peu plus. En plus de découvrir le sauvetage, on en apprend plus sur l’histoire de ce peuple via les connaissances de la société secrète qui garde Harmony. Un tome 6 dense en informations, des personnages qui évoluent et un combat dantesque à venir... tout bon pour ce tome 6 et tout bon sur toute la ligne pour cette série !!
  11. Titre de l'album : Harmony t6 : Metamorphose Scenariste de l'album : Reynes Dessinateur de l'album : Reynes Coloriste : Reynes Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Au milieu des débris, Azhel, le dieu déchu, se relève. Seul Richards a survécu tandis qu'Harmony a été ensevelie sous les décombres. Comment s'est produite l'explosion ? Quelques jours plus tôt, Eden et Payne avaient été kidnappés. Craignant à leur tour pour leur sécurité, Harmony, Mahopmaa et la louve Tala viennent s'installer chez Walter. Mais alors qu'Harmony cherche à rentrer en contact avec ses deux amis, Payne, dans sa cellule, pro-pulse son esprit dans une souris pour espionner le sort que ses ravisseurs réservent à Eden. Aidée de Chester, le fils de Walter, son nouvel ami, Harmony parviendra-t-elle à les délivrer ? Critique : Habituellement, je lis les BDs jeunesses surtout pour savoir si elles vont plaire à mes enfants ou surtout si elles sont adaptées à eux. En fait pour presque toutes les séries Jeunesse... sauf quelques-unes dont Harmony. C’est une des rares BDs jeunesses dont je guette même la sortie ! Car cette série est excellente et le traitement choisit la rend en plus super intéressante... et permet de ne pas relire forcement le tome précédent. En effet ce choix de présenter, à chaque tome, le point de vue d'un des protagonistes sur une période de temps, puis de présenter, dans le tome d’après, le point de vue de l'autre côté, c'est super sympa. Ça permet de bien prendre le temps, de chaque côté, de construire une histoire cohérente. Cela permet aussi de se replonger très vite dans l'album car on parle d'une situation déjà entrevue. Et ce tome 6 ne fait pas exception. On se demandait, après le tome 5, comment Payne s'était transformé et comment Harmony était arrivé là. On à la réponse dans ce tome 6 et même un peu plus. En plus de découvrir le sauvetage, on en apprend plus sur l’histoire de ce peuple via les connaissances de la société secrète qui garde Harmony. Un tome 6 dense en informations, des personnages qui évoluent et un combat dantesque à venir... tout bon pour ce tome 6 et tout bon sur toute la ligne pour cette série !! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/harmony-tome-6-metamorphosis?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. poseidon2

    Don Vega

    "Un cavalier, qui surgit hors de la nuit... et court vers l'aventure au galop !!! Son nom il le signe à la pointe de l'épée... d'un Z qui veut dire Zorro !!!!!!!!!!!!" Mes collègues ici présents vont encore dire que je suis trop gentil. Mais j'assume. Mais même si j'assume je dois nuancer cette note par un facteur majeur dans le cas présent: la nostalgie. Oui oui on a beau avoir fait des milliers de critiques, il est toujours difficile de démêler les sentiments de la critique pure et dure. Surtout quand ça fait appel à des souvenirs joyeux de jeunesses. Des souvenirs de 4 garçons regardant les aventures du vengeur masqué avec leurs parents... Donc peut être que je suis un peu trop gentil sur ce Don Vega. Car effectivement si l'aventure est belle et intense, et les dessins bon (même si un cran en dessous de ceux de Silas Corey), l'histoire n'est pas non plus super originale. On reste sur du classique de Zorro comme on l'a déjà vu au cinéma. Mais pour moi l'essentiel n'est n'ai pas là. L’essentiel est qu'en sortant du tram, une fois la lecture finie, je chantais tout haut : "Un cavalier, qui surgit hors de la nuit..." avec comme seule envie de montrer ça à mes enfants. Et ça, ça vaut bien une demi-étoile de plus !
  13. poseidon2

    Don Vega

    Titre de l'album : Don Vega Scenariste de l'album : Pierre Alary Dessinateur de l'album : Pierre Alary Coloriste : Pierre Alary Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Madrid, 1848. Don Vega, héritier d'une riche famille californienne, reçoit une lettre lui annonçant le décès de ses parents. L'auteur du courrier, le père Delgado, l'incite à rentrer " dans les plus brefs délais ". A son retour, Don Vega découvre que le domaine familial est désormais géré par un ancien général, Gomez. Celui-ci s'appuie sur Borrow, une brute sadique et sans scrupules, pour mettre la Californie en coupe réglée en rachetant des terrains à bas prix afin de les revendre plus cher. Des peons ont le courage de se révolter. Le visage couvert d'une cagoule, ils se réclament d'" el Zorro ", un mythe populaire local. Le peuple les voit comme des héros. Don Vega décide de suivre leur exemple : il revêt un costume noir et est bien décidé à faire payer les spoliations commises envers sa famille. La légende de Zorro est en marche... Le personnage de Zorro renaît de ses cendres dans cette relecture enthousiasmante d'un classique de la culture populaire, né en 1919 dans un roman de Johnston McCulley avant d'être immortalisé par le cinéma et la série télévisée de Walt Disney. Critique : "Un cavalier, qui surgit hors de la nuit... et court vers l'aventure au galop !!! Son nom il le signe à la pointe de l'épée... d'un Z qui veut dire Zorro !!!!!!!!!!!!" Mes collègues ici présents vont encore dire que je suis trop gentil. Mais j'assume. Mais même si j'assume je dois nuancer cette note par un facteur majeur dans le cas présent: la nostalgie. Oui oui on a beau avoir fait des milliers de critiques, il est toujours difficile de démêler les sentiments de la critique pure et dure. Surtout quand ça fait appel à des souvenirs joyeux de jeunesses. Des souvenirs de 4 garçons regardant les aventures du vengeur masqué avec leurs parents... Donc peut être que je suis un peu trop gentil sur ce Don Vega. Car effectivement si l'aventure est belle et intense, et les dessins bon (même si un cran en dessous de ceux de Silas Corey), l'histoire n'est pas non plus super originale. On reste sur du classique de Zorro comme on l'a déjà vu au cinéma. Mais pour moi l'essentiel n'est n'ai pas là. L’essentiel est qu'en sortant du tram, une fois la lecture finie, je chantais tout haut : "Un cavalier, qui surgit hors de la nuit..." avec comme seule envie de montrer ça à mes enfants. Et ça, ça vaut bien une demi-étoile de plus ! Autres infos : un cavalier......... Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/don-vega?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. C'est avec un grand plaisir que l'on peut reprendre l'histoire du tueur avec une deuxième saison qui démarre très bien depuis le précédent tome. En effet, Matz change un peu la donne avec le tueur qui est recruté par les services secrets français. Il peut désormais poursuivre son travail avec la bénédiction du gouvernement mais il n'avait pas trop le choix qu'accepter cette offre pour vivre. Dans cette suite, le tueur est accompagné d'autres mercenaires pour mener à bien sa mission. Ils agissent pour l'instant afin de mettre à mal la sécurité d'une ville pour le compte de politiciens mafieux. Matz positionne les agissements de son tueur dans les sphères politiques françaises, avec beaucoup de réalisme. Comme d'habitude, le tueur nous fait part de ses réflexions sur la vie, le travail dans les entreprises comme sa couverture le fait travailler dans un bureau en informatique. La partie graphique de Luc Jacamon est parfaite avec des décors plus français et moins exotiques que dans la première saison. Cette reprise de la série du tueur est une excellente nouvelle pour tous les fans et l'histoire de Matz se veut plus proche de la réalité tout en étant toujours aussi efficace. On peut profiter une fois de plus du travail des deux auteurs sur le tueur en attendant d'avoir un éventuel troisième tome de la série la religion des mêmes auteurs.
  15. Titre de l'album : Le tueur - Affaires d'état tome 2 : Circuit court Scenariste de l'album : Matz Dessinateur de l'album : Luc Jacamon Coloriste : Luc Jacamon Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : La démocratie, la justice, tous les grands principes qui sonnent bien et qui réconfortent les honnêtes gens sont bien fragiles face à la corruption, la cupidité, la violence et le clientélisme. Dans ce nouvel opus, le Tueur se retrouve au centre d'un combat qui l'emmène bien plus loin qu'on ne l'aurait cru au premier abord. Et quand ceux qui sont censés être les garants de l'ordre social dérapent, plus rien n'est sous contrôle. Critique : C'est avec un grand plaisir que l'on peut reprendre l'histoire du tueur avec une deuxième saison qui démarre très bien depuis le précédent tome. En effet, Matz change un peu la donne avec le tueur qui est recruté par les services secrets français. Il peut désormais poursuivre son travail avec la bénédiction du gouvernement mais il n'avait pas trop le choix qu'accepter cette offre pour vivre. Dans cette suite, le tueur est accompagné d'autres mercenaires pour mener à bien sa mission. Ils agissent pour l'instant afin de mettre à mal la sécurité d'une ville pour le compte de politiciens mafieux. Matz positionne les agissements de son tueur dans les sphères politiques françaises, avec beaucoup de réalisme. Comme d'habitude, le tueur nous fait part de ses réflexions sur la vie, le travail dans les entreprises comme sa couverture le fait travailler dans un bureau en informatique. La partie graphique de Luc Jacamon est parfaite avec des décors plus français et moins exotiques que dans la première saison. Cette reprise de la série du tueur est une excellente nouvelle pour tous les fans et l'histoire de Matz se veut plus proche de la réalité tout en étant toujours aussi efficace. On peut profiter une fois de plus du travail des deux auteurs sur le tueur en attendant d'avoir un éventuel troisième tome de la série la religion des mêmes auteurs. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-tueur-affaire-etat-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. VladNirky

    Renaissance T3 - Permafrost

    La Renaissance est à la fois une période de l'histoire et un mouvement artistique. Cette époque marque la fin du Moyen Âge et le début des Temps modernes (tm). Et cette description convient fort bien à la série. Ce 3è tome signe donc la fin du 1er cycle et une suite de 3 tomes est annoncée par Fréd Duval. Et en faisant un peu de prospective avec le titre de la série, je pense que la suite sera plus optimiste. Même si l'histoire démontre que les évolutions techniques ne sont pas suivies d'évolution morales. ^^ Vous retrouvez donc dans ce T3 les personnages attachants, que sont Swänn et Sätie les 2 aliens de Näkän, jeunes mariés et visiblement un peu perdus, que l'on suit depuis leur débarquement sur Terre. Non pas que les autres personnages ne soient pas attachants, mais plutôt que l'histoire qu'on nous raconte est vue à travers leur yeux. Les autres personnages passent donc un peu au second plan. Les deux militaires viennent en aide à la Terre malgré elle, façon mission paix et santé car une sorte de confédération alien nommée "Le complexe" semble penser qu'elle ne peut pas s'en sortir seule faute de vision à long terme et à court terme de gestion des ressources. Mais est ce sans arrière pensée pour tous les participants de cette assemblée ? Il faudra lire le T3 pour le savoir > < En fait ce 1er cycle ressemble à une mission des casques bleus de l'ONU qui traversait les informations il n'y a encore pas si longtemps. Difficile de se placer au milieu d'un conflit ou d'un problème majeur sans casse. De plus l'actualité a rattrapé la série qui aborde beaucoup de sujets. Rappelons que le T1 commence par la description d'une grippe mortelle très contagieuse, des problèmes graves de montée des eaux (Paris est sous les eaux façon méga crue 1910 dès les 1ères cases du T1) et des IA devenues hostiles au genre humain font des massacres. Mais la série aborde aussi, outre les thématiques écologiques récentes, des problèmes de budget. La guerre coute chère ! Et un peu du fonctionnement politique des démocraties occidentales que l'on connait... Ces aliens sont décidément très humains. Les sujets abordés sont nombreux (même le mur de Trump fait une apparition). Au delà du débarquement sur la Terre, qui ressemble aussi à un début de colonisation tant le niveau technologique est avancé par rapport aux locaux et les raisons invoquées résonnent de bons sentiments, c'est en tout cas un plaisir de retrouver les aventures de nos groupes de personnages, à la recherche des raisons de cette situation. Ce 3e tome va ainsi dénouer les nombreuses questions posées par le début du cycle. Et c'est une bonne chose, même si ça peut sembler rapide. Personnellement je me demandais bien comment on allait clôturer en 1 seul tome à la fin du T2. Alors le dénouement est total ? pas tout à fait. Il reste quelques questions en suspens. De quoi remplir largement un second cycle je pense. Visuellement c'est très beau. Cette série est véritablement une démonstration technique d'Emem (aidé pour le Design par Fred Blanchard). C'est beau, c'est varié. C'est sur plusieurs environnements à travers les albums. C'est aussi épaulé par des effets spéciaux de temps à autre pour un arrière plan ici ou là par exemple mais c'est beau. Que ce soit aux États-Unis, à Paris, en passant par Créteil ou la campagne du Vexin et une planète lointaine... Les environnements sont très variés et réussis. Tout comme les 3 couvertures. J'ai dit que c'était beau ? C'est un vrai plaisir de se promener du regard dans les cases et les couvertures. Par contre, ce n'est pas une lecture très joyeuse ou optimiste, et globalement la rare éclaircie proposée par un des personnages avec son traducteur qui déconne (à la Jar Jar Binks) est fermée par les auteurs au passage. Du coup on reste sur un certain niveau de pessimiste global jusqu'à la toute fin... On peut aussi se demander aussi ou sont les représentants humains... Grands absents sauf de manière anecdotique au démarrage.... Où sont présidents, organisations mondiales et dictateurs divers et variés ? Curieux, mais pourquoi pas. Cet aspect renforce encore l'aspect colonisateur du coup. Car on ne voit que le côté gentil colonisateur. Cet aspect me rappelle la série V des années 80.... La suite devrait être pleine de surprises. Au final, c'est un très bon patchwork de SF diverses et de sujets politiques actuels dans un superbe écrin. Ne boudons pas notre plaisir, et je pense que ce sera encore mieux aux relectures. 🙂
  17. Titre de l'album : Renaissance T3 - Permafrost Scenariste de l'album : Fréd Duval Dessinateur de l'album : Emem Coloriste : Emem Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Au Texas, Swänn et Liz sont poursuivis par les braconniers Skualls, responsables de la mort de la famille Hamilton... Le temps pour Swänn de se confronter aux réalités de la Vguerre et des chocs émotionnels qui accompagnent l'annonce des victimes aux familles. Pendant ce temps, sur Näkän et dans les assemblées du Complexe, les débats sur le financement de l'expédition Renaissance se poursuivent et, curieusement, la diplomatie Skuall, peuple qui ne participe pas à l'expédition, prend une importance inattendue... Critique : La Renaissance est à la fois une période de l'histoire et un mouvement artistique. Cette époque marque la fin du Moyen Âge et le début des Temps modernes (tm). Et cette description convient fort bien à la série. Ce 3è tome signe donc la fin du 1er cycle et une suite de 3 tomes est annoncée par Fréd Duval. Et en faisant un peu de prospective avec le titre de la série, je pense que la suite sera plus optimiste. Même si l'histoire démontre que les évolutions techniques ne sont pas suivies d'évolution morales. ^^ Vous retrouvez donc dans ce T3 les personnages attachants, que sont Swänn et Sätie les 2 aliens de Näkän, jeunes mariés et visiblement un peu perdus, que l'on suit depuis leur débarquement sur Terre. Non pas que les autres personnages ne soient pas attachants, mais plutôt que l'histoire qu'on nous raconte est vue à travers leur yeux. Les autres personnages passent donc un peu au second plan. Les deux militaires viennent en aide à la Terre malgré elle, façon mission paix et santé car une sorte de confédération alien nommée "Le complexe" semble penser qu'elle ne peut pas s'en sortir seule faute de vision à long terme et à court terme de gestion des ressources. Mais est ce sans arrière pensée pour tous les participants de cette assemblée ? Il faudra lire le T3 pour le savoir > < En fait ce 1er cycle ressemble à une mission des casques bleus de l'ONU qui traversait les informations il n'y a encore pas si longtemps. Difficile de se placer au milieu d'un conflit ou d'un problème majeur sans casse. De plus l'actualité a rattrapé la série qui aborde beaucoup de sujets. Rappelons que le T1 commence par la description d'une grippe mortelle très contagieuse, des problèmes graves de montée des eaux (Paris est sous les eaux façon méga crue 1910 dès les 1ères cases du T1) et des IA devenues hostiles au genre humain font des massacres. Mais la série aborde aussi, outre les thématiques écologiques récentes, des problèmes de budget. La guerre coute chère ! Et un peu du fonctionnement politique des démocraties occidentales que l'on connait... Ces aliens sont décidément très humains. Les sujets abordés sont nombreux (même le mur de Trump fait une apparition). Au delà du débarquement sur la Terre, qui ressemble aussi à un début de colonisation tant le niveau technologique est avancé par rapport aux locaux et les raisons invoquées résonnent de bons sentiments, c'est en tout cas un plaisir de retrouver les aventures de nos groupes de personnages, à la recherche des raisons de cette situation. Ce 3e tome va ainsi dénouer les nombreuses questions posées par le début du cycle. Et c'est une bonne chose, même si ça peut sembler rapide. Personnellement je me demandais bien comment on allait clôturer en 1 seul tome à la fin du T2. Alors le dénouement est total ? pas tout à fait. Il reste quelques questions en suspens. De quoi remplir largement un second cycle je pense. Visuellement c'est très beau. Cette série est véritablement une démonstration technique d'Emem (aidé pour le Design par Fred Blanchard). C'est beau, c'est varié. C'est sur plusieurs environnements à travers les albums. C'est aussi épaulé par des effets spéciaux de temps à autre pour un arrière plan ici ou là par exemple mais c'est beau. Que ce soit aux États-Unis, à Paris, en passant par Créteil ou la campagne du Vexin et une planète lointaine... Les environnements sont très variés et réussis. Tout comme les 3 couvertures. J'ai dit que c'était beau ? C'est un vrai plaisir de se promener du regard dans les cases et les couvertures. Par contre, ce n'est pas une lecture très joyeuse ou optimiste, et globalement la rare éclaircie proposée par un des personnages avec son traducteur qui déconne (à la Jar Jar Binks) est fermée par les auteurs au passage. Du coup on reste sur un certain niveau de pessimiste global jusqu'à la toute fin... On peut aussi se demander aussi ou sont les représentants humains... Grands absents sauf de manière anecdotique au démarrage.... Où sont présidents, organisations mondiales et dictateurs divers et variés ? Curieux, mais pourquoi pas. Cet aspect renforce encore l'aspect colonisateur du coup. Car on ne voit que le côté gentil colonisateur. Cet aspect me rappelle la série V des années 80.... La suite devrait être pleine de surprises. Au final, c'est un très bon patchwork de SF diverses et de sujets politiques actuels dans un superbe écrin. Ne boudons pas notre plaisir, et je pense que ce sera encore mieux aux relectures. 🙂 Autres infos : C'est comme un tome de Carmen Pos, mais en pas pareil. Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/renaissance-tome-3-permafrost?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. poseidon2

    Sa majeste des ours t1

    Heyy ils ont commencé le deuxième cycle de 5 terres en parallèle de la fin du premier !!!..... ah on me dit dans l'oreillette que non... ce n'est pas le cycle de 5 terres sur les ours mais bien un concurrent de chez Glenat.... ok.... Une fois cette mise au point faite j'ai ouvert de comme avec...un peu de mauvaises pensées je dois l'avouer. En effet décrit comme ca, cet album fait super copié collé de la série qui marche bien de l'autre coté. Et bien.... pas tout à fait. Si on retrouve le coté animaux, séparation entre les races avec des tensions palpables entre chaque, cette série ci ajoute le facteur humain, au sens premier du terme.Et ce facteur humain ajoute un coté mythologique en poussant vers une histoire commune entre humains et animaux. De plus Vatine et Dobbs orientent leur recit vers une quête initiatique plus que vers des magouilles politiques et un conflit ouvert. La ressemblance est donc purement graphique et l'album "inversé" (des clans d'humains avec un animal parlant qui débarque) aurait peut etre paru plus original. La ou cette série ressemble aussi à 5 terres c'est sur la qualité graphique. Le travail de Cassegrain est sublime et ne souffre quasiment d'aucun défaut. En résumé un très bon premier tome qui aurait trusté le haut du panier s'il ne sortait en plein milieu de la grande série du concurerent Delcourt.
  19. Titre de l'album : Sa majeste des ours t1 Scenariste de l'album : Olivier Vatine / Dobbs Dessinateur de l'album : Didier Cassegrain Coloriste : Didier Cassegrain Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Au royaume des animaux, le pouvoir porte sa griffe... Depuis des temps immémoriaux, au royaume de Holmgaard, bêtes et animaux de tous poils vivent éloignés du monde des hommes. Ici, l’actuel souverain, le roi-ours Von Noord, y règne en seigneur éclairé. Mais cet équilibre est sur le point d’être rompu le jour où Ifrit, un jeune humain, est retrouvé échoué sur les côtes, affirmant revenir du royaume des morts. Serait-il l’annonciateur de l’antique prophétie qui prédit la chute du royaume des animaux ? Pour Von Noord, l’heure est grave, d’autant qu’il ignore que, dans son dos, d’autres sombres manigances sont à l’œuvre... Entre Blacksad et Game of Thrones, Sa Majesté des ours nous plonge dans un univers de fantasy léché et plus complexe qu’il n’y paraît où, derrière le masque de l'animal, se dessine le portrait d’une humanité sur le déclin. Une nouvelle saga anthropomorphique et audacieuse sublimée par la griffe de Dobbs, l’instinct d’Olivier Vatine et la patte de Didier Cassegrain. Critique : Heyy ils ont commencé le deuxième cycle de 5 terres en parallèle de la fin du premier !!!..... ah on me dit dans l'oreillette que non... ce n'est pas le cycle de 5 terres sur les ours mais bien un concurrent de chez Glenat.... ok.... Une fois cette mise au point faite j'ai ouvert de comme avec...un peu de mauvaises pensées je dois l'avouer. En effet décrit comme ca, cet album fait super copié collé de la série qui marche bien de l'autre coté. Et bien.... pas tout à fait. Si on retrouve le coté animaux, séparation entre les races avec des tensions palpables entre chaque, cette série ci ajoute le facteur humain, au sens premier du terme.Et ce facteur humain ajoute un coté mythologique en poussant vers une histoire commune entre humains et animaux. De plus Vatine et Dobbs orientent leur recit vers une quête initiatique plus que vers des magouilles politiques et un conflit ouvert. La ressemblance est donc purement graphique et l'album "inversé" (des clans d'humains avec un animal parlant qui débarque) aurait peut etre paru plus original. La ou cette série ressemble aussi à 5 terres c'est sur la qualité graphique. Le travail de Cassegrain est sublime et ne souffre quasiment d'aucun défaut. En résumé un très bon premier tome qui aurait trusté le haut du panier s'il ne sortait en plein milieu de la grande série du concurerent Delcourt. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sa-majeste-des-ours-tome-1-les-colonnes-de-garuda?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. poseidon2

    Tracnar et Faribol

    En voila un beau conte à l'ancienne. Un vrai conte avec son introduction, sa princesse, ses héros et sa conclusion ou tout rentre dans l'ordre des choses. Un conte qui pourrait paraitre pour un conte pour enfant mais qui ne l'est pas tant que cela. En effet Benoit Du Peloux soigne particulièrement son texte et nous livre un récit plus complexe, en terme de vocabulaire, qu'il ne pourrait sembler de prime abord. On a la un vrai travail d'écriture et de recherche de phrasé et de vocabulaire correspondant à l'époque de notre histoire. Ajouté à cela un style d'impression "ancien" à la limite de l'écriture manuelle et vous aurez un texte un peu compliqué à lire pour les enfants. Mais porté par un dessin très sympa et un personnage principal haut en couleurs, on tient quand même là une belle surprise qui sera très en temps que lecture du soir pour les plus petits.
  21. Titre de l'album : Tracnar et Faribol Scenariste de l'album : Benoit Du Peloux Dessinateur de l'album : Benoit Du Peloux Coloriste : Benoit Du Peloux Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : Une aventure animalière pleine d'action et de magie ! Il était une fois un roi dépressif. Il était une fois un roi dépressif qui s'était laissé séduire par une sorcière avide de pouvoir. Il était une fois deux petits malfrats, Tracnar et Faribol, voleurs de bas étage, roublards et peu scrupuleux, qui étaient loin d'imaginer que leurs chemins allaient croiser celui de la princesse Félicity, la fille unique du roi. Il était une fois une princesse dont l'âme était prisonnière de Perfidy, la sorcière. Il était une fois un conte dont Charles Perrault ou les frères Grimm auraient aimé écrire l'histoire et que l'on va vous conter. Critique : En voila un beau conte à l'ancienne. Un vrai conte avec son introduction, sa princesse, ses héros et sa conclusion ou tout rentre dans l'ordre des choses. Un conte qui pourrait paraitre pour un conte pour enfant mais qui ne l'est pas tant que cela. En effet Benoit Du Peloux soigne particulièrement son texte et nous livre un récit plus complexe, en terme de vocabulaire, qu'il ne pourrait sembler de prime abord. On a la un vrai travail d'écriture et de recherche de phrasé et de vocabulaire correspondant à l'époque de notre histoire. Ajouté à cela un style d'impression "ancien" à la limite de l'écriture manuelle et vous aurez un texte un peu compliqué à lire pour les enfants. Mais porté par un dessin très sympa et un personnage principal haut en couleurs, on tient quand même là une belle surprise qui sera très en temps que lecture du soir pour les plus petits. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tracnar-et-faribol-tome-1-180131?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. alx23

    La cage aux cons

    La cage aux cons est une adaptation en bande dessinée de l’œuvre de Franz Bartelt, Le Jardin du Bossu. Matthieu Angotti se charge du scénario pour le format bande dessinée, je ne connais pas le roman d’origine donc je ne pourrais pas comparer son adaptation. Le récit nous emmène dans une histoire très étrange dont il est impossible de deviner la fin avant de la lire. En effet, on suit le projet d’un cambrioleur peu malin qui va se retrouver l’otage de la personne qu’il voulait détrousser. L’idée de base est assez tordue pour nous passionner du sort du cambrioleur qui pensait s’en prendre à un con. Mais qui est vraiment le con de l’autre ? Les dialogues sont très bien pensés entre les deux personnages avec les réflexions du cambrioleur en parallèle. Pour la partie graphique, Robin Recht adopte un style très différent de sa dernière production Conan la fille du géant de gel. L’auteur nous livre une partition tout en noir et blanc avec des décors très réaliste et des personnages caricaturés pour accentuer leur défaut. Le rendu final est de qualité et il faut voir la tenue du cambrioleur avec les poils sur les bras. La cage aux cons est un récit policier surprenant pratiquement en huis-clos avec deux personnages principaux intriguant.
  23. alx23

    La cage aux cons

    Titre de l'album : La cage aux cons Scenariste de l'album : Matthieu Angotti Dessinateur de l'album : Robin Recht Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : C'est l'histoire d'une petite frappe que l'amour de sa vie a foutu à la porte. S'il veut revenir à la maison, ce sera les poches pleines de pognon. Réfugié au bistrot, il repère un type ivre mort. Un vrai con qui se vante d'avoir des millions dans son salon. Il décide de le cambrioler. Mais quand il plonge ses mains dans l'oseille, celles du con se referment sur un flingue. Le voilà séquestré chez un grand bourgeois, beau prince et beau parleur. Fuir ou lui faire la peau ? Telle est sa question. Critique : La cage aux cons est une adaptation en bande dessinée de l’œuvre de Franz Bartelt, Le Jardin du Bossu. Matthieu Angotti se charge du scénario pour le format bande dessinée, je ne connais pas le roman d’origine donc je ne pourrais pas comparer son adaptation. Le récit nous emmène dans une histoire très étrange dont il est impossible de deviner la fin avant de la lire. En effet, on suit le projet d’un cambrioleur peu malin qui va se retrouver l’otage de la personne qu’il voulait détrousser. L’idée de base est assez tordue pour nous passionner du sort du cambrioleur qui pensait s’en prendre à un con. Mais qui est vraiment le con de l’autre ? Les dialogues sont très bien pensés entre les deux personnages avec les réflexions du cambrioleur en parallèle. Pour la partie graphique, Robin Recht adopte un style très différent de sa dernière production Conan la fille du géant de gel. L’auteur nous livre une partition tout en noir et blanc avec des décors très réaliste et des personnages caricaturés pour accentuer leur défaut. Le rendu final est de qualité et il faut voir la tenue du cambrioleur avec les poils sur les bras. La cage aux cons est un récit policier surprenant pratiquement en huis-clos avec deux personnages principaux intriguant. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-cage-aux-cons?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. poseidon2

    Ellis Island t1

    C'est bien ce genre de travail historique. C'est bien car cela permet de mettre des guillemets autour de certaines parties de l'histoire oubliées ou "effacées». Et c'est un peu le cas d'Ellis Island que tout le monde considère comme la porte d'entrée à l’univers magiques des états unis du début du XXieme siècle. Mais en lisant cet Ellis Island, on se rend compte que cette porte d'entrée n'était ouverte qu'a un certains nombres de gens, en particulier ceux qui étaient en bonne santé mais surtout... riches. Pour les autres, seule la débrouille permettait d'éviter de prendre le bateau dans l'autre sens. Porté par de superbes dessins et une sublime mise en couleur de la part de Miras, cet Ellis Island se trouve être aussi informatif sur le véritable Ellis Island que prenant par l'aspect mafia/débrouille mis en avant par Philippe Charlot. En effet en plus de l'aspect immigration, l'aspect "régulation de la population" de la part des différentes mafias rajoutent un coté thriller à cet album qui n'est pas déplaisant. Ellis Island est donc une BD classique et efficace sur un thème intéressant.
  25. poseidon2

    Ellis Island t1

    Titre de l'album : Ellis Island t1 Scenariste de l'album : Philippe Charlot Dessinateur de l'album : Miras Coloriste : Miras Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : « Tu y débarques un Italien, un Allemand, un Irlandais, un Juif, un Russe et il en sort un Américain...! ». Ellis Island est la porte d'entrée pour le rêve américain. Tonio y débarque en 1907, plein d'illusions. C'est en portant assistance à Guiseppe, un compagnon de voyage, qu'il est refoulé à cause de son handicap. Tonio se retrouve à la merci de Vitto, un avocat mafieux lui faisant miroiter un dossier d'appel qui pourrait autoriser son entrée sur le continent. Pour paiement, il servirait de rabatteur auprès des arrivants, proies faciles et désemparées. Le jeune homme, tenu par les attentes pleines d'espoirs des gens de son village et l'amour qu'il porte à Nadia, se résigne à accepter l'offre, malgré les réticences de Guiseppe... Critique : C'est bien ce genre de travail historique. C'est bien car cela permet de mettre des guillemets autour de certaines parties de l'histoire oubliées ou "effacées». Et c'est un peu le cas d'Ellis Island que tout le monde considère comme la porte d'entrée à l’univers magiques des états unis du début du XXieme siècle. Mais en lisant cet Ellis Island, on se rend compte que cette porte d'entrée n'était ouverte qu'a un certains nombres de gens, en particulier ceux qui étaient en bonne santé mais surtout... riches. Pour les autres, seule la débrouille permettait d'éviter de prendre le bateau dans l'autre sens. Porté par de superbes dessins et une sublime mise en couleur de la part de Miras, cet Ellis Island se trouve être aussi informatif sur le véritable Ellis Island que prenant par l'aspect mafia/débrouille mis en avant par Philippe Charlot. En effet en plus de l'aspect immigration, l'aspect "régulation de la population" de la part des différentes mafias rajoutent un coté thriller à cet album qui n'est pas déplaisant. Ellis Island est donc une BD classique et efficace sur un thème intéressant. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ellis-island-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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