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  1. Titre de l'album : Les futurs de Liu Cixin - Le calcul du papillon Scenariste de l'album : Dan Panosian Dessinateur de l'album : Dan Panosian Coloriste : Dan Panosian Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Belgrade sous les bombes. L'organisme de la petite Katya rejette sa récente greffe de rein. Son père, Alexsander, cherche un supercalculateur pour déterminer les coordonnées terrestres exactes d'où provoquer la formation d'un épais brouillard. Pour donner le répit nécessaire au rétablissement de sa fille, pour sauver leurs vies... Les premières coordonnées indiquent le désert malien... Critique : Les adaptations en bande dessinée des romans et nouvelles de Liu Cixin se poursuivent à un rythme soutenu depuis le début. Cette nouvelle adaptation est réalisée entièrement par Dan Panosian à qui l'on doit les excellentes séries John Tiffany et Slots. J'attendais donc de pouvoir lire le calcul du papillon sans connaitre le récit d'origine. Après avoir lu plusieurs d'adaptations de Liu Cixin, je commence à avoir une vision globale des problématiques que Cixin met souvent en avant. Le calcul du papillon est un récit d'anticipation et Sf avec un personnage central qui essaie par tous les moyens et techniques scientifiques d'apaiser les tensions ainsi que la guerre dans son pays en modifiant le climat. On suit donc cette personne aux quatre coins du monde dans des actions assez énigmatiques car les explications sont complexes ou alors je suis passé à côté. La partie graphique est l'atout majeur de ce titre, Dan Panosian est dessinateur talentueux si l'on apprécie son style comics. Les fans de Liu Cixin trouveront leur compte avec cette adaptation, après il n'est pas nécessaire de bien comprendre les explications scientifiques pour comprendre, même si la fin est étrange. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-futurs-de-liu-cixin-le-calcul-du-papillon/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. poseidon2

    Les fusibles

    "Les fusibles" est le genre de BD qui me fait continuer à aimer découvrir des nouveautés. En effet, que ce soit le titre ou la couverture, il est impossible de se faire une vraie idée du contenu de cette bd avant même de la lire. Je dirais même plus : il est impossible de se faire une idée du talent de nos auteurs avant d'avoir terminé la lecture et compris ces pages en couleurs mais shhhuuuttttt la surprise est suffisamment émouvante pour être gardée. Les fusibles, c'est une histoire émouvante. Une histoire de vie, mais surtout une histoire de choix. Une vie et une adolescence passée dans un pays en perpétuel désordre et mouvement. Un pays que beaucoup aiment, mais dont certains font une overdose. L'histoire de ces adolescents est vraiment bien pensée. Le parallèle avec la vie des adultes est un très bon choix, car il amplifie notre envie de savoir ce qui comble le trou entre des ado "innocents" et inséparable et ces adultes que la vie a....séparé. Une histoire de vie, une histoire d'un pays mais surtout une belle histoire
  3. poseidon2

    Les fusibles

    Titre de l'album : Les fusibles Scenariste de l'album : Joseph Safieddine Dessinateur de l'album : Cyril Doisneau Coloriste : Cyril Doisneau Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Dans une métropole anonyme d'un pays fragilisé, trois enfants jouent à " sauver la ville ". Trente ans plus tard, Abel a fui le pays, s'est reconstruit ailleurs et élève seul sa fille, Billie, la tenant loin de ses origines. Lorsque Georges, son ami de toujours, lui rend visite, il convainc Abel de rentrer pour accompagner les derniers jours de son père, malade. Sur place, ils retrouvent ce quotidien chaotique qui a éloigné Abel de ses racines autant qu'il a enchaîné Georges à sa terre. Un récit en quatre temps qui offre une réflexion sur l'identité, le déracinement et la transmission. Les Fusibles est le titre le plus personnel de Joseph Safieddine. Il y livre ses interrogations de fils d'immigré à la double nationalité. Cyril Doisneau ose un style plus moderne, plus contrasté. Critique : "Les fusibles" est le genre de BD qui me fait continuer à aimer découvrir des nouveautés. En effet, que ce soit le titre ou la couverture, il est impossible de se faire une vraie idée du contenu de cette bd avant même de la lire. Je dirais même plus : il est impossible de se faire une idée du talent de nos auteurs avant d'avoir terminé la lecture et compris ces pages en couleurs mais shhhuuuttttt la surprise est suffisamment émouvante pour être gardée. Les fusibles, c'est une histoire émouvante. Une histoire de vie, mais surtout une histoire de choix. Une vie et une adolescence passée dans un pays en perpétuel désordre et mouvement. Un pays que beaucoup aiment, mais dont certains font une overdose. L'histoire de ces adolescents est vraiment bien pensée. Le parallèle avec la vie des adultes est un très bon choix, car il amplifie notre envie de savoir ce qui comble le trou entre des ado "innocents" et inséparable et ces adultes que la vie a....séparé. Une histoire de vie, une histoire d'un pays mais surtout une belle histoire Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-fusibles?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. poseidon2

    Judee Sill

    Nouvel album de Canales avec un nouveau compère espagnol. Et nouvel album surprenant. Au vu de la couverture, j'avais vraiment imaginé une histoire délurée au possible alors qu'en fait pas du tout. L'histoire de Judee Sill est plus triste que délurée. Triste car subissant complètement son époque en passant par toutes les étapes des chanteurs des années 60 : les drogues diverses aussi bien que le succès éphémère. Une histoire au final bien triste d'une artiste inconnue sublimement mis en couleur par Alonso Iglesias. Une artiste à découvrir tout comme un duo d'auteur qu'on a envie de revoir travailler ensemble
  5. poseidon2

    Judee Sill

    Titre de l'album : Judee Sill Scenariste de l'album : Juan Díaz Canalès Dessinateur de l'album : Jesús Alonso Coloriste : Jesús Alonso Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : 1979. North Hollywood. Deux policiers découvrent une junkie décédée dans son appartement. Une affaire sordide de plus ? Non. Car la victime est une certaine Judee Sill, étoile filante de la Folk qui connut une brève heure de gloire seventies avant de mystérieusement disparaître dans la nuit de l'anonymat... Enfant révoltée, délinquante récidiviste, droguée et prostituée notoire : Judee fut tout cela et pire parfois. Mais elle fut surtout une musicienne touchée par la grâce, dont le timbre et la personnalité marquèrent de leur doux fer ceux qui l'entendirent et la côtoyèrent. C'est ce destin dramatique, romanesque et musical que vous invitent à remonter Juan Díaz Canales (Blacksad, Corto Maltese) et Jesus Alonso Iglesias, au gré d'un scénario rythmé comme une partition, servi par un dessin restituant comme jamais les années 70 et s'autorisant parfois de sidérantes envolées psychédéliques. Critique : Nouvel album de Canales avec un nouveau compère espagnol. Et nouvel album surprenant. Au vu de la couverture, j'avais vraiment imaginé une histoire délurée au possible alors qu'en fait pas du tout. L'histoire de Judee Sill est plus triste que délurée. Triste car subissant complètement son époque en passant par toutes les étapes des chanteurs des années 60 : les drogues diverses aussi bien que le succès éphémère. Une histoire au final bien triste d'une artiste inconnue sublimement mis en couleur par Alonso Iglesias. Une artiste à découvrir tout comme un duo d'auteur qu'on a envie de revoir travailler ensemble Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/judee-sill?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. poseidon2

    Marécage t1 : Sombra

    Messire Gorn, vous êtes de retour ? C'est l'impression que j'ai eu en lisant le début de ce Marécage. Un vrai parfum de Gorn de Tiburce Oger. Et c'est pour moi un beau compliment 😉 Graphiquement déjà Antonio Zurera nous livre un dessin que l'on a pas vu depuis un petit moment. Des dessins chargés et détaillés, des couleurs vives, des personnages travaillés, parfois à l'excès, le tout sur un univers fantastique très dense passant de ville médiéval à... des marécages. Et c'est aussi cette ambiance médiévale-fantastique qui m'a fait penser à Gorn. Cet esprit de chevalerie, mais aussi de trahison et complot propre à cette époque, est un vrai point commun entre les deux. Le point commun s'arrêtera là par contre, car l'histoire est radicalement différente. Le premier tome de ce diptyque nous livre une histoire de complot médiéval pure, fait de trahison, de faux semblants, d'alliance et de pouvoirs. Un mélange porté par une héroïne mystérieuse au caractère bien trempé ! Une histoire qui ravira les fans de pur fantastique.
  7. Titre de l'album : Marécage t1 : Sombra Scenariste de l'album : Antonio Zurera Dessinateur de l'album : Antonio Zurera Coloriste : Hiroyuki Ooshima Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Le Marécage. Un territoire maudit, aux contours indéfinis, peuplé d'étranges créatures. Un territoire dangereusement inhospitalier, où l'on n'envoie que les pires criminels. Mais un territoire où Ariston Bergère, capitaine de la Garde du Palais royal de Palantia, va dissimuler Ysaut, bébé héritier du trône au centre de trop de complots. Une mission courageuse et louable. Mais qui va très vite mal tourner. Car la princesse mourra... À moins qu'il ne se trouve un moyen de garder vivant son nom... De quoi pousser ses nombreux ennemis à sortir de l'ombre pour une terrible traque, dans laquelle sera prise une mystérieuse aventurière masquée : Sombra... Quand un maître du design et du dessin animé compose un univers de fantasy animalière convoquant la puissance du Loisel de La Quête de l'oiseau du temps, il est recommandé de bien s'accrocher à son fauteuil avant toute lecture... Attention : choc graphique ! Critique : Messire Gorn, vous êtes de retour ? C'est l'impression que j'ai eu en lisant le début de ce Marécage. Un vrai parfum de Gorn de Tiburce Oger. Et c'est pour moi un beau compliment 😉 Graphiquement déjà Antonio Zurera nous livre un dessin que l'on a pas vu depuis un petit moment. Des dessins chargés et détaillés, des couleurs vives, des personnages travaillés, parfois à l'excès, le tout sur un univers fantastique très dense passant de ville médiéval à... des marécages. Et c'est aussi cette ambiance médiévale-fantastique qui m'a fait penser à Gorn. Cet esprit de chevalerie, mais aussi de trahison et complot propre à cette époque, est un vrai point commun entre les deux. Le point commun s'arrêtera là par contre, car l'histoire est radicalement différente. Le premier tome de ce diptyque nous livre une histoire de complot médiéval pure, fait de trahison, de faux semblants, d'alliance et de pouvoirs. Un mélange porté par une héroïne mystérieuse au caractère bien trempé ! Une histoire qui ravira les fans de pur fantastique. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/marecage-tome-1-sombra?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Tony, l'enfant des rivières retrace le parcours incroyable de Tony Estanguet le triple champion du monde de canoë monoplace et trois fois médaillé à des Jeux Olympiques. La scénariste Elsa Krim nous fait revivre les moments forts et importants durant les compétitions en championnat du monde ou aux jeux olympiques de Tony Estanguet. On peut suivre cette rivalité avec le slovaque Michal Martikán, un adversaire de taille pour Estanguet . En parallèle, on suit la vie d'Estanguet, son entrainement, comment trouver il doit gérer avec les sponsors et aussi sa vie avec sa famille très portée sur le sport. Les dessins de Fred Campoy sont de qualité dans un style réaliste pour mieux convenir au genre autobiographique. L'album se finit avec un cahier souvenir de la famille avec des textes et photos. Tony, l'enfant des rivières est un très diptyque sportif sur le dépassement et la compétition pour les sportifs de haut niveau.
  9. Titre de l'album : Tony - L'enfant des rivières tome 2 Scenariste de l'album : Elsa Krim Dessinateur de l'album : Fred Campoy Coloriste : Cyril Vincent Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Après avoir gagné sa première médaille d'or aux JO de Sidney en 2000, Tony est devenu un personnage important et médiatique. Mais sur la route du jeune athlète, les obstacles sont nombreux et la désillusion guette. C'est une véritable odyssée humaine et sportive qui se développe durant 12 ans, jusqu'à la gloire d'un troisième titre olympique, dessinant également une extraordinaire leçon de vie. Critique : Tony, l'enfant des rivières retrace le parcours incroyable de Tony Estanguet le triple champion du monde de canoë monoplace et trois fois médaillé à des Jeux Olympiques. La scénariste Elsa Krim nous fait revivre les moments forts et importants durant les compétitions en championnat du monde ou aux jeux olympiques de Tony Estanguet. On peut suivre cette rivalité avec le slovaque Michal Martikán, un adversaire de taille pour Estanguet . En parallèle, on suit la vie d'Estanguet, son entrainement, comment trouver il doit gérer avec les sponsors et aussi sa vie avec sa famille très portée sur le sport. Les dessins de Fred Campoy sont de qualité dans un style réaliste pour mieux convenir au genre autobiographique. L'album se finit avec un cahier souvenir de la famille avec des textes et photos. Tony, l'enfant des rivières est un très diptyque sportif sur le dépassement et la compétition pour les sportifs de haut niveau. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tony-l-enfant-des-rivieres-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. De nombreuses villes de France son passées à la loupe des éditions Petitàpetit , dont Paris , Marseille , Saint-Malo , et même des villes étrangères mais néanmoins frontalières , telles que Genève et Bruxelles . Il s'agit donc d'un réel succès pour cette "petite" maison d'édition qui ne cesse de monter ! Ici , nous abordons Montpellier et sa riche histoire débutée à la Préhistoire avec la venue des premiers hommes dans cette région . Relatée en 9 chapitres illustrés par des artistes différents , la trame historique croissante est supervisée par Dobbs qui s'appuie sur de nombreuses recherches et a bénéficié de l'aide de Béatrice Merdrignac pour la documentation riche proposée dans ces 80 pages . Tout commence donc avec la venue de l'homme de Néandertal , puis nous remontons le temps progressivement , chapitre par chapitre , en passant entre autres par la légende de la vierge noire ,les pogroms perpétrés , la peste noire , Jacques Coeur le grand commerçant et pour clôturer , les facéties de Rabelais et Nostradamus au sein de la plus vieille faculté de médecine du monde et encore en activité (et oui elle est à Montpellier) . Chacune des histoires dessinées est suivie d' une double page riche en photos et autres archives qui complètent et expliquent le fait historique proposé . C'est une méthode bien connue de la maison d'édition car elle utilise le même procédé sur les Docu-bd . Je dois avouer que c'est assez efficace et surtout , cela atténue l'impression mitigée sur la qualité des dessins rencontrés . Mais on ne lit pas ce genre de BD pour l'aspect graphique , soyons bien clair 🙂 ! Il s'agit plus d'apprendre et mieux connaître sa ville de prédilection . Si vous souhaitez découvrir l'étymologie de Montpellier , plongez-vous dans cette lecture passionnante , je vous laisse , j'ai le tome 2 à lire 😉
  11. Titre de l'album : Montpellier en BD tome 1 - De la Préhistoire à Rabelais Scenariste de l'album : Dobbs Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Petit à petit Note : Résumé de l'album : À travers une fiction passionnante, découvrez le premier tome de l’histoire de Montpellier. Si la région est peuplée depuis l’aube de l’humanité, la ville, cosmopolite dès son origine, naît officiellement en 985 : la dynastie des Guilhem, puis le lignage aragonais la feront rayonner et devenir un centre du savoir que fréquenteront des gens aussi connus que Rabelais ou Nostradamus. S’appuyant sur des faits avérés, des personnages réels, des reconstitutions de lieux et des archives historiques, les différents chapitres évoquent l’histoire d’une cité au destin épique. Les événements qui ont marqué les Montpelliérains, par leur caractère légendaire, fédérateur ou emblématique, ont été soigneusement choisis et scénarisés. Ils s’accompagnent d’une documentation riche et précise. Critique : De nombreuses villes de France son passées à la loupe des éditions Petitàpetit , dont Paris , Marseille , Saint-Malo , et même des villes étrangères mais néanmoins frontalières , telles que Genève et Bruxelles . Il s'agit donc d'un réel succès pour cette "petite" maison d'édition qui ne cesse de monter ! Ici , nous abordons Montpellier et sa riche histoire débutée à la Préhistoire avec la venue des premiers hommes dans cette région . Relatée en 9 chapitres illustrés par des artistes différents , la trame historique croissante est supervisée par Dobbs qui s'appuie sur de nombreuses recherches et a bénéficié de l'aide de Béatrice Merdrignac pour la documentation riche proposée dans ces 80 pages . Tout commence donc avec la venue de l'homme de Néandertal , puis nous remontons le temps progressivement , chapitre par chapitre , en passant entre autres par la légende de la vierge noire ,les pogroms perpétrés , la peste noire , Jacques Coeur le grand commerçant et pour clôturer , les facéties de Rabelais et Nostradamus au sein de la plus vieille faculté de médecine du monde et encore en activité (et oui elle est à Montpellier) . Chacune des histoires dessinées est suivie d' une double page riche en photos et autres archives qui complètent et expliquent le fait historique proposé . C'est une méthode bien connue de la maison d'édition car elle utilise le même procédé sur les Docu-bd . Je dois avouer que c'est assez efficace et surtout , cela atténue l'impression mitigée sur la qualité des dessins rencontrés . Mais on ne lit pas ce genre de BD pour l'aspect graphique , soyons bien clair 🙂 ! Il s'agit plus d'apprendre et mieux connaître sa ville de prédilection . Si vous souhaitez découvrir l'étymologie de Montpellier , plongez-vous dans cette lecture passionnante , je vous laisse , j'ai le tome 2 à lire 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/montpellier-en-bd-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Stern fait partie de ces BDs étonnantes de constance. Les one shot de Stern s'enchainent et sont tous aussi bon les un que les autres. C'est en partie dû au personnage lui-même, toujours aussi flegmatique et semblant subir les événements plus qu'autre chose, mais sur aussi dû au travaille graphique de Julien Maffre qui ne fléchit pas au bout de 5 tomes et nous livre un dessin toujours de très haut niveau. Dans ce tome 5 notre personnage de Stern est encore plus poissard qu'à l'accoutumé. Au mauvais endroit, au mauvais moment... Ce qui rend ce tome 5 éminemment intéressant, c'est qu'il est, plus que dans les précédents, question de la moralité de Stern et de son refus de s'assoir dessus, peu importe ce que cela lui apporte. Ce tome 5 est aussi sympathique parce qu'il est le deuxième d'un cycle à la Nouvelle-Orléans. Qui dit cycle dit lien malin entre le tome précédent et celui ci, nous laissant imaginer un tome 6 de conclusion résultant des deux précédents. En bref, encore une belle aventure pour notre fossoyeur
  13. Titre de l'album : Stern t5 : une simple formalité Scenariste de l'album : Frédéric Maffre Dessinateur de l'album : Julien Maffre Coloriste : Julien Maffre Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Alors que Stern continue d'oeuvrer comme croque-mort à La Nouvelle-Orléans, il se retrouve malgré lui soupçonné d'avoir braqué une banque. Écroué en compagnie d'immigrés italien et menotté à un jeune voyou, Guido, Stern, contre son gré, parvient à s'échapper. S'engage alors une immense chasse à l'homme dans toute la ville en compagnie de Guido. Racisme, corruption policière et mafia forment le cocktail détonnant de ce 5e tome des aventures de Stern mené tambour battant ! Critique : Stern fait partie de ces BDs étonnantes de constance. Les one shot de Stern s'enchainent et sont tous aussi bon les un que les autres. C'est en partie dû au personnage lui-même, toujours aussi flegmatique et semblant subir les événements plus qu'autre chose, mais sur aussi dû au travaille graphique de Julien Maffre qui ne fléchit pas au bout de 5 tomes et nous livre un dessin toujours de très haut niveau. Dans ce tome 5 notre personnage de Stern est encore plus poissard qu'à l'accoutumé. Au mauvais endroit, au mauvais moment... Ce qui rend ce tome 5 éminemment intéressant, c'est qu'il est, plus que dans les précédents, question de la moralité de Stern et de son refus de s'assoir dessus, peu importe ce que cela lui apporte. Ce tome 5 est aussi sympathique parce qu'il est le deuxième d'un cycle à la Nouvelle-Orléans. Qui dit cycle dit lien malin entre le tome précédent et celui ci, nous laissant imaginer un tome 6 de conclusion résultant des deux précédents. En bref, encore une belle aventure pour notre fossoyeur Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/stern-tome-5/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. alx23

    La petite lumière

    J'ai souvent pu profiter du travail de dessinateur de Gregory Panaccione en collaboration avec des scénaristes comme sur Chronosquad ou un océan d'amour. Mais l'auteur réalise souvent en auteur complet des adaptations de romans comme sur La petite lumière d'Antonio Moresco. Ce roman graphique prend le temps de mettre en avant le besoin de solitude du personnage principal et son envie d'être éloigné de la société. Beaucoup de planches sont muettes mais les dessins se suffisent à eux-mêmes pour comprendre et être absorbé par l'histoire. On suit donc cette personne âgée recluse dans un hameau abandonné de la France rural. Il apprécie vivre éloigné de tous quand une petite lumière s'allume sur la montagne en face de chez lui. Dès lors, l'homme souhaite connaitre sa provenance et pourquoi quelqu’un habiterait dans montagne au milieu de la forêt. Je ne connaissais pas le roman ni l'auteur mais l'histoire m'a vraiment emmené avec beaucoup de tendresse dans ce récit. Je me suis beaucoup questionné avant de deviner la finalité certainement à cause de film dans le même registre ou utilisant les mêmes mécaniques. La petite lumière n’en reste pas moins une excellente lecture.
  15. alx23

    La petite lumière

    Titre de l'album : La petite lumière Scenariste de l'album : Gregory Panaccione Dessinateur de l'album : Gregory Panaccione Coloriste : Gregory Panaccione Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : "Je suis venu ici pour disparaître, dans ce hameau abandonné et désert dont je suis le seul habitant" . Le récit d'Antonio Moresco met en scène un homme vieillissant qui a décidé de s'extraire du monde. Mais chaque soir, une petite lumière perce sa solitude... Grégory Panaccione démontre une fois encore son étonnante capacité à exprimer graphiquement une écriture, la plus singulière soit-elle. Critique : J'ai souvent pu profiter du travail de dessinateur de Gregory Panaccione en collaboration avec des scénaristes comme sur Chronosquad ou un océan d'amour. Mais l'auteur réalise souvent en auteur complet des adaptations de romans comme sur La petite lumière d'Antonio Moresco. Ce roman graphique prend le temps de mettre en avant le besoin de solitude du personnage principal et son envie d'être éloigné de la société. Beaucoup de planches sont muettes mais les dessins se suffisent à eux-mêmes pour comprendre et être absorbé par l'histoire. On suit donc cette personne âgée recluse dans un hameau abandonné de la France rural. Il apprécie vivre éloigné de tous quand une petite lumière s'allume sur la montagne en face de chez lui. Dès lors, l'homme souhaite connaitre sa provenance et pourquoi quelqu’un habiterait dans montagne au milieu de la forêt. Je ne connaissais pas le roman ni l'auteur mais l'histoire m'a vraiment emmené avec beaucoup de tendresse dans ce récit. Je me suis beaucoup questionné avant de deviner la finalité certainement à cause de film dans le même registre ou utilisant les mêmes mécaniques. La petite lumière n’en reste pas moins une excellente lecture. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-petite-lumiere?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Titre de l'album : Carletti - Un voyageur moderne Scenariste de l'album : Giorgio Albertini Dessinateur de l'album : Giorgio Albertini Coloriste : Giorgio Albertini Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : Fin du XVIIe siècle. Le temps des grandes explorations, dominé par les Espagnols et les Portugais, bouleverse la carte du monde. Francesco Carletti, un jeune marchand italien fasciné par ces nouveaux horizons économiques, prend part à cette aventure. Il découvrira les splendeurs (nouvelles terres, peuples inconnus) et les misères (esclavage, destructions) qui posent les jalons d'une nouvelle ère, celle des Temps Modernes. Giorgio Albertini nous embarque dans une chronique passionnante, inspirée d'une histoire vraie, celle du premier marchand à effectuer le tour du monde. Critique : Après Chronosquad , Giorgio Albertini avait repris avec David B. la série Alix . Il interrompt les aventures du jeune romain avec cette fois un florentin du XVIIème siècle nommé Carletti . Cet inconnu pour la plupart (votre serviteur y compris) semble être un des premiers grands voyageurs commerçants du monde occidental . Un périple de plus de 10 ans avec un tour du monde entrepris et de multiples aventures sur les mers et océans de notre vaste monde ! La ligne claire de l'auteur italien fait des merveilles dans ce récit homérique . Il dépeint avec minutie les costumes et autres caravelles marchandes de l'époque . S'appuyant sur le livre de Francesco Carletti : Raisonnements de mon voyage autour du monde , il nous fait découvrir un monde où le royaume d'Espagne règne en maître , riche de ses conquêtes en Amérique du sud entre autres . Le royaume ibère est implanté de par les mers et océans , et impose ses règles en matière fiscale et diplomate . Le jeune commerçant , bien aidé par son père devra faire preuve d'une grande ingéniosité pour se sortir de situations complexes tout au long de ce périple . Des côtes africaines avec la traite négrière , à l'Amérique centrale puis du sud , les Philippines , la Chine, le Japon , cette extraordinaire odyssée nous est contée à travers ces 288 pages que l'on ne voit absolument pas défiler . L'auteur ménage le suspens avec une ellipse proposée d'emblée qui ne trouvera sa solution qu'en fin de récit . Il s'agit vraiment d'une lecture à recommander pour qui aime les grandes aventures et découvertes , on y apprend un tas de choses sur les us et coutumes des régions visitées . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/carletti/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Après Chronosquad , Giorgio Albertini avait repris avec David B. la série Alix . Il interrompt les aventures du jeune romain avec cette fois un florentin du XVIIème siècle nommé Carletti . Cet inconnu pour la plupart (votre serviteur y compris) semble être un des premiers grands voyageurs commerçants du monde occidental . Un périple de plus de 10 ans avec un tour du monde entrepris et de multiples aventures sur les mers et océans de notre vaste monde ! La ligne claire de l'auteur italien fait des merveilles dans ce récit homérique . Il dépeint avec minutie les costumes et autres caravelles marchandes de l'époque . S'appuyant sur le livre de Francesco Carletti : Raisonnements de mon voyage autour du monde , il nous fait découvrir un monde où le royaume d'Espagne règne en maître , riche de ses conquêtes en Amérique du sud entre autres . Le royaume ibère est implanté de par les mers et océans , et impose ses règles en matière fiscale et diplomate . Le jeune commerçant , bien aidé par son père devra faire preuve d'une grande ingéniosité pour se sortir de situations complexes tout au long de ce périple . Des côtes africaines avec la traite négrière , à l'Amérique centrale puis du sud , les Philippines , la Chine, le Japon , cette extraordinaire odyssée nous est contée à travers ces 288 pages que l'on ne voit absolument pas défiler . L'auteur ménage le suspens avec une ellipse proposée d'emblée qui ne trouvera sa solution qu'en fin de récit . Il s'agit vraiment d'une lecture à recommander pour qui aime les grandes aventures et découvertes , on y apprend un tas de choses sur les us et coutumes des régions visitées .
  18. The_PoP

    Jeremiah Johnson - Chapitre IV

    Avant dernier tome de cette biographie de Jeremiah Johnson, toujours marquée par sa guerre sanglante contre les Crows. On voit enfin le héros évoluer et une forme de réflexion sur les cycles infinis de sauvagerie et de violence pointer le bout de son nez. Au niveau dessin, je suis toujours un peu désappointé par cette série car si certaines planches m'ont beaucoup plu, j'ai eu du mal sur d'autres, notamment sur les visages et certains fonds/décors. Le tome 5 viendra clôturer cette série et la vie remarquable de Jeremiah Johnson qui nous aura permis de nous immerger dans la vie des trappeurs de la conquête de l'Ouest mais pour laquelle j'ai eu du mal à me passionner, le point de vue sur Jeremiah suscitant pour le personnage peu d'empathie jusqu'ici et le traitement graphique étant un peu inégal.
  19. Titre de l'album : Jeremiah Johnson - Chapitre IV Scenariste de l'album : Fred Duval & Jean Pierre Pecau Dessinateur de l'album : Jack Jadson Coloriste : Nuria Sayago Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Après la mort de femme folle, Jeremiah réunit une bande de trappeurs sanguinaires pour se venger de ses assassins. Les bandidos vont écumer la plaine sans faire de prisonniers, collectionnant les scalps dans un déchaînement de violence. Critique : Avant dernier tome de cette biographie de Jeremiah Johnson, toujours marquée par sa guerre sanglante contre les Crows. On voit enfin le héros évoluer et une forme de réflexion sur les cycles infinis de sauvagerie et de violence pointer le bout de son nez. Au niveau dessin, je suis toujours un peu désappointé par cette série car si certaines planches m'ont beaucoup plu, j'ai eu du mal sur d'autres, notamment sur les visages et certains fonds/décors. Le tome 5 viendra clôturer cette série et la vie remarquable de Jeremiah Johnson qui nous aura permis de nous immerger dans la vie des trappeurs de la conquête de l'Ouest mais pour laquelle j'ai eu du mal à me passionner, le point de vue sur Jeremiah suscitant pour le personnage peu d'empathie jusqu'ici et le traitement graphique étant un peu inégal. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jeremiah-johnson-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. The_PoP

    Elles - Tome 3 - Plurielle(s)

    Allez hop voici déjà la conclusion de cette très réussie trilogie dessinée par Aveline Stockart et scénarisée par Kid Toussaint. L'histoire arrive à sa conclusion de manière très fluide, entre quotidien du lycée, questionnements sur l'identité d'Elle, et échanges entre les différentes personnalité d'Elles. C'est toujours aussi facile et lumineux, le scénario étant servi à merveille par le dessin tellement proche de l'animation que les pages sont presque en mouvement. On se régale, l'aventure se dévore, et si on aurait aimé peut être un peu plus de contenu, je trouve que ce tome 3 termine très bien cette trilogie que j'attends de pouvoir faire lire à ma fille. Intelligent dans le propos, nuancé, apportant son lot de réflexion Elles est à mettre dans les mains de la jeunesse !!! Seul bémol donc, il manque je trouve quelques pages à ce petit format.
  21. Titre de l'album : Elles - Tome 3 - Plurielle(s) Scenariste de l'album : Kid Toussaint Dessinateur de l'album : Aveline Stokart Coloriste : Aveline Stokart Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : La révélation du mystère de ses origines a permis à Elle de reprendre le contrôle de sa vie. Mais tout ne va pas pour autant... En surface, la lycéenne tente de résoudre ses contradictions. À l'intérieur, ses personnalités multiples tentent de percer le mystère de cette voix qui leur parle. Et dans les deux cas, il semblerait que Bleue ait des réponses, ou au moins des pistes. L'heure semble donc à la réconciliation ? Enfin... « Toutes pour une », d'accord... mais laquelle ?! Critique : Allez hop voici déjà la conclusion de cette très réussie trilogie dessinée par Aveline Stockart et scénarisée par Kid Toussaint. L'histoire arrive à sa conclusion de manière très fluide, entre quotidien du lycée, questionnements sur l'identité d'Elle, et échanges entre les différentes personnalité d'Elles. C'est toujours aussi facile et lumineux, le scénario étant servi à merveille par le dessin tellement proche de l'animation que les pages sont presque en mouvement. On se régale, l'aventure se dévore, et si on aurait aimé peut être un peu plus de contenu, je trouve que ce tome 3 termine très bien cette trilogie que j'attends de pouvoir faire lire à ma fille. Intelligent dans le propos, nuancé, apportant son lot de réflexion Elles est à mettre dans les mains de la jeunesse !!! Seul bémol donc, il manque je trouve quelques pages à ce petit format. Autres infos : Petit format Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/elles-tome-3-plurielle-s?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. En voilà une excellente surprise ! Sortie de nulle part, le début de l'aventure de Rosamée avait déjà été surprenant et intrigant avec un univers complètement nouveau, mais pour autant bien . Mais ce tome 2 alors ! Il dépasse toutes mes attentes ! l'histoire est superbement menée, pleine de surprises sans être compliquée et avec une Rosamée plus charismatique que jamais. C'est bien dessiné, c'est prenant, émouvant et donne furieusement envie de lire la suite. Dure d'en d'en dire plus sans ne rien vous révéler tellement ce tome deux est dense. Une série fantastique pour enfant comme on aimerait en lire plus souvent ! Encore !
  23. Titre de l'album : Rosamée tome 2 - Le château de l'ombre Scenariste de l'album : Ingrid Chabbert Dessinateur de l'album : Berry Coloriste : Berry Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Après avoir désobéit à ses parents et rejoint l'île interdite pour sauver son ami oiseau, Gaspy, Rosamée se retrouve prise au piège d'un aussi beau qu'inquiétant château qui semble renfermer bien des secrets sur son histoire familiale... D'un tempérament de feu et d'un grand courage, Rosamée va parcourir les dangereux dédales du lieu à la recherche de réponses et de son compagnon. Critique : En voilà une excellente surprise ! Sortie de nulle part, le début de l'aventure de Rosamée avait déjà été surprenant et intrigant avec un univers complètement nouveau, mais pour autant bien . Mais ce tome 2 alors ! Il dépasse toutes mes attentes ! l'histoire est superbement menée, pleine de surprises sans être compliquée et avec une Rosamée plus charismatique que jamais. C'est bien dessiné, c'est prenant, émouvant et donne furieusement envie de lire la suite. Dure d'en d'en dire plus sans ne rien vous révéler tellement ce tome deux est dense. Une série fantastique pour enfant comme on aimerait en lire plus souvent ! Encore ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rosamee-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Kevin Nivek

    L'herbe du diable

    La ligne claire de Claire Martin (vous m'excuserez la répétition:) ) nous avait déjà enthousiasmé avec Le baron perché (critique en annexe) salué par la presse , elle réitère ici ses talents dans cet album qui se veut historique , mais qui emprunte aussi de faux accents de polars . Dans une ville de Cologne du XVIIème siècle , victime des effets de la Guerre de 30 ans et d'un clergé aux ramifications puissantes ; Garance dispense ses bons soins de sage-femme . On y découvre le rôle très important que tenaient ses professionnelles et les difficultés auxquelles elles pouvaient être confrontées . C'est le cas ici avec la grossesse d'une membre de la noblesse locale , qui va bouleverser l'ordre établi et plonger Garance dans une remise en question de sa foi . Ajoutez à cela le passé obscur de notre héroïne des temps modernes et vous aurez un scénario aux ramifications légèrement complexes , mais qui vont trouver tous les éclaircissements dans un final haletant avec procès et trahisons au menu ! Il faut vraiment souligner le travail des deux auteurs sur cet opus car le dessin et le scénario se mettent au diapason pour nous offrir un album de qualité , adapté à plusieurs niveaux de lecture ( 7 à 77 ans comme la chanson) . Les planches sont lumineuses avec une multitude de détails , des visages expressifs , ainsi que des jeux d'ombres saisissants . Quand au scénario qui est une première pour Benjamin Laurent , il est sans faute , et se permet le luxe de nous apprendre une multitudes de faits historiques . Des pages annexes en fin d'album ajoutent des précisions sur le contexte historique ainsi que sur le métier de sage-femmes à l'époque . Un joli travail éditorial sur un sujet peu commun !
  25. Titre de l'album : L'herbe du diable Scenariste de l'album : Benjamin Laurent Dessinateur de l'album : Claire Martin Coloriste : Claire Martin Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Le nouvel album de Claire Martin ! 1630, Saint-Empire Garmanique. En Europe, la guerre de trente ans fait rage, laissant derrière elle son cortège de famines, d'épidémies et de morts. Cologne est en proie à la pauvreté, et son prince-évêque, Ferdinand de Bavière, règne en maître. il s'est donné pour mission d'éradiquer les sorcières de la ville. tandis que les bûchers illuminent le ciel, Garance, une sage-femme réputée, mène une vie paisible. Sa rencontre avec Elsa, une jeune femme issue de la noblesse, va bouleverser son existence. Confrontée à un dilemme moral, elle devra choisir entre ses valeurs religieuses et sa compassion pour les femmes qui traversent des situations difficiles. un choix lourd de conséquences dans une société où l'inquisition, en guerre contre la sorcellerie, exerce sa justice impitoyable et irrationnelle. La solidarité leur permettra-t-elle d'échapper à un destin funeste ? Critique : La ligne claire de Claire Martin (vous m'excuserez la répétition:) ) nous avait déjà enthousiasmé avec Le baron perché (critique en annexe) salué par la presse , elle réitère ici ses talents dans cet album qui se veut historique , mais qui emprunte aussi de faux accents de polars . Dans une ville de Cologne du XVIIème siècle , victime des effets de la Guerre de 30 ans et d'un clergé aux ramifications puissantes ; Garance dispense ses bons soins de sage-femme . On y découvre le rôle très important que tenaient ses professionnelles et les difficultés auxquelles elles pouvaient être confrontées . C'est le cas ici avec la grossesse d'une membre de la noblesse locale , qui va bouleverser l'ordre établi et plonger Garance dans une remise en question de sa foi . Ajoutez à cela le passé obscur de notre héroïne des temps modernes et vous aurez un scénario aux ramifications légèrement complexes , mais qui vont trouver tous les éclaircissements dans un final haletant avec procès et trahisons au menu ! Il faut vraiment souligner le travail des deux auteurs sur cet opus car le dessin et le scénario se mettent au diapason pour nous offrir un album de qualité , adapté à plusieurs niveaux de lecture ( 7 à 77 ans comme la chanson) . Les planches sont lumineuses avec une multitude de détails , des visages expressifs , ainsi que des jeux d'ombres saisissants . Quand au scénario qui est une première pour Benjamin Laurent , il est sans faute , et se permet le luxe de nous apprendre une multitudes de faits historiques . Des pages annexes en fin d'album ajoutent des précisions sur le contexte historique ainsi que sur le métier de sage-femmes à l'époque . Un joli travail éditorial sur un sujet peu commun ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-herbe-du-diable/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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