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  1. Titre de l'album : L'agence Pendergast tome 1 : le prince des ténèbres Scenariste de l'album : Christophe Lambert & Florent Sacré Dessinateur de l'album : Javier Casado Coloriste : Hélia Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Des monstres menacent la ville ? Une solution : l'Agence Pendergast ! New York, 1893. Sean Donovan est un jeune voleur des rues, il connaît la ville par coeur. Sa vie bascule le jour où il est recruté par la mystérieuse Agence Pendergast. Situés au pied de la Statue de la Liberté, ses super-agents ont pour mission d'intercepter les créatures paranormales qui arrivent à New York dans le flots des migrants. Critique : Cette nouvelle série l'agence Pendergast est l’adaptation de bande dessinée des romans de Christophe Lambert et Florent Sacré. Ce premier tome reprend l’intrigue du premier album et pose les bases avec le recrutement d'un enfant des rues pour rejoindre l'équipe de l'agence Pendergast. Ces derniers gèrent l'immigration des personnes spéciales dont les vampires, loups-garous et tous les autres montres de ce genre. Le public visé est jeune donc la partie fantastique est acceptable sans le côté horrifique avec toujours beaucoup d’humour. Il y a beaucoup d'action dans ce tome avec une équipe composée de membres aux aptitudes particulières pour combattre les monstres. La partie graphique est de qualité pour mettre en image ce récit fantastique. Les jeunes lecteurs pourront retrouver leur héros en version bande dessinée de leur livre ou découvrir cette série accrocheuse. Autres infos : Editions : Auzou Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-agence-pendergast/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. The_PoP

    Issunboshi - Le petit Samouraï

    Bon les éditeurs parlent de roman graphique... mais dur de catégoriser ce petit ovni que constitue Issunboshi tant il emprunte de la bd, du manga et du comics. Quoiqu'il en soit c'est une très belle réussite pour cet auteur qui nous vient d'Hawaï et qui a fait ses armes dans le monde du cinéma d'animation. Et cela se voit, son Issunboshi est parfait dans les animations, les plans choisis, le découpage comme le nécessaire minimalisme demandé dans un one shot. On se régale, le résultat est très propre. Pour certains ce sera un peu trop lisse, mais j'y ai trouvé pour ma part un petit supplément d'âme. Seul regret pour ma part, son choix de ne pas coloriser son récit, je crois qu'on est passé à côté de quelques planches qui nous en auraient mis plein la vue avec un coloriste digne de ce nom. Tant pis. Pour le reste Issunboshi est une jolie aventure issue d'un conte populaire Japonais, dans un monde médiéval fantastique réussi. Les enjeux sont simples, les personnages aussi, mais on se plait pourtant à suivre cette aventure avec beaucoup d'intérêt. Je me suis régalé tout au long de ces 100 pages au format comics. Je ne peux que vous le recommander, c'est l'un de mes coups de coeur du moment et même si l'on peut trouver le conte assez simpliste voir manichéen, c'est juste réussi.
  3. Titre de l'album : Issunboshi - Le petit Samouraï Scenariste de l'album : Ryan Lang Dessinateur de l'album : Ryan Lang Coloriste : Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Dans un Japon féodal où le mythe et le folklore sont réels, un démon décide de reforger une arme ancienne très puissante pour conquérir le monde. La légende dit que seul un véritable guerrier sans peur pourra l'arrêter. Au même moment, sur une autre île, naît Issunboshi, un jeune garçon d'à peine quelques centimètres de haut. Malgré sa petite taille, il suit l'entrainement pour devenir samouraï. Et si c'était sur ses petites épaules que reposait le sort du monde ? Issunboshi, par les choix qu'il va faire, nous rappelle qu'on ne nait pas héros, on trouve le courage d'en devenir un. Critique : Bon les éditeurs parlent de roman graphique... mais dur de catégoriser ce petit ovni que constitue Issunboshi tant il emprunte de la bd, du manga et du comics. Quoiqu'il en soit c'est une très belle réussite pour cet auteur qui nous vient d'Hawaï et qui a fait ses armes dans le monde du cinéma d'animation. Et cela se voit, son Issunboshi est parfait dans les animations, les plans choisis, le découpage comme le nécessaire minimalisme demandé dans un one shot. On se régale, le résultat est très propre. Pour certains ce sera un peu trop lisse, mais j'y ai trouvé pour ma part un petit supplément d'âme. Seul regret pour ma part, son choix de ne pas coloriser son récit, je crois qu'on est passé à côté de quelques planches qui nous en auraient mis plein la vue avec un coloriste digne de ce nom. Tant pis. Pour le reste Issunboshi est une jolie aventure issue d'un conte populaire Japonais, dans un monde médiéval fantastique réussi. Les enjeux sont simples, les personnages aussi, mais on se plait pourtant à suivre cette aventure avec beaucoup d'intérêt. Je me suis régalé tout au long de ces 100 pages au format comics. Je ne peux que vous le recommander, c'est l'un de mes coups de coeur du moment et même si l'on peut trouver le conte assez simpliste voir manichéen, c'est juste réussi. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/issunboshi?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Avec l'ère des anges, le scénariste Sylvain Runberg signe sa deuxième adaptation des romans et nouvelles de Liu Cixin, ce romancier SF qui rencontre un énorme succès actuellement. Dans ce tome, on découvre un conflit proche de la réalité avec l'exploitation des ressources et richesses d'un pays africain par d'autres nations lourdement armées, avant de basculer dans la science-fiction. Liu Cixin propose souvent des récits très crédibles en se basant sur des notions possibles pour construire ses intrigues. Une fois de plus la science est au milieu de ce récit avec ce jeune prodige qui souhaite régler le problème de la famine dans le monde entier pour éviter aux plus démunis de souffrir. L'album est scindé en deux partie avec le démarrage pour introduire l'histoire avant de basculer sur la partie fiction dans des affrontements inévitables. La partie graphique de Ma Yi est parfaite, dans style originale et réaliste dans les limites du possible. On retrouve un panneau dépliable sur trois pages pour donner une vision panoramique d'une scène d'action qui fait maintenant partie de la marque de fabrique des adaptations de Liu Cixin en BD. Les amateurs de SF trouveront leur compte avec un dessin travaillé et ces adaptations permettent à de nouveaux lecteurs de découvrir cet auteur.
  5. Titre de l'album : Les futurs de Liu Cixin - L'ère des anges Scenariste de l'album : Sylvain Runberg Dessinateur de l'album : Ma Yi Coloriste : Ma Yi Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Un scientifique africain décide de reprendre le destin de son pays en main. Malgré leurs moyens financiers ou technologiques, les pays développés ne parviennent pas à sortir son pays de la famine. Les fabuleuses ressources de l'Afrique finissent toujours par pervertir l'aide étrangère. Le brillant Dr Ita veut s'affranchir d'un système devenu pernicieux, grâce à une solution génétique contestée. Critique : Avec l'ère des anges, le scénariste Sylvain Runberg signe sa deuxième adaptation des romans et nouvelles de Liu Cixin, ce romancier SF qui rencontre un énorme succès actuellement. Dans ce tome, on découvre un conflit proche de la réalité avec l'exploitation des ressources et richesses d'un pays africain par d'autres nations lourdement armées, avant de basculer dans la science-fiction. Liu Cixin propose souvent des récits très crédibles en se basant sur des notions possibles pour construire ses intrigues. Une fois de plus la science est au milieu de ce récit avec ce jeune prodige qui souhaite régler le problème de la famine dans le monde entier pour éviter aux plus démunis de souffrir. L'album est scindé en deux partie avec le démarrage pour introduire l'histoire avant de basculer sur la partie fiction dans des affrontements inévitables. La partie graphique de Ma Yi est parfaite, dans style originale et réaliste dans les limites du possible. On retrouve un panneau dépliable sur trois pages pour donner une vision panoramique d'une scène d'action qui fait maintenant partie de la marque de fabrique des adaptations de Liu Cixin en BD. Les amateurs de SF trouveront leur compte avec un dessin travaillé et ces adaptations permettent à de nouveaux lecteurs de découvrir cet auteur. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-futurs-de-liu-cixin-l-ere-des-anges/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. poseidon2

    Mes cop's t14 : Mes éco cop's

    Nouvel album de mes cops axés sur l'écologie et sur la vision des filles de 17-18 ans sur ce mot qui prend de plus en plus de place dans leur vie. Avec humour et une vraie réflexion sur la façon dont pensent les filles de cet âge-là, entre volonté de bien faire, mais envie des jeunes filles de ne pas se prendre la tête, Cazeneuve réussi encore une fois à nous divertir et à faire grandir ses personnages. Après autant de numéro, c'est toujours aussi impressionnant.
  7. Titre de l'album : Mes cop's t14 : Mes éco cop's Scenariste de l'album : Christophe Cazenove Dessinateur de l'album : Philippe Fenech Coloriste : Philippe Fenech Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : Copine marrante, râleuse ou fofolle... Quelle Cop's êtes-vous ?! Jess et ses Cop's ont décidé d'avoir Karine pour modèle. Elles vont essayer de prendre soin d'elles avec des produits et des aliments plus sains. Sauf que ce que fait Karine, comme cuisiner des steaks à la pelure de carotte, elle seule est capable de le faire. Quand une grève des éboueurs couplée à une tempête disperse les ordures de la ville aux quatre vents, les filles se transforment en sauveuses de l'environnement. Car avant de prendre soin de soi, le défi est surtout de prendre soin de la nature ! Critique : Nouvel album de mes cops axés sur l'écologie et sur la vision des filles de 17-18 ans sur ce mot qui prend de plus en plus de place dans leur vie. Avec humour et une vraie réflexion sur la façon dont pensent les filles de cet âge-là, entre volonté de bien faire, mais envie des jeunes filles de ne pas se prendre la tête, Cazeneuve réussi encore une fois à nous divertir et à faire grandir ses personnages. Après autant de numéro, c'est toujours aussi impressionnant. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mes-cop-s-tome-14?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Le second tome de Karolus Magnus ne parvient pas à répondre pour moi à cette question : pourquoi avoir choisi comme titre de cette série le personnage de Charlemagne alors qu'il est finalement un personnage assez secondaire de cette histoire. Karolus Magnus nous présente surtout l'histoire de la vengeance d'un prince déchu et des Vascons, peuple qui va entrainer entre autre la chute de Roland de Roncevaux (version française des faits). C'est plutôt une bonne idée tant cette période est peu représentée en bd, vite évacuée pendant nos cours d'histoire et assez brouillonne dans nos esprits. présenter en plus le point de vue d'un peuple "mineur" au regard de l'histoire à ce moment là est bien vu. On n'en garde que la chanson de Rolland et cela tombe bien puisqu'ici on va nous en présenter une autre version d'un autre point de vue. On retrouvera donc le dessin d'Eon avec grand plaisir puisque ce dernier nous rend des personnages et décors moyen âgeux plus qu'agréables et des scènes de batailles réussies. Le tout forme un ensemble qui s'il ne brille pas particulièrement par sa finesse, remplit son rôle à merveille et nous immerge dans ce monde là. Tant mieux. Je suis plus circonspect quand au choix narratifs de Jean-Claude Bartoll qui à mon sens dilue un peu trop son intrigue et ses personnages, un peu nombreux pour une série prévue en 3 tomes.
  9. Titre de l'album : Karolus Magnus - Tome 2 - La trahison de Brunehilde Scenariste de l'album : Jean-Claude Bartoll Dessinateur de l'album : Eon Coloriste : Simona Rossi & Eon Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Nous retrouvons l'ancien otage Vascon, lutter contre son oncle Félon, meurtrier du Duc de Vasconie. Karolus Magnus, poursuit sa conquête des terres au-delà des Pyrénées mais la trahison du gouverneur de Saragosse va contrecarrer ses plans alors que Brunhilde et Marwan disparaissent dans cette cité fortifiée... Critique : Le second tome de Karolus Magnus ne parvient pas à répondre pour moi à cette question : pourquoi avoir choisi comme titre de cette série le personnage de Charlemagne alors qu'il est finalement un personnage assez secondaire de cette histoire. Karolus Magnus nous présente surtout l'histoire de la vengeance d'un prince déchu et des Vascons, peuple qui va entrainer entre autre la chute de Roland de Roncevaux (version française des faits). C'est plutôt une bonne idée tant cette période est peu représentée en bd, vite évacuée pendant nos cours d'histoire et assez brouillonne dans nos esprits. présenter en plus le point de vue d'un peuple "mineur" au regard de l'histoire à ce moment là est bien vu. On n'en garde que la chanson de Rolland et cela tombe bien puisqu'ici on va nous en présenter une autre version d'un autre point de vue. On retrouvera donc le dessin d'Eon avec grand plaisir puisque ce dernier nous rend des personnages et décors moyen âgeux plus qu'agréables et des scènes de batailles réussies. Le tout forme un ensemble qui s'il ne brille pas particulièrement par sa finesse, remplit son rôle à merveille et nous immerge dans ce monde là. Tant mieux. Je suis plus circonspect quand au choix narratifs de Jean-Claude Bartoll qui à mon sens dilue un peu trop son intrigue et ses personnages, un peu nombreux pour une série prévue en 3 tomes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/karolus-magnus-l-empereur-des-barbares-tome-2-la-trahison-de-brunhilde/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. The_PoP

    Latah

    La collection signé chez le Lombard est décidément une collection que nous apprécions beaucoup car elle est souvent synonyme de one-shot de qualité avec des auteurs remarquables. C'est à nouveau le cas avec ce Latah qui ne portera pas atteinte à l'estime que nous portons à cette collection. S'il n'atteint pas je trouve le niveau des meilleurs one-shot Signé, ce Latah nous présente assez finement l'enfer du vietnam, la partie fantastique ne venant que rehausser l'horreur globale ambiante. Le dessin de Thomas Legrain que l'on a découvert notamment sur Sisco se prête assez bien à cette ambiance martiale sérieuse. L'auteur gère ici scénario et dessin et les couleurs sont réalisées par Mikl pour un résultat particulièrement chouette pour restituer cette ambiance de jungle étouffante. Les personnages sont rapidement brossés mais crédibles et cohérents. Latah se dévore, et donne également un peu à penser et en ce sens c'est une réussite. La partie fantatsique est elle aussi bien gérée puisque vous ne refermerez pas ce tome avec une tonne de questions non résolues, et sa présence permet à l'histoire de prendre son ampleur, sans pour autant la dénaturer, évoquant parfois Apocalypse Now. Attention cependant la violence et le gore sont très présent dans cette bd, à ne pas mettre donc entre toutes les mains. Bravo.
  11. The_PoP

    Latah

    Titre de l'album : Latah Scenariste de l'album : Thomas Legrain Dessinateur de l'album : Thomas Legrain Coloriste : Mikl Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Une légende raconte que quelque part au beau milieu de la jungle vietnamienne se trouve le territoire du Latah. Le récipiendaire des douleurs de son peuple. Et des douleurs, les Américains en ont infligé leur lot… Lorsque leurs membres commencent à tomber, une petite troupe de GI égarée comprend qu'elle vient d'entrer au purgatoire de cet enfer vert. Sur les terres du Latah, les victimes deviennent bourreaux, et vice-versa… Car le bouc émissaire finit toujours par ruer. Critique : La collection signé chez le Lombard est décidément une collection que nous apprécions beaucoup car elle est souvent synonyme de one-shot de qualité avec des auteurs remarquables. C'est à nouveau le cas avec ce Latah qui ne portera pas atteinte à l'estime que nous portons à cette collection. S'il n'atteint pas je trouve le niveau des meilleurs one-shot Signé, ce Latah nous présente assez finement l'enfer du vietnam, la partie fantastique ne venant que rehausser l'horreur globale ambiante. Le dessin de Thomas Legrain que l'on a découvert notamment sur Sisco se prête assez bien à cette ambiance martiale sérieuse. L'auteur gère ici scénario et dessin et les couleurs sont réalisées par Mikl pour un résultat particulièrement chouette pour restituer cette ambiance de jungle étouffante. Les personnages sont rapidement brossés mais crédibles et cohérents. Latah se dévore, et donne également un peu à penser et en ce sens c'est une réussite. La partie fantatsique est elle aussi bien gérée puisque vous ne refermerez pas ce tome avec une tonne de questions non résolues, et sa présence permet à l'histoire de prendre son ampleur, sans pour autant la dénaturer, évoquant parfois Apocalypse Now. Attention cependant la violence et le gore sont très présent dans cette bd, à ne pas mettre donc entre toutes les mains. Bravo. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/latah/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. alx23

    Johnny Biceps

    Ce nouvel album rejoint la collection Pataquès avec les aventures loufoques d'un barbare de l'espace. Après Constantin de Chamberly, Barbare, esthète et philanthrope, le scénariste Karibou développe une nouvelle thématique sur un barbare, héros galactique et argonaute du futur. Cette fois ci le barbare est fidèle à l’image que l’on se fait de lui, dénoué d’intelligence et bodybuildé. On suit des histoires courtes d'une à cinq planches avant de trouver la chute. On suit la création d'une équipe de choc pour combattre le mal avec le fidèle enfant compagnon cloné, la princesse guerrière d’une autre planète ou encore l'homme requin intello. Ils vont mettre à mal les plans d’un grand méchant pas crédible ainsi que quelques ennemis ridicules. Les situations sont nombreuses pour s'amuser avec un bon moment de lecture. Le dessinateur Witko est un habitué des albums de la collection Patquès avec plusieurs titres à son actif. Le style caricatural convient bien au registre avec des teintes de couleurs différentes sur chaque histoire. On s’amuse beaucoup avec les histoires improbables de ce héros demeuré qui règle tous les problèmes par la force.
  13. alx23

    Johnny Biceps

    Titre de l'album : Johnny Biceps Scenariste de l'album : Karibou Dessinateur de l'album : Witko Coloriste : Witko Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Dans le futur du futur futuriste, Johnny Biceps, aventurier et idiot galactique parcourt le cosmos avec son assistant Skip en quête de péripéties et de justice. Rejoints par Docteur Requin, hybride squale-humain timide, et Princesse Kroxima, guerrière médiévale, ils voyagent de monde en monde pour des aventures dangereuses alors que dans l'ombre, Astar, la némésis de Johnny, veut se venger. Critique : Ce nouvel album rejoint la collection Pataquès avec les aventures loufoques d'un barbare de l'espace. Après Constantin de Chamberly, Barbare, esthète et philanthrope, le scénariste Karibou développe une nouvelle thématique sur un barbare, héros galactique et argonaute du futur. Cette fois ci le barbare est fidèle à l’image que l’on se fait de lui, dénoué d’intelligence et bodybuildé. On suit des histoires courtes d'une à cinq planches avant de trouver la chute. On suit la création d'une équipe de choc pour combattre le mal avec le fidèle enfant compagnon cloné, la princesse guerrière d’une autre planète ou encore l'homme requin intello. Ils vont mettre à mal les plans d’un grand méchant pas crédible ainsi que quelques ennemis ridicules. Les situations sont nombreuses pour s'amuser avec un bon moment de lecture. Le dessinateur Witko est un habitué des albums de la collection Patquès avec plusieurs titres à son actif. Le style caricatural convient bien au registre avec des teintes de couleurs différentes sur chaque histoire. On s’amuse beaucoup avec les histoires improbables de ce héros demeuré qui règle tous les problèmes par la force. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/johnny-biceps/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. alx23

    Féroce tome 2 - Carnage

    Le scénariste Gregorio Muro Harriet s'inspire de faits réels dans ce diptyque avec une réalisatrice de documentaire dénonçant le trafic de bois illégal en Extrême-Orient russe et la présence d’un tigre de Sibérie. Le premier tome mettait en place toute l'intrigue pour laisser la place à l'action dans cette suite afin de conclure cette histoire. Dès les premières planches, on plonge dans l'action où le tigre blessé prend en chasse un garde forestier. Les situations dangereuses vont ainsi s'enchainer sur tout l'album. Le thriller tourne au récit de survie pour toutes les personnes piégées dans la forêt avec des conditions climatiques extrêmes, un tigre voulant se venger et des criminels aux ordres d'un trafiquant de bois. Le rythme est plus soutenu dans cet album et le tigre sera un acteur important du dénouement. Au niveau des dessins, Alex Macho est à l'aise pour dépeindre cette forêt enneigée et gérer des scènes d'action dynamiques. Ce diptyque est assez efficace avec un contexte bien détaillée pour ensuite basculer dans l’action pour résoudre l'histoire. Le tigre personnifie la forêt afin de se venger des hommes de la déforestation et la destruction de leur habitat.
  15. Titre de l'album : Féroce tome 2 - Carnage Scenariste de l'album : Gregorio Muro Harriet Dessinateur de l'album : Alex Macho Coloriste : Ekaitz Elizondo Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Quand la nature se déchaîne, personne n'est à l'abri. Sur le territoire du kraï du Primorié, en Extrême-Orient russe, près des frontières de la Chine et de la Corée du Nord, un tigre de Sibérie blessé par un braconnier se consacre à la chasse à l'homme. Non par faim mais plutôt par vengeance, il peint du sang de ses victimes la taïga sibérienne. Ni les brigades forestières contrôlées par la mafia sino-russe, ni les agents du Centre du Tigre de l’Amur, ni les groupes environnementaux ne sont en sécurité lorsque l'Amba, l'esprit des forêts, part à la chasse. Critique : Le scénariste Gregorio Muro Harriet s'inspire de faits réels dans ce diptyque avec une réalisatrice de documentaire dénonçant le trafic de bois illégal en Extrême-Orient russe et la présence d’un tigre de Sibérie. Le premier tome mettait en place toute l'intrigue pour laisser la place à l'action dans cette suite afin de conclure cette histoire. Dès les premières planches, on plonge dans l'action où le tigre blessé prend en chasse un garde forestier. Les situations dangereuses vont ainsi s'enchainer sur tout l'album. Le thriller tourne au récit de survie pour toutes les personnes piégées dans la forêt avec des conditions climatiques extrêmes, un tigre voulant se venger et des criminels aux ordres d'un trafiquant de bois. Le rythme est plus soutenu dans cet album et le tigre sera un acteur important du dénouement. Au niveau des dessins, Alex Macho est à l'aise pour dépeindre cette forêt enneigée et gérer des scènes d'action dynamiques. Ce diptyque est assez efficace avec un contexte bien détaillée pour ensuite basculer dans l’action pour résoudre l'histoire. Le tigre personnifie la forêt afin de se venger des hommes de la déforestation et la destruction de leur habitat. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/feroce-tome-2-carnage/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Titre de l'album : Thorgal Saga - Adieu Aaricia Scenariste de l'album : Robin Recht Dessinateur de l'album : Robin Recht Coloriste : Gaétan Georges Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Le temps est le plus cruel des dieux… Couronnée de cheveux blancs, Aaricia a rendu son dernier souffle. Au crépuscule de sa vie, écrasé par la douleur, Thorgal se voit proposer l'anneau d'Ouroboros par le perfide Nidhogg. Qu'il le mette à son doigt, et il pourra retourner dans son propre passé, et revoir sa bien-aimée. Qu'importe le prix à payer, il est des tentations auxquelles même le héros le plus pur ne peut résister… Critique : Ce Thorgal est un évènement. Ni plus ni moins, il me rappelle le Goldorak qui nous a estomaqué l'année dernière ou le Lucky Luke de Mathieu Bonhomme dans sa façon de jouer avec nos souvenirs et nos émotions de lecteurs d'une icône de la bd. Je ne pense pas que les éditeurs peuvent se contenter de simplement faire revoir leurs principales saga par des auteurs différents et talentueux, mais cela n'empêche pas cet exercice, quand il est réussi et rare, d'avoir une saveur toute particulière. C'est ici bien évidemment le cas. Ce premier opus de Thorgal Saga (soit la nouvelle série de Thorgal vus par un auteur différent) frappe très fort et je crois que la amateurs de la série seront bluffés par le résultat. Ceux qui ne la connaissent pas également, mais il y aura une différence de taille entre ces deux lecteurs aux souvenirs de lectures différents. L'appréhension du récit et de sa finalité sera je crois radicalement modifiée selon ce qu'on a lu des aventures de Thorgal. Pour ma part, en tant que fidèle et assez assidu lecteur de Thorgal, je vous avoue que cet opus m'a fait mal. J'ai eu mal à mon Thorgal, j'ai eu mal à mon héros, j'ai eu mal à mes souvenirs de jeunesse tant Robin Recht s'est échiné à le mettre dans une position où nous ressentons sa souffrance. Mais c'est ainsi que sont parfois faites les grandes bd, elles nous communiquent des émotions à travers leurs personnages, leurs drames et l'empathie qu'elle nous suscite, nous prennent aux tripes, et nous tordent nos certitudes dans tous les sens. A ce titre, cet Adieu Aaricia est, à l'image de sa couverture, sublime. Tout au long de cet opus, Robin Recht s'attelle à rapprocher un peu le héros de l'homme, ne lui ménageant rien de nos faiblesses et dilemmes sans jamais le salir. Graphiquement, Robin Recht livre en plus une véritable partition de maître, même si je suis plutôt content du travail effectué par Fred Vignaux sur les derniers tomes de la série mère Thorgal. Ici il prend juste ce qu'il faut de distance avec l'héritage de Rosinski pour nous en livrer une belle interprétation, fidèle sans chercher à copier. Pour les lecteurs connaisseurs, on n'est pas non plus sur son époustouflant Conan, qui livrait la part belle aux planches coups de poings. Ici l'héritage de la série n'est donc pas renié. J'ai souffert, notamment sur cette fin qui m'a scié les jambes à la lecture de ce Thorgal. Mais je remercie Robin Recht de nous avoir offert cela, car une chose est sûre, Adieu Aaricia marquera l'esprit de ses lecteurs. Et je souhaite un très bon courage aux auteurs qui bossent sur le prochain Thorgal Saga. Adieu Aaricia est un coup de maître, un hommage vibrant et intelligent, questionnant le héros et son humanité dans une aventure nordique prenante pour tout lecteur, et simplement passionnante et émouvante pour les habitués de la série. P.S : pour ceux qui ont lu mes chroniques sur les derniers Thorgal, vous connaissiez mon désir de voir cette série trouver une belle conclusion. Adieu Aaricia en est une magnifique. Autres infos : A ne manquer sous aucun prétexte. Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/thorgal-saga-tome-1-adieu-aaricia?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. The_PoP

    Thorgal Saga - Adieu Aaricia

    Ce Thorgal est un évènement. Ni plus ni moins, il me rappelle le Goldorak qui nous a estomaqué l'année dernière ou le Lucky Luke de Mathieu Bonhomme dans sa façon de jouer avec nos souvenirs et nos émotions de lecteurs d'une icône de la bd. Je ne pense pas que les éditeurs peuvent se contenter de simplement faire revoir leurs principales saga par des auteurs différents et talentueux, mais cela n'empêche pas cet exercice, quand il est réussi et rare, d'avoir une saveur toute particulière. C'est ici bien évidemment le cas. Ce premier opus de Thorgal Saga (soit la nouvelle série de Thorgal vus par un auteur différent) frappe très fort et je crois que la amateurs de la série seront bluffés par le résultat. Ceux qui ne la connaissent pas également, mais il y aura une différence de taille entre ces deux lecteurs aux souvenirs de lectures différents. L'appréhension du récit et de sa finalité sera je crois radicalement modifiée selon ce qu'on a lu des aventures de Thorgal. Pour ma part, en tant que fidèle et assez assidu lecteur de Thorgal, je vous avoue que cet opus m'a fait mal. J'ai eu mal à mon Thorgal, j'ai eu mal à mon héros, j'ai eu mal à mes souvenirs de jeunesse tant Robin Recht s'est échiné à le mettre dans une position où nous ressentons sa souffrance. Mais c'est ainsi que sont parfois faites les grandes bd, elles nous communiquent des émotions à travers leurs personnages, leurs drames et l'empathie qu'elle nous suscite, nous prennent aux tripes, et nous tordent nos certitudes dans tous les sens. A ce titre, cet Adieu Aaricia est, à l'image de sa couverture, sublime. Tout au long de cet opus, Robin Recht s'attelle à rapprocher un peu le héros de l'homme, ne lui ménageant rien de nos faiblesses et dilemmes sans jamais le salir. Graphiquement, Robin Recht livre en plus une véritable partition de maître, même si je suis plutôt content du travail effectué par Fred Vignaux sur les derniers tomes de la série mère Thorgal. Ici il prend juste ce qu'il faut de distance avec l'héritage de Rosinski pour nous en livrer une belle interprétation, fidèle sans chercher à copier. Pour les lecteurs connaisseurs, on n'est pas non plus sur son époustouflant Conan, qui livrait la part belle aux planches coups de poings. Ici l'héritage de la série n'est donc pas renié. J'ai souffert, notamment sur cette fin qui m'a scié les jambes à la lecture de ce Thorgal. Mais je remercie Robin Recht de nous avoir offert cela, car une chose est sûre, Adieu Aaricia marquera l'esprit de ses lecteurs. Et je souhaite un très bon courage aux auteurs qui bossent sur le prochain Thorgal Saga. Adieu Aaricia est un coup de maître, un hommage vibrant et intelligent, questionnant le héros et son humanité dans une aventure nordique prenante pour tout lecteur, et simplement passionnante et émouvante pour les habitués de la série. P.S : pour ceux qui ont lu mes chroniques sur les derniers Thorgal, vous connaissiez mon désir de voir cette série trouver une belle conclusion. Adieu Aaricia en est une magnifique.
  18. poseidon2

    la meute

    La meute, c'est l'histoire d'une non-histoire. C'est l'histoire de tout le monde, l'histoire des petites villes ou des qu'il arrive quelque chose, quelqu'un a son avis sur le sujet et n'hésite pas à le donner. C'est aussi une histoire d'amour. Une histoire d'amour et de confiance qui renvoi les faux semblant des "adultes" au niveau de simples ragots de personnes ayant perdu leurs espoirs en l'humanité. Une belle fable et une belle histoire de vie qui prend le temps qu'il faut pour raconter une histoire qui prend tout son sens grâce au temps qui passe.
  19. poseidon2

    la meute

    Titre de l'album : la meute Scenariste de l'album : Aude Samama Dessinateur de l'album : Aude Samama Coloriste : Aude Samama Editeur de l'album : Futuropolis Note : Résumé de l'album : Marina et Victor ont fugué. Les deux adolescents sont partis avec sacs à dos et duvets dans les bois. Ils s'aiment et surtout ils fuient un univers familial toxique. Lui est un enfant placé, elle vit seule avec son père. Victor a tout planifié. Ce n'est pas sa première fugue et il a l'habitude de la forêt. Il a soigneusement préparé leur fuite pour éviter d'être rattrapé par les gendarmes. Cette fugue est abondamment commentée dans ce petit village de campagne. Tout le monde a un avis sur la question. Plus encore, cette fugue ranime des histoires passées et réveille de vieilles blessures... Victor et Marina espèrent surtout qu'en leur absence les adultes finiront par parler et qu'on comprendra les raisons qui les ont poussés à quitter leur famille. Deux jours plus tard, dans le même secteur, tandis que tout est mis en oeuvre pour retrouver les deux jeunes, une attaque de troupeau est attribuée au loup...C'est la première bande dessinée de l'écrivain Cyril Herry, lauréat des prix Calibre 47 et de Nouvelle Aquitaine pour son roman Scalp (Le Seuil). Il nous livre un récit aux narrateurs multiples, qui montre comment un simple fait divers peut devenir une rumeur et faire ressortir les rancoeurs, magnifié par les portraits à l'acrylique d'Aude Samama. Critique : La meute, c'est l'histoire d'une non-histoire. C'est l'histoire de tout le monde, l'histoire des petites villes ou des qu'il arrive quelque chose, quelqu'un a son avis sur le sujet et n'hésite pas à le donner. C'est aussi une histoire d'amour. Une histoire d'amour et de confiance qui renvoi les faux semblant des "adultes" au niveau de simples ragots de personnes ayant perdu leurs espoirs en l'humanité. Une belle fable et une belle histoire de vie qui prend le temps qu'il faut pour raconter une histoire qui prend tout son sens grâce au temps qui passe. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-meute?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. poseidon2

    Le roi louve t2

    Le tome 1 du roi Louve avait été une des meilleures sorties de l'année dernière en jeunesse. Un scenario de folie, des dessins démentiels et des promesses à ne plus en pouvoir. Alors ce tome deux, je l'attendais comme rarement… et je n'ai pas été déçu. Ce deuxième tome est dans la parfaite continuité du premier. Un vrai film d'aventure sans aucune pause ni aucun compris dans son histoire. Une aventure qui n'en finit plus de nous surprendre avec des découvertes toutes les deux pages. On se passionne comme rarement pour cette histoire qui souffle un vent frais sur la bd jeunesse. À noter que pour ce tome deux (et la réédition du 1 je pense) la couverture a changé et le beau relief sur le titre a disparu. Surement pour minimiser les coups et ne pas augmenter le prix…
  21. poseidon2

    Le roi louve t2

    Titre de l'album : Le roi louve t2 Scenariste de l'album : Denis Lapière Dessinateur de l'album : Adrián Coloriste : Adrián Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Dans un monde où les jeunes loups peuvent changer de sexe avant de choisir leur identité définitive, Petigré, héritier du trône, a décidé de rester louve. Une décision qu'elle a assortie, par soif d'aventure, d'une chasse au trésor avec une bande composée de Rum, son amoureux humain, du Tometeux, un lutin facétieux et d'un Sanzame, un zombie dévoué. Poursuivi·e par les sbires de Kourgane, qui veut lui ravir le trône, Petigré va se trouver piégé·e lors d'une terrible avalanche, puis dans un mystérieux domaine caché au cœur de la montagne... De quoi peut-être réveiller son Sanzame... Pendant ce temps, les humaines, devenues ovipares et forcées de donner à chaque lune deux de leurs œufs aux loups en gage de paix, décident de leur tendre un piège sous l'égide de la Générale Trycia. Un coup d'éclat qui pourrait bien faire de l'ombre à sa maîtresse l'Impératrice, jalouse de ses pouvoirs et de ses secrets, dont certains concernent la bande de Petigré... Critique : Le tome 1 du roi Louve avait été une des meilleures sorties de l'année dernière en jeunesse. Un scenario de folie, des dessins démentiels et des promesses à ne plus en pouvoir. Alors ce tome deux, je l'attendais comme rarement… et je n'ai pas été déçu. Ce deuxième tome est dans la parfaite continuité du premier. Un vrai film d'aventure sans aucune pause ni aucun compris dans son histoire. Une aventure qui n'en finit plus de nous surprendre avec des découvertes toutes les deux pages. On se passionne comme rarement pour cette histoire qui souffle un vent frais sur la bd jeunesse. À noter que pour ce tome deux (et la réédition du 1 je pense) la couverture a changé et le beau relief sur le titre a disparu. Surement pour minimiser les coups et ne pas augmenter le prix… Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-roi-louve-tome-2-l-envol-de-trycia?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. En 2018, le premier dytique M.O.R.I.A.R.T.Y sortait en librairie dessinée par Stevan Subic sur une histoire de Jean-Pierre Pécau et Fred Duval. Les deux scénaristes nous offrent une suite en deux tomes avec cette fois ci, le dessinateur Gess pour mettre en image une nouvelle enquête de Sherlock Holmes face à son ennemi juré, Moriarty. Après trois années d'attente, on peut enfin lire la conclusion où le docteur Freud en personne vient en aide au détective accompagné du bon vieux docteur Watson. Pécau et Duval gère bien leur histoire entre les vols de bijoux aux quatre coins du monde lors d'une course en dirigeable et un homme aux multiples personnalités avec en parallèle l'organisation de Moriarty, le génie du crime. Gess assure des planches de qualité dans un style beaucoup plus clair que les planches de Subic. L'ambiance steampunk est bien présente et intéressante dans cette version de Sherlock Holmes. Les amateurs des récits du détective trouveront leur compte avec cette affaire. Dommage cependant que l’on ne suive pas directement les projets de Moriarty comme le titre de la série l’annonce, à la place de la mécanique de déductions de Holmes.
  23. Titre de l'album : M.O.R.I.A.R.T.Y Tome 4 - Le voleur aux cent visages 2/2 Scenariste de l'album : Fred Duval & Jean-Pierre Pécau Dessinateur de l'album : Gess Coloriste : Scarlett Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Sherlock, Watson et Freud guettent le départ de la course en ballon autour du monde pour appréhender leur cible mais l'épreuve ne cesse d'être repoussée à cause d'intempéries. En attendant, le prodige de Baker Street se penche sur les disparitions de cargos en pleine mer. Les armateurs, victimes de ces larcins de grande envergure, parlent d'un unique rescapé qui ne cesse de déblatérer sur un Kraken... Critique : En 2018, le premier dytique M.O.R.I.A.R.T.Y sortait en librairie dessinée par Stevan Subic sur une histoire de Jean-Pierre Pécau et Fred Duval. Les deux scénaristes nous offrent une suite en deux tomes avec cette fois ci, le dessinateur Gess pour mettre en image une nouvelle enquête de Sherlock Holmes face à son ennemi juré, Moriarty. Après trois années d'attente, on peut enfin lire la conclusion où le docteur Freud en personne vient en aide au détective accompagné du bon vieux docteur Watson. Pécau et Duval gère bien leur histoire entre les vols de bijoux aux quatre coins du monde lors d'une course en dirigeable et un homme aux multiples personnalités avec en parallèle l'organisation de Moriarty, le génie du crime. Gess assure des planches de qualité dans un style beaucoup plus clair que les planches de Subic. L'ambiance steampunk est bien présente et intéressante dans cette version de Sherlock Holmes. Les amateurs des récits du détective trouveront leur compte avec cette affaire. Dommage cependant que l’on ne suive pas directement les projets de Moriarty comme le titre de la série l’annonce, à la place de la mécanique de déductions de Holmes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/moriarty-tome-4-le-voleur-aux-cent-visages-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. alx23

    Hérauts tome 2 - Le griffon

    J'avais adoré le premier tome de cette série moyenâgeuse sur l'art héraldique sur une trame d'enquête policière. Chaque tome propose une histoire complète avec toujours un fil conducteur autour du duo composé de Mayeul un jeune peintre et Landri un ancien moine. Le contexte historique est bien retranscrit et Corbeyran est à l'aise dans ce registre, avec de bonnes idées innovantes. Bien évidement l'art héraldique reste présent avec des explications sur le choix des couleurs et des animaux, avec quelques annotations bien venues en compléments. J'ai l'impression de retrouver l'ambiance du film le nom de la rose en lisant cette série même si on est loin de la religion. Dans ce tome, l'utilisation de dessins identiques pour deux familles vivant proche soulève des problématiques et la nécessité d'un expert dans le domaine pour départager les familles. Les dessins de Nicolas Bègue sont magnifiques, avec beaucoup de détails pour faire vivre cette époque. Les deux premiers tomes sont de grande qualité et l'on prend plaisir à retrouver les deux héros dans une nouvelle affaire.
  25. Titre de l'album : Hérauts tome 2 - Le griffon Scenariste de l'album : Éric Corbeyran Dessinateur de l'album : Nicolas Bègue Coloriste : Jean-Paul Fernandez Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Marie, Mayeul et Landri arrivent dans une nouvelle région où les deux hérauts entendent poursuivre leur oeuvre de recensement des armoiries... Landri accepte d'aider le seigneur local à résoudre un problème : les armoiries de sa famille ont été copiées par un petit seigneur voisin indélicat. En se lançant dans cette enquête, Landri est loin de se douter des révélations qui l'attendent. Critique : J'avais adoré le premier tome de cette série moyenâgeuse sur l'art héraldique sur une trame d'enquête policière. Chaque tome propose une histoire complète avec toujours un fil conducteur autour du duo composé de Mayeul un jeune peintre et Landri un ancien moine. Le contexte historique est bien retranscrit et Corbeyran est à l'aise dans ce registre, avec de bonnes idées innovantes. Bien évidement l'art héraldique reste présent avec des explications sur le choix des couleurs et des animaux, avec quelques annotations bien venues en compléments. J'ai l'impression de retrouver l'ambiance du film le nom de la rose en lisant cette série même si on est loin de la religion. Dans ce tome, l'utilisation de dessins identiques pour deux familles vivant proche soulève des problématiques et la nécessité d'un expert dans le domaine pour départager les familles. Les dessins de Nicolas Bègue sont magnifiques, avec beaucoup de détails pour faire vivre cette époque. Les deux premiers tomes sont de grande qualité et l'on prend plaisir à retrouver les deux héros dans une nouvelle affaire. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/herauts-tome-2-le-griffon/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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