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  1. alx23

    L'enfer de Dante

    Titre de l'album : L'enfer de Dante Scenariste de l'album : Paul & Gaetan Brizzi Dessinateur de l'album : Paul & Gaetan Brizzi Coloriste : Editeur de l'album : Daniel Maghen Note : Résumé de l'album : L’Enfer est la première partie de la Divine Comédie de Dante, un grand classique de la littérature italienne. Si le récit est complexe, l’idée centrale est simple. Guidé par le poète Virgile, Dante traverse les neuf cercles de l’Enfer pour retrouver sa bien-aimée Béatrice au Paradis. Critique : L'enfer de Dante inaugure la nouvelle collection, Les grands classiques en bande dessinée aux éditions Daniel Maghens. Ce monument classique de la littérature italienne n'est pas forcément très accessible par tous les lecteurs. L'enfer de Dante constitue la première partie de la Divine Comédie écrit sous la forme de poème par Dante, suivi par le Purgatoire et le Paradis. Paul et Gaetan Brizzi propose une adaptation spectaculaire de l'enfer de Dante avec les neufs cercles de l'enfer à traverser par Dante accompagné du poète Virgile, pour retrouver sa femme Béatrice au Paradis. Ma connaissance de l'œuvre originale n'est que sommaire mais on retrouve tous les personnages que l'on connait déjà comme Caron le nocher et l'on rencontre Socrate, Platon Ou Aristote ou encore le minotaure et toutes les personnes enfermées en enfers jugés par les Péchés Capitaux. Les dessins de Paul et Gaetan Brizzi sont absolument magnifiques en noir et blanc avec des pleines pages d'illustrations pour présenter les divers lieux traversés par les deux personnages. L'album est un mélange entre de la bande dessinée et livre d'illustrations. Pour exemple, la couverture est une page comme beaucoup d'autres dans cet album au format légèrement plus grand. L'enfer de Dante est une œuvre impressionnante par la qualité de ses dessins et l’adaptation du récit en lui-même. Les auteurs travaillent déjà sur une autre adaptation, Don Quichotte prévu pour la fin d'année 2023. A noter que les planches seront exposées à la galerie Daniel Maghen du 31 janvier au 25 février. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-enfer-de-dante?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Décidément j'aime bien cette époque ou les maisons d'édition font en sorte de mettre les moyens dans les livres jeunesses. Cela donne des livres intéressant pour les plus petits, comme ce très bon Mélie et le monster maker club. Des livres qui ont réussi leur mission chez moi : faire que ma fille de huit ans (grande lectrice) n'ait pas encore complètement succombé au manga ! Ça peut paraitre bête, mais c'est bien l'age ou ma grande a, elle, basculé. Et ça se comprend en lisant cette aventure de Mélie. Orientée 6-10 ans, cette aventure est pleine de couleur, de bon sentiment et d'héroïsme, tout en vilipendant les "vieux ado" et leur manque d'imagination. Il n'y a rien à jeter dans ce livre quand on a entre 6 et 10. On a des robots très méchants, des gentils très gentils et une héroïne très forte en caractère. Une BD qui ravira toutes les petites fans de Mortelle Adèle, à n'en pas douter !
  3. Titre de l'album : Mélie et le monster maker club t1 Scenariste de l'album : Carbone Dessinateur de l'album : Thitaume / Gorobei Coloriste : Thitaume / Gorobei Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Mélie mène une vie plutôt cool, malgré le divorce de ses parents. Mais elle le devient encore plus lorsqu'elle rencontre Kréa, craquant fantôme qui lui révèle que dorénavant elle possède un super-pouvoir : donner vie aux dessins issus de l'imagination ! Incrédule, Mélie a maintenant le devoir de protéger des mondes en danger en compagnie des monstres qu'elle va créer. Génial ! Mais afin de compenser une imagination qu'elle juge limitée, Mélie va créer une team de dessinateurs de créatures en compagnie de son petit frère Max : le Monster Maker Club ! La voici prête à affronter mille dangers dans mille mondes étranges, épaulée par l'infinité de monstres qu'elle pourra invoquer ! Thitaume (Les Lapins crétins) et Carbone (La Boîte à musique) s'allient au formidable Gorobei pour une grande série jeunesse, véritable ode interactive à la créativité, à laquelle pourront participer les lecteurs ! Critique : Décidément j'aime bien cette époque ou les maisons d'édition font en sorte de mettre les moyens dans les livres jeunesses. Cela donne des livres intéressant pour les plus petits, comme ce très bon Mélie et le monster maker club. Des livres qui ont réussi leur mission chez moi : faire que ma fille de huit ans (grande lectrice) n'ait pas encore complètement succombé au manga ! Ça peut paraitre bête, mais c'est bien l'age ou ma grande a, elle, basculé. Et ça se comprend en lisant cette aventure de Mélie. Orientée 6-10 ans, cette aventure est pleine de couleur, de bon sentiment et d'héroïsme, tout en vilipendant les "vieux ado" et leur manque d'imagination. Il n'y a rien à jeter dans ce livre quand on a entre 6 et 10. On a des robots très méchants, des gentils très gentils et une héroïne très forte en caractère. Une BD qui ravira toutes les petites fans de Mortelle Adèle, à n'en pas douter ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/melie-et-le-monster-maker-club-tome-1-porte-emporte-moi?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Quatrième tome des enquêtes de notre vétéran de guerre devenu Privé dans les Etats Unis d'après guerre et cette fois-ci on va le suivre sur les terres du Klan. L'ambiance de la Louisiane de ces années là est assez réussie et si la partie graphique des bd de messieurs Warnauts et Raives n'arrivent pas à me séduire par leur style, il faut reconnaitre qu'au fil des tomes ils ont su agréablement corriger mes principaux reproches à cette série. L'usage des textes descriptifs/narratifs a ainsi été diminué, fluidifiant par la même je trouve le récit. On pourra reprocher à ce tome le peu d'impact final de notre héros dans le dénouement de cette intrigue mais finalement c'est parfois intéressant aussi de simplement témoigner d'une époque et d'une histoire sordide. Toutes proportions gardées, car qualitativement je trouve que cette série en reste loin, mais l'évolution de notre privé tout au long de ces 4 tomes ne peut que m'évoquer celle d'un John Blacksad, nous livrant des pans d'histoire et de la sociologie de l'Amérique au fil de ses enquêtes. Tant mieux car j'aime explorer ces différentes facettes de cette Amérique aujourd'hui toujours si fascinante pour moi.
  5. Titre de l'album : Purple heart tome 4 - Jambalaya blues Scenariste de l'album : Eric Warnauts & Guy Raives Dessinateur de l'album : Eric Warnauts & Guy Raives Coloriste : Eric Warnauts & Guy Raives Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Pour aider Winston, son camarade de régiment, à retrouver sa nièce disparue en Louisiane, Josuah Flanagan va devoir endosser le rôle d'un riche blanc dont Winston sera le chauffeur. Car, au beau milieu des années 50, le Sud demeure une terre de traditions... et il n'est pas question de cuisine cajun. Les deux anciens soldats vont devoir remuer les immondices tapies dans la vase du bayou et accomplir des actions plus qu'affirmatives pour ne pas finir sous les crocs des alligators. Critique : Quatrième tome des enquêtes de notre vétéran de guerre devenu Privé dans les Etats Unis d'après guerre et cette fois-ci on va le suivre sur les terres du Klan. L'ambiance de la Louisiane de ces années là est assez réussie et si la partie graphique des bd de messieurs Warnauts et Raives n'arrivent pas à me séduire par leur style, il faut reconnaitre qu'au fil des tomes ils ont su agréablement corriger mes principaux reproches à cette série. L'usage des textes descriptifs/narratifs a ainsi été diminué, fluidifiant par la même je trouve le récit. On pourra reprocher à ce tome le peu d'impact final de notre héros dans le dénouement de cette intrigue mais finalement c'est parfois intéressant aussi de simplement témoigner d'une époque et d'une histoire sordide. Toutes proportions gardées, car qualitativement je trouve que cette série en reste loin, mais l'évolution de notre privé tout au long de ces 4 tomes ne peut que m'évoquer celle d'un John Blacksad, nous livrant des pans d'histoire et de la sociologie de l'Amérique au fil de ses enquêtes. Tant mieux car j'aime explorer ces différentes facettes de cette Amérique aujourd'hui toujours si fascinante pour moi. Autres infos : Dernier tome - Conclusion de la série. Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/purple-heart-tome-4-jambalaya-blues?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Un nouveau triptyque commence avec ce premier tome sur Boudicca la furie celte, en l'an 44 après Jésus-Christ. Philippe Nihoul se charge de l'écriture du scénario pour retracer la vie de Boudicca depuis ses 16 ans dans cette introduction. L'album débute sur la défaite de César en Bretagne avec le mauvais temps et toutes les tribus celtes à affronter. L'empire romain ne reviendra pas avant un siècle sous le règne de Tiberius Claudius, avec cette fois une armée imposante et une stratégie subtile plus adaptée. Par contre, je suis un peu sceptique sur l’’utilisation des éléphants lors de la conquête de la Grande Bretagne, après tous les récits sur les reines de sang se basent sur des faits mais aussi des suppositions. On suit donc les complots se mettre en place et l'imposante armée romaine assouvir toutes les tribus celtes et leurs croyances. Plusieurs annotations viennent compléter le récit avec des batailles et victoire romaine. Les dessins sont dans un style classique et fonctionnent bien pour le genre historique. On ne compte plus tous les albums de cette grande saga sur les reines de sang qui nous font voyager d'époque en époque. L’histoire prend le temps de se mettre en place avec les trois albums de prévus.
  7. Titre de l'album : Les reines de sang - Boudicca, la furie celte tome 1 Scenariste de l'album : Philippe Nihoul Dessinateur de l'album : Fabio Mantovani Coloriste : Fabio Mantovani Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Cela fait des dizaines d'années que Venta, la capitale des Icènes, est en paix avec Rome. Ses habitants se tiennent à distance et cela convient parfaitement à la princesse Bouddica. Mais depuis peu, lesRromains s'intéressent à nouveau à son peuple et si son roi de père ne s'en inquiète pas outre mesure, l'instinct de Bouddica lui dit le contraire. L'avenir va malheureusement lui donner raison. Critique : Un nouveau triptyque commence avec ce premier tome sur Boudicca la furie celte, en l'an 44 après Jésus-Christ. Philippe Nihoul se charge de l'écriture du scénario pour retracer la vie de Boudicca depuis ses 16 ans dans cette introduction. L'album débute sur la défaite de César en Bretagne avec le mauvais temps et toutes les tribus celtes à affronter. L'empire romain ne reviendra pas avant un siècle sous le règne de Tiberius Claudius, avec cette fois une armée imposante et une stratégie subtile plus adaptée. Par contre, je suis un peu sceptique sur l’’utilisation des éléphants lors de la conquête de la Grande Bretagne, après tous les récits sur les reines de sang se basent sur des faits mais aussi des suppositions. On suit donc les complots se mettre en place et l'imposante armée romaine assouvir toutes les tribus celtes et leurs croyances. Plusieurs annotations viennent compléter le récit avec des batailles et victoire romaine. Les dessins sont dans un style classique et fonctionnent bien pour le genre historique. On ne compte plus tous les albums de cette grande saga sur les reines de sang qui nous font voyager d'époque en époque. L’histoire prend le temps de se mettre en place avec les trois albums de prévus. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-reines-de-sang-bouddica-la-furie-celte-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. André Hébert est le pseudonyme d'un jeune français qui milite pour différentes causes en participant à des manifestations ou en écrivant des articles pour un journal distribué à la sortie des facs. Les événements médiatisés autour des Kurdes de Syrie avec leur appel à tous les révolutionnaires du monde entier pour venir les aider à combattre daesh vont bouleverser sa vie. André Hébert est investi par cet appel et décide de partir en inventant un travail fictif pour le compte d'une ONG pour sa famille. Ce roman graphique documentaire revient sur cette décision et comment en l'espace d'une journée André Hébert quitte le confort de son existence pour aider les Kurdes à combattre daesh à Raqqa, la capitale syrienne de l'état Islamique. Après trois semaines d'entrainement sur le terrain, il rejoint YPG, les Unités de Défenses du Peuple. Cet album est très intense et on se retrouve au cœur des combats et du quotidien des soldats du bataillon international. Les soldats doivent attendre, être sur leur garde et se méfier de tous les kamikazes djihadistes. Les dessins de Nicolas Otéro sont excellents dans un style très réaliste. Le parcours de ce combattant français avec les kurdes contre les soldats de daesh est impressionnant, émouvant et très fort.
  9. Titre de l'album : Jusqu'à Raqqa - Un combattant français avec les Kurdes contre Daech Scenariste de l'album : André Hébert Dessinateur de l'album : Nicolas Otéro Coloriste : 1ver2anes Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : André Hébert, jeune Français parti combattre l'État islamique aux côtés des Kurdes de Syrie, livre un témoignage capital sur l'un des pires conflits de ce début de siècle. Son engagement le conduira au coeur de l'ultime bataille dans les ruines de la capitale des djihadistes. Le journal de guerre à couper le souffle d'un militant internationaliste. Critique : André Hébert est le pseudonyme d'un jeune français qui milite pour différentes causes en participant à des manifestations ou en écrivant des articles pour un journal distribué à la sortie des facs. Les événements médiatisés autour des Kurdes de Syrie avec leur appel à tous les révolutionnaires du monde entier pour venir les aider à combattre daesh vont bouleverser sa vie. André Hébert est investi par cet appel et décide de partir en inventant un travail fictif pour le compte d'une ONG pour sa famille. Ce roman graphique documentaire revient sur cette décision et comment en l'espace d'une journée André Hébert quitte le confort de son existence pour aider les Kurdes à combattre daesh à Raqqa, la capitale syrienne de l'état Islamique. Après trois semaines d'entrainement sur le terrain, il rejoint YPG, les Unités de Défenses du Peuple. Cet album est très intense et on se retrouve au cœur des combats et du quotidien des soldats du bataillon international. Les soldats doivent attendre, être sur leur garde et se méfier de tous les kamikazes djihadistes. Les dessins de Nicolas Otéro sont excellents dans un style très réaliste. Le parcours de ce combattant français avec les kurdes contre les soldats de daesh est impressionnant, émouvant et très fort. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jusqu-a-raqqa-un-combattant-francais-avec-les-kurdes-contre-daech?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. En conclusion de cette série Western d'Hermann, ce tome 7 vient nous apporter un joli final qui s'il se révèle finalement très logique, n'en demeure pas moins réussi pour les amateurs de la série. Vous l'aurez compris pour ma part je suis resté un peu déçu par cette série que je n'ai jamais pu m'empêcher de comparer à Comanche, l'autre série Western phare de Hermann. Ici j'en viens presque à lui reprocher sa colorisation, qui faisait pourtant des merveilles sur l'univers de Comanche, mais qui je trouve peine à convaincre dans cette Californie où se déroule ce tome. Le scénario de Yves H quand à lui, s'il a eu le mérite de nous présenter des personnages très humains et crédibles, n'a pas réussi à retenir mon attention, la faute à un héros finalement trop insipide et nuancé. Duke reste une bonne série Western, mais pour moi malheureusement un cran en dessous des ténors du genre, et même des autres séries d'Hermann.
  11. Titre de l'album : Duke tome 7 - Ce monde n'est pas le mien Scenariste de l'album : Yves H. Dessinateur de l'album : Hermann Coloriste : Hermann Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : De retour en Californie, Duke touche au but : il va enfin pouvoir arracher Peg des griffes de King. Mais à peine a-t-il fait quelques pas en ville qu'il finit derrière les barreaux, où le retrouve Manolito. Le colosse mystique et sanguinaire lui propose un étrange marché : il le sortira de là si Duke reconnaît qu'ils appartiennent à la même espèce de démons. Si Duke veut la fin, il lui faudra accepter les moyens ! Car, au fond, la meilleure arme du diable n'est-elle pas la Vérité... ? Critique : En conclusion de cette série Western d'Hermann, ce tome 7 vient nous apporter un joli final qui s'il se révèle finalement très logique, n'en demeure pas moins réussi pour les amateurs de la série. Vous l'aurez compris pour ma part je suis resté un peu déçu par cette série que je n'ai jamais pu m'empêcher de comparer à Comanche, l'autre série Western phare de Hermann. Ici j'en viens presque à lui reprocher sa colorisation, qui faisait pourtant des merveilles sur l'univers de Comanche, mais qui je trouve peine à convaincre dans cette Californie où se déroule ce tome. Le scénario de Yves H quand à lui, s'il a eu le mérite de nous présenter des personnages très humains et crédibles, n'a pas réussi à retenir mon attention, la faute à un héros finalement trop insipide et nuancé. Duke reste une bonne série Western, mais pour moi malheureusement un cran en dessous des ténors du genre, et même des autres séries d'Hermann. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/duke-tome-7-ce-monde-n-est-pas-le-mien?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Cette bd est l'adaptation d'un conte populaire, que l'on retrouve dans plusieurs cultures et sur plusieurs continents différents. Ce conte a pour originalité de nous présenter une héroïne féminine toute en subtilité et nuances et des personnages masculins peu rusés sans pour autant sombrer dans le ridicule. L'univers présenté s'adapte a beaucoup de cultures et ne présente guère de singularité, mais la représentation graphique réalisée par Sergio Garcia Sanchez est plutôt créative et agréable. Blancaflor est un conte initiatique rafraichissant pour les enfants.
  13. Titre de l'album : Blancaflor - La princesse aux pouvoirs secrets Scenariste de l'album : Nadja Spiegelmann Dessinateur de l'album : Sergio Garcia Sanchez Coloriste : Lola Moral Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Blancaflor est une jeune femme ayant hérité d'extraordinaires pouvoirs de son père, un ogre méchant qui mange ses adversaires pour le dîner. Lorsqu'un prince tombe du ciel et se réveille sur ses genoux, elle tombe immédiatement amoureuse. Sur invitation de l'ogre, celui-ci est venu relever une série d'épreuves à l'issue desquelles il cédera son royaume ou remportera celui de son adversaire. Mais le jeune homme ne se doute pas qu'il s'agit là d'un plan imaginé par l'ogre, qui le mènera irrémédiablement à sa perte. Sans le lui faire savoir, Blancaflor remuera ciel et terre pour lui venir en aide, et donner une chance à leur histoire. Nadja Spiegelman et Sergio García Sánchez réactualisent avec brio un classique latino-américain vantant la force et l'ingéniosité des femmes. Critique : Cette bd est l'adaptation d'un conte populaire, que l'on retrouve dans plusieurs cultures et sur plusieurs continents différents. Ce conte a pour originalité de nous présenter une héroïne féminine toute en subtilité et nuances et des personnages masculins peu rusés sans pour autant sombrer dans le ridicule. L'univers présenté s'adapte a beaucoup de cultures et ne présente guère de singularité, mais la représentation graphique réalisée par Sergio Garcia Sanchez est plutôt créative et agréable. Blancaflor est un conte initiatique rafraichissant pour les enfants. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/blancaflor?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. alx23

    La compagnie rouge

    C'est avec un grand plaisir que j'ai découvert cet excellent space opera avec ce double album. Le scénariste Simon Treins nous livre une histoire prenante et originale avec des mercenaires pour héros. Un jeune homme est recruté lors d'une mission et aura pour rôle les archives de la compagnie, par ce procédé les auteurs peuvent nous expliquer le contexte et l'histoire du vaisseau et de la compagnie rouge. Lors des conflits, les mercenaires utilisent des robots et des drones de combats pour régler les problématiques. Quelques références en clin d'œil à des films du genre sont les amusantes et bien placées. La partie graphique de Jean-Michel Ponzio est vraiment remarquable avec son style photoréaliste avec des couleurs numériques. Son style pourra peut-être déstabiliser les non-initiés mais je reste contemplatif devant tous les détails des planches avec les vaisseaux et les scènes de combats dans l'espace. Le seul reproche à faire serait sur les gros plans des visages qui semblent figés sur quelques cases. La compagnie rouge conviendra à tous les lecteurs amateurs de récits de science-fiction et space opera. La fin est un peu expéditive à mon goût mais reste ouverte donc j'espère qu'on aura droit à une suite surtout avec le potentiel possible à développer sur cette base solide.
  15. alx23

    La compagnie rouge

    Titre de l'album : La compagnie rouge Scenariste de l'album : Simon Treins Dessinateur de l'album : Jean-Michel Ponzio Coloriste : Jean-Michel Ponzio Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Dans un lointain futur, les guerres ne font plus de mort, mais sont un sport, mené par des robots de combat contrôlés à distance par des mercenaires. Fasciné comme tous les ados par ces mercenaires, le jeune Flint va choisir de quitter sa planète agricole pour les suivre dans leurs missions, dans l'espoir de devenir l'un d'eux, pour le meilleur et pour le pire. Critique : C'est avec un grand plaisir que j'ai découvert cet excellent space opera avec ce double album. Le scénariste Simon Treins nous livre une histoire prenante et originale avec des mercenaires pour héros. Un jeune homme est recruté lors d'une mission et aura pour rôle les archives de la compagnie, par ce procédé les auteurs peuvent nous expliquer le contexte et l'histoire du vaisseau et de la compagnie rouge. Lors des conflits, les mercenaires utilisent des robots et des drones de combats pour régler les problématiques. Quelques références en clin d'œil à des films du genre sont les amusantes et bien placées. La partie graphique de Jean-Michel Ponzio est vraiment remarquable avec son style photoréaliste avec des couleurs numériques. Son style pourra peut-être déstabiliser les non-initiés mais je reste contemplatif devant tous les détails des planches avec les vaisseaux et les scènes de combats dans l'espace. Le seul reproche à faire serait sur les gros plans des visages qui semblent figés sur quelques cases. La compagnie rouge conviendra à tous les lecteurs amateurs de récits de science-fiction et space opera. La fin est un peu expéditive à mon goût mais reste ouverte donc j'espère qu'on aura droit à une suite surtout avec le potentiel possible à développer sur cette base solide. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-compagnie-rouge-tome-1-premier-sang?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Nouveau diptyque chez Grand Angle en cette nouvelle année avec une aventure sur fond de mythologie grecque. Une aventure qui tire son épingle du jeu parce que ce n'est PAS une histoire mythologique. C'est l'histoire d'un homme qui rêve de légende et qui ne rend pas compte que la légende est forcément romancée. Et que dans la vraie vie ce genre d'aventure est tout sauf une aventure rêvée. Bien dessinée et bien rythmée, ce tome un s'avère une lecture agréable qui plaira aux amateurs de fresques.
  17. Titre de l'album : Kléos : celui qui révait de gloire t1 Scenariste de l'album : Mark Eacersall Dessinateur de l'album : Mark Eacersall Coloriste : Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Un jeune et pauvre pêcheur grec, qui rêve de gloire, part à la folle poursuite de pirates... En 499 avant J.-C., les Grecs vivent en petites communautés, cités souvent rivales mais partageant un même mode de vie, des dieux et surtout une langue, qui les différencie des «barbares»... Baigné par L'Iliade et L'Odyssée, dont il connaît chaque vers, le jeune Philoklès rêve d'exploits. Alors, quand des pirates pillent son île, ce misérable pêcheur s'élance à leur poursuite, déterminé à forcer son destin. Tel son modèle Achille, il veut anéantir ses ennemis et accéder à la gloire éternelle (kleos aphthiton)...De mésaventures en rencontres fortuites, son héroïsme va être mis à mal, tout comme l'idée qu'il se fait du monde - et de lui-même. Critique : Nouveau diptyque chez Grand Angle en cette nouvelle année avec une aventure sur fond de mythologie grecque. Une aventure qui tire son épingle du jeu parce que ce n'est PAS une histoire mythologique. C'est l'histoire d'un homme qui rêve de légende et qui ne rend pas compte que la légende est forcément romancée. Et que dans la vraie vie ce genre d'aventure est tout sauf une aventure rêvée. Bien dessinée et bien rythmée, ce tome un s'avère une lecture agréable qui plaira aux amateurs de fresques. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kleos-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Mais qu'est-il passé par la tête de l'éditeur de nous présenter un univers aussi riche et foisonnant et une intrigue aussi épique en seulement 3 tomes ? Parfois les séries ne rencontrant pas le succès doivent se conclure prématurément mais ici c'était déjà prévu depuis le départ. On se retrouve donc avec un gros tas de questions sans réponses, et plus embêtant encore, un rythme complètement bancal ne nous laissant pas apprécier la dramaturgie des évènements ou le développement des personnages. C'est d'autant plus dommage que la partie graphique gérée par Looky (La geste, Hercule, Nocturnes Rouges) est très réussie et que l'univers et les enjeux présentés sont très attrayants. Looky nous montre tout le chemin parcouru depuis sa série Nocturnes Rouges et ses dessins sont bien mis en valeur avec les couleurs de Luca Saponti. Mais ce premier cycle laisse une impression de bâclé, et j'en veux un peu à Jean François Di Giorgio car il nous avait déjà un peu fait le coup dans une moindre mesure avec son premier cycle Samouraï. Quand à l'éditeur, je ne sais pas quoi en penser, l'histoire ayant été annoncée dès le départ en 3 tomes, je ne pense pas que le flop commercial soit l'explication. Pour le moment j'en reste donc à mon dommage, en attendant de voir si un second cycle plus équilibré dans le rythme vient nous apporter les compléments permettant de réhabiliter et remettre en valeur et en perspective cette première trilogie.
  19. Titre de l'album : Shaolin - Tome 3 - Colère aveugle Scenariste de l'album : Jean-François Di Giorgio Dessinateur de l'album : Looky Coloriste : Luca Saponti Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Monastère des Trois Royaumes. Fuyant les hordes des Morfs et des Âtugâns réunis, Nuage Blanc est précipité vers une issue terrible... et vers la compagnie d'une alliée inattendue. Formant avec elle une équipe de choc, ils vont tenter de combattre les forces inexorables du mal et de secourir un empire autrefois glorieux... Critique : Mais qu'est-il passé par la tête de l'éditeur de nous présenter un univers aussi riche et foisonnant et une intrigue aussi épique en seulement 3 tomes ? Parfois les séries ne rencontrant pas le succès doivent se conclure prématurément mais ici c'était déjà prévu depuis le départ. On se retrouve donc avec un gros tas de questions sans réponses, et plus embêtant encore, un rythme complètement bancal ne nous laissant pas apprécier la dramaturgie des évènements ou le développement des personnages. C'est d'autant plus dommage que la partie graphique gérée par Looky (La geste, Hercule, Nocturnes Rouges) est très réussie et que l'univers et les enjeux présentés sont très attrayants. Looky nous montre tout le chemin parcouru depuis sa série Nocturnes Rouges et ses dessins sont bien mis en valeur avec les couleurs de Luca Saponti. Mais ce premier cycle laisse une impression de bâclé, et j'en veux un peu à Jean François Di Giorgio car il nous avait déjà un peu fait le coup dans une moindre mesure avec son premier cycle Samouraï. Quand à l'éditeur, je ne sais pas quoi en penser, l'histoire ayant été annoncée dès le départ en 3 tomes, je ne pense pas que le flop commercial soit l'explication. Pour le moment j'en reste donc à mon dommage, en attendant de voir si un second cycle plus équilibré dans le rythme vient nous apporter les compléments permettant de réhabiliter et remettre en valeur et en perspective cette première trilogie. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/shaolin-tome-3-colere-aveugle?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. poseidon2

    L'université des chèvres

    Un nouveau Lax c’est toujours une bonne nouvelle. Auteur peu prolifique et n’ayant plus besoin de faire ses preuves, il est, à l’instar de Rochette et d’autres auteurs des années 80, l’une des valeurs sûres des auteurs de BD "traditionnelles".Après tout un superbe cycle autour du vélo, mais surtout deux albums ayant rencontré un succès aussi bien critique que public ( une maternité rouge et Un certain Cervantes ) il nous revient avec une histoire résolument engagée sur le droit à l’accès,à la culture et la difficulté que rencontrent les défenseurs de ce droit au travers des époques récentes. Que ce soit l’obscurantisme religieux, la peur de la modernité ou l’idéologie Trumpiste, Lax nous montre, au travers d’une saga familiale, que chaque époque possède ses opposants à la libre circulation du savoir.Sublimement illustré, que ce soit les Alpes des années 1800 ou l’Afghanistan du 21ieme siècle, cette saga a le seul défaut d’avoir un goût de trop peu. En effet, le passage alpins est très rapide et la conclusion, au demeurant très belle, aurait mérité d'être approfondie.Je pense sincèrement qu'une trilogie aurait rendue encore plus hommage aux idées défendues.Mais ne boudons pas notre plaisir. Retrouvez Christian Lax et sa patte graphique est toujours une bonne nouvelle pour un amateur de bds et cet album comptera parmi les bons albums de l’année à n'en pas douter. C’est uniquement que, lorsque l’on aime, on a envie d’en avoir plus !
  21. Titre de l'album : L'université des chèvres Scenariste de l'album : Christian Lax Dessinateur de l'album : Christian Lax Coloriste : Christian Lax Editeur de l'album : Futuropolis Note : Résumé de l'album : En 1833, dans les Alpes du Sud, Fortuné Chabert est un instituteur itinérant. De village en village, il enseigne avec bonheur lecture, écriture et calcul aux enfants. Ce nomadisme enseignant est appelé «l'université des chèvres». Fortuné devra renoncer à son sacerdoce, et se retrouvera, des années plus tard, chez les Hopis de l'Arizona, aux États-Unis.En 2018, Sanjar parcourt la montagne afghane avec son tableau sur le dos. Lui aussi pratique l'université des chèvres. Chassé par les talibans, il deviendra auxiliaire de l'armée américaine en Afghanistan.Quel est le lien qui unit Fortuné et Sanjar, a priori aussi éloignés que possible par le temps et l'espace? C'est une jeune femme, Arizona Florès. Descendante de Fortuné (cinquième génération), Arizona est journaliste au Phoenix Post. L'un de ses grands combats, c'est la dénonciation de la violence faite à l'école, avec ses tueries récurrentes qui endeuillent les familles américaines. Virulente dénonciatrice du lobby des armes à feu dans son pays, elle est mise à l'écart par son journal, qui l'envoie en reportage en Afghanistan. Elle y rencontre Sanjar. Celui-ci, de plus en plus en danger, ne peut que se résoudre à abandonner, comme Fortuné, sa mission émancipatrice...D'Afghanistan aux États-Unis, du XVIII? siècle à nos jours, l'école a toujours été rejetée par les obscurantistes:par la vertu d'un récit magnifique de colère et de générosité, de beauté et d'amour, Christian Lax prend parti pour une école sanctuarisée, qui émancipe et qui libère. Critique : Un nouveau Lax c’est toujours une bonne nouvelle. Auteur peu prolifique et n’ayant plus besoin de faire ses preuves, il est, à l’instar de Rochette et d’autres auteurs des années 80, l’une des valeurs sûres des auteurs de BD "traditionnelles".Après tout un superbe cycle autour du vélo, mais surtout deux albums ayant rencontré un succès aussi bien critique que public ( une maternité rouge et Un certain Cervantes ) il nous revient avec une histoire résolument engagée sur le droit à l’accès,à la culture et la difficulté que rencontrent les défenseurs de ce droit au travers des époques récentes. Que ce soit l’obscurantisme religieux, la peur de la modernité ou l’idéologie Trumpiste, Lax nous montre, au travers d’une saga familiale, que chaque époque possède ses opposants à la libre circulation du savoir.Sublimement illustré, que ce soit les Alpes des années 1800 ou l’Afghanistan du 21ieme siècle, cette saga a le seul défaut d’avoir un goût de trop peu. En effet, le passage alpins est très rapide et la conclusion, au demeurant très belle, aurait mérité d'être approfondie.Je pense sincèrement qu'une trilogie aurait rendue encore plus hommage aux idées défendues.Mais ne boudons pas notre plaisir. Retrouvez Christian Lax et sa patte graphique est toujours une bonne nouvelle pour un amateur de bds et cet album comptera parmi les bons albums de l’année à n'en pas douter. C’est uniquement que, lorsque l’on aime, on a envie d’en avoir plus ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-universite-des-chevres?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Tous les albums de la collection Pataquès sont improbables, la preuve une fois de plus avec Constantain de Chamberly. Déjà juste avec ce nom, on ne s'attend pas à ce que le héros soit un barbare vivant à Karskyal, un monde chaotique où règne la terreur, dirigé par le maître Mort-Lune. Le jeune Constantin est le fils unique d'une femme barbare et d'un homme lettré, ce mélange est assez surprenant surtout quand cet enfant parcourt les terres désolées à la recherche de péripéties ou pour rencontrer la population ou créature lors de sa campagne électorale. Le scénariste Karibou nous livre une histoire d'humour original pour beaucoup d'amusement lors de la lecture. Les situations sont bien trouvées car notre barbare va résoudre toutes les problématiques par des discours basés sur la démocratie, le social et l'écologie, comme un véritable homme politique. Les dessins d'Arnaud De Vivies sont dans un style semi-réaliste afin de représenter plusieurs monstres de l'heroic-fantasy. Les planches sont bien travaillées pour un résultat de qualité. J'ai une fois de plus beaucoup ri à la lecture de cet album et dès le début avec la mise en place de cette personne à la carrure d'un Conan le barbare mais avec des lunettes et des livres dans les mains.
  23. Titre de l'album : Constantin de Chamberly - Barbare, esthète et philanthrope Scenariste de l'album : Karibou Dessinateur de l'album : Arnaud De Vivies Coloriste : Arnaud De Vivies Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Barbare sensible et philanthrope, Constantin parcourt le monde sauvage de Karskyal pour le convertir aux luttes sociales et aux Lumières. Il rencontre Alia qui veut également découvrir le monde, surtout pour se battre. Ils feront équipe, elle armée de son épée, lui de ses livres, et surmonteront plusieurs épreuves jusqu'à affronter le despote Mort-Lune lors d'une campagne électorale improbable. Critique : Tous les albums de la collection Pataquès sont improbables, la preuve une fois de plus avec Constantain de Chamberly. Déjà juste avec ce nom, on ne s'attend pas à ce que le héros soit un barbare vivant à Karskyal, un monde chaotique où règne la terreur, dirigé par le maître Mort-Lune. Le jeune Constantin est le fils unique d'une femme barbare et d'un homme lettré, ce mélange est assez surprenant surtout quand cet enfant parcourt les terres désolées à la recherche de péripéties ou pour rencontrer la population ou créature lors de sa campagne électorale. Le scénariste Karibou nous livre une histoire d'humour original pour beaucoup d'amusement lors de la lecture. Les situations sont bien trouvées car notre barbare va résoudre toutes les problématiques par des discours basés sur la démocratie, le social et l'écologie, comme un véritable homme politique. Les dessins d'Arnaud De Vivies sont dans un style semi-réaliste afin de représenter plusieurs monstres de l'heroic-fantasy. Les planches sont bien travaillées pour un résultat de qualité. J'ai une fois de plus beaucoup ri à la lecture de cet album et dès le début avec la mise en place de cette personne à la carrure d'un Conan le barbare mais avec des lunettes et des livres dans les mains. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/constantin-de-chamberly-barbare-esthete-et-philanthrope?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Il n'aura pas fallu attendre longtemps avant d'avoir la suite et fin du diptyque sur La Kahina, cette grande reine Berbère. L'album reprend à Carthage, avec une armée qui siège devant les murs de cette cité imprenable. En effet le général Hassan Ibn Numan va imposer la puissance de ses troupes face aux romains avec une stratégie efficace pour prendre la ville avant de la détruire complétement. Les évènements se précipitent dans cette suite et La Kahina est la prochaine cible de la puissante armée du général. Les fourberies et trahisons sont présentes autour de la cour de la reine. Elle resta cependant très habile dans ses décisions pour positionner ses enfants avant les combats décisifs. Ses visions ne la sauveront pas de sa destinée. La partie graphique est de grande qualité pour mettre en image les combats et cette époque. Kahina, la reine berbère nous permet de découvrir une reine de sang peu connue à travers un très bon diptyque. Chroniques de La Kahina, la reine berbère tome 1
  25. Titre de l'album : Les reines de sang - Kahina, la reine berbère tome 2 Scenariste de l'album : Simon Treins Dessinateur de l'album : Dragan Paunovic Coloriste : Scarlett Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Après des succès et l'unification de toutes les tribus berbères, juives, chrétiennes et byzantines, la reine rouge doit faire face à un nouvel assaut des armées du califat. Cette dernière bataille décidera du sort de l'Afrique du Nord, le lointain perfide, comme le désigne Damas. La Kahina sait par ses visions qu'elle n'en sortira pas victorieuse, mais que l'identité berbère ne disparaitra jamais. Critique : Il n'aura pas fallu attendre longtemps avant d'avoir la suite et fin du diptyque sur La Kahina, cette grande reine Berbère. L'album reprend à Carthage, avec une armée qui siège devant les murs de cette cité imprenable. En effet le général Hassan Ibn Numan va imposer la puissance de ses troupes face aux romains avec une stratégie efficace pour prendre la ville avant de la détruire complétement. Les évènements se précipitent dans cette suite et La Kahina est la prochaine cible de la puissante armée du général. Les fourberies et trahisons sont présentes autour de la cour de la reine. Elle resta cependant très habile dans ses décisions pour positionner ses enfants avant les combats décisifs. Ses visions ne la sauveront pas de sa destinée. La partie graphique est de grande qualité pour mettre en image les combats et cette époque. Kahina, la reine berbère nous permet de découvrir une reine de sang peu connue à travers un très bon diptyque. Chroniques de La Kahina, la reine berbère tome 1 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-reines-de-sang-la-kahina-la-reine-berbere-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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